1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 06:40

Vrai qu'il peut hésiter

 

 

Par "MEN" - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 6 octobre 1 06 /10 /Oct 14:25

 

Tu sais, j’attendais ça depuis si longtemps !

 

Tu vas voir, tu vas pas regretter !

date=Juin 2003  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Le_go%C3%BBt_de_sa_bouche 

 

 

 

 

J’ai senti que c’était le grand soir.

 

Je m’appelle Thibaut et j’ai vingt-et-un ans. Je suis étudiant en droit constitutionnel. J’habite près de Toulouse, toujours chez mes parents. Il y a une semaine, je leur ai enfin appris que j’étais homo. Ça s’est beaucoup mieux passé que je ne l’avais espéré. En fait, ils en avaient déjà discuté entre eux, ils s’en doutaient, non pas parce que chez moi, ça se voit, mais parce que je n’ai jamais eu de "petite copine". J’ai toujours eu des bons copains, mais jamais aucune relation sexuelle jusqu’à il y a environ neuf mois. Puceau j’étais, mais ça ne m’empêchait pas de me donner du plaisir en lisant des revues pornos. Je n'étais pas innocent pour autant.

 

La première fois s’est passée chez mes parents. Ils étaient absents pour le week-end, partis dans la famille. C’était en mai, il faisait un temps splendide. J’avais ouvert en grand les portes-fenêtres qui donnent sur le jardin. C’est alors qu’un copain d’un copain, que je connaissais surtout de vue, m’a appelé. Il devait faire un tract pour des séances de cinéma. Il ne connaissait pas grand-chose à Photoshop, et, comme j’étais l’un des seuls à avoir un ordi Mac, il me demandait s’il pouvait passer pour se faire aider. Je n’avais rien à faire ce samedi-là.

  Manu est arrivé en début d’après-midi. On s’est mis tous les deux devant l’écran. Son truc: n’était pas difficile à faire, mais il avait superposé tellement de "calques" que son image pesait des tonnes, et tout était sens dessus dessous. Au bout d’un moment, j’ai senti le genou droit de Manu se presser contre le mien. C’est comme une vague de chaleur qui m’a submergé, un drôle d’effet. Je n’avais jamais vraiment regardé Manu, d’une part parce que je le connaissais peu, d’autre part parce que pensais qu’il était hétéro. Mais là, soudain, j’avais des doutes. Je me suis mis, sous le coup de l’émotion, à le regarder d’un autre œil. C’était un beau mec, finalement, grand, de belles épaules, des yeux en amande, vifs, plus petit que moi, mais bien foutu.  

 

Pendant tout le temps qu’on est restés à travailler, il ne s’est rien passé de plus, sinon ce genou qui, de temps en temps, se pressait contre le mien. On s’entendait bien, lui et moi, le courant passait bien. Puis on a fini par sortir l’image retravaillée sur l’imprimante. Manu devait partir, il devait être cinq ou six heures. Je me suis lancé : je lui ai proposé de venir bouffer le soir, vu que j’étais seul et que je n’avais rien de prévu. Le plus grave, c’est qu’il a accepté !

 

Ce qui s’est passé dans ma tête ? Tout ! J’ai senti que c’était le grand soir. Mais en même temps, je me traitais de petit con, je n’étais sûr de rien, le genou, ce n’était peut-être pas du tout volontaire, auquel cas, eh bien, on se passerait quand même une bonne soirée. Il y avait de quoi soutenir un siège dans le frigo, le bar était plein. Cool ! J’ai pris une bonne douche, je me suis servi une vodka-orange, histoire de décompresser. Il me plaisait bien, le Manu, je suis sûr qu’il devait savoir bien embrasser, et sucer... Et puis, il est arrivé, avec une bonne bouteille de Buzet (vin local). On a commencé à bien se marrer. On avait les mêmes goûts en musique. On s’est mis du drum & bass à fond les manettes (mes parents ont une maison sans voisins immédiats, rassurez-vous), on a descendu pas mal d’alcool, et puis j’ai fait chauffer la pizza et préparé une salade. Je me sentais bien, mais bien !

 

On a beaucoup discuté, on se trouvait plein d’amis communs, de goûts communs. Je voyais les yeux de Manu étinceler, je savais qu’on ressentait la même chose, lui et moi. Ce qui était curieux, c’est que les discussions sur les meufs n’allaient jamais très loin...

 Et puis , on s’est mis un DVD, Existenz de Cronenberg, un must. On s’est installés tous les deux sur le canapé, j’ai baissé les halogènes. Il n’a pas fallu attendre longtemps, et l’alcool nous a aidés, surtout Manu, qui a osé faire le premier pas. Je l’ai senti se tourner vers moi. Il m’a dit :  

 

— T’es comme moi, toi, hein ?

 

— Qu’est-ce que tu veux dire ?

 

— Tu sais très bien ce que je veux dire, Thibaut ! J’ai envie de toi !

 

— Comment tu le sais ?

 

— Je l’ai senti, même avant de venir cet après-m’.

 

— Ah bon ! Moi aussi.

 

— Toi aussi quoi ?

 

— Moi aussi, j’ai envie de toi...

 

Le film a continué, mais il n’avait plus de spectateurs. Pour la première fois de ma vie, j’ai embrassé un garçon, nos langues se sont mêlées, on s’est roulé pelle sur pelle, sans plus pouvoir s’arrêter, serrés à s’étouffer l’un contre l’autre. Des vagues de chaleur successives m’envahissaient, j’avais la bite raide comme un barreau de chaise. J’ai dit à Manu :

 

— Tu sais, pour moi, c’est une première ! Et toi, t’as déjà...

 

— Ouais, j’ai déjà...

 

Ce que j’ai aimé, c’est le goût de la bouche, le mélange de clope et d’alcool, et puis la petite barbe de deux jours de Manu qui me râpait les joues. J’ai dit à Manu :

 

— Tu sais, j’attendais ça depuis si longtemps !

 

— Tu vas voir, tu vas pas regretter !

 

Manu a été le premier à me masser la braguette. J’en ai fait autant. De sentir ce barreau dur sous la toile du jean, ça m’a fait une décharge électrique. J’étais presqu’au bord de jouir. Manu a été plus rapide, il m’a ouvert la braguette et en a extirpé ma bite qui n’en pouvait plus. Il l’a décalottée, il l’a caressée, il m’a soupesé les couilles, il a passé son doigt tout autour du gland. Puis il s’est penché et m’a gobé. Quand j’ai senti sa bouche chaude se refermer sur ma bite et sa langue frotter contre le nerf, je n’ai pas pu résister. J’ai crié à Manu :

 

— Attention, je vais jouir !

 

Mais il n’a pas voulu se retirer. Je lui ai envoyé toute la dose dans la bouche. Il est resté assez longtemps comme ça, les joues déformées par mon manche, les yeux fermés. Je l’ai trouvé beau, mortel à ce moment-là, mais j’avais la honte de ne pas avoir pu m’empêcher de jouir. Quand il s’est relevé, il m’a longuement embrassé, et j'ai senti le goût de mon sperme mêlé à sa salive. Il m’a dit :

 

— C’était bon ? On a toute la nuit, non... ?

 

C’était à mon tour de lui faire la même chose. Je me suis penché sur sa braguette. J’ai massé, puis j’ai ouvert les boutons et défait la ceinture. J’avais déjà vu des bites, mais pas dans ces conditions-là ! Enfin, elle est apparue, un beau morceau, à la peau plus foncée que la mienne, avec un gland plus large et aplati. Je l’ai regardé, j’ai senti la légère odeur de mec, ça sentait un peu le savon et le sperme. J’ai ouvert la bouche... Et je me suis remis à triquer instantanément, une gaule d’enfer. Sucer une queue, c’était vraiment le pied. J’étais vraiment pédé, si jamais j’en avais douté ! Je l’ai sucée, bouffée, léchée, jouant des lèvres et de la langue comme si j’avais fait ça toute ma vie.

 

Ce soir-là, Manu et moi, on a fait l’amour pendant des heures. Il a voulu me dépuceler, mais ça, je n’étais pas prêt, et puis, on n’avait de capotes nulle part. Pourtant, je sais que j’en avais envie. Je n’ai pas pu le prendre non plus, pour les mêmes raisons, mais on a fait "semblant". À un moment, je me suis allongé de dos sur le lit, et il s’est allongé sur moi. Nos deux bites se sont retrouvées coincées l’une contre l’autre entre nos deux ventres. D’instinct, j’ai refermé mes cuisses autour de sa taille. Nous avons joui comme ça, presqu’en même temps, on était inondés de jus. pourtant, pour moi, c’était déjà la troisième fois...

 

On a dormi tous les deux enlacés. Le lendemain, on a remis le couvert en se promettant la prochaine fois de disposer de capotes.

 

Manu m’a dépucelé une semaine plus tard. Je n’ai pas eu mal comme je le redoutais. J’étais trop amoureux. Je l’ai enculé aussi, bien à fond, il se donnait tellement ! J’étais heureux d’être ce que j’étais et de pouvoir partager tout ça avec un mec.

 

"On s’était mis un DVD, Existenz de Cronenberg, un must."

Regarder en streaming : http://watch32.com/movies-online/existenz-2356 

 

 Thibaut aime ce film

 

 

Par thibaut - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 octobre 5 03 /10 /Oct 22:11

 

 

HOMO est remplacé par le mot "chose", puis la phrase :"j"aime les hommes"...

Ci-dessous ma lettre de coming-out  avec quelques parties intimes qui ont été supprimées :

 

Maman,

Mère adorée,

 

Ces dernières semaines, je suis passé par des moments difficiles qui ont fait émerger cette dépression latente ; une dépression qui a nourri mon mal-être durant des années et des années. Comme nous en avons discuté à maintes reprises, une bonne partie de cette dernière est due à un sentiment de culpabilité envers toi. Tu t’es toujours sacrifiée pour nous et, pour moi par conséquent, je devais être irréprochable et ne jamais te décevoir. Je devais être le fils parfait. 

 

Pendant de longues années j’ai lutté contre moi-même, j’ai lutté contre la personne que j’étais réellement. Pendant de longues années, j’ai dû me conformer à tes attentes et celles de la société : me glisser dans un moule tout prêt que je n’ai pas choisi. Le combat était rude, car il n’y a rien de plus difficile en ce monde que le refoulement et l'inhibition de ses désirs.

 

L’acceptation de cette réalité pour moi fut plus que difficile... des années de questionnement : Suis-je normal ? Est-ce normal ? Pourquoi est-ce que je ressens cela ? Pourquoi suis-je comme ça ? Pourquoi moi ? Peut-être serait-ce une maladie ? Ou une tare comme "ils" le disent ? Serai-je capable de vivre avec ce "fardeau" ? Serai-je capable de vivre cette "chose" ouvertement ? Bref ! Un ensemble de questions qui m’ont plongé dans un océan de mélancolie, un abîme où tout était flou et où, chaque jour qui passait, je me sentais encore plus perdu et plus malheureux. 

 

Comme je l’ai dit plus haut, tu t’es sacrifiée pour nous et tu nous as consacré toute ta vie. Tu as toujours été une mère parfaite et tu l’es toujours. Aujourd’hui je suis arrivé à un point de ma vie où je veux vivre, où je veux être moi-même sans peur ni culpabilité. Or, il y a toi. Je t’en ai voulu pour ça. Je t’en ai voulu parce que je t’aime trop et je ne m’aime pas assez pour m’affirmer et connaitre le bonheur comme mes semblables. 

 

J’ai menti à tout le monde et, plus grave encore, je me suis menti à moi-même en essayant de vivre dans le déni. Un déni qui m’a tant fait souffrir, un déni qui m’a fait perdre toute confiance en moi-même. J’ai vécu dans la peur, l’angoisse, l’amertume et l’isolement (même si j’avais mes amis). J’ai mis en place une barrière qui a failli me tuer, une barrière qui a aspiré toutes mes forces et aujourd’hui je veux m’en défaire pour vivre une vie "normale", une vie sereine (mot qui m’est si étranger).

 

Aujourd’hui je suis dans un état de torpeur parce que je ne sais plus ce que je dois faire et même si parfois je le sais, je ne sais pas comment le faire. C’est comme si le noyau en fusion maintenu par ces forces qui m’épuisaient durant toutes ces années était en train de dégénérer à cause de la dissipation progressive et non voulue de ces dernières. Les crachats de feu sont en train de gicler dans tous les sens. Le mur de cloisonnement que j’ai construit pour protéger cette zone tumultueuse est en train de s’effondrer. Les pensées ne sont plus contrôlées, les dire l'est encore moins. Panique, incompréhension, confusion, sidération... Tout est là. Tout. Je suis en train de me noyer de plus en plus. Je suffoque à cause de ce "fardeau" que j’ai porté depuis si longtemps. 

 

Maman, j’ai envie de vivre. J’ai envie, pour une fois dans ma vie, d’être égoïste et vivre ma vie comme je l’entends. Je suis un peu - euphémisme de l’année - différent des autres. Ce n’est ni une tare, ni une maladie. J’aime juste mes semblables. J’aime les hommes. C’est quelque chose que je ne contrôle pas. C’est dame nature qui en a voulu ainsi et je pense qu’on doit se plier à ses caprices pour trouver la paix avec soi-même.

 

Je veux que tu saches que ce n’est pas à cause de toi ni à cause de Papa. Je suis juste comme ça et je l’ai toujours été. Je me suis toujours caché de peur du rejet mais là je n’en peux plus. Je ne peux plus vivre comme ça. Je veux avoir un amant, je veux de la stabilité, je veux me marier un jour, je veux avoir des enfants ! Oui aujourd’hui c’est possible ! Je veux que tu saches aussi que je suis loin d’être le seul. En revanche, je fais partie des rares [maghrébins] qui s’assument et qui veulent être francs envers eux-mêmes, leur entourage et bien sûr envers cette société régie par ces normes archaïques.

 

Maman, 

Je veux me battre, je veux m’affirmer. Ça sera dur pour toi mais sache que ça l’est beaucoup plus pour moi. Je veux être heureux ! C’est tout ce que je te demande !  C’est tout ce que je demande aux gens qui m’aiment ! 

 

Maman,

Accepte-moi comme je suis ! Aime-moi comme je suis ! L’amour entre deux personnes du même sexe n’est pas si différent. C’est sain ! C’est pur ! Et ça apporte de l'apaisement et de la sécurité.

 

(…)

 

J’aimerais que tu me soutiennes, j’aimerais que tu sois la même avec moi, j’aimerais que tu gardes tes rêves, tes rêves de mère : petits enfants et famille... Je vivrai très probablement en exil jusqu’à la fin de mes jours parce que c’est le seul moyen de vivre comme je veux. C’est le seul moyen de trouver l’épanouissement personnel.

 

Je culpabilise tant de te l’avoir dit mais sache que ce n’est pas de l’égoïsme mais, bien au contraire, une preuve d’amour. Je veux que tu me connaisses mieux ! Je veux que tu me comprennes et que tu m’aimes pour ce je suis réellement. Parce que oui Maman je suis Gay, et oui cela ne changera rien parce que ce n’est qu’un détail.

 

Tu vas sûrement avoir peur des autres et du "qu’en-dira-t-on" et je le comprends. J’essayerai d’être discret à Tunis. J’essayerai de ne pas t’attirer la "honte" et le "déshonneur". Et même s’ils l’apprennent, détache-toi un peu de leurs dires et de leurs ragots. Tu dois être au dessus de cela. Tu dois être forte (tu l’es d’ailleurs, sinon tu ne serais probablement plus de ce monde aujourd’hui). 

 

Ici, à Paris, je me suis fait de nouveaux amis et ils m’acceptent comme je suis. Parmi les anciens : D., K. et W. l’ont appris et l’ont très bien pris. Ils me considèrent toujours comme un de leurs meilleurs amis et il m’ont soutenu même si des fois je ne me suis pas montré à la hauteur à cause de ma dépression. 

 

Je l’ai dit à F. (ma soeur) il y a deux ou trois semaines et elle a dit qu’elle m’aimait toujours autant et qu’elle allait me soutenir quoi qu’il arrive. Elle m’a demandé d’ignorer les gens et la société barbare au sein de laquelle j’ai vécu.

 

Comme toutes les mamans, tu vas avoir du mal à l’accepter au départ. Ça va chambouler tous tes rêves et toutes tes attentes. Comme toutes les mamans, tu vas penser que c’est à cause de toi. Je te le répète encore une fois, c’est naturel ! Ce n’est pas une maladie. On vit avec comme on vit avec un gros nez ou des oreilles décollées... :-) Je sais que tu es capable d'acquiescer. Ça prendra peut-être un peu de temps mais ça se travaille. Je te donnerai des films et je t’enverrai des livres sur ça si tu le veux. 

 

Que te dire de plus ? Je t’aime maman et tu es la personne que je chéris le plus en ce bas monde. Tu es ma source d’espoir. Tu es la personne qui m’a inculqué les bonnes valeurs et l’amour de mon prochain. Papa aussi m’a beaucoup appris et il me manque. Quand je touche le fond j’essaye de penser à toi et à ta force de caractère dont tu n’es pas consciente, j’essaye de penser à Papa, de tirer des leçons de ses erreurs et d’agir comme lui en aidant celui qui a besoin d’aide et en pardonnant aux gens leurs bavures et leurs bêtises parce qu’ils sont humains.

 

Je t’aime maman. 

Ton fils, 

Yacine*

 

http://www.cestcommeca.net/temoignage-homosexualite-un-fardeau.php 

     
Par Romeo - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 06:16

Y a-t-il quoi que ce soit en commun entre ce fermier un peu rustre et un jeune type qu'il surprend en train de parcourir un magazine porno homosexuel dans son verger ?

 

 

 

Description : y a-t-il quoi que ce soit en commun entre ce fermier un peu rustre et un jeune type qu'il surprend en train de parcourir d'un magazine porno homosexuel dans son verger ?

Par BUCKSPORTAL - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 05:33

2 VIDEOS   + 1 PETIT TEXTE pour ceux qui aiment encore la romance !

 

Description:

Chaz Kramer and Jake Lyons, two cute twink boys make out on the couch in the living room, before stripping, sucking and fucking each other

 

 

 

 

 

 

VIDEO

 

Extrait DE TEXTE :

"— Jacques, je le sais que je suis en boisson, même ivre, mais ça fait trois jours que je ne me suis pas vidé les couilles. Veux-tu baiser avec moi?

— Mais Pierre, voyons, pense-y, moi c'est 200% oui, mais toi, en es-tu sûr?

— Écoute-moi bien Jacques, je vais te faire une offre que tu pourras même pas refuser, ok?

— C'est bien, c'est quoi ton offre qui n'est pas refusable?

— Je vais t'offrir mon cul vierge pour te prouver que je t'aime et que tu seras toujours mon meilleur et mon seul vrai ami. Tu m'as déjà conté de tes baises entre mecs, je veux te faire et que tu me fasses tout ce qui se fait entre gars au lit.

Simplement, il s'est approché de moi pour m'embrasser à pleine bouche. Je n'avais rien d'autre à répondre que lui rendre son baiser au centuple... Je m'en suis détaché pour lui dire:

— Tu es sûr de toi Pierre?

— Jacques, oui j'en suis sûr. On fait l'amour ensemble toute la nuit, ou bien, je te viole de force, ou simplement aller me chercher un autre gars. Il n'y a que ces trois possibilités là... Et puis non, il n'y en a qu'une...

Étant plus robuste que moi, il me tordit un bras, et de force, je l'ai suivi dans ma chambre. Il me poussa sur mon lit, se laissa tomber sur moi et commença à m'embrasser de nouveau et j'ai aussitôt senti sa belle grosse queue bandée raide appuyée sur ma queue. Je n'ai offert aucune résistance, bien au contraire.

Il se mit aussitôt à me manger les seins, il me les mordillais fortement, cela étais douloureux et si bon en même temps, il passa même me léché sous les bras, avant de descendre vers mon nombril et ma queue qu'il engouffras au complet dans sa bouche, descendis à mes couilles et à mon anus...

Il se mis à me manger le trou de cul, comme je n'avais jamais été mangé, il étais vraiment expert pour mangé un trou, car je me suis senti ouvrir l'anus, comme s'il me pénétrais, il a continué pendant plus de dix minutes a y entré sa langue à fond, j'étais bandé raide, j'étais excité comme rarement ça m'arrive, tellement que je lui es crié, d'arrêter, car j'étais au point de non-retour, pour éjaculé, il a simplement mis de deux doigt dans mon cul et commencé à ma sucé vivement, j'ai crié...

— Arrête Pierre, je vais jouir, arrête...

Il a continué plus à fond, et HOOOOOOOOOOo, je lui es rempli la bouche de sperme en 5 longs jets, qu'il a avalé, continuant à me sucer, je l'es supplié, d'arrêter, j'avais le gland au vif...

Il m'a enfin lâcher la queue, pour me replier mes deux jambes sur mon torse et sans condom ou autres choses, il m'a planté son gros 8" à fond dans le cul, pour m'enculer super virilement, autant que j'avais le gland à vif, il m'a fais, la même chose à ma prostate, ce qui ma fais bander encore, bien raide. Plus de 20 minutes d'enculage viril, j'avais le cul au vif et je lui dis.

— Arrête-toi quelques minutes, Pierre!

— Non, mon bébé, je fini toujours, ce que je commence, je suis ivre, mais encore capable.

Il a continué, encore un bon 5 minutes, avant de gueuler, HOOOOOOOO OUIIIIIIIIIIIIII! Je vous jure, sa queue avais gagné plus de 2" et doublé de grosseur. Quand je me suis senti les intestins remplir de 7 a 8 spasmes de son vrai jus de mâle! Oufffffff! Il s'est laissé tomber sur le lit et il m'a dis...

— Mon beau Jacques, garde-la dans ton beau petit trou de cul si serré et si chaud et laisse moi dormir collé sur toi, demain matin, tu me rendra l'extase que je t'es donné ce soir."

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Mon_meilleur_ami_d'enfance 

par Etienne en 2004

 

 

 

Par santos domexico - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • BlackWhite simple cut
  • LUTTE FABIEN 021
  • 222 1000
  • UNCUT BEAUTY 8
  • CAMION 25.TruckerJeffMemories1
  • Erection3

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés