DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Lundi 27 mai 1 27 /05 /Mai 01:25

classé dans BISEXUELS un coeur plus grand (18)

 

Sacré boulot !

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 24 mai 5 24 /05 /Mai 14:05
 classé dans BISEXUELS un coeur plus grand (17)  
 
femme femme femme....d'après la chanson de  SergeLama ...Hé l´ami, mets ton habit de fête
Ton cœur de paillettes
Et ton regard heureux
Ce soir je t´emmène
On va faire la fête
Tous les trois
La fête charnelle
Avec les plus belles
J´ai gagné le gros lot
Ce soir c´est la vie de château. Hé l´ami, ce soir c´est la bourrasque
Je t´achète un masque
Et une chemise en soie
Ce soir je t´emmène
Sors tes grands "je t´aime"
De galas.
 
>
 Croyez-moi les amis, ne parlons pas de taille du sexe ( quoique !), si vous êtes bisexuel et  autoreverse en même temps, vous avez touché le gros lot. Tous les cas de figure vous sont ouverts. Qu'est-ce qui vous a amené à ces goûts-là ? Ne cherchez pas d'explication : vous avez tout pour être heureux. Il vous reste à trouver les partenaires qui seront heureux de partager avec vous. La combinaison F+F+M  me semble bien moins heureuse que MMF.   C'est évident : à deux mâles chacun (e) peut être pénétré à son tour, chacun(ne) peut sucer, lécher, rimmer comme il lui plaît et comme il plaît au partenaire. Et, mesdames si un pénis vous manque, procurez-vous un slip ou une ceinture  à gode, vos hommes seront ravis  que vous apportiez une solution supplémentaire à vos envies communes.  
 video : comment savoir si ces jeunes russes sont un couple bisex ou homo qui invite et reçoit?  
 ENJOY les amis, ENJOY ! d'autres vidéos bisex à venir à la suite de celle-ci !
Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 06:14

 

classé dans BISEXUELS un coeur plus grand  

 

Je passe sur un forum par hasard et je suis surpris des jugements sévères des personnes qui se disent gaies...Les insultes fusent. Cela creuse l'écart entre les gays et les bis. J'ai connu (eu des rappots avec)  des gays en couple qui tremblaient d'être découverts par leur "chum" à qui ils avaient juré fidélité. Cette situation, pour dramatique qu'elle puisse devenir, touche à mon humble avis au cocasse.

"TU NE JUGERAS POINT". cette recommandation de l'Evangile (St Mat.7)n'est guère suivie " Ne jugez point afin de n'être point jugés Pourquoi regardes-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère, et ne" ...etcJ'ai pensé également, "que ceux qui n'ont jamais péché lui jetent la première pierre"...en fait plusieurs pierres virtuelles lui ont immédiatement été décochées.

il en faut du caractère pour résister à son corps...à sa bite, à son cul  comme il est dit plus bas !

Oh, moi je me permets de penser que les liens entre les hommes (et les femmes) sont ténus et vite caducs. Autant ne pas les officialiser et les affirmer, d'entrée, provisoires. Je sais, à cette époque de mariages tous azimuts, ça a l'air déplacé de proposer ça. Mais que la fidélité ne tienne qu'à son amour et sa force de caractère me paraît mieux qu'elle ne tienne qu'à un papier. 

la page du forum reproduite ci-dessous  /

la question posée : ETRE BI-SEXUEL OU ETRE MARIE ET AIMER LE SEXE AVEC LES HOMMES

 

09/12/12 - 19:30 - ALAINBIDU50140

Je suis marié,bi passif
Actif avec les femmes et passif avec les hommes
Car,j'aime tous les plaisirs de l'anus : sodomie,fist,godage
Mon god fait 6,5 cms de diamètre et rentre entièrement dans mon tendre cul,c'est pour cela qu'il me faut d'ailleurs des grosses bites
Si on est sans tabou,une fois que l'on a goûté à tous les plaisirs de l'anus,on ne peut plus s'en passer
Je ne fais l'amour avec ma femme qu'une fois par semaine,ce n'est pas assez pour moi, et " en plus je suis en manque d'introductions anales
alainbidu50140
pierrot...@...

 

09/12/12 - 19:50 - SKROOL

Hum ! j'espère que tu te fais tester régulièrement et que tu n'oublies pas les capotes.

09/12/12 - 19:59 - THEOMIK

"Je suis marié,bi passif"

que voilà un honnête fake homme!

 

09/12/12 - 20:08 - POMARIAN

en voila un qui sort pas la porte et revient par l'a..

 

09/12/12 - 21:14 - SKROOL

Cela dit, réel ou pas, il illustre parfaitement mon propos. En fait, c'est le cul et surtout son cul, qu'il aime, rien d'autre. (Ce n'est pas un jugement moral; juste un constat.)

09/12/12 - 23:39 - ZATZ

Classe ! Ca c'est du mec distingué ! Ca donne trop envie !

09/12/12 - 23:56 - MEANDRE

Theomik a rayé la seule mention utile de ce thread :)

Moi, je me dit que quand même il faudrait que le Père-Noël soit un peut sérieux et commence à se concentrer sur son CDD de fin d'année au lieu de faire des annonces sur le net. Y'a plein de petits Nenfants qui comptent sur lui.

10/12/12 - 09:21 - PARAGOON-PALLADIUM

Ââââââchement romantique, tout ça...

10/12/12 - 18:10 - EZIO

J'aimerais bien avoir le sentiment de l'épouse de cet être immonde et sexiste...
Pourrait-il lui donner la parole ici-même ?

 

10/12/12 - 19:41 - SKROOL

Cela nous regarde t il ? Qui es tu pour le juger ? On pourrait éventuellement lui faire observer que ga n'est pas vraiment fait pour ce genre de demande, mais en dehors de ça...

10/12/12 - 20:06 - ZATZ

Ezio peut se permettre de juger les propos pas très classieux d'ALAINBIDU50140... Ils sont en effet le reflet d'un homme qui n'assume pas grand chose, et qui semble en plus être un fieffé hypocrite. Car en effet, on aimerait bien savoir ce qu'en pense sa femme. A priori, elle ne sait rien. Peut-être devrait-on lui conseiller d'en parler un peu avec elle, si "1 fois par semaine" ne suffit pas, non ?

10/12/12 - 20:10 - EZIO

Ce ne sont pas ses actes qui me le rendent peu ragoûtant.
Comme tu le dis chacun fait ce qu'il veut et j'en fais d'autres sans doute.
C'est sa façon d'en parler !
Et si je ne juge pas les actes, dans le cas dans le cas présent, je me sens tout à fait autorisé à donner mon avis sur ce qui est de bon goût ou non, sur un forum.

10/12/12 - 22:32 - GWEL-TAZ

en même temps le goût des autres.....

12/12/12 - 14:54 - KELK1

Amis de la poésie bonsoir! Non mais tu sais t'aurais pu économiser ton temps et ta reflexion ( si dure fusse t'elle pour toi) et écrire carrément: " salut j'aime les grosses bites je trompe ma femme parce que cette becasse ne veut baiser qu'une fois par semaine j'ai envie de me faire troncher , on baise?"

Franchement ta delicatesse et ton approche est tellment gore et peu classieuse qu'elle en devient intéréssante sociologiquement parlant , je croyais que ton espèce était morte mais non le cro magnon sentimental , qui résonne avec sa bite plus qu'avec son cerveau existe encore, MERDE!

16/12/12 - 23:39 - DIDEA

c'est sa femme qui va avoir un choque!

17/12/12 - 23:41 - FRID12

Je pense, Alainbidu50140, que vous êtes un dégénéré. Et j'ai raison puisque Frigide Barjot est d'accord avec moi.

17/12/12 - 23:44 - FRID12

Sur ce, je vais me faire l'amour à moi même. Avec trois doigts.

 

19/12/12 - 20:55 - QUINUTUS

Jugement, toujours des jugements...

Vous devez être inscrit sur le site pour participer aux forums

 

L'idéal d'un vrai bi me paraît avoir le courage de ceci :

 

Ah ça, je dis oui.

ou bien :

trio-sexe-2femmes-1homme-158

et ça suppose un préalable : tout se dire avant de s'unir en couple "hétéro"...on invitera....

