Dimanche 5 novembre 7 05 /11 /Nov 17:48

  couler un bronze : c'est un plaisir par le cul

Résultat de recherche d'images pour "a very big hot turd"

 

"El buen retiro":

Image associée se concentrer, vivre un peu d'intimité surtout si votre bureau, à côté,  est dans  un open-space avec plein de monde.

Image associée

...je laisse tomber ces foutus dossiers, là je ne pense qu'à moi !

Image associée

 

il est ...

Résultat de recherche d'images pour "a very big man's turd close up"

 

con celui-ci dessus de ne pas prendre son plaisir à chier !

Résultat de recherche d'images pour "gros étron d'homme vu de près" diplômé du plus gros étron il manque un anneau pour les JO, cet "anneau" c'est ton anus ! -lol-

Résultat de recherche d'images pour "gros étron dur" pour ceux qui savent(même pas) faire caca correctement 

  couler un bronze !  

Résultat de recherche d'images pour "big turd"  Image associée

    ce n'est pas sale si l'on pense à toute la bonne nourriture que tu as donnée à ton corps pour fabriquer ce bel étron qui vient de caresser ton terminal d'intestin. Difficile quand même de dire que ça sent bon...mais si c'est TA merde eh ben, par bien des moments, tu restes fier d'avoir "fait ton caca comme un grand".  

Le bon vieux jeune temps :

  Image associée  "Maaa-maaaan, j'ai fait cacaaaa" !  10 Solutions for when your child won't poop on the potty - Happy Hooligans

t'auras un bonbon ! We’re in the middle of bribing potty training our youngest. It’s sort of working. More family comics HERE! Also, please consider supporting me on Patreon. Thanks!

"Le jour où il a eu 4 ans, il s'est assis sur les toilettes et a fait caca comme s'il l'avait fait depuis toujours - ce n'était pas si important pour lui mais ça l'était pour moi -lol-. Mon conseil est de laisser faire, ils y viendront quand ils seront prêts, plus vous les pousserez, plus cela prendra de temps. Bonne chance !"

    Ces envies besoins qui n'attendent pas de savoir où on se trouve ! :

Image associée


Image associée

 

 

Résultat de recherche d'images pour "porn GIF man pooping in prison"

 

 

Image associée

  sur le terrain la honte 

  Résultat de recherche d'images pour "gros étron dur à passer" 

 

le plus bel "étron-qui-fait-du-bien-en-passant" est de la chaine Youtube de mazan68 

    Mazan c'est en Vaucluse...soyez fiers ! -lol-

 

Par ASHRAFF - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Dimanche 5 novembre 7 05 /11 /Nov 07:02

  skiziou-frene  surpris et atterré par ce que je lis. Serai-je capable plus tard de défendre mon bien, celui  que me confère le mariage ?   

La peur qu'un autre la baise ? Bof ! ça c'est même agréable. Non, mais la peur d'être définitivement éliminé, mis à la porte ! Je crois que je vais pas me marier !  

 

Bonsoir à tous, je viens vous raconter ma petite histoire.

Je vis avec ma femme (appelons-la Sarah) depuis quinze ans en région parisienne. Je suis commercial, et elle est prof en lycée. Sans me vanter, je pense avoir réussi à trouver une femme vraiment canon. Elle approche de la quarantaine, mais je pense que dans son établissement, elle doit en exciter plus d'un, collègues comme élèves... Brune d'1m75, Sarah est surtout une femme sûre d'elle, consciente qu'elle a des fesses superbes. On gagne pas mal notre vie, et comme elle est souvent libre l'aprem, elle passe beaucoup de temps à s'acheter des fringues qui la mettent terriblement en valeur.

Je l'ai bien cherché. C'est moi qui l'ai intéressée au candaulisme. Au début, elle n'était pas du tout tentée, elle me disait que je lui suffisais amplement. Moi, au lit, je lui parlais de tous ces mecs qu'on connaissait qui pourraient la faire jouir. Même si ça l'excitait, elle me disait qu'elle ne me tromperait jamais.

Et puis, un soir, mon petit frère Mathias (enfin mon demi -frère)  appelé pour qu'on l'héberge. C'est un peintre en bâtiment. Il y a un mois, son entreprise faisait faillite et il voulait aller tenter sa chance à Paris. "T'inquiète pas mec, je te repeindrai ton salon gratis !" a-t-il dit. J'ai évidemment accepté...

J'ai direct vu que Sarah lui plaisait bien, avec son petit pantalon slim et ses ballerines qu'elle portait pour l'accueillir. Lui, c'est le stéréotype même du mec viril: marcel et bien membré. Comme ma mère a refait sa vie avec un antillais, il a la peau mate, ce qui, je crois, fait craquer les femmes. Mais bon, je suis habitué à ce que les mecs matent ma femme.

Dans les semaines qui ont suivi, je me suis rendu compte que Sarah portait des tenues de plus en plus sexy. Du pantalon, elle était passée à la jupe, évidemment de plus en plus courte. Le pull informe qu'elle portait le premier jour laissait place à des hauts beaucoup plus cintrés... Plus décolletés aussi. Mathias ne manquait pas de le faire remarquer tous les matins, avec ses petites phrases,  : "C'est pour moi que tu t'habilles comme ça? Hmm, tes élèves doivent pas s'ennuyer, je suis jaloux..." D'ailleurs, à chaque fois qu'il faisait la bise à ma femme, le matin, il n'hésitait plus désormais à frôler ses hanches et ses fesses. Je ne m’en rendais pas tout à fait compte, mais Mathias prenait petit à petit possession de la maison. Il n’hésitait pas à se mettre torse nu pour repeindre notre salon (comme promis), et balançait généralement son marcel sur mon bureau.

J'étais con ! Alors que notre lit devait déjà être plein de sperme séché et de mouille, un soir, trois semaines après l'arrivée de Mathias, pendant que je faisais l'amour à ma femme, j'ai commencé à lui parler de mon frère.
-Alors, t'as vu comment il te mate Mathias?
-Tu crois? m'a-t-elle répondu d'un tout faussement innocent
-T'as vu comment ton petit cul l'excite?
-Hmm... Oui, peut être...
-Fais pas l'innocente, tu fais tout pour le rendre dingue...
-Hmm... souffla-t-elle encore en se laissant faire
-Il te plait Mathias?
-Hmm... Un peu... Il est bien foutu...
-Juste un peu? T'aurais pas envie qu'il te prenne? Que ce soit sa main et pas la mienne qui te caresse en ce moment?
-Hmmmmm... Continue
J'ai donc continué à lui parler de Mathias qui la prendrait dans tous les sens pendant des heures. A la fin, Sarah, qui ne cachait plus du tout son plaisir, gémissait "Oh oui, Mathias..."


A vrai dire, je pensais que pour Sarah, c'était simplement un fantasme parmi tant d'autres qui ne se réaliserait jamais, comme tous ceux qu'elle avait déjà eus.

 

SARAH a même tenté de résister (oh mais pas longtemps)

 

et Sarah n'a jamais eu honte !

    Ok honey, one last look at my tits before the Niggers get here. Next time you see them, they’ll be bruised, cum covered, and ready for your to lick clean.

 

Your wife's lover comes over anytime he wants. What can a white boy do?

 

This is how your wife needs it

                       Sacrée barre de chocolat !     s'il n'y a pas la flèche,  CLIQUER "LECTURE" POUR VOIR COMMENT IL LA BAISE                                                     

 

Big strong powerful black man fucking your wife

  A former child actress falls from grace, becomes a crack whore, goes to jail, and becomes the laughing stock of mainstream America. Then she finds Nigger Cock. Redemption! 

 

The proper way for a white whore to greet a Nigger.

 

Honey, just look at how big this Nigger’s cock is… Half of it is still in my tiny white pussy! Crawl over here and give the Nigger cock a lick or two and see for yourself.

 

 


Mais c'est le lendemain que tout a commencé à dégénérer.

  Mademoiselle étant trop crevée à cause de sa folle excitation de la nuit, c'est moi qui me suis levé pour éteindre l'alarme de son portable. En bon mari bien curieux, je suis alors allé faire un tour dans sa messagerie. Le dernier message de mon frère datait de la veille dans la matinée, et disait ceci: "Ma belle, tu portes quoi pour exciter tes élèves? Moi je suis à poil sur ton lit, je pense à toi..."

Ni d'une, ni de deux, je suis allé réveiller Sarah et lui ai montré le texto. Endormie, elle m'a directement répondu :
-Ben oui, qu'est ce que tu veux que j'y fasse si je l'excite?
-Enfin quand même, qu'est ce qu'il fout à poil sur notre lit?
-J'en sais rien, c'est ton frère après tout, pas le mien... J'allais pas fermer la porte de la chambre à clé, je ne connais pas les fantasmes de ton frère moi!

Le ton est ensuite un peu monté, puis, excédé, je suis parti au boulot. Vers 17h, j'ai reçu un sms de ma boite de messagerie qui m'indiquait que j'avais reçu un message vocal. Je vous le retransmets ici, même s'il n'est peut être plus tout à fait exact:
-Salut frangin, c'est Mathias! Je suis avec Sarah!
-Coucou mon chéri, fit la voix de ma femme, un peu plus loin
-Bon, mec, j'ai appris que tu fouillais dans le portable de ta meuf. Ca, c'est pas bien. Je pense qu'il faut te punir. Hein, t'en penses quoi ma belle, il faut le punir?
J'ai alors entendu un bruit mouillé, comme des lèvres qui s'embrassent
-Oh oui mon Mathias, il faut le punir!

J'entendis alors à nouveau la voix de Mathias, triomphale:
-Ok frérot, je sais que t'es pas trop con et que t'as remarqué qu'on se plaisait, ta femme et moi. Hein ma belle?
*nouveau bruit mouillé*
-Hmm oui mon beau mec bien foutu...
-Et t'aimes quoi d'autre chez moi?
-.....Tu le sais bien, reprit ma femme, gênée
-Dis le moi... Dis le à ton mari au téléphone.
-Ta... ta bite
-Tu veux dire ma bite de demi black?
-Oui, celle la... répondit ma femme, qui commençait à gémir. Ta belle bite de black
-Oh mais t'as rien sous ta jupe!
-Non..Hmm... J'ai pensé...Hmm... Que ca te ferait plaisir
-Mais t'es une petite salope!
-Hmm.. Oui je suis ta salope!
-Ma petite salope de femme infidèle?
-Oh oui!
-Où est ce que tu la veux ma petite chienne?
-Partout...Partout, tu m'excites trop mon chéri
-T'as pas l'habitude avec ton cocu de mari?
-Oh ouii.. Oh oui...Mmh non mon mari il a pas ta belle bite de black chéri!!

-Bon frérot, je crois que t'en as assez entendu, reprit mon frère, qui haletait pendant que ma femme hurlait près de lui. J'ai une meuf à satisfaire moi...
Derrière lui, j'entendais : "Fous la moi dans mon petit cul j'en ai envie!!"

BIP. FIN DES MESSAGES.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

20h. Je viens d'arriver chez moi. La voiture de ma femme est là aussi. Apparemment, elle aussi est bien à la maison. Je suis toujours sidéré par ce que j'ai écouté. Je suis en colère évidemment, et aussi, malgré moi, un peu excité. Allez, il faut bien y aller. Je pousse la porte d'entrée.

Là, en face de moi, contre le mur, je tombe sur ma femme et Mathias. Lui est en boxer. Elle porte une guêpière et un petit string dont je n'avais même pas connaissance. C'est elle qui est contre le mur. Elle a ses bras autour de son cou pendant qu'il lui malaxe les fesses. Il se frotte à elle, pour lui montrer qu'à travers son boxer, sa bite en redemande. Après quelques secondes, les deux amants qui s'embrassent comme des damnés daignent me regarder.
-Ma petite salope chérie, regarde qui est là...

Moi, j'essaye de reprendre mes esprits mais je suis un peu perdu. Je réussis finalement à gueuler :
-Mathias, je veux que tu dégages d'ici ce soir!

Mon demi frère, entre deux baisers, commence à se marrer.
-T'as rien à dire, frérot, dit-il d'un ton très calme. Ma petite chérie infidèle veut que je reste.

Comme pour confirmer ses dires, Sarah passe la main dans son boxer, sourit et lui caresse doucement les boules.
-Mathias...J'ai envie de toi mon coeur.

Mathias passe une main entre ses jambes et dépose un baiser sur ses seins.
-Bientot ma petite chienne…
Puis il me regarde et ajoute:
-Franchement, t'as mis une semaine à capter? Ton canapé et ton lit de cocu sentent le sperme et la mouille de salope de partout... Ta meuf est une reine avec son petit cul... Enfin ma meuf maintenant.

Je le regarde, sans comprendre

-Frérot, c'est ma femme jusqu'à ce que je décide de te la rendre. Si ça arrive un jour... Tu l’appelleras maintenant madame Mathias et pas autrement.

Sarah se frotte à lui et commence à l'embrasser dans le cou.

-Bon ma femme me réclame. Le repas est pas encore prêt. Il a intérêt à l'être dans 30minutes, le temps que je la prenne de partout ma chienne adorée. Au fait, c’est toi qui lui as payé cette lingerie sexy cet après-midi, en bon petit cocu que tu es. On est allé l’acheter comme un joli petit couple qui se pelote et qui s’embrasse toutes les cinq minutes, à me foutre une trique d’enfer. Hein ma chérie ?

Sarah sourit et commence à gémir doucement.
-Oh mais c’est que ce souvenir te fait bien mouiller on dirait… reprend Mathias.
Il prend alors ma femme par la main et la guide vers l’escalier, non sans poser une deuxième main sur son cul, pour signifier qu’elle lui appartient totalement. Avant de monter, mon demi-frère se tourne vers moi et ajoute :
-Evidemment, interdiction formelle de pénétrer dans ta chambre de cocu. Enfin dans ma chambre maintenant… Je vais essayer de pas faire trop de bruit quand je défoncerai le petit cul de ma femme toute la nuit, mais je te promets rien… Demain matin, je te laisserai rentrer dans la chambre, pour que tu viennes nous apporter le petit déj. Tu prendras aussi mes boxers pleins de spermes et ses strings mouillés pour les laver. Comme ça tu comprendras ce que c’est de baiser une meuf, mon frérot cocu.  

 


Je n’ai pas revu ma femme de ma soirée. Après les avoir vus monter, j’étais resté là, comme un con, pendant plusieurs minutes. J’avais finalement rejoint le salon et regardé des conneries à la télé. Et dire que ma femme devait s’être fait prendre pendant toute la semaine à cet endroit… J’ai même retrouvé une capote usagée, entre les coussins.

Je ne voulais pas m’abaisser à faire à manger pour mon frère, quand même. Il me restait un semblant de fierté. Je me suis fait des pâtes puis je suis retourné à la télé. Au-dessus de moi, j’entendais des cris, des gémissements à n’en plus finir. J’entendais assez clairement les « Oh ouiiii » de ma femme. Ca me coûtait de l’avouer, mais elle n’avait jamais crié aussi fort.

Au bout d’une heure, j’ai entendu des pas dans l’escalier. C’était Mathias qui descendait… Dans mon peignoir. Il l’avait fermé, mais pas entièrement, juste assez pour qu’on voit qu’il bandait comme un malade. Quand il m’a vu sur le canapé en train de manger mon plat de pâtes, il m’a regardé en souriant, l’air de dire « Je te plains quand même ».
-T’inquiète mon petit frérot cocu jusqu’à l’os, je reste pas… Ma petite chienne de femme et moi, on n’a pas fini de baiser ce soir.
-Putain Mathias, arrête de parler d’elle comme ça quoi !
Mathias, debout à quelques mètres de moi, avait vraiment la posture du mal dominant.
-Mais mon petit cocu, t’as toujours rien compris ? Elle en redemande à chaque fois cette petite chienne, elle aime ça… Allez, ciao !

Voyant qu’il s’en allait dans la chambre avec du vin, des fruits et mon plat de pâtes, j’ai tenté de reprendre ma position d’homme en lui disant :
-Putain, c’est ma bouffe, mes pâtes, alors cuisine au moins toi-même, je vais pas tout te donner non plus !
Là, Mathias m’a regardé avec une expression particulière. Un mélange de rire et de pitié.
-Mon petit frérot, arrête. T’as vu, tout est à moi là, maintenant. Tes pâtes comme ton peignoir. Et maintenant, je vais baiser ma femme sur mon lit pendant toute la nuit…

Puis il est reparti. Je crois qu’il a fait exprès de faire encore plus de bruit avec Sarah par la suite. Pendant toute la nuit, j’ai entendu ma femme qui gémissait et qui criait des « C’est trop bon, mon chéri, prends moi encore… » Mathias continuait à l’insulter, lui disait : « T’en veux encore, ma salope ? J’ai jamais vu une salope comme toi, tu le sais ça… ». Ce à quoi Sarah répondait en criant : « Oh oui je suis ta salope ! ».


Inutile de vous expliquer que le lendemain, j’avais relativement peu dormi, sur le canapé où ma femme et son amant avaient dû baiser une dizaine de fois pendant la semaine. Vers huit heures, quand j’ai commencé à émerger pour me faire du café, j’ai à nouveau entendu quelqu’un descendre l’escalier. Cette fois, c’était Sarah, dans son peignoir. Les cheveux complètement décoiffés, elle avait l’air de la femme fatiguée mais heureuse. Inutile de vous dire que quand on s’est vus, l’atmosphère s’est tendue d’un seul coup. Pendant près d’une minute, je crois qu’on a tous les deux été silencieux, jusqu’à ce qu’elle rompe finalement cette pesante absence de paroles :
-Ecoute, tu m’avais toujours dit que ça te faisait fantasmer, toutes ces histoires de tromperie et tout…

Je l’ai regardée, un peu incrédule.
-Ben oui, ça m’excitait. Mais des tromperies voulues par nous deux. Te taper mon frère sans que je le sache, c’est différent putain !
Sarah, l’excitation sauvage de la veille ayant disparu, avait quand même l’air de s’en vouloir.
-J’y peux rien ! J’y peux rien ! m’a-t-elle dit. Mais il me fait tellement de bien ! Il me baise tellement bien que j’ai pas pu m’en passer ! Je peux pas lui résister !
-Donc… Donc tu vas pas arrêter ?
-Je peux pas… m’a-t-elle glissé dans un souffle. Et puis… Et puis… Avoue que ça ne te laisse pas indifférent. Sinon t’aurais gueulé hier soir, au lieu de jouer à la lopette.

Touché. Même si j’avais du mal à l’admettre, j’étais malgré moi excité par la situation. Ca, ma femme l’avait compris. Elle poursuivait :
-Ca ne t’excite pas un peu d’imaginer que ton demi frère me prend et me fait jouir comme tu le pourras jamais ?
Aucune réponse de ma part. C’était un aveu de faiblesse.
-D’imaginer sa belle bite de métisse dans mon petit trou…. Reprit Sarah en murmurant.

C’est à ce moment là que Mathias est descendu, toujours dans mon peignoir. Il a pris Sarah par la taille et l’a attirée contre lui en l’embrassant dans le cou. On voyait bien qu’il bandait déjà violemment. Sarah, elle, me regardait en souriant légèrement, l’air de dire « je suis sûr que ça te plaît en fait ». Elle se frottait doucement à son nouvel amant.
-Ma petite chérie… a fait Mathias, dont la bite semblait encore grossir, je veux que tu montres à ton gros cocu de mari un de tes talents qu’il ne connaît pas vraiment. Je veux que tu me suces maintenant, devant lui. On va le punir pour ne pas nous avoir préparé de petit déjeuner…

C’était quasiment un ordre qu’il lui donnait. Je sentais Sarah complètement excitée par mon frère : je découvrais apparemment une femme qui aime être soumise. Elle a rapidement ouvert son peignoir et s’est agenouillée pour le sucer. Moi, elle me l’avait très rarement accordé. Mais elle était pourtant là, à côté de moi, et je la voyais s’appliquer pour satisfaire Mathias : sa bouche avalait littéralement l’imposante bite de mon frère, et ses mains lui malaxaient les boules avec envie.
Tout fier, Mathias me regardait en souriant.
-Alors frérot, tu savais que ta chienne de femme suçait comme une reine ? Je suis sûr que non, hein ma petite cochonne ?
-Hmm… Non, je le suce jamais… a fait Sarah.
-Pourquoi ? reprit Mathias. Vas-y, dis le nous !
-Hmm… Parce qu’il me fait pas assez jouir.
-Il le mérite pas ?
-Hmm..Non mon chéri.
-Continue à me sucer comme une salope ma belle, pendant que ton cocu de mari me sert mon café…

Je me suis exécuté, pensant que ça ne servirait à rien de créer un conflit inutile. Pendant ce temps, ma femme suçait toujours divinement Mathias. Au bout de quelques minutes, il l’a interrompue.
-C’est bon ma petite salope, tu m’as bien gâté ce matin. Il faut encore qu’on discute de quelque chose avant que ton gros cocu ne parte travailler. Couche toi sur la table…
Encore une fois, ma femme a bien obéi à l’ordre de son amant. Il lui a enlevé son peignoir et, entièrement nue, elle s’est couchée sur la table, les jambes bien écartées.
-T’as bien mérité une récompense pour m’avoir si bien sucé devant ta grosse lopette de mari, a fait Mathias.

Et il a directement foutu sa grosse bite dans la petite chatte de ma femme, qui a poussé un petit cri de surprise et de jouissance. Il l’a pilonnée violemment. Le but n’était pas de lui faire l’amour mais bien de la baiser, de la faire jouir. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle criait déjà des « Oh ouii c’est bon ! », Mathias a encore voulu m’humilier :
-Ma petite salope, tu sais quoi ?
-Hmm oh oui ! Non mon…mmmh Mon chéri !
-Ton mari pense que t’aimes pas être traitée comme une pute !
-Hmm.. Pourtant j’en suis une ! Oooh… C’est trop bon !
-Continue ma salope, dis le à quel point t’en es une !
-Hmm je suis ta salope à toi… Je veux que tu me prennes partout et tout le temps… Ooooh je suis ta chienne mon amour !
-Redis le, je kiffe ça et ton gros cocu aussi !
-Je suis ta petite pute mon amour ! Baise-moiii !
-Et t’aimes ça hein ma salope ?
-Je peux plus me passer de ta bite tu le sais !! Oohh mmh j’en peux plus ! Je vais tout mouiller !
-Ta petite lopette va nettoyer ! Maintenant je vais te faire jouir comme la salope en manque que tu es !
-Ohhh ouiii Mathias chéri…

Mathias l’a pilonnée comme jamais en la traitant de salope, en lui caressant les seins pendant qu’il la pénétrait comme un malade. Sarah a alors eu un putain d’orgasme, à réveiller tout le quartier. Une fois tous les deux calmés, Mathias m’a à nouveau adressé la parole :
-Maintenant va travailler petit cocu, pendant que je baise ma femme toute la journée. Branle toi bien en pensant à nous, je sais que t’en crèves d’envie. Ce soir ma femme et moi on va aller en boîte. Tu seras notre chauffeur, et peut être même qu’on te laissera voir deux ou trois trucs… Si t’es sage, petit cocu.


Mathias et Sarah ne se sont alors plus intéressés à ma présence. Dix minutes plus tard, alors que je quittais la maison, il la faisait à nouveau jouir comme une salope dans ce qui était maintenant leur chambre.¤  

 

 

 

 

 

   

 

 

 

Par FREROT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Dimanche 5 novembre 7 05 /11 /Nov 01:24

     Image associée j'ai quelques soupçons sur des gars qui avaient envie de moi, ça c'est clair, ils m'ont d'abord dragué au cours des derniers mois, m'avaient  touché les parties sexuelles en rigolant au bar du foyer.Y en a un en particulier qui m'a caressé le cul en plusieurs occasions jusqu'à réellement me troubler. Je crois que si une meuf m'avait fait ça, ça m'aurait troublé pareil. Mais je suis pas gay et ça les fait marronner. De cette fête y a eu un avant et un après . Croyez-moi je vais pas aller cafter à la police ou voir un docteur pour le constat  de viol aggravé, car c'est ça ! Mais j'ai aucune haine. Je -mon cul plutôt- digère leur sperme tout seul. Dire que ça m'a changé ? je sais pas. Sans m'en souvenir exactement, je sais que j'ai pris leurs pines et leurs jutes dans mon cul puisque ce dernier puait le foutre. J'ai idée de jouer l'hétéro retourné pour voir ceux qui se laissent tenter et se découvrent être les auteurs. En fait j'ai une espèce de syndrome mental : comme je l'ai pas vu faire -même pas peur- je voudrais revoir ce" rêve" en vrai jusqu'à me laisser posséder par mon /mes violeurs.

Une chose me questionne lourdement c'est pourquoi j'ai pas envie de les baiser moi-même pour me venger, enfin quoi, prendre une revanche ? Y avait notamment une lesbienne qui voulait me persuader d'être gay :  

Image associée

  En fait j'apprécierais qu'ils m' nous aient filmé. Clairement ils l'ont fait -grâce à la drogue-ils ont fait de moi ce qu'ils ont voulu, ok, ça oui, ok, mais eux ils ont vu si je bandais, si j'avais du plaisir ? et ça me torture de pas savoir.Si j'ai gémi, si j'ai dit des conneries, si je les ai encouragés à me violer, ça veut dire que je suis pédé moi aussi. Et ça je le sais pas. Je voudrais qu'ils sachent, qu'ils comprennent que je les dénoncerai jamais, et qu'ils détiennent une vérité sur moi que je voudrais connaître.  

 la fête et son lendemain (certaines images se laissent docilement cliquer):         

Image associée Image associée

Image associée Image associéeImage associée Image associée Image associéeImage associée ce que j'ai trouvé avec ma migraine *  dans le lit à mon(triste) réveil : un blister vide de comprimés sans marque, une mini poire d'injection rectale et ce j'en ai déduit et imaginé :

  Image associée   Image associée Image associée     Image associée moi je crois que le premier cocktail au bar

m'a déjà été 'fatal' et qu'ensuite il m'ont fait marcher jusquà ma chambre en disant aux autres que j'étais fin saoûl. Puis là ils m'ont mis la totale, même en piqûres...y a des étudiants en médecine parmi eux  

Image associée  Image associée      Image associée             Image associéeImage associée au réveil je coulais du sperme par mon cul, je puais le foutre. C'est con ! j'aurais voulu "être là" au lieu d'être "ensuqué"quand ils m'ont fait ça !   

Turkey Baster Meat Chicken Poultry Tube Bbq Syringe Pipe Kitchen Pump Beef New  les "chems", la chimie est à la base de ce genre de pb. 

    à mon réveil, près de moi, j'ai trouvé ça : .Résultat de recherche d'images pour "small empty blister of tablets"     si c'est moi qui ai été forcé d'avaler tout ça ...???     

témoins :Eh bien, je suppose que j'ai reconstitué le reste de l'histoire maintenant. Un détail majeur manquant à ce sujet est le fait que j'ai dès le départ pris  deux doses de E(ecstasy) plutôt que une seule : une à la maison, l'autre à la fête. Mon ami m'a rappelé que "je ne pensais pas que ma première dose prise pendant que nous étions à la maison faisait quelque chose".

Donc oui, deux E dans mon système apparemment me rendent gay comme un phoque ! Mon ami dit qu'il m'a vu allongé avec les gars à la fête, je racontais des conneries qui faisaient rire tout le monde. Donc il y a 99,9% d'assurance que personne ne m'a baisé dans ces moments-là (et lui dit qu'il aurait donné un coup de pied au cul à quiconque aurait essayé de le faire sans  préservatif). Apparemment, la plupart des conneries que je racontais avaient un auditoire, et d'après lui ça a duré presque toute la nuit et ensuite il m'a vu sortir avec au moins deux gars.QUI  ?? Là, le doute persiste. J'ai demandé si j'avais l'air saoûl et "HS" et il a ri de moi. Il m'a dit que j'avais l'air bien allumé et que je semblais clairement être en possession de tous mes moyens en vue d'une belle baise si ça se présentait.

Donc, oui, il va rester la question de consentement si on est ivre et si deux doses de E suffisent à anihiler toute la volonté...une dose de E ça va, bonjour la fête lucide -lol- ; deux doses de E bonjour les dégâts ?   et bonjour l' orgie gay non consentie ?
 
 Je persiste à croire qu'on m'a fait prendre d'autres drogues en plus, du GHB c'est possible à cause de la perte de mémoire. Gâchis de plaisir si vous me comprenez...   

 

 indices :  La fête de ce week-end a commencé pour moi avec  deux amis qui se sont révélés être plutôt homosexuels (la fête, mes amies filles l'ont quittée tôt). Pendant que la nuit passait, il devint clair que c'était surtout des hommes homosexuels qui restaient sur place et en "éveil". Comme je l'ai dit j'avaii pris un E avec mon ami plus tôt dans la nuit, mais cela ne semblait pas vraiment faire effet. Mon ami m'a présenté à celui qui recevait et je suis monté m'allonger dans sa chambre à coucher en forme de loft afin de pouvoir boire un peu plus. Je suis assez ouvert d'esprit, donc être en compagnie de gars homosexuels ne m'a pas dérangé. L'hôte et ses amis étaient vraiment gentils et semblaient savoir comment faire la fête. J'étais en train de passer un bon moment et d'être vraiment schlass. Je me souviens que plusieurs gars m'ont apporté des boissons et fait fumer du chit alors qu'ils étaient nus dans le bain à remous. Après le bain à remous tout est flou. Je ne fume généralement pas (mais je me souviens toujours de ce qui s'est passé quand je suis ivre), alors je pense que peut-être quelqu'un a ajouté quelque chose à ma boisson  ou que mon organisme a eu droit à un mix de choses différentes propres à annuler ma volonté.
Quoi qu'il en soit, je me souviens d'un gars qui disait qu'après cette nuit je ne serais plus capable de savoir qui j'étais ni de dire mon nom. Ca m'a énervé et je lui ai demandé de dire les choses en face : il venait de raconter qu'il m'avait vu sucer un mec. Il a maintenu qu'il m'a vu faire une fellation à quelqu'un dans la salle de bains. Pure calomnie. J'ai pris la panique en entendant cela, car, comment m'en déendre ? et je suis retourné dans la chambre où je voulais rester pour me coucher. Je me souviens d'avoir rencontré plusieurs gars au lit avec moi et nus, un très grand lit. Pour autant que je puisse le dire, ils parlaient tous des uns et des autres et surtout de moi qui étais "hétéro" têtu. Parmi eux il se pouvait bien qu'il y ait les auteurs de mon viol.      

Là les choses se précisent un peu : J'ai un autre souvenir de deux gars qui se battaient (je pense que l'un a vraiment frappé l'autre d'un coup de poing). Je me souviens qu'un des  mecs racontait à l'autre qu'il devait me laisser tranquille et que j'étais trop fatigué pété pour baiser ! Le mec qui m'aidait à me tenir debout (?) N'était pas là quand je suis arrivé plus tard cette nuit-là, mais je me souviens distinctement de l'autre gars qui faisait quelque chose dans mon cul. Je suis honnêtement pas sûr s'il m'a baisé, mais quelque chose s'est bien produit. Je me souviens d'avoir aimé ce que je ressentais, mais cela aurait bien pu être l'effet de l'E qui nous rend tout ce qui arrive heureux et naturel.

Je me suis réveillé le lendemain nu avec *"la mère de tous les maux de tête"(hihi). Mes camarades sont venues chercher  de mes nouvelles et je leur ai parlé de ce qui s'est passé. Ils étaient complètement dégrisés et disent que j'ai été violé. Ils font vraiment pression sur moi pour aller aux flics ou la thérapie ou autres choses pas discrètes. J'ai l'impression de pouvoir dire que j'ai été violé, mais c'est aller un peu trop loin, rien ne prouve qu'au fond de moi je n'en avais pas envie. D'après ce dont je me souviens à peine, au moins certaines des choses qu'on m'a faites étaient agréables jouissives. Je ne me souviens sincèrement pas si j'ai donné mon consentement ou non. Cela me dérange d'imaginer que j'aurais donné à un gars une turlutte sans me souvenir, mais quand je pense à cela, je constate que, si je n'ai pas le début, j'ai la fin de l'histoire avec le sperme dans le cul, je ne suis pas aussi fou que je le pense et ça me permet de penser que je suis différent maintenant. Les témoins ont insisté en mentionnant quelque chose avec mon cul et tout ça fait encore penser au viol dans son ensemble : 1) Je me suis douché  2) J'ai au moins un bref souvenir d'avoir aimé ce qui s'est passé 3) J'ai très bien pu dire oui à ce mec 4) il y avait un gros pot de préservatifs à cette fête et les gars venaient en prendre. Pourquoi moi m'aurait-on baisé  sans protection ?   (je ne peux plus espérer que non ! ) pour me laisser m'interroger ?  Et puis, mon cul devrait me faire mal. Même pas; saigner ? pas du tout. Juste une gêne minime et mes fesses qui glissaient anormalement l'une sur l'autre comme quand on est savonné...   
 
De toutes façons, des questions. Pensez-vous (en fonction de ma mémoire défaillante) que je devrais m'inquiéter de savoir si j'ai été violé ? Je ne me sens pas du tout violé. Je suis vraiment davantage effaré plus sur le fait que j'avais au moins eu un "plan" sexe gay et que j'ai aimé. Pensez-vous que je devrais essayer de faire appel à quelqu'un de la fête pour leur demander ce qui s'est passé? Je ne suis même pas sûr de faire confiance à leurs souvenirs car tout le monde était assez saoul. Pensez-vous que je devrais essayer de trouver le  mec  qui sait le mieux ce qui s'est passé, à savoir l'auteur ?

Tout à coup, le diagnostic de VIH n'est pas amusant.  "

Certains commentateurs ont discuté si j'ai donné mon consentement et n'ai  pu me souvenir. PLusieurs disent, cependant, ont reconnu que quelqu'un sous l'influence de la drogue ne peut pas donner son vrai consentement, tandis que d'autres ont souligné que mon (mes) partenaire (s) sexuel (s) potentiel (s) ont également été sous l'influence de la drogue. Ca rend pas les choses plus claires ou plus faciles.

On peut résumer les événements en cours :


D'accord, j'ai pu commencer ce médicament. Il s'est avéré être plus qu'un seul médicament, mais ils m'ont donné un paquet. C'était un peu trop flou à la con puisque l'endroit où je suis allé ne l'avait pas et manquait d'informations au départ. J'avais supposé qu'ils leur donnaient l'information de ce que je cherchais. J'ai fini par avoir à raconter au gars là-bas et c'était plutôt embarrassant (le premier endroit que j'ai pu expliquer par téléphone et c'était une femme).
  

Je préfère penser ne  pas avoir été violé (même si je suis d'accord, c'est une bonne idée et c'est rassurant de prendre le médicament). Je dois revenir dans deux jours et encore deux fois (au moins) pour plusieurs suivis et des tests de contamination par des MST.

Je ne suis certainement pas bien placé  pour poursuivre une action en justice ou même même utiliser le mot de viol en dehors de mon blog ou dans un forum. Je me souviens d'avoir été accroché à des gars cette nuit-là et il ne me semble pas vraiment que quelqu'un me drogue et me viole. La plupart des hommes là-bas semblaient avoir des rendez-vous, et je ne me souviens pas du  qu'ils aient été trop agressifs entreprenants quand j'étais sobre.


J'ai tellement envie de savoir ce que j'ai senti en me faisant baiser que je serais prêt à faire une "reconstitution" sans drogue cette fois maintenant que le "mal" est fait....J'ai envoyé un texto à mon ami pour obtenir le numéro de l'hôte afin que je puisse compléter certains éléments.¤
fresque:  
  Image associée                   
 
Image associée En fait j'apprécierais qu'ils m' nous aient filmé. Si quelqu'un a la vidéo....
Image associéej'ai bien pu dire oui sous l'effet de l'ecstasy
Image associée

  NOTES : "bien d'accord : si on me baise je v en proiter pleinement" (altersex) 
      "au Fond tu serais d'accord pour te faire rebaiser. normal"( Rod ) 
"Tu es comme beaucoup d'hommes violés qui préfèrent se taire et garder ça pour  eux. A mon avis un homme survit très bien à un viol. je comprends que tu veuilles revivre ce qui t'es arrivé "sous anesthésie" sous forme consciente. Concernant ton histoire, quelque chose me dit que tu t'es régalé sans t'en rendre compte. Veille bien à conserver ta masculinité active. Fais-toi souvent bander. Baise, encule aussi : n'altère pas ta nature"(Gayditor)
Je suis d'accord avec le père devilliers  qui dit à son fils : " Tais-toi et pardonne !" c'est le plus sage. (rémi Canton)     

 

Par adaptation de claudio - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 5 novembre 7 05 /11 /Nov 01:00

       Cette punition n’était qu’un juste retour des choses : c’était moi qui avais commencé à le chercher. il aurait toujours voulu une fille et là je m'étais  déguisé (e !!!) Il m'appelait toujours"Eva" quand nous étions seuls   

  klaydood: “You can leave your hat on! ” 

 

“Please fuck me, professor?”

 

Résultat de recherche d'images pour "GIF VERY VIOLENT FUCKING OF A SISSY BOY"

 

Image associée

 

 

Il redressa mon visage et me donna quelques bifles supplémentaire. Puis il recommença une gorge profonde. Mon père (ce héros au sourire si doux comme dit Victor Hugo)  me cassa presque la mâchoire durant cette séance de fellation très douloureuse et étouffante. J’avais mal, mais après tout, c’était moi qui avais commencé à le chercher. Cette punition n’était qu’un juste retour des choses.

Après m’avoir démonté la mâchoire, il se retira de ma bouche et enchaîna une dizaine de bifles très violentes, où il me parsema le visage de la bave épaisse que j’avais laissée sur son sexe.

- Tu imagines si la famille te voyait comme ça, attaché et te faisant bifler comme une pute ?

Je  préférais ne pas y penser.

Mon père me fit lever, puis me bloqua contre le lavabo, mes fesses joliment rebondies contre son sexe. Il arracha violemment la mini-jupe écossaise, la réduisant en chiffon. Je me cambrai davantage, tout seul, sans que mon papa me le demande. Il le remarqua et s’exclama :

- Putain, tu te cambres tout seul, t’as vraiment envie de te faire enculer comme une salope !

Je répondis, ma langue allant plus vite que ma pensée :

- Oui, maître, pétez-moi le cul ! Je suis votre chienne, dominez votre chienne !

Il attrapa sévèrement mes cheveux, et redressa mon crâne face à la glace. Je me voyais, dans le petit miroir, mon père tirant sur mes cheveux pour redresser mon visage. Je voyais aussi mes tétons pointant sous mon débardeur,  ainsi que mes bras bloqués dans mon dos par le câble de la radio. Mon père poussa légèrement mon dos, achevant de me faire cambrer au maximum. Puis il posa sa grosse main sur l’une de mes fesses, et glissa sa bite entre celles-ci.

Il commença alors à se branler entre mes petites fesses, son énorme mandrin coulissant rapidement entre elles. Je trouvais cela follement excitant : sentir un pareil gourdin de chair se masturber entre ses fesses était tout simplement unique et divin !

Mais cela ne dura guère, mon père pressé de commencer son travail de pro sur moi positionna son chibre contre mon anus. Mais il ne bougea pas, il laissa son gland collé à mon anus attendant que je m'impatiente. Je ne réagis pas, et il attendit quelques instants comme ça. Au bout d’un moment, j’en eus marre et le pressai :

- Sodomisez-moi, maître !

- Sale pétasse !

C’était apparemment le signal qu’il attendait, car aussitôt, il donna un très gros coup de boutoir, et m’embrocha l’anus jusqu’aux couilles.

Je poussai un long hurlement de douleur : sans lubrifiant, c’était affreux. Sa bite faisait 22 cm, bon sang ! Comment mon cul pouvait encaisser un tel choc ? Je l’ignorais à chaque fois que mon papa m’enculait, mais là, c’était fait.

- Bordel, ne crie pas, Eva, tu vas ameuter tout le monde !

- J’ai maaaal !

Mes cris énervèrent mon père. Il attrapa un gant de toilette propre, puis me pinça un téton. Je poussai un nouveau cri et il en profita pour me l’enfoncer dans la bouche. Ainsi, plus aucun cri ne put sortir. Néanmoins, on entendait distinctement mes gémissements, ce qui sembla suffire à mon père.

Il tira violemment sur mes cheveux, et commença alors à me sodomiser nettement et proprement, avec tout son savoir sexuel.

Immédiatement, la douleur s’accentua. J’avais affreusement mal, mais je ne voyais pas comment l’inverse était possible : je faisais 40 kilos, j’étais toute fine, et un gros engin de 30 cm était en train de me perforer la rondelle ; quelle femme pouvait encaisser ça sans broncher ? Et cette fois-ci, je n’avais pas eu droit à un lubrifiant.

- Putain, j’adore ton petit cul de pute, ma fille !

Il me baisait l’anus sans pitié, m’éclatant la rondelle sans se soucier de mon confort physique. J’étais bien cambré(e), et mon cul était idéalement placé pour une violente sodomie.

Résultat de recherche d'images pour "GIF VERY VIOLENT FUCKING OF A SISSY BOY"

Dans le miroir, je voyais une frêle jeune fille se faire démonter le cul par un colosse de 120 kilos de muscle et membré comme un taureau. Sous les violents coups de boutoir de mon père mon visage exprimait de la souffrance, et ma bouche était envahie par un gant de toilette jaune qui m’empêchait d’articuler le moindre son. Mes poignets étaient liés dans mon dos, me réduisant à l’état de pute soumise que l’on tronche rapidement. Mon petit sexe faisait des bonds au rythme imposé par ce trip de folie.  Mes cheveux étaient sauvagement tirés en arrière par une énorme main virile. Mon père, remarquant que mon regard était posé sur cette jeune fille passablement humiliée dans le miroir, se pencha vers mon oreille et me chuchota :

- Ça te plaît de te voir te faire péter le cul par ton papa, dans une glace ? T’es vraiment une sale garce en chaleur !

Il redressa davantage mon visage, me soumettant encore un peu plus à sa virilité et sa violence.

J’étais humilié(e), détruit(e) et sauvagement enculé(e) par mon papa adoré. Ses coups de bite étaient hallucinants de violence et de puissance. Mais malgré toute la souffrance qu’il me faisait endurer, le plaisir naquit peu à peu, et j’entendis mes premiers gémissements de plaisir. Mon père était un amant doué, et il savait jouer de sa bite. Peut-être que la situation m’excitait aussi un peu plus que la normale.

Image associée

Toujours dressé(e) contre le lavabo, mon père ne cessait de me sodomiser comme une nymphomane en manque. Je me voyais toujours dans le miroir, gigotant encore plus vite et mon visage exprimant un mélange de plaisir et de douleur. Je me voyais soumis(e) et torturé(e) par mon papa, et cela me fit jouir comme une folle.

- Salope, t’aimes ça, hein ? Je savais que t’aimais te faire péter le cul comme ça, et que t’aimais te regarder de faire troncher comme une chienne !

Il redoubla de vigueur et m’encula encore plus rapidement. J’étais comateuse de douleur et de plaisir sexuel.

Mon père ralentit soudainement la cadence, et finit par retirer son gros mandrin de ma rondelle, me libérant d’un poids énorme.

Mais à ma grande surprise, il me maintint encore contre le lavabo, me bloquant tout aussi fortement. Il lâcha juste mes cheveux, puis attrapa une paire de ciseaux. Il les fit descendre vers mon ventre, puis fit passer l’une des lames sous mon débardeur. Il entreprit alors de couper proprement mon débardeur, remontant lentement vers le haut. Quand il arriva vers mes seins, il fit très attention de ne pas me blesser, puis quand mon débardeur fut entièrement coupé en deux, il arracha les lambeaux de tissus et les jeta loin dans la pièce.

J’étais maintenant totalement nu(e) devant mon père, son sexe effleurant mes fesses, mes poignets toujours liés dans mon dos et mon corps toujours bloqué contre le lavabo par la force physique de mon papa chéri.

Il fit glisser son énorme chibre vers ma rondelle, et m’enfila une nouvelle fois.

Sodomisé(e) pour la deuxième fois dans la même demi-journée, je poussai un gémissement de douleur, puis le rythme profond et violent de mon père revint rapidement.

La position était exactement la même que précédemment, sauf que mon père m’avait déchiré mon débardeur pour m’humilier davantage. Ses coups de boutoir étaient infernaux et ma soumission totale.

Il tira de nouveau sur mes cheveux, me faisant reprendre une position de pute en chaleur. Cette fois-ci, je voyais distinctement  mon père profiter de cela pour tripoter, broyer violemment et pincer mes tétons sans douceur. Il pouvait y aller franco : je ne pouvais pas crier, et toute la violence qu’il pouvait projeter sur moi était inexorable.

- Alors tu fais moins la belle, maintenant, pétasse ? Je t’ai dit que je te punirais, et je vais tellement te casser le cul que tu ne pourras plus marcher après ça !

Il avait raison sur tous les points : premièrement, je ne rigolais plus du tout. Deuxièmement, la punition était ultra-sévère. Il m’avait réduit(e) à l’état d’objet sexuel, de salope qui faisait office de sac à foutre ou de garage à bites. Troisièmement, il me cassait effectivement le cul. Quatrièmement, je ne pourrais probablement plus marcher normalement après l’acte.

Image associée

Je n’avais guère le choix, je laissais mon père me démonter centimètre carré par centimètre carré le moindre recoin de mon colon, son énorme mandrin me ramonant le cul sans pitié sur 22 cm et pour son unique plaisir. De la douleur, j’en avais à revendre. Le plaisir était là aussi, mais face au degré de souffrance exercé par mon père, c’était dérisoire.  

Il me domina durant de très longues minutes, durant lesquelles je sombrai dans un état de semi-coma où je ne comprenais plus rien et où seul l’incroyable gourdin de mon père m’enculant sévèrement comptait réellement. J’en vins même à plaindre la très jeune fille qui se faisait violer dans le miroir, me disant qu’elle devait prendre     hyper cher, et que c’était une grosse salope.

Mon père me sodomisa encore pendant quelques instants, puis stoppa tout mouvement et quitta ma rondelle.

Il me fit retourner et m’agenouiller devant lui. Il retira le gant de toilette qui m’obstruait la bouche. Puis il attrapa violemment mes cheveux et me plaça bien en face de son sexe. Il prit d’une main son gros mandrin et me bifla sauvagement avec, me faisant couiner.

Il se masturba ensuite devant mon visage. Je perdis la maîtrise de mes mots et lui criai :

- Papa, pas ça, tu sais bien !

- Tu oublies ma règle, Eva. De toute façon, je devais te punir !

Il me gifla, puis me demanda de me taire. Obéissante et docile, je le laissai se branler à toute vitesse.

Il poussa un cri de jouissance et de puissants jets de foutre inondèrent mon visage. Plusieurs jets atteignirent mes yeux, m’aveuglant instantanément. Le reste s’écrasa sur mes lèvres, mon nez, mes joues et mon front…

Il prit tout son temps pour se vider les couilles sur mon visage, m’arrosant à loisir. Quand je ne sentis plus de jets parvenir de son sexe, je sus qu’il s’était totalement vidé. Néanmoins, toujours fermement maintenu(e) par mon père, je sentis sa grosse bite me racler le visage et étaler le foutre sur toute ma figure. Il y en avait une grosse quantité !

- Voilà, salope. T’as eu tout le foutre que tu mérites, et tu as été punie.

Il me lâcha, et je l’entendis se rhabiller. Puis il me dit :

- À plus tard, ma fille !

- Papa, non, ne me laisse pas comme ça !

Je l’entendis déverrouiller la salle de bain puis sortir.

Je m’apeurais: j’étais totalement bloquée ! J’étais attachée les mains dans le dos, avec l’impossibilité de me dégager de là. J’étais également aveuglée par le foutre chaud de mon père qui me recouvrait les yeux. Je ne pouvais rien faire.

Je tentai alors de me lever, à l’aveugle. Mais je poussai un cri et m’agenouillai aussitôt sur le carrelage. Mon père m’avait limé le cul comme un dingue et m’avait déchiré la rondelle : j’avais bien trop mal pour rester debout.

Je cédai alors véritablement à la panique. N’importe qui pouvait venir dans la pièce et me voir ainsi. Je me débattis comme une folle pour retirer ces foutus liens, mais rien à faire, il m’avait solidement attachée, comme une truie ! Je me mis alors à réfléchir : le principal problème était que la salle de bain n’était plus verrouillée. Si je parvenais à mettre le verrou, je pourrai prendre mon temps pour me dégager de cette situation catastrophique.

Mais comment l’atteindre ? J’avais le cul douloureux, les mains liées et les yeux en pleine cécité. Je me mis en mouvement vers l’avant, sachant pertinemment que la porte était par là. Quand mon crâne percuta le battant, je sus que j’étais arrivée à destination. Je me retournai, et, prenant appui à la porte grâce à mon dos et mes mains, je réussis à me relever, non sans douleur. Je sentis un petit verrou, et le tournai. Le clac distinct d’une porte que l’on verrouille retentit et je soufflai de répit. Mais m’agenouillai aussitôt, la douleur était trop aiguë dans mon anus.

Je tentai d’ouvrir les yeux, mais le foutre chaud et collant sur mes paupières s’infiltra dans mes yeux et me piqua terriblement. Je les refermai, condamnée à être aveuglée encore un bout de temps.

J’attendis une dizaine de minutes, agenouillé(e) sur le carrelage de la salle de bain. Puis je fis un nouvel essai en me levant. La douleur s’était atténuée. J’avais affreusement mal à l’anus, mais c’était plus supportable.

Pouvant désormais marcher, j’essayai à présent de me débarrasser du câble qui me retenait prisonnière. J’y parvins après quelques minutes de durs efforts durant lesquels je me cassai presque les poignets.

Une fois libre, je me dépêchai de passer mes doigts sur mes yeux pour enlever le foutre tiède qui commençait à sécher. Je pus enfin ouvrir les yeux.

Je me vis dans le miroir : une grosse partie de mon visage était recouverte de sperme. Papa m’avait mis la dose, bon sang !

Je jetai à un œil à mes vêtements : déchirés et inutilisables… Merci papa !

Je pris une bonne douche, me débarrassant de toute trace laissée par mon père. Puis, j’ouvris doucement la porte de la salle de bain pour voir si personne ne passait à cet étage. Je me dépêchai de rentrer dans ma chambre, en titubant, pour y choisir de nouveaux habits. Je ne remarquai pas la présence étrangère qui me matait, tapie dans l’obscurité.

Une fois propre et de nouveau vêtue, je redescendis dans le jardin. Henri me demanda où j’étais passée et je lui répondis que je me douchais.

Mon père me lança de nombreux regards moqueurs. Il vint même me voir et me chuchoter à l’oreille :

- T’as mis le temps pour te sortir de là, ma salope.

Je ne répondis pas, trop occupée de sourire à mes tantes.

La journée avait été très éprouvante. Mais je ne me doutais pas qu’elle n’était pas encore terminée…¤

 

fresque :

Image associée


Image associée

 

 

Image associée

 

Image associée

Image associée

  Image associée 

Image associée 

 

Résultat de recherche d'images pour "GIF VERY VIOLENT FUCKING OF A SISSY BOY"

 

Image associée

 

Image associée

 

 

 

 

 

Par BI TWINK - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Samedi 4 novembre 6 04 /11 /Nov 06:28

Quoi ? vous avez fait le mariage "pour tous" - ouais. - C'est tout ? Avez-vous lavé les cerveaux au karcher? - Nan  - alors vous n'avez rien fait et vous appelez ça un "progrès"? Gaffe : LGBTQ ça progresse, malgré vos manifs 

Résultat de recherche d'images pour "l stylo dans la plai"la plume plongée dans la plaie

                                                                                           Résultat de recherche d'images pour "l stylo dans la plai"  nous, des vices ?  d'après-vous oui !

un bobau, des bobaux

« Je suis un ado, homosexuel, j’ai tous les vices et tous les problèmes du monde… Je suis votre avenir*, et le futur de la France… »

      «Un nez, une bouche, deux yeux, deux oreilles, deux jambes, deux bras, un cerveau et un cœur. Je mange, je dors, je respire. Tous les jours je vais en cours, je prends le bus, et je marche dans la rue, tous les jours je suis fatigué, mais aujourd’hui plus que les autres.

Pourquoi me direz-vous ? Parce que, parce que je suis fatigué d’un débat, un débat sans fond, sans forme que celui des haines. Car aujourd’hui ce n’est pas le fait de juger d’un mariage ouvert à tous qui est posé, c’est celui de l’homosexualité, triste retour à des époques sombres. On entend des mots, j’entends des mots, je suis différent apparemment, différent de quoi ? D’un amour ? Cet amour m’interdirait donc d’avoir des droits ? En quoi ? Pourquoi ? Aidez-moi à comprendre !

Aujourd’hui on me dit que cela ne sert à rien, certes si vous le dîtes.. Le vivez-vous ? Vivez-vous le regard, et les mots, les doigts pointés et les insultes ? Vivez-vous cette sensation de colère qui monte en voyant qu’on ne vous traite pas en tant que personne mais en tant qu’orientation sexuelle ? Car aujourd’hui c’est bien cela, l’homme est défini par les droits qu’il a acquis, les retirer aux gens, ne pas leur donner les mêmes droits, que cela veut-il dire ? Ne sommes-nous pas hommes ? Ne sommes-nous pas égaux ? « Liberté » la liberté d’aimer, « Fraternité » l’entraide et l’entente entre tous, « Egalité » tout homme au même niveau… Et pourtant.

Aujourd’hui nous pouvons vivre avec quelqu’un, partager sa vie, ses moments de joie et de tristesse, les bons comme les mauvais moments, sans jamais être reconnus comme tels, nous pouvons faire des projets qui ne seront portés que par l’un des deux… Une relation se fait à deux, avec l’investissement égal des deux, or aujourd’hui tout cela n’est pas possible.

Ce que vous jugez n’est plus le mariage mais l’homosexualité, chose existant depuis que l’homme est tel qu’il est. Et j’entends des mots, des explications, des choses sans sens, sans sens aucun. On me dit que la religion dit telle ou telle chose. Mais, vous savez, je fais mon éducation dans un établissement catholique, la religion je la connais comme vous. Les textes ne disent-ils pas que nous devons aimer notre prochain, qu’aucune différence ne doit nous séparer, amour et tolérance ? Certaines instances religieuses devraient avant de s’intéresser à la sexualité de la société, s’occuper des problèmes qui y sont liés en leur sein.

J’entends aussi la merveilleuse excuse de l’enfant. Celui-ci n’aura pas le droit? Il aura le droit d’aimer et d’être aimé. Il n’aura pas une éducation normale ? Qu’entendez-vous par là ? Doit-on donner des chiffres de tous ses parents qui battent leurs enfants, les tuent, les mettent à la rue ? Il deviendra homosexuel à son tour ? Car vous pensez encore que l’homosexualité s’attrape telle une maladie ? Moi je connais des gens, des enfants, élevés depuis toujours par des parents homosexuels, le sont-ils ? Non. Dois-je répondre à toutes ces questions ? Non plus car aujourd’hui je suis fatigué.

Je suis jeune , et je ne serai pas pris au sérieux, je ne serai pas écouté. Pourtant j’essaye, car j’ai besoin de dire ce que l’on peut ressentir, car j’ai beau être jeune je pense à mon avenir, mon avenir avec celui que j’aime. Je suis jeune et je parle avec mes amis, d’autres jeunes. Avenir, nous sommes l’avenir. Avenir de votre pays, de notre pays. Avenir de l’Europe. Notre avis compte aussi.

Je suis un ado, homosexuel de surcroît, rien pour plaire aux politiques, j’ai tous les vices, et tous les problèmes du monde. Je suis votre avenir, et le futur de la France. Je suis une voix parmi tant d’autres… »   

Dimitri Cuvelier, Bousbecque (Nord)

 

 

Image associée


Notes : Un blog du Monde :    http://mediateur.blog.lemonde.fr/2012/11/26/je-suis-un-ado-homosexuel-jai-tous-les-vices-et-tous-les-problemes-du-monde-je-suis-votre-avenir-et-le-futur-de-la-france/


commentaire :[ 'tu es notre avenir ?'  OUI ! Tu ne sais pas si bien dire :aux USA, un sondeur US recensait récemment 20% de jeunes  entre 15-22ans se reconnaissent LGBTQ  .  Tremblez Furies Parisiennes de la manif pour tous et autres 'Sens Commun' "  ]  claudio

 

Par DIMITRI - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • CAMION 07 GAY
  • CRUISING AREA 1
  • FABIEN 24030023
  • CAMION 20 trucker fags in denial
  • BASTIEN 26.1 KILER MOSSpg
  • FABIEN 24030026

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés