EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS

Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 09:58

    Laissez, on s'occupe de tout !

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par CHARLES  gai-eros il y a dix ans ...déjà

 

J’avais intégré depuis peu l’équipe de rugby de l’école. Le coach était très content de moi et il voulait me voir intégrer l’équipe de championnat. Pour compléter mon dossier, je devais me présenter à la visite médicale d’usage. Un quart d’heure que j'attendais dans cette pièce morose. J'avais vraiment l'impression de perdre mon temps mais c'était vraiment une étape obligatoire. J’ai donc patienté!

Enfin, le secrétaire du médecin m’appelle et me désigne la cabine où je dois me déshabiller et d'attendre que l'on vienne me chercher. Je me retrouve donc dans une petite cabine comme celles des vestiaires à la piscine, avec un banc escamotable et un porte-manteau. En abaissant le banc, je verrouille la porte qui donne sur le couloir et l’autre qui doit donner dans le cabinet du médecin. Je suis un peu nerveux. Je me déshabille. Bien vite, je me retrouve en slip blanc. Je relève le banc et j’attends debout.

Au bout de cinq minutes, un docteur vient me chercher et m'emmène dans son cabinet. Je suis nettement rassuré en constatant que ce n’est pas un de ces vieux toubibs proches de la retraite. Il doit avoir 35 ans et est très sympathique. Il me pose des questions d'ordre général et sur mes antécédents de santé. Cette phase est vite terminée, étant donné que je suis en excellente santé.

— Venez par ici! me dit-il en s’écartant de son bureau où il a commencé à remplir mon dossier.

Je vais donc vers la balance. Il me pèse, me mesure. Ensuite, il me demande de m'allonger sur la civière et prend ma tension. Il place son stéthoscope sur ma poitrine pour écouter mon rythme cardiaque. Sa main glisse sur mon torse et je sens le froid métallique du stéthoscope. Après quelques secondes, il me fait me retourner sur le ventre et il termine cette partie de l’examen. Mon regard croise le sien et il me sourit. C’est certainement une impression mais, lorsqu’il me palpe les côtes, j’ai l’impression qu’il me «caresse» et qu’il y prend du plaisir. Je me dis que je suis stupide.

— Levez-vous, je vous prie! Maintenez vos jambes bien droites et touchez le bout de vos pieds.

Cet exercice est assez facile pour moi qui suis très souple. Il me le fait recommencer deux fois et se place derrière moi. Il palpe la ligne de ma colonne vertébrale. Je sens enfin son pouce qui glisse lentement tout le long de la colonne pour s'arrêter au-dessus de mon slip.

— Vous ne m’avez pas menti... Vous êtes en parfaite santé!

Je respire, soulagé d’apprendre quelque chose que je savais déjà. J’ai vraiment l’impression que la visite est terminée. Soudain, il me demande de retirer mon slip et m’allonger une nouvelle fois sur la table et il me pose des questions plus... personnelles.

Une fois allongé, il me palpe le ventre, toujours avec des gestes précis et méthodiques. Sa main droite glisse sur mon pubis et, comme je suis très sensible aux chatouillements, je m’agite un peu.

— Je vois que vous êtes très sensible.

— Effectivement!

— Bon, maintenant, écartez bien les jambes en levant les genoux!

Dans cette position, je me sens vraiment ridicule. Je lui montre mon cul d’une façon un peu osée.

— Fesses musclées! Excellent!

Il enfile des gants, qu'il enduit d'un liquide. Deux de ses doigts glissent dans ma raie.

— Mais qu’est-ce que vous...

— Désolé, c’est un moment plus difficile à passer, mais nul n’y échappe dans ce type d’examen! Ça n’est pas douloureux... juste gênant au début...

Ses doigts frottent le pourtour de mon anus puis commencent à s'introduire lentement. Je ferme les yeux. Je sens l'avancée régulière de ses doigts et il me demande d’écarter davantage mes cuisses pour faciliter son exploration. C’est effectivement désagréable... Je prends sur moi car je veux mon autorisation pour le championnat.

— Posez vos pieds sur ces étriers... Excellent! Aucune lésion... je vois que vous réagissez normalement!

Il retire ses doigts. Je suis soulagé jusqu’à ce qu’il prenne un spéculum qu'il introduit dans mon trou graissé. C’est froid et dur. Les deux branches écartent mon trou au maximum. Il a une vue complète de mon intimité. Il devine à mon air que je suis inquiet. Il me rassure.

— Je vais vous injecter un produit pour éviter la douleur.

La douleur! Quelle douleur? Pour quelle raison devrais-je ressentir une douleur? Il introduit une longue seringue dans l’ouverture de mon cul béant et injecte un liquide tiède. Au fur et à mesure que le produit coule, je sens une chaleur qui ne cesse de s'amplifier. Cet endroit de mon anatomie en devient le centre! Je suis presque gêné lorsque je me rends compte que la sensation est douce et agréable. Je suis rempli d’une onde de plaisir et je serre les dents pour ne pas gémir.

— Vous vous sentez bien? demande le docteur.

J’agite la tête, un peu honteux. Le docteur, la tête entre mes cuisses m'ausculte consciencieusement.

— Vous permettez un instant?

Il sort de la pièce, me laissant dans ma position ridicule et humiliante, avec un spéculum enfoncé dans le cul. Le temps me semble alors très long... Cinq à dix minutes! Où est-il donc passé? C’est incroyable! J’entends alors des bruits de pas et de voix qui annoncent le retour du médecin. Ce qui me rend à nouveau nerveux, c’est qu’il n’est pas seul! Il est accompagné par deux jeunes hommes, en blouse blanche également. L'un est le secrétaire qui est venu me chercher dans la salle d’attente et l’autre un grand type baraqué au sourire carnassier. Ce dernier a un look très soigné de jeune premier et se la joue un peu «nouveau médecin». J’essaie de me redresser mais le spéculum me fait mal.

— Ne vous inquiétez pas... Vous avez une «anatomie interne» si parfaite que j'ai juste voulu la montrer à mes deux jeunes collègues.

— Il n’y a rien de...

— Non, non, du tout! Au contraire...

Tour à tour, les deux jeunes types examinent mon trou écarté. Je suis en nage. Le jeune baraqué y pousse même un doigt pour mieux sentir ce qu’il voit. J’essaie de garder mon calme et je reste ainsi, les pattes écartées me laissant mater et fouiller l’anus par trois mecs. La honte absolue! À un certain moment, ils s'écartent et se mettent à discuter entre eux. Je m'impatiente.

— Ça... ça va être fini?

— Oui, bien entendu! Pas de souci... Je vais te retirer le spéculum mais...

Ce «mais» me foudroie, me crucifie...

— Mais?

— Mon jeune collègue a trouvé un minuscule polype (NDLR: petite tumeur bénigne molle attachée à une muqueuse) qu’il faut enlever!

— Il faut m’opérer?

— Non! C’est bénin et le traitement est simple... On peut faire ça tout de suite grâce à une technique naturelle... quoique un peu surprenante.

— Tout de suite?!

— Ce polype est très petit et il peut être supprimé par... usure!

— Usure?!

J’essaie de comprendre mais je suis trop troublé pour y parvenir. Le médecin reprend son explication et je suis effaré! Ce faisant, il me retire le spéculum et passe un doigt sur le bord de mon anus ouvert.

— Avec un sexe de taille raisonnable, on peut user ce polype en une seule séance.

Je dodeline de la tête. Je voudrais avoir mal compris. Je n’ai pas eu le temps de dire «ouf» que mes deux chevilles sont attachées avec des courroies de cuir. Les deux jeunes médecins ont ouvert leur blouse blanche. Le baraqué a un torse musclé et très poilu. L’autre est plus fin mais bien foutu également. Ils sortent leurs queues de tailles respectables.

— Eh oh! je ne suis pas un enculé, moi!

— Il n’est pas question de ça! De plus, tout ce qui va se passer ici restera NOTRE secret.

Le secrétaire est monté sur un tabouret et présente sa bite à l’entrée de ma bouche. Je détourne la tête mais le médecin me la redresse face à l’engin.

— C’est pour VOTRE bien, jeune homme! Pour que cette technique soit efficace, il faut que les bites soient bien dures. D’abord celle de ce monsieur puis l’autre qui est plus longue et large. C’est elle qui fera le plus gros du travail!

— Vous êtes des malades! C’est pas possible...

— Pas d’excitation... c’est très mauvais pour le traitement... Vous ne voudriez pas qu’on soit obligé de vous endormir...

Je panique vraiment à un tel point que ma vessie se libère et que je me pisse dessus.

— C’est normal! C’est une réaction normale... Laissez-vous faire... Laissez-vous aller!

Tout en me parlant, je le vois qui manipule des flacons et une seringue. J’angoisse à crever.

— Non, pas de piqûre! Je... je vais... merde...

Prenant sur moi, j'ouvre la bouche et la première bite prend possession de ma gorge. J’étouffe à moitié. C’est énorme.

— Il faut l’aider à gonfler, mon garçon!

Je me mets à pomper l’engin timidement. Je constate qu’en pompant la queue, c’est moins difficile à supporter et je continue mon travail avec plus d’ardeur. Le secrétaire gémit et le traitement a un résultat très efficace, car sa queue prend un volume de plus en impressionnant.

— Elle est bonne, Étienne! Vas-y! lui dit le docteur.

Il laisse la place à son collègue qui est déjà très excité et me fourre un engin deux fois plus gros. J'ai du mal à prendre son gland entièrement tellement il est gros.

— Je ne peux pas! C’est trop gros... Arrêtez!

— Allons, un peu de fierté...

— Je vous dis que...

La queue se plante dans ma gorge et ne me laisse pas continuer. Je respire difficilement. Le secrétaire est passé entre mes cuisses et il me caresse le trou.

— Allons... applique-toi... Suce l’objet de ta libération... Pompe le dard! Sers-toi du bout de ta langue!

— Bon je crois qu'il est prêt! dit le secrétaire.

— Bon, commence le traitement!

Le baraqué se retire de ma bouche. L’autre s’est positionné parfaitement alignée sur mon cul préparé. Sa queue est recouverte d’une capote et il s’approche de moi. Le contact avec son gland m'électrise. Il avance. Son sexe semble aspiré par mon cul béant.

Je ferme les yeux, persuadé de ressentir une grande douleur. Rien ne se passe! Je me souviens de ce qu’il m’a promis à propos de... la douleur... La queue disparaît dans mon fondement. Le secrétaire, encouragé par les deux autres, commence à me limer. Une fois pris complètement, je commence à ressentir une nouvelle onde de plaisir et j’ondule presque des hanches. Mes premiers soupirs se font entendre dans le cabinet. Les trois types me traitent de tous les noms.

— Oh oui, petite salope... couine bien en recevant la grosse bite...

— Petite pute, hein! Ça fait sa mijaurée puis ça réclame de la bite... des bons coups de bites...

— Tu vas être servi, mon cochon!

— Allez, couine... couine bien... Jouis du cul!

.../...

 

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Dans l’esprit de mes «violeurs», c’est clair... Je commence à prendre du plaisir! Ce qui m’angoisse le plus, c’est que c’est vrai. Je prends du plaisir en me faisant enculer.

On me détache les chevilles et on me soulève. Le médecin baraqué et poilu a enlevé tous ses vêtements et s’est couché à ma place sur la table d’auscultation. Je suis un peu perdu. Les deux autres me soulèvent à nouveau et me placent au-dessus de son bassin et de sa... Putain, l’engin! Trop occupé à subir les coups de reins de l’autre, j’avais un peu oublié cette grosse bite veineuse.

— Respire un bon coup! Tu entres dans la seconde phase de ton traitement! Nous allons te débarrasser de ta petite excroissance! me dit le premier médecin qui est franchement ridicule lorsqu’il ponctue ses actes de commentaires pseudo-médicaux.

Les cuisses écartées et le cul offert, je descends sur la bite du beau médecin poilu. Voilà même que je le trouve beau maintenant! Si j’étais pas pédé, c’est clair, je le deviens. Le gland commence son incursion dans mon trou bien lubrifié et progresse doucement jusqu’à ce que mes fesses touchent le pubis de l’enculeur. J’ai très mal et n’essaie pas de le cacher.

— Ça va passer! Comme tout à l’heure, il y a un moment d’adaptation. Ton anus est très élastique et il va se faire au calibre de mon collègue. Cambre bien tes reins, creuse ici... ça va aider l’accoutumance!

— Putain, je vais crever!

— Non! Force-toi un peu. C’est pour ton bien!

Ce conard me parle sans arrêt de mon bien alors qu’on est en train de me casser le cul. C’est un viol, point! Il est vraiment persuadé que c’est pour me soigner, l’enflure... Mon enculeur m’attrape les hanches et doucement il commence à s’agiter en moi. La douleur va encore s’amplifier pendant cinq minutes puis, Ô bonheur! je vais ressentir les premières sensations délicieuses d’une sodomie bien faite. Celui qui m’encule maintenant est, je vous le jure, un baiseur hors pair! Avec son engin démesuré, il parvient à me donner un plaisir dingue. Je comprends enfin pourquoi la sodomie existe!

— Vas-y plus fort!

C’est moi qui viens de parler. Il me sourit et donne des coups de reins plus vigoureux. J’exulte. Ces coups me font me courber un peu vers l’avant et ma tête est juste au-dessus de celle de mon enculeur. Je ne peux m'empêcher de répondre à son sourire, à poser mes lèvres sur les siennes et à l'embrasser avec passion. J’ai presque envie de lui demander si mon cul est «bon». Je sais qu’il l’est en voyant son visage extatique.

— C’est super! continue le médecin qui m’a ausculté. Le traitement est dans sa phase finale, jeune homme.

Il s’est placé derrière moi et mate mon cul qui se fait saillir. Mon premier enculeur se branle en regardant son collègue au travail.

— Fourre-le bien! Fourre son trou de salope...

— Faut qu’elle s’habitue à ce genre de pratiques... Dans les vestiaires du club, ça bizute pas mal! Il y en a quelques uns avec des gros manches...

J’écoute à moitié ces commentaires évocateurs sans trop de surprise. Les deux voyeurs sont maintenant derrière moi. Penché comme je le suis, ils doivent avoir une vision parfaite de mon petit trou du cul défoncé par la queue du poilu. Mes mains se plaquent sur ce torse si parfait et le caressent. C’est doux et soyeux! Le mec sourit à nouveau. Il doit apprécier. Ses lèvres se tendent encore vers les miennes et je réponds à l’appel. Au point où j’en suis, je veux faire les choses à fond.

— Tu entends? dit le médecin à son secrétaire. Ce bruit de succion c’est bon signe!

Oh, le con! Il se fait un de ces cinéma. D'un doigt, il essaie de se créer un chemin dans mon cul longeant ainsi la bite de mon enculeur.

— Parfait! Phase terminale! crie-t-il presque.

Là, c’est la surprise totale car je ne m’attendais guère à ça! Mon premier enculeur se colle contre moi, il saisit sa queue dans sa main et réussit à se faire un chemin le long de l’autre bite. Putain, j’ai deux bites dans le cul!!!

— Ça, c’est bon, hein? me demande le médecin!

Je suis encore trop gêné pour acquiescer mais il est vrai que je trouve cette sensation délicieuse. Être envahi par deux bites à la fois, c’est quelque chose d’incroyable! Moi qui étais vierge du cul il y a une heure encore... Je bande comme un âne et du précum me coule au bout du gland. J'ai l'impression que mon cul va éclater sous la pression des deux engins. J'ai eu un peu mal mais, là, maintenant je suis au septième ciel. Mes deux étalons commencent à synchroniser leurs mouvements et au total, c’est du bonheur pour chacun... même le voyeur!

Nos halètements s'intensifient sous les encouragements du médecin qui semble surveiller le bon déroulement des opérations sans vouloir y participer. Ce mec doit être impuissant et ne peut prendre son pied que comme mateur! Ce n’est pas le cas de mes deux enculeurs qui assurent parfaitement. Je sens leurs deux queues se raidir, annonçant l’apothéose: une double éjaculation!

— Putain, les gars, vous lui élargissez le trou super fort...

Le con! Comme si c’était un scoop! Deux bites de belle taille dans un trou vierge, ça ne peut faire qu’une chose: l’éclater, l’élargir...

À un certain moment, j’ai senti un de mes baiseurs qui se cambrait. L’autre lui a dit:

— Tu vas juter?

— Ouiiiii!

— Ensemble alors!

Et ce fut le cas! Ils quittèrent mon cul, me retournèrent sur le dos et larguèrent de concert un flot de longs jets blancs sur mon corps. Leur jouissance étant accompagnée de gémissements bestiaux!

— Il faut qu’il jouisse aussi! ajouta le docteur voyeur.

Le secrétaire empoigna ma bite raide et me branla avec force. Excité par tout ce que je venais de découvrir sur ma propre sexualité, j’ai joui à mon tour. Je n'avais jamais connu pareille aventure.

— L’intervention doit être réussie! Je crois que cela devrait aller.

Pendant que je reprenais mes esprits, ils réinstallèrent mes chevilles sur les étriers et le docteur m'examine une dernière fois. À l’aide d’une main gantée, il poussa un puis deux doigts dans mon anus élargi.

— Parfait! Nous avons un petit cul parfaitement en ordre.

Le poilu se pencha au-dessus de moi.

— Et alors? Honnêtement... tes impressions?

J’ai souri. Il s’est penché et m’a embrassé.

— C’est quand tu veux! a-t-il ajouté.

— D’acc! ai-je répondu.

Le docteur a remercié ses deux collègues, qui ont quitté le cabinet à moitié rhabillés. Le poilu s’est retourné avant de sortir et m’a souri encore une fois. J’ai su à cet instant que ma vie allait prendre un virage décisif et que, ce mec, ferait partie de ma nouvelle vie. Le médecin s’est dirigé vers son bureau et s’y est assis. Il était redevenu le médecin du début. Il ne fit plus allusion à quoi que ce soit.

— Je vous prépare votre certificat médical à l'instant. Tout va pour le mieux. Vous êtes apte pour le rugby... Rhabillez-vous!

Lorsque je suis sorti, dix minutes plus tard, j’étais un peu KO. Ma tête était remplie d’images obscènes et d’idées... lubriques!

Le lendemain, je suis revenu roder autour du centre médical dans l’espoir d’y retrouver quelqu’un... ça c’est une autre histoire...¤ (non, Charles n'a pas mis de suite ) 

 


Molière aurait-il fait mieux que Charles ?

Diafoirus dans le malade imaginaire

Sganarelle dans le Médecin malgré lui

Félicitation Charles on se bidonne !

 

 

Par charles be 2004 - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 10 juillet 4 10 /07 /Juil 05:47

 

 

 

 

 L'homme ne fait pas de choix, il est obligé de se laisser guider par l’instinct de la bête( surtout qu'il est énorme !) et s’abandonne à ce plaisir envoûtant. Il n’y a pas de place pour la préparation ou l’anticipation de l’action , tout se passe par l’intuition, l’animal au fond de son âme ne se fait pas prier et prend le dessus, cela lui donnant une envie de jouir de cet instant unique et sans précédent. Il faut dire que chaque partenaire est unique en son genre et aucun ne se ressemble ce qui donne plus de piment à la copulation.

 

Mon voisin a un mâtin de Naples  

George

  Le mâle arrive rapidement à la copulation proprement dite (qui dure quelques instants), puis à la phase d’« amarrage » (qui peut en revanche durer très longtemps).

    Les chiens n'ont pas de prépuce; leur sexe est entièrement conçu comme le gland humain, rougeâtre et très sensible. Cette absence de prépuce s'explique par la faculté de leur pénis de rester caché dans la cavité pelvienne lorsqu'il n'est pas en érection. Au repos, la seule partie visible est le fourreau, qui est recouvert de poils. En érection, le pénis est pointu et son méat se résume à un trou circulaire. Autre caractéristique fondamentale : les chiens éjaculent dés l'érection et ne cessent d’ejaculer jusqu'à la fin du coït. Les chiens les plus gros peuvent émettre jusqu'à six fois plus de sperme que les hommes

 

 

 Tant que le chien reste amarré, il convient de le garder calme pour l' empêcher de se faire mal par faire des mouvements brusques ou des tentatives (vaines) de se décrocher ce qui fait du dégât.

Le sexe du chien est pourvu d'un baculum, un os qui sert à l’érection. Lorsque le chien s’accouple avec sa femelle, la base de son pénis se met lentement à enfler. Lorsque le sexe est introduit, le chien cesse de bouger alors que son sexe poursuit son expansion jusqu'à ce qu'il soit impossible pour lui de se retirer. Cette phase du coït canin s'appelle l'amarrage. Le chien chevauche la femelle, la pénètre, et commence à faire des mouvements de va-et-vient (10 à 20). Puis, la base se son pénis formant une sortes de boule,  il se retourne: les partenaires sont alors " collés " fesses contre fesses.

 

 

 

Coupe du pénis du chien

 

 

Zeus, un Grand Danois, est devenu le plus grand chien du monde, jeudi 13 septembre 2012. 

 

 

 

LE RECIT

Après mon passage chez Jean, j’avais acheté une web-cam que Paul se fit un plaisir de venir installer sur mon micro. Il en profitait au passage pour inscrire quelques adresses d’amis de sa connaissance qui aimaient les mêmes jeux que nous trois; il leur avait lancé des invitations au dialogue. Il avait aussi placé dans mes favoris quelques sites de photos ou vidéos. Il avait vu combien cela m’avait intéressé chez Jean.

Comme j’étais tranquille pour deux bonnes heures, Paul fit quelques essais de mon micro, il avait sélectionné un site de vidéos. Il avait ouvert quelques films assez courts de mecs qui se faisaient enfiler par leur chien. Je bandais d’enfer en matant avidement.

Pendant que Paul s’affairait debout devant l’écran, j’en profitais pour défaire son pantalon et le lui retirer. Plaqué contre le dos de Jean, j’avais ma queue coincée contre la raie de son cul. Je le masturbais lentement, buvant des yeux les films très hard qui défilaient devant nous. Mon jeune voisin glissait une main entre nous et guidait ma pine vers son anus me disant: «Prends-moi! J’en ai envie!» Comment résister à ces fesses tièdes contre mon ventre? Je m’agenouillais derrière lui, salivant abondamment son petit trou avant de l’enfiler à fond, puis de le pistonner à coups vigoureux. Il soupirait d’aise, tendait ses fesses à chacun de mes coups.

Sans perdre des yeux les films qu’il nous sélectionnait je lui bourrais le cul et lui me donnait des conseils: «Si tu veux avoir des contacts, connecte-toi dans l’après-midi ou le soir vers 22h... Tu verras sans doute Jean, il est souvent là, Justin aussi... Attends, on va voir qui est branché! Tiens! Justement Justin est là!...»

J’entends une sonnerie, il clique, je vois apparaître le visage de blondinet poupin, c’était Justin un sourire angélique aux lèvres il lançait: «Alors mon cochon de Paul! Encore en train de baiser? Vous auriez pu m’inviter!» Il était en jogging devant son écran; sa queue tendait le tissu. Sans autre forme de politesse, il sortit sa bite raide et se branlait devant nous, en précisant: «Je me branlais, seul, devant un film. J’avais envie d’une bite, heureusement Kim est là, il va me donner la sienne!»

Avec sa caméra, Justin plonge sur un gros chien, un mâtin de Naples de toute évidence, lové devant son bureau. Notre ami retire son pantalon, s’agenouille près de l’animal, entreprend de le branler. La bite rose pale sort de son fourreau de poil, Justin se penche, enfournant le sexe du chien à pleine bouche. Le pénis grandit et la boule prend forme. Justin pompe le sexe puis le lèche à grands coups de langue, avalant avec délectation le foutre de l’animal.

Paul et moi sommes très excités de cette séance en direct. Je lui défonçe le cul avec plus de vivacité, je sens monter mon plaisir et mon ami aussi. Il m’encourage: «Allez! Remplis-moi le cul! Donne-moi ton foutre! Vicieux! Regarde ce salaud pomper son chien! Allez! Vas-y, donne-moi tout!» Je me crispe et lâche une abondante giclée dans ses fesses.

Justin s’était mis à quatre pattes, Kim qui avait rentré sa pine dans son fourreau à grands coups de langue lui léchait le cul. Notre ami le branlait légèrement. Habitué, l’animal sans autre forme de procès le grimpait. La pine du chien cherche déjà le trou du cul offert. En s’enfonçant jusqu’à la boule, il se met à limer à toute vitesse. Notre ami s’exclame: «Oh le con, il m’a mis la boule! Ça va être un pied d’enfer!»

Paul, aussi excité que moi, m’enfile d’un coup. Je sens sa grosse pine me fouiller les entrailles, ses couilles claquent mes fesses à chaque coup de boutoir. Que c’est bon de me faire enculer en regardant l’autre vicieux se faire monter par son chien. Nous râlions tous les trois de concert. Sentant que Paul allait décharger, je tends mes fesses contre son ventre en serrant mon cul. Il me remplit de son foutre.

Lentement Kim se dégage du cul de Justin dont le visage crispé indique que c’est un peu douloureux. La pine du chien sort d’un coup, libérant un flot de sperme qui dégouline sur les cuisses de notre ami.

Je m’étais régalé autant du spectacle que de la séance avec Paul. J’étais heureux à l’idée des changements d’horaires qui m’avaient été imposés dans mon travail. Nous étions passés «en équipe» et j’étais du matin de 6h à 13h. Cela m’avait un peu ennuyé au départ mais je pensais maintenant aux après-midis libres que cela me laisserait. Ma femme, elle, travaillait jusqu’à 18h.

Dès le lendemain à 14h, je m’installais devant mon ordinateur. Paul était parti avec ses parents à la ville voisine pour faire des achats. Il m’avait proposé, en leur absence, de «surveiller» Nestor qui n’aimait pas rester seul, ni attaché. Je m’en étais réjoui. J’étais installé depuis 10 minutes que je vis «Juju vient de se connecter». C’était l’un des pseudos que Paul m’avait installés. Je lui lançai un appel.

J’ouvris ma cam et lui la sienne. À priori, il fut surpris que je ne sois pas un de ses amis connus. Un jeune gars d’environ 17 ans, cheveux blonds, bien en chair, au sourire engageant, le regard canaille, me saluait. Il était en short et tee-short très ample. En quelques mots je lui indiquais comment il se trouvait dans mes contacts. Dès que je lui précisai que j’étais un ami et complice de jeux de Jean et Paul, il sourit d’un air entendu. Il aimait les mêmes plaisirs que mes deux compères, il habitait à proximité de nous; il me semblait l’avoir croisé sur la route ou il circulait en vélo.

Je bandais et dégageant ma bite, me branlai devant la cam, lui demandant de faire pareil. Sans hésiter, il retirait son short. Une belle pine longue avec un gros gland superbe se dressait fièrement. Nous nous astiquions de concert, lentement, parlant de nos envies et moi, surtout de celle que j’avais de lui sucer sa queue avant de me faire enculer par lui.

Je m’étais mis nu, lui aussi, il avait plongé une main dans un tiroir pour en sortir une bougie très longue et très grosse, au bout arrondi. Il salivait le bout d’un air gourmand avant de la placer sur son anus pour l’introduire lentement, poussant jusqu’à entrer plus de 25 cm, l’air épanoui.

J’avais changé l’angle de ma caméra et appelé Nestor allongé à mes pieds. Je m’étais mis à quatre pattes. Dès que je lui astiquai la pine, il comprit que je voulais me faire saillir. Il me grimpait d’emblée, enserrant mes hanches dans ses pattes avant. Je guidais la pine du chien qui entra totalement d’un coup. Que j’aimais le contact de ses poils contre mes fesses, le sentir s’agiter conte mes cuisses; c’était vicieux et excitant d’être baisé par l’animal en rut et en même temps de me savoir observé.

Juju participait à mon plaisir et s’astiquait plus vigoureusement en me regardant. Au bout d’un moment, il me proposa de venir me rejoindre, j’acceptais de suite; en quelques mots, je lui indiquais comment arriver. Il était déjà venu chez Paul, il savait donc où j’habitais. Je fis descendre Nestor pour ne pas l’épuiser. Cinq minutes plus tard mon nouvel ami arrivait.

Je l’accueillais à la porte du garage, il était resté en short et tee-shirt, j’étais resté nu. Il entrait, me prenant d’emblée dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche. Avec un plaisir intense, je me régalais de dénuder son corps d’adonis à la chair moelleuse, de dévoiler sa poitrine imberbe aux tétons saillants, de libérer sa magnifique bite tendue dont le gland était encore plus impressionnant qu’en cam.

Nous nous embrassions à pleine bouche, nos corps plaqués l’un à l’autre, nos bites coincées entre nos ventres. Quel bonheur! Je roulais ses grosses bourses tièdes entre mes doigts légers. Je caressais son dos, ses fesses, son petit trou provoquant des frissons sur sa chair. Je m’agenouillais devant lui pour enfourner sa très belle queue à pleine bouche, le suçant avec délice.

Je rappelais Nestor, saisissant un tube de crème resté à proximité. Je lui enduisais le trou du cul, puis me plaçant derrière lui, je l’enculais lentement et demandai à Justin: «Jeune salopard, viens me prendre, j’ai envie de ta belle bite dans mon cul.» Il me léchait le cul, puis garnissant mon petit trou de crème, il posait son gland sur mon œillet. Malgré la crème, il força pour me pénétrer. Ma rondelle me faisait souffrir un peu mais la douleur rajoutait à mon plaisir. Enfin, il me prenait à fond, commençant à me pistonner. La douleur s’estompa rapidement pour laisser la place au plaisir. M’accrochant aux cuisses du chien, j’enculais Nestor au rythme de l’enculage de mon ami. Ouawhh! Cette bite qui me fouillait les entrailles à fond pendant que ma queue plongeait dans le cul chaud de l’animal, il en bandait lui aussi! Quel pied! Je sentais monter mon plaisir. Je prévins Justin, il accéléra, me pistonnant à grands coups. Soudain il s’immobilisa, les mains crispées sur mes hanches; je me libérais aussi dans le cul de Nestor. Je m’étais retiré du cul du chien, Justin se retirait avec précaution, je sentais quand même passer son gland.

Tous deux apaisés, nous faisions plus amples connaissances. Justin m’expliquait que bien qu’ils se connaissent depuis longtemps, Paul, Jean et lui avaient pu découvrir leurs plaisirs communs pour le sexe à l’occasion de dialogues sur internet où ils avaient pu déclarer leurs goûts communs pour l’exhibition d’abord, puis leur bisexualité à dominance homo, et enfin leurs jeux avec leurs chiens respectifs. Tous les trois pratiquaient le même sport, le tennis de table. Ils fréquentaient le même établissement scolaire, ce qui leur donnait le motif de se rencontrer facilement, hors de chez eux. Ils avaient ainsi élargi leur cercle intime axé sur le sexe.

Justin me narrait les plaisirs pris à la sauvette dans les WC du collège ou dans les vestiaires de la salle de tennis de table, ou ceux du terrain de foot, enfin, partout où ils se trouvaient tranquilles entre eux. Sachant que j’avais pratiqué ce sport, il me conseillait de m’inscrire au tennis de table qui manquait d’encadrement et de chauffeurs pour les déplacements en voiture lors de rencontres dans les villes voisines. Je sentais que sa proposition n’était pas totalement innocente.

Nous avions récupéré de nos ébats. Justin, qui n’avait pas été enculé, voulait être sailli par Nestor. Il se plaçait à quatre pattes, j’attirais le chien, le branlai un peu. D’emblée, par force de l’habitude, il s’agrippait aux reins de mon ami pour baiser ce cul offert, l’empalant d’un seul coup. Justin bandait comme un cochon! Je m’allongeais sous lui pour le sucer, lui offrant ma bite. Sous mon nez, je voyais le sexe du chien enfoncé dans le cul dilaté par la boule. Je massais la base du sexe de l'animal pour qu’il grossisse plus encore. Le chien, très excité, s’activait vivement; il devait remplir le cul de son foutre.

J’avais la bouche remplie de la pine de mon ami, je le suçais avec délice, il me le rendait bien. Le chien avait cessé de s’activer mais il continuait à décharger dans le cul accueillant. Je voyais les palpitations de l’embase du membre animal à chacune de ses décharges. Justin m’informait qu’il allait décharger, j’étais moi-même près de jouir. Je massais plus vivement les couilles de mon ami, aspirant plus fortement sa queue. Il libéra son foutre en saccades épaisses, je me régalais de ce foutre onctueux. Nestor s’était dégagé.

Nous éliminions les odeurs de nos plaisirs en prenant une douche rapide. Justin, avant de prendre congé, me demandait de passer sur Internet pour voir ses messages puis il me quittait après m’avoir gratifié d’un baiser brûlant et fait promettre de nous revoir souvent.

Quelle belle après midi! J’étais comblé!

 

 

 

 

 

 

 

 

Par tanagra - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 14:18

UNE SCENE PAREILLE A LA DRAGUE EN PLEIN AIR DE LA DURANCE (AVIGNON-CAVAILLON)

mais tout est possible encore...

carpe-fur: That’s hot! Would love to know where this is

Et il y a toujours un Bel Indifférent...voyeur comme d'hab'  !

Par luka vaillon - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 09:34

 

 

   

Joao, en 2001, a composé ce magnifique récit. En 2014 les prisons n'ont pas changé. De nombreux jeunes, comme Marc et Thomas,  tombent pour des conneries. Qui n'a pas imaginé être incarcéré pour un délit mineur et obligé d'accomplir sa peine ? C'est devenu un des possibles.  D'ailleurs  qui ne pense pas, si impliqué par force dans des événements comme guerre, enlèvement, exil forcé...se tirer au mieux d'affaire...quitte à "faire la part du feu" comme on dit, et y laisser le moins de plumes possible. Cette idylle en prison est tout àfait imaginable. Peut-être est-elle assez rare...Ben, faut être PD ou avoir des dispositions..ou découvrir et apprendre qu'on ll'est...

 

 

Bonjour, moi c'est Marc, je me suis fait prendre par les gendarmes hier alors que je vendais du haschisch. Nuit à la gendarmerie puis passage au tribunal pour comparution immédiate. J'ai 19 ans, c'est la première fois que je vendais, c'est con.

Une nuit dans une cellule, puis transfert par camionnette au tribunal. Nous sommes le 1er juin, il fait chaud, la séance est prévue pour 15h et il en est déjà 16h30. L'atmosphère est étouffante, je suis assis sur un banc avec les menottes, une chaîne est reliée à un gendarme, nous sommes vendredi. Ils discutent du week-end qu'il vont passer, ils ont décidé de faire un tour en vélo; ils n'en ont rien à faire de moi.

Une sonnerie retentit, les gendarmes se lèvent et me disent: "C'est ton tour." Je les suis dans un dédale de couloirs, nous arrivons dans la salle d'audience, plafond haut, une dizaine de personnes assise sur des bancs, la lumière filtre à travers des fenêtres hautes, on voit la poussière danser dans les rayons de soleil. Un greffier hurle la cour, les gendarmes se lèvent et me font lever. Le président, ses assesseurs, le procureur de la république et le greffier. Ils sont tous en noir, ça fait peur.

"Accusé, levez vous, déclinez vos prénom âge te profession." Ce que je fais. S'en suit une litanie de griefs de questions pour me piéger, dans la salle une jeune fille, avocat commis d'office, elle tremble comme un feuille morte. Le président me fait un portrait de gangster, le procureur, une femme dans la quarantaine, belle se lève et prononce contre moi un réquisitoire d'une rare violence, elle demande 6 mois de réclusion. J'en ai les jambes coupées, vient ensuite la plaidoirie de la jeune avocate, lamentable, heureusement que la peine de mort n'existe plus j'y aurais laissé ma tête. La cour se retire pour délibérer, on sort et on se retrouve dans une petite pièce à côté de la salle d'audience.

Il fait chaud, pas de fenêtre, les gendarmes ont repris leur conversation sur leur virée en vélo. Une heure passe. Quand la sonnette retentit, on se lève, la cour a fini de délibérer. On entre dans la salle et on attend; la cour rentre. "Accusé levez vous, la cour vous condamne à 6 mois de prison avec 2 mois de sursis, vous serez transporté à la prison de..... où vous accomplirez votre peine. Greffier transmettez les documents à messieurs les gendarmes. La séance est levée."

Il est déjà 6h. On prend une série de couloirs et d'escaliers, on arrive dans une cour où se trouve la camionnette des gendarmes. On me fait monter à l'arrière, menottes aux poings. On démarre, on traverse la ville, il fait une chaleur suffocante d'orage. On sort de la ville et on prend une route de campagne, on file puis on ralentit, on arrive devant une immense bâtisse entourée de hauts murs. Un coup de klaxon, les portes s'ouvrent et se referment derrière nous. Le moteur s'arrête, un gendarme vient m'ouvrir. Je sors, des gardiens sont là, brève discussion amicale entre les gendarmes et les gardiens, puis les gendarmes m'enlèvent les menottes et me remettent aux gardiens avec les papiers du tribunal.

Demi-tour, les portes s'ouvrent la camionnette s'en va, je suis seul avec mes gardiens. On me fait rentrer dans la loge des arrivants, on vérifie les papiers, puis on me conduit vers l'accueil. Là, 2 gardiens derrière un comptoir et le gardien qui m'accompagne, encore une vérification des papiers. Un ordre, "À poil!", j'hésite, le gardien qui m'accompagne, un mec d'une trentaine d'année, me sourit et me dit: "Tu te fous à poil, t'a compris?" J'enlève ma veste, le gardien à côté de moi la donne au 2 autres derrière le comptoir qui la fouille, je fais sauter mon t-shirt qui rejoint ma veste, je défais ma ceinture, le gardien me dit de l'enlever et il la passe au 2 autres, je vais pour enlever mes baskets il me dit d'enlever les lacets, je fais tomber mon jeans que je tends et j'attends. Le gardien à côté de moi me fait un sourire et me dit: "À poil!" Je baisse mon slip, rouge de honte. Mon slip rejoint mes autres vêtements.

À ce moment le gardien à côté de moi me dit de mettre mes pieds le long d'un ligne blanche tracée sur le sol et de poser mes deux mains sur le comptoir, ce que je fais. "Écarte les jambes!" Il me donne un petit coup de pieds pour me faire écarter les pieds. Il enfile un gant en caoutchouc, je lui demande ce qu'il fait, il me répond avec un sourire: "On va voir si t'a rien de caché." Les 2 autres se marrent. Je sens un contact froid sur mon cul, je vais pour me relever, le gardien me dit de ne pas bouger, qu'il me met de la vaseline, je geule que je suis pas pédé. Il me répond en rigolant que plus tard, je regretterai de ne pas en avoir ce qui fait marrer les 2 autres. Je sens un doigt qui glisse dans mon cul et qui commence à le fouiller, bon y'a rien, il pourrait arrêter, mimas il continue le salaud, il me masse la prostate et je commence à bander ferme. Le salaud le fais exprès, maintenant je bande raide, son doigt ressort, il me dit: "C'est fini, tu peux te relever."

Je bande comme un fou, je ne bouge pas. Il me file une claque sur la fesse en me disant: "Debout!" Je me redresse en cachant très mal ma queue raide, les 2 autres éclatent de rire en disant: "Il a l'air d'aimer ton petit doigt dis donc!" Je suis rouge pivoine, le gardien à côté de moi me regarde et dit: "J'ai l'impression que ça t'a plu..." On me rend mes vêtements, on garde ma ceinture, mes lacets ma montre, on me file une couverture et des draps. Le gardien qui m'accompagne me guide vers une porte, il me pousse dans une petite pièce et me dit de me foutre à poil pour la douche. Je me glisse sous l'eau, pendant ma douche le gardien me dit: "Excuse moi pour tout à l'heure, mais tu as un si beau petit cul que je n'ai pas résisté au plaisir de te masser le cul." La douche est finie, je m'habille, direction les cellules, l'heure de la soupe est passée, je mangerai demain matin.

Un couloir avec des portes de cellules, puis on s'arrête devant une porte, "C'est là!", me dit mon gardien. Il fait tourner la clef, ouvre la porte, dedans à gauche de l'entrée, des chiottes un lavabo, un peu plus loin deux lits superposés, de l'autre côté, une table des chaises et 2 autres lits superposés près de la fenêtre grillagée. Trois mecs, Un gras dans les 40 ans en short et t-shirt distendu, un grand maigre, barbu pas sympathique en short lui aussi semble pas propre dans les 40 ans lui aussi, et puis un mec en jogging dans les 20 ans souriant, semble gentil. Le gardien me présente comme le nouveau, nous souhaite un bonne nuit et referme la porte avec un curieux sourire.

La porte refermée, le gros se lève et me dit: "Bonjour petit, ta place c'est là-haut!" et il me montre le lit près de l'entrée. "Moi c'est Roger, lui," il me montre le grand maigre, "c'est Marcel, et lui, le petit jeune c'est Thomas. Bon on va passer aux choses sérieuses!" dit-il en me caressant les fesses. Je lui prends le bras en lui disant que je ne suis pas pédé, ça le fait rire et li pose une nouvelle fois ses pattes sur mon cul. Je me dégage quand le grand maigre me prends les couilles à pleine main en disant: "Tu vas pas jouer les pucelles mec. Va falloir que t'y passes." Pendant ce temps là le gros me dégage les fesses, en moins de 2, je me retrouve à poil. Le grand maigre me serre les couilles pour que je ne me débatte pas, je cherche à luter j'me ramasse un paire de baffes magistrale.

"Tu vas te calmer, petit, sinon tu vas déguster. Tiens, pour commencer tu va me nettoyer la queue." Il me présente une queue, courte mais très large qui pue comme pas permis. Je refuse, l'autre manque de m'arracher les couilles, une main me plaque le visage contre cette queue immonde. Pour m'obliger à ouvrir la bouche il me pince le nez, je manque d'étouffer, j'ouvre la bouche il en profite pour me rentrer sa queue nauséabonde. J'en ai des hauts le coeur. "Suce petite salope, vas-y, nettoie-moi l'engin." L'autre, le grand maigre, me masse le cul, sans lâcher mes burnes. J'étouffe, je suis au bord du vômissement, heureusement le troisième ne bouge pas. "C'est bien petite chienne, suce bien, j'ai la queue bien raide les couilles pleines, Maintenant tu vas me les vider." Sur ces mots, il se retire de ma bouche, me fait tourner et me prend par les hanches. Je vais pour geuler quand le grand maigre me file sa queue qui n'est pas plus propre dans la bouche. Elle est plus fine mais plus longue, je la sens toucher ma luette, je vais vômir, il le sent et se retire un peu.

Le gros pendant ce temps m'a rentré un puis deux doigts dans le fion sans ménagement. J'ai mal mais je ne peux hurler avec la queue de l'autre dans la bouche. Il retire ses doigts et pose son gland contre mon trou, je me raidis. Il me fille une claque sur la fesse en me disant de me détendre si je ne veux pas avoir mal. Et d'un coup, il me pénètre. La douleur est fulgurante, j'ai l'impression d'un pieu en fer rougi au feu. Je manque de m'évanouir. Le grand maigre m'a filé une baffe, je ne peux me soustraire à la queue dans mon cul et l'autre dans ma bouche. La douleur est insupportable. Le gros me lime rapidement sans se préoccuper de moi, il accélère la cadence et vient dans mes entrailles. Il se retire satisfait.

"À toi!" balance-t-il au grand maigre. Le grand maigre se retire de ma bouche et vient m'enfoncer sa queue, sans crier gare. Elle est plus fine et passe mieux mais la douleur est encore là. Le gros me donne sa queue à nettoyer, comme je vais pour refuser, je me ramasse une nouvelle baffe et je me retrouve avec sa queue baveuse de sperme à nettoyer. Le grand me défonce ne s'intéressant qu'au plaisir qu'il retire de mon cul. La douleur s'efface petit à petit, il me file des claques sur les fesses et me branle en même temps, je ne bande pas. Puis il pousse un cri et se vide dans mon trou. Le gros s'est assis sur le lit et regarde tout sourire en se branlant doucement. Le grand maigre se retire d'un coup et me donne sa queue à nettoyer. Il dit au jeune: "Vas-y, il est à toi." Le jeune s'approche de mes fesses, les caresse et pose doucement son gland contre mon trou distendu et visqueux. Il pousse doucement et me pénètre lentement. Il commence des mouvements de bassin lentement, il me lime doucement, je commence à sentir du plaisir, je n'en reviens pas. Il n'y a plus de douleur, il me baise pour se donner du plaisir mais il veille au mien. Sa main glisse sous mon ventre et vient me branler doucement, je commence à bander, je ressens du plaisir. Son gland vient frotter sur ma prostate et me fait découvrir des sensations inconnues. Je sens sa queue grossir, il va bientôt jouir. Je sens les contractions de sa queue, il accélère les mouvements de sa queue et de sa main sur ma queue bien raide. Il pousse un gémissement et vient dans mon trou, moi de mon côté je viens dans ses doigts. Il se retire doucement, me caresse les fesses et me dit: "Je vais faire ton lit..." Les 2 autres sont tout sourire.

Le gros me dit: "T'es un bon petit, maintenant couche toi, demain il faut être prêt pour le p'tit déj." Il se lève, pisse et va se coucher, le grand maigre en fait autant. Le jeune m'aide à monter dans mon lit, me fait un sourire. Je m'allonge sur le lit, j'ai le cul en compote. La lumière s'éteint. Quelques minutes pus tard les ronflements du gros et du grand maigre démarrent. La honte m'étouffe, j'ai mal, des sentiments confus se mélangent dans ma tête, et une envie irrésistible de pleurer m'envahit. Je sanglote dans le noir, quand tout à coup une main vient se poser sur moi, je me relève un peu c'est le jeune, qui est monté sur mon lit. Il se couche à côté de moi et me dit tout bas: "Ne t'en fais pas, ils m'ont fait pareil quand je suis arrivé, ils ne sont pas méchants mais comme tu as pu t'en rendre compte, ils n'ont aucune éducation." J'ai glissé ma tête sur l'épaule du jeune et je pleure en silence. Il me parle doucement pendant que sa main me caresse, je lui dis que je ne suis pas pédé, mais que j'ai pris du plaisir quand il m'a baisé. Il me confie, qu'il ne voulait pas me baiser mais s'il ne l'avait pas fait les autres auraient piqué une colère et m'auraient fait subir des sévices.

Il approche ses lèvres de moi, j'ouvre la bouche, sa langue vient rencontrer la mienne, un long baiser s'en suit. Il me dit pour me faire pardonner: "Je vais te sucer tu veux?" "Je veux bien," lui dis-je dans un souffle. Il glisse sur le côté et je sens sa bouche envelopper mon sexe qui durcit immédiatement, il me suce en douceur sa langue tourne autour de mon gland, je me retiens de gémir, je sens que je vais venir, je tente de me retirer, il poursuit, je viens dans sa bouche, j'ai l'impression que je vais me vider, la tête me tourne. Quand ma queue redevient molle, il remonte et me donne un baiser où se mêlent sa salive et mon sperme. Le goût me surprend, mais je lui rends son baiser. Il me dit: "Passe une bonne nuit, je veille sur toi." Je m'endors, une nuit pleine de cauchemars.

Le lendemain matin au réveil, le gros et le grand maigre tirent sur mes couvertures, et me disent de descendre, je m'exécute. Il me disent: "C'est l'heure du p'tit déj." Comme je les regarde sans comprendre, le gros me dit: "Il faut nous purger les burnes, allez, tu nous suces!" Il me fait mettre à genoux, et me présente sa queue, je gobe il commence à me limer la bouche, il vient rapidement. Le grand maigre prend sa place, et me fourre la bouche sans ménagement, il vient rapidement, se retire et va pisser. Le gardien arrive, accompagné d'un prisonnier qui apporte le petit déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire:

— T'as passé une bonne nuit?

Je vais pour dire ce qui s'est passé quand je rencontre le regard dur du grand maigre.

— Oui je vous remercie.

— Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux aller travailler avec lesautres, tu veux?

— Pas aujourd'hui.

— Bon comme tu veux.

Le gros et le grand maigre partent travailler, le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la première journée.

— Ok comme tu veux.

La porte se referme et je me retrouve seul avec le jeune.

— Bon moi c'est Thomas et toi?

— Moi c'est Marc.

— T'es là pour combien de temps?

— Quatre mois et toi?

— Moi Il me reste 3 mois. Quand je suis arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a duré 1 mois tous les jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent 1 fois tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien, ils me foutent la paix, alors...

— Tu était homo avant?

— Non comme toi j'avais des copines, jamais je n'avais pensé que je baiserais avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré hier soir je me suis dit: "le pauvre il va morfler", je n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus. Tu ne m'en veux pas?

— Non je ne t'en veux pas, tu a été doux avec moi et je dois dire que tu m'as donné 2 fois du plaisir. Je ne croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue dans le cul.

— Si tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils dormiront, tupourras me baiser si tu veux.

La journée se passe sans encombre, et le soir de nouveau, le gros et le grand maigre me baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et vient me rejoindre.

"Je tien parole, si tu veux me baiser, vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle rapidement, se retourne et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland vient toucher son trou. Il me dit: "Vas-y!" Je pousse mon gland, il rentre sans trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux chaud, je commence des va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par des mouvements du bassin, il a tourne sa tête et me donne un baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les contractions de son trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma jouissance, je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je l'embrasse en lui disant:

— Merci.

— Tu n'as pas à me remercier, j'y ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on recommencera.

Les jours se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant. Le soir, je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le gros nous dit: "On sort demain les gamins alors ce soir, c'est vous qui nous baisez." Thomas et moi, on se regarde incrédules, le grand maigre nous dit: "Oui on sort demain alors notre cadeau à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier de nous avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous présentent leurs culs. Thomas me fait un signe, *...NDLR  j'ai pensé à un dénouement comme ça : (le récit de Joao est conservé plus bas )

* Version claudio : Aucun désir de vengeance ne nous habite. iLS NOUS ONT APPRIS A SURVIVREET NOTRE HAINE EST ETEINTE. Je ne me verrais pas prendre du plaisir avec un autre que Thomas et on dirait qu'on est d'accord. Ca leur ferait trop plaisir qu'on les nique maintenant. Au moment de leur libération, ...

..."Bonne journée les mecs et profitez de la liberté." Nous sommes seuls, maintenant depuis 3 semaines et nous nous aimons tous les soirs.

Quand un soir la porte s'ouvre, on nous amène un jeune. Le gardien se retire. Le jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on va pas te violer. Le jeune monte dans son lit, nous nous caressons, le jeune nous regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous aimons. Plus tard dans la nuit nous entendons le bruit caractéristique d'une branlette, c'est le petit dernier qui se soulage.

Le lendemain soir il va pour se coucher, se déshabille quand il enlève son pantalon, son slip est super tendu, il tente de cacher son érection, Je lui dis:

— Si tu veux tu peux baiser avec nous.

— Non, non, dit-il tout rouge.

— Allez, on voit bien que tu bandes! dit Thomas.

— Non, non, dit-il sans conviction.

Je pose une main sur son paquet il ne bouge pas; Thomas s'est approché de lui et lui caresse les fesses, il me réagit pas. Doucement, je fais glisser son slip, sa queue libérée vient frapper son ventre je la prends en bouche et commence une pipe. Il gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il se libère et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à trois.

Les jours ont passé Thomas est libéré aujourd'hui. Je l'embrasse avant que le gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra quand je sortirai. Il est parti, le petit jeune couche avec moi de temps en temps, mais ce n'est pas pareil qu'avec Thomas.

Mon tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis la porte de la prison s'ouvre. Thomas est là, il sort de la voiture, prend mes affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte de la prison s'est refermée, il passe un bras autour de mes épaules me donne un long baiser et me dit:

— Bienvenue dans le monde libre. Tu sais où aller?

— Non.

— Viens chez moi si tu veux.

Mon coeur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et lui dis avec joie:

— Je n'osais pas te le demander.

Un grand sourire illumine son visage.

— Tu resteras tant que tu voudras, je t'aime.

— Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu m'as manqué terriblement.

— Ok allons y, la vie est belle...¤

 

* Version Joao : , il me montre le grand maigre et me dit: "Je commence par le gros." Thomas file une claque sur les fesses du gros, celui-ci surpris se retourne. Thomas lui dit: "Suce moi un peu pour m'aider à bander." Le gros s'exécute.

Je dis au grand maigre: "Et toi alors, tu vas me faire bander?" Il se retourne et commence à me sucer, il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien raides. "Allez, tournez vous!" Le gros et le grand maigre nous présentent leur cul. Thomas attrape les hanches du gros et sans préliminaire l'enfile jusqu'à la garde, le gros pousse un petit cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre tente d'échapper mais je le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri, je ne m'en occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On lâche notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand maigre se redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos queues. Ils vont pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez, en vitesse!" et on échange le gros prend ma queue en bouche et le grand maigre prend Thomas. Nos queues reprennent de la vigueur.

Thomas leur dit: "Allez, en position." Les deux compères se retournent et nous présentent leur cul. Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue d'un coup, il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes, embrassez-vous." Il s'embrassent pendant qu'on les lime. Je viens dans le cul du gros, je sens qu'il vient lui aussi, il pousse un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et s'est retiré; le grand maigre se finit à la main.

Le lendemain au réveil, Thomas saute sur ses pieds me dit de descendre; on se lève et on présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de la liberté."...

 

 

 

 

 

Par joao gai-eros - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 00:38

Le gay ride on

      

A 18 ans Eric porte déjà l'uniforme de l'US Army. Il, affiche un béret noir porté de côté sur un crâne rasé de près. « J'ai signé le 2 octobre, et le 7 octobre je commençais l'entraînement », déclare la jeune recrue. L'armée lui a offert une prime de 17 000 dollars (13 000 euros) pour s'engager. « J'ai dit oui tout de suite. En plus, les avantages sont bons : couverture médicale et dentaire gratuite, études gratuites. » 

 

San Diego, où se trouvent les deux protagonistes, est le premier port militaire des États-Unis. C'est une ville morte.

Le jour à San Diego tous les marins sont à la base et d'immenses grilles les séparent de la ville.

La nuit San Diego revit. Certains quartiers s'animent pour des milliers de jeunes garçons à peine majeurs. Il passent l'entrée de leur base militaire pour rompre l'inexorable ennui d'une journée passée sur leur bateau.

 Les bars, les pubs, les restaurants, les boutiques, les salles de jeux, les salles de sport, les boîtes de nuit et les sex-shops offrent un espace de détente et de défoulement indispensable au moral des troupes. L'homosexualité a son centre exutoire au Liberty Mall: le "Gay Ride On". 



 Ricky : Military haircut

Jim : military haircut

 

Jim avise un garçon aux traits fins qui passe devant lui. Il porte un regard étonné sur ce qui se passe autour de lui. Dans son costume blanc de marin, les cheveux coupés très courts, on dirait un enfant sage. Il plaît immédiatement à Jim qui s'avance vers lui. Le garçon est sur ses gardes.

— Depuis combien de temps es-tu incorporé et d'où viens tu?

— Je suis arrivé à San Diego mardi dernier, je viens de Hot Springs en Arkansas. C'est la première fois que je viens ici. J'ai découvert cet endroit par hasard.

— Tiens, tiens, Hot Springs, c'est une station thermale, non? Suis moi, en fait de sources chaudes, je vais t'en faire découvrir qui vont te plaire. Quel est ton prénom?

— Eric, mais on m'appelle Ricky.

Le jeune garçon semble hésiter mais suit Jim vers le sauna. Dans les vestiaires, ils mettent chacun leurs vêtements dans un baluchon à la forme bien connue des marins de tous les pays du monde et confient ensuite le sac à la garde. Jim entraîne son protégé sous la douche. Il en profite pour découvrir son corps. Sa grande jeunesse lui confère un corps fin et gracile. Son ventre ressort légèrement par manque de ceinture abdominale. La peau est douce et le garçon est relativement imberbe. Jim le masse sous la douche pour le détendre. Ricky semble inexpérimenté et effrayé par une descente aux enfers dont Hot Springs la prude l'a toujours protégé, mais Jim lui semble sain, il sera peut-être un bon professeur.

Jim l'emmène au bord d'un bassin original. C'est une large vasque ronde qui va en douce déclivité du bord, d'où naissent une infinité de sources chaudes qui coulent jusqu'au centre. Un couple allongé y fait déjà l'amour. L'eau cerne leurs corps, et crée des friselis le long de leur peau. La température de l'eau est idéale, ils ne la sentent pratiquement pas. Elle permet à ceux qui ont choisi ce bassin des jeux aquatiques sympathiques. Jim allonge son ami dans le fin lit d'eau. Il lui caresse les cheveux. Ceux-ci, coupés en brosse très courte, lui raclent doucement la paume. Jim remarque que Ricky n'est pas circoncis. Il s'en étonne mais ne lui en fait pas part. Il saisit ce sexe mouillé et le regarde se gonfler sous ses doigts. Le gland pointe sous la peau qui l'enveloppe. Mais le sexe du garçon n'arrive pas encore à se durcir, ni à prendre une belle couleur rouge vermillon, brillante sous l'ondée. Jim n'en veut pas à son compagnon, il embrasse son gland et masse de sa langue la jeune hampe. Ricky se concentre, raidit ses jambes, relève la tête. Jim tourne rapidement sa langue autour du gland de Ricky afin de le faire se gonfler plus vite. Le sexe de Ricky réagit bien. Jim est expérimenté, le bout de sa langue survole à peine la muqueuse huilée. Ricky sent le plaisir monter en lui. Son souffle se raccourcit, ses yeux se ferment et sa bouche s'entrouvre.

Derrière ses dents blanches et brillantes soufflent des geignements de plus en plus forts. Ricky perd la raison et oublie où il est. De nouveaux couples viennent d'arriver et son plaisir les attendrit. Ces derniers arrêtent leur jeux pour suivre seconde par seconde son bonheur incontrôlé. Maintenant Jim et Ricky exhibent totalement leur corps sans se préoccuper d'autre chose que de leur plaisir intime. Les curieux en profitent largement. Pour eux l'effet le plus excitant est bien les râles juvéniles de Ricky. En jouissant dans la bouche de Jim, ce dernier découvre l'affection d'un corps à corps. Il éprouve le besoin de se serrer contre son "maître" et entoure de ses bras le cou de Jim. Il appuie son bas ventre, à la chaleur encore irradiante, contre le corps de celui qu'il vient d'aimer. Il se sent bien. Jim le caresse doucement, et lui parle tendrement, le préparant à une future épreuve, car Jim maintenant veut sa part.

Tout en serrant Ricky de plus en plus fort, il descend sa main sur les fesses de son nouvel ami. Les doigts glissent furtivement sur la peau, de plus en plus proches de l'entrefesse. Ricky essaie de se détendre car l'appréhension le contracte. Mais les attouchements se font vite de plus en plus détendant. Bien protégé dans les bras de Jim, Ricky s'abandonne de plus en plus. Les doigts de Jim s'aventure dans son anus. La chair vierge est difficile à conquérir mais Jim adore cette épreuve. Autant le nageur brun de l'aquarium avait un anus accueillant et confortable, autant celui de Ricky est un défi qui demande quelques efforts.

— Ricky, pour que tu souffres moins, tu vas te mettre à genoux. C'est ça, maintenant baisse la tête et écarte les cuisses. C'est le meilleur moyen d'ouvrir ton anus en grand. D'ailleurs c'est comme ça qu'on fouille les prisonniers pour voir s'il n'ont rien caché dans leur intimité.

Ricky, guidé par les mains de Jim, se positionne parfaitement. Il laisse découvrir un superbe spectacle, un petit bijou de trou rose perdu dans un écrin de chair blanche laiteuse, lisse et très légèrement duveteuse. L'anus est tellement propre que Jim n'y tient plus. Alors qu'il comptait simplement cracher dans ses doigts et enduire de salive son sexe et l'anus de Ricky, il se précipite pour lécher la muqueuse. Sa langue pointue et ferme fore rapidement un passage et la salive s'écoule et humidifie les parois internes.

Ricky n'en peut plus, il tombe en pâmoison, c'est pour lui une délicieuse sensation. Jim en profite pour planter son gland. Au début il est le seul à pénétrer. Le visage de Ricky devient rouge et se congestionne, mais il sait que cette douloureuse initiation est en fait un moment fabuleux à passer. Maintenant la pénétration est profonde, Jim redresse le corps de Ricky et colle ses pectoraux et ses abdominaux contre son dos. Il plaque une main sur le ventre de Ricky et de l'autre lui caresse le sexe au rythme des pénétrations. Ainsi Ricky éprouve deux sensations qui lui arrachent des cris mêlés de douleur et de jouissance. Le paroxysme de ses sensations est atteint lorsque Jim jouit en lui. Ricky explose en même temps et son sperme éjecté se perd dans le bassin. Jim exténué par son effort se retire et s'allonge dans le rideau d'eau. Il masse doucement le bord de l'anus de Ricky pour lui faire oublier sa douleur. Ricky le prend comme une dernière gratification, un ultime acte d'amour. Il s'allonge à son tour et bientôt ferme les yeux. Sa respiration se calme et devient régulière, il s'endort. Par respect d'un bonheur aussi intense les autres couples s'éloignent silencieusement. Au "Gay Ride On", le bonheur et le respect d'autrui sont sacrés.

Jim en cinq années de recherches incessantes croit enfin avoir trouvé le garçon de sa vie. Le serrant dans ses bras, il s'endort à son tour dans la vasque, laissant l'eau bercer doucement ses rêves. Le "Gay Ride On" vient encore une fois de rendre heureux deux jeunes garçons.

 

Par Pedro en 99 gai-eros - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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