1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Samedi 18 janvier 6 18 /01 /Jan 01:31

SAUTER LE PAS

Rémi ne porte rien en dessous à l’hôpital

 

Au cours de ma deuxième année à Paris, Rémi passait de plus en plus de temps à l’hôpital dans le cadre de son internat.

Je passai le voir de temps en temps. Il était vêtu comme un infirmier avec un pantalon et une chemise très légers. Ce petit coquin ne portait rien en dessous. Cela nous excitait fortement tous les deux. Il m’arrivait de passer à l’hôpital de temps en temps et nous faisions l’amour dans les chambres vides, quand il était de garde la nuit. Sexe à l’hôpital, un beau fantasme !

Un jour, lors d’une de mes visites, Rémi me confia qu’il avait complètement craqué pour un de ses patients.

— Laisse-moi t’expliquer, Matthieu. Il doit avoir dans les 16, 17 ans et il est absolument craquant. Évidemment, je n’ai pas encore eu l’occasion de le draguer… mais figure-toi que je crois bien qu’il est homo.

— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

— Eh bien, en fait, Maxime, c’est son nom, s’est salement fracturé les deux poignets et nous sommes donc obligés de lui faire sa toilette sur son lit.

— Très sensuel…

— L’autre jour, c’est une infirmière qui l’a faite alors que je regardais son dossier médical. Bien sûr, j’ai bien maté son joli petit zizi quand elle l’a lavé. Le jour suivant, nous avons inversé les rôles avec ma collègue, et figure-toi que quand c’est moi qui l’ai lavé, ce petit coquin s’est mis à bander comme un fou.

— Tu plaisantes ?

— Non, il était terriblement gêné. Et le jour d’après, quand ce fut le tour de ma collègue, plus rien du tout.

— C’est clair… Tu lui fais de l’effet !

— Tu n’as pas idée. Je suis comme un fou. J’ai tellement envie de le baiser. Tu sais que je n’ai jamais dépucelé un mec et j’en crève d’envie.

— Non, tu plaisantes ? Mon petit Rémi, celui-là, il est pour toi… à condition que tu me laisses t’aider un peu.

— Marché conclu.

Nous avions un plan : le service de Rémi était petit, quelques chambres seulement, et il était seul à partir du service du dîner et pour la garde de nuit. Nous avions donc les prochaines nuits devant nous. La « proie » devait encore rester une semaine à l’hôpital. Pendant cette semaine, «j’allais être le nouvel interne, collègue de Rémi», et les 2 « docteurs » allaient bien s’occuper du malade.

Je suis donc arrivé à l’hôpital le premier soir, je me suis foutu à poil avant d’enfiler juste une blouse blanche. Nous sommes ensuite partis en tournée. Après deux cas sans intérêt, ni sexuel, ni médical, nous sommes arrivés dans la chambre de Maxime. Et là, je compris Rémi… Un visage d’ange, une frimousse adorable, des yeux bleus, des taches de rousseur, une tignasse brune d’ado sur la tête, une peau assez claire. Il devait avoir autour de 16 ou 17 ans. J’eus alors un flashback : je revis les corps nus et magnifiques de Julien et d’Adrien, et repensai à la première fois avec chacun d’eux. Je voulais vraiment que Rémi ait cette chance aussi.

Rémi déclara : « C’est l’heure de la toilette ». Maxime rougit. Il savait ce qui allait se passer. Rémi le déshabilla. Quel corps ! Une peau assez blanche, imberbe, d’une douceur de lait, une toison très brune. Une bite de taille moyenne, mais toute mignonne. Je verrouillai la porte d'entrée de la chambre.Rémi commença à le laver. Maxime se mit à bander, petit à petit ; on voyait qu’il essayait de se retenir mais il n’y arrivait pas. Il rougit :

— Je, je… Je suis vraiment désolé.

— Ce n’est pas grave, ajoutai-je, laisse-toi faire par le docteur Rémi. Laisse-moi juste contrôler si ton cœur est normal.

Je sortis mon stéthoscope sur son petit cœur et écoutai les battements accélérés alors que Rémi continuait la toilette.

— mmmh je vois que le Docteur Rémi fait de l'effet sur toi !

Maxime ne disait rien. Après l’avoir rhabillé, Rémi déposa un baiser sur ses lèvres : « Ne t’inquiète pas Maxime, tout cela est parfaitement normal. Tu es entre de bonnes mains. Nous allons bien nous occuper de toi. » Maxime était incrédule. Il ne réagit pas. Nous avons ensuite quitté la pièce

Le deuxième jour, quand nous sommes entrés dans la chambre, Maxime souriait. Il demanda timidement :

— Le docteur Matthieu peut-il me laver aujourd’hui ?

— Je ne vois pas de contre-indication, répondit Rémi.

Je commençai une toilette sensuelle. Rémi s’était approché de Maxime pour caresser son visage d’ange et lui donner des baisers. Maxime bandait comme un taureau. Après la toilette, nous l’avons laissé nu sur le lit. Rémi est allé chercher un petit pot, utilisé normalement pour les analyses d’urine.

— Nous allons faire un petit test, dit-il.

Nous avons commencé à masturber Maximum à tour de rôle. Maxime était aux anges. Avec deux poignets cassés, il n’avait pas dû se branler depuis un moment. Au moment où il s’apprêtait à jouir, nous avons approché le petit pot pour tout recueillir. Le sperme était magnifique, abondant, d’un blanc de lait. Rémi est allé le diluer dans un peu d’eau, puis est revenu devant Maxime. Il a ensuite gouté le mélange :

— Mmmh, je pense que ce garçon est tout à fait normal. Le test de sperme est positif.

Il me fit goûter également. La boisson était délicieuse. Cela faisait longtemps que je n’avais pas gouté un foutre aussi bon. Maxime était intrigué…

Rémi déclara :— Cela te ferait beaucoup de bien à toi aussi. On pourrait en rajouter à ton régime alimentaire.

Il s’approcha du plateau-repas de Maxime que nous avions amené avec nous. Il sortit sa bite et commença à se masturber au-dessus de l’assiette de purée. Je le rejoignis pour faire de même. Nous avons ajouté tous les deux notre sauce à la purée et mélangé le tout. Bien sûr, Maxime, avec ses deux poignets cassés, avait besoin de nous pour manger. Rémi et moi lui tendîmes tour à tour des cuillerées de purée. À la première cuillerée, il hésita à ouvrir la bouche, mais il accepta finalement.

Après avoir avalé, il nous livra un grand sourire :

— C’est délicieux, j’en veux encore.

Nous l’avons donc régalé, à la cuillère ou directement avec nos doigts qu’il lécha avec gourmandise. Maxime ne tenait plus :

— Rémi, Matthieu, faites-moi l’amour, s’il vous plait. Je ne tiens plus. Je veux essayer.

Il était brûlant de désir, il tendait ses deux bras cassés vers nous. Rémi répondit :

— Tu as encore besoin de repos, ne brusquons pas les choses. Nous allons faire cela petit à petit.

Nous l’avons abandonné là, nu sur son lit. La frustration allait l’exciter comme un fou, il serait donc parfaitement à point les prochains jours.

Le lendemain, même rituel : nous avons commencé par laver Maxime. Rémi dit ensuite :

— Aujourd’hui, ton traitement t’impose des bites à volonté.

Je me suis mis à poil ainsi que Rémi. Maxime n’en revenait pas. C’était la première fois qu’il nous voyait nus. Rémi ne tenait plus : il se jeta sur la petite bite de Maxime et la suça avec frénésie.

— Mmmh quelle petite bite délicieuse, dit-il en se régalant.

Entre-temps, je roulai des pelles à Maxime. C’était sa première pipe, et comme pour tout puceau, ce qui devait arriver arriva, au bout d’une minute à peine, il jouit abondamment dans la bouche de Rémi.

— Je…je suis vraiment désolé, dit-il, embarrassé que cela fut si court, mais ravi de s’être fait dépuceler la queue en même temps

— C’est rien mon chéri, dit Rémi, tu vas te consoler en nous suçant. Nous avons donc allongé Maxime sur son lit et nous sommes mis de chaque côté. Il nous suçait alternativement, ses petit bras plâtrés sur nos fesses. Cette petite salope avait l’air d’aimer ça.

— C’est bon, hein ? dit Rémi.

Rémi est ensuite passé se mettre à califourchon sur le ventre de Maxime pour lui planter son dard dans la bouche tandis que je suçai ce bel adolescent. Sa queue était encore petite, mais tendre et douce. J’étais terriblement excité de sucer un mec aussi jeune. Maxime était survolté comme un fou, il cambrait son petit corps imberbe. Il supplia Rémi de lui donner son foutre. Décidément, Maxime voulait tout tout de suite. Je repensai à mes premières fois mais moi je n’étais pas aussi accro au foutre au début. Rémi inonda le visage de chérubin de Maxime, ses taches de rousseur se couvrirent de sperme. C’était magnifique. Je branlai ensuite Maxime pour le faire jouir dans ma bouche. Son sperme était délicieux, encore meilleur pur que dilué.

— C’était génial, docteurs, nous dit Maxime.

Pour finir, Rémi et moi nous sommes branlés dans sa bouteille d’eau que nous avons ensuite bien secouée.

— Comme ça, tu penseras à nous à chaque fois que tu boiras.

Le jour suivant, nous avions décidé d’initier Maxime à la sodomie. Il fallait d’abord commencer par ce qui fait le moins mal ; nous allions donc lui offrir nos trous pour commencer. Après avoir lavé et sucé Maxime, nous l’avons sorti de son lit. Il était tout mignon debout, tout nu, sexe au garde à vous, avec ses deux plâtres.

Rémi s’est allongé sur le lit, jambes écartées :

— Maxime, encule moi maintenant.

— OK, mais dis-moi si ça te fait mal.

C’était chou, il était tellement gentil. Comment quelqu’un comme Rémi pouvait avoir mal à recevoir une petite queue comme la sienne dans son cul ! Maxime le pénétra sans problème. Une fois en Rémi, son visage s’illumina :

— Oh, c’est génial, génial.

Il commença à bouger son petit zizi dans le cul de Rémi. Là encore (pauvre puceau…) il jouit au bout d’à peine une minute. Rémi était ravi, il ressentait une fierté énorme d’avoir été le premier cul de Maxime, il sentait aussi son sperme abondant, comme chez tous les jeunes ados, couler en lui. J’offris ensuite mon trou à Maxime également, dans la même position. Maxime ayant déjà joui, il pouvait ainsi m’enculer longtemps sans risquer de se vider encore.

Rémi était fasciné de voir Maxime m’enculer. Il se mettait derrière lui pour admirer ses deux petites fesses bouger et voir ses épaules légères. Il s’approcha de Maxime et lui collait une main sur les fesses pour accompagner les mouvements de sodomie. Il l’encourageait, lui embrassait les épaules. J’étais comblé d’avoir cette petite queue en moi. Tout le monde jouit ensuite ensemble, Maxime dans mon cul, moi sur mon ventre et Rémi sur les petites fesses blanches et rondes de Maxime.

Le lendemain, la fin du séjour de Maxime approchait et il tardait à Rémi de goûter son petit cul vierge. Il ne s’agissait pas de faire mal à ce petit ange non plus. Maxime était, lui, impatient. Il demanda à Rémi de l’enculer :

— Docteur, s’il vous plaît, prenez-moi, lança-t-il, coquin.

— Aujourd’hui, il faut te préparer, lui répondit Rémi.

Tout le monde se mit à poil. Maxime était sorti de son lit, debout, bras sur le lit, jambes écartées, nous offrant son cul. L’auscultation pouvait commencer. Rémi écarta les fesses, laissant apparaitre une petite rosette intacte, imberbe. Rémi maintint les fesses écartées et commença à lécher. Maxime fut surpris par cette sensation nouvelle, il gémissait de plaisir. Puis Rémi glissa un doigt dans son cul, qu’il sentit incroyablement serré.

— Ça va être fantastique, pensa-t-il.

Rémi me laissa ensuite sa place et je dévorais littéralement le cul de Maxime, tellement petit et frais. Pendant ce temps, Rémi s’était posté devant Maxime dont il observait le visage se tordre de plaisir. Je regardais moi-même le visage de Rémi et il semblait fasciné. Il se masturbait devant le visage de Maxime qu’il finit par inonder de sperme. Ce fut ensuite à mon tour de jouir sur la raie de Maxime, que je lèchai avec plaisir. Maxime finit par jouir seul. Il ne pouvait pas se branler mais son plaisir était si grand qu’il n’avait, de toutes façons, pas besoin de se toucher.

En partant, Rémi sortit de la poche de sa blouse un plug de petite taille et l’introduisit sans trop de difficultés dans le cul de Maxime qui grimaça quelque peu.

— Il faut que tu le gardes en toi jusqu'à demain. C’est ma prescription. Comme ça, tu seras prêt, lui dit Rémi.

Maxime comprit. Nous le remîmes nu au lit, baisâmes ses petites lèvres et le laissâmes s’endormir.

Le lendemain, je trouvais Rémi plus excité que jamais. Il ne tenait plus. Il voulait enculer Maxime sans tarder. Nous nous rendîmes dans la chambre et nous nous mîmes à poil immédiatement. Pendant ce temps, Maxime s’était allongé sur le lit, jambes écartées, pour nous montrer qu’il avait toujours le plug en lui. Il bandait comme un fou.

— Rémi, je n’en peux plus. Prends-moi, s’il te plait. Sois le premier à me baiser.

Les yeux de Rémi dévoraient Maxime. Il retira le plug du cul de Maxime qui était maintenant suffisamment dilaté pour rendre sa première sodomie moins douloureuse. Quand Rémi entra en Maxime, il était en extase. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Le plaisir physique et psychologique de se taper un petit cul d’adolescent puceau le transcendait. Maxime n’était pas en reste. Depuis le temps qu’il rêvait d’avoir une bite dans le cul. Il était cambré de plaisir, les mains agrippées dans les draps. Je me suis assis sur la chaise près du lit et je les ai matéS en me branlant.

Rémi commença ses mouvements. Maxime monta aussitôt en plaisir et gémit :

— Oh oui Rémi, vas-y, c’est tellement bon.

Rémi, lui, prenait un pied incroyable. Il trempait bien sa bite dans ce petit trou tout serré. Maxime se livrait complètement. Il dévorait Rémi des yeux et se découvrait un côté salope :

— Rémi, défonce-moi, prends-moi complétement. Je suis à toi.

Le sourire de joie et de plaisir de Rémi m’enchantait. L’orgasme vint peu après et le sperme fut versé en abondance dans le cul de Maxime et sur son torse. Moi, je me jouissais dessus et lèchais avec plaisir mon foutre.

Nous terminâmes par une toilette. Toujours nus, Rémi et moi avons lavé intégralement Maxime. Demain, il quittait l’hôpital et il fallait le rendre à ses parents. Nous étions tous les trois tristes de ce départ. Rémi et moi embrassions tendrement Maxime qui versa une larme. Il glissa à Rémi dans un sourire :

— Plus tard, je crois que je ferai médecine moi aussi…

  

MATTHIEU

 

 

 

Par MATTHIEU - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 27 décembre 5 27 /12 /Déc 07:31

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    le coup de foudre pour...BARCELONE... 

Moi j'essuie les verres ...lol

 

Pascal était assis en terrasse d’un café barcelonais, où je travaille comme serveur. Il touillait machinalement un cortado (café-au-lait) qui devait déjà être froid. Prétextant le nettoyage des tables, j’ai observé plus attentivement ce jeune mec triste. Cheveux courts, polo Lacoste, 501, Nike. Le tout dissimulait un corps jeune et musclé sans excès. Il était tôt: 9 heures du matin à peine.

En nettoyant la table juste à côté de la sienne, il a fini par me voir et m’a gratifié d’un sourire furtif. Il souriait comme on appelle au secours. À ses côtés étaient assis une grande bourgeoise friquée, genre femme au foyer dépressive, et un homme d'environ cinquante ans, type même du grand patron, massif, le visage austère et fermé.