Une femme en parle avec conviction :

Je me présente ou ? nous présente ? si vous préférez. Je m’appelle Alexandra et mon compagnon Julien. j’ai 25 ans et une assez grande différence d’âge nous sépare puisque Olivier a 22ans de plus que moi. Nous vivons au bord de la mer, dans le sud

- est et nous sommes conjointement depuis presque 4 ans. l’amour qui nous lie est très fort et nous n’avons pas de secret l’un pour l’autre. Physiquement, on me dit assez jolie, grande, brune aux yeux verts avec une poitrine dont je suis assez fière (90b). Sébastien a presque la même taille que moi, brun aux yeux bruns, sans barbe ni moustaches et je dois dire que la nature l’a assez bien pourvu. Si je décide d’écrire, c’est pour parler de notre fantasme et de la manière dont j’ai décidé de passer à l’acte l’été dernier. Depuis longtemps, nous fantasmions en faisant l’amour sur une rencontre avec une jeune femme qui partagerait notre lit. j’ai personnellement toujours été attirée par le corps féminin même si je préfère quand même par dessus tout le plaisir de faire l’amour avec un homme. j’avais déjà eu des relation avec des amies lors de mes années d’internat et l’envie de caresser des nichons et un phallus de femme me travaillait, je dois l’avouer. Nous allons tous les jours sur la plage naturiste pour bronzer. Il n’y a malheureusement pas beaucoup de monde début juillet et les gens qui sont présents sont tous en couple, donc pas de franche occasion pour nous deux de nous faire une bonne bite. Notre maison est à 100 mètres de la plage et nous nous y rendons tous les matins vers 11 heures. Prenant un dernier verre au salon, nous lui avouâmes que nous avions une petite surprise pour lui. Très intrigué et intéressé, il nous dit alors qu’il était prêt à recevoir cette mystérieuse surprise sans plus attendre. Lançant un petit sourire à Edwige, je m’approchai d’elle et l’embrassai avec fougue. Complètement étonné, Guillaume nous regarda fixement sans trop savoir comment réagir mais resta néanmoins attentif au spectacle que nous lui offrions. Nous passons un mois à nous faire bronzer et à nous préparer avant la venue de nos maris respectifs qui nous rejoignent au mois d’août. Bien entendu, en les attendant, on fait l’amour entre nous.

Pour l’occasion, il m’avait aussi offert des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex

- shops. Bon nombre de lecteurs aimeraient me voir dans cette tenue. Ma jupe, tout en latex rouge, recouvrait juste mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment au ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Jérémy m’avait conseillé de ne pas porter de sous vêtements, aussi n’allais

- je pas me sentir toute nue sous le regard des hommes? Un petit chemisier blanc retenait difficilement mes deux nibards qui pointaient, supportés par un minuscule soutien

- gorge. Les regards, autour de moi, pensais

- je, se feraient de moins en moins discrets. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée en tête : me baiser ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me dandinais un peu devant lui, ce qui le faisais bander très dur.

- A moi de m’amuser maintenant ! Et bien dis donc mon salaud, tu encules ma sœur, on se refuse rien ! Je vais commencer par toi ma très chère sœur qui est venu se taper mon type quand je n’étais pas là.

- Qu’est ce que tu va me faire ?

- Je vais te faire connaitre la joie de la double pénétration grâce à mon ami que je tiens en main. » Isabelle plaça alors le gode à l’entrée de la chatte de Anne et poussa d’un coup. Le gode rentra d’une traite comme aspiré à l’intérieur. Je pouvais sentir les va

- et

- vient de ce jouet dans la fente de Aurore sur mon sexe. Sous l’effet de ce nouveau plaisir ressenti, Emilie se détendit, ce qui libéra ma queue de son fourreau et me permit de recommencer mes va

- et

- vient. Pendant ce temps là Isabelle prenait des photos de nous et nous les montrai pour qu’on puisse voir à quel point la scène était torride. Au bout d’un petit moment, Isabelle retira ses sous

- vêtements et s’approcha de Anne. «

- Lèche

- moi les seins, espèce de petite chienne ! Je veux les voir briller tellement il y aura de salive ! Et puis on va changer un peu la place de ce petit jouet de débauche ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Quelques passages sur ses lèvres, couvertes d’un soyeux duvet châtain, me confirmèrent qu’elle était déjà bien chaude et je glissai aussitôt un doigt dans sa fente. Elle était encore assez serrée, ce qui semblait indiquer que malgré mes premières impressions elle n’avait pas beaucoup d’expérience. Cela n’en serait que plus agréable, pensai

- je alors, d’autant plus qu’elle mouillait grandement assez pour permettre le passage de ma queue. Celle

- ci, toujours aussi raide, mais maintenant abandonnée, commençait d’ailleurs à me faire mal et à réclamer mon attention.

- Tu es prête ? murmurai

- je à Clara, tout en la baisant tendrement sur les lèvres.

- Oui, bien sûr, me répondit

- elle en ôtant son T

- shirt, révélant ses jolis nichons blancs comme du lait, aux tétons arrogants. Mais avant, je voudrais te déshabiller. Je me laissai faire avec bonne volonté, d’autant plus que je constatai à quel point ce jeu semblait amuser la fille, qui sans cesse effleurait ma queue, comme par inadvertance, torture d’autant plus insoutenable que la vision de son corps nu s’agitant autour de moi, et en particulier de ses nibards joliment ballottés, achevait de me pousser à bout. Mais l’anglaise n’en avait pas fini avec moi : alors que je tentai de la renverser sur la fourrure qui recouvrait le sol, elle me résista et se mettant à quatre pattes sur celle

- ci , elle me murmura :

- J’adore baiser comme cela… Elle me le prouva aussitôt en cambrant ses reins, soulevant ainsi son fion d’une manière très excitante. Sa fente était grandement béante et je fus pris du désir de la avalerl. Ma langue parcourut d’abord rapidement la vulve de bas en haut puis elle glissa sans effort entre les petites lèvres, que j’embrassai avec délices. Clara poussait de petits cris et je devinais que le plaisir commençait à naître en elle. Son clitoris en témoignait, que je sentais de plus en plus dur contre mon menton. Je le pris entre mes lèvres et le mordillai tendrement. Le traitement que je lui faisais subir arrachait à Aurore des gémissements de plaisir, entrecoupés de mots en anglais : ‘ Good… It’s good … Your tongue on my cunt… ‘ Elle s’interrompit quand son plaisir parvint à son comble et m’interpella en français :

- Maintenant… enfile

- moi… Je ne demandai bien sûr pas mieux, mais avant je voulais tenter une petite expérience. Devant mes yeux, depuis un petit moment, s’agitait un mignon petit cul qui semblait me faire des appels bien indécents. Je voulais en avoir le coeur net et, tout en continuant mon méticuleux léchouillage, j’y glissai un doigt. C’était bien chaud et humide et mon doigt pénétra sans le moindre problème. J’en introduisis un autre et exécutai quelques mouvements de va

- et

- vient. Edwige poussa un soupir qui m’apprit qu’elle m’était reconnaissante de ma délicate attention. Je savais maintenant ce que je désirais savoir : la petite coquine ne dédaignait pas ce genre d’amusement particulier que j’adore quant à moi, mais que je pratique trop peu souvent, mes copines étant bien souvent réticentes.
Clara lui enleva ensuite le bandeau et l’embrassa délicatement tandis que Aurelien, la bite encore raide, se plaçait derrière Aurore pour l’enfiler à son tour. Elle aussi arriva au top du top de son plaisir pour s’affaler ensuite à côté de Edwige qui lui caressait les nibards, qu’elle avait plus petit mais aux bouts plus grands au milieu d’immenses aréoles. Aurelien s’étant retiré de Clara et couché à côté de Anne, celle-ci quitta sa compagne pour prendre la queue de Max en bouche et elle le nettoya de toutes les traces de foutre et du jus de Anne. Ils restèrent ainsi couchés, sans dire un mot, mangeant encore les moments passés. Puis Edwige se releva et leur dit : ? Vous avez soif comme moi ? Je vais nous chercher à boire ?. Elle se rendit à la cuisine pour prendre la bouteille de champagne au frigo et trois flûtes. Dans le couloir, elle entendit du bruit dans la salle de bain et y jetant un coup d’oeil, elle vit Aurelien et Clara qui s’apprêtaient à prendre une douche. Elle les rejoignit, fit sauter le bouchon de la bouteille et, la secouant, elle les aspergea du liquide doré. Tous les trois se mirent à manger le liquide qui leur coulait sur le corps. Edwige dit alors : ? j’ai envie de pisser, j’ai la vessie pleine ?. ? Vas-y, pisse si tu en a l’envie ? lui répondit Aurelien. Anne, debout face à eux, s’écarta les lèvres et lâcha un jet qui atteignit Clara, encore à genoux, en train de pomper la queue de Max. Elle lâcha celui-ci pour se retourner vers Aurore et, ouvrant la bouche, elle accueillit le liquide chaud sur son visage, tandis que de la main droite elle se mit à se satisfaire. Aurelien ayant subitement envie aussi, lui pissait dessus, dirigeant le jet sur les nibards. Anne se mit à genoux et commença à gober le liquide qui couvrait les nibards de Aurore, celle-ci avait engloutit la queue de Aurelien et le pompait à nouveau, pendant que de la main libre elle lui prenait les couilles. Aurelien sentit la sève monter et cracha son foutre épais au fond de la gorge de Murielle. Ils se savonnèrent et, la douche terminée ils se recouchèrent sur le lit pour s’endormir, leur corps emmêlés. Nous eûmes encore un autre dialogue en chat très important. Clara me dit qu’elle voulait me demander une chose importante. Elle avait du mal à l’avouer. Je la pressais de questions. Finalement elle me dit : ? j’ai envie, lors de notre première soirée, que Philippe fasse de moi une femme. Es-tu d’accord ? ?. Le choc fût pour moi. J’étais un peu prise à mon propre piège. Jusqu’à ce moment, j’imaginais un plan cul consacrée surtout à des caresses entre gonzesses, en présence de Philippe certes, mais je voulais le garder à moi seule. j’avais toujours posé comme condition à un plan cul à trois qu’il n’y aurait pas de pénétration entre elle et lui. Je dois avouer ma jalousie, qui en fait ne traduit que l’amour que je lui porte. La question de Anne me laissait sans voix. Je réfléchissais, je lui expliquais ma position mais je savais aussi le problème que cela représentait pour elle. Je commençais à la découvrir de plus en plus et elle m’était de plus en plus agréable. En même temps l’idée de voir Clara pénétrée par Philippe, dépucelée même, m’excitait terriblement. Finalement, je lui précisa que j’étais d’accord. Elle deviendrait nana dans nos bras ! N’en tenant plus, Noémie plaqua le visage de sa sœur sur son phalus et s’abandonna un nouvel creampie. Les va-et-vient de Isabelle sur ma queue étaient d’une hallucinante efficacité et ont vite fait de faire monter la moutarde. J’ai prévenu Noémie que j’allais venir, mais celle-ci ne l’entendait pas de cette oreille, elle voulait qu’on ait un creampie ensemble. Alors elle réussit à attraper la base de mon phalus et de le serrer adorablement pour m’éviter de lâcher la semence. Elle commença à décupler ses mouvements et à un moment elle lâcha mon phalus et nous nous abandonnâmes dans un orgasme simultané. plusieurs jours plus tard je lui avouait tout. D’abord vexé et énervé elle le prit mal puis finalement coquine elle me demandait si j’avais aimé. Affirmatif je lui dit que oui, j’avais adoré. Elle m’invita alors à en voir plus. Le plan était simple j’arriverai comme la dernière fois alors qu’elle auraient commencé. j’arrivais donc la fameuse nuit. Mais je ne put me retenir, voyant perrine cheveux bruns tétons lourds et chattes touffues d’une toison noisette se doigter en me fixant. Sa voix était douce et me disait ‘ tu aimes ca me matter ?… Je passait ma main dans mon caleçon pour me masturber. Aurélie arriva par derrière et glissa sa main dans mon caleçon afin de m’aider. On suce comme des malades, comme si c’était la première fois de notre vie. Nos langues vont et viennent de la base au gland à une vitesse infernale. Patrick apprécie, mais au bout de plusieurs minutes de ce traitement, rend grâce et nous envoie sa semence en plein visage. Je l’embouche, immédiatement, voulant goûter son foutre. En même temps Agnès lui lèche les couilles. Je me avoua que c’est dommage qu’il soit venu aussi vite, mais me ravise en voyant qu’il ne perd rien de sa belle érection. Là, il prend les plaisirs en mains et me fait allonger sur le divan. Il écarte mes cuisses et commence à les lécher sur toute leur longueur. Un frisson me parcourt et je sens un léger picotement dans ma chatte, caractéristique de l’envie de baiser. Agnès n’a pas perdu son temps. Elle s’est assise au sol et a embouché la bite de notre partenaire de passage. La bouche de ce dernier à atteint mon entre-cuisse et sa langue me lape copieusement. Je ne tarde pas à avoir mon premier orgasme sous ses coup de langue très habiles. Je la fis se mettre à quatre pattes, ne gardant que son t-shirt, le croupion bien dressé. Philippe pris sa pine à pleine main et la dirigea premièrement vers la bouche de la baby-sitter. Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement. Elle commença tout de suite à sucer comme l’aurait fait une vraie pute. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes. Comme elle le réclamait dans sa chatte, Jérôme se retira et approcha sa pine de la chatte vierge. Méthodiquement il commença la baise. Alison emit juste plusieurs cris, mais passa bien vite sa langue sur sa gueule. Elle en redemandait déjà, et réclamait de Pierre qu’il la bourre plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier. Au bout de deux petites minutes, il commença à la ramoner sérieusement, si bien qu’elle finit par se tordre dans tous les sens. Pascal, echauffé comme jamais, criait qu’il allait arriver. Après ces jeux de salives, Bastien prit Aurore par derrière. Il enfonça sa bite à fond dans son petit anus bien mouillé. Criant comme un fou, Patrick accéléraient ses pénétrations et défonçait Noémie avec sa tige énorme. Le bonheur était immense, nos sexes étaient trempées à tous les trois de salive et d’excitation et les pénétrations était rapides, profondes et de plus en plus jouissives. Nous étions déchaînés et nous gémissions tous les trois de plaisir. Anne, ouverte à fond, se fit tringler jusqu’à ce que nous atteignîmes un orgasme ensemble. Matthieu éjacula dans l´anus d’Julie toute brûlante en poussant un cri de bonheur.

    Son compagnon s'appelle Julien et cela me rappelle ce jeune couple militant bisexuel d'Avignon....

je pourrais vous en dire deuxmots.

claudio

claudemodou@gmail.com

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 2 mai 4 02 /05 /Mai 11:36

     vas-y prends-là !  Take her je te regarde faire !

classé dans la catégorie BISEXUELS un coeur plus grand

 

J'ai moi-même un pote "hétéro"  qui fréquente un club libertin avec sa femme. Il adore la voir se faire prendre par plusieurs mecs  successifs ou

à la fois, ne jouant qu'un rôle de voyeur-"protecteur". Je le crois facilement quand il me dit qu'il n'intervient pas : il a une grosse bite mais je ne l'ai jamais vu bander, et même avec moi, il m'a fait tirer par un type à la queue en démonte-cul : il se régalait de regarder, desssus, dessous, voir comment ça rentre et ça se fait la place... Lors de leurs séances au club, dernièrement, et à plusieurs reprises, sa femme l'a incité à se faire prendre devant-elle par l'un de ses propres partenaires occasionnels. Il m'a dit ne pas vouloir céder trop facilement alors qu'il en crève d'envie. Depuis ça a dû se réaliser...

Tout cela pour justifier la vraisemblance du récit  ci-dessous. 

claudio 

 

   

 

Je suis un homme marié qui adore se masturber et qui a un faible pour la sodomie. En plus de tout cela, j’aime beaucoup obéir, me soumettre. De tous ces défauts, j’ai réussi à trouver un équilibre dans ma vie de couple.

Marié depuis 20 ans, ma femme a peu à peu découvert mes besoins. Petit à petit, nous avons organisé nos jeux sexuels. Au début, il m’a fallu beaucoup de persuasion car ma femme – qui avait reçu une éducation hyper stricte - n’aimait pas trop mais j’ai réussi à lui faire prendre conscience de l’importance des fantasmes dans un couple. Lorsqu’elle a compris que ma soumission sexuelle aurait pour effet de stimuler mes ardeurs pour son plus grand plaisir, elle a accepté de faire un essai.

Lors de cette «première fois», elle a connu sa première vraie jouissance. Elle n’en revenait pas. Dès lors, petit à petit, elle accepta d’engager notre vie sexuelle sur le chemin des fantasmes SM.

Depuis, ma vie est réglée de manière très précise: chaque matin, quand je me lève, je place des petites pinces sur mes tétons avant de me mettre en activité. Je vais préparer son petit déjeuner que je lui apporte au lit. Il lui arrive d’un peu me tripoter mais pas trop. Je vais ensuite me laver. C’est elle qui me retire mes pinces selon son bon vouloir. Les marques faites pas les pinces sont rouges et douloureuses. Elle en teste la sensibilité avec les doigts ou les dents puis elle glisse les pinces dans la poche de ma veste. Ces pinces sont toujours avec moi car je dois les mettre à chaque repas, quelque soit l’endroit. Comme elles sont petites et discrètesm je n’ai aucun mal à les poser rapidement aux toilettes; même devant un urinoir. Ensuite, je m’habille mais je ne porte jamais de sous-vêtement.

Dès que je rentre le soir, je me déshabille entièrement et je mets un collier clouté pour faire des travaux ménagers: vaisselle, repassage, repas, nettoyage du sol ou des vitres. Pour pimenter mes tâches, ma femme m’enfile un plug lubrifié dans l’anus. J’en ai confectionné plusieurs de longueurs et diamètres différents dans des morceaux de bois que j’ai bien rendus lisses. Pour terminer, elle m’applique sur les tétons des mini-pompes afin de faire grossir mes tétons. Elle a découvert que je bandais plus rapidement quand elle travaille mes pointes dressées.

Quand j’ai terminé mes tâches, je peux enfin m’occuper d’elle. Je m’agenouille devant son fauteuil en faisant attention de ne pas la déranger dans ses activités. Je dois lui lécher le sexe. J’aime passer ma langue sur sa chatte baveuse et lui procurer une douce chaleur interne avec mon souffle. Il n’est pas rare que je bande déjà à ce moment là.

Quand elle est assez mouillée, je lui caresse la chatte avec mes doigts. Alors nous allons dans notre chambre et nous faisons l’amour. Ma femme continue d’exercer sa domination et souvent elle m’interdit d’éjaculer! Je dois lui procurer du plaisir et la faire jouir sans le faire moi-même. Depuis quinze jours, elle me fait même porter une ceinture de chasteté. Il m’a fallu un certain temps pour m’y habituer, surtout au niveau des testicules. L’objectif est de la garder un jour en permanence.

Pour mon anniversaire, ma femme a voulu pour moi un souvenir inoubliable. Elle m’a offert ma première vraie bite... au cul.

J’en rêvais depuis longtemps de ce membre chaud et dur dans mon cul. Plugs et godes ne suffisaient plus à satisfaire mon envie de sodomie. Il me fallait du vrai, du chaud, du dur...

On sonne à notre porte. Comme je suis nu dans la cuisine et que ma femme se trouve dans le living, je m’attends à ce qu’elle aille ouvrir. On sonne à nouveau.

— Et alors! crie-t-elle.

Je vais ouvrir. Je suis complètement à poil et il y a deux mecs devant moi. Je les fais entrer et déjà ils me palpent les fesses. Ma femme ne dit rien pour l’instant. Elle regarde. Les deux mecs sont dans le living et ils baissent leur pantalon.

— Allez, salope, suce nos grosses bites. Lubrifie bien car après on va te fourrer avec!

Je me mets à genoux et je les suce avec conviction. Je fais rouler leurs bourses bien pleines dans ma main et ils gémissent de plaisir. Ça m’encourage! Je n’ai pas une grande habitude de la fellation et j’ai peur de ne pas être à la hauteur.

— Oui, c’est bien... Continue... T’es une bonne pipeuse!

Le mec que je suce me caresse la tête. Je suis fier, je l'avoue, d’entendre ses commentaires sur ma façon de sucer. L’autre me réclame et ils s’asseyent côte à côte dans le grand canapé.

— T’es trop bonne, ma pute! me dit le premier qui m’éjacule dans la bouche.

Pendant qu’il reprend des forces, je m’occupe de l’autre.

— Allez, tu as assez pompé! Mets-toi à quatre pattes sur la table... comme une chienne... comme une bonne chienne qui veut attirer son mâle...

Je m’exécute sans rien dire et, en quelques minutes, me voilà en train de me faire bourrer par le cul par un mec que je ne connaissais pas il y a une heure. Le mec me laboure sans autre lubrifiant que ma salive sur sa bite encapuchonnée. C’était une consigne imposée par ma femme.

Le premier mec bande à nouveau et les voilà qui se relaient pour me baiser. Leurs queues entrent dans son cul sans difficulté. Je souffre un peu au début mais je finis par apprécier de me faire posséder par de bonnes tiges réelles. Ils me labourent sans me laisser reprendre des forces. Là aussi, c’est imposé par mon épouse qui mate en se caressant le clito. Je pousse des cris de jouissance à chaque va-et-vient.

— Sur le dos! crie presque un des mecs. Mets-toi sur le dos en relevant tes cannes. Je veux que tu me regardes lorsque je te lime.

Sans rien dire, je me suis retourné et allongé les cuisses écartées. J’ai attendu, comme ça, alors qu’ils me regardaient tous les deux en faisant des commentaires salaces à mon propos:

— Regarde cette pute, Rolf! Elle est vraiment soumise à tous les outrages.

— On ne va pas la décevoir... Si elle veut être outragée!

Pendant qu’un me baisait le cul, l’autre baisait ma bouche. Puis ils changeaient de place.

— La prochaine fois, on viendra avec des potes! dit un des mecs à ma femme.

— Ce serait parfait! répondit-elle.

— C’est une trop bonne salope... Faut en faire profiter un maximum de mecs.

J’étais très excité en écoutant leur conversation où ils évitaient de s’adresser à moi. J’étais un objet. Un objet de plaisir. J’ai subi leurs assauts plus de deux heures et lorsque les deux mecs ont commencé à gémir de plaisir, j’ai su que la séance allait se terminer. La sève montait en eux et ils ne pouvaient plus lutter contre l’arrivée du plaisir. Ils ont joui abondamment sur mon corps et se sont vite rhabillés.

Avant de partir, ma femme leur a servi un verre de bière. Elle m’avait ordonné de rester en position. Ils ont parlé un long moment tous les trois. J’étais bien entendu au centre de leurs conversations. Rendez-vous fut pris pour le dimanche suivant... et cette fois avec six mecs! 

Allez, suce -le toi aussi ! cuckold-slave: A cuckold participating in his wife’s sex life

>

 

 

Lick his balls faggot cuck

 

what-he-will-do-for-me: I love two boi’, It is my dream.

 

strap-on-queen:

 

seduced-by-her: Too big

 

herpiggy: I like this…

 

 

 

>

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 1 mai 3 01 /05 /Mai 23:52

 ce récit est sauvegardé dans la catégorie  BISEXUELS du blog  des discussions à attendre... 

  Cela se passe un pont de 1er mai ! cette histoire est écrite par un canadien on le reconnaît au langage délicieux auquel rien n'a été changé. Elle m'a intéréssé d'un bout à l'autre parce qu'elle met en scène deux adultes bisexuels qui ont arrangé leurs vies avec leurs compagnes de sorte que leurs échappées...Bref...les enfants ont grandi dans ces couples et ...  c'est bien écrit, sans me vanter bien choisi et ça vaut la peine d'être lu !

      svp  ne pas dire : les jeunes, qui ont 16 ans au moment des faits, sont mineurs : il s'agit d'un adulte qui se soiuvient 

 

Parfois, la vie nous joue de sacrés tours... Je m'appelle Erick et j'ai 16 ans. Depuis que je suis petit, je vois mon père partir trois à quatre fois par an pour aller à la pêche, à la chasse, en voyage de golf. J'ai souvent demandé à y aller mais on me répondait tout simplement que j'étais trop petit, qu'il fallait attendre d'être grand... Depuis quelques années, j'avais carrément arrêté de le demander, me doutant bien de la réponse.

