J'ai hésité entre classer ce texte dans la catégorie BISEXUELS ou VIVRE SA SEXUALITE. Ni l'un n i l'autre : j'ai opté pour la catégorie
"INVENTAIRE DES POSSIBLES"
Souvent la bisexualité d'un homme marié se résume à être hétéro avec sa femme et avoir, par ailleurs des rapports homo avec un ou des hommes.
Chapeau bas à ceux qui ont, avant leur mariage, posé en préalable ces goûts et les ont partagés avec leurs compagnes. Félicitations à ceux qui ont su amener leur femme à admettre leur besoin
d'homosexualité à découvert.
Le récit ci-dessous pose le cas idéal du hasard de deux couples bisexuels devenant plus ou moins échangistes et unissant leurs
pratiques homosexuelles pour leur plus grande satisfaction...
J'étais interloqué et je ressentais un mélange de colère et de jalousie. "Comment?" me disais-je. "Je ne lui suffis donc plus?
Il lui faut à présent d'autres caresses et, en plus, venant d'une femme?"
Mariés depuis dix ans, Brigitte et moi avons eu jusqu'à ce fameux jour du mois d'août dernier une sexualité tout à fait classique et tout à fait
satisfaisante. Nous nous rangions sans hésiter dans le groupe 0, celui des "purement hétérosexuels" selon la fameuse échelle de Kinsey. Mais tout allait changer.
Au mois de mai, nous avons fait la connaissance, à Orléans où nous habitons, d'un couple charmant avec lequel nous avons aussitôt sympathisé.
C'était à l'occasion d'un cocktail et, au cours de la conversation, nous nous sommes trouvés des quantités de points communs. Marc travaille comme moi dans l'informatique et sa femme Éliane est
prof de lycée alors que Brigitte enseigne en collège. Ils ont, comme nous, la trentaine et sont, comme nous encore, passionnés de randonnées.
Bref, les sujets de conversation ne manquaient pas! Aussi, quand ils nous ont invités quelques semaines plus tard à venir passer une quinzaine de
jours chez eux à Saint-Raphaël, sur la Côte d'Azur, nous n'avons pas hésité une seconde.
Ils habitent une très jolie maison, entourée de grands arbres. Elle a la forme d'un U avec une piscine au milieu. Nous les avons trouvés en pleine
forme et, comme nous leur faisions compliment de leur magnifique bronzage, ils nous déclarèrent que chez eux le port du maillot de bain était strictement interdit. "Comment voulez-vous bronzer
avec ces chiffons sur la peau?" demanda Éliane. "J'espère que cela ne vous choque pas?" Brigitte et moi avons souvent fait du naturisme lors de nos vacances en Corse et cela ne nous gênait en
aucune manière. Aussi est-ce intégralement nus que nous passions nos après-midis au bord de la piscine et dans l'eau. "Qu'ils sont beaux tous les deux!" m'avait glissé Brigitte, le premier jour.
Et c'était vrai. Je regardais surtout Éliane, bien sûr, absolument superbe, mais je me surpris à admirer aussi son mari et à envier son bronzage intégral. Chaque fois qu'il me tournait le dos, je
laissais, presque malgré moi, mon regard glisser sur ses fesses: elles m'attiraient irrésistiblement et je m'en faisais le reproche: "Mince alors," me disais-je, "je ne vais tout de même pas
devenir pédé!"
C'est au cours du troisième après-midi que tout a basculé. Marc et moi étions debout au bord de la piscine et nous étions plongés dans un projet de
randonnée commune au Népal. Brigitte et Éliane batifolaient dans l'eau et leurs éclats de rire faisaient du bien. Mais, les regardant un peu mieux, je vis qu'Éliane, dans l'eau, était en train de
caresser ma femme d'une manière beaucoup plus érotique qu'amicale. Celle-ci se laissait faire et même semblait y prendre beaucoup de plaisir. Elle fit alors une chose dont je ne l'aurais jamais
cru capable. Elle se hissa hors de l'eau, s'assit sur le bord de la piscine et, sans se soucier de nous, elle écarta les jambes de façon à ce qu'Éliane, restée dans le bassin, puisse plus
facilement la caresser. Sa langue vint d'ailleurs très rapidement remplacer ses doigts. J'étais interloqué et je ressentais un mélange de colère et de jalousie. "Comment?" me disais-je. "Je ne
lui suffis donc plus? Il lui faut à présent d'autres caresses et, en plus, venant d'une femme?" Lisant la surprise sur mon visage et constatant que je ne suivais plus sa conversation, Marc suivit
mon regard et sourit. Lui, apparemment, n'était pas du tout étonné ni choqué.
— Allons, Bernard. Ce n'est rien. Regarde comme elles sont belles toutes les deux!
— Mais, mais... bredouillais-je, ne sachant trop que dire.
— Nous allons leur montrer qu'on peut en faire autant, reprit Marc.
Et, joignant le geste à la parole, il s'agenouilla devant moi et commença à me caresser les jambes. J'eus un mouvement de recul. Mais je vis que
Brigitte me regardait et, par défi, je décidai de laisser Marc agir à sa guise. Ses doigts, à présent, me pétrissaient les fesses avec une telle dextérité que mon sexe commença à se dresser. Sa
bouche s'en empara aussitôt. Le contact me surprit. Sa langue, sur mon gland, était plus râpeuse que celle de Brigitte, sa façon de sucer moins sensuelle, plus vorace. Il n'y avait pas moyen de
résister. En avais-je d'ailleurs réellement envie?
Jamais je n'aurais pu imaginer telle situation. Nous étions là tous les deux, Brigitte et moi, à quelques mètres l'un de l'autre et nous nous
regardions intensément. Mais, contrairement aux habitudes, ce n'étaient pas nos langues qui s'activaient sur nos sexes, mais pour elle une langue de femme et pour moi une langue d'homme! Et nous
trouvions l'un et l'autre que cela était délicieux!
Nos amis nous couvraient des baisers les plus doux Et leur langues couraient sur nos corps consentants. Ton regard dans le mien, je sais qu'en cet instant Nous ne nous disions rien, mais nous nous disions tout!
Tout en continuant de regarder ma femme droit dans les yeux, j'éjaculais sur la bouche de Marc et couvris son visage de sperme. Brigitte eut un
grand sourire et jouit quelques secondes plus tard sur la langue qui la fouillait.
Il y eut après cela, quelques secondes de flottement. Je ne savais plus où me mettre. Mais nos hôtes surent nous mettre à l'aise. "Il faut fêter
cela," proclama Marc en revenant de la douche. Tous les quatre, toujours nus au bord de la piscine, une coupe de champagne à la main, nous avons passé de longs moments à discuter de
sexualité.
— Nous sommes tous bisexuels, dit Éliane. Tous sans exception. La différence c'est que la plupart des gens, victimes de leur éducation ou de
préceptes religieux purement artificiels, refoulent au fond d'eux-mêmes tout ce qu'ils croient "hors normes". Ce faisant, ils sont comme amputés d'une partie d'eux-mêmes.
Je ne voudrais pas reproduire ici tous les propos que nous avons échangés sur le sujet, ce serait bien trop long. Mais nous avons découvert
qu'Éliane et Marc étaient en fait des bisexuels militants, fiers de l'être et bien dans leur peau. Du coup, je les soupçonnais d'avoir prémédité les événements de cet après-midi. Mais je ne leur
en voulais pas. Bien au contraire, je leur fus reconnaissant de nous avoir ouvert les yeux et de nous avoir libérés de nos préjugés.
Le reste de notre séjour passa bien trop vite à notre goût. Éliane et Brigitte firent souvent l'amour devant nous. Je n'étais plus jaloux. Au
contraire, j'étais séduit par toutes les positions que prenaient leurs corps magnifiques et je me régalais devant tant de beauté et de sensualité. J'aurais aimé les prendre en photo, mais je
n'osais pas le proposer. Inversement, Marc et moi nous nous sommes aimés devant elles. J'ai joui souvent de sa bouche et j'ai pu m'enfoncer entre ses fesses qui me troublaient tant.
La veille de notre départ, ce fut l'apothéose. Toujours au bord de la piscine, je fis l'amour à ma femme pendant qu'Éliane lui léchait les seins et
l'embrassait sur la bouche. Quant à Marc, placé derrière moi, il me massa longuement les fesses avant de me sodomiser. Chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, je pénétrai plus profondément en
Brigitte. Éliane vint se placer sur le visage de ma femme, lui donnant son sexe à lécher et, comme dans les films pornographiques les plus réussis, nous avons joui tous les quatre en même
temps.
À notre retour à Orléans, nous avons souvent évoqué ces vacances magnifiques. Nous faisons à nouveau l'amour à deux mais, dans nos têtes, nous
sommes souvent quatre! Brigitte a eu, depuis, quelques expériences avec d'autres femmes. Elle me les a racontées. Moi, j'ai eu quelques relations assez furtives avec des hommes. Je ne lui ai rien
caché. Nous nous acceptons tels que nous sommes et, grâce à Éliane et à Marc, nous sommes plus épanouis et nous avons l'impression d'être plus "complets". En tout cas, nous sommes parfaitement
heureux ainsi!
Je ferai suivre cet article d'une série photos osées et suggestives genre :
This is what I want. A thick dick pounding her while I lick her clit. (inventaire des possibles ncpas ? )
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