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Histoire érotique bisexuelle sous forme de roman-photo d’une femme baisant avec son mari et son collègue.
Quand mon mari m’a annoncé qu’il avait invité un jeune collègue, j’ai tout de suite pensé que j’allais finir la soirée en sandwich. J’étais loin de me douter que je n’étais pas la plus grosse salope de la soirée, que je n’étais pas la seule à aimer la bite et que mon mari savait encore me surprendre !
Quand j’ai sorti leurs tiges déjà raides de mes caresses préliminaires, le jeune, Thierry, s’est jeté sur celle de Patrice pour la gober. Ça m’a tout de suite fait dégouliner la chatte de voir mon mari se faire sucer par ce beau mec. C’était une super pipeuse bien expérimentée et j’avais rarement vu mon homme aussi dur !
En un rien de temps Thierry avait viré ses fringues et s’était empalé sur la bite de mon mari en me présentant sa trique à sucer. J’étais folle de découvrir que mon Patrice aimait enculer des mecs ! Je voulais toucher cette queue familière et j’arrivais à introduire un doigt dans le cul de Thierry tout en caressant les couilles pleines de mon chéri !
C’était incroyable la vigueur que mettait Patrice à baiser le cul du jeune pendant que je le branlais avec mes escarpins. Moi qui pensais qu’un homme ne pouvait pas bander en se faisant enculer, j’avais tout faux ! Non content d’être une bonne suceuse de bites, Thierry me léchait divinement la chatte ! Je me disais que ce n’était peut-être pas uniquement la queue de Patrice qui le faisait bander mais aussi la perspective de me baiser…
La levrette était excellente ! Thierry me grimpait vraiment comme une chienne en s’agrippant à mes seins. C’était comme si les deux me baisaient ensemble care je sentais les coups de bites de Patrice dans le cul de Thierry se propager en moi ! Mon mari aimait m’offrir à d’autres hommes et l’excitation de pouvoir baser aussi mon amant du jour lui arrachait des râles de bête en rut. Je pensais déjà à la douche de sperme sous laquelle tout cela allait se terminer ! Thierry devait être du genre gourmand à adorer le foutre épais et chaud
Je remuais du fion comme une fille perdue sur le gourdin de Thierry pensant à toute la crème qui allait bientôt remplir sa capote que je me renverserais dans la bouche. Patrice avait enlevé la sienne pour baiser la bouche du blondinet. Il allait lui gicler au fond de la gorge tandis que Thierry lui écrasait les couilles dans sa main ce qu’il adorait qu’on lui fasse ! Ces deux-là devait baiser sans moi au bureau ! Je jouissais de cette bite en moi, de ces pensées, de ce cadeau que mon amour me faisait. Après un tel bonheur, j’aurais dû mal à lui refuser la nuit avec la copine gothique, lesbienne et dominatrice qu’il me réclame depuis si longtemps…
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