DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS

Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 06:43

 

En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui, chez-lui, trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne. Ce genre d' hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.

 

Élancé, bien bâti, des cheveux bruns courts et frisés, des yeux bleu clair et un sourire aguichant, je me trouvais aussi irrésistible qu’on peut l’être à 19 ans. Je ne ratais pas une occasion de lever des beaux mâles et de m’envoyer en l’air avec eux pour goûter pleinement toutes les voluptés que deux gars culturel (!) en chaleur savent se donner l’un à l’autre. La plupart des mecs que j’ai baisés étaient aussi sexys que remarquables baiseurs et j’ai passé de nombreuses nuits à me tortiller de plaisir, nu comme un ver, coincé entre les cuisses et les bras d’un mec superbe qui me fourrait le cul de sa pine vigoureuse en m’embrassant à m’étouffer.

Assoiffé, je descends au bar pour me rafraîchir d’une de ces délicieuses bières allemandes. J’ai revêtu mon jean le plus usé et le plus serré directement sur la peau pour bien laisser voir le galbe de mes fesses, et après avoir hésité à savoir si j’allais mettre ma queue le long de ma cuisse gauche ou de la droite — ce qui est très excitant pour ceux qui vous lorgnent les cuisses mais embarrassant pour marcher quand on bande — j’optai finalement pour la dresser contre mon bas-ventre ce qui me fait un renflement intéressant sur le devant. J'ai passé une chemise légère à manches courtes pour qu’on voie bien mes bras musclés et l'ai laissée largement échancrée sur le devant pour qu’un regard intéressé puisse plonger jusque entre mes pectoraux lisses et bien dessinés et apprécier la finesse de pêche et la coloration dorée de ma peau. Je voulais être sûr de mon effet et n'ai rien laissé au hasard.

Je n’avais pas l’intention de me rendre dans un bar gai, trop facile, car je savais d’expérience que ce n’est pas là qu’on rencontre les gars les plus intéressants. En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne.  Rien de plus délicieux que de baiser avec ces hommes qui brûlent secrètement de désir pour les gars mais n’osent s’affirmer comme homosexuels. Ils s’émerveillent de contempler le corps nu du garçon qu’ils vont baiser. Ils sont fascinés par ses petites fesses dures, ses hanches étroites, la fermeté de sa poitrine, et surtout, ils sont profondément troublés par la verge raide et puissante qui jaillit sans pudeur de son bas-ventre, orgueilleux outil du plaisir.

C’est pour leur fougue que je les apprécie surtout. Ils m’embrassent avec timidité d’abord, puis, une fois "les chiens lâchés", ventousent mes lèvres avec une ardeur et parfois une sorte de rage qui m’excite au plus haut point. Ils aiment me caresser longuement sur tout le corps, ravis de palper la chair et les membres d’un jeune mâle vigoureux qui se donne totalement à eux. Habituellement passionnés, tendres et amoureux, ils sont gourmands de plaisirs et veulent profiter pleinement de l’occasion de tout goûter. Si je me laisse volontiers sucer et enculer, j’adore par dessus tout pénétrer ces hommes, les dominer sexuellement, les faire râler de plaisir, ma longue pine allant et venant dans leur cul ouvert, souvent leur révélant pour la première fois l’indicible volupté anale. Ces hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.

Tout en dégustant ma bière, je me réjouis à l’avance des plaisirs qui ne manqueront pas de survenir lorsqu’un homme, encore jeune (allez, on va dire la trentaine)en complet cravate, pénètre dans le bar. En plein mon type, pas très grand mais bien proportionné, costaud, brun, cheveux courts, moustache drue, il s’avance vers le comptoir pour commander sa bière. Je le fixe de mon regard le plus aguichant. Je nous vois déjà flambants nus, roulant sur un grand lit dans une étreinte passionnée. L’homme me regarde lui aussi. Il vient à côté de moi et commande sa bière. Je lui souris. Un peu d’affolement dans son regard, surtout qu’il a certainement noté le renflement dans mon jean. Il prend sa bière et son verre et va s’asseoir tout au fond du bar.

(J’étais un peu déçu de son apparente indifférence, mais je supposai que ce devait être une manœuvre. Il avait besoin de réfléchir un peu pour savoir s’il devait succomber à la tentation. Je l’observais du coin ce l’oeil et constatai qu’il me regardait fréquemment. Alors je me décidai, et prenant mon verre, allai à sa table. Je lui demandai en anglais si je pouvais m’asseoir. Il devint rouge jusqu’aux oreilles et fit un signe de tête). Je m’assois à ses côtés sur la banquette de façon à pouvoir toucher sa jambe avec la mienne. Il s’étrangle presque avec sa gorgée de bière. De mon côté, je le trouve de plus en plus charmant et j’ai vraiment le désir de me retrouver nu dans ses bras solides et me laisser baiser. Nous échangeons quelques mots. (Originaire de Hambourg, Kurt était en voyage d’affaires depuis quelques jours et devait passer sa dernière nuit dans cet hôtel). Tout en l’écoutant dans son anglais au fort accent germanique, je le dévore des yeux. De son côté, il plonge fréquemment son regard dans l’échancrure de ma chemise. Je frissonne d’excitation en imaginant ses mains sur ma poitrine et sa langue sur mes tétons. Aussitôt mes mamelons se dressent formant des grosses pointes dures. Mon gars commence à frétiller de désir et je place une main entre ses cuisses pour juger de la pression. Il était aussi raide qu’un étalon. Il repousse ma main sans doute parce qu’il ne veut pas qu'on nous remarque. Je lui propose d’aller prendre un verre dans sa chambre. Il se lève aussitôt et me dit le numéro. Sa chambre se trouve sur le même étage que la mienne.

Quelques instants plus tard, je l’y rejoins. J’entre sans frapper. Mon bonhomme est déjà tout nu, étendu sur son lit et il se masturbe d’une main tout en se caressant les seins de l’autre. (Il avait un corps athlétique, sans poils sur la poitrine, mais ses jambes étaient recouvertes d’une fine toison dorée. Dans sa main un beau membre de 6 1/2 environ, gonflé a bloc, frémissait d’impatience.) Je ferme la porte à clé et me place au pied du lit pour me déshabiller pendant qu’il jouit du spectacle. Je lui fais une sorte de strip-tease, enlevant mes vêtements lentement, me tortillant langoureusement, caressant mon corps à mesure que je le découvre. La vue de mes fesses semble lui plaire tout particulièrement.

Puis je grimpe sur le lit et me place à quatre pattes au dessus de lui. Il se met à me caresser les tétons pendant que j’effleure sa queue brandie avec la mienne. Notre excitation est telle que nous sommes tous les deux au bord de l’orgasme. Mon bel Allemand brûle du désir de me posséder. Soudain, il m’agrippe et me colle contre lui. D’un coup de reins, il se retrouve au dessus de moi et m’enserre fortement entre ses cuisses et ses bras. Il colle sa bouche sur la mienne ce qui déclenche immédiatement un orgasme foudroyant et simultané. Nous avons joui intensément tous les deux, frottant nos corps l’un sur l’autre, queue sur queue, grognant et gémissant de volupté pendant que le sperme jaillit à longs jets de nos sexes vibrants sous la force de l’éjaculation, répandant un lac tiède et gluant entre nos ventres collés. Après nous être un peu calmés, je lui lèche l’oreille en lui soufflant:

Now, let’s really make love!

— Oh yes, sweet baby boy !

Et le voilà qui recommence à m’embrasser, dévorant ma bouche, puis il suce mes seins ce qui me rallume immédiatement. Ensuite, il gobe ma queue et me la suce comme un expert. Lorsque je suis à nouveau bandé bien raide, il me supplie de l’enculer. Il s’agenouille sur le lit, la tête sur les avant-bras et le cul pointé en l’air. Je ne me fais pas prier. Ce gars-là a un des plus beaux culs d’homme que j’aie vus: les fesses rondes, pleines dures et lisses comme deux pains appétissants. Je les caresse avec les mains et la langue pendant qu’il souffle et geint doucement. Puis je glisse un doigt au creux de la raie. Aussitôt il se met à gémir et à se tortiller de plus belle. Je graisse son anus et lui donne un massage avec les doigts. Le gars se met à gémir de plaisir et à tortiller du cul comme un possédé. Alors que le gland pressant sur son anus entrouvert je vais commencer la pénétration, un petit accident: je sens monter une éjaculation précoce que j'arrive à limiter. Alors je le pénètre d’un coup, mon sperme servant de lubrifiant. Lorsque l’homme sent mon pénis s’enfoncer dans son rectum, il se raidit puis se relâche en lâchant un long râle de satisfaction pendant que je me glisse avec délice  dans son cul, puis je le fourre longuement, délicieusement, plongeant et retirant mon éperon de ce beau cul gourmand, jusqu’à ce que la jouissance me submerge à nouveau et que je décharge les dernières réserves de foutre dans ses fesses ouvertes.

Puis je lui rends la pareille. Je le remets sur le dos et suce sa belle queue jusqu’à ce qu’elle redevienne longue et dure, ensuite je m’assieds dessus, me l’enfonçant jusqu’au trognon entre les fesses pour savourer l’incroyable volupté de sentir un sexe mâle me remplir le rectum. Mon bel étalon tressaille, puis se met à jouer des hanches et du bassin comme un expert pendant que je caresse ses tétons renflés. Pour profiter pleinement du plaisir, il nous fait rouler sur le lit et me prend dans ma position préférée, sur le dos les jambes en l’air.

 J’aime me sentir écartelé et sans défense lorsque mon mâle darde son éperon dans la partie la plus secrète de mon corps. Je râle comme une bête lorsque son pénis gluant se fraie à nouveau un chemin dans mon fondement ouvert. Oh! l’indicible volupté, l’étourdissante sensation de se sentir éperonné dans les fesses, cloué au matelas par la pine vigoureuse d’un homme ivre de plaisir, de sentir son sexe aller et venir en moi, me tarauder inlassablement dans la recherche du plaisir absolu!

 

 Tout en me pistonnant vigoureusement, mon gars me caresse sur tout le corps, s’arc-boutant jusqu’à m’embrasser sur la bouche. Encore bandé dur je décharge une dernière fois lorsqu’il explose en gémissant et râlant de jouissance, giclant son foutre tiède dans mon cul frétillant.

Après une bonne douche prise ensemble naturellement, et où mon bel allemand n’arrête pas me peloter la poche et les fesses et de me caresser, nous allons souper de grand appétit.

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 Il me dit que c’était la première fois qu’il baisait réellement avec un homme et qu’il aimait ça au-delà de tout ce qu’il avait imaginé. Puis nous sommes remontés dans ma chambre cette fois où, nous avons passé une nuit de délices et de volupté, nus comme des vers, à nous vautrer l’un sur l’autre, à nous embrasser, à nous caresser et à éjaculer, chacun jouissant sans retenue de son corps et de celui de son partenaire. Il avait une façon de m’exciter les bouts de seins puis de les mordiller délicatement qui me faisait délirer de plaisir. Il a passé un bon bout de temps aussi la tête entre mes cuisses à me manger la poche et les couilles lorsque je devins incapable temporairement de bander. Il m’a fait jouir trois fois durant la nuit et au matin j’avais les tétons douloureux et ultra sensibles à force de me les faire tripoter.

Enfin, nous avons dormi quelques heures dans les bras l’un de l’autre, sa tête reposant sur mon épaule. Au petit matin, il a joui une dernière fois, allongé sur moi, son sexe entre mes cuisses en me répétant sans cesse «Ich liebe dich, sweet baby boy!» Puis il s’est retiré dans sa chambre pour sa toilette et s’habiller. Je ne l’ai jamais revu, il avait déjà quitté l’hôtel quand je suis descendu déjeuner.

Seul souvenir, son slip qui avait glissé sous le lit et que j’ai retrouvé en faisant ma valise. Je l’ai porté toute la journée gardant ainsi un contact étroit avec son sexe et son cul. Le soir, je me suis masturbé dedans en pensant à mon bel Allemand probablement en train de fourrer sa femme tout en pensant à moi.

Par LA SONDE VOYAGER - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 03:15

BISEXUELS UN COEUR PLUS GRAND

Bisexuel? Olivier avait ses "démons", dit sa veuve

"Si un homme est touché par le génie, il n’est pas une personne ordinaire", a expliqué Joan Plowright. "Il ne mène pas une vie ordinaire. Il a des comportements extrêmes que vous comprenez, et vous trouvez un moyen de ne pas être déstabilisée par ses démons. Vous vous mettez en quelque sorte de côté. Vous continuez votre propre travail et vous vous absorbez dans votre vie de famille. Et finalement vous vous rendez compte que ces autres choses ne sont pas importantes."

Ces paroles d’une sagesse infinie ont attendu de nombreuses années avant d’être prononcées. Elles mettent fin à l’inexplicable et étrange tabou qui entourait la vie intime du légendaire Laurence Olivier…

 


Je me rends compte qu’il y a des dizaines et des dizaines de célébrités que j’adore, mais dont je ne sais rien de la vie privée. Sont-elles gays, ou non ?? …

Les gays ne sont pas tous des travestis, des efféminés ou des pervers, puisque bon nombre d’artistes, sportifs et autres célébrités admirables, sont gays…

 Laurence "Larry" Olivier, un des plus grands comédiens britanniques. Laurence a été marié pendant 20 ans à Vivien Leigh ("Autant en emporte le vent") et il est le père de quatre enfants, mais cela ne veut rien dire car il y a des hommes mariés et pères de famille qui sont gays… Alors… Laurence Olivier était-il gay ???

Voici la réponse, tirée d’un article paru dans le journal britannique "DailyMail" quelques mois avant le 100e anniversaire de la naissance de Laurence Olivier :

Larry était-il gay ? Bien sûr que oui.
Par Michael Thornton
1er septembre 2006

Depuis plus de 40 ans, la bisexualité de Laurence Olivier est sujet de déni, préjugé et une extraordinaire sorte de censure. Mais cela a complètement changé le week-end dernier lorsque sa veuve, Dame Joan Plowright, 76 ans, une femme extrêmement honnête et pleine de bon sens, a mis fin à des années de circonspection sur la vie sexuelle ambigüe de feu son mari dans une interview remarquable conduite par Sue Lawley pour le programme radio Desert Island Discs.

Dame Joan, qui est aussi une actrice reconnue et a été mariée à Laurence Olivier pendant 28 ans, a répondu calmement aux questions de Sue Lawley sur les allégations de liaisons homosexuelles qu’aurait eu le grand comédien au cours de sa vie.

"Si un homme est touché par le génie, il n’est pas une personne ordinaire", a expliqué Joan Plowright. "Il ne mène pas une vie ordinaire. Il a des comportements extrêmes que vous comprenez, et vous trouvez un moyen de ne pas être déstabilisée par ses démons. Vous vous mettez en quelque sorte de côté. Vous continuez votre propre travail et vous vous absorbez dans votre vie de famille. Et finalement vous vous rendez compte que ces autres choses ne sont pas importantes."

Ces paroles d’une sagesse infinie ont attendu de nombreuses années avant d’être prononcées. Elles mettent fin à l’inexplicable et étrange tabou qui entourait la vie intime du légendaire Laurence Olivier…

… Les "démons" auxquels Dame Joan fait allusion apparurent très tôt dans la vie de Laurence Kerr Olivier, né le 22 mai 1907 à Dorking dans le Surrey (…) puisque son meilleur ami d’enfance, l’acteur Denys Blakelock, était gay. Laurence écrivit bien des années plus tard à propos de leur relation : "J’ai accueilli ce bonheur inhabituel avec une gratitude juvénile et innocente."

La nuit précédant le premier mariage de Larry Olivier avec l’actrice Jill Esmond, en 1930, Denys Blakelock, qui allait être son garçon d’honneur, alla au lit avec Olivier et celui-ci a avoué qu’ils s’y "amusèrent", mais sans que l’acte sexuel complet n’ait lieu.

Juste avant son mariage avec Jill Esmond, Larry Olivier avait rencontré Noel Coward, l’enfant terrible qui régnait sur le monde du théâtre londonnien. Noel Coward prit Olivier sous contrat et ils devinrent vite amis, et Noel admit par la suite qu’il avait eu un "coup de foudre" pour Olivier et que des familiarités sexuelles avaient lieu entre eux "régulièrement".

"Il avait 23 ans et il était la créature la plus belle que j’avais jamais vu de ma vie" a reporté Coward, "et bien qu’il se battait pour essayer d’être "normal", il acceptait toutes les expériences avec une obéissance de petit chien."

En dépit de la liaison de Larry Olivier avec Noel Coward, son mariage avec Jill Esmond eut lieu. Leur fils, Tarquin, naquit le 21 août 1936, mais leur mariage était déjà condamné. En effet, Larry avait à cette époque déjà rencontré une autre actrice, la très belle Vivien Leigh, ainsi que Henry Ainley, le partenaire gay le plus improbable que Laurence ait jamais eu.

Henry Ainley était un acteur de 57 ans, marié et père de famille, que Laurence avait rencontré sur le tournage de "As you like it" d’après Shakespeare. Ainley, qui était ivre d’amour pour Olivier, lui a écrit des lettres où il l’appelait "Larry chéri" ou "Larry Mon Roi" et il signait "Henrietta, votre douce petite chatte" (…)

Jill Esmond divorça de Laurence Olivier pour adultère le 29 janvier 1940, en citant Vivien Leigh. Jill obtint la garde de Tarquin leur fils de de 3 ans 1/2. Ensuite, Leigh Holman, le mari de Vivien Leigh, demanda le divorce pour cause d’adultère, en citant Laurence, et Vivien Leigh devint le seconde Madame Laurence Olivier, le 31 août 1940.

Malheureusement, peu de temps avant ce mariage, alors que Vivien tournait "Autant en emporte le vent" à Hollywood, elle montra les premiers symptomes de la maladie maniaco-dépressive qui allait transformer leur union en cauchemar.

En apparence, les Olivier étaient le couple le plus rutilant du show business international; en réalité, Vivien, ravagée par la maladie mentale et torturée de jalousie envers le talent supérieur de Larry, devint nymphomane et alcoolique, poursuivant souvent de parfaits inconnus pour en faire ses amants.

Il n’est donc pas étonnant que Laurence ait continué à se tourner vers les hommes. En 1940, il rencontra le comédien américain Danny Kaye, avec qui il eut une relation longue et flamboyante. Feu Princesse Marina Duchesse de Kent, la tante de la Reine, qui eut aussi une liaison de plusieurs années avec Danny Kaye, qui était marié et bisexuel, m’a confié avec assurance que Danny et Laurence s’aimaient.

Et Noel Coward, qui était choqué de voir les deux hommes s’embrassant sur la bouche en public, méprisait Danny Kaye.

En 1950, lorsque le couple Olivier retourna en Amérique pour le tournage d’ "Un tramway nommé désir" où Vivien jouait aux côtés de Marlon Brando, David Niven alla un jour leur rendre visite dans leur villa d’Hollywood et surprit "Brando et Larry nus dans la piscine. Larry était en train d’embrasser Brando. A moins que ce ne soit le contraire. Je me suis détourné et me suis rendu à l’intérieur pour voir Vivien. Je suis sûr qu’elle savait ce qui se passait mais elle n’en a pas fait mention. Moi non plus. Il faut savoir rester discret sur certains sujets dans la vie."

(…)

En 1960, alors que son mariage avec Vivien était bientôt terminé, Larry tourna dans le film "Spartacus" la scène gay la plus célèbre qu’Hollywood ait jamais filmée jusqu’alors. Dans le rôle du Général romain Marcus Crassus, Laurence à moitié nu dans son bain, est lavé par son esclave tout aussi dénudé (joué par le très hétérosexuel Tony Curtis)…

… Cette scène avait été considérée si choquante à l’époque qu’elle fut coupé du montage final. Ce n’est qu’en 1991 qu’elle fut restaurée, accompagnée de ces paroles fortement bisexuelles prononcées par Larry : "Certaines personnes aiment les huitres, d’autres aiment les escargots. Moi j’aime, et les huitres, et les escargots."

Le 6 janvier 1961, Vivien Leigh divorça de Laurence Olivier, qui épousa Joan Plowright le 17 mars de la même année. Joan lui donna un fils, Richard, et deux filles, Tasmin et Julie-Kate. Avec Joan, Larry allait trouver un bonheur profond, une paix intérieure et une stabilité inconnus de lui. Si son regard continuait parfois à être attiré par des beaux jeunes hommes, Joan avait la sagesse, l’intelligence et le tact de l’ignorer.

(…) Alors que nous allons célébrer en mai prochain le centenaire de l’anniversaire de la naissance de Laurence Olivier – le plus grand acteur de mémoire d’homme -, nous nous devons de rendre hommage au grand courage et à l’intuition aimante de sa veuve, qui a permis que sa vie complexe soit enfin regardée avec calme et sans excitation et sans les déformations du tabou et des préjugés.

 

 

Par roijoyeux - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 février 5 28 /02 /Fév 00:55

 Attends je vais te guider ! 

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  Il est jeune, il va apprendre... 

 

  Bi clubbing

   

 

Par BiMen - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 24 février 1 24 /02 /Fév 00:08

La transgression c'est tout un plaisir. Pour Denis c'est le double.  BISEX UN COEUR PLUS GRAND

  

 J'ai le goût de l'interdit, grâce à mon éducation. Si je n'avais pas été élevé dans une famille aussi conservatrice, pétainiste et ultra-catholique, je serais moins pervers. Je serais moins excité quand je m'agenouille devant la queue d'un black ou d'un beur si ma famille était moins raciste. Dans ma famille, les femmes qui fument provoquent encore un scandale et manger dans la rue est un acte impudique... Quelqu'un qui n'a pas reçu mon éducation, ne prendra pas son plaisir à sucer dans un confessionnal. Si l'atmosphère était lourde à supporter pour un enfant et un adolescent, cela se devine facilement, je remercie ma famille, qui en voulant me transmettre ses "valeurs", m'a poussé à prendre mon pied (et quel pied !) en les transgressant toutes. Encore merci !

Il est peu d'hommes qui m'excitent autant que Denis. Non qu'il soit beau, jeune ou exceptionnellement bien monté. Non, il est mieux que tout cela : Denis est l'ami de mon père...

Je ne sais plus depuis combien de temps je le connais. Pas depuis toujours, mais cela remonte à loin dans mes souvenirs. Mon père, qui n'apprécie personne, qui critique tout le monde, le tient en haute estime... S'il savait que nous baisons ensemble depuis quelques années déjà ! Quatre ou cinq ans ? Le temps passe si vite... Denis me fait bander depuis l'adolescence, non par son physique, mais par son attitude. Très à l'aise, il passe son temps à se trimbaler dans son jardin et dans sa maison, dès que le temps le lui permet bien sûr, en maillot de bain moule-bite, moule-burnes, toujours trop petit d'une taille ou deux... Il en a de toutes les couleurs, mais toujours bien serrés. Certains sont de vraies pièces de musée... Il ne fait jamais d'effort vestimentaire quand il a des invités, ce n'est pas son genre et j'aime ça ! Quel plaisir d'admirer de dos le haut du sillon interfessier trahi par un slip vraiment trop taille basse, ou un morceau de couille qui dépasse de l'échancrure du maillot quand il écarte les jambes... Le paquet est bien moulé, je peux distinguer ses couilles et voir si sa bite penche vers la droite, le gauche, ou montre le ciel. Le tissu est parfois bien usé, l'élastique souvent aussi, mais il ne semble pas disposé à jeter facilement un de ses moule-burnes. Il ne paraît pas se douter du spectacle qu'il offre à ses visiteurs. Je suis sûr qu'il n'y a chez lui aucune provocation. Son impudeur est naturelle, jamais calculée. J'ai toujours été étonné que sa femme ne lui dise rien. Elle a peut-être essayé dans le passé et a sans doute renoncé, Denis est un mec à la cool et rien ne semble l'atteindre. Il fait ce qu'il veut, quand il veut et comme il le veut, il est tellement sympa et naturel que personne ne s'en offusque. Il n'est pas vraiment sans-gêne, il est simplement libre. Cela devient rare. Heureusement que moi, je ne me promène pas en moule-burnes, car sinon je n'aurais pas pu cacher mon émotion.

Adolescent timide et puceau, je m'étais branlé plus d'une fois en passant à lui. Je rêvais que je mettais le nez, la langue dans un de ses mini slips Je regrettais que nous n'allassions pas plus chez lui en été. Mon père faisait semblant de ne pas remarquer la tenue de son ami, lui qui est si pudibond... De toute façon, un hétéro n'est pas censé poser son regard sur le paquet, même mis en évidence, d'un ami. Je pensais que Denis resterait un fantasme, comme beaucoup d'autres. Je connaissais sa femme et sa fille. Par la suite, j'ai fait connaissance avec son gendre, un beau métis. Même après de nombreuses aventures sexuelles, je continuais à bander en pensant à Denis. Fantasme de l'adolescence impossible à effacer ? Premières émotions qui nous marquent à vie ? Mes amants étaient bien plus jeunes et désirables que Denis, qui a seulement quelques années de moins que mon père. Marié et père de famille, il semblait inaccessible. Jusqu'au jour où je le rencontrai sur un de mes lieux de drague préféré. Cela m'a fait un choc ! Mais comme ce lieu de drague est aussi un lieu de promenade, je bandais comme un beau diable mais je me fis discret. À un moment donné, il pissa ou fit semblant de pisser contre un arbre. J'eus un doute, car cela dura longtemps, plus longtemps que nécessaire. Est-ce qu'en fait il ne se branlait pas ? Attendait-il une main, une bouche ? De toute façon, comme je suis un habitué et que je ne l'avais jamais vu draguer, je me dis qu'il ne fallait pas que je me fasse un film. Après tout, il a bien le droit de se promener seul entre les pins. Quelques mois plus tard, je l'aperçus sur un autre lieu de drague gay, un endroit pas très familial... Je me suis presque jeté sur lui, dans le crainte qu'on ne me le vole ! Il y a tellement de salopes sur les lieux de drague ! Depuis le temps que je fantasmais sur Denis, je considérais que j'avais une option sur sa bite... Je craignais aussi qu'il ne se sentît gêné de faire quelque chose avec le fils d'un vieil ami. Il était hors de question que m'échappât un mec qui me faisait bander depuis plus de dix ans. J'étais bien bête ! Je savais déjà que rien ne gêne jamais Denis...

La conversation commença avec urbanité, comme si notre rencontre sur un lieu de drague gay était anodin. Il me demanda ainsi des nouvelles de mon père. Je continuai sur le même ton, mais en plaçant ma main sur son paquet. Il me roula alors un patin d'enfer. Je ne m'y attendais pas de la part de cet homme marié. Je découvris par la suite que Denis adore embrasser. Ce n'est pas ce que je préfère. Paradoxalement, il est pour moi plus facile de sucer la queue d'un inconnu que de l'embrasser sur la bouche. Comme quoi, il n'y a pas que les putes qui n'embrassent pas. Quoi ? Tu peux répéter à voix haute ce que tu viens de penser ? Je préfère cela, p'tit con... Denis embrasse bien, il garde sa salive pour lui. Je n'avais pas l'impression que rouler une pelle à un escargot, comme il arrive trop souvent. Il m'entraîna dans un petit bosquet plus à l'écart. Quelle émotion en baissant son pantalon au milieu des arbousiers ! Mon cœur battait aussi fort que lors de la première fois avec ce pauvre nul de Philippe. Ce dernier aussi était beaucoup plus âgé que moi, je fantasme sur les mecs virils, pas sur les minets. Je m'agenouillai devant Denis, la tête à hauteur de son boxer. S'il se promène en moule-bite chez lui, sous un short ou un pantalon j'ai toujours vu son service trois pièces protégé et rangé dans un boxer confortable et parfois fatigué...

Je commençai à mordiller doucement la queue à travers le tissu, je n'étais pas pressé. Je léchais aussi les couilles par l'entrebâillement de l'échancrure du coton. Enfin, prenant le tissu entre les dents, je fis baisser le boxer sans m'aider des mains. Ma récompense ! La bite de Denis est moyenne mais très jolie. Depuis le temps que j'attendais, j'étais très satisfait. Les couilles étaient très belles. Je léchai le gland, la hampe, les couilles afin de le faire languir avant d'emboucher sauvagement cette queue appelée désir. Cette bite avait un goût délicieux, inimitable, celui de l'interdit. Mon Dieu, qu'elle était bonne ! Aucune grosse queue ne m'avait autant excité. Si mon père me voyait ! Je le suçai avec passion avant de me relever. Denis se mit à genoux à son tour pour me pomper. Se faire tailler une plume par un vieil ami de la famille, voir ce père de famille à genoux dans la mousse devant moi, la bouche déformée par mon dard, quelle jouissance ! Si sa famille le savait ! Je le fis se redresser et, affamé, je lui prouvai que pour la pipe, je ne crains personne. Il gémissait, poussait de légers cris que je trouvais aussi touchants qu'excitants. Il m'arrêta, mit une capote avant de se vider dans ma bouche. Cela l'excitait d'avoir l'impression de me repeindre en blanc le palais. Nous nous quittâmes dans un dernier baiser.

Depuis ce jour béni, nous recommençons souvent. Dès que j'aperçois sa Renault blanche sur un lieu de drague, je bande aussi sec. Aucune autre automobile ne me fait cet effet là. Je sais déjà que je vais prendre un pied phénoménal. Je cherche Denis dans le bois, les autres mecs ne comptent pas. Nous continuons à nous sucer, nous n'avons pas envie d'aller plus loin. Cependant, les règles ont changé. Après notre troisième ou quatrième fois, lorsque Denis sortit un préso afin de jouir dans ma bouche, je l'en empêchai tout en continuant à le sucer. Il répétait Je vais jouir, je vais jouir, à la fois excité et coupable. Encore heureux qu'il allait jouir, avec les soins que je lui prodiguais ! Il finit logiquement par me remplir la langue. Que fait donc sa femme ? Il avait les couilles pleines à ras-bord. Il se vidait, se vidait, son jus chaud, abondant et amer me fit éjaculer sur mes chaussures. Aucune importance. Je ne relâchai pas ma proie et je n'en laissai pas une seule goutte. Je le nettoyai consciencieusement et appuyai sur le gland pour récupérer encore un peu du précieux liquide. Quel bonheur ! Désormais, c'est une tradition, je le pompe à fond. Il adore me voir boire son jus de queue, j'adore le vider, rien ne m'excite davantage.

Denis a un autre fantasme qui n'est pas le mien : il est exhibitionniste. Il aime se faire mater quand nous nous suçons. Je l'accepte, tant que le mateur ne participe pas. Il peut s'approcher, je ne le sucerai jamais. J'adore les trios, mais pas avec Denis. Je ne le partage pas. C'est mon fantasme d'adolescence. Les autres mecs n'en font pas partie. Un autre jour, peut-être... Je crois que ce que Denis préfère, c'est de me remplir la gueule en public. Même si je ne suis pas exhib, je commence à apprécier de me donner en spectacle tout en transgressant un nouvel interdit. De toute façon, cela fait tellement plaisir à Denis et je me dis que j'aurais encore plus de jus...

Je n'éprouve aucun remords quand je le croise avec sa femme. Sa fille est une connaissance, pas une amie. Je dois cependant faire attention à ne pas nous trahir. s'il m'a toujours tutoyé, je suis censé le vouvoyer en public. Il faut que j'aie l'air surpris quand il annonce quelque chose que je sais déjà, car officiellement Denis n'est pas mon ami. La différence d'âge est importante et nous n'avons pas de points en commun. Le principal problème est que dès que je vois, je bande. Si je m'écoutais, je me mettrai à genoux devant sa queue en public, tant il m'excite. Car même si j'ai réalisé mon fantasme, loin de s'émousser avec le temps, la répétition, l'excitation est la même que lors de la première fois.

La fois la plus inoubliable, la plus jouissive, se passa sur un vide-grenier. Nous sommes des acharnés de ce genre de manifestations, même si les objets intéressants disparaissent de plus en plus au profit des jouets et des vêtements. Il était avec sa femme, nous nous saluâmes et parlâmes de nos nouveaux trésors. Un peu plus tard, je le retrouvai seul. Je lui proposai de le pomper. Je bandais déjà rien qu'à l'idée de proposer une pipe à un homme marié au milieu de la foule et alors que sa femme était proche. Il avait peur, mais je le rassurai en lui disant que cela serait rapide. Le vide grenier avait lieu sur les bords d'un étang, dans la nature. Nous nous isolâmes dans le bois. Je tins ma promesse, je le fis jouir en moins de cinq minutes. Loin d'être frustré par cette rapidité, je jutai comme un fou. Je nettoyai avec soin et amour le gland afin d'effacer toute trace du crime. Il faut faire attention, il y a en chaque femme une espionne qui sommeille... Je sais que lui aussi était excité de se faire pomper en prenant un risque. Il retrouva sa femme comme si de rien n'était.

Maintenant j'aimerais le sucer chez lui. Il n'a pas dit non... Il faudra trouver une occasion. J'ai le goût de l'interdit, grâce à mon éducation. Si je n'avais pas été élevé dans une famille aussi conservatrice, pétainiste et ultra-catholique, je serais moins pervers. Je serais moins excité quand je m'agenouille devant la queue d'un black ou d'un beur si ma famille était moins raciste. Dans ma famille, les femmes qui fument provoquent encore un scandale et manger dans la rue est un acte impudique... Quelqu'un qui n'a pas reçu mon éducation, ne prendra pas son plaisir à sucer dans un confessionnal. Si l'atmosphère était lourde à supporter pour un enfant et un adolescent, cela se devine facilement, je remercie ma famille, qui en voulant me transmettre ses "valeurs", m'a poussé à prendre mon pied (et quel pied !) en les transgressant toutes. Encore merci !

Denis me rend fou. Non qu'il soit beau, jeune ou exceptionnellement bien monté. Non, il est mieux que tout cela...

 

 

 

 

 

 

 

 

Par suceurfou - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 18 février 2 18 /02 /Fév 07:51

        VIVRE SA SEXUALITE

 

 

 

 

 

 

 

 

COUPLE SANS TABOU.

Combien de couples, s'ils communiquaient, se sauveraient eux-mêmes en cherchant à se comprendre.

 

 

 

Par bis - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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