Lui, au milieu, je lui donnais à peine dix-huit ans, pédé jusqu’aux bouts des ongles et pas loin de craquer. J’en ai vu passer, des jeunes comme ça: ils ne rêvent que de s'éclater la nuit dans les boîtes de Barcelone, mais on les trimballe de musées en musées, et au lit à minuit, sans une minute tranquille! À l'époque, j’avais vingt-quatre ans, et les jeunes pédés ne m’attiraient pas. Mais il y avait ce regard mouillé, ce regard résigné, révélant une abdication intenable. C'est quelque chose que je ne peux pas supporter, c’est plus fort que moi. Je me suis approché de la table, j’ai posé un cendrier et j’ai fait un remake de “Fraise et chocolat" en bousculant la tasse de café, pour éclabousser le jeune mec. La mère s’est aussitôt mise à glapir. Je me suis très vite excusé et j’ai proposé au jeune homme de me suivre pour lui nettoyer la tache sur son polo. Il semblait terrorisé. Malgré la protestation de sa mère, je l’ai entraîné vers les toilettes. Il ne disait rien, il semblait vraiment mal. Je lui ai demandé:

— Comment tu t’appelles?

— Pascal

— T’as quel âge?

— Vingt ans.

— Et tu te laisses encore terroriser par tes parents ?

Je l’ai vu faire la grimace, et puis j’ai lu le désarroi dans ses yeux. Je me suis revu six ans en arrière. Sans rien dire, j’ai pris une serviette et un peu de savon. J’ai commencé à savonner la tache sur son polo. Pour ne pas lui mouiller la peau, j’ai passé la main sous le tissu. Pascal s'est mis à trembler de la tête aux pieds. Sans enlever ma main, posée contre son torse nu, il m’a dit:

— Tu es un pédé, n’est-ce pas?

Je me suis mis à rire. Il a cru qu'il m’avait vexé. Il s’est empêtré dans ses explications. Je l’ai arrêté. Il a fini par me murmurer: “Moi aussi.” Des larmes ont jailli au bord de ses paupières.

— Eh bien, il n'y a pas de quoi avoir honte! T’es un beau mec, tu vas faire des ravages une fois que tu te seras débarrassé de tes vieux.

— Je ne peux pas. Pas tout de suite. Je fais H.E.C. J’en ai pour trois ans. De toutes façons, mon père voudrait que je prenne sa succession et...

— Et c’est ce que tu veux, toi?

Nous n’avions que peu de temps. À genoux devant lui, j’ai léché son sexe. Pascal était affamé de tendresse, de caresses. Cela pouvait nous suffire, et je n’étais pas sûr qu’il ait envie de se faire enculer. Mais c’est lui qui me l’a demandé. Je l’ai dépucelé le plus doucement possible pour ne pas lui faire mal.

Pascal s’est brusquement dégagé, presque en colère:

— J’ai rien à te dire. Qui t’es, toi, pour me poser ces questions?

— Rien. Simplement, moi aussi je suis passé par là. Moi aussi je viens d’une famille friquée. J’étais un élève très brillant, et tout se passait plutôt bien, mais le jour où mon père a compris que j’étais pédé et que je m’envoyais en l'air avec des mecs, il m’a tellement cogné que j’ai failli en crever.

— Et qu’est-ce que tu as fait?

— Je suis parti. Le plus loin possible. Ici, à Barcelone. J’avais dix-huit ans. J’ai tout plaqué, le fric facile, les études. Tout. Tu vois... Moi aussi je suis français. Je suis né à Brest.

Pascal était troublé. Nous étions tous les deux presque à nous toucher. Il était temps qu’il retourne en terrasse, ses parents devaient s’impatienter. Je ne savais pas comment faire pour le retenir alors que je pressentais, inconsciemment, que ce mec pouvait changer ma vie, comme je pouvais changer la sienne. En le ramenant à ses parents, je leur ai servi un mensonge à peine crédible:

— Écoutez, je ne sais comment vous dédommager, mais voilà, il se trouve que mon épouse est souffrante, et nous avions pris deux places pour aller voir un spectacle de danse contemporaine, ce soir. Me permettez-vous d’inviter votre fils?

 

— Vous êtes français?

— Oui. Je vis à Barcelone depuis mon mariage.

Ils se sont consultés du regard. Le père a demandé: “Ce n’est pas un truc spécial au moins?” Et sa femme de répondre: “Oh! Voyons, Pierre... je crois que nous pouvons faire confiance à ce monsieur, s'il devait y aller avec son épouse...” Ils m’ont dit d’accord, sans même consulter le principal intéressé. Ils logeaient dans un des plus beaux hôtels du haut des Ramblas. Le soir, le père a tenu à accompagner son fils en taxi jusqu'au théâtre, et n’est parti que lorsqu’il nous a vus entrer dans la salle ensemble. Il avait à peine tourné les talons que j’ai fait signe à Pascal de me suivre. J’avais des copains dans la troupe qui dansaient ce soir-là. On s'est tous retrouvés dans les loges, et lorsque les danseurs sont entrés sur le plateau, nous sommes restés tous les deux, Pascal et moi, seuls, dans une loge fermée à clef. Pascal n’en revenait pas, il tremblait comme une feuille (je sais, maintenant, que lorsqu’il est en proie à un sentiment violent, il se met automatiquement à trembler!). Il s’est jeté dans mes bras comme un môme, mais il bandait comme un cerf. Il m’a glissé à l'oreille: "J’ai envie de baiser! Tellement envie!" Il n’avait pas besoin de me le dire. L’envie était, de toute manière, totalement réciproque. Pascal m’a fait le plus beau des cadeaux. Il s’est donné, lui, totalement. Avec son corps, avec sa tête, avec son cœur. Ses lèvres maladroitement posées sur mes lèvres ont enflammé la mèche du plaisir. Nous n’avions que peu de temps. À genoux devant lui, j’ai léché son sexe. Pascal était affamé de tendresse, de caresses. Cela pouvait nous suffire, et je n’étais pas sûr qu’il ait envie de se faire enculer. Mais c’est lui qui me l’a demandé. Je l’ai dépucelé le plus doucement possible pour ne pas lui faire mal. J’ai joui très vite et lui aussi. À cette époque-là, je changeais de mecs plusieurs fois par nuit. Je n’avais jamais éprouvé de sentiments pour mes partenaires. Mais là, j’avais le cœur qui battait à tout rompre. Au milieu de la jouissance venait de se glisser autre chose, un sentiment que j’avais ignoré jusque là: celui de l’amour.

Nous avons juste eu le temps de regagner la salle au moment des applaudissements. Pascal a discrètement glissé sa main vers la mienne, dans le noir. C'est comme si on l’applaudissait lui, qui venait de franchir de pas, et quelque chose aussi qu’on aurait pu appeler le début d’une histoire d’hommes. Pourtant, on s'est quittés sans un mot sans un regard. Son père l’attendait. Je les ai vus partir ensemble en taxi. Pour moi, la nuit ne faisait que commencer.

Je suis descendu vers le port pour draguer, mais je me suis soudain rendu compte que je n’en avais pas envie du tout. Je suis rentré chez moi, seul. Je ne pensais plus qu’à Pascal, à la situation dans laquelle il se trouvait. Je revoyais ses gestes maladroits, le désir qui nous avait enflammés et qui maintenant me brûlait. J’étais tombé amoureux. Je pensais ne jamais le revoir et pour la première fois, j’ai eu mal, vraiment mal, d’avoir perdu un mec.

Trois jours plus tard, en prenant mon service, le patron est venu me voir. Il y avait un jeune Français qui était passé pour demander s’ils embauchaient des apprentis serveurs. Comme il parlait parfaitement bien l’anglais, l'allemand et l’espagnol, le patron avait dit OK. Je deviendrais son coach, puisqu’il était français, comme moi.

J’ai cru que mon cœur allait se décrocher. Pascal est arrivé quelques heures plus tard. Il m’a simplement dit: “J’ai fait mon choix. Je viens travailler ici.”(et dormir chez-toi ????)

Rémy, 28 ans

   

Tarif ??? 

-----------------------ANNEXE ------------------------------

Il y est fait allusion dans le récit. Le scénario de ce film c'est l'amitié d'un jeune et fougueux étudiant castriste et d'un artiste homosexuel dans le Cuba des années soixante-dix.

LA CRITIQUE DE " FRESA Y CHOCOLATE " LORS DE SA SORTIE EN SALLE

Fraise ? Chocolat ? Pour Diego comme pour David, le choix s'impose, naturel : glace à la fraise pour le premier, artiste et homosexuel ; au chocolat pour le second, militant pur et dur. Diego lit des livres interdits, boit du whisky de contrebande et drague avec ferveur de jeunes éphèbes chez les glaciers. David noie ses peines de coeur dans la révolution. Alors, aussi naturellement qu'il a choisi le chocolat, David décide d'espionner Diego... pour le bien de son pays. Quatorze ans après les premières mesures discriminatoires à l'égard des intellectuels homosexuels cubains ­ jugés contre-révolutionnaires ­, il ne fait toujours pas bon être un marginal, en 1979, à La Havane... Depuis neuf mois, le Yara, la seule salle de La Havane à projeter le film de Tomas Gutierrez Alea et Juan Carlos Tabio (faute de copie, dit-on...), n'a pas désempli. Une file d'attente de plusieurs centaines de mètres s'agglutine cha- que jour devant le cinéma, contenue tant bien que mal par un cordon de policiers. Les affrontements entre forces de l'ordre et candidats à l'exil, qui se sont multipliés depuis le début du mois d'août, n'ont pas entamé l'enthousiasme des spectateurs. Cris, quolibets et applaudissements : les projections se déroulent selon un rite immuable. Trente-cinq ans après l'avènement de la révolution castriste, les Cubains osent désormais rire ouvertement de leur sort, sans prendre la précaution de se mettre à l'abri des oreilles indiscrètes. Au cinéma Yara, c'est à qui reconnaîtra soit son voisin, soit la vigile de service, soit un ami homosexuel auquel Jorge Perugorria, l'acteur qui joue Diego, aurait emprunté les traits... Bien plus qu'un film, Fraise et chocolat, pourtant deux fois primé (1), est devenu un phénomène social. Chacun y vient retrouver ses contradictions, confronter ses points de vue et, qui sait, puiser une leçon de tolérance ou d'espoir. Car, dans Fraise et chocolat, rien n'est ni fraise ni chocolat : tout est panaché. Et surtout David. Malgré ses clichés, ses slogans rabâchés et son militantisme sans nuance, il se laisse gagner par la gentillesse de sa victime. Il est aussi incohérent que Nancy, la vigile de l'immeuble de Diego, qui surveille ses voisins tout en vénérant les dieux vaudous, tantôt amicale, tantôt impitoya- ble. Il est aussi écartelé que la ville elle-même, La Havane, personnage à part entière du film, magnifique de beauté et sublime de souffrances, avec ses palais saccagés, ses églises en ruine, son inaltérable fierté et sa gaieté débridée. Magnifiquement servis par leurs acteurs (Jorge Perugorria et Mirta Ibarra, formidables), les réalisateurs ont choisi de jouer sur l'une des cordes sensibles du peuple cubain : l'humour et l'autodérision. « Les gens se reconnaissent sur l'écran, dit Jorge Perugorria. Comme David et Nancy, ils occul- tent quotidiennement les perversités du système et se méfient de tout et de tous. Voir un type comme Diego parler librement, ça leur donne des ailes. Ça ré- veille leur conscience ­ et même leur mauvaise conscience : comme David et Nancy, ils se savent capables du pire et du meilleur. »Mais ça les conforte aussi dans le système... Car c'est bien la faille de Fraise et chocolat : Gutierrez Alea et Tabio dénoncent un état d'esprit, mais pas les faits. A aucun moment, ils ne mentionnent les camps de redressement installés en 1965 à l'intention des déviants idéologiques et sexuels. Et la guerre que livrent les intellectuels au régime reste dans un flou poli. Fraise et chocolat n'a ni la violence de Conducta impropia, le documentaire de Nestor Almendros (1984), qui dénonçait la condition des homosexuels sous Castro, ni la subversion de la nouvelle de Senel Paz, dont il est tiré. Depuis la sortie du film, Tomas Gutierrez Alea, ex-figure de proue du régime castriste, a fait l'objet de violentes critiques de la part de la communauté des artistes cubains en exil. On l'accuse de vouloir réhabiliter le régime en gommant sciemment les actes les plus atroces de la répression. « Comme si on essayait de nous faire croi- re à la possibilité d'un Fidel Castro démocrate et capable de pardonner ! », s'insurge l'écrivain Guillermo Cabrera Infante. Bref, Fraise et chocolat n'existerait que pour faire croire à une libéralisation du régime...« Mais c'est pourtant ce qui se passe !, rétorque Jorge Perugorria. Oh, bien sûr, les artistes et les intellectuels ont toujours du mal à s'intégrer. Comment le pourraient-ils ? Le système ne le permet pas ! Bien sûr, la censure existe toujours. Personne ne sait d'où elle vient. C'est comme un fantôme. Alors, à force de l'ima- giner partout, les créateurs finissent par la devancer et s'autocensurent. Pourtant, qu'un film comme Fraise et chocolat existe, surtout dans le contexte économique actuel (c'est le seul long métrage qui ait été tourné en 1993), est un signe d'ouverture. »Petit acteur de théâtre et de télévision, Jorge Perugorria est devenu une star à Cuba, grâce au rôle de Diego. Un statut qui lui vaut, aujourd'hui, d'être le premier comédien cubain à avoir obtenu l'autorisation de tourner à l'étranger. On le verra dans le film de l'Espagnol José Miguel Cuares, qu'il termine actuellement à Madrid. Mais Perugorria n'entend pas abu- ser de ce passe-droit : « C'est dans mon pays que je veux travailler. Pendant trente-cinq ans, les Cubains se sont sacrifiés au nom d'un idéal. Aujourd'hui, ils n'ont plus rien : ni idées à défendre ni richesses. Depuis la faillite du socialisme dans les pays de l'Est, la situation économique s'est encore aggravée. L'embargo américain n'en finit pas de se durcir, encouragé par Mascanosa, qui régente la communauté cubaine de Miami. Il faut que quelque chose se passe et c'est à notre génération d'agir. Moi, je ne crois ni au capitalisme ni au socialisme tel qu'il se pratique ici. Mais je crois à la justice. En prêchant la tolérance, Fraise et chocolat est peut-être le premier round du combat que les Cubains ont à mener. » -Marie-Elisabeth Rouchy (1) Il a reçu l'Ours d'argent et le Prix spécial du jury de Berlin ; et le Prix du festival du nouveau cinéma latino-américain de La Havane.

Marie-Elisabeth Rouchy

CRITIQUE DE TELERAMA DU 02/10/2010

 

 

 

Par REMY28 - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 26 décembre 4 26 /12 /Déc 18:41

  à retrouver dans SAUTERLE PAS

   Hétéro violé et initié gay  

     

   

  récit ci-dessous 

 

Ambiance de festival 

      concert  en plein air  

 

 

    Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi

 

    Emporté  par la foule ... foule  

Le festival battait son plein et il y avait foule partout, surtout aux abords des scènes qui annonçaient des spectacles gratuits. J'en choisis un au hasard, ne connaissant pas les artistes qui allaient s'y produire et décidai d'attendre patiemment le début d'un spectacle.

J'étais rapidement entouré de toutes parts par d'autres spectateurs et me retrouvai ainsi complètement bloqué  par la foule. À un moment, quelqu'un passant derrière moi me bouscula, sans faire exprès je l'espère, et tel un domino, je bousculai deux filles qui étaient devant moi. Cet accrochage involontaire fit que la chope de bière que l'une d'elle tenait se renversa directement sur la poitrine de l'autre. Choqué sur le coup, elle se retourna et quand elle me vit, sourit en dévoilant sa généreuse poitrine désormais très visible sous le tissu de son t-shirt rendu transparent par le dégât. J'étais néanmoins très mal-à-l'aise et elle me rassura, en voyant ma gêne, que ce n'était pas grave.

Elles se remirent dos à moi et je les voyais bien rire et se faire de petites messes basses en  riant et se poussant du coude. L'heure avançant, les dernières lueurs de la soirée s'estompèrent et firent place à une relative obscurité. La voix de l'annonceur se fit entendre dans les immenses haut-parleurs de la scène et l'éclairage disparut, ne laissant que la scène illuminée. C'est alors que la fille au t-shirt moulé recula et se plaqua contre moi, son fessier généreusement bombé se prélassant au niveau de mon sexe qui eut tôt fait de lui rendre un hommage appuyé ! C'est à ce moment que sa copine en profita pour se faufiler et, en m'enlaçant par derrière, glissa ses mains sur le devant de mon bermuda, empoignant fermement ma tige raide toujours sous l'excitation des fesses de sa copine qui m'avait  pris les mains et les avait plaquées contre son buste. Mes doigts s'en donnaient à cœur-joie sur ces seins bien fournis aux mamelons érigés 

 


Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps

 

Je sentis soudainement que la fille derrière moi faisait glisser ma fermeture-éclair et, comme je n'avais pas pris la peine de mettre un slip sous mes vêtements, elle n'eut aucune difficulté à s'emparer de mon dard gonflé. Un petit "hmmmm" de satisfaction glissé à mon oreille ne fit que m’enorgueillir encore plus. Elle reprit sa place devant sa copine et fit glisser le haut de son petit short, dévoilant ses fesses chaudes qui prirent immédiatement possession de ma queue bandée à bloc. Les deux coquines me rendaient totalement fou de désir. J'étais excité comme jamais alors que nous étions là, au sein de cette foule qui ne semblait pas porter attention à ce qui se passait autour d'elle et n'avait d'yeux que pour le spectacle en cours sur la grande scène extérieure.

Soudain, j'eus des frissons en sentant qu'un préservatif était déroulé le long de mon membre. J'étais ébahi par autant d'audace et j'avais tout à coup la trouille que quelqu'un nous dénonce en s'apercevant de ce qui se tramait à côté. Vous imaginez la honte ! Néanmoins, ma queue bondit fièrement, d'une raideur à donner peur qu'elle éclate, anticipant tout autant que moi ce petit voyage gratuit au paradis !

Quand je sentis les fesses invitantes de cette inconnue qui avalaient doucement mon gland  j'eus le vertige. Son petit anneau serré m'envoyait des chocs électriques dans toute la colonne! Elle poursuivit la descente le long de ma queue, l'emprisonnant fermement dans son fondement, alors que je devais demeurer immobile et silencieux pour ne pas attirer l'attention des gens autour de nous. Ce fut un supplice chinois quand son bassin commença à faire de petits va-et-vient sur ma tige, serrant et desserrant les fesses sur mon vit tout en continuant ses mouvements. Je ne pensais plus à rien, n'ayant en moi qu'une envie : meretenir le plus longtemps possible tellement c'était bon !

 

 
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.

Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux..

 

J'étais tellement absorbé par mon plaisir que je n'avais pas remarqué que mon bermuda ouvert avait glissé sur mes chevilles. J'eus tôt fait de me rassurer en sentant la chaleur du corps se collant contre moi. La copine avait donc changé de place et je me délectais d'être "pris en charge" par ces deux effrontées. Derrière, les mains de sa copine me caressaient doucement le dos et les fesses alors que devant j'étais toujours dans une chevauchée magique au pays du plaisir. Quand je sentis le doigt de la fille de derrière se faufiler entre mes fesses pour atteindre ma rondelle, je me figeai quelques secondes mais me suis laissé aller face à cette nouvelle et heureuse sensation qui m'envahissait. Son doigt faisait le pourtour de l'anneau et s’immisçait graduellement en moi alors que ma queue faisait toujours ses aller-retours dans l'antre chaud de sa copine de devant. Soudain j'eus à masquer un sursaut quand je sentis qu'un deuxième doigt forçait la porte de mon intimité. Je devais concilier l'inconfort de derrière avec la douceur de devant, et ce, sans m'affoler et risquer de se faire prendre et d'être là, en plan, la queue raide et non satisfaite. Je me suis donc détendu et j'ai continué à me concentrer sur les bienfaits de la chaleur sur ma queue tendue.

J'ai tellement bien réussi à feindre d'ignorer cet assaut de sa copine dans mon train arrière que ce n'est que trop tard que je me suis aperçu, mêlant à la fois une douleur vive, mon envie de jouir et mon désir de demeurer inaperçu au sein de cette foule, que les deux doigts en question avaient fait place à quelque chose de plus volumineux. Sur le coup, je crus d'abord à un gode enfoncé dans mon cul. Portant la main à mes fesses, je crus défaillir en me retrouvant tout à coup avec une paire de couilles entre les mains. Un mec m'enculait! Ça y est, j'allais m'enfuir en courant quand je sentis mes chevilles prisonnières de mon bermuda. Le gaillard s'aperçut de ma panique et prévint le coup, captant les bras de celle qui s'activait toujours sur mon sexe devant moi, ne me laissant aucune autre alternative que d'accepter... ou crier ! Vous imaginez donc ! De la terreur que j'avais de me faire prendre en flagrant délit avec la fille tantôt, il était donc évident que la situation actuelle me faisait encore plus peur !

Le gars s'activa donc de plus belle entre mes fesses et ses mouvements se répercutèrent sur ma voisine de devant, plantant ma queue avec encore plus de force en elle. Je sentais le sang bouillonner dans mon gland tellement j'avais besoin de jouir et je sentais naître un plaisir inconnu au creux de mon ventre. Je me rendis vite compte que ce plaisir, je ne l'avais jamais senti auparavant et qu'il ne pouvait qu'être causé que par l'intrus derrière moi. Les fesses de la fille se serrèrent soudainement sur la base de ma queue bien plantée en elle, causant ainsi le déversement des flots de sperme au fond de la capote dans un orgasme exceptionnel. En éjaculant, je sentis alors que mon propre trou serra d'avantage la longue tige qui m'avait envahi, la rendant prisonnière à l'intérieur. Alors que mon unique désir n'avait été que de l'expulser je bénissais ses bienfaits : je jouissais du cul. Une multitude de petits spasmes se firent sentir entre mes fesses et sentant les mains du mec se crisper sur mes poignets, j'eus tôt fait de deviner qu'il était en train de se laisser aller à jouir dans mon cul.

Quand il me libéra de son étreinte, je n'eus qu'une hâte :  remonter en vitesse mon bermuda et me lançai à travers cette foule sans même prendre le temps de me boutonner. Il n'y avait que ma fuite qui comptait! Ce n'est que quelques deux cents mètres plus loin que je repris mon souffle, adossé contre la façade d'un commerce.

 

J'essayais de reprendre mes esprits, essayant de faire la part des choses entre cette baise excitante que je venais d'avoir avec cette fille dans la foule et le viol de mon intimité par ce gars. J'eus tout à coup les jetons ! Et s'il m'avait transmis une cochonnerie? Je paniquais et oubliant tout le reste, je me retins de montrer mon désaroi en pleine rue.

Un jeune couple s'approcha de moi et me demanda si tout allait bien. La gorge serrée, une larme au coin de l’œil, c'est sans le moindre bruit que je fis un petit signe de tête pour qu'on me laisse tranquille.

— J'avais jamais vu ma blonde excitée comme ça ! lança alors le grand blond en me fixant droit dans les yeux. J'espère que je ne t'ai pas fait mal, ajouta-t-il d'un regard sincère.

Je restai coi, incapable de toute réaction. Un mec, rien de plus normal, comme on en croise tous les jours dans la rue, et sa copine... Qu'est-ce qui venait de se passer ?

— Ah oui ! J'allais oublier... T'as pas à avoir peur! dit-il, déposant une capote nouée au creux de ma main avant de s'éloigner doucement, le bras autour de la taille de sa bien-aimée.

Mes sens me firent alors remarquer que j'avais toujours une capote pleine sur ma queue rabougrie dans mon bermuda. Alors que je m'efforçais de la retirer sans faire de dégât, ce fut en vain, et je sentis ma dèche me couler le long de la jambe et maculer l'intérieur de mon vêtement...

Vraiment, je venais de vivre une soirée incroyable d'enseignements sur le sexe et sur moi-même et ne réagissais que très lentement. J'eus dû retenir ces deux audacieux libertins, mais je ne les ai jamais revus. 

Voilà à qui et quoi j'attribue ma recherche incessante de mecs... 

 

 

 

Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...

Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...

Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...


    Je rêve à tout ce qu'on peut envisager en compagnie d'un couple libertin comme ça

   

 

   

  rêve et rien à exclure

 des chances que tu y prennes goût ! en voudras-tu à ton violeur ? 

 

Par patrice - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 01:22

2003---> 2013...

 

 

Ça fait longtemps que tu t'astiques en nous regardant ?

 

 

Voilà c’est fait : j’ai franchi le pas. J’ai réussi à écrire un des événements majeurs de ma vie sexuelle. Cela a été difficile mais combien libérateur. Je me sens enfin en mesure de raconter comment tout cela a commencé, il y a treize ans.

À l’époque, j’avais 32 ans, heureusement marié depuis 7 ans. Je ne m’étais jamais caché mon intérêt pour les garçons mais il était clair que cela resterait au stade des fantasmes. Quelques coups d’œil dans la rue, les débuts d’internet et des sites spécialisés, quelques revues achetées discrètement. Tout cela me suffisait à vivre ce que j’appelais ma « tendance ». Ma vie de couple était belle et mon hétérosexualité épanouie. Jusqu’à ce week-end de mai 2000.

Ma femme était en voyage d’affaires en Asie et je participais à un séminaire de formation de mon entreprise en Bretagne. Quelques jours ennuyeux dans un endroit magnifique dont je ne pouvais guère profiter en raison du travail. À la fin du séminaire, le samedi matin, je décidai de rester le week-end, n’étant pas pressé de rentrer chez moi puisque ma femme était absente. Je louai donc une chambre dans un petit hôtel, avec l’idée de découvrir les beautés de la côte.

Pique-nique dans mon sac, je partis à la découverte des chemins côtiers. Les genêts bordaient le chemin qui me menait de plus en plus loin, surplombant la mer. J’étais subjugué par ce spectacle et le sentiment de liberté qu’il me procurait. Je décidai de profiter de la première opportunité qui se présenterait pour descendre vers la mer. Il me fallut attendre une bonne demi-heure pour finalement trouver un sentier qui descendait vers une petite crique déserte. Après une marche assez délicate sur ce chemin caillouteux, je parvins au bas de la falaise. S’offrait à ma vue une forte végétation qui protégeait la plage et, au fond, la mer d’un bleu profond.

Alors que je descendais encore le chemin, largement enfoui dans la végétation, je vis des personnes au loin dans la mer. Il me fallut un certain temps pour comprendre ce que je voyais. Les deux nageurs étaient deux jeunes hommes qui riaient et qui, en train de sortir de l’eau, se battaient par jeu. À mon étonnement, ils étaient tous deux nus, laissant voir sans gêne leur bite qui émergeait juste de l’eau. J’ignorais que le naturisme se pratiquait dans la région mais je mis la liberté que ces deux nageurs avaient prise sur le caractère très isolé de cette crique.

Le spectacle changea cependant brusquement de sens lorsque je les vis s’embrasser sur la bouche, tout en se tenant l’un l’autre par l’épaule et en remontant tranquillement sur le sable. Sous le coup de ma surprise, je me jetais à terre pour ne pas être vu. Abrité derrière la végétation, je les regardais de loin, parvenus sur la plage, se sécher, chacun frottant l’autre avec un linge, s’arrêtant avec insistance sur leur entrejambe respectif en riant aux éclats. J’étais stupéfait et sentais ma bite grossir. Elle trouva en quelques secondes sa taille maximum en me faisant souffrir dans mon jeans. J’avais le cœur qui battait et la tête qui tournait légèrement. Je n’avais jamais vu deux hommes s’aimer en réalité : cette présence physique si proche me procurait une sensation sans commune mesure avec celle que les quelques vidéos que j’avais pu voir m’avaient donnée.

Sans être des canons absolus de beauté, ces deux types étaient incroyablement séduisants et sexy. Le premier, noiraud, grand et élancé, le corps bien musclé et le torse légèrement velu. Son sexe, long et fin, était maintenant dressé au milieu d’une belle touffe foncée, surmontant de couilles pendantes sur lesquelles mes yeux étaient littéralement aimantés. L’autre, presque blond, était plus petit et plus rond et râblé, me montrant de très belles fesses rebondies et fermes. J’avais entre-aperçu son sexe plus court et plus gros que celui de son compagnon mais tout aussi dur. De loin, j’avais mal vu sa toison qui, blonde, semblait plus discrète. Ses couilles m’étaient furtivement apparues grosses et toute nichées sous la bite.

J’étais encore loin d’eux et j’aurais rêvé de m’approcher ; il était toutefois exclu de prendre un tel risque. Je me contentais donc de ce spectacle lointain. Ils roulèrent par terre en s’enlaçant et en s’embrassant. Le blond fit coucher son compagnon sur le dos et, le surmontant, il s’installa tête-bêche. Ils se sucèrent l’un l’autre, avec délectation, avalant réciproquement leurs bites. Je ne voyais que mal les détails en raison de la distance, mais je pouvais apprécier qu’ils alternaient de délicats baisers sur leur gland, avec des pénétrations presque complètes du sexe de leur partenaire au fond de leur bouche. J’étais complètement hors de moi, le souffle court et le front transpirant, rêvant de courir vers eux et de me joindre à leur jeu. Mon sexe était devenu incroyablement douloureux, prisonnier de mon slip et de mon jeans. J’ouvris ce dernier aussi fébrilement que maladroitement. Ma bite surgit littéralement de mon slip et je commençai à me masturber presque avec violence. Resté couché par terre, pour être abrité tout en regardant, me faisait garder une position peu confortable dont je décidai de me contenter pour ne pas risquer de mettre en péril ma cachette. Je tentai de calmer ma masturbation pour éviter d’éjaculer trop vite, ma bite suintant déjà sous l’effet de l’incroyable érotisme de la situation.

Sur la plage, les deux hommes étaient au paroxysme de leur 69. J’entendais dans le loin leurs gémissements et leurs râles, parfois entrecoupés par le bruit de la mer. Soudainement, l’amant du dessus fut secoué de spasmes et, de toute évidence, se vida en plusieurs jets dans la bouche de son compagnon. Aussitôt, il changea de position et fondit bouche ouverte sur le sexe de son amant qu’il amena très rapidement à l’orgasme. Il avala goulûment le sperme qui sortait de la bite tendue qu’il avait engloutie.

Face à ce spectacle, un seul bref contact de main sur mon sexe suffit pour me conduire à l’explosion. J’eu besoin de tout mon self-control pour ne pas hurler en éjaculant, tant la violence des spasmes qui m’agitèrent fut intense. Je n’avais de ma vie connu une telle sensation. Vu ma position et mon pantalon baissé sur les cuisses, j’avais du sperme un peu partout et tentais de reprendre aussi bien mes esprits que mon souffle. Je ne savais plus quoi faire. Couché à terre, j’avais envie de fuir, honteux de cette folie, avec, en même temps, le désir qui me collait au ventre de courir vers ces deux hommes. Pour le dire quoi ? Pour faire quoi ? Ma tête tournait et les idées les plus contradictoires s’y entrechoquaient. De temps à autre, je guignais furtivement du côté des deux amants qui, couchés sur le sable, discutaient tranquillement.

Un long moment passa. Je décidai de me retirer doucement pour ne pas poursuivre cette expérience qui me brûlait les entrailles. À mon désespoir, ma raison reprenait le dessus. Rester, c’était se damner, tenter une expérience sans avenir et dont je ne que pouvais qu’ignorer l’issue. C’est à ce moment que le blond se mit sur les genoux et approcha sa main du sexe de son ami. Il le prit dans la main et le caressa. Les deux hommes se mirent à rire et échangèrent quelques mots. L’homme à genoux se leva et alla prendre quelque chose dans un sac, sans que je ne puisse voir ce que c’était. Je vis en revanche que son sexe était déjà presque à nouveau complètement dressé. Je vis finalement que ce qu’il avait sorti du sac était un tube. Il pressa dessus et versa une partie de son contenu sur son sexe qu’il frotta ensuite doucement. Il se badigeonna également les doigts de la main droite. Du gel ! De toute évidence, il allait enculer son ami. Mes projets de départ s’évanouirent en un instant, ma bite remonta en position verticale en quelques secondes et mon cœur se mit à battre plus fort encore qu’auparavant.

Le noiraud se mit à genoux par terre, coudes à terre, le cul exhibé et ouvert, alors que son ami se mit derrière lui. Le blond commença à lui lécher longuement le cul. Cette pratique m’avait toujours dégoûté dans les films que j’avais vus, mais cette fois-ci j’étais complètement sidéré par ce que je voyais. Il était hors de question que je reste si loin car je ne distinguais que mal ce qui se passait. Je décidai donc de ramper le plus lentement possible jusqu’à la lisière de la végétation, ce qui me mettrait à quelques 7 ou 8 mètres des deux hommes. Je parvins à mes fins et décidai d’être raisonnable et ne pas jouer avec le feu. Je restai donc dans cette position juste encore couverte. Je voyais ainsi beaucoup mieux la langue entrer dans le cul du noiraud, le flatter, le chatouiller, le faire jouir. Le blond y introduisit ensuite un doigt, puis un deuxième et enfin un troisième. Lentement et de manière experte, il pénétrait le trou de son ami à qui il arrachait de longs gémissements de satisfaction. La bite du blond semblait sur le point d’exploser. La mienne aussi d’ailleurs. Ce qui me fit à nouveau ouvrir mon jeans, l’opération étant cependant beaucoup compliquée que précédemment, puisque je j’osais presque plus bouger en raison de ma proximité avec les deux hommes. Je parvins toutefois à mes fins et fis jaillir ma bite, en baissant mon pantalon et mon slip sur mes cuisses.

Je voyais le blond alterner la langue et les doigts dans le cul de son ami, tout en lui saisissant les couilles qui pendaient de manière sublimement obscènes sous ces fesses poilues. De nouveau, un sentiment de délire me prenait, ne sachant plus réellement à quoi j’assistais, voire participais indirectement. Le blond s’interrompit et reprit le tube de gel qu’il avait laissé à côté de lui. Il s’enduisit consciencieusement la bite et s’approcha du trou qu’il avait si bien préparé. Je ne voulais pas manquer une miette de ce qui allait suivre et me poussai encore un peu en avant pour mieux encore profiter du spectacle. Les deux hommes étaient de toute manière tellement pris par leur étreinte qu’il était hors de question qu’ils m’aperçoivent. Cependant, en rampant en avant, je plongeai mon nez dans les fleurs qui bordaient la petite dune. L’une d’entre elles provoqua un brusque chatouillement et, de manière irrépressible, un éternuement de ma part. J’étais trop près pour que le bruit passe inaperçu des deux hommes qui s’interrompirent immédiatement en sursautant. Le blond sauta sur ses pieds et se mit à courir dans ma direction. Il était vain de vouloir fuir, mon pantalon sur les cuisses m’empêchant tout mouvement rapide. En quelques secondes, le blond fut vers moi. Il était plus massif et musclé que je l’avais imaginé. Il me saisit le bras avec force et m’obligea à me lever. Dévisageant avec dédain mon torse souillé de sperme, mon pantalon sur les genoux et ma bite qui était en pleine décroissance, il me gueula dessus :

— Alors connard, tu viens te rincer l’œil ! Tu as pris des photos ?

— Non… je m’excuse...

— Passe-moi ton appareil !

— Mais j’en ai pas !

— T’as bien un iPhone !

— Oui oui, prenez-le, vous verrez qu’il n’y a rien dedans.

Il fouilla mon sac rageusement, y trouva mon portable et vérifia qu’il n’y avait pas de photos. Je ne pouvais, malgré le mauvais pas dans lequel je m’étais mis, qu’admirer et être troublé par ce mec nu à quelques centimètres de moi et dont la bite n’était de loin pas encore revenue à sa taille normale. Son corps était puissant et viril et ses tétons dressés attiraient mon regard. Rasséréné par le constat que je n’avais pas fait de photos, il adopta un ton plus calme.

— Rhabille-toi, t’as l’air un peu con comme ça.

Je remontais mon pantalon comme un petit garçon pris en faute alors que finalement j’aurais pu l’envoyer promener. C’est quand même lui qui avait décidé de faire l’amour dans un lieu public ! Regardant les traces de sperme sur mon torse, il me dit :

— Ca fait longtemps que tu t’astiques en nous regardant ?

— Heuh… Depuis que vous êtes sortis de l’eau.

— T’as personne que tu peux baiser ? Pourtant, t’es mignon. Va sur Internet et tente ta chance.

— Comment dire, c’est un peu compliqué…

À ma surprise, il m’invita à le suivre et à rejoindre son ami qui était resté debout, nu, à assister au loin à notre discussion. Ils se présentèrent : David, 28 ans, pour le blond et Adrien, 30 ans, pour le noiraud.

— Bon alors à quoi tu joues, en nous regardant tout en te branlant ?

Je me sentais pas très à l’aise, moi habillé et les deux nus, assis devant moi, tranquillement les couilles pendant dans le sable. Je leur expliquai ma vie, ma situation, ma promenade et… ma découverte.

— Ah, un petit hétéro qui découvre qu’il ne l’est pas autant qu’il croyait. Ou qu’il le disait…

Il avait fait cette remarque avec humour et gentillesse. Il avait presque l’air de me prendre en pitié. En tout cas, la discussion était sympathique et détendue, loin de la crise survenue au moment où j’avais été découvert. Adrien qui était resté silencieux intervint : il était 14 heures et il avait faim. Il suggéra, avec l’approbation de David, que cette discussion continue chez eux. De plus en plus mal à l’aise, ne sachant comment refuser alors que maintenant je n’avais qu’une envie : me cacher au fond de mon hôtel. Je me vis donc contraint d’accepter leur aimable et inattendue invitation.

Nous remontâmes la falaise et après une assez longue marche, nous arrivâmes à leur voiture. Ils me posèrent à la mienne garée à quelques centaines de mètres. Après une demi-heure de route, nous atteignîmes leur villa. Simple mais très sympa. Pendant que David s’occupait des grillades, Adrien me dit que j’avais eu de la chance que son ami ne me casse pas la g... . Il pouvait être, selon lui, aussi colérique que combattif. Il se déclara content que cet incident trouve une conclusion plus calme et s’activa à ouvrir des bouteilles.

Le repas fut très gai et nous sympathisâmes. Mes hôtes étaient charmants, cultivés et drôles. Nous mangeâmes et bûmes tout l’après-midi. Vers 18 heures nous étions éméchés et vidés. Je me levais pour remercier mes nouveaux amis et prendre congé d’eux, tout en les remerciant chaleureusement de l’accueil, d’autant plus appréciable vu les circonstances initiales de notre rencontre. Mes nouveaux amis s’exclamèrent ensemble que vu mon état d’alcoolémie, il était hors de question que je prenne ma voiture pour conduire sur la distance qui me séparait de mon hôtel.

— Nous avons une petite chambre d’amis, tu peux dormir, me dit Adrien.

Devant mon air hésitant, David ajouta :

— Tu as peur de dormir chez des pédés ?

Je rigolais bêtement.

— Ou au contraire ça te trouble ?

C’est cette dernière question volontairement grinçante et provocante de David qui fut à l'origine du renversement final. Je devins tout rouge et balbutiai quelques mots. J’avais senti ma bite tressaillir. Je dois dire que dormir dans la même maison que ces deux mecs, à quelques mètres de leur chambre, en les imaginant nus, faisant l’amour me troublait profondément. David éclata de rire :

— Mais on dirait que c’est bien vrai ! Notre nouvel ami est tout troublé !

Ajoutant le geste à la parole, il me mit la main sur le bas-ventre et me donna un long baiser fougueux, fourrant sa langue dans ma bouche. Adrien ricanait doucement en assistant à ce spectaclesans aucune jalousie apparente. La main de David reposait maintenant sur mon jeans tendu à mort par l’érection qu’il avait déclenchée en me provoquant.

— Bien, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? dit David.

— On attend que Monsieur veuille bien nous montrer comment il est fait, répondit Adrien.

Sans que j’aie le temps de répondre, Adrien défit, avec une infinie sensualité la boucle de ma ceinture, le bouton de mon jeans et le zip. Mon pantalon tomba sur mes chevilles, seul mon slip déformé protégeait encore tant bien que mal ma pudeur. C’est Adrien qui vint s’y attaquer en glissant sa main sous l’élastique et en faisant lentement le slip rejoindre le pantalon. Mes deux aimables tourmenteurs sifflèrent d’une admiration forcée :

— Ouah, pas mal le mec !

— Tout à fait baisable !

— Qui commence ?

Adrien avait saisi mes couilles qu’il malaxait doucement alors que David s’en prenait à mes fesses puis à mes tétons.

— Bon, on se calme, déclara Adrien qui prenait pour acquis que j’avais donné un consentement définitif à la suite des événements. D’abord, il faut préparer notre ami.

Je n’étais pas certain de bien comprendre. Après m’avoir débarrassé de mon jeans et de mon slip, ils me firent passer à la salle de bain. Là, ils me firent m’agenouiller dans la douche, ce que j’acceptai docilement, sans vraiment réfléchir et comprendre ce qui allait se passer. David me dit :

— On va te faire un lavement.

À ce mot, je me redressai vivement.

— Eh! calme, mec. C’est pour le confort de tout le monde. Et si on le fait bien, c’est déjà un jeu érotique marrant.

Je me laissai faire, encore totalement crispé. Mais il est vrai que l’introduction de la poire à lavement dans mon trou ne me laissa pas indifférent... Quand je fus prêt, nous retournâmes au salon, où ils se déshabillèrent tous les deux. Adrien me tendit alors une pilule et un verre d’eau :

— Prends ça, la nuit va être longue !

Devant mon air hésitant, il ajouta :

— si tu veux bander pendant des heures, il n’y a pas quinze méthodes…

Adrien ajouta enfin :

— On pose les règles. D’abord, David et moi sommes clean. En plus, on fait des tests réguliers. Donc pas d’angoisse à avoir. Deuxièmement, tu suis nos instructions et tu ne dis non à rien. On te promet de ne rien te faire d’horrible !

Il éclata de rire et me dit « D’accord ? » J’acquiesçai. J’étais complètement surexcité. Je me sentais comme lors de ma première baise d’adolescent. Comme sur la plage, mon cœur tapait et une boule bloquait ma gorge. Je regardais mes initiateurs, nus à quelques centimètres de moi, prêts à un amour que je n’avais encore jamais connu. Je regardais avec avidité le torse poilu d’Adrien, la toison de laquelle émergeait sa bite déjà presque tendue, la ligne de poils qui y conduisait depuis le nombril, ses cuisses et ses mollets virilement poilus. Je passais au corps puissant de David, la beauté de ses muscles, la vigueur de sa bite, ses tétons appétissants et, plus que tout, ses fesses rondes et fermes, à damner un saint !

Là, je ne sais plus comment continuer dans mon récit, tant les choses se mélangent dans ma tête. Se tenant debout devant moi, ils me firent tour à tour les lécher, des pieds – un délice des plus inattendus ! – jusqu’aux tétons, en passant par l’intérieur des cuisses, les couilles et la bite. Ma première bite dans ma bouche ! Ce fut celle d’Adrien, longue et délicate. Douce sur mes lèvres, brûlante dans ma bouche. Puis celle de David, solide, ronde et plus invasive au fond de ma bouche, allant jusqu’à ma gorge, me provoquant des spasmes qui, par la soumission qu’ils exprimaient par rapport à lui, aux genoux duquel j’étais, me menèrent presque à l’orgasme. Je découvrais mon goût pour la domination, moi qui étais plutôt du genre directif dans la vie active !

La situation devint plus délicate quand David me fit comprendre que je devais lui lécher le cul. Là, je ne pouvais. J’étais vraiment dégoûté. J’étais évidemment fasciné par le trou qu’il exhibait et qui ornait ces fesses que je trouvais si belles. Mais y mettre ma langue, non ! Adrien vint alors doucement vers moi :

— Tu n’as pas le choix ; tu nous avais promis que tu suivrais nos instructions. Non ? Viens, je vais te montrer.

Il s’agenouilla devant le cul de son ami et introduisit doucement sa langue dans le trou arrachant un grognement de contentement de David. Une fois le cul bien humidifié, il me dit : « Va-s-y ! » Je m’approchai doucement du trou, fasciné d’être littéralement dans les fesses de David et de voir ses couilles juste sous mon nez. Je tendis la langue plus que timidement et léchai le trou de David qui poussa un grognement de plaisir. Cette réaction m’encouragea et je continuai la tâche imposée. Je ne l’aurais jamais imaginé, mais en quelques minutes, ce devoir se transforma en une véritable frénésie. J’aurais pu bouffer le cul de David. Mon seul regret était que ma langue ne pouvait aller plus profond. Accroché à ses couilles par ma main gauche, je décidai alors de mettre un doigt puis un deuxième dans son trou, comme j’avais vu les deux mecs faire sur la plage. Adrien s’exclama :

— Bien ! Tu deviens inventif et tu prends des initiatives. Tu es un bon élève !

J’alternai pendant de longues minutes les doigts – jusqu’à trois – et la langue. Incroyable impression que d’explorer l’intimité chaude d’un mec, de sentir au bout de ses doigts l’instrument immédiat de son plaisir. Soudainement, David m’interrompit et me fit me mettre à quatre pattes. Mes deux amis me dirent qu’ils allaient passer à la leçon essentielle de la soirée : ils allaient s’occuper de mon cul. Comme à chaque étape de cette découverte, j’accueillis la nouvelle avec appréhension. Appréhension de passer cette dernière étape symbolique, de devenir un vrai pédé, d’avoir mal… Une fois de plus, j’avais bien tort d’avoir peur. Langues, doigts, plugs et godes lubrifiés de succédèrent pour préparer le chemin, avec douceur, raffinement et lascivité. Le plus gros des plugs et le gode me firent un peu mal à leur passage, avant cependant de laisser rapidement la place au pur bonheur d'être pénétré. Quand David me jugea en état, il approcha sa bite de mon cul et y entra tout en douceur. Sa bite était plus large que le gode, mais se fraya un chemin sans trop de difficulté. David avançait avec douceur. Une fois que je fus habitué à la merveilleuse présence au fond de mon ventre de l’organe de David, ce dernier commença à se déchaîner et à me ramoner comme un fou. Il me pénétrait jusqu’à la garde et je sentais ses couilles venir battre mon cul.

Adrien vint alors se mettre à genoux face à moi et me tendit sa bite à avaler. Il me prit la tête et appuya sur elle pour que j’avale sa bite le plus profond possible. Il avait déjà pu voir auparavant que je supportais et aimais les gorges profondes – à ma plus grande surprise d’ailleurs – de sorte qu’il n’eut pas d’hésitation à me pousser le plus loin possible. Je perdais le souffle, au bord du vomissement et, surtout, au bord des larmes de plaisir. Je voyais que David et Adrien avaient l’habitude de ce genre de pratique commune. Ils savaient parfaitement alterner leurs gestes : tantôt la bite d’Adrien me traversait la gorge alors que David ne bougeait pratiquement plus dans mon cul. Tantôt David me traversait presque le ventre en m’écrasant ses couilles sur mes fesses alors qu’Adrien ressortait presque sa bite de ma bouche pour me laisser profiter de la verge qui me pénétrait les entrailles. À d’autres moments, ils se déchaînaient ensemble, me donnant l’impression d’être cloué par une bite à l’avant et l’autre à l’arrière. Parfois, ils s’arrêtaient presque tous les deux, pour me laisser le temps de reprendre mes esprits et goûter les sensations qu’ils me procuraient.

Soudainement, David poussa un hurlement, s’arqua sur mon cul et, dans une série de grognements et de spasmes, éjacula longuement dans mon cul. Il resta quelques instants immobile, Adrien ne bougeant plus non plus comme pour laisser le silence commun saluer ce premier dénouement. Après un moment, David se mit sur le dos et se glissa sous moi de façon à pouvoir prendre ma bite dans sa bouche. Le signal de la fin était donné : je fondis sur la bite d’Adrien, alors que David s’occupait de la mienne. J’étais tellement excité qu’il ne me fallut que quelques secondes du traitement de mon suceur pour que j’explose. David avala mon sperme en ayant l’air d’y prendre un réel plaisir. Cette longue et presque douloureuse éjaculation m’avait fait me désintéresser de la bite d’Adrien. Il la caressa à quelques reprises et ce fut son tour d’exploser sur mon visage et mon cou.

Nous tombâmes tous trois par terre, ivres d’épuisement et de bonheur. La nuit entière se poursuivit de la sorte. Les mains, les bouches, les bites, les couilles et les culs se rencontrant, s’unissant, se séparant, se pénétrant dans tous les ordres possibles.

Jamais plus, ma vie ne fut comme avant cette nuit. David et Adrien sont devenus de très chers amis – nous ne pratiquons cependant qu’assez rarement le sexe entre nous – mais mon mariage n’a pas résisté.  Ma femme a, avec grande tristesse et réticence, accepté cette modification irrépressible de ma vie. Par bonheurnous n'avions pas d'enfant. De mon côté, j’ai reconstruit une nouvelle vie qui n’a pas été comprise de tous les membres de mon entourage mais qui est celle de ma véritable nature..

 

gay-plage

 

 Homme libre toujours tu chériras la mer... Charles Baudelaire.

     

 

 

Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 18 novembre 1 18 /11 /Nov 04:57
 18<-->45 ans l'expérience<-->l'appétit
 classé dans CONFIDENCES&INTIM(34)
 
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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