Or cet été, mon père en était à organiser son voyage de pêche et en discutait avec ma mère à table lors du souper. Il avait loué un petit chalet au nord, dans les Laurentides, et il comptait profiter de la fin de semaine de la fête du travail pour y aller trois jours. Comme c'était un gros weekend sans cours à l'école, j'exprimai mon désir d'y aller aussi, que j'aimerais bien aller passer quelques jours à la pêche. Mon père et ma mère m'ont regardé attentivement et se sont longuement fixés l'un l'autre par la suite. "Je crois qu'il est grand temps que vous ayiez une conversation entre hommes, mes chéris!" nous lança ma mère. La nervosité se lisait soudainement sur le visage de mon père. Mais qu'est-ce qui se passait? J'étais surpris par autant de tension soudainement à l'idée que je puisse accompagner mon père lors d'un voyage de pêche!

Le reste du repas se déroula dans un silence total. Je regrettais tout à coup de m'être imposé pour ce voyage. Quand je regardais mon père, il baissait les yeux vers son assiette à laquelle il ne toucha plus une miette. Quand je lançais un coup d'oeil à ma mère, elle me faisait un de ces sourires rempli d'amour, qui se veut rassurant, mais qui tout à coup semblait plus inquiétant qu'autre chose. J'ai donc terminé mon repas et quand je me suis levé pour aller mettre mon couvert au lave-vaisselle, à peine ai-je eu le temps d'en refermer la porte que mon père se levait, et en prenant une grande respiration, me passa un bras sur l'épaule et me dit tout simplement: "Viens par ici mon grand..." en m'entraînant vers le patio. Je jetai un dernier coup d'oeil vers ma mère qui acquiesca en silence d'un simple petit mouvement de tête, me signifiant "Allez, vas-y!", un drôle de sourire inquiet sur le visage... Je n'étais plus inquiet, j'étais terrorisé! Que se passait-il?

Après s'être assis, mon père me regarda droit dans les yeux:

— Erick, il semble que tu sois désormais assez vieux pour ça...

— C'est pour ça que je vous ai demandé si je pouvais t'accompagner, p'pa... J'ai 16 ans, je me suis dit que ce ne serait plus dangeureux comme quand j'étais plus jeune...

— Ah, je ne parlais pas de la partie de pêche mon grand...

— Ah bon... De quoi s'agît-il alors? demandai-je, interloqué.

— Tu sais, il y a quelques petites choses dont tu n'es pas au courant, à propos de nous... ta mère et moi...

Bon ça y est! Je suis adopté et il ne veut pas passer de temps père-fils avec moi car je suis adopté! Ils ont décidé de me rejeter maintenant que je suis assez vieux! Ou non, ils divorcent! Mon père allait partir et ne reviendrait plus après la partie de pêche! Les scénarios se bousculent sans arrêt dans ma tête d'adolescent à l'esprit de cinéma Hollywoodien. Comme je ne parle pas, mon père poursuit:

— Quand j'ai rencontré ta mère, nous étions encore à l'université. Ça a tout de suite cliqué entre nous, c'était l'amour fou. Mais dès le départ, avant même de sortir ensemble, j'avais dû lui parler de quelque chose d'important pour moi, et qui risquait de briser notre relation si je gardais tout cela caché...

— P'pa, j'suis de plus en plus inquiet, si tu en venais au sujet maintenant? Tu me fous les boules!

— Tu sais Erick, ce que je veux te dire n'est vraiment pas évident... Laisse-moi au moins une chance!

— Désolé p'pa... je ne t'interromps plus...

— Je disais donc que lorsque j'ai rencontré ta mère, ce fut le coup de foudre. À l'époque, je batifolais pas mal tu sais, je ne veux pas me vanter, mais j'étais ce qu'on appelait un "pétard"... Les filles me couraient après et j'avais le choix...

Mon père fit alors une légère pause. Je ne comprenais toujours pas le sens de ses propos, pourquoi il me disait cela, mais fidèle à ma promesse, je continuais d'écouter sans l'interrompre. Quelques secondes plus tard, il se lança:

— J'avais en effet toutes les filles que je pouvais vouloir, mais aussi quelques garçons qui me plaisaient bien...

Il se tut. Les yeux hors de leur orbite, je fixais mon père, ne sachant trop quelle attitude prendre. La situation était trop grotesque, mon père me disait qu'il avait eu des aventures avec des gars... Je ne sais trop pourquoi, mais j'ai pouffé de rire! Mon père n'osait même plus me regarder, je compris alors son angoisse.

— Désolé p'pa, c'était plus fort que moi. J'sais pas si tu le sais, mais c'est loin d'être une abomination... Disons que j'ai de la difficulté à imaginer mon propre père avec un autre gars mais on n'est plus en 1950! Ça ne me fait pas freaker une miette que t'aies déjà baisé avec un gars!

Ses yeux se levèrent, me regardant sérieusement. Il prit une grande respiration et poursuivit:

— Oui mais ce n'est pas tout. Quand ta mère et moi avons commencé à sortir ensemble, je lui ai dit que j'étais bi... et que j'avais un amant...

Là, ça me sciait un peu plus comme révélation! Pas au point d'être estomaqué mais quand même, ça faisait un peu plus...

— Ta mère et moi avons donc commencé à sortir ensemble et je continuais de temps en temps à voir mon copain. Quelques années ont passé et nous avons décidé d'avoir un enfant... toi! Nous étions heureux et voulions fonder une famille mais la discussion que j'ai eue avec ta mère, c'est que je ne pouvais renier cette partie de moi, mon attirance pour les gars... Nous avons donc convenu que nous pourrions nous marier, avoir des enfants, et que lorsque j'en avais besoin, rencontrer mon copain... C'est là que mes voyages de pêche, de chasse et de golf ont commencé... Trois à quatre fois par an, je partais ainsi et c'était suffisant pour moi. Ta mère en était satisfaite et préférait cela à ce que je me cache...

Plein d'idées s'entrechoquaient alors dans ma tête... Mon père était bi, bon, rien d'atroce, mais tout à coup, je réalisais que mon oncle Guy (qui en fait n'est pas mon oncle, mais comme je l'ai toujours connu depuis que je suis petit, c'était de cette façon que je l'appelais depuis toujours!) était le partner de ces escapades avec mon père. Le copain en question, c'était un autre gars ou c'était Guy? Mon père dut percevoir toutes les questions qui se bousculaient soudainement dans mon esprit car il reprit rapidement:

— Heu, oui, j'imagine que tu as deviné que Guy est mon amant, mon "chum" à temps partiel. C'est avec lui que j'étais à l'époque de mes cours à l'université quand j'ai rencontré ta mère... Lui aussi, a pris le même "arrangement" avec Céline quand ils se sont rencontrés et c'est pour ça que toi et Gary n'êtes jamais venus avec nous... Oui on pêche, oui on chasse, oui on joue au golf, mais disons que ces weekends que nous passons ensemble sont un peu différents de ce que les hommes font habituellement dans ce genre d'escapade.

— Et Gary, il est au courant lui? Ou c'est comme moi, qu'il ne le sait... euh, savait pas?

— Je ne crois pas qu'il le sache encore... Comme tu ne me demandais plus depuis quelques années de venir avec nous, je ne pensais pas qu'un jour, je t'aurais dit toute la vérité sur nos sorties, mais bon, le destin en a fait autrement et j'espère ne pas trop te décevoir...

— Voyons p'pa... Comme je disais, on n'est plus en 1950... Ça surprend, c'est sûr, mais bon... Vite fait comme ça, tout ce que je trouve, c'est que pour des "vieux", vous êtes moins pogné que je pensais et c'est bien que vous ayiez trouvé un moyen de vivre votre vie comme il faut, sans cachettes; car même de nos jours, c'est encore un peu tabou pour certains... Regarde Pierre-Luc l'an passé, on a su à l'école qu'il s'était suicidé car il était gay! Ça m'avait fait tout drôle quand j'avais appris ça...

— Tu le connaissais bien?

— Mouais... assez... mais ce qui m'avait bouleversé, ce n'était pas qu'il soit gay mais le fait qu'il se soit tué pour ça... Me semble que de nos jours, ça ne devrait plus exister...

— Tu sais mon grand, y'a encore beaucoup de tabous malgré tout, encore aujourd'hui!

— Ouais, au moins j'ai pas grandi dans un milieu comme ça et j'en suis bien content aujourd'hui...

— C'est que ta mère et moi avons toujours voulu une éducation ouverte avec toi...

