SEXE ET HANDICAP
RECIT par avaleur gai-eros
— Entre dans mon cul, j'aime quand M. Caron me fait ça. Tout s'expliquait, je comprenais à cet instant pourquoi le commerçant le gardait après les heures de fermeture.
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Je suis Tony, j'ai 25 ans et j'habite à la campagne dans une ferme loin des villes, alors je me fais livrer mon épicerie chaque samedi. Comme je connais bien M. et Mme Caron, les propriétaires, ils acceptent sans problème de m'envoyer leur livreur. Comme la route est assez longue, je permets au livreur de se reposer un instant en lui donnant une liqueur. Je ne peux pas vraiment avoir de vraie discussion avec lui car il est retardé mentalement. Vivant seul, il m'arrive assez souvent de faire l'amour avec des hommes, et même parfois avec des femmes. Je suis une vraie bête de sexe. Bien souvent, après une bonne baise, il m'arrive de me branler en plus.
Ce samedi, le livreur arriva vers 20 heures ce qui était tard car d'habitude il venait vers 15 ou 16 heures. Il entra sans frapper comme à son habitude et me surprit totalement nu car il faisait chaud et j'étais persuadé qu'il avait oublié ma livraison. Il fut surpris et poussa un petit cri, alors j'enfilai un peignoir rapidement. Il s'excusa de ne pas avoir frappé, posa le panier où se trouvait la nourriture pour la semaine et s'apprêta à partir lorsque je lui demandai de rester. Il se retourna et aperçut une bosse entre mes jambes. En effet, je n'avais pas pu m'empêcher de bander tellement ce joli brun aux yeux verts était très beau. De plus, comme je n'avais pas baisé depuis deux jours, il me faisait bien envie. Je ne pouvais résister à son corps musclé de ce jeune . Je lui servis sa liqueur et décidai de le questionner un peu.
— Tu as du avoir beaucoup de travail pour arriver à cette heure?
— Oui, beaucoup de clients aujourd'hui.
— Ça fait un bon bout de temps que tu travailles là?
— Oui, assez longtemps.
— Tu t'entends bien avec tes patrons?
— Oui, M. Caron est très gentil avec moi, quand il me garde avec lui après les heures de fermeture, il me fait plein de cadeaux.
— Il te fait travailler même après la fermeture?
Il ne répondit pas, il se contenta de baisser la tête et semblait mal à l'aise. Voyant qu'il avait terminé son verre, je m'approchai de lui et lorsqu'il aperçut ma bosse, il prit peur. Je lui demandai:
— Tu es encore puceau n'est-ce pas?
Voyant qu'il ne comprenait pas ma question, je lui demandai alors:
— As-tu déjà fait l'amour avec une femme ou un homme?
Il devint le visage tout rouge et sembla mal à l'aise de ma question.
— Non, répondit-il timidement.
— T'as une copine ou un petit copain dans ta vie?
Je me doutais bien de sa réponse car à cause de son état, sans doute que pas grand fille ou garçon du village devait s'intéresser à lui.
— Non, je suis seul avec ma maman et mon chien Pooky.
Sa naïveté me fit sourire et me toucha. Les gens du village avaient donc raison à son sujet. Il avait un cerveau d'un garçon de 7 ou 8 ans, mais celui-ci était emprisonné dans un corps d'homme. Je sentis mon excitation monter en moi à l'idée de pouvoir lui faire découvrir le plaisir et le sexe en espérant ne pas l'apeurer.
— Tu voudrais te faire dépuceler et que je t'apprenne à faire l'amour?
Je ne lui laissais pas le temps de répondre et je l'embrassais. Comme il ne fit rien, j'en déduisis qu'il était d'accord. Je l'allongeais sur mon grand lit en continuant à l'embrasser et mis ma main dans son short. Je touchais sa queue qui devint toute dure sous mes doigts. Voyant qu'il ne disait rien et qu'il ne semblait aucunement apeuré, je continuais de caresser son sexe. J'enlevais ensuite ma main et commençai à le déshabiller. Il ne lui restait plus que son slip. J'enlevai mon peignoir et il resta le regard fixé sur mon pénis long et raide. Je pris sa main et la posais sur mon bâton. De lui-même, il commença à faire des va-et-vient mais je l'arrêtais rapidement car je ne voulais pas éjaculer trop vite. Il était peut-être retardé mentalement, mais il savait comment branler une queue. La suite me semblait prometteuse.
J'enlevais son slip car je n'en pouvais plus de voir une partie de sa verge en sortir tellement elle étais grosse. Je pris son sexe à pleine main et le masturbais tout en lui léchant le gland et en faisant glisser ma langue de haut en bas sur sa queue. Je l'entendais gémir et pendant ce temps il reprit mon pénis qu'il caressa. Ses gémissements s'intensifièrent quand je poussais une partie de sa grosse queue dans ma bouche et que je commençais à le sucer. Je le pompais doucement tout en lui caressant le torse et ses mamelons, puis il prit mes mains et les enleva de sa poitrine et me fit comprendre qu'il voulait que je lui mette un doigt dans son anus.
C'est ce que je fis rapidement. Je faisais entrer et sortir mon doigt dans son trou et en moins d'une minute son anus commença à mouiller. J'entrais 2 doigts et bien vite ses gémissements reprirent. J'étais stupéfait, il ne pouvais pas comprendre ce que je faisais. Pour un puceau, il était dégourdi. Je compris que c'était le moment de le pénétrer mais avant, j'approchai ma bite bien dure de son visage et sans que j'ai eu besoin de faire quoi que se soit, il l'enfourna dans sa bouche et commença à me pomper.
Il me suçait divinement, même mieux que d'autres qui l'avaient précédé. Sa bouche avalait complètement ma queue et je dus me retenir quelques fois pour ne pas éjaculer tellement je trouvais ça bon. Je me retirais de sa bouche et au même moment, il se mit sur le dos et écarta bien ses jambes. Apercevant ma surprise suite à son geste, il me dit:
— Entre dans mon cul, j'aime quand M. Caron me fait ça.
Tout s'expliquait, je comprenais à cet instant pourquoi le commerçant le gardait après les heures de fermeture. Je n'étais donc pas le premier, moi qui croyais le dépuceler. Ainsi, ce cher épicier était aussi pervers que moi. J'amenais mon visage près de son trou et commençais à lui lécher l'anus. Il adorait se faire bouffer le cul et je lui dégustais la rondelle à mon goût.
J'approchais mon sexe de son trou et lui ai fait sentir la masse chaude de mon gland gonflé de désir prendre position, puis ma queue tendue emplit lentement le vide de son anus. Elle s'enfonçait dans son ventre et avec elle s'installait le plaisir dans un va-et-vient long et doux. Ma verge remuait au fond de lui, elle parcourait ses entrailles dans de longs glissements et lui arrachait des gémissements lorsqu'elle se butait au fond. Ma queue le défonçait et le comblait dans des accélérations violentes et des ralentissements alternés. Son cul était ravi de contenir cette masse charnue qui le labourait fortement.
Je peux voir et entendre son plaisir. De le voir se masturber alors que je le défonçais me rendait complètement fou. Ses gémissements devenaient plus forts et très vite, j'ai vu apparaître sur son torse au moins 10 jets de sperme. De le voir essuyer son torse avec ses doigts et ensuite les amener à sa bouche pour les lécher m'a fait jouir à mon tour. J'éjaculais en lui et je sentis mon sperme chaud emplir ses entrailles.
Nous nous reposâmes un instant l'un à côté de l'autre pendant quelques minutes. Je reprenais mon souffle. Je n'osais à peine croire à ce qui venait de se passer. Lentement, il se rhabillait et me regardant, il me demanda s'il pourrait revenir même s’il n'avait pas de livraison à faire chez moi. J'éclatai de rire et lui répondis qu'il pourrait venir quand il le voudrait. Il est peut-être retardé mais laissez-moi vous dire qu'il a très bien compris le message.
Scooped by Heloise Capmeil onto Situations de handicap |
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