Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 09:58

    Laissez, on s'occupe de tout !

 o

par CHARLES  gai-eros il y a dix ans ...déjà

 

J’avais intégré depuis peu l’équipe de rugby de l’école. Le coach était très content de moi et il voulait me voir intégrer l’équipe de championnat. Pour compléter mon dossier, je devais me présenter à la visite médicale d’usage. Un quart d’heure que j'attendais dans cette pièce morose. J'avais vraiment l'impression de perdre mon temps mais c'était vraiment une étape obligatoire. J’ai donc patienté!

Enfin, le secrétaire du médecin m’appelle et me désigne la cabine où je dois me déshabiller et d'attendre que l'on vienne me chercher. Je me retrouve donc dans une petite cabine comme celles des vestiaires à la piscine, avec un banc escamotable et un porte-manteau. En abaissant le banc, je verrouille la porte qui donne sur le couloir et l’autre qui doit donner dans le cabinet du médecin. Je suis un peu nerveux. Je me déshabille. Bien vite, je me retrouve en slip blanc. Je relève le banc et j’attends debout.

Au bout de cinq minutes, un docteur vient me chercher et m'emmène dans son cabinet. Je suis nettement rassuré en constatant que ce n’est pas un de ces vieux toubibs proches de la retraite. Il doit avoir 35 ans et est très sympathique. Il me pose des questions d'ordre général et sur mes antécédents de santé. Cette phase est vite terminée, étant donné que je suis en excellente santé.

— Venez par ici! me dit-il en s’écartant de son bureau où il a commencé à remplir mon dossier.

Je vais donc vers la balance. Il me pèse, me mesure. Ensuite, il me demande de m'allonger sur la civière et prend ma tension. Il place son stéthoscope sur ma poitrine pour écouter mon rythme cardiaque. Sa main glisse sur mon torse et je sens le froid métallique du stéthoscope. Après quelques secondes, il me fait me retourner sur le ventre et il termine cette partie de l’examen. Mon regard croise le sien et il me sourit. C’est certainement une impression mais, lorsqu’il me palpe les côtes, j’ai l’impression qu’il me «caresse» et qu’il y prend du plaisir. Je me dis que je suis stupide.

— Levez-vous, je vous prie! Maintenez vos jambes bien droites et touchez le bout de vos pieds.

Cet exercice est assez facile pour moi qui suis très souple. Il me le fait recommencer deux fois et se place derrière moi. Il palpe la ligne de ma colonne vertébrale. Je sens enfin son pouce qui glisse lentement tout le long de la colonne pour s'arrêter au-dessus de mon slip.

— Vous ne m’avez pas menti... Vous êtes en parfaite santé!

Je respire, soulagé d’apprendre quelque chose que je savais déjà. J’ai vraiment l’impression que la visite est terminée. Soudain, il me demande de retirer mon slip et m’allonger une nouvelle fois sur la table et il me pose des questions plus... personnelles.

Une fois allongé, il me palpe le ventre, toujours avec des gestes précis et méthodiques. Sa main droite glisse sur mon pubis et, comme je suis très sensible aux chatouillements, je m’agite un peu.

— Je vois que vous êtes très sensible.

— Effectivement!

— Bon, maintenant, écartez bien les jambes en levant les genoux!

Dans cette position, je me sens vraiment ridicule. Je lui montre mon cul d’une façon un peu osée.

— Fesses musclées! Excellent!

Il enfile des gants, qu'il enduit d'un liquide. Deux de ses doigts glissent dans ma raie.

— Mais qu’est-ce que vous...

— Désolé, c’est un moment plus difficile à passer, mais nul n’y échappe dans ce type d’examen! Ça n’est pas douloureux... juste gênant au début...

Ses doigts frottent le pourtour de mon anus puis commencent à s'introduire lentement. Je ferme les yeux. Je sens l'avancée régulière de ses doigts et il me demande d’écarter davantage mes cuisses pour faciliter son exploration. C’est effectivement désagréable... Je prends sur moi car je veux mon autorisation pour le championnat.

— Posez vos pieds sur ces étriers... Excellent! Aucune lésion... je vois que vous réagissez normalement!

Il retire ses doigts. Je suis soulagé jusqu’à ce qu’il prenne un spéculum qu'il introduit dans mon trou graissé. C’est froid et dur. Les deux branches écartent mon trou au maximum. Il a une vue complète de mon intimité. Il devine à mon air que je suis inquiet. Il me rassure.

— Je vais vous injecter un produit pour éviter la douleur.

La douleur! Quelle douleur? Pour quelle raison devrais-je ressentir une douleur? Il introduit une longue seringue dans l’ouverture de mon cul béant et injecte un liquide tiède. Au fur et à mesure que le produit coule, je sens une chaleur qui ne cesse de s'amplifier. Cet endroit de mon anatomie en devient le centre! Je suis presque gêné lorsque je me rends compte que la sensation est douce et agréable. Je suis rempli d’une onde de plaisir et je serre les dents pour ne pas gémir.

— Vous vous sentez bien? demande le docteur.

J’agite la tête, un peu honteux. Le docteur, la tête entre mes cuisses m'ausculte consciencieusement.

— Vous permettez un instant?

Il sort de la pièce, me laissant dans ma position ridicule et humiliante, avec un spéculum enfoncé dans le cul. Le temps me semble alors très long... Cinq à dix minutes! Où est-il donc passé? C’est incroyable! J’entends alors des bruits de pas et de voix qui annoncent le retour du médecin. Ce qui me rend à nouveau nerveux, c’est qu’il n’est pas seul! Il est accompagné par deux jeunes hommes, en blouse blanche également. L'un est le secrétaire qui est venu me chercher dans la salle d’attente et l’autre un grand type baraqué au sourire carnassier. Ce dernier a un look très soigné de jeune premier et se la joue un peu «nouveau médecin». J’essaie de me redresser mais le spéculum me fait mal.

— Ne vous inquiétez pas... Vous avez une «anatomie interne» si parfaite que j'ai juste voulu la montrer à mes deux jeunes collègues.

— Il n’y a rien de...

— Non, non, du tout! Au contraire...

Tour à tour, les deux jeunes types examinent mon trou écarté. Je suis en nage. Le jeune baraqué y pousse même un doigt pour mieux sentir ce qu’il voit. J’essaie de garder mon calme et je reste ainsi, les pattes écartées me laissant mater et fouiller l’anus par trois mecs. La honte absolue! À un certain moment, ils s'écartent et se mettent à discuter entre eux. Je m'impatiente.

— Ça... ça va être fini?

— Oui, bien entendu! Pas de souci... Je vais te retirer le spéculum mais...

Ce «mais» me foudroie, me crucifie...

— Mais?

— Mon jeune collègue a trouvé un minuscule polype (NDLR: petite tumeur bénigne molle attachée à une muqueuse) qu’il faut enlever!

— Il faut m’opérer?

— Non! C’est bénin et le traitement est simple... On peut faire ça tout de suite grâce à une technique naturelle... quoique un peu surprenante.

— Tout de suite?!

— Ce polype est très petit et il peut être supprimé par... usure!

— Usure?!

J’essaie de comprendre mais je suis trop troublé pour y parvenir. Le médecin reprend son explication et je suis effaré! Ce faisant, il me retire le spéculum et passe un doigt sur le bord de mon anus ouvert.

— Avec un sexe de taille raisonnable, on peut user ce polype en une seule séance.

Je dodeline de la tête. Je voudrais avoir mal compris. Je n’ai pas eu le temps de dire «ouf» que mes deux chevilles sont attachées avec des courroies de cuir. Les deux jeunes médecins ont ouvert leur blouse blanche. Le baraqué a un torse musclé et très poilu. L’autre est plus fin mais bien foutu également. Ils sortent leurs queues de tailles respectables.

— Eh oh! je ne suis pas un enculé, moi!

— Il n’est pas question de ça! De plus, tout ce qui va se passer ici restera NOTRE secret.

Le secrétaire est monté sur un tabouret et présente sa bite à l’entrée de ma bouche. Je détourne la tête mais le médecin me la redresse face à l’engin.

— C’est pour VOTRE bien, jeune homme! Pour que cette technique soit efficace, il faut que les bites soient bien dures. D’abord celle de ce monsieur puis l’autre qui est plus longue et large. C’est elle qui fera le plus gros du travail!

— Vous êtes des malades! C’est pas possible...

— Pas d’excitation... c’est très mauvais pour le traitement... Vous ne voudriez pas qu’on soit obligé de vous endormir...

Je panique vraiment à un tel point que ma vessie se libère et que je me pisse dessus.

— C’est normal! C’est une réaction normale... Laissez-vous faire... Laissez-vous aller!

Tout en me parlant, je le vois qui manipule des flacons et une seringue. J’angoisse à crever.

— Non, pas de piqûre! Je... je vais... merde...

Prenant sur moi, j'ouvre la bouche et la première bite prend possession de ma gorge. J’étouffe à moitié. C’est énorme.

— Il faut l’aider à gonfler, mon garçon!

Je me mets à pomper l’engin timidement. Je constate qu’en pompant la queue, c’est moins difficile à supporter et je continue mon travail avec plus d’ardeur. Le secrétaire gémit et le traitement a un résultat très efficace, car sa queue prend un volume de plus en impressionnant.

— Elle est bonne, Étienne! Vas-y! lui dit le docteur.

Il laisse la place à son collègue qui est déjà très excité et me fourre un engin deux fois plus gros. J'ai du mal à prendre son gland entièrement tellement il est gros.

— Je ne peux pas! C’est trop gros... Arrêtez!

— Allons, un peu de fierté...

— Je vous dis que...

La queue se plante dans ma gorge et ne me laisse pas continuer. Je respire difficilement. Le secrétaire est passé entre mes cuisses et il me caresse le trou.

— Allons... applique-toi... Suce l’objet de ta libération... Pompe le dard! Sers-toi du bout de ta langue!

— Bon je crois qu'il est prêt! dit le secrétaire.

— Bon, commence le traitement!

Le baraqué se retire de ma bouche. L’autre s’est positionné parfaitement alignée sur mon cul préparé. Sa queue est recouverte d’une capote et il s’approche de moi. Le contact avec son gland m'électrise. Il avance. Son sexe semble aspiré par mon cul béant.

Je ferme les yeux, persuadé de ressentir une grande douleur. Rien ne se passe! Je me souviens de ce qu’il m’a promis à propos de... la douleur... La queue disparaît dans mon fondement. Le secrétaire, encouragé par les deux autres, commence à me limer. Une fois pris complètement, je commence à ressentir une nouvelle onde de plaisir et j’ondule presque des hanches. Mes premiers soupirs se font entendre dans le cabinet. Les trois types me traitent de tous les noms.

— Oh oui, petite salope... couine bien en recevant la grosse bite...

— Petite pute, hein! Ça fait sa mijaurée puis ça réclame de la bite... des bons coups de bites...

— Tu vas être servi, mon cochon!

— Allez, couine... couine bien... Jouis du cul!

.../...

 

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Dans l’esprit de mes «violeurs», c’est clair... Je commence à prendre du plaisir! Ce qui m’angoisse le plus, c’est que c’est vrai. Je prends du plaisir en me faisant enculer.

On me détache les chevilles et on me soulève. Le médecin baraqué et poilu a enlevé tous ses vêtements et s’est couché à ma place sur la table d’auscultation. Je suis un peu perdu. Les deux autres me soulèvent à nouveau et me placent au-dessus de son bassin et de sa... Putain, l’engin! Trop occupé à subir les coups de reins de l’autre, j’avais un peu oublié cette grosse bite veineuse.

— Respire un bon coup! Tu entres dans la seconde phase de ton traitement! Nous allons te débarrasser de ta petite excroissance! me dit le premier médecin qui est franchement ridicule lorsqu’il ponctue ses actes de commentaires pseudo-médicaux.

Les cuisses écartées et le cul offert, je descends sur la bite du beau médecin poilu. Voilà même que je le trouve beau maintenant! Si j’étais pas pédé, c’est clair, je le deviens. Le gland commence son incursion dans mon trou bien lubrifié et progresse doucement jusqu’à ce que mes fesses touchent le pubis de l’enculeur. J’ai très mal et n’essaie pas de le cacher.

— Ça va passer! Comme tout à l’heure, il y a un moment d’adaptation. Ton anus est très élastique et il va se faire au calibre de mon collègue. Cambre bien tes reins, creuse ici... ça va aider l’accoutumance!

— Putain, je vais crever!

— Non! Force-toi un peu. C’est pour ton bien!

Ce conard me parle sans arrêt de mon bien alors qu’on est en train de me casser le cul. C’est un viol, point! Il est vraiment persuadé que c’est pour me soigner, l’enflure... Mon enculeur m’attrape les hanches et doucement il commence à s’agiter en moi. La douleur va encore s’amplifier pendant cinq minutes puis, Ô bonheur! je vais ressentir les premières sensations délicieuses d’une sodomie bien faite. Celui qui m’encule maintenant est, je vous le jure, un baiseur hors pair! Avec son engin démesuré, il parvient à me donner un plaisir dingue. Je comprends enfin pourquoi la sodomie existe!

— Vas-y plus fort!

C’est moi qui viens de parler. Il me sourit et donne des coups de reins plus vigoureux. J’exulte. Ces coups me font me courber un peu vers l’avant et ma tête est juste au-dessus de celle de mon enculeur. Je ne peux m'empêcher de répondre à son sourire, à poser mes lèvres sur les siennes et à l'embrasser avec passion. J’ai presque envie de lui demander si mon cul est «bon». Je sais qu’il l’est en voyant son visage extatique.

— C’est super! continue le médecin qui m’a ausculté. Le traitement est dans sa phase finale, jeune homme.

Il s’est placé derrière moi et mate mon cul qui se fait saillir. Mon premier enculeur se branle en regardant son collègue au travail.

— Fourre-le bien! Fourre son trou de salope...

— Faut qu’elle s’habitue à ce genre de pratiques... Dans les vestiaires du club, ça bizute pas mal! Il y en a quelques uns avec des gros manches...

J’écoute à moitié ces commentaires évocateurs sans trop de surprise. Les deux voyeurs sont maintenant derrière moi. Penché comme je le suis, ils doivent avoir une vision parfaite de mon petit trou du cul défoncé par la queue du poilu. Mes mains se plaquent sur ce torse si parfait et le caressent. C’est doux et soyeux! Le mec sourit à nouveau. Il doit apprécier. Ses lèvres se tendent encore vers les miennes et je réponds à l’appel. Au point où j’en suis, je veux faire les choses à fond.

— Tu entends? dit le médecin à son secrétaire. Ce bruit de succion c’est bon signe!

Oh, le con! Il se fait un de ces cinéma. D'un doigt, il essaie de se créer un chemin dans mon cul longeant ainsi la bite de mon enculeur.

— Parfait! Phase terminale! crie-t-il presque.

Là, c’est la surprise totale car je ne m’attendais guère à ça! Mon premier enculeur se colle contre moi, il saisit sa queue dans sa main et réussit à se faire un chemin le long de l’autre bite. Putain, j’ai deux bites dans le cul!!!

— Ça, c’est bon, hein? me demande le médecin!

Je suis encore trop gêné pour acquiescer mais il est vrai que je trouve cette sensation délicieuse. Être envahi par deux bites à la fois, c’est quelque chose d’incroyable! Moi qui étais vierge du cul il y a une heure encore... Je bande comme un âne et du précum me coule au bout du gland. J'ai l'impression que mon cul va éclater sous la pression des deux engins. J'ai eu un peu mal mais, là, maintenant je suis au septième ciel. Mes deux étalons commencent à synchroniser leurs mouvements et au total, c’est du bonheur pour chacun... même le voyeur!

Nos halètements s'intensifient sous les encouragements du médecin qui semble surveiller le bon déroulement des opérations sans vouloir y participer. Ce mec doit être impuissant et ne peut prendre son pied que comme mateur! Ce n’est pas le cas de mes deux enculeurs qui assurent parfaitement. Je sens leurs deux queues se raidir, annonçant l’apothéose: une double éjaculation!

— Putain, les gars, vous lui élargissez le trou super fort...

Le con! Comme si c’était un scoop! Deux bites de belle taille dans un trou vierge, ça ne peut faire qu’une chose: l’éclater, l’élargir...

À un certain moment, j’ai senti un de mes baiseurs qui se cambrait. L’autre lui a dit:

— Tu vas juter?

— Ouiiiii!

— Ensemble alors!

Et ce fut le cas! Ils quittèrent mon cul, me retournèrent sur le dos et larguèrent de concert un flot de longs jets blancs sur mon corps. Leur jouissance étant accompagnée de gémissements bestiaux!

— Il faut qu’il jouisse aussi! ajouta le docteur voyeur.

Le secrétaire empoigna ma bite raide et me branla avec force. Excité par tout ce que je venais de découvrir sur ma propre sexualité, j’ai joui à mon tour. Je n'avais jamais connu pareille aventure.

— L’intervention doit être réussie! Je crois que cela devrait aller.

Pendant que je reprenais mes esprits, ils réinstallèrent mes chevilles sur les étriers et le docteur m'examine une dernière fois. À l’aide d’une main gantée, il poussa un puis deux doigts dans mon anus élargi.

— Parfait! Nous avons un petit cul parfaitement en ordre.

Le poilu se pencha au-dessus de moi.

— Et alors? Honnêtement... tes impressions?

J’ai souri. Il s’est penché et m’a embrassé.

— C’est quand tu veux! a-t-il ajouté.

— D’acc! ai-je répondu.

Le docteur a remercié ses deux collègues, qui ont quitté le cabinet à moitié rhabillés. Le poilu s’est retourné avant de sortir et m’a souri encore une fois. J’ai su à cet instant que ma vie allait prendre un virage décisif et que, ce mec, ferait partie de ma nouvelle vie. Le médecin s’est dirigé vers son bureau et s’y est assis. Il était redevenu le médecin du début. Il ne fit plus allusion à quoi que ce soit.

— Je vous prépare votre certificat médical à l'instant. Tout va pour le mieux. Vous êtes apte pour le rugby... Rhabillez-vous!

Lorsque je suis sorti, dix minutes plus tard, j’étais un peu KO. Ma tête était remplie d’images obscènes et d’idées... lubriques!

Le lendemain, je suis revenu roder autour du centre médical dans l’espoir d’y retrouver quelqu’un... ça c’est une autre histoire...¤ (non, Charles n'a pas mis de suite ) 

 


Molière aurait-il fait mieux que Charles ?

Diafoirus dans le malade imaginaire

Sganarelle dans le Médecin malgré lui

Félicitation Charles on se bidonne !

 

 

Par charles be 2004 - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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