— Vu qu'on en parle, j'imagine alors que mon oncle Guy et toi, vous savez pour Gary?

— Savoir quoi?

Je venais peut-être de me mettre les pieds dans les plats, mais bon, où nous en étions rendu, je ne pouvais plus reculer...

— Ben, qu'il est gai?

— Ah! fit mon père, surpris de la nouvelle.

— Ah... vous ne saviez pas... je n'aurais pas dû parler alors...

— Oh non... ne t'en fais pas... L'an passé, Guy m'avait parlé qu'il avait surpris Gary avec le fils de son voisin... Mais tu sais, à cet âge, c'est normal de se découvrir de la sorte en garçons! Alors il n'en avait pas fait un plat et les avait laissé tranquille, question de ne pas leur donner de sentiment de culpabilité...

— Ok... je le sais car il me l'a annoncé il y a quelques mois quand il est venu ici souper avec ses parents. Ça m'avait fait tout drôle de jaser de ça avec lui, mais c'était cool... Ça me faisait tout drôle d'avoir un ami gai!

— Si tu as réagis de la sorte, tu as dû beaucoup le rassurer alors...

— Bof, on en a jasé toute la soirée... c'était tout nouveau et j'étais curieux sur bien des sujets, alors j'ai tout simplement abordé les sujets avec lui, comme si c'était normal!

— Pourtant, y'a rien d'anormal dans tout ça mon gars...

— Heu, c'est pas ce que je voulais dire... Je le sais... Mais ce que je veux dire, c'est qu'on a parlé de tout ça le plus simplement du monde, c'est tout...

— C'est bien... je me sens soulagé moi aussi de t'avoir parlé même si c'était un peu gênant de se mettre "à nu" comme ça, devant toi...

— J'imagine... mais là, ça règle pas notre problème... j'aimerais toujours aller à la partie de pêche avec vous autres...

Mon père fut pris d'un fou rire tellement communicatif que je me suis également mis à rire.

— Ha... ça fait du bien de rire un bon coup... ça fait descendre le stress... Je peux essayer de voir avec la pourvoirie pour changer le chalet...

— Ben non, laisse tout ça comme ça... je prendrai l'équipement de camping et j'installerai la tente à côté du chalet... S'il ne fait pas beau, je pourrai me réfugier à l'intérieur, c'est tout. Comme ça, vous serez moins inquiet Guy et toi... un peu comme quand maman et toi essayez de ne pas faire de bruit "pour pas réveiller le p'tit" comme ils disent!

Et je m'esclaffais de plus belle alors que mon père rougissait jusqu'à la racine des cheveux... J'en revenais pas que je venais de lancer ça à la figure de mon père, mais bon, vu le type de discussion que je venais d'avoir avec lui, je ne n'avais pas eu de sentiment de retenue sur cette réplique... Mon père finit par sourire avant d'ajouter en se levant:

— Ouan, on a beau penser que les jeunes ne voient rien, c'est nous qui nous faisons des idées en pensant "protéger" votre innocence d'enfant... C'est peut-être qu'on n'arrête jamais de voir notre petit garçon et qu'on refuse de réaliser que vous êtes des adultes un jour...


L'été s'était passé comme d'habitude... j'avais travaillé tout l'été dans une petite quincaillerie à quelques kilomètres de chez moi. J'en avais profité pour m'acheter quelques équipements de pêche pour "notre" voyage de pêche. Mon père avait annoncé à Guy que je savais pour eux et que j'allais nous accompagner en installant une tente sur le terrain du chalet. Quand Gary a su que j'y allais, il n'était pas question qu'il manque ce voyage de pêche. Tout fut alors organisé pour que nous partions à quatre. Je ne sais pas si mon père avait parlé de Gary à Guy, ou si Guy avait parlé à son fils, alors ça me mettait un peu mal à l'aise, j'avais peur de m'échapper et de dire quelque chose qu'il ne fallait pas, mais bon, je vivrais avec!


C'est avec excitation que nous partîmes tous les quatre ensemble. Ma mère vint nous embrasser et je glissais à son oreille de ne pas s'en faire. Elle me sourit et m'ordonna de bien m'amuser... L'atmosphère était fébrile dans le 4x4 alors que nous roulions pour nous rendre au chalet. Gary était soudainement très extraverti en me parlant d'un nouveau gars à l'école qu'il avait rencontré la semaine passée, lors de la rentrée scolaire. J'en ai alors déduis que tout avait été dit et j'en fus rassuré. Mon père me fit d'ailleurs un petit sourire par le rétroviseur. Il devait se douter de la situation délicate dans laquelle je croyais m'être mis...

Quand nous sommes arrivés sur les lieux, c'était le paradis sur terre... Un petit chalet en bois rond, à quelques mètres d'un grand lac, le soleil était radieux. Il y avait de l'espace de défriché autour du chalet mais pas de pelouse et tout était resté le plus "sauvage" possible. Enfin, un endroit qui respectait l'environnement! À la ronde, rien... Le plus proche chalet voisin était à plus de 500 mètres et l'endroit était très boisé, alors nous avions toute la tranquillité voulue.

À quatre, on eut tôt fait de sortir tous les bagages et l'équipement. Mon père et Guy sont alors rentrés pour s'occuper des vivres pendant que Gary et moi allions nous occuper de nos tentes. Quand j'ai vu Gary sortir une tente de son équipement, j'ai été surpris.

— Heille, qu'est-ce que tu fais là? lui demandai-je.

— Ben c'est ma tente... J'veux pas les déranger moi non plus pendant leur fin de semaine... C'est weird pareil, hein? De penser que nos pères baisent ensemble...

Gary ricana en sourdine en continuant de déballer la toile de sa tente.

— Ben non, c'est pas ça... Mais oui, ça fait tout drôle de penser ça, t'as raison... Je parlais plutôt de la tente... Mon père et moi avons apporté la grande tente à quatre... C'est inutile d'en monter une deuxième!

— C'est comme tu veux... Mon père et moi, on s'était dit que tu te sentirais plus à l'aise si nous avions deux tentes séparées...

— Est-ce que je t'ai déjà laissé croire quoi que ce soit à l'effet que je puisse être mal à l'aise face à toi?

— Heu... non... mais...

— Y'a pas de mais! Range tout ça... Comment on va faire pour jaser d'une tente à l'autre? On n'en monte qu'une seule!

Gary repliait déjà sa tente et commençait à m'aider à monter la nôtre. Nos père sont sortis quelques instants plus tard et Guy s'approcha pour déballer la tente à son tour. Gary l'arrêta sur le champs, l'informant que nous n'en aurions pas besoin. Il semblait un peu surpris et mon père lui fit un sourire rassurant en me lançant à la blague:

— Pauvre toi, Erick... Pris dans les bois avec nous trois! Tu n'as pas peur d'être effarouché?

— Ben oui! m'exclamai-je alors. Je me sens tellement en danger avec vous autres!

Et sur ces mots, j'arrachais mon t-shirt pendant que du bout des pieds, me me déchaussais. En moins de deux, mes bas rejoignaient mes baskets, mon jeans tombait par terre et mon boxer prenait le bord. J'avais bien l'intention de leur montrer à ces trois "tapettes" que le petit ado hétéro que j'étais, était tout sauf mal à l'aise avec eux. C'est la bite et les fesses à l'air que je m'écriai donc:

— Le dernier à l'eau est une poule mouillée!!!

Et j'ai sauté à l'eau. Gary, crampé de rire, fut complètement à poil en moins de deux et sautait dans le lac lui aussi, nageant à toute vitesse pour me rattraper... Pendant que nous chahutions dans l'eau comme des gamins, nos pères se regardaient, indécis de la suite des événements.

— Hey Gary, regarde ça... Ton père et mon père sont trop moumounes pour venir se baigner à poil avec nous!

— Voyons Erick, sois gentil avec eux... ils sont tout simplement complexés car ils n'ont pas une bite aussi grosse que nous!

Et sur ces mots, il se rapproche du rivage, jusqu'à ce qu'il ait de l'eau à mi-cuisses et s'exhibe nonchallement devant mon père et le sien.

— Hey les vieux, j'suis sûr que vous n'en avez pas des grosses comme la mienne! lança-t-il, empoignant sa verge pour la mettre bien en évidence.

