Vendredi 28 octobre 5 28 /10 /Oct 05:46

comme on est bien

- ah c'est trop bon !

  Très vicieux, très excitant 

 

 

   

 

 

 

  PRISONNIER DU BOULOT Après ce sera l'anus et la bouche il va ta la remplir tranquille...tu es content ? 

   

  Après ce sera l'anus et la bouche il va ta la remplir tranquille..hotwifehunting: “ mywifelovesstrange: “ He had already cum in my wife’s mouth and now he was fucking her pussy. With his thumb in her ass I assumed it would be next. I was right. He filled all three. ” Great imagery. ”.

tu es content ?

 

 

oui, de la voir contente, elle 

   

   

 

Par kokuzékontans - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 27 octobre 4 27 /10 /Oct 18:39

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Le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière

cevieuxjpdu18: “ va falloir que, j’aille faire les courses plus souvent…. ”

 le cul de la crémière pluggé comme il sied...la seule qui ait des couilles...-lol- 

par Annie Lasorne, blog de médiapart

Résultat de recherche d'images pour "granny 68 protester"

foutez la paix à ma grand-mère hein !  

                      

L'histoire des (jolies) colonies de vacances et de l'exploitation honteuse de ses animateurs, illustrée par le billet déchirant d'une maman : Nathalie Baldaccini Les jolies colonies n'existent plus le 30 Juillet et par l'article de : Mathieu Magnaudeix Les «colos» forcées de revoir leur modèle?  m'a fait réagir.

 

Ce problème d'animateurs rémunérés 3h/jour au Smic pour en exécuter en réalité 24h par jour !!! est emblématique de deux mondes, deux époques, qui se télescopent et très violament. C'est un probléme idéologique, philosophique et profondément politique.

Il concerne bien évidement la dérive du droit du travail, mais aussi, ce qu'est un travail et ce que représente le "bénévolat".

Il concerne également ce que sont des entreprises sociales, coopératives, associatives, issues d'un système solidaire et ce que sont des entreprises libérales, issues d'un système capitaliste.

Après la dernière guerre mondiale, à l'aube des années 50 - lorsque je suis née - suite aux réflexions de la résistance et du CNR, eux même issus des idéaux humanistes et des luttes de 1936 et de toutes les luttes ouvrières qui les avaient précédées, sont nés des organisations sociales (ouvrières, et de gauche, ne l'oubliont pas !) basées sur des philosophie de solidarité. Nous avons ainsi bénéficié de la sécurité sociale, des mutuelles, des retraites, des congés payés, du droit du travail, de l'éducation pour tous, des loisirs et de la culture pour tous, de l'accession à la propriété démocratisée, du droit au logement ...

Moi même, française, issue d'une longue lignée de paysans devenus ouvriers (communistes et laiques chez moi, mais il y avait la même chose chez les cathos) émigrants de la campagne à la ville. Enfant du baby-boom, j'ai bénéficié de ces fameuses colonies de vacances de l'âge de 4 ans à 15 ans. Je suis allée en colonies maternelles jusqu'aux camps d'ado, en France et à l'étranger, mais aussi en centres aérés tout au long de l'année, un jour par semaine, le jeudi alors. Je m'y suis non seulement aérée, mais j'ai aussi fait du sport, appris un répertoire de chansons que je chante encore à mes petits enfants, mais aussi cultivée. J'y ai vu tous les grands classique du cinéma les jeudis pluvieux, je suis allée au théâtre (TNP Villar...). Ma mère caissière dans un grand magasin a bénéficié d'aides sociales et de son comité d'entreprise. J'ai eu le choix de mes études, j'ai bénéficié de bourses. J'ai eu accès aux bibliothèques, aux maisons de la culture (merci Malraux), maison pour tous, maison de quartiers, aide aux devoirs, visite des musées, conservatoires de musique, cours du soir gratuits. A l'école maternelle, j'ai eu un verre de lait quotidien, un suivi médical (poux, pesée, mesures, vaccinations, avec une infirmière dans chaque école...). J'ai bénéficié des dispensaires, des HLM, des premières salle de bains. Des amis de mes parents ont construit leur propre maison dans des mouvements coopératifs comme "les castords" s'aidant les uns les autres à moindre coût. A 16 ans, j'ai pris tout naturellement le relais, devenant, encore lycéenne, monitrice en centre aéré, puis monitrice de colo, étudiante. J'ai même fait du théâtre dans le bidonville de Nanterre, dont la mémoire est entérrée sous les pieds des traders de la Défense et de l'alphabétisation d'ouvriers magrébins de chez Simca. Au travers de ces activités bénévoles (on ne se posait même pas la question d'un salaire), j'ai fait mon aprentissage politique. Dans des banlieues que l'on appellait "rouges" j'ai cotoyé anars, communistes (de toutes obédiences), socialistes mais tout autant ceux de la JOC (jeunesses ouvrières catholiques, pour les jeunes ignares) dans un joyeux charivari communautaire et solidaire. Tout cela m'a amené naturellement sur les barricades de 68, au féminisme, ses combats (planning familial, Mlac) puis au début des luttes qui se sont internationalisées avec le Vietnam, l'impérialisme Américain, le Chili, l'Argentine... Ce que je ne comprends que maintenant, grâce au recul, à mes lectures de toute une vie et en particulier à Naomi Klein et sa Stratégie du choc !

Oui, il a commencé là, le virage, à l'aube des années 70. Cette parenthèse de la "Sociale", parallèle à celle que les embryons de bourgeois bohèmes ont appelé "enchantée"... Nous avons eu encore 10 ans d'une trainée de comète. Entre d'un côté la montée de la petite bourgeoisie, la consommation à outrance, le rêve de la modernité triomphante et de l'autre, le mouvement hippie, l'amour libre, les communautés, l'anti-nucléaire, le tout rhytmé par la musique, la danse, les drogues qui font oublier et les voyages tout autour de la planète...

Les trentes glorieuses !...

Avant l'avénement des années "Fric" instaurée par l'emblématique Tapie et ses accolytes ! De l'entrepreneur roi et de la libre entreprise reine ! Tatcher, Reagan, Milton Friedman et ses Chicagos boys... Mais aussi l'avénement de la traitrise déchéance de la gauche, la sociale démocratie et la financiarisation du monde. Et pris dans tous ces discours parallèles et contradictoires, nous n'avons rien vu venir, rien compris ! Nous sommes devenus raisonnables, des moutons dociles, saoulés par une télé omniprésente et des guignols ! Cette période a aussi durée 30 ans. Trente ans de ballotage. Et là, maintenant c'est la gueule de bois !

Une maousse gueule de bois !!! Pendant notre ébaudissement, ils nous ont tout pris, tout démoli, tout ratissé, les Raptout ! La finance a pris le pouvoir. Et nous là, le peuple, on se retrouve comme des cons ! En caleçon !

Pour en revenir à mes colonies de vacances et à ma crémière, c'est précisement là que ça ne va plus. Ces belles entreprises sociales de mon enfance, gérées par l'Etat et ses organismes sociaux, grâce à nos côtisations sociales (solidaires), nos comités d'entreprise (là encore, solidaires) étaient dirigées par des semi-bénévoles (solidaires, là aussi) aux convictions laicardes ou religieuses, qui investissaient souvent leurs propres congés-payés par militantisme, dans un souci éducationnel po-pu-laire ! (oui je sais, c'est devenu un gros mot)

Hors, maintenant, ces entreprises, qui n'ont plus rien de sociales, sont dirigées par des libres entrepreneurs capitalistes, qui réclament à cors et à cris, moins d'Etat pour se gaver à loisirs. Ou pire, par des structures institutionnelles qui se piquent de libéralisme et doivent donc être "rentables", surtout pour leurs dirigeants du sommet, aux gros salaires. Les deux entreprises, de concert, exigeant néanmoins de ramasser la galette sociale de nos cotisations et par dessus le marché, que "les moniteurs" soient de braves bénévoles, corvéables à merci, comme du bon vieux temps de la "Sociale"!

Y'a pas un problème, là ?...

C'est ce qui me fais dire qu'ils veulent le beurre, l'argent du beurre et par dessus le marché le cul de la crémière !

Mais, mes cocos ! La crémière vous l'avez assassinée ! Son beurre avec ! Vous l'avez oublié ?

Et c'est ça, à tous les étages ! Les crèches, l'école, les universités, les loisirs, les retraites... Reprendre ma liste des années 50/80 au chapître précédent.

Tiens au chapître nostalgie des loisirs pour tous, allez donc lire la belle histoire de l'origine de la FNAC. C'est édifiant !

Alors faut choisir, entre deux civilisations, pour en construire une troisième (encore en chantier). Mais nous n'en sommes pas encore là ! Pour le moment, nous assistons sidérés, à l'agonie de la seconde. Les funérailles s'annoncent longues et douloureuses !

Fallait pas laisser le loup entrer dans la bergerie !

Mai 68 riots, Paris. Marc Riboud:

 

laissez Mamie et ses sous...venir

 

 

 

Par claudio+mediapart blogs - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 27 octobre 4 27 /10 /Oct 08:35

lily...

 

 

« Je prends mon pied, les mecs sont beaux, mais je ne réfléchis pas à l’après.“ Sans prétention, sans séduction, elle raconte avec un sourire timide son parcours sur le trottoir             

La jeune femme, qui assume les imperfections de son physique, se définit comme libertine. 

Elle aime le sexe et sait où s’encanailler. ‘Je ne connais que les endroits pour adultes à Paris’.

 

Lily Francesca
Lily - DR

Etudiante, elle pourrait être payée plus en tant qu’escort, mais elle n’est ‘pas une pute’ à proprement parler.

Mais qui parle d'imperfection  ?

   

  là, maintenant ! mets-la moi !...

Pas comme d'autres si bien maquillées pour se retrouver à pomper de la bite comme une grosse chienne !!!

  Si bien maquillée pour se retrouver à pomper de la bite comme une grosse chienne !!! 

  ...j'adore me payer des tendrons ...surtout si c'est eux qui payent -lol- 

  ultra sexy !!! 

...N° 1256 Oui, pas de doute, elle va finir par faire la pute…  

 

 

Par ABOU SIBEL - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 16:11
Mais pkoi t'es-tu sectionné coupé la bite ?
  chanson populaire :
un jour un charcutier
en taillant une andouille
le couteau lui glissa,
il se coupa les couilles ! 
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Afficher l'image d'origine     Résultat de recherche d'images pour "charcutier découpe des andouilles"       je suis charcutier et, croyez-moi, je tiens à mes bijoux de famille !   
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Commentaire de Pierre Plante, Service d'Urologie, CHU Rangueil, Toulouse L'auteur rapporte 3 cas de mutilation génitale dont 2 dans un contexte psychiatrique établi. Avec les techniques de microchirurgie, la réparation, par réimplantation en particulier de la verge, est une priorité fonctionnelle urinaire et génitale. Peu de gestes itératifs mutilants sont rapportés dans la littérature; la prise en charge psychiatrique est toujours nécessaire.


Les actes d'automutilation des organes génitaux externes masculins sont extrêmement rares et sont potentiellement graves par les complications urinaires ou sexuelles qu'ils peuvent entraïner.

Depuis 1901, date de la première description scientifique, peu de cas ont été publiés dans la "littérature médicale" . Ces mutilations poussent naturellement à la réparation chirurgicale et nécessitent une collaboration étroite avec le psychiatre vu le terrain particulier où elles se produisent.

A travers 3 observations d'automutilation dont un 1 d'amputation du pénis, 1 cas d'étranglement du pénis par un anneau métallique et 1 cas de castration bilatérale, nous ferons le point sur cette affection sur ce phénomène sur le plan anatomopathologique, psychologique et la prise en charge urologique.

OBSERVATION N1

Mr. H.F, âgé de 27 ans, suivi depuis deux ans pour schizophrénie avec homicide un an auparavant, a été admis aux urgences pour amputation du pénis à sa racine et état de choc hémorragique (Figure 1). L'examen clinique trouvait un patient calme avec un raisonnement morbide, "conscient" de son acte, mais qu'il n'arrivait pas à l'expliquer. Après remplissage vasculaire et avis psychiatrique, le patient a été conduit au bloc opératoire et a bénéficié d'une réimplantation avec un temps uréthral sur sonde de Folley (CH 18) en premier et d'une anastomose des albuginées des corps caverneux au surjet par un vicryl 3/0. Le patient a été mis sous héparine de bas poids moléculaire et antibiothérapie. Malheureusement, l'évolution a été marquée par une nécrose cutanée avec suppuration de la racine de la verge, ayant conduit au 5ème jour à l'amputation avec uréthrostomie cutanée.
Figure 1 : Section du pénis à sa racine (Observation 1)

OBSERVATION N2

Mr R.R, âgé de 23 ans, sans antécédents pathologiques particuliers a été amené par la famille aux urgences pour douleur scrotale avec hémorragie. L'examen clinique montrait une ablation des deux testicules avec hémostase imparfaite. Il s'agissait d'un patient calme qui expliquait que les femmes ne s'intéressaient pas à lui et qu'il n'avait donc pas besoin, selon lui, de ses testicules. L'évaluation psychiatrique retrouvait une discordance idéo-affective. L'hémostase a été complétée, et on a procédé à un recouvrement cutané. Les suites opératoires ont été simples.

OBSERVATION N3

Mr. Z, B, âgé de 25 ans, sans antécédents pathologiques particuliers, a été admis aux urgences pour rétention aiguë d'urine. L'examen clinique a révélé un patient calme présentant un raisonnement morbide avec un anneau métallique à la base de la verge et un oedème très important en aval de l'anneau (Figure 2). Le patient amené au bloc opératoire, l'ablation de l'anneau à l'aide d'une scie fut très laborieuse (2 heures 30 minutes). Cependant, l'ischémie déjà installée a été responsable d'une nécrose et a rendu nécessaire une amputation de la verge le lendemain (Figure 3).
Section du pénis à sa racine (Observation 1)

 

Strangulation par un anneau métallique (Observation 3).
Figure 3 : Amputation du pénis : aspect post-opératoire, le moignon restant (Observation 2).

 

Les automutilateurs, sous le coup d'une morbidité psychique, peuvent porter leur violences sur un point quelconque du corps. Mais les organes génitaux sont surtout l'objet de leur fureur. La castration volontaire, l'autoeunuchisme, est très fréquent chez eux. Ces déséquilibres agissent isolément, chacun de son côté ou bien ils appartiennent à des sectes comme les Skopzis russes. Ce sont là des conceptions délirantes, les effets d'une mentalité morbide. Ce sont des psychopathes, des hystériques, des alcooliques, des pervertis sexuels, des mélancoliques anxieux avec de la négation. D'où l'automutilation surtout sous la forme d'eunuchisme. Cette automutilation est souvent associée à des conceptions religieuses morbides.

L'automutilation n'est pathognomonique d'aucune affection particulière. On l'observe dans toute une variété d'états morbides, depuis les manifestations apparentes les plus frustres telles que le grattage ou les plus spectaculaires telles que l'énucléation d'un oeil ou l'autocastration, jusqu'aux déroutants tableaux de la conservation hystérique et de la la mythomanie chirurgicale. L'automutilation couvre l'ensemble du champ médical. De même, en marge de la psychopathologie, dans le domaine limite des perversions sexuelles et religieuses, la mutilation volontaire est tout à la fois présente dans les extases cliniques et mystiques.

Les modèles explicatifs de l'automutilationProcessus dominés par les notions de narcissisme et de masochisme primaire, les gestes auto-vulnérants s'intègrent dans la dialectique de la castration. Il s'agit pour certains d'entres eux, à l'instar de bon nombre de mutilations sociales, de gestes propititoires.

Plusieurs dénominations ont été utilisées pour décrire cette affection : Complexe d'Eshmum par Lewis en 1938 en rapport avec une croyance phénicienne ou encore "syndrome de Klingsor" par Ames mais c'est Ströch [26], en 1901 qui fit la première description scientifique en rapportant le cas d'un patient de 27 ans qui s'automutile du fait du manque de succès auprès des femmes.

L'incidence de cette affection est mal connue puisque selon Lennon, la majorité des cas ne sont pas rapportés par le malade ou la famille.

L'automutilation peut survenir chez un patient psychotique ou non-psychotique avec une nette prédominance masculine (des cas ont été rapportés chez la femme).

Une revue de la littérature comprenant la série des Greilscheimer et Groves, puis celle de Schweitzer avec respectivement 52 et 20 respectivement montre que dans 87% des cas, il existe un terrain psychotique dont 28,5% sont imputables à une schizophrénie. Aboseif chez 14 patients, retrouvait 65% de patients psychotiques. Un certain nombre de facteurs sont communs : intense et profonde confusion sexuelle, sensation de culpabilité ou de sous-estime de soi, perte de la notion de l'intégrité physique, refus du pénis, sensation d'être une femme. Chez les patients non psychotiques, on retrouve les transexuels, ainsi que la notion d'ingestion d'alcool ou de drogue dans 25%. Greilscheimer et Groves retrouvent dans leur série 19% d'automutilation répétées.

Les auto-mutilations intéressent les bourses, leur contenu et le pénis. Le type de lésion varie allant de la simple lacération cutanée (lame, cheveu étrangleur) jusqu'à l'ablation des testicules et du pénis (partielle ou complète). Le plus fréquemment retrouvé est l'ablation du testicule (unilatérale ou bilatérale) (61%), puis la lacération de la peau scrotale ou pénienne et enfin la section de la verge.

Le pénis -le gland- devient tout noir

La strangulation du pénis peut entraïner une ischémie responsable d'une nécrose ; celle-ci peut survenir à l'occasion de manipulations "perverses", anneau de rideau , bague mais aussi les anneaux utilisés dans les techniques de pompes à dépression pour le traitement de l'impuissance. Le premier geste est d'ôter le matériel ischémiant. En dehors d'une nécrose évidente de la partie initiale du pénis, le traitement doit être le plus conservateur possible cherchant par un traitement anti-inflammatoire à réduire l'oedème.

La strangulation par cheveux survient chez l'enfant circoncis et est fréquemment observée dans les pays du Maghreb. Cette strangulation entraïne une section progressive avec ischémie artérielle aboutissant à la nécrose du gland.

Parfois, l'automutilation génitale peut être associée à d'autres mutilations comme celle de la main, de la langue ou l'énucléation d'un oeil nécessitant une prise en charge multidisciplinaire.

La plupart des patients consultent fort heureusement le jour même de l'acte mais parfois le délai peut être long (simple lacération) ou être révélé par une complication comme un état de choc hémorragique ou une rétention aiguë d'urine.
La présentation clinique est fonction de la durée d'évolution. Vue tardivement, l'hémostase est déjà faite et la cicatrisation peut avoir eu lieu. L'urologue tâchera alors d'éviter une complication urinaire.

Cependant, l'exploration chirurgicale est la règle. La précocité de la prise en charge de ces patients va conditionner les résultats fonctionnels. Toutefois, et ceci est primordial, avant toute décision chirurgicale, il faudra s'assurer de l'opportunité d'une réimplantation après avis psychiatrique car l'automutilation avec signification suicidaire est très grave. L'état mental du patient conditionne donc la décision thérapeutique. Cependant, l'hospitalisation et l'utilisation des neuroleptiques assurent dans la majorité des cas une stabilisation des situations psychiatriques permettant au patient de réaliser la gravité de son geste. On s'assurera toutefois de placer le pénis amputé dans du sérum physiologique stérile glacé avec mise en place d'un pansement compressif sur le moignon . Si la réimplantation est impossible, on procède à l'hémostase avec urétrostomie cutanée.

    réimplantation du pénis  

Les premières tentatives de réimplantation du pénis ont eu lieu en 1962 mais il aura fallu attendre l'utilisation des techniques micro-chirurgicales en 1977 par Tamai et Cohen pour rapporter les premiers succès de réimplantation pénienne par une chirurgie délicate 

Ainsi, l'exploration chirurgicale commencera par un parage des deux sections avec repérage des différents éléments et rinçage au sérum hépariné des vaisseaux. On répare le corps caverneux par des points séparés au vicryl 3/0 puis on procède à l'anastomose urétrale termino-terminale sur sonde vésicale type Foley. La méthode de choix est la réimplantation sous microscope, permettant de réaliser les sutures vasculaires (les 2 artères dorsales et la veine) et nerveuses sans tension par des points séparés de prolène 8-9/0. En cas de perte de substance artérielle, on peut utiliser un greffon veineux. Un double drainage urinaire par cathétérisme sus-pubien est recommandé.

 

Penile fracture. Repair of the left corpus cavernosum. Penile fracture is a traumatic rupture of tunica albuginea and the tumescent corpora cavernosa due to the nonphysiological bending of the penile shaft, presenting with or without rupture of...

 


En l'absence de microscope, on peut réparer uniquement les corps caverneux et l'urètre après avoir dénudé le pénis et l'avoir enfoui dans le scrotum pour éviter la nécrose cutanée. Cette méthode nécessitera un 2ème temps opératoire à distance de la plastie cutanée. En post-opératoire, le pénis sera surélevé pour faciliter le drainage veineux et lymphatique.

La surveillance sera clinique (chaleur, coloration) et radiologique par Doppler qui vérifiera la perméabilité vasculaire. On associe à l'antibiothérapie, un traitement inhibant les érections (type diazépam 10 mg/j) et un traitement anti-coagulant (héparine de bas poids moléculaire). On procède à l'ablation de la sonde vésicale au 10ème jour, on impose une abstinence sexuelle pendant 6 semaines. Les complications peuvent survenir sont la nécrose cutanée, les sténoses de l'urètre, les fistules uréthro-cutanées, la nécrose ou la momification du gland et les sensations subjectives de "membre fantôme" . Toutefois, si l'érection est présente avant l'acte d'automutilation, elle est habituellement préservée et l'utilisation du microscope a permis de retrouver d'excellents résultats fonctionnels. En cas de castration bilatérale et d'impossibilité de réimplantation, on associera un traitement hormonal substitutif.

Conclusion

L'automutilation, situation insolite, réalise un véritable défi dont l'évolution et le traitement chirurgical nécessitent une collaboration étroite entre urologue, psychiatre et personnel soignant. Si une stabilisation psychiatrique est obtenue dans la majorité des cas, le pronostic urologique et sexuel se jouent à long terme.

 

 

 

Par claudio + le net - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 12:22

seule à la maison en buvant du thé 

vous faites erreur cher monsieur, je suis mariée

Mais je vous dis que c'est une erreur !


Vous ne pouvez pas ...vous vous trompez !

J'aime mon mari ....

 

S'il était là...mais il n'est pas là mon mariii

 

mais promettez- moi que mon mari 

 

ne saura jamais rien des choses

 

que je vais vous permettre  de faire maintenant

 

 

mon mari serait ravi de vous connaître

 

 


 

Par kokus - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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