Pour que la discrimination soit éliminée de la société, il faut une volonté. Dans les média, elle n'y est
pas Au lendemain de la tuerie à Orlando, l’absence des termes « gay » ou « homophobe » à la Une de nombreux journaux français, a suscité
la polémique…
Les Unes de «Libération», «Le
Parisien», «Le Figaro» et le «Sud-Ouest» du lundi 13 juin 2016 - Capture d'écran
Clio Weickert
Publié le 13.06.2016 à 21:13
Mis à jour le 13.06.2016 à 21:13
Après avoir fait « allégeance » au groupe Etat islamique, un Américain identifié comme Omar Mateen, à Orlando, dans un night-club
gay. Au « Pulse » pour être plus précis, une discothèque emblématique de la communauté LGBT en Floride.
Mais si au lendemain de la tuerie, tristesse et colère étaient partagées aux quatre coins du monde, en France, une polémique est née. La
cause ? L’absence ou le peu de visibilité en Une de certains grands journaux de l’hexagone, des mots « gay » ou « LGBT » accolés à
celui de la discothèque, ou du mot « homophobe » pour qualifier l’attaque du terroriste.
« Nuit d’horreur en Floride » a titré le Parisien, « Orlando, nouvelle plaie
béante » pour Libération, ou encore « Attentat islamiste à Orlando, la terreur et la haine » pour Le Figaro.
Etats-Unis : Un étudiant fait un discours homophobe devant toute l'université
Le débat sur l'homosexualité avait pris une dimension disproportionnée en France ; certains propos tombant carrément dans l'homophobie. Aux
États-Unis, certains vont même jusqu'à prêcher l'homophobie. Heureusement que des étudiants ne laissent pas passer ce genre de chose !
D'après le site de L'huffpost , mardi et mercredi dernier, un prédicateur chrétien controversé s'est rendu sur le campus de l'université James
Madisson, en Virginie et a prêché la "bonne parole", SA bonne parole. Ross Jackson, le fondateur du groupuscule "Tous les homos' vont en Enfer", condamnait l'homosexualité, la consommation
d'alcool et la musique country (sérieusement mec ? !). Mais seulement a-t-il eu le temps, Bible en main, de déballer 2-3 de ses âneries, qu'un jeune étudiant a pris sa guitare et s'est mis
à chanter un hymne à l'amour pour couvrir les inepties du prêcheur. Tout de suite repris en masse par une foule d'étudiants, le prédicateur s'est retrouvé tout bête, et son message n'était
plus entendu par personne. Pas tout le monde aurait réagi de la sorte, rappelez-vous, aux États-Unis, cet étudiant gay rejeté d'une fraternité étudiante
Heureusement que ces étudiants étaient là pour faire taire le prédicateur ! Car une étudiante sur place a eu le temps de relayer quelques
propos de Ross Jackson, et c'est terrifiant : "Allez-y mollo sur la masturbation ! Si vous aimez trop ça, c'est que vous êtes un potentiel homosexuel !" En somme, ce qu'on fait ces
étudiants est une réponse intelligente et pacifique à la violence de l'homophobie. Plus tard, il a été contraint de quitter le campus par la police et risque d'être arrêté s'il y remet les
pieds. C'est ce genre de prêcheur qui incite à la violence physique contre les homosexuels, c'est à cause de ce genre de personne qu'un homme a été après l'attaque de deux garçons
homosexuels. Mais pour montrer que ce genre de personne peut être combattue, meltyCampus vous laisse la vidéo de la réaction de ces étudiants américains :
Environ 500 Calgariens se sont réunis à la place Olympique dimanche soir dans un geste de solidarité avec la communauté LGBT après ce qui a été déclaré comme étant la fusillade la plus
meurtrière de l'histoire des États-Unis. L'une des organisatrices du rassemblement, Visa Dekline, a raconté son réveil - l'application de contrôle de sécurité de Facebook sonnant
régulièrement sur son cellulaire pour la prévenir que ses amis étaient sains et saufs - ainsi que son incompréhension, avant de lire les nouvelles.
Je pense que c'est vraiment important pour la communauté de se réunir pour pleurer, guérir, d'être ensemble pour montrer au reste du monde que cela ne va pas nous éliminer. Nous sommes
plus forts que ça. Nous n'allons pas nous laisser opprimer par la violence.
Visa Dekline, l'une des organisatrices du rassemblement de soutien à Calgary
La tour de Calgary et le pont Langevin ont été allumés aux couleurs de l'arc-en-ciel.
Rassemblement à Edmonton dimanche soir, en soutien aux victimes de la fusillade d'Orlando, en
Floride. Photo : Zoe Todd/CBC
À Edmonton, quelques centaines de personnes se sont aussi réunies devant le parlement pour rendre hommage aux victimes de la tuerie. Mickey Wilson, le directeur général du Centre de la
fierté d'Edmonton, a confié que cet événement tragique était « comme un coup de pied dans l'estomac », après une semaine à célébrer la fierté LGBT dans la ville.
C'est l'ombre de la violence et de la haine qui montre l'importance de la marche vers l'équité et du mouvement vers l'égalité entre toutes les personnes. Chaque fois que cette ombre
émerge et montre son visage laid, cela fait mal, oui, cela fait mal.
Mickey Wilson, directeur général du Centre de la fierté d'Edmonton
De son côté, le maire d'Edmonton, Don Iveson, a apporté son soutien aux victimes. « C'est vraiment difficile à croire, que cela puisse encore arriver », a-t-il déclaré, ajoutant
que les Edmontoniens se tenaient « fermement debout contre la haine ».
Le Conseil des communautés musulmanes d'Edmonton a, pour sa part, publié une déclaration dimanche soir pour condamner les attaques.
c'est un voilier de 12 mètres, équipé croisière, disposant de couchages pour 9 personnes, une cuisine avec four et
frigo. il y a 250 litres d'eau douce, du 12 V à bord, mais pas de 220! C'est une maison qui navigue, un peu comme un mobile-home. Habituellement à Marseille, son port d'attache,
SAUF CELLE-CI CONTREQUI APPARTIENT A gaywaterworld CLAUDIO A CHOISI DES
ILLUSTRATIONS QUI SONT DONC FAKE MAIS BIEN A PROPOS
L'annonce disait...
La convivialité, la bonne humeur et le partage des tâches (approvisionnement, cuisine, nettoyage, manoeuvres) sont de règle à bord.
présentations ! bienvenue ! Le naturisme aussi, c'est plus agréable et plus pratique sur un bateau, et ca éloigne les marques de la civilisation.
On apprécie les garcons pas coincés, on redoute les couples qui se croient en charter de noces, on préfère les célibataires disponibles aux échanges
et bien dans leur peau aux mecs dépressifs qui cherchent une thérapie.
dispos aux échanges...
revue de paquetage...-lol-
On vit cool, ce n'est pas un séjour sportif de régatiers acharnés, mais de garcons qui aiment la vie et la nature sauvage, sans efforts
inutiles.
et bailler...et dormir...et rêver...et sourire...
On se contente de peu, on accepte le sel et le soleil, la vie de robinsons.
gay bouffe !
La vie du bord est rythmée par la météo et la navigation, de mouillage en mouillage.
Chacun participe à la préparation des repas, à la vaisselle, au nettoyage quotidien du bateau. Tout se décide de manière conviviale, sauf la navigation où le capitaine a le dernier mot des diverses envies, pour d'évidentes raisons de sécurité
collective.
Il n'est pas nécessaire de connaitre la voile, pourvu que tu sois prêt à aider à la manoeuvre. Ce n'est pas compliqué, les grecs le font depuis 3000
ans, et le skipper connait son bateau. Il vaut quand même mieux savoir nager, et être en bonne forme physique, agile et débrouillard. Etre amariné est évidemment un plus certain.
gay navigation
chanter avec matt simons :
There's a place I go to
where no one knows me
It's not lonely
It's a necessary thing
It's a place I made up
Find out what I'm made of
The nights are stayed up
Counting stars and fighting sleep
Let it wash over me
Ready to loose my feet
Take me on to the place where one reviews life's mystery
Steady on down the line
Lose every sense of time
Take it all in and wake up that small part of me
Day to day I'm blind to see
And find how far
to go
Everybody got their reason
Everybody got their way
We're just catching and releasing
what builds up throughout the day
...:...
We can tell eachother secrets
and remember how to love
En ce qui concerne l'intimité, un bateau n'est pas le lieu idéal pour s'isoler, même à deux, ou rester pudique. Tout le monde voit tout, entend tout, et il vaut mieux considérer cela comme une incitation à la liberté que comme un inconvénient.
Les autres t'acceptent, accepte-les. Ne les agresse pas avec des parfums capiteux, des portes fermées, des jalousies déplacées, des exigences
personnelles, une morale de curé. Il y a des fumeurs, des buveurs, des insomniaques, etc, et personne n'a honte, on préfère en rire. Pour la drague et le sexe, il n'y a ni interdits ni obligations à bord.
Chacun est libre de faire ce qui lui plait, pourvu qu'il ne contraigne personne.
Ne croit cependant pas que tu sera pris en charge, l'entraide du bord se partage : le bateau n'avance pas tout seul, surtout si le temps se lève. Un
ou deux équipiers dégourdis sont alors utiles si une manoeuvre est délicate. Si on ne veut pas vivre dans un foutoir permanent, il faut bien ranger, nettoyer, en partageant les tâches tous les jours. A 8 dans un petit espace, ca encombre et salit vite... nettoyage de pont quotidien, surtout si on met de l'huile solaire, pas de vaisselle qui
traine, chacun tient ses affaires dans ses équipets.
Chacun participe spontanément à ce qu'il sait faire, mais la contribution est minime, on ne tient pas de feuille de corvées, et le capitaine ne
donne pas d'ordres, sauf raison de sécurité. En particulier, il est interdit de s'absenter du bord sans le prévenir quand on est au mouillage (on ne va pas vous attendre si on doit lever
l'ancre...).
fréquenter les ports. Mais en principe, même sans aller loin, on prefère aller mouiller dans une crique peu fréquentée, afin que la tranquillité
soit totale à bord. Le choix des destinations dépend des équipiers et de la météo, il peut changer en cours de route. On passe ainsi un ou plusieurs jours entre nous, avec les libertés que cela permet.
Les calanques : -Sugiton, un mouillage magnifique dans une calanque naturiste gay-friendly, où il fait bon prendre le pastis
sur le pont le soir, quand les cigales se taisent, et se baigner à la pleine lune ou sous les étoiles. C'est un grand classique dont on ne se lasse pas. -Envau, Port Miou du coté de Cassis. -Le Rove et l'Estaque, avec leurs madragues ponctuées de bunkers enfouis sous la végétation.
Les iles : -Le Frioul et ses criques bleues, ses terrasses de café, ses vestiges militaires, le coucher de soleil sur Marseille, est la seule
habitée. -L'archipel de Riou, la plus grande au large des calanques, avec sa plage de sable fin, et ses voisines, Plane, le Congloué, toutes désertes et peu
fréquentées.
Plus loin, Porquerolles mais surtout Port Cros, parc naturel marin protégé, sont des séjours plus longs.
Le choix des destinations dépend des équipiers et de la météo, il peut changer en cours de route.
chanter avec matt simons :pour la traduction des paroles aller sur la coccinelle avec le titre catch and release ...Bisous à tous
ceux qui naviguent avec moi avec nous claudio
Yadh Krendel, le président de Shams, raconte comment a été créée l'association et pourquoi, aujourd'hui plus que jamais, ses
militant.e.s ont besoin d'aide face aux pressions du gouvernement tunisien.
Vivant en France depuis quelques années et ayant accepté mon homosexualité grâce à SOS homophobie et l’excellent forum Et alors ? j’ai décidé de créer en novembre
2014 une page de soutien aux minorités sexuelles en Tunisie. A l’époque, je l’ai appelée «Pour la dépénalisation de l’homosexualité en Tunisie». Le nom en disait long sur l’objectif
principal de cette page. Elle était avant tout un espace de débat. Je voulais que ce dernier soit mené dans le respect mutuel. Très vite, les messages haineux et homophobes affluèrent. Fort
heureusement je reçus aussi beaucoup de messages de soutien ainsi que quantité d’appels à l’aide et de messages de désespoir et de détresse de la part de jeunes homosexuel.le.s et
bisexuel.le.s. Une association pour défendre ces minorités sexuelles, pour les aider au milieu de cette société homophobe et pour lutter pour l’abrogation de l’article 230 était plus que
nécessaire.
Il y a quelques années, sous la dictature de Ben Ali, militer pour cette noble cause aurait été absolument inenvisageable, voire suicidaire.
Le vent de liberté apporté par cette révolution inachevée a rendu le terrain favorable à la création de l’association. Je dis bien inachevée, parce que nous attendons toujours les
révolutions culturelle et sexuelle.
De jeunes militant.e.s très motivé.e.s voulurent se joindre au mouvement. Le 23 janvier 2015, je suis allé à Tunis pour organiser avec
quelques-uns d’entre eux/elles l’assemblée générale constitutive à l’issue de laquelle tou.t.e.s les membres du bureau exécutif furent désigné.e.s. Nous dûmes réitérer le dépôt de la
demande jusqu’à ce que nous fussions autorisés à entamer nos activités. Le nom de l’association quant à lui, fait référence au grand mystique soufi Shams de Tabriz, l’amant du professeur
théologien mystique Djalâl ad-Dîn Rûmî. Cet amour transforma Rûmi en un poète. J’ai eu cette idée après avoir lu Soufi mon amour, un roman d’Elif Shafak qui, aujourd’hui, compte
parmi mes romans préférés.
Dès lors, une campagne médiatique acharnée, malsaine et sans aucune éthique journalistique fut lancée par la plupart des médias locaux. Nous
commençâmes à recevoir des menaces de mort ainsi que des messages haineux sur nos messageries. Certains membres ne pouvaient même plus rentrer chez eux parce qu’ils avaient reçu la visite
de fanatiques à leurs domiciles. Nous dûmes alors héberger les membres en danger dans notre local.
Après ces moments périlleux, il y eut les différents événements que nous avons organisés ou auxquels nous avons participés. Des réunions
publiques, des débats médiatiques, des meetings, des activités culturelles telles que la projection du film Politique de Walid Tayaâ, des interventions de personnalités publiques,
de leaders d’opinion et d’artistes – citons à titre d’exemple: Raja Ben Slema, Lina Ben Mhenni, etc. Nous avons par ailleurs, projeté un court métrage qui traite de la situation des
homosexuels en Tunisie produit par Shams et réalisé par un de nos membres, Ayoub Moumen. Une conférence de presse a été organisée le 3 octobre 2015 pour présenter nos activités et notre
stratégie. Nous avons aussi participé à une autre conférence de presse avec l’association tunisienne de défense des minorités lors de laquelle nous avons débattu sur les libertés
constitutionnelles. Un front associatif pour les libertés individuelles a été créé. Ce front est formé par les associations: Damj,Beyti, Free Sight, FTDH (Fédération Tunisienne des Droits de l’Homme), le Réseau euro-méditerranéen des
droits de l’Homme et Shams. Enfin, nous avons participé aux Etats Généraux LGBT en France en
présence de plusieurs associations françaises. Nous avons aidé des jeunes rejetés par leurs familles en les hébergeant dans notre local. Pour toutes ces activités, nous dûmes nous
autofinancer parce que l’État tunisien a bloqué la parution de la création de Shams sur le JORT (Journal Officiel de la République Tunisienne), étape obligatoire pour pouvoir ouvrir un
compte en banque.
Il y eut ensuite les affaires d’arrestation des jeunes homosexuels. De là commencèrent les ennuis. Nous lançâmes les campagnes «Free Marwen Test de la honte jusqu'à quand ? et «Free Awled Kairouan» pour soutenir les victimes de cet
article poussiéreux qui, aussi bizarre que ça puisse le paraitre, date de 1913 et aussi pour dénoncer les tests de la honte. Ces campagnes finirent toutes par de relatifs succès.
La première affaire d’homosexualité médiatisée après la création de notre association est celle de Marwen. Elle a fait polémique à cause de
cette nouvelle pratique médicale ignoble qu’est le test anal. Marwen fut ensuite libéré et nous pensions que ces pratiques nauséabondes allaient s’estomper. Eh bien, non! Quelques
semaines après,six jeunes ont été arrêtés à Kairouan. Leurs ordinateurs et leurs téléphones portables furent fouillés de fond en comble. Des vidéos gays ont été trouvées et les jeunes
durent passer le test de la honte. L’un d’entre eux a témoigné à un membre de Shams qu’il avait refusé de faire le test et que ça lui a couté un passage à tabac. Le malheureux dut, à la
fin, se soumettre à cette humiliation inhumaine. Les six jeunes ont ensuite été condamnés à trois ans de prison, soit la peine maximale prévue par l’article 230.
Les conditions de détention étaient plus que déplorables. À leur entrée, ils furent même obligés de dormir par terre sans couverture pendant
les nuits glaciales et humides de décembre. La rumeur sur l’origine du délit circula très vite au sein de la prison. S’ensuivit une humiliation consternante par les surveillants
pénitentiaires et les codétenus. La barbarie qu’ont subie les jeunes est sans égale. L’un d’entre eux a même tenté de se suicider.
La fin de l’année 2015 fut marquée par l'interdiction de l'association émanant du président du tribunal de première instance de Tunis
suite à une plainte déposée par un représentant du gouvernement. Nous dûmes faire opposition à cette décision. L’affaire devait être jugée le 12 janvier 2016 mais a, en fin de compte, été
reportée à l’audience du 19 janvier.
La plainte se base sur trois motifs. Nous avons d’abord été accusés d’avoir changé le nom de notre association de «Shams» en «Shams pour la
défense des homosexuels». Or, ce sont les médias qui nous ont attribués ce nom. Le deuxième motif étant la création d’une antenne à Sousse qui ne nous a jamais appartenue. En vérité, il
s’agissait d’une page créée par des sympathisants de la cause pour nous soutenir et qui a ensuite été fermée. Il est scandaleux qu’un État, dit démocratique, aille chercher ses informations
sur les réseaux sociaux. Le dernier motif est le fait qu’on ait mentionné dans notre statut les minorités sexuelles alors que nous défendons les homosexuel.le.s. Ce fondement ne tient
vraisemblablement pas la route puisque les homosexuel.le.s font partie intégrante des minorités sexuelles. Nous reconnaissons donc le fait de défendre les homosexuels et ce, conformément à
notre statut.
Aujourd’hui, Shams a besoin de soutien. Comme nous l’avons préciséous avons besoin du soutien de tout le monde. Ne serait-ce que pour le
respect de cette démocratie tant convoitée. Nous cherchons aussi du soutien sur la scène internationale afin de faire pression sur le gouvernement tunisien pour qu’il respecte toutes les
conventions internationales qu’il a signé.
Shams France devrait voir le jour à la mi-juin et compte déjà une dizaine de militant.e.s. Yagg a rencontré Yacine et Yadh, engagés dans la création
de cette association LGBT.
Yagg a rencontré Yadh Krendel et Yacine Djebelnouar, à l'origine de la création très prochaine de Shams France, qui vise à lutter pour la
dépénalisation de l'homosexualité en Tunisie, mais aussi à regrouper les personnes LGBT arabes en France. Yadh Krendel vit en France depuis plusieurs années, Yacine, lui est d'origine algérienne.
Ils expliquent quels sont les buts de cette association.
En savoir plus sur http://yagg.com/2016/06/03/yadh-et-yacine-ils-vont-bientot-fonder-shams-france-une-association-pour-la-communaute-lgbt-maghrebine/#SGxeJ1yx2s26chUq.99
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...