J'avoue que là, c'est moi qui avait tout à coup un léger complexe mais le fou-rire s'installa entre nous quatre, je rejoignais donc Gary et en m'installant à côté de lui, je fis la même chose que lui en lançant sous la défaite:

— Ouais, j'dirai pas la même chose que lui, j'avoue que je suis battu d'avance avec Gary mais je peux encore vous battre, vous!

Nos pères semblaient abasourdis par nos inhibitions soudaines mais tout riants, se dévêtir pour nous rejoindre à l'eau. En fin de compte, je ne battais aucun des trois, je dus me résigner, mais dans la rigolade, nous avons commencé à nager et à se lancer de l'eau comme quatre gamins. Ce n'est que 15–20 minutes plus tard que nous sommes sortis pour nous sécher. Je ne remis que mon boxer et mon t-shirt en allant chercher de la nourriture à l'intérieur, question de commencer à faire le souper sur le poêle de camping au gaz... Quand je revins avec les conserves, mon père et Guy s'étaient déjà rhabillés alors que Gary me posait la question:

— Ça t'énerve que je reste un peu à poil? J'ai jamais fait ça dans la nature et ça me plaît pas mal... j'aimerais profiter des quelques heures qui restent avant que la fraîche ne tombe...

— On est entre hommes, tu peux bien faire ce que bon te semble Gary! lui ai-je répondu en commençant à faire le souper.

À quatre, on s'est affairé à faire le repas. Quand on a eu bien mangé, mon père et Guy se sont pris une bière fraîche alors que Gary et moi, on s'est contenté d'un Coke, même si nos pères nous avaient offert une bière également. Disons que je n'avais pas encore développé ce goût!

C'est autour d'un feu de camp que nous avons terminé notre soirée, en discutant de nos rentrées scolaires respectives, mon père et Guy discutant de boulot et de fermeture de piscine pour l'hiver. La nuit est graduellement tombée et c'est vers 20h30 que nous avons vu, Gary et moi, nos pères s'éclipser vers le chalet, tentant vainement de ne pas attirer notre attention. Gary me fit un sourire coquin et je le lui rendis en continuant de parler, préférant leur laisser croire qu'on ne s'apercevait de rien...

Gary se leva pour prendre une grosse couette et revint s'installer près du feu. La fraîcheur de la nuit s'était installée rapidement et bien que les flammes nous réchauffaient, les frissons le prenaient de plus en plus fréquemment. J'étais en train de griller une guimauve quand Gary me demanda le plus sérieusement du monde:

— Qu'est-ce que tu penses qu'ils sont en train de faire?

J'eus un sourire spontanné:

— Ce qu'un couple fait quand ils n'ont pas les enfants dans les pattes j'imagine!

— Ouais, j'imagine aussi... Puis, après une petite pause: Penses-tu qu'ils se frenchent?

— Va savoir! J'imagine que oui. Ils doivent beaucoup s'aimer après toutes ces années ensemble.

— Ouais mais ils ont nos mères aussi...

— Ça doit être pour ça qu'ils ont tout mis au clair dès le départ... J'imagine qu'ils s'embrassent, comme ils embrassent nos mères...

— Ouais, ça doit, fit Gary, perplexe. Ça fait quand même bizarre de savoir que mon père et ton père baisent ensemble...

— Ben là, j'aurais cru que tu aurais été le dernier à trouver ça bizarre...

— Pourquoi? Parce que je suis gai? C'est pas parce que je tripe sur les gars que ça ne me fait pas drôle l'idée que nos pères... ben tu sais...

Je souris tout simplement... Je n'avais rien à répondre...

Je terminais de griller une guimauve et la présentai, toujours gluante, au bout de la branche, devant le visage de Gary qui fit la moue.

— Ah dégueu, j'ai jamais compris le trip des guimauves sur le feu...

— Bah, goûte!

— Ouach, non merci, pas pour moi...

— Ah bon... moi qui croyais que ce qui était blanc, gluant et chaud, tu aimais!

— M'as t'en faire moi!

Et sur ce, il se jeta sur moi, m'emprisonnant de son poids, à califourchon sur mon torse. M'ayant pris par surprise, il avait réussi à me subtiliser la branche et s'étant emparé de la guimauve qui avait quelque peu refroidi, me l'écrasa au visage, me barbouillant la face au complet. On riait comme des malades jusqu'à ce qu'il se relève de mon torse pour s'emmitoufler sous la couette à nouveau. Je n'étais pas dupe, j'avais bien eu le temps de remarquer son érection quand il s'était relevé.

— Tiens, voilà! On va voir si toi tu aimes le blanc, gluant et chaud!

— J'ai la face ben pleine! T'es dégueulasse... T'aurais pas dû me jouir dessus! ajoutai-je en riant.

— Niaise donc pas! se frustra Gary.

Je glissai mon doigt dans la friandise fondue sur mon visage, et fixant Gary dans les yeux, je léchais mon doigt en faisant un "Hmmmmmmmmm!" provocateur.

— Tu sais quoi, Erick? Tu fais chier!

— Hahaha, voyons donc, fais pas le petit garçon prude!

— J'suis pas prude! lança-t-il, vexé. C'est juste que j'aime pas me faire niaiser...

— Voyons! Vas pas te faire des idées, C'est tout gentil comme blague, du moins, c'était mon intention.

Sur ces mots, je me suis levé et m'assoyant près de lui, tirai sur la couette pour pouvoir m'en recouvrir aussi.

— Hey! Tu fais quoi là?

— Ben j'ai froid moi aussi... J'veux me réchauffer...

— Trouve toi en une alors! J'suis à poil sous celle là!

— J'm'en fous bien moi, il fait frais, je veux me réchauffer, c'est tout!

Je me relevai, me dévêtis, et je me rassis en tirant sur la couette à nouveau. Gary la retenait toujours...

— Dis moi pas que tu vas me laisser mourir de froid! Laisse m'en un peu.

— Pousse quand même pas, Erick! J'te laisserai pas venir sous la couette à poil, avec moi! T'es inconséquent ou quoi?

— Tu penses que je t'ai pas vu, complètement bandé, tantôt, quand t'étais sur moi en train de me faire un cumshot de guimauve fondue dans la face?

— Ben justement, si je te laisse me rejoindre sous la couette, j'aurai encore le même problème!

— Qui dit que c'est un problème? C'est naturel de bander... On est des gars de 16 ans!

— Oui mais faudrait pas que tu croies que de t'avoir là, avec moi, à poil, sous la couette, ça me laisserait insensible...

— Est-ce que je t'ai déjà dit de ne pas bander? J'm'en fous pas mal moi... c'est pas ça qui me barre du tout... Faudra que tu comprennes que je ne me sens aucunement dérangé par le fait que tu aimes les gars...

— Ouais, mais toi faudra que tu comprennes que ta manière d'agir peut être très brusque... Y'a un fossé entre un esprit "complètement ouvert" et agir de façon "complètement agace"!

J'avais peur de l'avoir blessé, suite à ses paroles. Je tirai néanmoins sur la couette et il abandonna, me laissant le rejoindre à l'abri de la brise fraîche de cette fin d'été. Je lui fis un petit baiser sur la joue, et d'un air piteux, le regardai:

— Est-ce que je suis pardonné?

— Tu vois! Encore!

— Encore quoi???

— Ben ce bec! Pourquoi t'as fait ça?

— Je te l'ai dit, pour me faire pardonner...

— Ben justement, arrête d'envoyer des messages ambigus... Tu dis être "ouvert" c'est beau, mais tu agis comme si tu me draguais. C'est agaçant à la longue.

— Désolé, ce n'était vraiment pas mon intention. Peut-être en ai-je trop fait. Je ne voudrais tellement pas que quoi que ce soit change entre nous... tu es trop important... t'es plus qu'un ami pour moi, t'es presque un frère...

Un long silence suivit...

— Hey! m'exclamai-je... Tu es mon frère!

— Hein, comment ça?

— Ton père et mon père sont un couple! Alors t'es mon frère!

Gary sourit enfin. J'étais rassuré.

— Sais-tu quoi Erick, t'es juste un twit!

Je pouffai de rire, le poussant à la renverse, ébourrifant ses cheveux en me chamaillant avec lui par terre, tantôt enchevêtré dans la couette, tantôt enchevêtré dans ses jambes.

— Arrête, tu vas me faire bander encore! cria Gary.

