Dimanche 5 mai 7 05 /05 /Mai 23:01

Ce récit m'a ému au départ...peut-être d'autres pères se reconnaîtront dans cet homme dont j'ignore s'il faut l'appeler "rien du tout"ou homo, ou bisex ? Je n'exagère rien en disant que, par la dramatisation du début, voilà l'embryon d'un roman à la Houellebecque...sauf que cet homme se sent heureux, lui.

Hasard fabuleux de toutes les rencontres (Inch' Allah !) nous sommes à la merci du Destin. Fallait-il qu'un diablotin se mit en tête de séduire le père après le fils ?

      needingtobefilled: When a Man is feeling randy, and wants to know that the hole He’s fucking is going to hurt the next day, He doesn’t want to upset His Wife or girlfriend. That’s when every Man deserves to have a faggot at hand. A hole so tight that there’s no way the fag will be walking straight in the morning, so the Man can laugh, wink at His buddies, and point at it, saying “I plowed that little cunt so hard it cried last night. The bitch’ll be walking funny all week.”  

Cette idée, au départ, elle est de Piou. Je n'ai pas(en tant que père moi-même), supporté l'idée d'une fin en forme de vengeance sur "mon"fils.  la fin obéit donc à mes propres sentiments et ma propre vision des relations père fils, quelle que soit son ingratitude. L'article est classé catégorie INVENTAIRE D ES POSSIBLES en raison de son tréalisme

 

Je vous raconte cette histoire parce que, même si elle commence mal, je n’ai jamais été aussi heureux qu’aujourd’hui. J’ai bientôt 61 ans, je m’appelle Claude.

J’ai commencé à bosser à l’âge de 16 ans à l’usine pour finir ma carrière à 55 ans comme employé municipal à Grenoble. J’ai ressenti très tard de l’attirance pour les gars mais dans ma province je n’osais rien tenter. Pour ne pas finir vieux garçon et faire « comme les autres » je sortais parfois avec des filles, mais sans lendemain. En 1982, la fille que je voyais était enceinte. Nous nous marions et enchaînions 4 enfants entre 1982 et 1988. L’accouchement dramatique à la naissance du dernier me rendit veuf. Je me suis donc retrouvé seul avec une fille et trois garçons. Pendant ces années J’ai élevé mes gamins dans la banlieue de Grenoble dans un petit immeuble HLM (90 m2 avec 4 chambres) avec vue sur le Vercors. Je travaillais beaucoup, et j’ai consacré cette période de ma vie à mes enfants et à leur éducation. Puis, petit à petit ils sont partis. Corinne ma fille (1982) est partie de la « maison » en 2002, elle est maintenant infirmière avec un mari et deux enfants (eh oui je suis pépé). Laurent (1983) le plus grand de mes fils est ingénieur informatique avec une femme et un fils. Franck (1984) marié avec une femme et des jumeaux nés en 2006. David (1988) homosexuel outé depuis 2006 (officiellement)

Pendant toutes ces années, j’ai esquivé les questions sur ma vie privée et j’ai travaillé pour mes enfants. J’avais quelques aventures mais c’était surtout ma main droite qui me soulageait. Je vous donne tous ces détails car c’est quand je me suis retrouvé seul avec David que ma libido c’est réveillée. Je me rappelle le 6 février 2005 quand mes deux garçons les plus grands sont partis le même week-end et que je me suis retrouvé ce dimanche soir avec David pour dîner. Nous n’étions désormais plus que deux.

Mes relations avec le dernier ont toujours été plus distantes qu’avec les autres. Il avait, en 2005, 17 ans et je ne pouvais m’empêcher de le regarder. Physiquement mon fils, à 17 ans, c’était 1m75, 70kg, nageur, sportif, cheveux et yeux noirs. Moi à cette époque j’avais 39 ans, 1m77 pour 82kg, entretenu par mon métier assez physique (agent paysagiste pour la mairie) mais un peu enrobé, chauve et les yeux marrons. Nous parlions peu, regardions la télévision, il était distant mais respectueux. Il découchait peu et me prévenait s’il ne rentrait pas. Depuis un bout de temps il ramenait un garçon de son âge, Lionel, et ils dormaient dans la même chambre (alors qu’il y avait deux chambres de libre dans l’appart) son copain était un jeune rugbyman (20 ans bien dessiné, lèvres charnues, yeux noirs et cheveux noirs). Sa présence m'excitait beaucoup et faisait courir mon imagination à travers les cloisons de leur chambre. Je ne sais pas s’il le faisait exprès mais j’avais l’impression qu’il me draguait. Plusieurs fois alors que David dormait (ce n’est pas un gars du matin mon fils), son pote allait se laver et me rejoignait torse nu pour le petit déjeuner. De mon coté j'avais compris que mon fils était pd.

Puis une fois, alors que nous regardions tous les trois un match à la télé, ils sont allés se coucher. Je regardais le match seul et d’un coup j’entendis des bruits dans la chambre de David. Je m’approchai, ils avaient laissé la porte entrouverte. Et là j’ai vu mon fils de dos à genoux suçant son gars. Son gars me regardait en se léchant les lèvres. Il fut tenté par l'idée de provoquer la sortie forcée de David du placard et à son insu !  J'aurais dû m'éclipser au lieu d'entrer dans le jeu de Lionel. Je l’entendis dire :

— T'aimes ça David, sucer des bites hein ?

— Oui.

— Dis que t'es un gros pd si tu ne veux pas que je te prive de kékette.

— Je suis un gros pd...

Le mec me regardait, l’œil luisant, fier de lui. Puis il a pris entre ses deux mains la gueule de mon fils et lui a infligé des va-et-vient très rapides pour lui défoncer la gueule. Je bandais. Je suis parti. Je les ai surpris encore une ou deux fois comme ça Lionel et lui.

Même si mon fils ne m’a jamais vu les surprendre, son comportement a changé avec moi. Il commençait à faire des allusions, à se montrer devant moi il il cherchait à m'exciter et y réussissait beaucoup et j’avais vraiment la certitude qu’il le faisait exprès. Ca finissait par passer des limites : je pouvais regarder mais pas toucher. De toutes façons, je me le serais interdit. J'étais éperdu d'admiration devant la perfection de notre oeuvre à nous deux, ma défunte épouse et moi. Je me forçais à me dire il est jeune, il est beau, il est libre, il vit sa vie, il en fait ce qu'il veut, et de son corps aussi. J'ajoutais mentalement " et de son cul aussi" et je riais tout seul.  Il n'empêche que je rêvais de lui.

Oh, ça n'a été que quelques secondes, le temps de me ressaisir, mais un matin, je l’ai aperçu dans la douche, la porte était entrouverte, il m’a surpris et m’a ouvert la porte en me demandant si j’étais devenu un vieux pervers. Je m'en suis voulu. En même temps, il se baladait à poil de plus en plus souvent, s’approchant de moi, me frôlant,  jouant à me faire rougir. J'aurais pu le rembarrer, l'humilier, lui dire au visage qu'il n'avait pas de raison d'être fier,  que je savais qu'il était la lope de son partenaire. Mon excitation était au maximum, j’aurais pu avoir envie de lui. Mais c’est mon fils. Il est sûr qu'il aurait bien fait de me parler directement. Me croyait-il son ennemi ?

 

J’étais à la retraite depuis le début de l’année. Je décidai de surmonter enfin mon deuil et mon veuvage et à tirer parti de mon célibat. Malheureusement à mon âge ce n’était pas facile. Déjà je ne me voyais pas remarié ni même en couple. Et, confusément, pas avec une femme. J’ai commencé par faire du sport quatre ou ,cinq fois par semaine. Musculation principalement. J’ai commencé à vraiment apprécier l’ambiance testostérone de ce lieu et j’y passais beaucoup de temps. Avec beaucoup d'entraînement et l'emploi de produits dopants, j’ai rapidement pris du muscle et au bout de six mois je m’étais bien redressé et ma ligne commençait à être bien pour mon âge.

How Can a 60 Year Old Man Lose Weight & Build Muscle?

 L’ambiance de la douche commençait aussi à m’exciter. Je n’avais jamais fait de sport collectif et je ne connaissais pas du tout. Je me suis vite aperçu que les mecs du sport avaient des petites bites. Ils n’arrêtaient pas de mater la mienne. Puis un jour, un gars d’environ 35 ans que je côtoyais sur les bancs de musculation m’a donné sa carte de visite tout en me saluant en partant. Sur sa carte de visite ses coordonnées et un mot « si je t’intéresse fais moi signe ». Je ne savais pas quoi faire mais cela m’excitait. J’étais timide pour mon âge, du fait de mon inexpérience, je n’osais l’appeler.

Le soir venu je rentrai chez moi (un peu tard) et vas-y que je vois encore mon fils avec son dieu du stade.  Nom de nom  ! J'allais dans ma chambre et je les entendis prendre leur pied, ces petits cons. Je décidai alors d’appeler le gars du club de sport.  Xavier me rencarda chez lui.

Arrivé devant sa porte, j’entrai. Il me sauta dessus, m’embrassa et me mit sur son lit. Je le trouvai super sexy. J’avais tellement envie de quelque chose que je le laissais faire. Je restais assis sur le rebord de son lit. Il était à genoux devant moi. Il ouvrit ma braguette et sortit ma bite. Il me regarda, la regarda, et il me dit :

— T'es un dieu.

Je ne compris pas tout de suite, puis je vis qu’il était fou de ma teube, il disait des trucs du genre :

— Putain elle est énorme ta bite.

— Putain j’y crois pas, regarde moi ça.

Je fus un peu surpris mais je bandais fort, il me branlait tellement bien, que je ne pus pas me retenir et j’éjaculai cinq bons jets de foutre. Je m’excusai. Il continua à regarder ma bite tout en se branlant et éjacula à son tour. Nous discutâmes, je lui expliquais que j’avais peu d’expérience. Il me confia qu’il n'avait jamais vu une bite aussi grosse et qu’avec la bite que j’ai, je peux avoir 80% des gars que je veux. Il s’étonna que je ne m’en sois pas aperçu avant. Il me dit alors qu’il pouvait me la mesurer. Je rigolais mais je l’y autorisai. Il s’agenouilla de nouveau, mon sexe bandait dur. Il approcha la règle et mesura 23cm*7,5. Il me dit :

- Approche-toi de n’importe quel mec, pd ou bi, et fais lui toucher ta bite. Presque aucun ne résistera. T’es gâté par la nature, mec.

Gym Exercises for 61-Year-Old Man

Je rentrai chez moi, il devait être une heure du matin et j'allais directement au lit. Le lendemain matin je me réveillai et je vis David et son « ami » en caleçon dans le canapé, dans les bras l’un de l autre. Moi en peignoir je regardais ces deux gamins beaux comme des dieux dans mon salon entrain de se toucher. j’ai eu direct la gaule. Du coup je ne perdis pas de temps et allais me laver (et me soulager) pendant qu’ils se marraient. Ils m’excitaient ces mecs, si je ne me retenais pas... Ils jouaient avec mes nerfs ces cons.

Bref comme d’habitude, j'allais au sport. Je faisais maintenant 85 kg de muscle sec. Dans l’après midi, je vis le rugbyman de mon fils. Apparemment, il avait changé de salle de sport Il me salua à peine de la tête car il n'était pas seul et celui qui l'accompagnait n'avait pas l'air viril et ils étaient très proches  si vous voyez ce que je veux dire. Bref, je finis mon entraînement et allai me laver. Au bout d’un moment je le vis dans les vestiaires. Je vis qu’il fixait bien mon zob. Je fis comme si je n'avais rien vu et me rhabillai pour sortir.

Je rentrai chez moi. Vers 22 heures, ils se pointaient, mon fils et son gars pas franc du collier. Je soupçonnais qu'il faisait porter des cornes "comme ac' " à David. Je remarquais que d'ailleurs son Jules me regardait différemment. Ils s’affalèrent tous les deux dans le canapé. J'allai me coucher, je n’avais pas envie de les voir se bécoter devant moi. Le lendemain matin mon fils dormait. Je me réveillai, j'allai dans la cuisine où son gars prenait son café. J’arrivai et ouvris un peu mon peignoir histoire qu’il voit bien ma bite à côté de sa gueule. Il devint rouge. Je le sentis super excité par ma nudité. Alors je tentai le coup. Il était assis sur sa chaise et je pressai ma bite à demi bandée sur sa joue.

— Suce salope.

Il me regarda avec ses yeux de petit con.

— Mets-toi à genoux.

Il descendit de sa chaise, je l’avais à mes pieds ce faux-cul. Il n'en pouvait plus de voir ma bite, il la suça avec vigueur.

— Elle te plait ma bite ?

— Oui, elle est énorme.

— Oui je sais mais si tu la veux encore va falloir m'obéir. En tout cas pour aujourd’hui c’est fini t’en auras pas plus salope. Allez termine ton café. J'avais dans l'idée que David devait -être mis au courant. Pas question de tromper mon enfant, sinon pour lui ouvrir les yeux. 

Même manège que la veille, je le revis au sport. Je le laissais mater ma bite. Il était tout rouge ce connard. Je rentrai  et allai me coucher. Il me regardait maintenant avec ses yeux de chatte qui puent le sexe. Le lendemain matin, je me levais avec mon peignoir bien ouvert, le retrouvais excité comme une puce dans la cuisine, ne lui parlais pas car ça m’excitait de le rendre fou. Il regardait mon zob.

— Approche ton bol.

Je me soulageai dans son bol.

— Maintenant bois ton café si tu veux ma bite.

Il but en me regardant. C’était kiffant. J'étais en train de faire boire ma pisse au mec de mon fils. Je le soulevai et l’allongeai dos sur la table. Je lui relèvai ses jambes. J’approchai mon dard. Il a eu peur, me demandant de ne pas l’enculer. Je le doigtai bien, un doigt puis deux puis trois doigts puis avec du beurre du petit déj' je lui travaillais bien le cul. Là, j’approchai mon pieu et tout en matant sa gueule j’entrai en lui, je regardais ses yeux rougir, son visage se crisper et je lui enfonçai bien mon large pieu. Je commençais lentement les va-et-vient puis accélèrai en lui disant :

— T'aimes ça la bite, t’es vraiment une grosse chienne, quand je pense que tu fais le macho avec David dont je suis sûr c'est la première expérience..

C’était trop bon de savoir qu’avant il me cherchait et que maintenant c’était moi qui le défonçais et qu’il n'en pouvait plus. Je finis par sortir de son trou et j’éjaculais quatre bons jets sur ses abdos. Puis je le laissai comme ça. Putain ça m'excitait.

Avant de passer la porte, je me retournai et dis : "si tu tiens à David, range -toi. Sinon je lui dirai qui tu es vraiment". Il était rouge.

 

Je me sentais de plus en plus sûr de moi. Avec le sport je me suis bien musclé et avec mon gros zob je faisais jouir les chattes de mecs. Je revis souvent le gars qui m'avait révélé à moi-même. Il me dit que c'était moi au contraire qui l'avais révélé à lui-même. Jamais personne ne l'avait fait jouir comme moi. Il souhaitait quelqu'un avec qui vivre librement, fidèlement et intensément sa vie sexuelle.  Pas de doute, nous étions faits l'un pour l'autre, moi à plus de 60 ans, lui à 33 à peine.

Au sport, je revis le gars de mon fils qui maintenant me disait bonjour comme il faut et n’arrêtait pas de me mater. Sous la douche même cinéma je le laissais me regarder, je faisais bien balancer ma baguette magique et ses deux kiwis. Il en bavait le jeunot, il était ridicule. C’est dingue comment une bite de cheval fait changer les choses. Je ne le trouvais même plus attirant la pute.

Bref vers 21 heures, je rentrais à l’appart. David était dans les bras de son mec. Cette fois je m’assis dans le fauteuil à coté d’eux. David me regardait avec son air supérieur stupide et insolent en croyant que leur manège du couple pd me choquait. Il est vraiment con mon fils. Il l'aurait voulu ! Inch' Allah ! M’adressant à son gars subjugué par ma bite :

— Toi viens là.

David se demandait ce qu’il m arrivait. Son gars commença à le repousser pour pouvoir venir.

David, tu ne connais pas bien ton gars. Il te vendrait pour moi.

— Qu’est-ce que tu racontes.

— Dépêche-toi dis-je, m'adressant au gars de mon fils, sinon tu n’auras pas de cadeau.

Du coup, il bouscula David et il vint près de moi.

Je sortis mon zob et son gars se jeta dessus. Du coup je lui mis une claque et lui dis de se calmer. David, tombant des nues n'arrivait pas à décoller les yeux de mon gros zob.

— Viens-la, mets-toi à côté de ton gars.

Il s’exécuta, il était tout rouge.

— Embrassez-vous.

Ils se lèchèrent, j’adore ça.

.

Putain je voyais leurs deux gueules d’ange avec mon pieu dessus. Je me dis qu'il leur fallait un choc salutaire. j’approchai mon pieu et tout en matant leurs gueules j’entrai en lui d'un coup et le plus loin possible, je regardais ses yeux rougir, son visage se crisper et je lui enfonçai bien mon large pieu. Je commençais lentement les va-et-vient puis accélèrai en disant :

— Tu vois, David  quand je pense qu'il  fait le macho avec toi !

Je le regardais dans les yeux, des larmes coulaient sur ses joues. J'avais de la peine pour lui. Je pensais à sa mère qui ne l'avait même pas connu. -"il fallait que tu voies ça, que tu ouvres les yeux et voies ton copain sous son vrai jour.

Embrassez-vous !

-sachez vous aimer les gars. Permettez-vous une vraie liberté l'un à l'autre, et dites-vous toujours la vérité. Tu vois bien David que le fait que je l'aie baisé ne change en rien tes sentiments pour lui ni les siens envers toi.

Faites-moi plaisir svp, et en souvenir de ta mère à laquelle j'ai été fidèle jusqu'à la mort, je vous ordonne d'être heureux ensemble. La connaissant, je peux te dire que ta maman aurait aimé Lionel comme toi-même et n'aurait mis aucun obstacle à votre affection.  Embrassons-nous !" J'ai les yeux qui piquent. Je me détourne pour ne pas montrer mon émotion. J'espère que je n'ai pas pris trop de risques avec le coeur de David, mais il valait mieux qu'il sache : qu'est-ce que c'était que ces scènes d'humiliation à son insu...?

Le soir même j'invitais mon chum à la maison. J'en attends le plus grand bien pour tous les quatre.

 

 

  

"il m’a surpris et m’a ouvert la porte en me demandant si j’étais devenu un vieux pervers"

 

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T H E    E N D

 

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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