EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS

Samedi 8 juin 6 08 /06 /Juin 18:52

  à relire dans INVENTAIRE DES POSSIBLES  

  De : Fabien Fabien <lutteur@...>
Date : 8 juin 2013 12:22
Objet : RE: à mes deux amants chéris Fabien et René, René et Fabien
À : "claudemodou@gmail.com" claudemodou@gmail.com

Coucou mon Claudio adoré, je sais pas si ça marchera mais j'ai fait de mon mieux

Fabien    

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   De : claudemodou@gmail.com  

    A : Fabien  lutteurgay@...  ,  René @yahoo....Cameroun

 

Bonjour à vous deux ! ...bisous pour commencer.

Eh oui ! me suis-je lassé trop vite ?J e n'arrivais pas à ouvrir
 ces pièces jointes  toi, Fabien, tu l'as fait !  MERCI  ! 
Bien sûr nos sommes plus dans les photos que dans les textes,
 mais tous les espoirs sont permis de pouvoir faire un copier-coller 
intégral et immédiat de tes textes, René, et de les exhiber, car c'est le mot, 
dans le blog.  René nous dit : 
"franchement j’étais inquiet que Fabien ne m’arrache à toi, pourquoi ? Vous étier très proches et habitué à cela. Mais je crois que la personne qui doit se plaindre c’est toi, car je ne sais pas quoi faire ? 
Il est de notre devoir de te rassurer Fabien et moi, je n'ai aucune peine à m'engager pour lui, la jalousie est un sentiment que nous ne connaissons pas.  1. Notre affection part du principe  que, même si nous sommes éloignés physiquement, nos corps doivent s'épanouir librement et complètement. Ainsi toi René avec ton beau gosse camerounais et toi Fabien avec ton chum de Suisse, et moi qui papillonne ici à Cavaillon !  . Au contraire, faites-nous vivre vos plaisirs et vos émotions, nous sommes tous trois décomplexés. 
2. aussi me suis-je permis, d'emblée, de vous proposer de faire l'amour à trois sans tabous, surtout que le virtuel permet de réaliser TOUS nos fantasmes. Et cela ne va pas être triste ! !    
       Ainsi, vous allez voir, je vais pas me gêner :  

       
     
s
souriez je prends les photos :
     
A toi Fabien  de prendre des photos svp :
     
   
 
   
claudio

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---------- Message transféré ----------
De : Fabien Fabien <lutteur@...>
Date : 8 juin 2013 12:22
Objet : RE: à mes deux amants chéris Fabien et René, René et Fabien
À : "claudemodou@gmail.com" claudemodou@gmail.com

Coucou mon Claudio adoré, je sais pas si ça marchera mais j'ai fait de mon mieux

Fabien           


Voilà le texte de René " claudio.doc" que tu m'as transmis 

Désolé pour cette imprudence, car les images ont été prises au net et quand je composais ces images ont été effacées dans ma corbeille et que ma souris dérange, même pour t’écrire, c’est vrai que j’ai un lap top quand je pars cerfe, c’est dommage.

 Je ne sais pas télécharger des trucs au net, je suis entrain d’apprendre, à cause du fais que tu me fais parvenir des images des personnes ou dessins animé gay. Tu es magnifique, j’ai le film vidéo des photos vidéo que tu m’as envoyé, celui de BARE BACK, mais il fait environ 2H 30, merci quand même de le faire c’est le Gay 15 en collection avec plein d’autres. Sauf que je suis désolé pour le mauvais téléchargement que j’ai eu à faire.

Je vais revenir sur la boite d’envoi afin de voir ce qui s’est réellement passé. Moi j’ai un très grand problème qui me dérange, je tiens d’abord de m’excuser sur la jalousie que j’ai eu à te faire dans ma lettre, franchement j’étais inquiet que Fabien ne m’arrache à toi, pourquoi ? Vous étier très proches et habitué à cela. Mais je crois que la personne qui doit se plaindre c’est toi, car je ne sais pas quoi faire ? je suis tombé amoureux d’un confrère au net sur datant.fr, mon frère, il m’a donné l’impression que c’est un très beau Camerounais jeune de 21 ans et je suis tombé fou amoureux, nous nous sommes échangés de numéro de téléphones et on s’appelle constamment, mais je me rend compte qu’il me fais souffrir plus qu’il n’en faut, je t’oubli au profit de lui, alors que tu me comble plus que lui, sauf que je suis dans un dilemme, moi je peux pas vivre avec plusieurs partenaires sexuels, c’est très difficile pour moi, je crois que je vais le mettre à la touche.

Pardonne moi de te négliger pour autant, mais tu semble plus futé alors je te dis ce que j’ai fait à ce imbu de E – Cantoi ? Je l’ai envoyé des images porno de gays sur son mur de facebook, ensuite il a du me reprocher que je fais que sa famille sache qu’il est gay, dont il fait en cachette avec les mecs, mais ce que je ne comprends pas c’est que il me dit que si je continu comme cela on se sépare c’est ce mot qui m’a bouleversé car je ne veux pas qu’il me quitte surtout pas maintenant. Et c’est ce qui m’a emballer dans un problème de cœur, j’ai du avoir un surmenage, et j’ai dû être crevé quelle horreur, je suis vraiment désolé mon frère, pourquoi veux tu que je t’appelle : « mon frère » ? Tu es blanc je suis noir, explique moi bien ça? Pour moi je préfère qu’on s’appelle « frérot », maintenant appelle moi également mon « frérot » ça te vas ? Et là je vais t’appelé « Mon Frérot », tu as aussi peur comme mon copain E Cantoi ? S’il te plaît tu m’avais parlé de ta famille ? Et je veux savoir si ta femme, tes enfants et petits enfants savent que tu es gay ? Et comment te considèrent ?

Chez moi, je suis le premier garçon de ma famille, je suis encore célibataire et j’ai pas encore d’enfants j’ai un petit frère qui me suit de moins d’un an, et j’ai trois grandes sœurs, et une est en France, je suis le seul qui n’a pas encore d’enfant, en effet je n’ai pas encore trouvée de petite amie avec qui le compte passer ma vie, je suis un peux efféminer et personne ne me considère dans ma famille, mais je m’en fou car je sais ce que j’ai à faire et ce que je vaux.

Certes que j’ai beaucoup de soi disant ami ici à Douala, mais c’est pas mes frangins de jeunesse, c’est pour m’exploité que je dit ou qu’ils se disent mes amis, en principe ta chaleur me donne l’impression que je gagne pas à pas l’amour petit à petit l’amour, la confiance que j’ai perdu, pour te dire je cause beaucoup avec mes frères et sœurs et même ma mère, mais je vous avez dit que je n’ai  jamais eu ni même programmer avoir des relations sexuelles et je ne sais pas si ce sera possible, franchement je ne me vois pas entrain d’avoir les rapports sexuels que je sois passif ou actif c’est un plaisir que je ne peux prendre le risque de courir. Car où vais-je me soigner ? Ma santé est très chancelante ces jours si, à cause de ma vie de solidaire que je vivais un moment donné, car j’étais découragé de mon propre sort, et Je suis un aspirant Moine Catholique et membre d’une très  grand chorale du Pays : Voix du Cénacle, lorsqu’on déforme son nom c’est la voix du pinacle. Ahhhhh. Tu es très captivant et très pragmatique, méticuleux, attentionné, et attrayant, c’est seulement que « j’aime les trucs hors du commun ». Ce que qui caractérise nous les Michel.

Mes seuls espoirs qui me restent à présent, c’est finir mes études qui ne finissent pas, et avoir un boulot, être indépendant financièrement, et ensuite continué mon chemin comme je l’ai voulu, c'est-à-dire soit me marier ou entrer dans une communauté de la visitation afin de m’aucupé des enfants abandonnés, des femmes vulnérables (violées, battues, vielles), afin de consacrer le reste de ma vie à faire du bien et être utile devant une multitudes de personnes qui aurons besoin de moi (mes enfants ou patients).

Tu me manques, et je te porterai toujours dans mon cœur. Je suis très honoré et enchanter d’échanger des nouvelles avec toi mon frérot.

Au revoir « Frérot subito ». Bisou sur la joue………….

 

*frérot : ami, frère par alliance, amant, confident, époux.

Subito : mot italien, littéralement subitement, mais pour moi  c’est frère maintenant après et à vie.

Aujourd’hui je vais me reposer c’est pour cela que je t’écris comme je peux, en effet je suis très fiers de toi, car tu es vraiment formidable, mais je compte sortir pour aller en ville, tu sait je suis à 27Km de la ville, je suis presque comme un village, c’est mieux car j’aime pas les bruits, le milieu urbain est trop dangereux, les vols, les bruits, les problèmes d’adduction d’eau, ils font souvent 02 mois au mais la facture viens, ne t’en fais pas je suis broussard moi ,je suis un citadin du Sud donc j’ai pas à me justifié, c’est acquis et en plus c’est ma troisième année dans la citée capitale, j’ai fais 02 ans en milieu péri urbain et deux ans en campagne je peux dire.

Je suis très flatté par ta dernière lettre, je ne sais pas mais je vais voir ça, mais mes vidéo photos ont été gommées, je ne vais pas te les renvoyés certainement pas ce jour, car je vais d’abord télécharger les images, les retraitées et te les envoyées alors je te promets que je le ferai demain sans délai.

Au revoir et à plus tard. Mon frérot.


Claudio (2).doc

Salut frérot! 

J’ai pas grand-chose à te dire, en ce qui concerne l’anonymat de notre relation, mais je vais te dire certaines précautions que j’ai eu à prendre afin que personne ne puisse même avoir une seule information, ni même une inquiétude, qui peux nous contrarier de telle manière possible. Comme précautions :

·        je cerf au cybercafé qui se trouve à 100 m de mon domicile familiale, et dont je n’ai pas de modem, mais ça ne me dérange pas ;

·        de plus, je cerf avec mon lap top et rien que moi seul qui a l’accès exclusif de cette machine, alors je fais ce que je veux avec ça ;

·        la machine n’est pas contrôlée par le cyber que je cerf, seule la NAZA qui sait quand je cerfe car chaque machine a une IP d’identification dans son système surtout quand vous accéder au net ;

·        même pour mon téléphone, j’ai un SAMSUNG S4 qui a les fonctions suivantes : - il a un mot de passe sur les appels, les messages, les vidéos, les photos, les documents, tu peux activer ou désactiver le GPS de ce téléphone, je peux décider de ne pas recevoir un appel en le mettant à la liste noire ;

·        et en plus je loge seul dans ma chambre à coucher alors t’as pas à t’en faire pour la sécurité ;

·        et enfin quand je cerfe je suis très caché dont personne ne peux savoir ce que je fais ;

·        et en plus tout le monde sais que je suis très honnête, j’ai une très bonne réputation dans ma citée ce qui fait que les gens me prennent pour un saint.

·        Et de plus je rédige mes lettres à la maison je vais au cyber pour les envoyés.

Je voudrai te poser des questions concernant le régime de gay en France.

·        Peuvent-ils se marier devant le maire ?

·        Peuvent-ils se marier devant l’hôtel (église) ?

·        Peuvent-ils avoir le droit d’adopter des enfants ?

Au revoir et à la prochaine fois.

 

et Clodio mon dou.doc

Salut « FRERE subito ».

Ton charme me ravi comme celui d’une femme dont le charme ravit son mari;

Et le bon sens que tu as, me garde en bonne forme;

Tu es modeste et c’est pour cela que ton charme est incomparable, rien ne le vaut ;

Tu te montre très réservé ;

Dans un corps  bien tenu, tu me fais frémir et me  donne l’envi de faire l’amour et tu es aussi beau que le soleil, parvenue au plus haut du ciel ;

Un jolie visage sur un corps bien fait apparait comme une lumière sur le porte lampe sacré ;

Des belles jambes sur des chevilles fermes sont des colonnes dont le socle est en argent;

Un homme vaillant comme toi, fait ma joie et le bonheur  de tous ceux ou celles qui t’admirent ;

Grâce à toi je me sens très bien, c’est pour cela que je passe toute la journée en paix dès que je pense à toi une seule seconde;

Quelle chance de t’avoir comme frère ;

C’est un cadeau de la nature ;

Peu importe que tu sois riche ou pauvre, j’ai un cœur qui est content ;

Et mon visage s’illumine et je suis heureux quand je pense à toi.

BISOU INCONDITIONNEL……

   
         

Et c'est bien vrai que je te suce à fond mon Claudio...(PLUSIEURS PHOTOS ONT DISPARU. LUTTE ENTRE LES LOGICIELS ? note de claudio)





René m'enculant? je dis pas non ;-)



Quel gourmand ce René, j'espère qu'il apprécie la dureté de ma verge tendue

trio-black--blanc--beur.jpg 
J'y rajoute la mienne, super photo ! 
René s'engouffrant dans mon Claudio chéri qui me fait une fellation inoubliable

De quoi imortaliser ce moment de pur bonheur jouissif

J'espère que tu pourras rajouter ça sur le blog

Tiens-moi au courant mon amour

A très vite

Un Fabien tout chaud
Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 31 mai 5 31 /05 /Mai 01:40
à retrouver dans  INVENTAIRE DES POSSIBLES
 
 
 
   
travaux en cours sur cet article
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 18 mai 6 18 /05 /Mai 06:10
 classé dans INVENTAIRE DES POSSIBLES  
 AVOUEZ-LE EN SONGE...VOUS RËVEZ DE COURIR CETTE AVENTURE psychedelique
et vous vous imaginez même en victime consentante... ENJOY !
 
Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 5 mai 7 05 /05 /Mai 23:01

Ce récit m'a ému au départ...peut-être d'autres pères se reconnaîtront dans cet homme dont j'ignore s'il faut l'appeler "rien du tout"ou homo, ou bisex ? Je n'exagère rien en disant que, par la dramatisation du début, voilà l'embryon d'un roman à la Houellebecque...sauf que cet homme se sent heureux, lui.

Hasard fabuleux de toutes les rencontres (Inch' Allah !) nous sommes à la merci du Destin. Fallait-il qu'un diablotin se mit en tête de séduire le père après le fils ?

      needingtobefilled: When a Man is feeling randy, and wants to know that the hole He’s fucking is going to hurt the next day, He doesn’t want to upset His Wife or girlfriend. That’s when every Man deserves to have a faggot at hand. A hole so tight that there’s no way the fag will be walking straight in the morning, so the Man can laugh, wink at His buddies, and point at it, saying “I plowed that little cunt so hard it cried last night. The bitch’ll be walking funny all week.”  

Cette idée, au départ, elle est de Piou. Je n'ai pas(en tant que père moi-même), supporté l'idée d'une fin en forme de vengeance sur "mon"fils.  la fin obéit donc à mes propres sentiments et ma propre vision des relations père fils, quelle que soit son ingratitude. L'article est classé catégorie INVENTAIRE D ES POSSIBLES en raison de son tréalisme

 

Je vous raconte cette histoire parce que, même si elle commence mal, je n’ai jamais été aussi heureux qu’aujourd’hui. J’ai bientôt 61 ans, je m’appelle Claude.

J’ai commencé à bosser à l’âge de 16 ans à l’usine pour finir ma carrière à 55 ans comme employé municipal à Grenoble. J’ai ressenti très tard de l’attirance pour les gars mais dans ma province je n’osais rien tenter. Pour ne pas finir vieux garçon et faire « comme les autres » je sortais parfois avec des filles, mais sans lendemain. En 1982, la fille que je voyais était enceinte. Nous nous marions et enchaînions 4 enfants entre 1982 et 1988. L’accouchement dramatique à la naissance du dernier me rendit veuf. Je me suis donc retrouvé seul avec une fille et trois garçons. Pendant ces années J’ai élevé mes gamins dans la banlieue de Grenoble dans un petit immeuble HLM (90 m2 avec 4 chambres) avec vue sur le Vercors. Je travaillais beaucoup, et j’ai consacré cette période de ma vie à mes enfants et à leur éducation. Puis, petit à petit ils sont partis. Corinne ma fille (1982) est partie de la « maison » en 2002, elle est maintenant infirmière avec un mari et deux enfants (eh oui je suis pépé). Laurent (1983) le plus grand de mes fils est ingénieur informatique avec une femme et un fils. Franck (1984) marié avec une femme et des jumeaux nés en 2006. David (1988) homosexuel outé depuis 2006 (officiellement)

Pendant toutes ces années, j’ai esquivé les questions sur ma vie privée et j’ai travaillé pour mes enfants. J’avais quelques aventures mais c’était surtout ma main droite qui me soulageait. Je vous donne tous ces détails car c’est quand je me suis retrouvé seul avec David que ma libido c’est réveillée. Je me rappelle le 6 février 2005 quand mes deux garçons les plus grands sont partis le même week-end et que je me suis retrouvé ce dimanche soir avec David pour dîner. Nous n’étions désormais plus que deux.

Mes relations avec le dernier ont toujours été plus distantes qu’avec les autres. Il avait, en 2005, 17 ans et je ne pouvais m’empêcher de le regarder. Physiquement mon fils, à 17 ans, c’était 1m75, 70kg, nageur, sportif, cheveux et yeux noirs. Moi à cette époque j’avais 39 ans, 1m77 pour 82kg, entretenu par mon métier assez physique (agent paysagiste pour la mairie) mais un peu enrobé, chauve et les yeux marrons. Nous parlions peu, regardions la télévision, il était distant mais respectueux. Il découchait peu et me prévenait s’il ne rentrait pas. Depuis un bout de temps il ramenait un garçon de son âge, Lionel, et ils dormaient dans la même chambre (alors qu’il y avait deux chambres de libre dans l’appart) son copain était un jeune rugbyman (20 ans bien dessiné, lèvres charnues, yeux noirs et cheveux noirs). Sa présence m'excitait beaucoup et faisait courir mon imagination à travers les cloisons de leur chambre. Je ne sais pas s’il le faisait exprès mais j’avais l’impression qu’il me draguait. Plusieurs fois alors que David dormait (ce n’est pas un gars du matin mon fils), son pote allait se laver et me rejoignait torse nu pour le petit déjeuner. De mon coté j'avais compris que mon fils était pd.

Puis une fois, alors que nous regardions tous les trois un match à la télé, ils sont allés se coucher. Je regardais le match seul et d’un coup j’entendis des bruits dans la chambre de David. Je m’approchai, ils avaient laissé la porte entrouverte. Et là j’ai vu mon fils de dos à genoux suçant son gars. Son gars me regardait en se léchant les lèvres. Il fut tenté par l'idée de provoquer la sortie forcée de David du placard et à son insu !  J'aurais dû m'éclipser au lieu d'entrer dans le jeu de Lionel. Je l’entendis dire :

— T'aimes ça David, sucer des bites hein ?

— Oui.

— Dis que t'es un gros pd si tu ne veux pas que je te prive de kékette.

— Je suis un gros pd...

Le mec me regardait, l’œil luisant, fier de lui. Puis il a pris entre ses deux mains la gueule de mon fils et lui a infligé des va-et-vient très rapides pour lui défoncer la gueule. Je bandais. Je suis parti. Je les ai surpris encore une ou deux fois comme ça Lionel et lui.

Même si mon fils ne m’a jamais vu les surprendre, son comportement a changé avec moi. Il commençait à faire des allusions, à se montrer devant moi il il cherchait à m'exciter et y réussissait beaucoup et j’avais vraiment la certitude qu’il le faisait exprès. Ca finissait par passer des limites : je pouvais regarder mais pas toucher. De toutes façons, je me le serais interdit. J'étais éperdu d'admiration devant la perfection de notre oeuvre à nous deux, ma défunte épouse et moi. Je me forçais à me dire il est jeune, il est beau, il est libre, il vit sa vie, il en fait ce qu'il veut, et de son corps aussi. J'ajoutais mentalement " et de son cul aussi" et je riais tout seul.  Il n'empêche que je rêvais de lui.

Oh, ça n'a été que quelques secondes, le temps de me ressaisir, mais un matin, je l’ai aperçu dans la douche, la porte était entrouverte, il m’a surpris et m’a ouvert la porte en me demandant si j’étais devenu un vieux pervers. Je m'en suis voulu. En même temps, il se baladait à poil de plus en plus souvent, s’approchant de moi, me frôlant,  jouant à me faire rougir. J'aurais pu le rembarrer, l'humilier, lui dire au visage qu'il n'avait pas de raison d'être fier,  que je savais qu'il était la lope de son partenaire. Mon excitation était au maximum, j’aurais pu avoir envie de lui. Mais c’est mon fils. Il est sûr qu'il aurait bien fait de me parler directement. Me croyait-il son ennemi ?

 

J’étais à la retraite depuis le début de l’année. Je décidai de surmonter enfin mon deuil et mon veuvage et à tirer parti de mon célibat. Malheureusement à mon âge ce n’était pas facile. Déjà je ne me voyais pas remarié ni même en couple. Et, confusément, pas avec une femme. J’ai commencé par faire du sport quatre ou ,cinq fois par semaine. Musculation principalement. J’ai commencé à vraiment apprécier l’ambiance testostérone de ce lieu et j’y passais beaucoup de temps. Avec beaucoup d'entraînement et l'emploi de produits dopants, j’ai rapidement pris du muscle et au bout de six mois je m’étais bien redressé et ma ligne commençait à être bien pour mon âge.

How Can a 60 Year Old Man Lose Weight & Build Muscle?

 L’ambiance de la douche commençait aussi à m’exciter. Je n’avais jamais fait de sport collectif et je ne connaissais pas du tout. Je me suis vite aperçu que les mecs du sport avaient des petites bites. Ils n’arrêtaient pas de mater la mienne. Puis un jour, un gars d’environ 35 ans que je côtoyais sur les bancs de musculation m’a donné sa carte de visite tout en me saluant en partant. Sur sa carte de visite ses coordonnées et un mot « si je t’intéresse fais moi signe ». Je ne savais pas quoi faire mais cela m’excitait. J’étais timide pour mon âge, du fait de mon inexpérience, je n’osais l’appeler.

Le soir venu je rentrai chez moi (un peu tard) et vas-y que je vois encore mon fils avec son dieu du stade.  Nom de nom  ! J'allais dans ma chambre et je les entendis prendre leur pied, ces petits cons. Je décidai alors d’appeler le gars du club de sport.  Xavier me rencarda chez lui.

Arrivé devant sa porte, j’entrai. Il me sauta dessus, m’embrassa et me mit sur son lit. Je le trouvai super sexy. J’avais tellement envie de quelque chose que je le laissais faire. Je restais assis sur le rebord de son lit. Il était à genoux devant moi. Il ouvrit ma braguette et sortit ma bite. Il me regarda, la regarda, et il me dit :

— T'es un dieu.

Je ne compris pas tout de suite, puis je vis qu’il était fou de ma teube, il disait des trucs du genre :

— Putain elle est énorme ta bite.

— Putain j’y crois pas, regarde moi ça.

Je fus un peu surpris mais je bandais fort, il me branlait tellement bien, que je ne pus pas me retenir et j’éjaculai cinq bons jets de foutre. Je m’excusai. Il continua à regarder ma bite tout en se branlant et éjacula à son tour. Nous discutâmes, je lui expliquais que j’avais peu d’expérience. Il me confia qu’il n'avait jamais vu une bite aussi grosse et qu’avec la bite que j’ai, je peux avoir 80% des gars que je veux. Il s’étonna que je ne m’en sois pas aperçu avant. Il me dit alors qu’il pouvait me la mesurer. Je rigolais mais je l’y autorisai. Il s’agenouilla de nouveau, mon sexe bandait dur. Il approcha la règle et mesura 23cm*7,5. Il me dit :

- Approche-toi de n’importe quel mec, pd ou bi, et fais lui toucher ta bite. Presque aucun ne résistera. T’es gâté par la nature, mec.

Gym Exercises for 61-Year-Old Man

Je rentrai chez moi, il devait être une heure du matin et j'allais directement au lit. Le lendemain matin je me réveillai et je vis David et son « ami » en caleçon dans le canapé, dans les bras l’un de l autre. Moi en peignoir je regardais ces deux gamins beaux comme des dieux dans mon salon entrain de se toucher. j’ai eu direct la gaule. Du coup je ne perdis pas de temps et allais me laver (et me soulager) pendant qu’ils se marraient. Ils m’excitaient ces mecs, si je ne me retenais pas... Ils jouaient avec mes nerfs ces cons.

Bref comme d’habitude, j'allais au sport. Je faisais maintenant 85 kg de muscle sec. Dans l’après midi, je vis le rugbyman de mon fils. Apparemment, il avait changé de salle de sport Il me salua à peine de la tête car il n'était pas seul et celui qui l'accompagnait n'avait pas l'air viril et ils étaient très proches  si vous voyez ce que je veux dire. Bref, je finis mon entraînement et allai me laver. Au bout d’un moment je le vis dans les vestiaires. Je vis qu’il fixait bien mon zob. Je fis comme si je n'avais rien vu et me rhabillai pour sortir.

Je rentrai chez moi. Vers 22 heures, ils se pointaient, mon fils et son gars pas franc du collier. Je soupçonnais qu'il faisait porter des cornes "comme ac' " à David. Je remarquais que d'ailleurs son Jules me regardait différemment. Ils s’affalèrent tous les deux dans le canapé. J'allai me coucher, je n’avais pas envie de les voir se bécoter devant moi. Le lendemain matin mon fils dormait. Je me réveillai, j'allai dans la cuisine où son gars prenait son café. J’arrivai et ouvris un peu mon peignoir histoire qu’il voit bien ma bite à côté de sa gueule. Il devint rouge. Je le sentis super excité par ma nudité. Alors je tentai le coup. Il était assis sur sa chaise et je pressai ma bite à demi bandée sur sa joue.

— Suce salope.

Il me regarda avec ses yeux de petit con.

— Mets-toi à genoux.

Il descendit de sa chaise, je l’avais à mes pieds ce faux-cul. Il n'en pouvait plus de voir ma bite, il la suça avec vigueur.

— Elle te plait ma bite ?

— Oui, elle est énorme.

— Oui je sais mais si tu la veux encore va falloir m'obéir. En tout cas pour aujourd’hui c’est fini t’en auras pas plus salope. Allez termine ton café. J'avais dans l'idée que David devait -être mis au courant. Pas question de tromper mon enfant, sinon pour lui ouvrir les yeux. 

Même manège que la veille, je le revis au sport. Je le laissais mater ma bite. Il était tout rouge ce connard. Je rentrai  et allai me coucher. Il me regardait maintenant avec ses yeux de chatte qui puent le sexe. Le lendemain matin, je me levais avec mon peignoir bien ouvert, le retrouvais excité comme une puce dans la cuisine, ne lui parlais pas car ça m’excitait de le rendre fou. Il regardait mon zob.

— Approche ton bol.

Je me soulageai dans son bol.

— Maintenant bois ton café si tu veux ma bite.

Il but en me regardant. C’était kiffant. J'étais en train de faire boire ma pisse au mec de mon fils. Je le soulevai et l’allongeai dos sur la table. Je lui relèvai ses jambes. J’approchai mon dard. Il a eu peur, me demandant de ne pas l’enculer. Je le doigtai bien, un doigt puis deux puis trois doigts puis avec du beurre du petit déj' je lui travaillais bien le cul. Là, j’approchai mon pieu et tout en matant sa gueule j’entrai en lui, je regardais ses yeux rougir, son visage se crisper et je lui enfonçai bien mon large pieu. Je commençais lentement les va-et-vient puis accélèrai en lui disant :

— T'aimes ça la bite, t’es vraiment une grosse chienne, quand je pense que tu fais le macho avec David dont je suis sûr c'est la première expérience..

C’était trop bon de savoir qu’avant il me cherchait et que maintenant c’était moi qui le défonçais et qu’il n'en pouvait plus. Je finis par sortir de son trou et j’éjaculais quatre bons jets sur ses abdos. Puis je le laissai comme ça. Putain ça m'excitait.

Avant de passer la porte, je me retournai et dis : "si tu tiens à David, range -toi. Sinon je lui dirai qui tu es vraiment". Il était rouge.

 

Je me sentais de plus en plus sûr de moi. Avec le sport je me suis bien musclé et avec mon gros zob je faisais jouir les chattes de mecs. Je revis souvent le gars qui m'avait révélé à moi-même. Il me dit que c'était moi au contraire qui l'avais révélé à lui-même. Jamais personne ne l'avait fait jouir comme moi. Il souhaitait quelqu'un avec qui vivre librement, fidèlement et intensément sa vie sexuelle.  Pas de doute, nous étions faits l'un pour l'autre, moi à plus de 60 ans, lui à 33 à peine.

Au sport, je revis le gars de mon fils qui maintenant me disait bonjour comme il faut et n’arrêtait pas de me mater. Sous la douche même cinéma je le laissais me regarder, je faisais bien balancer ma baguette magique et ses deux kiwis. Il en bavait le jeunot, il était ridicule. C’est dingue comment une bite de cheval fait changer les choses. Je ne le trouvais même plus attirant la pute.

Bref vers 21 heures, je rentrais à l’appart. David était dans les bras de son mec. Cette fois je m’assis dans le fauteuil à coté d’eux. David me regardait avec son air supérieur stupide et insolent en croyant que leur manège du couple pd me choquait. Il est vraiment con mon fils. Il l'aurait voulu ! Inch' Allah ! M’adressant à son gars subjugué par ma bite :

— Toi viens là.

David se demandait ce qu’il m arrivait. Son gars commença à le repousser pour pouvoir venir.

David, tu ne connais pas bien ton gars. Il te vendrait pour moi.

— Qu’est-ce que tu racontes.

— Dépêche-toi dis-je, m'adressant au gars de mon fils, sinon tu n’auras pas de cadeau.

Du coup, il bouscula David et il vint près de moi.

Je sortis mon zob et son gars se jeta dessus. Du coup je lui mis une claque et lui dis de se calmer. David, tombant des nues n'arrivait pas à décoller les yeux de mon gros zob.

— Viens-la, mets-toi à côté de ton gars.

Il s’exécuta, il était tout rouge.

— Embrassez-vous.

Ils se lèchèrent, j’adore ça.

.

Putain je voyais leurs deux gueules d’ange avec mon pieu dessus. Je me dis qu'il leur fallait un choc salutaire. j’approchai mon pieu et tout en matant leurs gueules j’entrai en lui d'un coup et le plus loin possible, je regardais ses yeux rougir, son visage se crisper et je lui enfonçai bien mon large pieu. Je commençais lentement les va-et-vient puis accélèrai en disant :

— Tu vois, David  quand je pense qu'il  fait le macho avec toi !

Je le regardais dans les yeux, des larmes coulaient sur ses joues. J'avais de la peine pour lui. Je pensais à sa mère qui ne l'avait même pas connu. -"il fallait que tu voies ça, que tu ouvres les yeux et voies ton copain sous son vrai jour.

Embrassez-vous !

-sachez vous aimer les gars. Permettez-vous une vraie liberté l'un à l'autre, et dites-vous toujours la vérité. Tu vois bien David que le fait que je l'aie baisé ne change en rien tes sentiments pour lui ni les siens envers toi.

Faites-moi plaisir svp, et en souvenir de ta mère à laquelle j'ai été fidèle jusqu'à la mort, je vous ordonne d'être heureux ensemble. La connaissant, je peux te dire que ta maman aurait aimé Lionel comme toi-même et n'aurait mis aucun obstacle à votre affection.  Embrassons-nous !" J'ai les yeux qui piquent. Je me détourne pour ne pas montrer mon émotion. J'espère que je n'ai pas pris trop de risques avec le coeur de David, mais il valait mieux qu'il sache : qu'est-ce que c'était que ces scènes d'humiliation à son insu...?

Le soir même j'invitais mon chum à la maison. J'en attends le plus grand bien pour tous les quatre.

 

 

  

"il m’a surpris et m’a ouvert la porte en me demandant si j’étais devenu un vieux pervers"

 

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T H E    E N D

 

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 08:24

-> catégorie INVENTAIRE DES POSSIBLES

Cette histoire s'est passée il y a quelques années. Si vous voulez en savoir plus, mettez un commentaire et posez vos questions. Erwan

Ce mois d'août s'annonce chaud, chaud, chaud.

Je vis dans le nord-est de la France et comme pour beaucoup de régions, nous n'avons pas été très gâtés question soleil pendant le mois de juillet. Mais heureusement voici août et le retour des températures élevées.

Dès lors, je cherche chaque jour un coin sympa pour faire du "cul nu" et nager tranquillement dans une rivière. J'aime quand mon sexe se laisse glisser avec le courant, bien que le contact avec l'eau froide lui ait fait perdre un peu de sa souplesse. Le fait de bander dans l'eau est une sensation par ailleurs très agréable mais comme personne n'est là pour entretenir cet état, mon sexe retrouve vite du repos après quelques brasses. Ma copine ne peut malheureusement pas venir avec moi, car elle bosse souvent. Nous nous connaissons depuis 3 ans c'est-à-dire depuis que j'ai 14 ans. Je suis pas trop mal foutu, peut-être un peu petit (1,72m) mais bien proportionné (une belle petite queue de 17 cm).

Ayant repéré un coin assez protégé pour m'adonner au plaisir du naturisme, je dépose tout mon matos sur la plage improvisée et je m'allonge à poil sur ma serviette pour profiter du soleil. Avec 35°C à l'ombre, j'ai vite envie de me retrouver dans l'eau.

"Plouf" Un beau plongeon dans la rivière. Je reste dans l'eau une bonne demi-heure rêvassant à ma copine et à ce soir. Je sors me ressuier alors que mon sexe est en semi-érection. Je m'installe sur la serviette et commence à me masser mon sexe. L'eau sur ma bitte fait glisser ma main lors du mouvement de va-et-vient ce qui n'est pas pour me déplaire. Au bout de quelques aller-retour je suis presque sur le point de jouir quand j'entends une bruit derrière moi. Je prends mon maillot de bain et je l'enfile malgré mon érection. Je suis même obligé de me mettre sur le ventre pour cacher mon sexe sortant allègrement de mon slip. Allongé ainsi, je fais semblant de dormir.

"Salut!!!" J'ouvre un oeil. Deux jeunes gars se dirigent vers ma plage, ils doivent avoir un peu plus de 18 ans; ils sont tous les deux rasés, mais on peut voir que l'un est blond et l'autre châtain foncé.

Je m'étire volontairement (comme si je me réveillais) et je leur réponds amicalement "salut"

Ils me demandent si ça me gène pas qu'ils s'installent dans le coin. Je leur réponds OK bien qu'intérieurement je maudis le fait que cette plage soit toute petite et la seule praticable sur quasiment 1 km de rive. Les deux mecs s'installent derrière moi à droite. Toujours sur le ventre, je les vois se dessaper. J'ai un petit sourire quand je vois leurs fesses respectives, quasi imberbes et très blanches. Mais ils mettent tout de suite un slip de bain et s'allonge sur leur serviette pour profiter du soleil. Maintenant, je me retourne, la bosse de mon slip ayant disparu et m'endors tranquillement...

Je suis réveillé une 1/2 heure plus tard par des bruits de jeux d'eau et j'aperçois mes deux squatters s'éclatant dans l'eau. Ils ressortent un peu après et me voyant réveillé, s'installent près de moi.

"Didier et Jean Claude" "Salut, moi c'est Erwan"

La discussion part un peu sur tout, ils me disent qu'ils sont militaires dans la région et qu'ils sont en perm. Je les regarde un peu et je les trouve bien foutu avec la plaquette de chocolat à la 2be3, des pecs bien gonflés sans poils...

C'est alors que Didier me dit "tu sais quand on est arrivé, on a vu que tu étais à poil. Ça ne nous dérange pas si tu t'y mets encore. À l'armée, on voit souvent des mecs nus et ça ne nous choque pas"

"Je suis un peu pudique et je pensais que vous étiez des flics ou des gardes champêtres..." Je les regarde, ils me sourient et j'ai tellement envie d'enlever mon slip que je craque. Je me lève puis me rassoie le sexe caché par mes jambes.

Didier toujours aussi éveillé me demande si c'est plus sympa de nager nu. "Il n'y a aucune comparaison" Je le vois se mettre à poil, et en demandant à son pote de le rejoindre, il fonce dans l'eau. JC, hésitant, met plus de temps pour de défringuer. Je vois son beau sexe entouré de poils blonds et un peu pointé vers l'avant. C'est la première fois que je vois le sexe de quelqu'un d'autre (excepté celui de mon père). Mais je n'ose pas trop regarder et me levant rapidement je rejoins Didier dans la rivière. Nous nageons tous les trois pendant quelques temps quand je sens quelque chose toucher mon sexe. En baissant les yeux, je vois la tête de Didier près de ma queue. Je me recule un peu dégoûté, il sort la tête de l'eau et me demande si je n'ai pas aimé.

"Le problème n'est pas là, j'ai une copine que j'aime et ça me suffit" répondais-je en sortant de l'eau.

Je suis prêt à me casser quand je vois JC et Didier s'embrasser. JC plonge dans l'eau et quelques secondes après, le corps de Didier va et vient dans l'eau. Il faut attendre une minute avant de voir la tête de JC ressortir de l'eau pour lui permettre de reprendre son souffle. C'est au tour de Didier de plonger; ce manège dure et je trouve ça de plus en plus excitant...

Les voilà qu'ils reviennent sur la berge, Didier se met près de moi et s'excuse:

— "Je ne voulais que te faire plaisir"

— "Tu sais c'est pas grave, je n'ai rien contre les PD mais je ne les comprends pas."

— "C'est pourtant très agréable"

C'est la première fois que j'entends parler JC. Sa voix est très rauque et colle mal au personnage. Il continue:

— "T'as déjà enculé ta copine"

— "Non, elle ne veut pas"

— "Est-ce qu'elle t'a déjà mis un doigt dans le cul pour te faire jouir"

— "Non!!!"

— "Tu vois que si tu ne comprends pas, c'est parce que tu ne connais pas"

Et Didier de rajouter:

— "Tu ne veux vraiment pas essayer"

Je ne dis rien mais m'allonge sur ma serviette ma bite un peu bandée. Didier et JC me regardent souriant. Je ne sais pas pourquoi ça m'a pris mais me voilà maintenant nu, prêt à m'offrir à eux et décidé à connaître ce genre de plaisir.

Didier prends mon sexe et commence lentement à le masturber. Il découvre mon gland, ce qui me fait sursauter et je sens son souffle sur ma queue. Il l'engloutit jusqu'au fond de sa gorge, sa bouche englobe mes 17 cm et quelques un de mes poils. Pendant tout ce temps, j'avais fermé les yeux en pensant que ce n'était que ma copine. Quand je les ouvre, je regarde ce bel adolescent me sucer (avec talent) et j'aperçois au dessus JC donner des coups de butoir à son ami. Il est bel et bien en train de l'enculer. Il sourit de façon radieuse. Didier grimace un peu mais tente de ne pas trop quitter mon pieu de ses lèvres.

"Putain, c'est bon" Je viens de crier ça sans faire attention et les deux mecs explosent de rire en changeant de position. Tous les deux ont maintenant leur bouche près de moi. Je ne ferme plus les yeux et je ne pense plus à ma copine.

Chacun leur tour, ils prennent soit ma queue soit mes couilles dans leur bouche chaude et mouillée. Je sens une main s'approcher de mes fesses et elle commence à malaxer mes deux parties charnues et musclées. Mes mains qui étaient immobiles jusque là, s'agrippe sur la tête du suceur de bite pour l'enfoncer au plus profond sur ma queue.

La main sur mon cul est celle de JC. Il approche un doigt de mon anus mais brusquement je le rejette. Il prend alors ma queue dans sa bouche et après quelques petits coups de langue, recommence sa manoeuvre avec sa main. Lorsque son doigt touche mon anus, je sursaute en poussant en cri de jouissance. Il profite de cet instant pour m'enfoncer son doigt et en laissant tomber mes fesses, c'est 4-5 centimètres de son doigt que je sens bouger dans mon cul.

— "Je vois que tu commences vraiment à apprécier" me dit JC

— "En fait, c'est une vraie salope; on se croirait en chambrée à l'armée"

Après ses paroles, Didier a approché son sexe près de mon visage et me tend une queue de 20 cm "Vas-y, suce"

Sans réfléchir, je prends son sexe dans ma bouche et je pompe comme un dingue. Quand ma copine se laisse sucer, j'aime sentir sa chatte mouillée à chaque coup de langue. Là, c'est différent; je sens bouger, vivre quelque chose dans ma bouche. La sensation est différente mais très agréable. Pourtant, je repousse Didier quelques instants, car sa bite allait m'étouffer, je respire un bon coup et je reprends mon travail de suceur. Pendant ce temps, JC a retiré son doigt de mon cul pour y mettre sa langue. Wouaaa!!! C'est merveilleux. J'en mordille de plaisir le sexe de Didier. J'espère que personne ne passera prêt de nous, car on commence vraiment à respirer fort tellement notre plaisir est intense.

Jean Claude s'est maintenant relevé puis s'est dirigé vers sa serviette pour revenir avec un paquet de presos et un tube de lubrifiant. Je le vois, bien que je continue toujours à sucer, mettre un peu de crème sur doigt puis se l'enfoncer dans le cul. Puis ouvrant un condom, il le met autour de sa bouche et se penche sur mon sexe. Il l'avale assez rapidement pour passer le préservatif sur mon sexe. Il se relève, me tourne le dos et vient tout doucement placer ses petites fesses sur ma bite. Le voilà qu'il s'enfonce maintenant sur mon pieux et quel bonheur. Mon sexe n'a jamais autant été serré dans un endroit chaud et humide. Il monte et descend rapidement jusqu'au point de non retour.

Je lâche la tob de Didier et crie "Je vais jouir, c'est trop bon...." Des jets longs et puissants viennent cogner le plastique. Mon sexe se retrouve entouré de sa propre semence et glisse encore plus facilement dans le cul de JC.

Mais je dois me retirer, car je commence déjà à débander alors que mes deux autres compagnons sont plus que surexcités.

Ils me laissent reprendre mes esprits et se retrouve tous les deux sur leur serviette pour un 69 très torride.

Je matte bien comme si j'étais là pour apprendre quelque chose. Le sexe de JC est un peu plus petit que le mien (16–17 cm) mais c'est tellement marrant de voir des poils tout blond autour d'un si beau pieu. Comme ils ne portent pas de capote, j'en déduis qu'ils se connaissent bien depuis longtemps. Ce sont des soupirs et des miaulements rauques qui viennent achever leur "bouche à queue". Tous les deux éjaculent dans leur bouche respective. Chacun s'endort ensuite de son côté. Je réalise dans un état second que je viens de coucher avec des mecs et que j'ai pris du plaisir.

Une bonne odeur de shit me réveille. Les deux lascars fument en effet un 3 feuilles. Il est déjà bien entamé quand il remarque que je viens d'ouvrir mes yeux.

— "Ca te dit!!"

— "Aucun problème"

Je le prends, fume quelques taffes et fais tourner le joint. En discutant cul (ils me parlent des partouzes qu'ils font à l'armée avec une fois plus de 20 petits jeunes pleins de foutre) et autres (cinéma, gonzeses (en fait, ils sont bis...)), nous fumons 3-4 petes. Je commence à être légèrement défait. Eux aussi, d'ailleurs, ils ont le syndrome des yeux rouges.

Nous rions pour pas grand chose et les histoires de cul me font rebander très fort. Ca nous fait encore plus rire et cette fois-çi, nous bandons tous...

Didier sort une petite bouteille et se prend deux sniff dans le nez, il la passe à JC qui fais de même puis me la passe. Je connais le popers mais je n'ai jamais essayé. Je sais aussi qu'il est réputé pour les homos d'avoir la capacité de distendre l'anus. J'approche la bouteille à mon nez et respire une bonne bouffée dans chaque narine.

"Waouuu, le bang!!!" Nous explosons de rire; je les vois (tous flous) s'approcher de mon sexe et ils recommencent à me sucer. Le paradis, c'est ici.

Bien que complètement détruit, je ressens un certain plaisir dans ces nouvelles caresses. Je sens un doigt me titiller l'anus ce qui me fait sursauter. Je ferme les yeux et imagine chacun de leur geste. C'est alors que je sens quelque chose de froid et humide touché la raie de mes fesses. C'est JC qui s'est mis derrière moi (j'etais allongé sur le côté) et qui souhaite maintenant m'enculer. Malgré la crainte de la douleur, je le laisse faire. Il pousse un coup sec, je crie... Il s'enlève et revient plus profond. Je recrie. Il recommence toujours plus loin, cette fois-ci j'apprécie et soupire. Didier se place devant moi et après m'avoir enfilé une capote attend que j'enfile son beau cul. Je n'hésite pas une seconde; il a le trou encore plus serré que Jean Claude. La sensation est donc encore plus forte.

Nous prenons un rythme parfait et chacun enfonce sa bite le plus loin possible. Nos corps sont mouillés de sueur, nos mouvements se font plus rapides. La fin est proche.

Slurp, splach... Ma liqueur vient de s'échapper de mes couilles, suivent ensuite JC et enfin Didier. Nous nous séparons et toujours un peu sous l'emprise des diverses drogues, nous nous remettons à rire. Après quelques baises, pour retrouver mes esprits, je replonge dans l'eau à poil, ils me rejoignent et nous jouons une bonne heure à nous chamailler et à nous embrasser.

"Il est tard, je dois retrouver ma copine... Vous serez là demain???" "Pour sûr" "Alors à demain, peut-être"

Je les quitte, l'esprit un peu plus dégagé. J'ai vraiment passé un putain de bon moment et je ne pense pas tout raconter tout de suite à Claire.

Les histoires qui suivront cette rencontre vont être de plus en plus chaude. Les deux bitos vont revenir, on va continuer nos jeux. Un de leur potes de baise me sera présenté, Didier me prévenant qu'il n'a jamais vu quelqu'un apprécier autant la sodomie. On s'amusera avec lui avec quelques-uns de ces jouets (aux tailles surprenantes) et avec Didier (et ses 20 cm), nous décideront un jour de le sodomiser à deux (vous inquiétez pas, y'a la place)...

Ensuite, j'ai décidé de tout raconter à ma copine qui m'a alors dit qu'elle viendrait bientôt avec ses copines.

Vive l'été et qu'il ne finisse jamais...

Erwan

 

 

 

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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