Partager l'article ! la foule qui me vole L'homme qu'elle m'avait donné Et que je n'ai jamais retrouvé...: à retrouver dans SAUTERLE PAS &nb ...
à retrouver dans SAUTERLE PAS
Hétéro violé et initié gay
récit ci-dessous
Ambiance de festival
concert en plein air
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Emporté par la foule ... foule
Le festival battait son plein et il y avait foule partout, surtout aux abords des scènes qui annonçaient des spectacles gratuits. J'en choisis un au hasard, ne connaissant pas les artistes qui allaient s'y produire et décidai d'attendre patiemment le début d'un spectacle.
J'étais rapidement entouré de toutes parts par d'autres spectateurs et me retrouvai ainsi complètement bloqué par la foule. À un moment, quelqu'un passant derrière moi me bouscula, sans faire exprès je l'espère, et tel un domino, je bousculai deux filles qui étaient devant moi. Cet accrochage involontaire fit que la chope de bière que l'une d'elle tenait se renversa directement sur la poitrine de l'autre. Choqué sur le coup, elle se retourna et quand elle me vit, sourit en dévoilant sa généreuse poitrine désormais très visible sous le tissu de son t-shirt rendu transparent par le dégât. J'étais néanmoins très mal-à-l'aise et elle me rassura, en voyant ma gêne, que ce n'était pas grave.
Elles se remirent dos à moi et je les voyais bien rire et se faire de petites messes basses en riant et se poussant du coude. L'heure avançant, les dernières lueurs de la soirée s'estompèrent et firent place à une relative obscurité. La voix de l'annonceur se fit entendre dans les immenses haut-parleurs de la scène et l'éclairage disparut, ne laissant que la scène illuminée. C'est alors que la fille au t-shirt moulé recula et se plaqua contre moi, son fessier généreusement bombé se prélassant au niveau de mon sexe qui eut tôt fait de lui rendre un hommage appuyé ! C'est à ce moment que sa copine en profita pour se faufiler et, en m'enlaçant par derrière, glissa ses mains sur le devant de mon bermuda, empoignant fermement ma tige raide toujours sous l'excitation des fesses de sa copine qui m'avait pris les mains et les avait plaquées contre son buste. Mes doigts s'en donnaient à cœur-joie sur ces seins bien fournis aux mamelons érigés
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Je sentis soudainement que la fille derrière moi faisait glisser ma fermeture-éclair et, comme je n'avais pas pris la peine de mettre un slip sous mes vêtements, elle n'eut aucune difficulté à s'emparer de mon dard gonflé. Un petit "hmmmm" de satisfaction glissé à mon oreille ne fit que m’enorgueillir encore plus. Elle reprit sa place devant sa copine et fit glisser le haut de son petit short, dévoilant ses fesses chaudes qui prirent immédiatement possession de ma queue bandée à bloc. Les deux coquines me rendaient totalement fou de désir. J'étais excité comme jamais alors que nous étions là, au sein de cette foule qui ne semblait pas porter attention à ce qui se passait autour d'elle et n'avait d'yeux que pour le spectacle en cours sur la grande scène extérieure.
Soudain, j'eus des frissons en sentant qu'un préservatif était déroulé le long de mon membre. J'étais ébahi par autant d'audace et j'avais tout à coup la trouille que quelqu'un nous dénonce en s'apercevant de ce qui se tramait à côté. Vous imaginez la honte ! Néanmoins, ma queue bondit fièrement, d'une raideur à donner peur qu'elle éclate, anticipant tout autant que moi ce petit voyage gratuit au paradis !
Quand je sentis les fesses invitantes de cette inconnue qui avalaient doucement mon gland j'eus le vertige. Son petit anneau serré m'envoyait des chocs électriques dans toute la colonne! Elle poursuivit la descente le long de ma queue, l'emprisonnant fermement dans son fondement, alors que je devais demeurer immobile et silencieux pour ne pas attirer l'attention des gens autour de nous. Ce fut un supplice chinois quand son bassin commença à faire de petits va-et-vient sur ma tige, serrant et desserrant les fesses sur mon vit tout en continuant ses mouvements. Je ne pensais plus à rien, n'ayant en moi qu'une envie : meretenir le plus longtemps possible tellement c'était bon !
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux..
J'étais tellement absorbé par mon plaisir que je n'avais pas remarqué que mon bermuda ouvert avait glissé sur mes chevilles. J'eus tôt fait de me rassurer en sentant la chaleur du corps se collant contre moi. La copine avait donc changé de place et je me délectais d'être "pris en charge" par ces deux effrontées. Derrière, les mains de sa copine me caressaient doucement le dos et les fesses alors que devant j'étais toujours dans une chevauchée magique au pays du plaisir. Quand je sentis le doigt de la fille de derrière se faufiler entre mes fesses pour atteindre ma rondelle, je me figeai quelques secondes mais me suis laissé aller face à cette nouvelle et heureuse sensation qui m'envahissait. Son doigt faisait le pourtour de l'anneau et s’immisçait graduellement en moi alors que ma queue faisait toujours ses aller-retours dans l'antre chaud de sa copine de devant. Soudain j'eus à masquer un sursaut quand je sentis qu'un deuxième doigt forçait la porte de mon intimité. Je devais concilier l'inconfort de derrière avec la douceur de devant, et ce, sans m'affoler et risquer de se faire prendre et d'être là, en plan, la queue raide et non satisfaite. Je me suis donc détendu et j'ai continué à me concentrer sur les bienfaits de la chaleur sur ma queue tendue.
