Partager l'article ! PUTAIN LE CHIEN ! ...je dois d'abord vous dire...: ...
L'homme ne fait pas de choix, il est obligé de se laisser guider par l’instinct de la bête( surtout qu'il est énorme !) et s’abandonne à ce plaisir envoûtant. Il n’y a pas de place pour la préparation ou l’anticipation de l’action , tout se passe par l’intuition, l’animal au fond de son âme ne se fait pas prier et prend le dessus, cela lui donnant une envie de jouir de cet instant unique et sans précédent. Il faut dire que chaque partenaire est unique en son genre et aucun ne se ressemble ce qui donne plus de piment à la copulation. |
Mon voisin a un mâtin de Naples
Le mâle arrive rapidement à la copulation proprement dite (qui dure quelques instants), puis à la phase d’« amarrage » (qui peut en revanche durer très longtemps).
Les chiens n'ont pas de prépuce; leur sexe est entièrement conçu comme le gland humain, rougeâtre et très sensible. Cette absence de prépuce s'explique par la faculté de leur pénis de rester caché dans la cavité pelvienne lorsqu'il n'est pas en érection. Au repos, la seule partie visible est le fourreau, qui est recouvert de poils. En érection, le pénis est pointu et son méat se résume à un trou circulaire. Autre caractéristique fondamentale : les chiens éjaculent dés l'érection et ne cessent d’ejaculer jusqu'à la fin du coït. Les chiens les plus gros peuvent émettre jusqu'à six fois plus de sperme que les hommes
Tant que le chien reste amarré, il convient de le garder calme pour l' empêcher de se faire mal par faire des mouvements brusques ou des tentatives (vaines) de se décrocher ce qui fait du dégât.
Le sexe du chien est pourvu d'un baculum, un os qui sert à l’érection. Lorsque le chien s’accouple avec sa femelle, la base de son pénis se met lentement à enfler. Lorsque le sexe est introduit, le chien cesse de bouger alors que son sexe poursuit son expansion jusqu'à ce qu'il soit impossible pour lui de se retirer. Cette phase du coït canin s'appelle l'amarrage. Le chien chevauche la femelle, la pénètre, et commence à faire des mouvements de va-et-vient (10 à 20). Puis, la base se son pénis formant une sortes de boule, il se retourne: les partenaires sont alors " collés " fesses contre fesses.
LE RECIT
Après mon passage chez Jean, j’avais acheté une web-cam que Paul se fit un plaisir de venir installer sur mon micro. Il en profitait au passage pour inscrire quelques adresses d’amis de sa connaissance qui aimaient les mêmes jeux que nous trois; il leur avait lancé des invitations au dialogue. Il avait aussi placé dans mes favoris quelques sites de photos ou vidéos. Il avait vu combien cela m’avait intéressé chez Jean.
Comme j’étais tranquille pour deux bonnes heures, Paul fit quelques essais de mon micro, il avait sélectionné un site de vidéos. Il avait ouvert quelques films assez courts de mecs qui se faisaient enfiler par leur chien. Je bandais d’enfer en matant avidement.
Pendant que Paul s’affairait debout devant l’écran, j’en profitais pour défaire son pantalon et le lui retirer. Plaqué contre le dos de Jean, j’avais ma queue coincée contre la raie de son cul. Je le masturbais lentement, buvant des yeux les films très hard qui défilaient devant nous. Mon jeune voisin glissait une main entre nous et guidait ma pine vers son anus me disant: «Prends-moi! J’en ai envie!» Comment résister à ces fesses tièdes contre mon ventre? Je m’agenouillais derrière lui, salivant abondamment son petit trou avant de l’enfiler à fond, puis de le pistonner à coups vigoureux. Il soupirait d’aise, tendait ses fesses à chacun de mes coups.
Sans perdre des yeux les films qu’il nous sélectionnait je lui bourrais le cul et lui me donnait des conseils: «Si tu veux avoir des contacts, connecte-toi dans l’après-midi ou le soir vers 22h... Tu verras sans doute Jean, il est souvent là, Justin aussi... Attends, on va voir qui est branché! Tiens! Justement Justin est là!...»
J’entends une sonnerie, il clique, je vois apparaître le visage de blondinet poupin, c’était Justin un sourire angélique aux lèvres il lançait: «Alors mon cochon de Paul! Encore en train de baiser? Vous auriez pu m’inviter!» Il était en jogging devant son écran; sa queue tendait le tissu. Sans autre forme de politesse, il sortit sa bite raide et se branlait devant nous, en précisant: «Je me branlais, seul, devant un film. J’avais envie d’une bite, heureusement Kim est là, il va me donner la sienne!»
Avec sa caméra, Justin plonge sur un gros chien, un mâtin de Naples de toute évidence, lové devant son bureau. Notre ami retire son pantalon, s’agenouille près de l’animal, entreprend de le branler. La bite rose pale sort de son fourreau de poil, Justin se penche, enfournant le sexe du chien à pleine bouche. Le pénis grandit et la boule prend forme. Justin pompe le sexe puis le lèche à grands coups de langue, avalant avec délectation le foutre de l’animal.
Paul et moi sommes très excités de cette séance en direct. Je lui défonçe le cul avec plus de vivacité, je sens monter mon plaisir et mon ami aussi. Il m’encourage: «Allez! Remplis-moi le cul! Donne-moi ton foutre! Vicieux! Regarde ce salaud pomper son chien! Allez! Vas-y, donne-moi tout!» Je me crispe et lâche une abondante giclée dans ses fesses.
Justin s’était mis à quatre pattes, Kim qui avait rentré sa pine dans son fourreau à grands coups de langue lui léchait le cul. Notre ami le branlait légèrement. Habitué, l’animal sans autre forme de procès le grimpait. La pine du chien cherche déjà le trou du cul offert. En s’enfonçant jusqu’à la boule, il se met à limer à toute vitesse. Notre ami s’exclame: «Oh le con, il m’a mis la boule! Ça va être un pied d’enfer!»
Paul, aussi excité que moi, m’enfile d’un coup. Je sens sa grosse pine me fouiller les entrailles, ses couilles claquent mes fesses à chaque coup de boutoir. Que c’est bon de me faire enculer en regardant l’autre vicieux se faire monter par son chien. Nous râlions tous les trois de concert. Sentant que Paul allait décharger, je tends mes fesses contre son ventre en serrant mon cul. Il me remplit de son foutre.
Lentement Kim se dégage du cul de Justin dont le visage crispé indique que c’est un peu douloureux. La pine du chien sort d’un coup, libérant un flot de sperme qui dégouline sur les cuisses de notre ami.
Je m’étais régalé autant du spectacle que de la séance avec Paul. J’étais heureux à l’idée des changements d’horaires qui m’avaient été imposés dans mon travail. Nous étions passés «en équipe» et j’étais du matin de 6h à 13h. Cela m’avait un peu ennuyé au départ mais je pensais maintenant aux après-midis libres que cela me laisserait. Ma femme, elle, travaillait jusqu’à 18h.
Dès le lendemain à 14h, je m’installais devant mon ordinateur. Paul était parti avec ses parents à la ville voisine pour faire des achats. Il m’avait proposé, en leur absence, de «surveiller» Nestor qui n’aimait pas rester seul, ni attaché. Je m’en étais réjoui. J’étais installé depuis 10 minutes que je vis «Juju vient de se connecter». C’était l’un des pseudos que Paul m’avait installés. Je lui lançai un appel.
J’ouvris ma cam et lui la sienne. À priori, il fut surpris que je ne sois pas un de ses amis connus. Un jeune gars d’environ 17 ans, cheveux blonds, bien en chair, au sourire engageant, le regard canaille, me saluait. Il était en short et tee-short très ample. En quelques mots je lui indiquais comment il se trouvait dans mes contacts. Dès que je lui précisai que j’étais un ami et complice de jeux de Jean et Paul, il sourit d’un air entendu. Il aimait les mêmes plaisirs que mes deux compères, il habitait à proximité de nous; il me semblait l’avoir croisé sur la route ou il circulait en vélo.
Je bandais et dégageant ma bite, me branlai devant la cam, lui demandant de faire pareil. Sans hésiter, il retirait son short. Une belle pine longue avec un gros gland superbe se dressait fièrement. Nous nous astiquions de concert, lentement, parlant de nos envies et moi, surtout de celle que j’avais de lui sucer sa queue avant de me faire enculer par lui.
Je m’étais mis nu, lui aussi, il avait plongé une main dans un tiroir pour en sortir une bougie très longue et très grosse, au bout arrondi. Il salivait le bout d’un air gourmand avant de la placer sur son anus pour l’introduire lentement, poussant jusqu’à entrer plus de 25 cm, l’air épanoui.
J’avais changé l’angle de ma caméra et appelé Nestor allongé à mes pieds. Je m’étais mis à quatre pattes. Dès que je lui astiquai la pine, il comprit que je voulais me faire saillir. Il me grimpait d’emblée, enserrant mes hanches dans ses pattes avant. Je guidais la pine du chien qui entra totalement d’un coup. Que j’aimais le contact de ses poils contre mes fesses, le sentir s’agiter conte mes cuisses; c’était vicieux et excitant d’être baisé par l’animal en rut et en même temps de me savoir observé.
Juju participait à mon plaisir et s’astiquait plus vigoureusement en me regardant. Au bout d’un moment, il me proposa de venir me rejoindre, j’acceptais de suite; en quelques mots, je lui indiquais comment arriver. Il était déjà venu chez Paul, il savait donc où j’habitais. Je fis descendre Nestor pour ne pas l’épuiser. Cinq minutes plus tard mon nouvel ami arrivait.
Je l’accueillais à la porte du garage, il était resté en short et tee-shirt, j’étais resté nu. Il entrait, me prenant d’emblée dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche. Avec un plaisir intense, je me régalais de dénuder son corps d’adonis à la chair moelleuse, de dévoiler sa poitrine imberbe aux tétons saillants, de libérer sa magnifique bite tendue dont le gland était encore plus impressionnant qu’en cam.
Nous nous embrassions à pleine bouche, nos corps plaqués l’un à l’autre, nos bites coincées entre nos ventres. Quel bonheur! Je roulais ses grosses bourses tièdes entre mes doigts légers. Je caressais son dos, ses fesses, son petit trou provoquant des frissons sur sa chair. Je m’agenouillais devant lui pour enfourner sa très belle queue à pleine bouche, le suçant avec délice.
Je rappelais Nestor, saisissant un tube de crème resté à proximité. Je lui enduisais le trou du cul, puis me plaçant derrière lui, je l’enculais lentement et demandai à Justin: «Jeune salopard, viens me prendre, j’ai envie de ta belle bite dans mon cul.» Il me léchait le cul, puis garnissant mon petit trou de crème, il posait son gland sur mon œillet. Malgré la crème, il força pour me pénétrer. Ma rondelle me faisait souffrir un peu mais la douleur rajoutait à mon plaisir. Enfin, il me prenait à fond, commençant à me pistonner. La douleur s’estompa rapidement pour laisser la place au plaisir. M’accrochant aux cuisses du chien, j’enculais Nestor au rythme de l’enculage de mon ami. Ouawhh! Cette bite qui me fouillait les entrailles à fond pendant que ma queue plongeait dans le cul chaud de l’animal, il en bandait lui aussi! Quel pied! Je sentais monter mon plaisir. Je prévins Justin, il accéléra, me pistonnant à grands coups. Soudain il s’immobilisa, les mains crispées sur mes hanches; je me libérais aussi dans le cul de Nestor. Je m’étais retiré du cul du chien, Justin se retirait avec précaution, je sentais quand même passer son gland.
Tous deux apaisés, nous faisions plus amples connaissances. Justin m’expliquait que bien qu’ils se connaissent depuis longtemps, Paul, Jean et lui avaient pu découvrir leurs plaisirs communs pour le sexe à l’occasion de dialogues sur internet où ils avaient pu déclarer leurs goûts communs pour l’exhibition d’abord, puis leur bisexualité à dominance homo, et enfin leurs jeux avec leurs chiens respectifs. Tous les trois pratiquaient le même sport, le tennis de table. Ils fréquentaient le même établissement scolaire, ce qui leur donnait le motif de se rencontrer facilement, hors de chez eux. Ils avaient ainsi élargi leur cercle intime axé sur le sexe.
Justin me narrait les plaisirs pris à la sauvette dans les WC du collège ou dans les vestiaires de la salle de tennis de table, ou ceux du terrain de foot, enfin, partout où ils se trouvaient tranquilles entre eux. Sachant que j’avais pratiqué ce sport, il me conseillait de m’inscrire au tennis de table qui manquait d’encadrement et de chauffeurs pour les déplacements en voiture lors de rencontres dans les villes voisines. Je sentais que sa proposition n’était pas totalement innocente.
Nous avions récupéré de nos ébats. Justin, qui n’avait pas été enculé, voulait être sailli par Nestor. Il se plaçait à quatre pattes, j’attirais le chien, le branlai un peu. D’emblée, par force de l’habitude, il s’agrippait aux reins de mon ami pour baiser ce cul offert, l’empalant d’un seul coup. Justin bandait comme un cochon! Je m’allongeais sous lui pour le sucer, lui offrant ma bite. Sous mon nez, je voyais le sexe du chien enfoncé dans le cul dilaté par la boule. Je massais la base du sexe de l'animal pour qu’il grossisse plus encore. Le chien, très excité, s’activait vivement; il devait remplir le cul de son foutre.
J’avais la bouche remplie de la pine de mon ami, je le suçais avec délice, il me le rendait bien. Le chien avait cessé de s’activer mais il continuait à décharger dans le cul accueillant. Je voyais les palpitations de l’embase du membre animal à chacune de ses décharges. Justin m’informait qu’il allait décharger, j’étais moi-même près de jouir. Je massais plus vivement les couilles de mon ami, aspirant plus fortement sa queue. Il libéra son foutre en saccades épaisses, je me régalais de ce foutre onctueux. Nestor s’était dégagé.
Nous éliminions les odeurs de nos plaisirs en prenant une douche rapide. Justin, avant de prendre congé, me demandait de passer sur Internet pour voir ses messages puis il me quittait après m’avoir gratifié d’un baiser brûlant et fait promettre de nous revoir souvent.
Quelle belle après midi! J’étais comblé!
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