CULTURE GAY & SOCIETES

Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 07:11

  Tristan  & Chris in Venice ...Un  voyage à Venise ne doit pas se limiter à la visite de sa place Saint-Marc et des abords du Rialto. Non. Pour nous qui ne sommes pas asexuels.  

Afficher l'image d'origine

 

 

 

Love with a view! Pete and Emily are still clearly on cloud nine following their wedding that took place a month a go, as they took a gondola ride during their stay in the romantic city

 

 

       Il faut savoir s’éloigner du Grand Canal pour parcourir les autres îles de la lagune. En particulier celle de Burano.

Pourquoi les maisons de Burano sont-elles colorées ?

Située au Nord de la lagune vénitienne, l’île de Burano est réputée pour sa dentelle mais aussi – et surtout ? – par ses innombrables maisons aux façades très colorées.    

  il est fou lui !  quand tout vous incite à l'amour !  

I said I'm not gay or straight fuck that I said I'm asexual because I'm sexy to myself asf

(asf = and so forth -> et ainsi de suite)

Loin d’être une simple coquetterie, le fait de peindre ces habitations avec de telles couleurs vives a une explication logique. La petite histoire veut en effet que ce sont les pêcheurs qui ont eu l’idée de peindre chaque maison d’une couleur différente, afin de pouvoir la reconnaître facilement en cas de brouillard – un phénomène météorologique très fréquent dans cette région en hiver. Aujourd’hui, les maisons colorées de Burano sont devenues un symbole de l’île si bien que la plupart des habitants redonnent un coup de peinture à leurs façades chaque année !

Façades colorées de Burano

 

-"on le drague ? chiche !"

Façades colorées de Burano

 il y a du linge étendu sur la terrasse et c'est joli (Nino Ferrer)

Façades colorées de Burano

 

 

Brexit :

British residents in Burano are ready to leave

-"on est trop bien ici ! pourquoi tu t'en vas l'anglais ?"

 

Fa&ccediccedil;ades colorées de Burano

ici les mecs sont chos ! et ils le prouvent, avec les meufs comme avec les keums !

 

 

Façades colorées de Burano

Façades colorées de Burano

Façades colorées de Burano

Façades colorées de Burano

Façades colorées de Burano

Photos via Flickr –

  -"des tentations, certes il y en eut...mais ceci sera une autre histoire à 3 et +"

Afficher l'image d'origine

 

 

 

 

 

Par TOURISQUE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 18:49

Apocalypse 22:8,9 C'est moi Jean, qui ai entendu et vu ces choses. Et quand j'eus entendu et vu, je tombai aux pieds de l'ange qui me les montrait, pour l'adorer.…Evangile selon Saint Marc : Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l'ayant aperçu, se jeta à ses pieds,

 

faut voir d'où ça vient tout ça et pas commencer à rigoler comme un c...

 

 

Par EVANGILES - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 22:08

ils n'ont pas fait mieux qu'à Moscou les Cubains et les homos ils les ont mis en prison.

Afficher l'image d'origine

les plus PD des deux ne sont pas ceux qu'on pense

L'ancien président cubain a reconnu sa responsabilité dans le traitement "injuste" fait dans les années 1960 aux homosexuels, dont certains ont été envoyés dans des camps de rééducation de l'armée, à l'instar de militants chrétiens, de hippies ou "autres déviants idéologiques". SALAUDS !

Classe ouvrière et oppressions de genre

Mon parcours d’homo dans la classe ouvrière

Publié le 26 juin 2015 dans  

RévolutionPermanente, site communiste d'info

Résultat de recherche d'images pour "manos de obreros"  vous n'irez pas dire le contraire :

          La classe ouvrière a droit au bonheur. On doit défendre la diversité entre les travailleurs,[homos ou pas] et être heureux c’est important. Il y a beaucoup de boulot à faire là-dessus.

Rachid Stali

A l’âge de 16 ans je savais déjà que j’étais différent.

Le parcours de Rachid est loin d’être un cas isolé, et pourtant, son histoire est celle de millions de travailleurs et de travailleuses dans l’ombre. Si assumer sa sexualité, lorsque celle-ci ne correspond pas à la norme hétérosexuelle reste un parcours du combattant dans toutes les couches de la société, ceci est d’autant plus dur lorsqu’on est ouvrier et que les patrons s’en servent pour nous humilier et nous maintenir sous leur domination. Malheureusement, l’histoire des personnes LGBTI dans la classe ouvrière a souvent été aussi celle de la marginalisation de leur lutte au sein de certaines organisations du mouvement ouvrier. Par exemple, l’homosexualité a été pour les appareils staliniens jusque dans les années 1970 “une tradition étrangère à la classe ouvrière”. Or, comme le récit de Rachid le montre bien, la classe ouvrière est aussi gay, lesbienne, bisexuelle, trans, intersexe, etc. Voici un récit de vie et de lutte contre un système qui exploite, opprime et répand son idéologie dans tous les recoins de la société. De quoi donner du courage à l’ensemble des travailleurs et travailleuses dans leurs luttes de tous les jours et celles qui sont à venir.{}{}

Mon père est arrivé d’Algérie en 1947. Il a d’abord travaillé dans les mines du Nord de 47 à 51, puis chez Faure Electroménager, puis chez Porcher, fabriquant d’équipements sanitaires, chez qui il a fini sa carrière. Il s’est marié en 1959 avec ma mère, avec qui il a eu quatre enfants. Je suis le deuxième, né en 1961, un an avant la guerre d’Algérie. A l’âge de 16 ans je savais déjà que j’étais différent.

A quatorze ans, j’avais des copains du quartier avec qui on se posait sur l’herbe l’été parce qu’on n’avait pas d’argent pour partir ailleurs. Tout le monde pense qu’à quatorze ans on s’intéresse aux filles, mais moi je regardais les garçons. Alors que mon frère regardait toujours sous la jupe des filles, je me demandais : « est-ce que je suis normal ? ». Dans ma tête je me disais que j’avais un problème...

A l’époque j’étais apprenti pâtissier en alternance. J’allais à l’école trois semaines, puis trois semaines j’étais en stage. On commençait le travail à quatre heures du matin au lieu de six heures. Le patron disait qu’il fallait fermer sa gueule et les autres employés étaient aussi très désagréables. En fin de compte, j’étais traité comme un esclave. Je travaillais six jours sur sept et je n’étais même pas payé ! Au bout des trois semaines de travail, on me donnait comme « salaire » deux tartes et une brioche. Quand je rentrais à la maison, mon père était écœuré parce qu’il voyait que son fils, un fils d’immigré, se faisait humilier au travail.

Durant ces années je ne montrais aucun signe de qui j’étais au fond, même si j’avais un penchant pour un copain du quartier. Chaque fois que je le voyais, je vibrais, mais je ne pouvais pas l’exprimer par peur du « qu’en dira-t-on ». Les choses se sont compliquées quand je suis entré dans le monde du travail. Mon père m’avait fait embaucher chez Porcher en 1979, j’avais 18 ans. Le samedi, on sortait en discothèque avec des copains du quartier, et pour montrer que j’étais comme eux, je dansais avec des filles. Et il m’arrivait même d’en embrasser ! Mais je le vivais mal, parce que je savais que j’étais différent. Un jour je me suis regardé dans la glace et je me suis dit : « Je suis pédé, comment je vais faire pour m’en sortir ? » Il y avait une peur par rapport aux autres, tu as 18 ans, tu as peur de ton futur.

A l’usine, chaque fois que j’ouvrais mon placard, on me demandait pourquoi je n’avais pas de photos de filles nues comme tous les autres. Dans la classe ouvrière on a beaucoup de ces photos. Les autres me disaient : « T’as vu la belle chatte ? » Je ne disais rien, je n’en avais rien à foutre, j’étais totalement indifférent. On me demandait : « Ce week-end, c’était comment en discothèque ? T’en as baisé beaucoup ? » Je disais que oui, que j’avais beaucoup flirté. Ce n’était pas possible de dire que j’étais homo, surtout quand tu habitais dans un petit bled comme le mien. Les choses se sont empirées quand un collègue a commencé à me dire tous les lundis : « Ça va artaïl ? », qui veut dire pédé en arabe. Je répondais « ferme ta gueule ! », mais ça me faisait mal, parce que c’était la vérité et j’étais obligé de me protéger.

tout le temps partagé entre le désir et l’abstinence

Je suis parti faire mon service militaire en Algérie de 84 à 86 et ça a été très compliqué. A la caserne, j’étais entouré de beaux garçons, mais je me retenais ! Je savais qu’à la caserne il se passait des choses, je savais que l’homosexualité était présente. J’étais tout le temps partagé entre le désir et l’abstinence. Pendant le ramadan, j’ai même repoussé un garçon parce que je ne voulais pas que ça se sache, et pourtant il était très beau ! Une fois que je suis rentré en France j’ai enchaîné différents boulots. J’ai travaillé quelques années dans un fastfood à Paris, puis je suis parti ensuite en Savoie pour travailler sur les chantiers des Jeux Olympiques pendant deux ans.

Finalement, en 1993- à 32 ans !-, j’ai rencontré quelqu’un, un africain bisexuel, et c’est à ce moment là que j’ai commencé à m’assumer. C’est là que ma vie sexuelle a commencé. Je pense que les ouvriers aussi ont droit à une sexualité et aussi droit au bonheur. La classe ouvrière doit aussi être heureuse ! Avec le recul, j’ai des regrets parce que j’aurais dû m’assumer plus tôt, mais la situation ne me le permettait pas, surtout en province et dans un petit bled.

Dans ma famille on commençait à se demander pourquoi je n’étais pas marié alors que tout le monde était casé et avait des enfants, ils voulaient me voir comme eux. A un moment je commençais à être asphyxié par les questions et les histoires de mariage, j’ai donc décidé de faire mon coming out. Je l’ai d’abord annoncé à un de mes frères. A l’époque j’étais très amaigri, j’avais l’air malade, c’est pour ça que mon frère a eu peur quand je lui ai dit que j’avais quelque chose à lui dire, il a pensé que j’allais lui annoncer une maladie. Mon autre frère qui travaille à la SNCF, qui est quelqu’un de très sensible, s’est mis à pleurer en disant que je serai toujours son petit frère, mais qu’il avait peur des agressions possibles (qui à l’époque étaient monnaie courante) et des conséquences auprès de la famille ou dans le quartier. Quant à mon père, il est décédé avant mon coming out. C’était bien sûr une grande douleur, mais je suis content de ne pas lui en avoir parlé, je ne voulais pas le blesser. Mes frères étaient d’accord, je ne sais pas comment il aurait réagi.

En 2005 je suis arrivé dans les cuisines d’un établissement de l’enseignement supérieur. Le chef avait l’air sympa au début et les collègues aussi. En 2007 ils savaient tous que j’étais homo, et le chef disait que ça ne lui posait pas de problème, mais ce n’était pas vrai dans le fond, la suite l’a montré. Il m’invitait dans son bureau, où il me montrait des images porno sur son ordi pour voir ma réaction, ou parfois il me poussait sur une collègue en disant « vas-y ! ». Mais je fermais ma gueule parce que j’étais en CDD ! J’étais le pédé de service et ils me le faisaient tous savoir. Tout ça parce que j’étais précaire. Si je n’avais pas été précaire, je ne me serais pas laissé faire ! Et la direction de l’établissement n’a rien fait pendant des années. C’était vraiment pire qu’à l’usine.

Un jour, après une première assemblée générale, une grève éclate. Je croise le chef et je dis « bonjour chef, vous allez bien ? » et il me répond « ça va petit pédé ? ». Le masque était tombé... Il se servait de ma précarité et de ma sexualité pour m’écraser. Il s’en prenait à moi parce que j’avais décidé de faire grève. Cette grève contre la précarité a aussi servi à dénoncer cette hiérarchie. Des gens étaient en souffrance dans le service parce que le chef était aussi sexiste et raciste, il fallait qu’il parte. A la fin, on a gagné la grève, on a obtenu des CDI et le chef est parti. Malheureusement il a seulement été muté de service, il est toujours là quelque part.

La classe ouvrière a droit au bonheur. On doit défendre la diversité entre les travailleurs et être heureux c’est important. Il y a beaucoup de boulot à faire là-dessus.

Paris Black Pride

N'y voyez aucune propagande car pour moi blancs, noirs, asiatiques etc doivent défiler ensemble, la main dans la main :

C'est une première en France. La  Black Pride française aura lieu du 15 au 17 juillet dans la capitale. Les organisateurs de cette Paris Black Pride viennent de dévoiler les visuels de l'événement.

«La Paris Black Pride favorisera le dialogue sur l'importance de l'inclusion sociale et la visibilité des personnes LGBT de couleur en France et ailleurs en Europe», est-il écrit.

L'association Paris Black Pride fait partie du réseau international de “black prides” du"centre pour l’équité noir "un organisme à but non lucratif basé aux États-Unis.

Une partie du programme a pour l'instant été annoncée. Il s'agit de trois soirées. Une Black & White party le 15 au Carré Ponthieu, une Ebony au Pavillon Vendôme le 16 et une BBB aux Folies Pigalle le 17. D'autres événements, ainsi que des parrains ou marraines, devraient être bientôt révélés.

Cette première édition rendra hommage à l'écrivain James Baldwin et à la chanteuse Joséphine Baker.

Le 26 juin, Londres organise également une black pride: la "UK Black Pride"


En savoir plus sur http://yagg.com/2016/06/10/en-juillet-la-premiere-paris-black-pride/#whUOFyujIWop01KP.99
         
Pourquoi les homosexuels sont-ils maltraités quand ils tiennent la main et embrassent en public quand les hétéros font cela tout le temps?

 

 

Par RACHID STASI - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 26 juin 7 26 /06 /Juin 08:06

USA  Fraternités, y compris fraternités gay : Fraternités et sororités (respectivement de frater et soror mots latins signifiant « frère » et « sœur ») sont des organisations fraternelles sociales pour les étudiants, essentiellement de premier cycle et se réfèrent principalement aux USA bien qu'ils soient également appliqués à des groupes analogues en Europe. Des organisations semblables existent aussi pour les élèves du Lycée mais moins fréquemment....X

notre naïf camarade :  

Bareback Cum Dump : de bons iphones ont permis ces beaux clichés

 

 

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Eli Hunter and his housemate take multiple bareback loads in bareback group sex scene for gay porn site Sketchy Sex.

Depuis juillet de l'an dernier -ça fait un an- , je me suis confié à vous et ai révélé certains de mes secrets les plus profonds et les plus sombres. Mon "voyage" en votre compagnie  a commencé quand j'ai offert mon jeune cul à l'ami de mon papa pour obtenir une lettre de recommandation pour ma fraternité, la FraterintéX un des groupes-clubs de l'université. J'ai été bizuté de façon homo-érotique, bien entendu, et, tout au long de la cérémonie de bizutage ma détermination et mes sentiments ont persisté ! Invité à la fraternité rivale,-un autre groupe sympa- j'ai essayé de fumer de la marijuana et j'ai été initié au sexe sans capote. A cette occasion, ils m'ont enculé à tour de rôle bareback et ils m'ont enfilé en rigolant une bouteille de bière dans le cul !  
Je ne voulais surtout pas -dans ce "couvent"-lol- prononcer des voeux définitifs et je cherchais à me rassurer que tout ça ne pouvait pas faire de moi définitivement un "homosexuel" -lol-

Le débat a atteint son point culminant quand j'ai dit à mes frères de ma fraternité ce qui est arrivé et ai demandé leur avis et leur aide. Ils m'ont dit que c'était parfaitement normal et naturel d'aimer se faire décharger dans le cul sans capote, et, tout compte fait, ils étaient juste fâchés de ne pas avoir été les premiers pour à donner de l'éducation à mon cul. A ce moment donné, c'est de cette nuit-là, que proviennent les photos ci-dessus de mon cul possédé "à cru" collectivement par chacun de mes frères de ma fraternité, la Fraternité X

 

Manhunt Daily ,journal. Since July of last year, I’ve confided in you and revealed some of my deepest and darkest secrets. My journey began when Ibottomed for my dad's friend to get a letter of recommendation for my fraternity. The feelings continued during myhomoerotic hazing ceremony. Over at the rival frat, I tried smoking marijuana and had gay bareback sex. Then they gang  banged me bareback and shoved abeer bottle up my ass.

All of this time, I was looking for reassurance that none of this made me gay. It came to a boiling point when I told my frat brothers what happened and asked for their help. They told me it was perfectly normal and natural to love being a bareback cum dump, and all in all, they were just angry that they didn’t get to be the first ones to breed my ass. From there, the night went something like all these pictures of me getting collectively fucked by my brothers of FraternityX:

 

 

 

 

 

 

 

 

Par manhunt journal - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 21 juin 2 21 /06 /Juin 00:03

l'affiche :

Afficher l'image d'origine

 

le clip :

 

 

 

Par MARVIN LA QUEEN - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • arabic128
  • CUT 03
  • BeachPattyCakes
  • CIRCUM 03
  • HE LIKES IT 2
  • STRANGE CHURCH HOBBIT WORLD

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés