Partager l'article ! discuté :ETRE BI-SEXUEL OU ETRE MARIE ET AIMER LE SEXE AVEC LES HOMMES: classé dans BISEXUELS un coeur plus grand &n ...
classé dans BISEXUELS un coeur plus grand
Je passe sur un forum par hasard et je suis surpris des jugements sévères des personnes qui se disent gaies...Les insultes fusent. Cela creuse l'écart entre les gays et les bis. J'ai connu (eu des rappots avec) des gays en couple qui tremblaient d'être découverts par leur "chum" à qui ils avaient juré fidélité. Cette situation, pour dramatique qu'elle puisse devenir, touche à mon humble avis au cocasse.
"TU NE JUGERAS POINT". cette recommandation de l'Evangile (St Mat.7)n'est guère suivie " Ne jugez point afin de n'être point jugés Pourquoi regardes-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère, et ne" ...etcJ'ai pensé également, "que ceux qui n'ont jamais péché lui jetent la première pierre"...en fait plusieurs pierres virtuelles lui ont immédiatement été décochées.
09/12/12 - 19:30 - ALAINBIDU50140
Je suis marié,bi passif |
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Ezio peut se permettre de juger les propos pas très classieux d'ALAINBIDU50140... Ils sont en effet le reflet d'un homme qui n'assume pas grand chose, et qui semble en plus être un fieffé hypocrite. Car en effet, on aimerait bien savoir ce qu'en pense sa femme. A priori, elle ne sait rien. Peut-être devrait-on lui conseiller d'en parler un peu avec elle, si "1 fois par semaine" ne suffit pas, non ? |
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Ce ne sont pas ses actes qui me le rendent peu ragoûtant. |
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Amis de la poésie bonsoir! Non mais tu sais t'aurais pu économiser ton temps et ta reflexion ( si dure fusse t'elle pour toi) et écrire carrément: " salut j'aime les grosses bites
je trompe ma femme parce que cette becasse ne veut baiser qu'une fois par semaine j'ai envie de me faire troncher , on baise?" |
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L'idéal d'un vrai bi me paraît avoir le courage de ceci :
ou bien :
et ça suppose un préalable : tout se dire avant de s'unir en couple "hétéro"...on invitera....
Une femme en parle avec conviction :
Je me présente ou ? nous présente ? si vous préférez. Je m’appelle Alexandra et mon compagnon Julien. j’ai 25 ans et une assez grande différence d’âge nous sépare puisque Olivier a 22ans de plus que moi. Nous vivons au bord de la mer, dans le sud
- est et nous sommes conjointement depuis presque 4 ans. l’amour qui nous lie est très fort et nous n’avons pas de secret l’un pour l’autre. Physiquement, on me dit assez jolie, grande, brune aux yeux verts avec une poitrine dont je suis assez fière (90b). Sébastien a presque la même taille que moi, brun aux yeux bruns, sans barbe ni moustaches et je dois dire que la nature l’a assez bien pourvu. Si je décide d’écrire, c’est pour parler de notre fantasme et de la manière dont j’ai décidé de passer à l’acte l’été dernier. Depuis longtemps, nous fantasmions en faisant l’amour sur une rencontre avec une jeune femme qui partagerait notre lit. j’ai personnellement toujours été attirée par le corps féminin même si je préfère quand même par dessus tout le plaisir de faire l’amour avec un homme. j’avais déjà eu des relation avec des amies lors de mes années d’internat et l’envie de caresser des nichons et un phallus de femme me travaillait, je dois l’avouer. Nous allons tous les jours sur la plage naturiste pour bronzer. Il n’y a malheureusement pas beaucoup de monde début juillet et les gens qui sont présents sont tous en couple, donc pas de franche occasion pour nous deux de nous faire une bonne bite. Notre maison est à 100 mètres de la plage et nous nous y rendons tous les matins vers 11 heures. Prenant un dernier verre au salon, nous lui avouâmes que nous avions une petite surprise pour lui. Très intrigué et intéressé, il nous dit alors qu’il était prêt à recevoir cette mystérieuse surprise sans plus attendre. Lançant un petit sourire à Edwige, je m’approchai d’elle et l’embrassai avec fougue. Complètement étonné, Guillaume nous regarda fixement sans trop savoir comment réagir mais resta néanmoins attentif au spectacle que nous lui offrions. Nous passons un mois à nous faire bronzer et à nous préparer avant la venue de nos maris respectifs qui nous rejoignent au mois d’août. Bien entendu, en les attendant, on fait l’amour entre nous.
Pour l’occasion, il m’avait aussi offert des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex
- shops. Bon nombre de lecteurs aimeraient me voir dans cette tenue. Ma jupe, tout en latex rouge, recouvrait juste mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment au ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Jérémy m’avait conseillé de ne pas porter de sous vêtements, aussi n’allais
- je pas me sentir toute nue sous le regard des hommes? Un petit chemisier blanc retenait difficilement mes deux nibards qui pointaient, supportés par un minuscule soutien
- gorge. Les regards, autour de moi, pensais
- je, se feraient de moins en moins discrets. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée en tête : me baiser ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me dandinais un peu devant lui, ce qui le faisais bander très dur.
{«
- A moi de m’amuser maintenant ! Et bien dis donc mon salaud, tu encules ma sœur, on se refuse rien ! Je vais commencer par toi ma très chère sœur qui est venu se taper mon type quand je n’étais pas là.
- Qu’est ce que tu va me faire ?
- Je vais te faire connaitre la joie de la double pénétration grâce à mon ami que je tiens en main. » Isabelle plaça alors le gode à l’entrée de la chatte de Anne et poussa d’un coup. Le gode rentra d’une traite comme aspiré à l’intérieur. Je pouvais sentir les va
- et
- vient de ce jouet dans la fente de Aurore sur mon sexe. Sous l’effet de ce nouveau plaisir ressenti, Emilie se détendit, ce qui libéra ma queue de son fourreau et me permit de recommencer mes va
- et
- vient. Pendant ce temps là Isabelle prenait des photos de nous et nous les montrai pour qu’on puisse voir à quel point la scène était torride. Au bout d’un petit moment, Isabelle retira ses sous
- vêtements et s’approcha de Anne. «
- Lèche
- moi les seins, espèce de petite chienne ! Je veux les voir briller tellement il y aura de salive ! Et puis on va changer un peu la place de ce
petit jouet de débauche ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Quelques passages sur ses lèvres, couvertes d’un soyeux duvet châtain, me confirmèrent qu’elle était déjà bien chaude
et je glissai aussitôt un doigt dans sa fente. Elle était encore assez serrée, ce qui semblait indiquer que malgré mes premières impressions elle n’avait pas beaucoup d’expérience. Cela n’en
serait que plus agréable, pensai
- je alors, d’autant plus qu’elle mouillait grandement assez pour permettre le passage de ma queue. Celle
- ci, toujours aussi raide, mais maintenant abandonnée, commençait d’ailleurs à me faire mal et à réclamer mon attention.
- Tu es prête ? murmurai
- je à Clara, tout en la baisant tendrement sur les lèvres.
- Oui, bien sûr, me répondit
- elle en ôtant son T
- shirt, révélant ses jolis nichons blancs comme du lait, aux tétons arrogants. Mais avant, je voudrais te déshabiller. Je me laissai faire avec bonne volonté, d’autant plus que je constatai à quel point ce jeu semblait amuser la fille, qui sans cesse effleurait ma queue, comme par inadvertance, torture d’autant plus insoutenable que la vision de son corps nu s’agitant autour de moi, et en particulier de ses nibards joliment ballottés, achevait de me pousser à bout. Mais l’anglaise n’en avait pas fini avec moi : alors que je tentai de la renverser sur la fourrure qui recouvrait le sol, elle me résista et se mettant à quatre pattes sur celle
- ci , elle me murmura :
- J’adore baiser comme cela… Elle me le prouva aussitôt en cambrant ses reins, soulevant ainsi son fion d’une manière très excitante. Sa fente était grandement béante et je fus pris du désir de la avalerl. Ma langue parcourut d’abord rapidement la vulve de bas en haut puis elle glissa sans effort entre les petites lèvres, que j’embrassai avec délices. Clara poussait de petits cris et je devinais que le plaisir commençait à naître en elle. Son clitoris en témoignait, que je sentais de plus en plus dur contre mon menton. Je le pris entre mes lèvres et le mordillai tendrement. Le traitement que je lui faisais subir arrachait à Aurore des gémissements de plaisir, entrecoupés de mots en anglais : ‘ Good… It’s good … Your tongue on my cunt… ‘ Elle s’interrompit quand son plaisir parvint à son comble et m’interpella en français :
- Maintenant… enfile
- moi… Je ne demandai bien sûr pas mieux, mais avant je voulais tenter une petite expérience. Devant mes yeux, depuis un petit moment, s’agitait un mignon petit cul qui semblait me faire des appels bien indécents. Je voulais en avoir le coeur net et, tout en continuant mon méticuleux léchouillage, j’y glissai un doigt. C’était bien chaud et humide et mon doigt pénétra sans le moindre problème. J’en introduisis un autre et exécutai quelques mouvements de va
- et
- vient. Edwige poussa un soupir qui m’apprit qu’elle m’était reconnaissante de ma délicate attention. Je savais maintenant ce que je désirais
savoir : la petite coquine ne dédaignait pas ce genre d’amusement particulier que j’adore quant à moi, mais que je pratique trop peu souvent, mes copines étant bien souvent réticentes.
Clara lui enleva ensuite le bandeau et l’embrassa délicatement tandis que Aurelien, la bite encore raide, se plaçait derrière Aurore pour l’enfiler
à son tour. Elle aussi arriva au top du top de son plaisir pour s’affaler ensuite à côté de Edwige qui lui caressait les nibards, qu’elle avait plus petit mais aux bouts plus grands au milieu
d’immenses aréoles. Aurelien s’étant retiré de Clara et couché à côté de Anne, celle-ci quitta sa compagne pour prendre la queue de Max en bouche et elle le nettoya de toutes les traces de foutre
et du jus de Anne. Ils restèrent ainsi couchés, sans dire un mot, mangeant encore les moments passés. Puis Edwige se releva et leur dit : ? Vous avez soif comme moi ? Je vais nous chercher à
boire ?. Elle se rendit à la cuisine pour prendre la bouteille de champagne au frigo et trois flûtes. Dans le couloir, elle entendit du bruit dans la salle de bain et y jetant un coup d’oeil,
elle vit Aurelien et Clara qui s’apprêtaient à prendre une douche. Elle les rejoignit, fit sauter le bouchon de la bouteille et, la secouant, elle les aspergea du liquide doré. Tous les trois se
mirent à manger le liquide qui leur coulait sur le corps. Edwige dit alors : ? j’ai envie de pisser, j’ai la vessie pleine ?. ? Vas-y, pisse si tu en a l’envie ? lui répondit Aurelien. Anne,
debout face à eux, s’écarta les lèvres et lâcha un jet qui atteignit Clara, encore à genoux, en train de pomper la queue de Max. Elle lâcha celui-ci pour se retourner vers Aurore et, ouvrant la
bouche, elle accueillit le liquide chaud sur son visage, tandis que de la main droite elle se mit à se satisfaire. Aurelien ayant subitement envie aussi, lui pissait dessus, dirigeant le jet sur
les nibards. Anne se mit à genoux et commença à gober le liquide qui couvrait les nibards de Aurore, celle-ci avait engloutit la queue de Aurelien et le pompait à nouveau, pendant que de la main
libre elle lui prenait les couilles. Aurelien sentit la sève monter et cracha son foutre épais au fond de la gorge de Murielle. Ils se savonnèrent et, la douche terminée ils se recouchèrent sur
le lit pour s’endormir, leur corps emmêlés. Nous eûmes encore un autre dialogue en chat très important. Clara me dit qu’elle voulait me demander une chose importante. Elle avait du mal à
l’avouer. Je la pressais de questions. Finalement elle me dit : ? j’ai envie, lors de notre première soirée, que Philippe fasse de moi une femme. Es-tu d’accord ? ?. Le choc fût pour moi. J’étais
un peu prise à mon propre piège. Jusqu’à ce moment, j’imaginais un plan cul consacrée surtout à des caresses entre gonzesses, en présence de Philippe certes, mais je voulais le garder à moi
seule. j’avais toujours posé comme condition à un plan cul à trois qu’il n’y aurait pas de pénétration entre elle et lui. Je dois avouer ma jalousie, qui en fait ne traduit que l’amour que je lui
porte. La question de Anne me laissait sans voix. Je réfléchissais, je lui expliquais ma position mais je savais aussi le problème que cela représentait pour elle. Je commençais à la découvrir de
plus en plus et elle m’était de plus en plus agréable. En même temps l’idée de voir Clara pénétrée par Philippe, dépucelée même, m’excitait terriblement. Finalement, je lui précisa que j’étais
d’accord. Elle deviendrait nana dans nos bras ! N’en tenant plus, Noémie plaqua le visage de sa sœur sur son phalus et s’abandonna un nouvel creampie. Les va-et-vient de Isabelle sur ma queue
étaient d’une hallucinante efficacité et ont vite fait de faire monter la moutarde. J’ai prévenu Noémie que j’allais venir, mais celle-ci ne l’entendait pas de cette oreille, elle voulait qu’on
ait un creampie ensemble. Alors elle réussit à attraper la base de mon phalus et de le serrer adorablement pour m’éviter de lâcher la semence. Elle commença à décupler ses mouvements et à un
moment elle lâcha mon phalus et nous nous abandonnâmes dans un orgasme simultané. plusieurs jours plus tard je lui avouait tout. D’abord vexé et énervé elle le prit mal puis finalement coquine
elle me demandait si j’avais aimé. Affirmatif je lui dit que oui, j’avais adoré. Elle m’invita alors à en voir plus. Le plan était simple j’arriverai comme la dernière fois alors qu’elle auraient
commencé. j’arrivais donc la fameuse nuit. Mais je ne put me retenir, voyant perrine cheveux bruns tétons lourds et chattes touffues d’une toison noisette se doigter en me fixant. Sa voix était
douce et me disait ‘ tu aimes ca me matter ?… Je passait ma main dans mon caleçon pour me masturber. Aurélie arriva par derrière et glissa sa main dans mon caleçon afin de m’aider. On suce comme
des malades, comme si c’était la première fois de notre vie. Nos langues vont et viennent de la base au gland à une vitesse infernale. Patrick apprécie, mais au bout de plusieurs minutes de ce
traitement, rend grâce et nous envoie sa semence en plein visage. Je l’embouche, immédiatement, voulant goûter son foutre. En même temps Agnès lui lèche les couilles. Je me avoua que c’est
dommage qu’il soit venu aussi vite, mais me ravise en voyant qu’il ne perd rien de sa belle érection. Là, il prend les plaisirs en mains et me fait allonger sur le divan. Il écarte mes cuisses et
commence à les lécher sur toute leur longueur. Un frisson me parcourt et je sens un léger picotement dans ma chatte, caractéristique de l’envie de baiser. Agnès n’a pas perdu son temps. Elle
s’est assise au sol et a embouché la bite de notre partenaire de passage. La bouche de ce dernier à atteint mon entre-cuisse et sa langue me lape copieusement. Je ne tarde pas à avoir mon premier
orgasme sous ses coup de langue très habiles. Je la fis se mettre à quatre pattes, ne gardant que son t-shirt, le croupion bien dressé. Philippe pris sa pine à pleine main et la dirigea
premièrement vers la bouche de la baby-sitter. Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement. Elle commença tout de suite à sucer comme l’aurait fait une vraie pute. Cette fille avait dû
bien regarder nos cassettes. Comme elle le réclamait dans sa chatte, Jérôme se retira et approcha sa pine de la chatte vierge. Méthodiquement il commença la baise. Alison emit juste plusieurs
cris, mais passa bien vite sa langue sur sa gueule. Elle en redemandait déjà, et réclamait de Pierre qu’il la bourre plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier. Au bout de deux petites
minutes, il commença à la ramoner sérieusement, si bien qu’elle finit par se tordre dans tous les sens. Pascal, echauffé comme jamais, criait qu’il allait arriver. Après ces jeux de salives,
Bastien prit Aurore par derrière. Il enfonça sa bite à fond dans son petit anus bien mouillé. Criant comme un fou, Patrick accéléraient ses pénétrations et défonçait Noémie avec sa tige énorme.
Le bonheur était immense, nos sexes étaient trempées à tous les trois de salive et d’excitation et les pénétrations était rapides, profondes et de plus en plus jouissives. Nous étions déchaînés
et nous gémissions tous les trois de plaisir. Anne, ouverte à fond, se fit tringler jusqu’à ce que nous atteignîmes un orgasme ensemble. Matthieu éjacula dans l´anus d’Julie toute brûlante en
poussant un cri de bonheur.
Son compagnon s'appelle Julien et cela me rappelle ce jeune couple militant bisexuel d'Avignon....
je pourrais vous en dire deuxmots.
claudio
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