— Trop tard! m'écriai-je, me laissant tomber à ses côtés.

— Bon, bon, bon... bouda-t-il.

— Fais-toi en pas, si tu veux savoir un secret, moi aussi je suis bandé...

— Toi, bandé! T'es pas hétéro toi?

— Oui... mais j'ai quand même 16 ans... et je bande tout le temps!

— T'imagines alors pourquoi je peut être mal à l'aise alors?

— Pas du tout... Je ne suis pas gêné d'être là à côté de toi, bandé... Pourquoi toi tu le serais?

— Ça paraît que c'est pas toi qui aurait envie de... et Gary se tut soudainement, aussi rapidement qu'il avait répondu.

À nouveau, un long silence survint, ne laissant que le bruit des crépitements du feu briser ce silence.

— C'est comment? demandai-je, la voix tremblante.

— Comment c'est, quoi? demanda Gary.

— Ben voyons... le sexe! dis-je, frôlant tout juste d'être vexé.

— Ben j'imagine que c'est comme toi avec les filles... c'est top!

— Je ne sais pas justement... Je suis vierge. À part les branlettes, j'ai rien fait encore... sauf embrasser Nancy, une fille de mon école...

— Ahhh je vois... Ben disons que c'est comme se crosser, mais en 100 fois plus intense...

— À ce point là?

— Ben c'est pas que la sensation est différente en tant que tel, sauf que le fait de s'abandonner complètement devant l'autre, de partager un moment intense, en ne pensant à rien d'autre que le plaisir, le plaisir que l'on donne à l'autre et le plaisir que l'autre nous donne... C'est un peu comme quand on se crosse, on ne pense à rien d'autre que se faire du bien, sauf que là, c'est avec une autre personne et ce bien là est d'autant plus grand qu'on se le partage... tu comprends?

— J'imagine... J'imagine que c'est pour ça que nos deux pères sont si près l'un de l'autre.

— Ça doit être ça, ouais...

Suite à cette description, j'étais tout confus. J'essayais de comprendre la différence entre l'attirance des gens envers eux, de leur orientation, des sentiments, des étiquettes... Pourquoi tout est toujours aussi blanc ou noir? Quoique justement, mon père et Guy semblaient s'être trouvés un "gris" leur convenant parfaitement. Je restais néanmoins songeur à ce que Gary venait de me décrire...

— Gary?

— Oui Erick?

— Y'a quelque chose que je ne comprends toujours pas par exemple...

— Quoi donc?

— Pourquoi, même si je ne suis pas attiré vers les garçons, comme toi, que ce que tu m'as décris comme un partage de plaisirs entre deux personnes, j'ai la drôle de sensation, d'envie même, de vouloir le partager avec toi?

— Je ne sais pas comment c'est pour les hétéros... Moi aussi, j'adorerais te découvrir, mais je suis gai... c'est normal...

— Je suis tout mélangé... Pour moi, faire l'amour, c'est avec une fille... Je ne me vois vraiment pas faire l'amour ou baiser avec un gars... Pourtant, j'ai l'impression que j'aimerais ça, qu'on partage notre plaisir ensemble...

— Je ne sais pas quoi te répondre Erick... tu me mêles encore plus!

Quelques secondes plus tard, il ajoute:

— Pis là, t'es en train de me donner une trique d'enfer!

Je ne répondis pas. Plutôt, je me suis tout simplement collé contre son corps, ma queue bandée au max contre sa cuisse. Ma respiration s'était tout à coup accélérée; celle de Gary aussi. Je déposai ma main sur son torse, je sentais sa cage thoracique monter et descendre à une vitesse folle. J'avais le bout des doigts électrisés par le contact de sa peau. Elle était si douce. Je pouvais sentir de petits frissons lui parcourir le corps et je me mis à déplacer mes doigts sur sa peau, comme si j'étais en train d'essayer de déchiffre un message en braille dans la chair de poule qui le recouvrait.

Mû je ne sais trop par quelle énergie, ma main descendit doucement, frôlant les abdos au passage et arrivant à la limite des poils de son pubis. Ma tête se demandait ce que j'étais en train de faire, c'était impensable, mais mon être tout entier prenait soudainement plaisir à sentir cet autre être qui voguait sur la même vague de plaisir que moi... Mes doigts s'aventurèrent doucemenent dans la touffe de poils drus.

— Er... Erickkk...

J'imagine que j'ai dis "Quoi?", c'est du moins l'impression d'écho que j'avais dans la tête à ce moment là...

— On... on... dev... rait... peut... être... arr... arrê... ter!!! finit-il par souffler.

Comme ailleurs, parti en transe, je répondais d'un calme absolu:

— Je veux savoir... je veux sentir...

— Es-tu certain de ne pas regretter après?

— Regretter quoi? C'est débile l'effet que ça me fait en ce moment...

— Ben... faire ça avec un gars... tu pourrais le regretter et me regarder croche après... Si c'était pour changer notre amitié, je m'en voudrais pour le reste de mes jours...

— Je fais pas "ça" avec un gars comme tu dis... je ne pourrai jamais regretter de partager de moment avec toi... À moins que tu ne veuilles pas, ferme-là, tu veux?

Et il s'est tut! Ma main reprit sa course à travers ses poils et du bout de mon index, je touchais finalement sa queue dure et chaude qui pulsa à mon contact. mes phalanges s'enroulèrent autour de la hampe chaude et palpitante. C'était tout bizarre, l'effet de tenir un sexe autre que le mien dans ma main. Le souffle court de mon copain ne faisait que renforcer mon état de transe. Je bougeais ma main, faisant coulisser tout doucement la peau le long de la tige durcie par l'excitation. Gary se retourna soudainement sur le côté, me faisant désormais face et nos jeunes queues raides se frottaient l'une contre l'autre. Je sentais le corps chaud de Gary contre le mien, j'en voyais des étoiles partout.

Gary m'embrassa dans le cou en glissant ses mains le long de mon dos jusqu'à mes fesses. J'étais hors de moi, je n'étais plus moi-même. Je saisis sa tête à deux mains et mes lèvres se plaquèrent sur les siennes. Cela eut l'effet de le figer sur place. Ma langue se lança à la découverte de sa bouche, forçant l'entrée jusqu'à sa langue qui s'enroula aussitôt autour de la mienne. Plus rien n'existait autour de nous, que la passion brûlante de nos deux corps enlacés. Tout le long du baiser, nos corps s'étaient animés l'un contre l'autre, nos sexes coulissants entre nos ventres, et tout a coup, mon dos s'arqua et une multitudes d'éclair me parcourut l'échine alors que ma queue, prise d'un hoquet incessant, déversait mon sperme chaud entre nous deux.

Je revins à moi à cet instant, et fixant mon regard dans les yeux exorbités de Gary quelques instants, je le repoussais sur le dos et me jetai avidement sur son corps, le couvrant de baisers, happant au passage quelques giclées de mon propre sperme avant d'enfourner son sexe long et fin dans ma bouche. Mes lèvres coulissaient de haut en bas et Gary se crispa, me prenant la tête à deux mains, comme pour me repousser. Je combattis son mouvement et sentis sa bite se déverser dans ma bouche. Quelle sensation superbe c'était, non pas celle de jouir, celle de faire jouir! J'étais perdu dans ce dédale de sensations charnelles.

La suite, je ne sais plus trop. Je sais cependant qu'au matin, mon père et Guy nous retrouvèrent nus, enlacés l'un contre l'autre, notre nudité à peine cachée par la couette. Rien ne s'était dit à ce sujet d'ailleurs, nos parents n'ayant pas osé aborder le sujet avec nous. Le second soir, une fois dans la tente, j'avais discuté avec Gary de l'énorme plaisir que j'avais eu avec lui et que j'espérais que c'était réciproque. Ce "partage" nous avait soudé à jamais, notre amitié était scellée de notre sperme et de notre salive pour l'éternité, et ce, même si nous ne devions plus jamais partager de la sorte... 

 

    La discussion : 1. imaginons une suite...

2. et si les bisex prenaient ces précautions

3.les nouveaux couples aujourd'hui...

claudemodou@gmail.com  

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • tumblr m3obhsddHn1qd35tno1 500
  • CHATPOISSON DSL
  • 07B
  • STURB 09
  • tumblr mekgn7CHEo1rgjy9to1 500
  • FABIEN 09

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés