DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Samedi 13 juillet 6 13 /07 /Juil 16:51

à relire et la suite aussi dans BISEXUELS (23)

 

 

 

 

QUI SUIS-JE ,

QUE SUIS-JE ? 1/2

 

Tout s'est enchaîné après la semaine entre Noël et le nouvel an.

Jouant au rugby pour le plaisir, je profitai, étant en vacances pour m'attarder au pub après l'entraînement du mardi. Beaucoup travaillant le lendemain nous étions une poignée à peine. Parmi nous, Jacques,  un gars arrivé au club en début de saison et que je connaissais bien peu. Comme nous ne sommes pas des sauvages, nous avons entamé la discussion.

Bien vite nous ne sommes restés que tous les deux à palabrer et boire des bières. Nous parlions de tout et de rien : passions, boulot, rugby et quand j'en suis venu à lui dire que je vivais avec une fille, il m'avoua simplement que lui était homo et qu'il vivait avec son ami.

S'il est d'usage de dire qu'on est hétéro, il est moins répandu de dire spontanément qu'on est homo. Ce garçon devait pour moi mériter une attention particulière du fait qu'il mobilisait toutes mes "antennes" !  

Pouvait-il alors sentir le trouble qui s'installa en moi? Je ne me sentais pas du tout à l'aise, je tentais de faire comme si de rien n'était, de continuer comme si savior cela  ne changeait rien. Et pourtant c'é&tait tout le contraire ! Comme si j' avais été jaloux. Cet homme faisait remonter à la surface de mon esprit les désirs inconscients de mon intérêt pour les sportifs de la télé et internet  aux vestiaires et aux douches. Jacques, mon voisin de pub se doutait-il de quelque chose? Je finis rapidement ma bière et pris congé  pour rentrer chez moi, un peu déboussolé, beaucoup même. Ma copine dormait. C'était bien ainsi pensai-je et j'eus bien du mal à trouver le sommeil...

 

Le réveillon du nouvel an, quelques jours après, eut des saveurs extraordinaires, aussi nous avions choisi ma copine et moi, accompagnés de quelques copains et copines, une soirée qui promettait d'être à la hauteur de l'événement. Le thème de la soirée était le mélange des genres, des cultures et des races. C'est ainsi que nous nous rendions à une fête costumée avec menu des îles et musique afro-cubaine. Il n'y avait pas de thème particulier pour les déguisements, aussi nous nous retrouvions entourés de sorciers vaudou, de gendarmes, de soldats ou encore de reines et rois. Des amis s'étaient déguisés en animaux, ma copine en Charlie Chaplin...

Moi j'avais choisis d'être une infirmière. Perruque, et maquillage, faux seins en plastique dissimulés sous une fine blouse blanche et portés sans soutien-gorge. Alors bien sûr pour aller au bout des choses, dans le souci du moindre détail, pour faire plus femme, plus garce et surtout pour faire le mariole devant les amis, je portais un string en dentelle, son porte-jarretelles assorti et des bas très sexe et très noirs pour cacher la pilosité de mes jambes, le tout orné d'une paire d'escarpins à talon. J'étais paraît-il, selon ma copine et mes amis, attifé comme une véritable petite salope à la recherche du mâle; j'avais plus de la prostituée que de l'infirmière. Cela m'amusait beaucoup de me trémousser devant eux en remuant du popotin et en singeant les gestes caricaturaux d'une chaudasse bien déterminée à se faire mettre !

En arrivant à la soirée, je me suis senti un peu moins à mon aise : je venais de reconnaître celui qui se cachait sous le déguisement de gladiateur. Depuis peu, je le savais gay et j'imaginais que le "philosophe grec" qui l'accompagnait était son amant. La présence de cette connaissance homosexuelle me perturbait un peu et je décidais de faire comme si de rien n'était. Heureusement avec les apéritifs alcoolisés, je me détendis un peu.

La soirée continuait son cours et quand l'heure cruciale est arrivée. Il a fallu faire la bise et souhaiter la nouvelle année à tous. Quand mon ami gay s'est approché pour me présenter ses voeux, tout s'est passé normalement et sans ambiguïté. Mais quand il m'a présenté son compagnon, ça a été bien différent. celui-ci me salua d'un sourire espiègle, m'enlaça vigoureusement pour me souhaiter tous ses voeux et, approchant sa bouche de mon oreille, il lâcha un direct  : "... Je me taperais bien une infirmière ce soir..."  Je ne savais plus quoi faire, plus quoi dire car je savais qu' il ne plaisantait pas. Je me sentais si gêné qu'inconsidérément je me précipitai aux toilettes, je me sentais rougir.  

Devant le lavabo, je basculai la tête en avant afin de me passer de l'eau sur le visage. Ensuite je n'ai rien compris... Quelques secondes après, j'ai pu sentir deux mains me peloter les fesses fermement au travers de ma blouse. Je ne bronchais pas, j'étais tétanisé. Puis je me suis redressé et dans le miroir, j'ai vu le visage radieux du philosophe grec. Je me suis cramponné au lavabo et, incapable de réagir, j'ai subi la loi de mon assaillant.

Il a commencé à remonter ma blouse sur les reins puis, d'un doigt recouvert de salive, il s'est mis à me titiller l'anus pendant quelques instants. Je ne pouvais crier, pas plus que je ne trouvais le courage de m'échapper. Ensuite, écartant sa toge, il est venu placer sa queue bien bandée contre ma raie des fesses et commença à se masturber par de lents mouvements entre mes deux lobes. Je sentais quelque chose monter en moi mais sur le moment, je n'aurais su dire ce que je ressentais. Enfin, écartant la ficelle de mon string, il présenta son gland à l'entrée de mon orifice et commença à pousser son gland et me pénétrer. Sans plus de précaution il s'enfonça en moi entièrement et se mit à me pistonner. Je ressentais bien sûr une douleur intense, comme un déchirement, mon anus me brûlait.

C'est à ce moment, je crois, que j'ai compris que je ressentais de l'excitation. Étais-je excité par l'idée de me faire baiser par un homme ou bien par la peur que quelqu'un entre dans les toilettes et me surprenne dans une telle position, je n'en sais rien. Toujours est-il que mon amant du moment était lui aussi très excité et il ne tarda pas à se retirer de mon cul pour jouir par de longs jets sur mes fesses. Le contact et l'odeur de son sperme sur ma peau m'électrisa et je ressentis quelques chose  que je n' identifiai que bien après comme du plaisir. Le philosophe rangea son membre derrière sa toge et disparut sans un mot, moi je m'enfermai dans un WC le coeur battant à tout rompre, heureux de n'avoir pas été surpris et surtout, pressé de m'essuyer les fesses et de faire disparaître les traces de cette aventure sexuelle.

Le reste de la soirée se passa à merveille. J'évitais soigneusement les deux homosexuels et eux faisaient de même. Au petit matin nous rentrions, ma copine et moi, nous coucher mais bien que des tonnes de questions occupassent mon cerveau et que mon anus fût toujours douloureux, je fus rassuré de sentir que ma copine me faisait tout l'effet désirable et je la contentai très honorablement comme il se doit un premier janvier... Étais-je gay ou hétéro? Ou les deux à la fois? Avais-je pris du plaisir, parce que j'en avais pris à me faire baiser comme une pute par une queue inconnue? Parce que c'était dans des conditions spéciales? Ou parce que tout simplement je trouvais ça bon de me faire sodomiser?  Et puis, qu'allait-il se passer ensuite? Devais-je revoir mes amis homos? Aurais-je droit à de nouvelles aventures ? Est-ce que seulement j'en avais la volonté, l'envie profonde?

 

En fait, j'avais peur  et, après l'amour, le sommeil fut long à venir. Peur non pas d'être devenu homo, mais peur que cette aventure ne se sache,  que ces hommes ne la claironnent ici et là. Pourtant  j'allais au moins revoir l'un d'eux, au rugby. Je ne me sentais pas bien parce que je ne savais pas ce qui allait se passer, ce qu'allait être mon avenir proche.

Comme je reprenais le boulot le mardi matin et que mon amie était toujours en vacances, elle décida de partir quelques jours chez sa mère, ne prévoyant que de rentrer le samedi suivant dans l'après-midi. Je me retrouvais donc seul dès le mardi soir et pour plusieurs raisons, je décidai de ne pas me rendre à l'entraînement ce soir-là.

Tout se passa normalement jusqu'au vendredi, jour de rugby. Je ne pouvais manquer à l'appel une fois de plus, je pris mon courage à deux mains et allai au stade. Quand je suis arrivé, mon camarade homo n'était pas encore là. Je commençais à me mettre en tenue quand il arriva à son tour, salua les gens présents et vint me saluer. J'avais du mal à le regarder en face, il était forcément au courant de tout. J'étais une fois de plus mal à l'aise en sa présence. Discrètement il me glissa un mot de billet que je dissimulai vite fait dans une poche de mon pantalon. Je craignais que quelqu'un n'ait vu ce petit manège mais apparemment, il n'en était rien. Tout l'entraînement je fus perturbé par ce mot. Que pouvait-il y avoir d'inscrit?

suite dans un tout prochain article ... QUI SUIS-JE ,

QUE SUIS-JE ? 2/2

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 11 juillet 4 11 /07 /Juil 12:20

 à relire dans BISEXUELS un coeur plus grand ?  (22)   

Introspection  Auto- analyse

Bisexuel et fier de l'être

 "Certains prétendent même que nous n’existons pas… que nous sommes des gays refoulés…"

 

À 19 ans, on se cherche, on se construit, on essaie de se rassurer et parfois on maquille les choses pour les rendre plus acceptables, à soi-même ...et aux autres…

           

 

 

 Gil était le meilleur pote de mon frère. Un soir, il était venu à la maison et mon frère n’était pas là. J’ai proposé à Gil de l’attendre en jouant à une partie de poker.

— On joue pour du fric? ai-je demandé.

— Je suis complètement fauché… On peut se la jouer «strip poker»… On va se marrer!

— D’acc’!

J’ai perdu presque toutes les parties et lorsque j’ai perdu mon slip, je lui ai dit:

— Ben là, je suis foutu! Je n’ai plus rien à perdre!

Gil avait un large sourire de mâle victorieux.

— On peut toujours trouver! Ça t’embêterait si je te faisais une pipe?

On avait picolé quelques canettes de bière et, un peu grisé, j’ai dit que ça ne me dérangeait pas. J’ai trouvé qu’il pompait super bien.

— Aucune fille ne m’a pompé aussi bien, mec!

— Les filles sont nulles pour faire des pipes. Juste bonnes à se faire troncher… et pour ça, les mecs sont aussi bien meilleurs…

— Tu rigoles?

— Non! Mais, je suis là à te pomper… Puisque c’est toi qui es le perdant, c’est plutôt à toi de faire ça!

— C’est exact!

Je me suis mis à genoux entre ses cuisses et je lui ai fait une pipe. Il m’a donné de bons conseils pour la faire le mieux possible. Il était expert sur le sujet. J’ai adoré et je n’ai pas considéré qu’on faisait des trucs de pédés. C’était juste une expérience! En plus, Gil m’a expliqué que c’était normal d’être aussi excité par des mecs…

— On a tous en soi une part d’homo! Tout le monde est bisexuel… Moi, je suis fier de l’être! Tu dois l’être aussi…

Après cette expérience, je me suis senti un peu bizarre et, je l’avoue, j’ai flippé un bon moment. Il fallait que j’accepte l'éventualité d'être bisexuel! Tout ça me perturbait terriblement et j’étais mal à l’aise lorsque je voyais un type à moitié nu… à la piscine par exemple. J’étais également mal à l’aise avec mes copines car j’avais l’impression que les filles ne suffisaient plus à m’exciter, voire ne m'intéressaient pas.

— Putain Gil, je suis complètement à l’ouest!

— À quel point de vue?

— Sexuel, mec ! Depuis l’autre jour… Tu m’as tout à fait secoué…

— C’est bien ! C’est qu’il te fallait ça…

— Mais maintenant, je lorgne plus les paquets bien gonflés des garçons que les poitrines des filles!

— Tu ne dois pas te mettre dans cet état! Tout ceci fait partie de ta découverte de la vie… Il te va falloir apprendre à gérer tout ça sans te rendre malade!

— C’est vite dit…tu en parles bien, toi !

Ma copine – à laquelle je m’accrochais, histoire de me prouver que j’étais un vrai mec ! - avait obtenu des places pour aller voir une comédie musicale et je l’ai accompagnée. Là, ce fut un deuxième vrai choc… Voir tous ces beaux mecs en collants moulants virevolter partout sur scène m’a rendu dingue. Ils étaient tous terriblement beaux et sexy. Leur musculature m’impressionnait et leur charme me troublait. J’ai passé le plus clair de la soirée à réprimer une douloureuse érection. Je savais que la plupart de ces beaux mecs étaient gays et particulièrement extravertis. Le fantasme était complet !

C’est à cette époque que mon esprit de découverte s’est ouvert un peu plus. Il n’y a pas que cette partie de moi qui s’est ouverte.

 

J’ai voulu assumer ma bisexualité. Le même jour, je pouvais sauter ma copine à l’arrière de ma voiture et me faire enculer par un mec dans des toilettes publiques.

 

J’ai beaucoup fréquenté les toilettes sur des aires d’autoroutes. La nuit surtout! C’est là que j'ai rencontré mes premiers vrais amants: des hétéros comme moi en mal de sexe, des routiers aux couilles bien pleines prêts à tout pour les vider… C’est là aussi que j’ai fait des rencontres intéressantes comme ce prof que j’avais eu deux ans plus tôt et que je trouvais si cool. Il m’avoua qu’il m’avait toujours désiré sans l'exprimer. On se rattrapait !  

— J’en avais trop envie! Je lorgnais ton petit cul en m’imaginant en train de le bouffer. Tu aimes ça te faire bouffer la raie?

— On ne m’a jamais fait ça… C’est… dégoûtant, non?

— Détrompe-toi… C’est très jouissif !

— J’essaierai peut-être un jour… si ça se présente…

— Je me demandais aussi si tu étais bien membré.

Là, il avait touché la corde sensible.

— Ouvrez le paquet et voyez!

Il m’a regardé d’un air satisfait puis a ouvert mon pantalon pour palper ma queue à travers mon slip bien gonflé.

— Et alors?

— C’est très encourageant, dit-il en feignant de rester cool …

Il me colla contre la paroi et s’agenouilla devant moi pour pomper mon engin encore un peu mou et lui donner la taille espérée.

— Vous êtes doué pour mettre les mecs en forme!

— Étonnant! Tu as un sexe majestueux! Mais, je t’en prie, tutoie-moi!

Comme la plupart des mecs, je tirais une certaine fierté de la taille de mon engin et lorsqu’on m’en parlait en des termes aussi’élogieux, je prenais un pied d’enfer.

     Oubliant que j'étais pleinement majeur, il dit encore :  Tu as la plus grosse bite qu’il m’ait été donné de voir sur un garçon de ton âge…

— Vrai?  

J’avais toujours espéré me trouver au-dessus de la moyenne mais je n’avais jamais su si tel était le cas. À première vue, ça l’était. Mon ex-prof était dingue de mon organe. Il le bichonna avec sa bouche et ses doigts.

— Tu aimes quoi dans le sexe?

— Je me fais surtout sucer.

— Tu es actif? me demanda-t-il.

— Oui.

— Tu es «bi», n’est-ce pas?

— Oui.

— Du moins, c’est ce que tu crois !

— Non, j’en suis certain! C’est ma fierté! J’enfile des chattes et j’aime ça. J’ai une copine et je la baise souvent.

— Mais tu enfiles aussi des culs de mecs!

— Oui.

— Le cul d’un mec est plus serré, non?

— C’est… différent ! Ce n’est pas parce qu’il m’arrive de baiser un cul de mec que je suis forcément pédé.

— Ça te gênerait de l’être?

— Pédé?

— Oui.

— J’ai pas de souci à me faire de ce côté.

En disant ça, je savais parfaitement que, justement, j’en avais à me faire. Le souvenir du copain de mon frère, de ce spectacle avec les danseurs et mes visites dans les toilettes me hantait. J’étais persuadé que mon côté «gay» gagnait du terrain. Et voilà que ce type mettait le doigt sur ce point particulièrement sensible… J’ai évité de revoir cet ex-prof qui me minait un peu le moral.

 

 

J’ai fréquenté un sauna où il y avait de nombreux clients de couleur. L’étape suivante de mon évolution a été mon attirance pour les blacks. J’étais très attiré par leurs longues bites veineuses et leurs culs rebondis. Parmi eux, il y en avait un qui adorait se faire bourrer. Il était extrêmement viril et pourtant ne voulait que se faire enculer. Emporté par l’excitation lorsque je le prenais, il se mettait à dire des choses très cochonnes et criait sa jouissance. Je trouvais ça cool. Ce black était plus obsédé qu’aucun des autres mecs que j’avais rencontrés.

— Tu es déjà allé dans un ciné porno? me demanda-t-il un jour.

— Non! Il m’est arrivé de regarder des films porno hétéros… en DVD ! C’est tout!

— Les cinés pornos, moi, si j’y vais c’est pas pour les films… c’est pour me faire enfiler à la chaîne et en public… Je suis très exhib!

J’étais secoué par ce qu’il me racontait. D'une part un univers inconnu se révélait à moi, d'autre part cette idée de se laisser regarder par un ou des voyeurs venait d'entrer en moi en force...Témoins de mes exploits, de mes secrets 

— J'adore aller dans les cinémas porno et "draguer". Je trouve toujours deux ou trois bites minimum à me mettre au cul. C’est pas comme dans ce sauna où les mecs tournent des heures avant de se décider.

Là, mon petit black avait parfaitement raison. Si les saunas offraient généralement un beau choix de mecs bien foutus… ceux-ci étaient la plupart du temps intouchables !

— Les cinémas pornos, ça ne me tente pas ! Je trouve ça glauque comme endroit.

— Évidemment, pour l’hygiène, c’est pas le pied! Ça pue la pisse et le sperme! Mais je t’assure qu’ on finit par ne plus sentir ces odeurs. J’adore ces endroits car il n'y a pas beaucoup de lumière mais assez pour qu’on me mate!Quelqu’un t’a déjà maté quand tu baisais?

— Jamais !

— Tu devrais essayer… C’est grisant… Moi, je fais ça au ciné ou dans les parcs… Faut juste faire attention aux flics mais on ne les voit pas souvent. Et puis, c’est ça qui m’excite aussi : le danger!

— Tu veux que je te baise avec la porte de la cabine ouverte?  ai-je timidement proposé.

— Woaw, on dirait que tu te décoinces un peu… J’accepte volontiers ta proposition indécente !

— J’ai envie d’essayer, c’est tout! De toute façon, tous les mecs qui viennent ici y viennent pour la même raison, non?

— C’est encore plus net dans un ciné porno! Ici, tu peux encore faire ta «honteuse», dire que tu ne viens pas pour ça et prétendre qu’un bon sauna vapeur ça te détend… Mon cul, oui! Une bite dans le trou ça détend! Tu vois, dans un ciné, pas besoin de tourner autour du pot. Y’a pas de place pour les «honteuses»!

— Ces endroits sont peut-être super pour y trouver du sexe mais ils doivent être fréquentés par un tas de vieux cochons…

— Ça fait partie du jeu! Tu es tout même libre de choisir tes partenaires. Moi, c’est pas trop l’âge qui m’importe… c’est plutôt l’hygiène! Un mec crade, il ne fera rien avec mon cul !

— Tu pourrais m’emmener dans un de tes lieux de débauche, un de ces quatre?

— Si tu promets de m’y bourrer devant les vieux cochons !

Nous avons ri.

La semaine suivante, il m’a emmené dans un ciné réputé pour la drague. Dès que nous sommes arrivés, il m’a proposé d’aller faire un tour aux toilettes mais j’ai préféré attendre un peu et aller m’installer au fond de la salle pour m’habituer aux lieux. C’était effectivement aussi glauque que je l’avais imaginé. Sur l’écran, une nana aux seins énormes se faisait sauter en alternance par trois mecs dont un black à la bite surdimensionnée. J’ai commencé à me caresser à travers mon pantalon. Ma bite était très dure et j’aurai voulu la sortir. J’ai continué à frotter la hampe qui se dessinait à travers la toile des jeans. Un arabe est venu s'asseoir a côté de moi. Un peu perturbé, j'ai arrêté de me caresser. Au bout de trois ou quatre minutes, n’y tenant plus, j'ai recommencé comme s'il n'était pas là. Je sentais son regard sur moi.

— Tu veux que je t'aide un peu ?

— Pourquoi pas!

Les mots étaient sortis de ma bouche malgré moi. J’avais une terrible trouille. J’ai senti sa main glisser entre mes cuisses, ses doigts ont bataillé un peu pour ouvrir ma braguette et extirper ma queue. Il m'a un peu caressé puis il m'a dit à l'oreille:

— Putain, t’es monté comme un âne! Viens! J'ai envie de toi, mais pas ici!

J’ai remballé mon matériel et je l’ai suivi dans les toilettes putrides. Il y avait là une bonne quinzaine de mecs. Certains attendaient, d’autres se faisaient sauter dans des cabines privées de porte. Un paradis crade pour exhibs et voyeurs ! En passant devant une cabine, j’ai vu mon black se faire enculer par un autre black. Ce dernier rudoyait son cul à grands coups de reins.

— Baise! Baise-moi… Bourre mon trou, Rufus, bourre-le bien!

Ces deux-là n’en étaient pas à leur première baise. J’ai attrapé l’Arabe par l’épaule et j’ai dit:

— C'est trop dangereux! Je n’ai pas l’habitude…

Sans me laisser continuer, là au milieu des types qui se frottaient la braguette, il s’est mis à genoux et, comme un petit chien, il a sorti ma queue pour la pomper. Je n’ai pu réagir à temps. C’était trop tard. À tous les coups, j’aurai eu l’air d’un con en prenant la tangente.

 

Au fond quand j’y repense, j’en avais envie. J’avais accompagné le black pour ça, pour découvrir l’inconnu…

 

 L’Arabe m’a sucé doucement ensuite plus rapidement. Au moment où j’allais jouir, il s’est arrêté…

— Tu vas juter?

— Je n’en suis pas loin!

— Alors le jus c’est pour mon cul…

— Moi, je baise avec un préservatif.

Il a eu l’air déçu.

— Si tu veux! C’est moins bon mais vas-y!

Je suis entré facilement dans son cul. Je l’ai limé un bon moment tandis que des mains nous frôlaient. J'ai continué ainsi pendant presque un bon quart d'heure, puis mon sperme a jailli dans la capote.

— Verse ton jus sur mes fesses! a-t-il demandé.

Ce que j’ai fait. Ensuite, j’ai repris des forces en regardant la suite de cet ignoble film datant des années 70 ! J’ai baisé le black dans la rangée du fond et une dizaine de mecs nous ont regardés. A partir de ce moment j’ai effectivement commencé à apprécier ce trip et même à le trouver très excitant

Dans la suite il y a eu aussi cette aventure d'un garçon beau comme un dieu auquel j'avais donné tout mon savoir-faire, mais je n'arrivais ni à lui faire baisser les yeux, ni à obtenir qu'il ne bande plus. Il voulait me prendre. Je l'en ai dissuadé. Pourtant à cet instant Dieu m'est témoin je l'ai souhaité. Par la suite j'ai réussi à demeurer vierge . Ce côté des choses m'est encore inconnu, mais j'ai trop peur d'y laisser pour toujours ma virilité.

 

Aujourd’hui, j’ai 35 ans et je sais que je ne suis certainement pas hétéro. Je suis marié et j'aime ma femme. J'ai besoin d'elle tous les jours et j’ai également besoin d’un mec de temps en temps.

 

La bisexualité est une réalité, elle n'est pas tous les jours facile à vivre mais je n’ai pas le choix… je l’assume  autant que je peux, mais, autant que je sache, ma femme ignore mes relations homo ! Ce qui est assez bizarre, c'est que les bisexuels ne sont finalement bien nulle part… Ni les hétéros ni les homos ne les comprennent tout à fait. Certains prétendent même que nous n’existons pas… que nous sommes des gays refoulés…

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 29 mai 3 29 /05 /Mai 01:51
classé dans BISEXUELS  un coeur plus grand  (21) 
 4 vidéos de sexe à 3
 
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 mai 2 28 /05 /Mai 18:20

classé dans  BISEX

 

 

 

 Josh Hutcherson

"Busted by the cops? TIME FOR MY THEME SONG!"

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 27 mai 1 27 /05 /Mai 01:34
classé dans BISEX uncoeur plus grand (19) 
MMMF il y a plus de "gay" que d'hétéro dans cette rencontre à 4
 
 
 
Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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