J'ai tellement bien réussi à feindre d'ignorer cet assaut de sa copine dans mon train arrière que ce n'est que trop tard que je me suis aperçu, mêlant à la fois une douleur vive, mon envie de jouir et mon désir de demeurer inaperçu au sein de cette foule, que les deux doigts en question avaient fait place à quelque chose de plus volumineux. Sur le coup, je crus d'abord à un gode enfoncé dans mon cul. Portant la main à mes fesses, je crus défaillir en me retrouvant tout à coup avec une paire de couilles entre les mains. Un mec m'enculait! Ça y est, j'allais m'enfuir en courant quand je sentis mes chevilles prisonnières de mon bermuda. Le gaillard s'aperçut de ma panique et prévint le coup, captant les bras de celle qui s'activait toujours sur mon sexe devant moi, ne me laissant aucune autre alternative que d'accepter... ou crier ! Vous imaginez donc ! De la terreur que j'avais de me faire prendre en flagrant délit avec la fille tantôt, il était donc évident que la situation actuelle me faisait encore plus peur !
Le gars s'activa donc de plus belle entre mes fesses et ses mouvements se répercutèrent sur ma voisine de devant, plantant ma queue avec encore plus de force en elle. Je sentais le sang bouillonner dans mon gland tellement j'avais besoin de jouir et je sentais naître un plaisir inconnu au creux de mon ventre. Je me rendis vite compte que ce plaisir, je ne l'avais jamais senti auparavant et qu'il ne pouvait qu'être causé que par l'intrus derrière moi. Les fesses de la fille se serrèrent soudainement sur la base de ma queue bien plantée en elle, causant ainsi le déversement des flots de sperme au fond de la capote dans un orgasme exceptionnel. En éjaculant, je sentis alors que mon propre trou serra d'avantage la longue tige qui m'avait envahi, la rendant prisonnière à l'intérieur. Alors que mon unique désir n'avait été que de l'expulser je bénissais ses bienfaits : je jouissais du cul. Une multitude de petits spasmes se firent sentir entre mes fesses et sentant les mains du mec se crisper sur mes poignets, j'eus tôt fait de deviner qu'il était en train de se laisser aller à jouir dans mon cul.
Quand il me libéra de son étreinte, je n'eus qu'une hâte : remonter en vitesse mon bermuda et me lançai à travers cette foule sans même prendre le temps de me boutonner. Il n'y avait que ma fuite qui comptait! Ce n'est que quelques deux cents mètres plus loin que je repris mon souffle, adossé contre la façade d'un commerce.
J'essayais de reprendre mes esprits, essayant de faire la part des choses entre cette baise excitante que je venais d'avoir avec cette fille dans la foule et le viol de mon intimité par ce gars. J'eus tout à coup les jetons ! Et s'il m'avait transmis une cochonnerie? Je paniquais et oubliant tout le reste, je me retins de montrer mon désaroi en pleine rue.
Un jeune couple s'approcha de moi et me demanda si tout allait bien. La gorge serrée, une larme au coin de l’œil, c'est sans le moindre bruit que je fis un petit signe de tête pour qu'on me laisse tranquille.
— J'avais jamais vu ma blonde excitée comme ça ! lança alors le grand blond en me fixant droit dans les yeux. J'espère que je ne t'ai pas fait mal, ajouta-t-il d'un regard sincère.
Je restai coi, incapable de toute réaction. Un mec, rien de plus normal, comme on en croise tous les jours dans la rue, et sa copine... Qu'est-ce qui venait de se passer ?
— Ah oui ! J'allais oublier... T'as pas à avoir peur! dit-il, déposant une capote nouée au creux de ma main avant de s'éloigner doucement, le bras autour de la taille de sa bien-aimée.
Mes sens me firent alors remarquer que j'avais toujours une capote pleine sur ma queue rabougrie dans mon bermuda. Alors que je m'efforçais de la retirer sans faire de dégât, ce fut en vain, et je sentis ma dèche me couler le long de la jambe et maculer l'intérieur de mon vêtement...
Vraiment, je venais de vivre une soirée incroyable d'enseignements sur le sexe et sur moi-même et ne réagissais que très lentement. J'eus dû retenir ces deux audacieux libertins, mais je ne les ai jamais revus.
Voilà à qui et quoi j'attribue ma recherche incessante de mecs...
Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...
Je rêve à tout ce qu'on peut envisager en compagnie d'un couple libertin comme ça
rêve et rien à exclure
des chances que tu y prennes goût ! en voudras-tu à ton violeur ?
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