DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mardi 30 avril 2 30 /04 /Avr 00:47

Ils sont TRES nombreux à draguer et baisent en coulissses  pour des occasions où ils acceptent facilement le one shot. Parce qu'ils sont mariés il ne faut pas croire qu'ils sont forcément actifs avec un homme ! Beaucoup justement aiment se faire...pénétrer et c'est souvent cela qu'ils attendent d'une rencontre. 

Du fait qu'ils n'ont pas fait de coming out, souvent le besoin de discrétion les porte à éviter saunas et hôtels, ils acceptent de venir chez-vous si vous les invitez...ils sont les rois des dragues en plein air...

Un festival bisex de 67 mn

cat. BISEXUELS un coeur plus grand

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 09:00

plus tard tu pourras retrouver cet article dans la catégorie BISEX un coeur plus grand du blog

Lucia n'est pas très contente . ........... 

Je l'entends raconter toute l'histoire au téléphone pendant que je lave mon string, cul nu, dans le lavabo de la salle de bain. Ça me fout les boules. Bon, j'ai merdé, c'est le cas de le dire. J'ai eu la flemme de bien me laver après être allé aux chiottes et j'ai un peu souillé mon string sans m'en apercevoir et au moment de baiser, ça a pas du tout plu à Lucia.

— Tu comprends, il a une taille de guêpe mais un cul tellement proéminent que les slips ou les caleçons, ça dure pas trois semaines. Je lui fais porter des strings pour éviter les déchirures; en plus, son joli petit cul est super bien mis en valeur; c'est assez excitant. Mais il faut trouver une solution pour l'hygiène parce que là, ça craint. J'sais pas trop quoi faire.

Je suis un peu mortifié parce que je présume que c'est une copine que je connais aussi et bon, côté intimité, ça le fait pas vraiment. Lucia écoute attentivement en faisant des "hum, hum" à intervalle régulier... Je me demande ce que peut bien raconter la copine.

— C'est une super idée, je vais tout de suite la mettre en pratique. J'te laisse, à plus.

Lucia raccroche, prend son sac, me lance qu'elle va faire quelques courses vite fait et part comme une furie.

Le temps de finir mon lavage, de me doucher, de me changer et de lire un peu le journal, Lucia est déjà de retour avec un gros paquet à la main. Je la sens très excitée; ça m'intrigue car en général ça veut dire des plans très hot en perspective.

— Désolé, chérie pour tout à l'heure, mais y'avait pas de quoi en faire un foin, je dis.

— T'en faits pas Poussin, je crois que j'ai la solution et que tu vas adorer.

Je la regarde perplexe; je farfouille discrètement dans le sac pendant qu'elle boit un verre d'eau et va prendre une douche rapide (il fait très chaud cet automne). Je sors au hasard un premier truc avec de la tuyauterie en plastique. C'est un nécessaire à lavement. Je vois le plan. Je suis pas très chaud mais en même temps, ça m'excite un peu parce que je vois bien où ça pourrait nous conduire et ça me plairait assez. Je commence à lire la notice. Y faut remplir une poche, s'enfoncer une canule, se remplir le cul avec l'eau de la poche, garder, relâcher, recommencer. Je relis une seconde fois parce que c'est sûr que je vais devoir m'y coller... à moins de refuser de me prêter à ce jeu dégradant, c'est aussi possible. Je regarde à nouveau dans le sac et je vois plein d'autres trucs; je plonge la main et en sors un au hasard; ça me fait bander aussitôt. C'est un plug, un petit gode. Ah, elle sait que j'aime quand elle me met deux ou trois doigts dans l'anus, la bougresse! C'est pas étonnant qu'elle ait pensé au plug. Et le lavement, ça doit être pour s'assurer que je suis super clean avant d'enfiler le plug. Ouais, je vais me mettre au lavement immédiatement.

— Je vois que tu as lu la notice... me dit Lucia au sortir de sa douche. Allez, va essayer ton nouveau jouet et revient pour que je t'inspecte quand tu auras fini.

Je me lève d'un bond, tout excité, et me précipite dans la salle de bain avec le nécessaire à lavement et ferme la porte à clef. Je m'en fais trois à la suite; ça fait un peu mal, mais c'est bon. C'est surtout un peu long. Une fois terminé, j'ai l'étrange sensation d'être encore plus à poil et encore plus offert pour ma copine. C'est assez excitant. Je vais la voir dans le salon après avoir enfilé mon string. Lucia est assise dans le canapé.

— Alors, ça t'a plu?

— Pas mal.

— Viens t'allonger sur mes genoux que je vois ça.

Je sens que ça va vite devenir coquin. Et je m'allonge de tout mon long sur le canapé au travers des genoux de ma maîtresse en tendant mon cul. Elle m'inspecte l'anus en prenant son temps.

— Parfait, se contente t-elle de dire.

Puis je sens un liquide froid dans l'anus et un doigt, puis deux me pénétrer. Elle sait que j'aime ça; je me laisse faire, totalement passif. J'anticipe le plug et tente de me détendre au maximum.

— Oh, oui, tu sais ce que tu vas prendre, tu l'as vu; ça te fait frétiller le cul? hein?

— Vas-y, plugue-moi, je dis presque suppliant.

Elle baisse très lentement mon string puis finit par m'enfoncer le plug. Je résiste à peine, ressent une toute petite douleur et le plug rentre en moi avec une grande facilité. Je gémis profondément. Je bande comme un forcené. Ça m'excite comme jamais. Lucia me remet le string qui maintient bien le plug dans mon anus.

— Voilà, un lavement tous les jours et le plug. C'est ce que tu vas faire à partir d'aujourd'hui.

— Oui, Lucia, je réponds bêtement.

— Lève-toi et marche!

Elle ordonne. Je le fais et je suis très focalisé sur mon cul et le petit limage que ça me procure en marchant; j'aime bien la sensation d'avoir un truc dans le cul; ça me fait bander sec.

— Il faut que tu t'habitues et que ça devienne naturel. Tiens, mets ça et on va aller se promener un peu.

J'ouvre la bouche pour protester parce que je me sens chaud et j'ai plutôt envie que ma petite amie s'occupe de moi. Mais l'idée de sortir comme ça m'excite aussi. Lucia me lance mon short jaune en toile de spi, beaucoup trop échancré pour une promenade. Je l'enfile et range ma queue sur le côté pour camoufler mon érection; la toile un peu lâche a son avantage. L'inconvénient, c'est qu'elle flotte à l'arrière et remonte sur mon cul. J'enfile mes flip-flop et me dirige vers la porte pour rejoindre Lucia qui m'attend.

— Tu vas pas sortir torse nu, elle dit. Tu vas affoler toutes les minettes.

— Ah ouais, je réponds.

J'ai pourtant une furieuse envie de ne rien avoir sur ma peau. Je ne sens pas le short en spi et j'ai l'impression d'être cul nul, ce qui m'excite. Je serais bien sorti à oualp, mais bon ça se fait pas. Je prends un débardeur taille 16 ans que j'explose littéralement. J'aime bien parce que mes tétons ressortent sous le tissu distendu et que mon ventre reste à l'air.

— Ça va? Je demande.

— C'est combien la passe? Lucia réplique en me pinçant fortement les deux seins qui pointent à travers le tissu.

Je pousse un cri ambigu et lui répond que je suis tellement en chaleur que je baise gratis.

Nous sortons et commençons à marcher dans la rue. Je tends un peu mon cul en anticipation de la caresse de Lucia dont j'ai furieusement envie. Elle prend son temps et finit par glisser sa main sous la toile de spi. Je tressaute. Je ne peux m'empêcher de remuer le cul pour mieux sentir sa main sur mes fesses. Elle me caresse et je pousse un gémissement incontrôlé. Soudain, elle s'empare de la base du plug et le retire un peu avant de le renfoncer doucement. Je gémis à nouveau. Elle répète l'opération tout doucement à plusieurs reprises.

— On rentre? je lui dis. J'en peux plus.

— Pourquoi faire?

— Je veux que tu me sautes putain. Rentre me sauter, s'te plaît.

— Ah? T'es devenue une vraie chienne, dis moi.

— Arrête, c'est toi qui m'as mis dans cet état... maintenant assumes. T'es le mec du couple, tu le sais bien; moi je suis une petite lopette qui obéit à sa maîtresse et putain, ça m'excite grave! Alors on rentre et tu vas me baiser comme jamais.

— Ok, si tu insistes.

Elle me dit en accélérant subitement le va-et-vient du plug.

— Arrête putain, je supplie... je vais jouir en pleine rue.

Nous retournons à l'appartement. Nous nous embrassons fougueusement dès les escaliers; quand je franchis le seuil, je n'ai déjà plus que mon string et mon plug sur moi. Lucia me tires par les cheveux et m'embrasse en me mordant la lèvre inférieure. Je suis dans un état second. Elle me pince violement le sein droit et je pousse un cri en essayant de me dégager. Je prends une bonne baffe dans la tronche et, déséquilibré, tombe à terre. Je rampe jusqu'à ses pieds que je lèche. Elle me donne des petits coups de pieds dans le ventre jusqu'à ce que je me retrouve à quatre pattes cul tendu. Je jute comme un fou.

— Bouge pas.

J'attends, fébrile, ma queue pulsant contre mon ventre. Une minute qui semble infinie passe et Lucia s'approche derrière moi. Je me retourne pour jeter un oeil; elle porte une ceinture avec un gros gode. C'est le choc. Je vais me faire sauter par ma meuf!

— Alors c'est ça que tu voulais?

J'ai le souffle coupé et suis incapable de dire quoi que ce soit. Pour seule réplique, je gémis; je ne sais si c'est d'horreur ou de bonheur. Mon corps répond pour moi, car sans même m'en apercevoir, je tends mon cul de plus belle et écarte les cuisses. J'invite Lucia à me sodomiser. Elle retire mon plug et me graisse le fion avec du lubrifiant puis présente l'énorme gland de sa queue contre mon anus. Elle s'enfonce d'un coup. Je pousse un cri de surprise ou de douleur, je ne sais pas trop. Le gode me pénètre entièrement et commence à me limer. En fait, je n'ai pas trop mal. Bien vite, j'ai une sensation extraordinaire entre le chatouillement et quelque chose qui ressemble à un massage du gland avant la jouissance sauf que c'est localisé ailleurs et que ça dure longtemps. C'est indescriptible et j'ai envie que ça ne s'arrête jamais. J'ai l'impression de jouir depuis dix minutes sans discontinuer ou presque alors que je ne me branle même pas. Ma queue continue à pulser comme une folle. Je m'effondre sous les coups de boutoirs de Lucia qui m'écrase de tout son poids, entraînée par ma propre chute. Elle se relève et retire le gode de mon cul. J'ondule du bassin pour me frotter la queue contre le sol. Je jouis en hurlant comme jamais. Je reste sans bouger un grand sourire aux lèvres de contentement. Je crois que j'ai découvert mon point G...

 

drifter4u: Hot girl fuck man in ass strapon Pegging her man with one of her favorite strapon toys. Bet he is loving it. #pegging

 

Time for some pegging! Strapon and dildo not included.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 07:05

On ne peut chasser le naturel...

tu reytrouves ce récit ce récit confidentiel dans la catégorie BISEXUELS  un coeur plus grand

 

Quand je me décide enfin à monter me coucher Claudia ne dort pas encore. Elle m'attend, un livre à la main. Dès qu'elle me voit, elle le referme et le pose sur la table de nuit. Elle croise les bras. Ce n'est pas très bon signe… J'ôte mes chaussons, lui offre une petite bise en me glissant sous la couette. Ça ne la déride pas…

— C'était quoi cette attitude à table, Christian ? A green and white highway sign featuring the title "Bi the Way" and the subheading "It's a both/and world." Below the sign is an image of Earth, and the background is black space with white stars.

— Quelle attitude ?

— Tu n'as pas dit deux mots de tout le repas.

— Et alors ? Je vous écoutais parler.

— Oui, avec un air d'imbécile heureux ! Je ne te reconnais pas, en ce moment. Qu'est-ce qu'il y a, enfin ? Ton fils aussi se se pose des questions. Je lui dis quoi, moi, quand il m'interroge ? Hein ?

— Écoute, chérie, il est une heure du matin. On discutera demain, tu veux bien ?

Mais, elle continue d'une voix lasse, sans agressivité, à me dire ses inquiétudes, son sentiment que je m'éloigne d'elle… "Tu es là sans être là" dit-elle très justement. Tout ceci, de toute évidence, lui brûle les lèvres depuis un moment. Elle est lancée et ne peut plus s'arrêter. Malheureusement, elle n'a pas choisi le bon moment. Incapable de me concentrer, je ne l'écoute plus, je décroche… Depuis ce matin, je flotte dans un état second aussi agréable que déstabilisant qui me rend indisponible à toute autre sollicitation.

Nous avons fait l'amour Matteo et moi. Depuis, l'intenable tension qui me laminait a disparu. Je plane. Après toutes ces semaines à me ronger de désir, à désespérer, tout s'est accéléré jusqu'à cet invraisemblable "je t'aime", dans la salle de bain. J'ai l'impression que nous avons brûlé des étapes. Quand je pense que nous n'avons même jamais échangé la moindre conversation intime ! Au moins, si une multitude d'angoisses se bousculent toujours en moi, la plus cruelle de toute est levée : non, je ne suis pas seul avec mes sentiments.

Rien ne se déroule comme je l'imaginais, et heureusement, car je n'imaginais que souffrance et déconfiture. Je tremblais de vivre mes premières étreintes homosexuelles comme un désastre, ou au minimum une épreuve destructrice. Or, les deux heures passées avec Matteo ce matin n'ont été qu'éblouissantes révélations. J'ai maintenant l'intime conviction que ma révolution intime est une bénédiction. Il fallait que cela arrive. Il le fallait. La découverte du plaisir avec lui a dépassé tout ce que je soupçonnais. La situation n'est pas moins inextricable, certes, mais au moins j'y vois plus clair. Jamais je n'aurais osé espérer qu'il vienne à moi comme il l'a fait, et encore moins qu'il me déclare sa flamme ! Au fond, je ne sais pas ce que j'espérais. Ce dont je suis sûr c'est que cette situation aurait vraiment fini par devenir insupportable à la longue.

Après nos premiers élans dans la salle de bain, après cette déclaration mutuelle aussi subite qu'inattendue, nous avions encore du temps devant nous avant que Claudia ne rentre. Matteo m'a mené jusqu'à sa chambre sans me demander mon avis. C'était inutile. Là, il m'a laissé le déshabiller. Il m'a laissé le toucher comme j'en rêvais et, dès cet instant où je l'ai touché, j'ai cessé de me poser mille questions. Lutter contre ce besoin de le découvrir aurait été aussi vain que de nier la loi de la gravité… Il est resté immobile, suspendu à mon visage, tout habité de patience et d'attention. La suite a vite révélé qu'il était en réalité aussi ému que moi.

Je revis en boucle l'instant où j'ai déboutonné sa chemise, où enfin j'ai pu glisser mes mains sur sa poitrine plate de garçon, ou j'ai dénudé ses belles épaules harmonieusement charpentées dont je rêvais de baiser la rondeur depuis tellement de semaines. Sa peau est douce comme je l'imaginais, son parfum me met en transe. Sa peau ? J'en suis désormais l'esclave. Je lui ai embrassé les lèvres, le cou, et j'ai su. J'ai su que son corps d'homme allait me faire perdre la tête. Avec toute la concentration dont un aveugle aurait fait preuve, j'ai fait défiler sous mes doigts les modelés de son torse délicatement sculpté. Ses tétons si petits, si fermes, ses flancs, ses clavicules, ses pectoraux idéalement bombés, ses abdominaux, je n'ai rien omis…

Puis, il s'est laissé tombé sur le lit. Il était encore en pantalon. Ainsi étalé de tout son long, à ma merci, sa beauté latine brûlante m'a laissé démuni un instant. Je suis resté debout à le dévorer des yeux sans plus savoir quoi faire de moi… Ma fascination a eu l'air de l'attendrir. Il m'a sourit tout en défaisant sa braguette. Ça m'a fait revenir à moi. Je me suis allongé à demi à côté de lui. J'ai poursuivi mon exploration. Je l'ai respiré – il sent tellement bon ! –, embrassé encore sur le visage et dans le cou, puis j'ai poussé jusqu'à son téton gauche… Je m'en suis délecté comme d'un bonbon. Il faisait gris dehors, mais assez clair pour que je remarque des nuées de chaire de poule lui parcourir l'épiderme. Je l'ai léché, baisé, léché encore, et ces tendres lenteurs de ma bouche l'ont amolli. Comme si mon extrême émotion m'avait fait développer un don subit, une sorte d'état d'ultra conscience, il m'a semblé percevoir le moindre de ses frémissements. C'était fou de sentir comme il avait envie de moi. Il ne disait rien, mais je le savais aussi sûrement qu'on se sait vivant. Il m'attendait à en mourir et, au lieu de me faire peur, ça m'a rendu ivre. Tout était nouveau : ce besoin de prendre mon temps, de le combler, ma curiosité pour son plaisir, mon sentiment d'être là où je devais être… J'avais beau être sens dessus dessous au départ, je l'ai savouré comme jamais je ne me suis montré capable de savourer une femme, et en moi un calme souverain s'est installé. J'avais envie de tout lui faire, de ne rien oublier.

J'ai caressé ma joue à la douceur de son ventre vivant, puis j'ai convoité le volume de son sexe encore dissimulé sous son boxer. J'ai hésité à le toucher, mais comme on hésiterait à s'emparer d'un objet précieux, d'un trésor auquel on a trop longtemps rêvé sans y croire vraiment. Mais Matteo m'a rappelé à l'ordre. Il avait hâte de recevoir mes caresses et son empressement à guider ma main m'a surpris. Je l'ai massé doucement. Il en a soupiré de bonheur. Le découvrir si dur m'a électrisé. C'est pour moi qu'il l'était. Pour moi… C'était la première fois que je touchais le sexe d'un autre homme, pourtant cela m'a procuré un surprenant sentiment de familiarité.

Après, tout a été plus facile, presque évident. Matteo a soulevé les reins pour que je le dénude intégralement. Sous l'effet de mes premières caresses directes, il a murmuré je ne sais quoi, des mots d'extase probablement, et mon prénom je crois. C'est seulement là que j'ai vraiment pris conscience qu'il désirait que tout cela arrive autant que moi. Son visage était beau à hurler, ses lèvres entrouvertes, son regard voilé… Sa verge est soyeuse et magnifique, parfaite, à l'image de toute sa personne. Je l'ai admirée et ça l'a fait sourire. Je l'ai frôlée, palpée, et quand j'ai approché ma bouche il a soulevé le bassin pour me rencontrer plus vite. Choyer entre mes lèvres son sexe pulsatile gorgé d'attentes m'a fait l'effet d'un rêve éveillé. J'ai trouvé ça encore meilleur que de vivre l'inverse… Je voulais tant lui rendre ce qu'il m'avait offert dans la salle de bain. Je ne suis pas certain de m'y être très bien pris, mais à entendre ses soupirs, mes attentions lui ont fait de l'effet.

J'ai tellement hâte de revivre tout cela, ces gestes, cette osmose, cette ferveur inouïe…

Je me suis installé entre ses jambes plus confortablement et je me suis appliqué à faire du mieux possible. Tout à mon œuvre, je l'ai entendu murmurer "C'est si bon, Christian." Jamais on ne m'avait fait l'hommage d'un si bel abandon. J'avais beau avoir joui deux fois déjà, je n'en pouvais plus de bander. Quand il a porté l'index à son anus alors que je commençais à sentir le sel de son plaisir suinter sur ma langue, mon excitation a fait un tel bond que ça m'a presque fait mal. J'ai repoussé sa main et j'ai pris le relais. Tout en continuant à le sucer, j'ai introduit une première phalange au creux du fourreau fiévreux de son intimité. Il en a geint de délectation.

Avant de me retrouver bousculé par tous ces désirs nouveaux, jamais je n'avais perçu l'anus, cet endroit du corps si caché, presque honteux, comme une source potentielle de plaisir. Je connaissais évidemment la pratique de la sodomie en théorie, une pratique qui me semblait… Je ne sais pas, vaguement barbare, plutôt dégoûtante… Mais, ces derniers temps, à force de me renseigner sur le sexe entre hommes pour m'aider à mettre des mots sur mon attirance pour Matteo, pour comprendre un peu mieux ce qui m'arrive, cet acte s'est mis à me fasciner et à exciter mon imagination. Je me suis mis à le redouter et à le désirer tout autant…

Ce matin, quand je me suis retrouvé pour la toute première fois à faire gémir Matteo de cette manière, à sentir son petit anneau serré s'épanouir par à coups sous l'intrusion de mon doigt, la bête mâle, en moi, s'est mise à rugir, à piaffer… Tout de suite, on comprend mieux les choses à les vivre vraiment… J'ai joué de la souplesse de son tendre orifice offert, j'ai joué de son désir, jusqu'à le voir ondoyer lentement du bassin. Puis, tout à coup, il s'est redressé pour m'attraper par les épaules et m'a dit "Viens là!" en m'attirant à lui.

Claudia poursuit son monologue, toujours sur le même ton dépité, mais je ne saisis pas un mot de ce qu'elle me dit. Elle me semble loin derrière l'horizon de ma conscience. Je suis trop absorbé par mes réminiscences érotiques. Je l'entends encore le "viens là" impérieux de Matteo… Je ne devrais pas repenser à tout ça, ça me fait bander… Il ne faut pas qu'elle le remarque. Vu son humeur, ça la rendrait furieuse. Si elle comprend mon état, elle va me traiter d'animal… Je la connais. Je soupire en me retenant de sourire. Si elle savait.

Dès que je me suis allongé sur lui, affamé de sa chaleur, de son contact, il m'a étreint passionnément. Sentir son sexe dur entre nos ventres, sentir le répondant splendide de sa force musculaire, tout cela m'a ravi à un point que je ne saurais dire… Ah, cette passion, ce feu ! On était tellement heureux, je crois même qu'on en a ri. On s'est embrassés avidement, comme lors de notre premier baiser, ce soir récent de déprime. J'ai retrouvé toute la tension et toute l'attente que j'avais devinées ce jour là…

Lorsque je l'ai pénétré, que sa chair étroite m'a accepté tout entier, j'ai su. J'ai su que j'avais toujours été dans l'ignorance de ma propre vérité, et que mon bonheur se trouvait là, dans les bras de ce jeune homme, dans son corps accueillant. Son visage éprouvé, ses soupirs et sa beauté me disaient son plaisir. Je n'en revenais pas. Je ne sais plus si j'en ai ri ou pleuré, ou bien les deux en même temps, mais ce bonheur nouveau m'a fait délirer littéralement.

Je lui ai fait l'amour.

J'ai beau chercher, je ne trouve rien dans mon passé qui ait jamais atteint la perfection de ces premiers véritables instants de partage. Je peux l'affirmer sans exagérer, ce samedi matin m'a vu naître une seconde fois.

Quand son plaisir à commencé à prendre de l'ampleur, il s'est mis à m'encourager pour que j'ose davantage. Il m'a susurré des choses à la fois pures et obscènes, des mots brefs et crus auxquels je ne peux songer sans que mon sexe ne se mette à durcir. Je l'entends encore : "Viens plus profond, plus profond… Je suis à toi. Je t'aime. Baise-moi. Ho, oui, continue, je te sens bien comme ça… Plus vite. Ta queue me fait jouir, Christian…" Les suppliques de Matteo dans l'amour, ses douces incitations à la violence, m'ont libéré de je ne sais quelles brides. À partir de là, mes assauts ont cessé d'être lents et tendres. La bête en moi est sortie de sa captivité pour de bon. Éperonné par ses prières, je me suis laissé aller à des va-et-vient puissants que jamais je n'aurais osé infliger à Claudia. Elle s'en serait révoltée, m'aurait regardé comme si j'étais un fou dangereux…

Matteo, lui, a commencé à gémir plus fort et en cadence. J'ai senti ses mains s'agripper à mes fesses. Entendre sa voix mâle partir comme ça dans les aigus, m'a littéralement rendu dingue. S'il ne m'avait pas susurré ses mots d'extases, j'aurais cru lui faire mal. Mais, en réalité, il était avide de ma puissance et a parfaitement su me le faire comprendre. Je me suis déchaîné. J'ai alors découvert une part de moi que j'ignorais, un déploiement animal et brut, quelque chose d'originel et de primordial qu'il aurait été désormais inutile de vouloir remettre en question. Je crois que moi aussi j'ai donné de la voix. Je ne sais plus. Mais l'intensité des sensations m'a fait partir trop loin pour que je garde pleine conscience jusqu'au bout. Tout ce dont je me souviens des dernière minutes de notre plaisir, c'est qu'on a été bruyants et qu'on a joui ensemble. Je me rappelle aussi de ma stupeur, juste après, quand j'ai réalisé qu'il avait éjaculé sans se toucher le sexe. C'était indéniable puisqu'il n'avait cessé de s'accrocher à moi des deux mains… Je ne savais même pas que c'était possible. Il a joui comme ça, pendant que moi je lui baptisais le fond du corps des jets de mon troisième orgasme.

Je ne saurais dire lequel de nous deux s'est trouvé le plus stupéfait de l'intensité de notre fusion. Je ne sais pas pour lui, mais moi, je n'avais jamais connu un tel plaisir. Je n'ai même pas eu la présence d'esprit de lui dire. De toute façon après ça, il n'y avait pas vraiment de mots à la hauteur de l'instant. On s'est reposés quelques minutes, au risque de s'endormir, puis on a réussi à se faire violence pour aller prendre une douche ensemble. On n'a pas échangé trois phrases. Je crois qu'on était, on peut le dire, en état de choc. Je ne sais pas comment on a fait, au moment du déjeuner en famille, pour donner le change… Il est parti en début d'après-midi, appelé à Paris par ses cours de piano à dispenser, et depuis, donc, je plane…

Avant qu'il ne s'en aille, comme je commençais à me remettre de mes émotions, j'ai voulu lui parler – j'ai tant et tant de choses à lui dire – mais il m' a répondu qu'il n'était pas prêt. Ça m'a plutôt déconcerté. Il était prêt à se donner, mais pas à parler. Je patienterai.

Je reviens au présent parce je me rends compte que Claudia ne dit plus rien. Je me demande depuis combien de temps.

— Tu n'as pas écouté un mot de ce que je te raconte depuis dix minutes, constate-t-elle, navrée.

— Excuse-moi, j'avais la tête ailleurs.

Son expression dégage autant de bienveillance que si j'étais un inconnu dans son lit.

— Arrête de me dire que tu as la tête ailleurs, ça devient lassant. Ailleurs, où ?

— Je traverse une période bizarre… Ne m'en veux pas.

— Je m'inquiète. Si ça va si mal, parle moi, ou je ne sais pas, moi, consulte.

— Je ne suis pas malade.

— Je parle de psy.

— Un psy ? Et pourquoi ? Parce que je traverse une période de remise en question ? C'est un problème maintenant de s'interroger sur soi-même, de faire le point ?

L'inquiétude vient tendre ses traits encore davantage.

— Faire le point ? Elle ne te va plus comme elle est notre vie ? C'est le départ de Flo ? Ou c'est moi, peut-être ? J'ai fait quelque chose ?

— Mais, non, ce n'est pas toi. Et, oui, il y a le départ de Flo, il y a aussi la politique salariale au boulot qui me plaît de moins en moins, Bastien qui a de moins besoin de moi, et Matteo…

Je n'achève pas. Je regrette déjà que son prénom m'ait échappé.

— Quoi Matteo ? Il y a un problème avec lui ? Je croyais que tu l'aimais bien.

Je souris.

— Non, il n'y a aucun problème avec lui. Il me rappelle seulement tout ce que je ne suis pas.

— C'est à dire ? J'ai du mal à te suivre. Tu es jaloux de lui ?

— Non, pas jaloux. Non. Il me rappelle que je ne suis plus tout jeune, dis-je, évasif.

Mais j'ai peur d'en avoir déjà trop dit, j'ai peur de ce que pourrait trahir mon visage quand je parle de lui. Heureusement, Claudia n'insiste pas. Son air triste me met face à mon cas de conscience insoluble : nier ma nouvelle vérité pour préserver ma relation avec elle, ou assumer ouvertement ma liaison avec Matteo et la blesser, la perdre sans doute…

— Et moi, dans tout ça ? murmure-t-elle.

— Viens là, ma belle.

Je la prends dans mes bras tendrement et respire le parfum familier de ses cheveux. Rien n'apaise mieux l'inquiétude qu'un câlin. Plus jamais je ne coucherai avec Matteo ici, sous notre toit. Nous nous y sommes engagés lui et moi. C'est d'ailleurs la seule chose dont nous ayons pris le temps de parler. Nous sommes aussi tombés d'accord sur une chose primordiale : il faut qu'il s'en aille. Nous nous verrons ailleurs, "en terrain neutre" comme dirait Serge. Continuer à se désirer, et bien plus, ici serait malsain et irrespectueux vis à vis de ma femme et de mon fils

 

 

                                         la nouvelle donne sociale

A still photo from We Were Here of a gay couple kissing next to a straight couple who are avoiding looking at them.

 

 

 

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 11:08
 >classé catégorie BISEXUELS
 Tag cloud :  plage, beach, nature, hétéro, ennui, envie, hasard,  masturbation, sturb, gel intime, lube, lubrifiant à base d'eau, auto doigtage, doigtage, fingering, goût sex, changer ses goûts... 
Cela faisait bien longtemps... Je n'avais plus ouvert mon ordi depuis quelques mois, je ne sais pas trop pourquoi. Peut-être le manque de temps, peut-être le manque d'envie, ou alors peut-être l'amour... Mais tout a une fin et mon amour est parti. Tant pis, j'suis encore jeune (27 ans bientôt) alors profitons-en!!!
Le soleil est revenu, je vais déjà commencer par m'occuper de mon corps. Un peu de sport pour raffermir les muscles et un peu de bronzage intégral pour brunir et adoucir ma peau. Puis des sorties en boîte (hétéro), quelques échanges mais rien de bien concluant...
Mon sexe n'a pas vu un trou depuis déjà deux semaines... il va éclater. Heureusement ou malheureusement, j'ai mes mains. J'ai acheté, dans une grande surface, un tube de gel. On m'a conseillé, en effet, de l'appliquer sur ma queue pour que la branlette dure plus longtemps. Il (un pote célibataire) avait raison. Malgré mon manque sexuel évident, ma partie de jeux de mains a duré environ 30 minutes au rythme d'un film de cul très classique où filles et mecs s'en donnaient à coeur joie pour me procurer du plaisir... Lorsque le point de non-retour arriva, je ne voulais plus m'arrêter, mon souffle devenait de plus en plus rapide. Alors que ma main gauche s'occupait de mon sexe, ma main droite caressait chaque partie de mon corps, elle s'attarda même sur mes fesses et glissa (trop de gel, je crois) vers la fente... Le contact de mon doigt sur mon trou me fit exploser de joie... 7 gros jets jaillirent vers le ciel comme un feu d'artifice. J'étais vidé, heureux et j'avais découvert que mon derrière était une zone érogène.
Une semaine plus tard toujours rien de nouveau... Seconde séance de masturbation... Ça commence de façon classique... Vitesse rapide, arrêt, vitesse rapide, lente, arrêt... puis je me souviens de la dernière fois. Je me lève et je m'approche de la glace de ma chambre. Elle est assez grande pour que, debout, je vois tout mon corps... Je me retourne, je baisse la tête vers mes jambes. Je vois mon cul se refléter. J'en suis assez fier: un beau petit cul ferme, poilu et bien bronzé. Au milieu, une petite rosette que la position debout a légèrement découverte. Je la contemple, je prends un peu de gel et je laisse une noix de ce produit sur cette fente. OOOUUUFFF!!! C'est froid. J'étale le gel et je commence à frotter mon index contre la raie de mon cul. Je m'entends me dire "Putain, c'est bon, continue... Enfonce le doigt maintenant..."
Je vois mon visage à ce moment, il est radieux mais je ne le reconnais pas. Je fixe à nouveau mon cul pour rester concentré. Mon index est prêt à entrer, je ne sais pas trop comment m'y prendre. Le gel en a décidé pour moi. La quantité devait être trop importante, ce qui a provoqué l'entrée rapide et brutale de la totalité de mon doigt. AAAIIIEEE!!! Je le retire aussi sec et la même douleur se fait ressentir... je préfère m'arrêter et reprendre mes activités masturbatoires habituelles...
Aujourd'hui, il fait beau. Direction soleil... Je prends une serviette, de l'huile de monoï, un peu de lecture... Au moment de partir, je trébuche dans la chambre sur le tube de gel à base d'eau. Je souris et je me dis "Pourquoi pas une petite queue là bas?" (j'ajoute dans ma tête que la solitude me pèse beaucoup actuellement car je commence à parler tout seul.) Je mets alors dans mon sac le tube, quelques présos (pourquoi???) et des mouchoirs. ½h de vélo et me voici dans un endroit très calme, personne à droite et à gauche. HHHOOOPPP!!! Je me déssape. Je me fous à l'eau pour me laver (une petite rivière). 5 minutes après, je ressors et je m'installe sur ma serviette. Sieste!!! Nu au soleil, complètement nu au soleil...
La fraîcheur de la fin d'après-midi me réveille. J'ai dû dormir 3 heures. Mon corps ne semble pas avoir chopé de coups de soleil. Je cherche tout de même la crème protectrice dans mon sac. Ma main touche alors le tube "du plaisir solitaire". Pourquoi pas ici??? Rien qu'à l'idée, mon sexe se relève...
J'ouvre alors le tube et j'enduis mon sexe de gel. Ensuite commencent des mouvements de va-et-vient sans rythme imposé, juste selon l'envie et le désir... Je sens mon sexe grossir, la fin est proche, j'éprouve à ce moment l'envie de sentir mon doigt contre mon trou du cul. Je n'en peux plus, je hurle de plaisir... Une grosse quantité de sperme se retrouve sur mon ventre... Je devrai me nettoyer. Je veux me lever quand j'entends derrière moi:
— "Ça va?"
— "Quoi?"
Je me retourne ventre sur la serviette.
— "Qu'est-ce que tu fous là? T'es ici depuis longtemps?" J'oublie pour le moment ma nudité.
— "Non, j'ai entendu du bruit, des cris même, alors je suis venu," me dit-il rouge écarlate.
Je me souviens que je suis nu, je tire ma serviette et la pose sur mon corps en guise de couverture
— "Excuse moi, je ne voulais pas te gêner. Je vais repartir."
Ce petit mec devant moi me semble pas vraiment gêné. Il fume tranquillement une Malboro, pose ses yeux un peu partout autour de moi (je pense qu'il a aperçu le tube de gel). Je le trouve assez mignon. Blond, cheveux courts, pas mal fait, 1m85 environ il doit avoir à peu près 20 ans...le bel âge. 
— "Avant de partir, tu peux me filer une clope?"
Je fume rarement mais je ne sais pas ce que j'ai : il m'attire... Il se met à côté de moi et s'asseoit.
— "Tu viens souvent ici car je ne t'ai jamais vu. Moi aussi je viens pour bronzer nu quand ma copine bosse. Tu peux te laisser aller si tu veux..."
Il me met à l'aise, ce con. Pourquoi pas? J'enlève ma serviette et me réinstalle sur le dos.
— "C'est la première fois que je viens ici... J'ai trouvé cet endroit par hasard."
Pendant que je lui parle, il me mate comme un fou, mais il a dit qu'il avait une copine, je n'ai rein à craindre...
— "Tu es sale sur ton ventre... Là."
Merde j'avais oublié le sperme sur mes abdos. Je m'essuie nerveusement...
— "Tu as raison tu sais, quand on est seul on peut se faire plaisir... j'ai bien remarqué le tube de gel. J'pense que tu t'es tapé une bonne queue en pensant à ta copine..."
— "T'as pas tout faux," (pourquoi je lui réponds à ce mec?) "Mais je n'ai plus de copine."
— "Ça te manque pas?"
— "Oh si putain. D'ailleurs c'est pour ça que je me branle..."
— "Pourquoi, d'habitude tu ne le faisais pas? Ta copine n'aimait pas te branler?"
— "Je ne lui ai jamais demandé."
— "T'aimerais que quelqu'un d'autre te branle?"
— "Je te trouve bien insistant pour un hétéro?"
— "Qui t'a dit que j'étais hétéro???"
Il me sourit, et me fout sa main sur mon sexe. Elle est froide. Il a tout calculé ce gars. Pendant qu'il me parlait, il a mis une noix de gel dans sa main (il a dû s'asseoir à côté du tube). Je bande illico et je n'ai pas envie qu'il arrête (mais que se passe-t-il???) Sa main est douce, je ferme les yeux, je m'abandonne...
Il passe alors à d'autres jeux... Je sens toujours une certaine contraction autour de ma bite mais elle n'est plus due à la force de ses mains mais c'est bien sa bouche qui serre ma queue. Il l'a mise en cul de poule (rien qu'en y repensant je me dis que les coqs ont vraiment de la chance...) Ainsi il avale ma bite, la suce, la mordille... Il salive beaucoup. J'ai vraiment l'impression que c'est la chatte bien mouillée de ma copine...
— "Putain c'est bon ! Je vais jouir!"
— "Non pas tout de suite."
Il retire sa bouche et appuie sur le frein pour m'empêcher de juter comme un fou... Il sait y faire le mec... Il reprend le tube et ajoute une grosse quantité sur ma queue. Avec ses deux mains (elle n'est pourtant pas si grosse 18 cm) il me branle très lentement et me demande de fermer les yeux. Je l'entends changer de position. Je crains qu'il me fasse quelque chose que je ne veux pas mais je reste les yeux fermés.
Je sens alors quelquechose de dur contre mon sexe. C'est son cul... Il est bien fermé.
— "Tu voulais un trou, en voila un..."
— "Eh, tu m'as pas mis de capote."
— "T'as qu'à juste spermer ailleurs que dans mon derche."
Pendant qu'il me dit ça, j'essaie de lever mes hanches pour transpercer son petit trou, mais le billet d'entrée n'est pas si simple à obtenir.
Ce coup-ci est le bon. Je suis entré. AAARRRHHH!!! En deux coups je suis au fond, il ne semble pas avoir mal vu ses soupirs et ses paroles Le gars s'excite.
— "Oh, oui, mets-moi la profond, baise-moi comme si j'étais ta chienne de copine, vas-y!"
C'est un peu vulgaire mais ça m'excite encore plus... Alors je m'active, je mets la gomme... C'est plus serré que le con de mon ex mais c'est encore meilleur. Je sens ses entrailles...  Je n'ai pas mis de capote on est chair contre chair. Putain c'est bon un cul de mec ! Je savais pas. Merde je vais jouir, il faut que je me retire... PPPLLLOOOFFF!!!   Son cul se referme d'un coup, il prend ma bite et me branle lentement...
— "Fais-moi jouir," lui dis-je.
— "Attends mon petit, je t'ai vu mettre ton doigt dans le cul t'à l'heure. Tu dois aimer ça, mon salaud..."
— "Quoi?"
Trop tard, son doigt est dans mon cul. Mais pourquoi je ne l'ai pas empêché. Pourquoi??? Mais ça décuple ma jouissance.  SSSPPPRRRIIICCCHHHTTT!!! C'était vraiment bon. Tout... J'suis gay, bi??? J'm'en fous, j'ai aimé... Le mec est parti assez rapidement avec juste:
— "À bientôt p't-être?"
— "Mouais, p't-être..." Inutile de vous dire qu'à partir de là mes goûts ont évolué.
 
 
scallysulust: Scally Wank & Being Fingered
 
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 08:37

-> catégorie BISEXUELS

Cette histoire s'est passée il y a quelques années. Si vous voulez en savoir plus, mettez un commentaire et posez vos questions. Erwan

Ce mois d'août s'annonce chaud, chaud, chaud.

Je vis dans le nord-est de la France et comme pour beaucoup de régions, nous n'avons pas été très gâtés question soleil pendant le mois de juillet. Mais heureusement voici août et le retour des températures élevées.

Dès lors, je cherche chaque jour un coin sympa pour faire du "cul nu" et nager tranquillement dans une rivière. J'aime quand mon sexe se laisse glisser avec le courant, bien que le contact avec l'eau froide lui ait fait perdre un peu de sa souplesse. Le fait de bander dans l'eau est une sensation par ailleurs très agréable mais comme personne n'est là pour entretenir cet état, mon sexe retrouve vite du repos après quelques brasses. Ma copine ne peut malheureusement pas venir avec moi, car elle bosse souvent. Nous nous connaissons depuis 3 ans c'est-à-dire depuis que j'ai 14 ans. Je suis pas trop mal foutu, peut-être un peu petit (1,72m) mais bien proportionné (une belle petite queue de 17 cm).

Ayant repéré un coin assez protégé pour m'adonner au plaisir du naturisme, je dépose tout mon matos sur la plage improvisée et je m'allonge à poil sur ma serviette pour profiter du soleil. Avec 35°C à l'ombre, j'ai vite envie de me retrouver dans l'eau.

"Plouf" Un beau plongeon dans la rivière. Je reste dans l'eau une bonne demi-heure rêvassant à ma copine et à ce soir. Je sors me ressuier alors que mon sexe est en semi-érection. Je m'installe sur la serviette et commence à me masser mon sexe. L'eau sur ma bitte fait glisser ma main lors du mouvement de va-et-vient ce qui n'est pas pour me déplaire. Au bout de quelques aller-retour je suis presque sur le point de jouir quand j'entends une bruit derrière moi. Je prends mon maillot de bain et je l'enfile malgré mon érection. Je suis même obligé de me mettre sur le ventre pour cacher mon sexe sortant allègrement de mon slip. Allongé ainsi, je fais semblant de dormir.

"Salut!!!" J'ouvre un oeil. Deux jeunes gars se dirigent vers ma plage, ils doivent avoir un peu plus de 18 ans; ils sont tous les deux rasés, mais on peut voir que l'un est blond et l'autre châtain foncé.

Je m'étire volontairement (comme si je me réveillais) et je leur réponds amicalement "salut"

Ils me demandent si ça me gène pas qu'ils s'installent dans le coin. Je leur réponds OK bien qu'intérieurement je maudis le fait que cette plage soit toute petite et la seule praticable sur quasiment 1 km de rive. Les deux mecs s'installent derrière moi à droite. Toujours sur le ventre, je les vois se dessaper. J'ai un petit sourire quand je vois leurs fesses respectives, quasi imberbes et très blanches. Mais ils mettent tout de suite un slip de bain et s'allonge sur leur serviette pour profiter du soleil. Maintenant, je me retourne, la bosse de mon slip ayant disparu et m'endors tranquillement...

Je suis réveillé une 1/2 heure plus tard par des bruits de jeux d'eau et j'aperçois mes deux squatters s'éclatant dans l'eau. Ils ressortent un peu après et me voyant réveillé, s'installent près de moi.

"Didier et Jean Claude" "Salut, moi c'est Erwan"

La discussion part un peu sur tout, ils me disent qu'ils sont militaires dans la région et qu'ils sont en perm. Je les regarde un peu et je les trouve bien foutu avec la plaquette de chocolat à la 2be3, des pecs bien gonflés sans poils...

C'est alors que Didier me dit "tu sais quand on est arrivé, on a vu que tu étais à poil. Ça ne nous dérange pas si tu t'y mets encore. À l'armée, on voit souvent des mecs nus et ça ne nous choque pas"

"Je suis un peu pudique et je pensais que vous étiez des flics ou des gardes champêtres..." Je les regarde, ils me sourient et j'ai tellement envie d'enlever mon slip que je craque. Je me lève puis me rassoie le sexe caché par mes jambes.

Didier toujours aussi éveillé me demande si c'est plus sympa de nager nu. "Il n'y a aucune comparaison" Je le vois se mettre à poil, et en demandant à son pote de le rejoindre, il fonce dans l'eau. JC, hésitant, met plus de temps pour de défringuer. Je vois son beau sexe entouré de poils blonds et un peu pointé vers l'avant. C'est la première fois que je vois le sexe de quelqu'un d'autre (excepté celui de mon père). Mais je n'ose pas trop regarder et me levant rapidement je rejoins Didier dans la rivière. Nous nageons tous les trois pendant quelques temps quand je sens quelque chose toucher mon sexe. En baissant les yeux, je vois la tête de Didier près de ma queue. Je me recule un peu dégoûté, il sort la tête de l'eau et me demande si je n'ai pas aimé.

"Le problème n'est pas là, j'ai une copine que j'aime et ça me suffit" répondais-je en sortant de l'eau.

Je suis prêt à me casser quand je vois JC et Didier s'embrasser. JC plonge dans l'eau et quelques secondes après, le corps de Didier va et vient dans l'eau. Il faut attendre une minute avant de voir la tête de JC ressortir de l'eau pour lui permettre de reprendre son souffle. C'est au tour de Didier de plonger; ce manège dure et je trouve ça de plus en plus excitant...

Les voilà qu'ils reviennent sur la berge, Didier se met près de moi et s'excuse:

— "Je ne voulais que te faire plaisir"

— "Tu sais c'est pas grave, je n'ai rien contre les PD mais je ne les comprends pas."

— "C'est pourtant très agréable"

C'est la première fois que j'entends parler JC. Sa voix est très rauque et colle mal au personnage. Il continue:

— "T'as déjà enculé ta copine"

— "Non, elle ne veut pas"

— "Est-ce qu'elle t'a déjà mis un doigt dans le cul pour te faire jouir"

— "Non!!!"

— "Tu vois que si tu ne comprends pas, c'est parce que tu ne connais pas"

Et Didier de rajouter:

— "Tu ne veux vraiment pas essayer"

Je ne dis rien mais m'allonge sur ma serviette ma bite un peu bandée. Didier et JC me regardent souriant. Je ne sais pas pourquoi ça m'a pris mais me voilà maintenant nu, prêt à m'offrir à eux et décidé à connaître ce genre de plaisir.

Didier prends mon sexe et commence lentement à le masturber. Il découvre mon gland, ce qui me fait sursauter et je sens son souffle sur ma queue. Il l'engloutit jusqu'au fond de sa gorge, sa bouche englobe mes 17 cm et quelques un de mes poils. Pendant tout ce temps, j'avais fermé les yeux en pensant que ce n'était que ma copine. Quand je les ouvre, je regarde ce bel adolescent me sucer (avec talent) et j'aperçois au dessus JC donner des coups de butoir à son ami. Il est bel et bien en train de l'enculer. Il sourit de façon radieuse. Didier grimace un peu mais tente de ne pas trop quitter mon pieu de ses lèvres.

"Putain, c'est bon" Je viens de crier ça sans faire attention et les deux mecs explosent de rire en changeant de position. Tous les deux ont maintenant leur bouche près de moi. Je ne ferme plus les yeux et je ne pense plus à ma copine.

Chacun leur tour, ils prennent soit ma queue soit mes couilles dans leur bouche chaude et mouillée. Je sens une main s'approcher de mes fesses et elle commence à malaxer mes deux parties charnues et musclées. Mes mains qui étaient immobiles jusque là, s'agrippe sur la tête du suceur de bite pour l'enfoncer au plus profond sur ma queue.

La main sur mon cul est celle de JC. Il approche un doigt de mon anus mais brusquement je le rejette. Il prend alors ma queue dans sa bouche et après quelques petits coups de langue, recommence sa manoeuvre avec sa main. Lorsque son doigt touche mon anus, je sursaute en poussant en cri de jouissance. Il profite de cet instant pour m'enfoncer son doigt et en laissant tomber mes fesses, c'est 4-5 centimètres de son doigt que je sens bouger dans mon cul.

— "Je vois que tu commences vraiment à apprécier" me dit JC

— "En fait, c'est une vraie salope; on se croirait en chambrée à l'armée"

Après ses paroles, Didier a approché son sexe près de mon visage et me tend une queue de 20 cm "Vas-y, suce"

Sans réfléchir, je prends son sexe dans ma bouche et je pompe comme un dingue. Quand ma copine se laisse sucer, j'aime sentir sa chatte mouillée à chaque coup de langue. Là, c'est différent; je sens bouger, vivre quelque chose dans ma bouche. La sensation est différente mais très agréable. Pourtant, je repousse Didier quelques instants, car sa bite allait m'étouffer, je respire un bon coup et je reprends mon travail de suceur. Pendant ce temps, JC a retiré son doigt de mon cul pour y mettre sa langue. Wouaaa!!! C'est merveilleux. J'en mordille de plaisir le sexe de Didier. J'espère que personne ne passera prêt de nous, car on commence vraiment à respirer fort tellement notre plaisir est intense.

Jean Claude s'est maintenant relevé puis s'est dirigé vers sa serviette pour revenir avec un paquet de presos et un tube de lubrifiant. Je le vois, bien que je continue toujours à sucer, mettre un peu de crème sur doigt puis se l'enfoncer dans le cul. Puis ouvrant un condom, il le met autour de sa bouche et se penche sur mon sexe. Il l'avale assez rapidement pour passer le préservatif sur mon sexe. Il se relève, me tourne le dos et vient tout doucement placer ses petites fesses sur ma bite. Le voilà qu'il s'enfonce maintenant sur mon pieux et quel bonheur. Mon sexe n'a jamais autant été serré dans un endroit chaud et humide. Il monte et descend rapidement jusqu'au point de non retour.

Je lâche la tob de Didier et crie "Je vais jouir, c'est trop bon...." Des jets longs et puissants viennent cogner le plastique. Mon sexe se retrouve entouré de sa propre semence et glisse encore plus facilement dans le cul de JC.

Mais je dois me retirer, car je commence déjà à débander alors que mes deux autres compagnons sont plus que surexcités.

Ils me laissent reprendre mes esprits et se retrouve tous les deux sur leur serviette pour un 69 très torride.

Je matte bien comme si j'étais là pour apprendre quelque chose. Le sexe de JC est un peu plus petit que le mien (16–17 cm) mais c'est tellement marrant de voir des poils tout blond autour d'un si beau pieu. Comme ils ne portent pas de capote, j'en déduis qu'ils se connaissent bien depuis longtemps. Ce sont des soupirs et des miaulements rauques qui viennent achever leur "bouche à queue". Tous les deux éjaculent dans leur bouche respective. Chacun s'endort ensuite de son côté. Je réalise dans un état second que je viens de coucher avec des mecs et que j'ai pris du plaisir.

Une bonne odeur de shit me réveille. Les deux lascars fument en effet un 3 feuilles. Il est déjà bien entamé quand il remarque que je viens d'ouvrir mes yeux.

— "Ca te dit!!"

— "Aucun problème"

Je le prends, fume quelques taffes et fais tourner le joint. En discutant cul (ils me parlent des partouzes qu'ils font à l'armée avec une fois plus de 20 petits jeunes pleins de foutre) et autres (cinéma, gonzeses (en fait, ils sont bis...)), nous fumons 3-4 petes. Je commence à être légèrement défait. Eux aussi, d'ailleurs, ils ont le syndrome des yeux rouges.

Nous rions pour pas grand chose et les histoires de cul me font rebander très fort. Ca nous fait encore plus rire et cette fois-çi, nous bandons tous...

Didier sort une petite bouteille et se prend deux sniff dans le nez, il la passe à JC qui fais de même puis me la passe. Je connais le popers mais je n'ai jamais essayé. Je sais aussi qu'il est réputé pour les homos d'avoir la capacité de distendre l'anus. J'approche la bouteille à mon nez et respire une bonne bouffée dans chaque narine.

"Waouuu, le bang!!!" Nous explosons de rire; je les vois (tous flous) s'approcher de mon sexe et ils recommencent à me sucer. Le paradis, c'est ici.

Bien que complètement détruit, je ressens un certain plaisir dans ces nouvelles caresses. Je sens un doigt me titiller l'anus ce qui me fait sursauter. Je ferme les yeux et imagine chacun de leur geste. C'est alors que je sens quelque chose de froid et humide touché la raie de mes fesses. C'est JC qui s'est mis derrière moi (j'etais allongé sur le côté) et qui souhaite maintenant m'enculer. Malgré la crainte de la douleur, je le laisse faire. Il pousse un coup sec, je crie... Il s'enlève et revient plus profond. Je recrie. Il recommence toujours plus loin, cette fois-ci j'apprécie et soupire. Didier se place devant moi et après m'avoir enfilé une capote attend que j'enfile son beau cul. Je n'hésite pas une seconde; il a le trou encore plus serré que Jean Claude. La sensation est donc encore plus forte.

Nous prenons un rythme parfait et chacun enfonce sa bite le plus loin possible. Nos corps sont mouillés de sueur, nos mouvements se font plus rapides. La fin est proche.

Slurp, splach... Ma liqueur vient de s'échapper de mes couilles, suivent ensuite JC et enfin Didier. Nous nous séparons et toujours un peu sous l'emprise des diverses drogues, nous nous remettons à rire. Après quelques baises, pour retrouver mes esprits, je replonge dans l'eau à poil, ils me rejoignent et nous jouons une bonne heure à nous chamailler et à nous embrasser.

"Il est tard, je dois retrouver ma copine... Vous serez là demain???" "Pour sûr" "Alors à demain, peut-être"

Je les quitte, l'esprit un peu plus dégagé. J'ai vraiment passé un putain de bon moment et je ne pense pas tout raconter tout de suite à Claire.

Les histoires qui suivront cette rencontre vont être de plus en plus chaude. Les deux bitos vont revenir, on va continuer nos jeux. Un de leur potes de baise me sera présenté, Didier me prévenant qu'il n'a jamais vu quelqu'un apprécier autant la sodomie. On s'amusera avec lui avec quelques-uns de ces jouets (aux tailles surprenantes) et avec Didier (et ses 20 cm), nous décideront un jour de le sodomiser à deux (vous inquiétez pas, y'a la place)...

Ensuite, j'ai décidé de tout raconter à ma copine qui m'a alors dit qu'elle viendrait bientôt avec ses copines.

Vive l'été et qu'il ne finisse jamais...

Erwan

Par claudio - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • BOBEUR 11
  • BITE 016
  • 927 1000
  • BW looking down
  • arabic123
  • LUTTE FABIEN 008

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés