Cette punition n’était qu’un juste retour des choses : c’était moi qui avais commencé à le chercher. il
aurait toujours voulu une fille et là je m'étais déguisé (e !!!) Il m'appelait toujours"Eva" quand nous étions seuls
Il redressa mon visage et me donna quelques bifles supplémentaire. Puis il recommença une gorge
profonde. Mon père (ce héros au sourire si doux comme dit Victor Hugo) me cassa presque la mâchoire durant cette séance de fellation très douloureuse et étouffante. J’avais
mal, mais après tout, c’était moi qui avais commencé à le chercher. Cette punition n’était qu’un juste retour des choses.
Après m’avoir démonté la mâchoire, il se retira de ma bouche et enchaîna une dizaine de bifles très violentes, où il me parsema le visage de la bave
épaisse que j’avais laissée sur son sexe.
- Tu imagines si la famille te voyait comme ça, attaché et te faisant bifler comme une pute ?
Je préférais ne pas y penser.
Mon père me fit lever, puis me bloqua contre le lavabo, mes fesses joliment rebondies contre son sexe. Il arracha violemment la mini-jupe écossaise,
la réduisant en chiffon. Je me cambrai davantage, tout seul, sans que mon papa me le demande. Il le remarqua et s’exclama :
- Putain, tu te cambres tout seul, t’as vraiment envie de te faire enculer comme une salope !
Je répondis, ma langue allant plus vite que ma pensée :
- Oui, maître, pétez-moi le cul ! Je suis votre chienne, dominez votre chienne !
Il attrapa sévèrement mes cheveux, et redressa mon crâne face à la glace. Je me voyais, dans le petit miroir, mon père tirant sur mes cheveux pour
redresser mon visage. Je voyais aussi mes tétons pointant sous mon débardeur, ainsi que mes bras bloqués dans mon dos par le câble de la radio. Mon père poussa légèrement mon dos,
achevant de me faire cambrer au maximum. Puis il posa sa grosse main sur l’une de mes fesses, et glissa sa bite entre celles-ci.
Il commença alors à se branler entre mes petites fesses, son énorme mandrin coulissant rapidement entre elles. Je trouvais cela follement
excitant : sentir un pareil gourdin de chair se masturber entre ses fesses était tout simplement unique et divin !
Mais cela ne dura guère, mon père pressé de commencer son travail de pro sur moi positionna son chibre contre mon anus. Mais il ne bougea pas, il
laissa son gland collé à mon anus attendant que je m'impatiente. Je ne réagis pas, et il attendit quelques instants comme ça. Au bout d’un moment, j’en eus marre et le pressai :
- Sodomisez-moi, maître !
- Sale pétasse !
C’était apparemment le signal qu’il attendait, car aussitôt, il donna un très gros coup de boutoir, et m’embrocha l’anus jusqu’aux couilles.
Je poussai un long hurlement de douleur : sans lubrifiant, c’était affreux. Sa bite faisait 22 cm, bon sang ! Comment mon cul pouvait encaisser un
tel choc ? Je l’ignorais à chaque fois que mon papa m’enculait, mais là, c’était fait.
- Bordel, ne crie pas, Eva, tu vas ameuter tout le monde !
- J’ai maaaal !
Mes cris énervèrent mon père. Il attrapa un gant de toilette propre, puis me pinça un téton. Je poussai un nouveau cri et il en profita pour me
l’enfoncer dans la bouche. Ainsi, plus aucun cri ne put sortir. Néanmoins, on entendait distinctement mes gémissements, ce qui sembla suffire à mon père.
Il tira violemment sur mes cheveux, et commença alors à me sodomiser nettement et proprement, avec tout son savoir sexuel.
Immédiatement, la douleur s’accentua. J’avais affreusement mal, mais je ne voyais pas comment l’inverse était possible : je faisais 40 kilos,
j’étais toute fine, et un gros engin de 30 cm était en train de me perforer la rondelle ; quelle femme pouvait encaisser ça sans broncher ? Et cette fois-ci, je n’avais pas eu droit à un
lubrifiant.
- Putain, j’adore ton petit cul de pute, ma fille !
Il me baisait l’anus sans pitié, m’éclatant la rondelle sans se soucier de mon confort physique. J’étais bien cambré(e), et mon cul était idéalement
placé pour une violente sodomie.
Dans le miroir, je voyais une frêle jeune fille se faire démonter le cul par un colosse de 120 kilos de muscle et membré comme un taureau. Sous les
violents coups de boutoir de mon père mon visage exprimait de la souffrance, et ma bouche était envahie par un gant de toilette jaune qui m’empêchait d’articuler le moindre son. Mes poignets
étaient liés dans mon dos, me réduisant à l’état de pute soumise que l’on tronche rapidement. Mon petit sexe faisait des bonds au rythme imposé par ce trip de folie. Mes
cheveux étaient sauvagement tirés en arrière par une énorme main virile. Mon père, remarquant que mon regard était posé sur cette jeune fille passablement humiliée dans le miroir, se pencha vers
mon oreille et me chuchota :
- Ça te plaît de te voir te faire péter le cul par ton papa, dans une glace ? T’es vraiment une sale garce en chaleur !
Il redressa davantage mon visage, me soumettant encore un peu plus à sa virilité et sa violence.
J’étais humilié(e), détruit(e) et sauvagement enculé(e) par mon papa adoré. Ses coups de bite étaient hallucinants de violence et de puissance. Mais
malgré toute la souffrance qu’il me faisait endurer, le plaisir naquit peu à peu, et j’entendis mes premiers gémissements de plaisir. Mon père était un amant doué, et il savait jouer de sa bite.
Peut-être que la situation m’excitait aussi un peu plus que la normale.
Toujours dressé(e) contre le lavabo, mon père ne cessait de me sodomiser comme une nymphomane en manque. Je me voyais toujours dans le miroir,
gigotant encore plus vite et mon visage exprimant un mélange de plaisir et de douleur. Je me voyais soumis(e) et torturé(e) par mon papa, et cela me fit jouir comme une folle.
- Salope, t’aimes ça, hein ? Je savais que t’aimais te faire péter le cul comme ça, et que t’aimais te regarder de faire troncher comme une chienne
!
Il redoubla de vigueur et m’encula encore plus rapidement. J’étais comateuse de douleur et de plaisir sexuel.
Mon père ralentit soudainement la cadence, et finit par retirer son gros mandrin de ma rondelle, me libérant d’un poids énorme.
Mais à ma grande surprise, il me maintint encore contre le lavabo, me bloquant tout aussi fortement. Il lâcha juste mes cheveux, puis attrapa une
paire de ciseaux. Il les fit descendre vers mon ventre, puis fit passer l’une des lames sous mon débardeur. Il entreprit alors de couper proprement mon débardeur, remontant lentement vers le
haut. Quand il arriva vers mes seins, il fit très attention de ne pas me blesser, puis quand mon débardeur fut entièrement coupé en deux, il arracha les lambeaux de tissus et les jeta loin dans
la pièce.
J’étais maintenant totalement nu(e) devant mon père, son sexe effleurant mes fesses, mes poignets toujours liés dans mon dos et mon corps toujours
bloqué contre le lavabo par la force physique de mon papa chéri.
Il fit glisser son énorme chibre vers ma rondelle, et m’enfila une nouvelle fois.
Sodomisé(e) pour la deuxième fois dans la même demi-journée, je poussai un gémissement de douleur, puis le rythme profond et violent de mon père
revint rapidement.
La position était exactement la même que précédemment, sauf que mon père m’avait déchiré mon débardeur pour m’humilier davantage. Ses coups de
boutoir étaient infernaux et ma soumission totale.
Il tira de nouveau sur mes cheveux, me faisant reprendre une position de pute en chaleur. Cette fois-ci, je voyais distinctement mon père
profiter de cela pour tripoter, broyer violemment et pincer mes tétons sans douceur. Il pouvait y aller franco : je ne pouvais pas crier, et toute la violence qu’il pouvait projeter sur moi
était inexorable.
- Alors tu fais moins la belle, maintenant, pétasse ? Je t’ai dit que je te punirais, et je vais tellement te casser le cul que tu ne pourras plus
marcher après ça !
Il avait raison sur tous les points : premièrement, je ne rigolais plus du tout. Deuxièmement, la punition était ultra-sévère. Il m’avait réduit(e)
à l’état d’objet sexuel, de salope qui faisait office de sac à foutre ou de garage à bites. Troisièmement, il me cassait effectivement le cul. Quatrièmement, je ne pourrais probablement plus
marcher normalement après l’acte.
Je n’avais guère le choix, je laissais mon père me démonter centimètre carré par centimètre carré le moindre recoin de mon colon, son énorme mandrin
me ramonant le cul sans pitié sur 22 cm et pour son unique plaisir. De la douleur, j’en avais à revendre. Le plaisir était là aussi, mais face au degré de souffrance exercé par mon père, c’était
dérisoire.
Il me domina durant de très longues minutes, durant lesquelles je sombrai dans un état de semi-coma où je ne comprenais plus rien et où seul
l’incroyable gourdin de mon père m’enculant sévèrement comptait réellement. J’en vins même à plaindre la très jeune fille qui se faisait violer dans le miroir, me disant qu’elle devait prendre
hyper cher, et que c’était une grosse salope.
Mon père me sodomisa encore pendant quelques instants, puis stoppa tout mouvement et quitta ma rondelle.
Il me fit retourner et m’agenouiller devant lui. Il retira le gant de toilette qui m’obstruait la bouche. Puis il attrapa violemment mes cheveux et
me plaça bien en face de son sexe. Il prit d’une main son gros mandrin et me bifla sauvagement avec, me faisant couiner.
Il se masturba ensuite devant mon visage. Je perdis la maîtrise de mes mots et lui criai :
- Papa, pas ça, tu sais bien !
- Tu oublies ma règle, Eva. De toute façon, je devais te punir !
Il me gifla, puis me demanda de me taire. Obéissante et docile, je le laissai se branler à toute vitesse.
Il poussa un cri de jouissance et de puissants jets de foutre inondèrent mon visage. Plusieurs jets atteignirent mes yeux, m’aveuglant
instantanément. Le reste s’écrasa sur mes lèvres, mon nez, mes joues et mon front…
Il prit tout son temps pour se vider les couilles sur mon visage, m’arrosant à loisir. Quand je ne sentis plus de jets parvenir de son sexe, je sus
qu’il s’était totalement vidé. Néanmoins, toujours fermement maintenu(e) par mon père, je sentis sa grosse bite me racler le visage et étaler le foutre sur toute ma figure. Il y en avait une
grosse quantité !
- Voilà, salope. T’as eu tout le foutre que tu mérites, et tu as été punie.
Il me lâcha, et je l’entendis se rhabiller. Puis il me dit :
- À plus tard, ma fille !
- Papa, non, ne me laisse pas comme ça !
Je l’entendis déverrouiller la salle de bain puis sortir.
Je m’apeurais: j’étais totalement bloquée ! J’étais attachée les mains dans le dos, avec l’impossibilité de me dégager de là. J’étais également
aveuglée par le foutre chaud de mon père qui me recouvrait les yeux. Je ne pouvais rien faire.
Je tentai alors de me lever, à l’aveugle. Mais je poussai un cri et m’agenouillai aussitôt sur le carrelage. Mon père m’avait limé le cul comme un
dingue et m’avait déchiré la rondelle : j’avais bien trop mal pour rester debout.
Je cédai alors véritablement à la panique. N’importe qui pouvait venir dans la pièce et me voir ainsi. Je me débattis comme une folle pour retirer
ces foutus liens, mais rien à faire, il m’avait solidement attachée, comme une truie ! Je me mis alors à réfléchir : le principal problème était que la salle de bain n’était plus verrouillée. Si
je parvenais à mettre le verrou, je pourrai prendre mon temps pour me dégager de cette situation catastrophique.
Mais comment l’atteindre ? J’avais le cul douloureux, les mains liées et les yeux en pleine cécité. Je me mis en mouvement vers l’avant, sachant
pertinemment que la porte était par là. Quand mon crâne percuta le battant, je sus que j’étais arrivée à destination. Je me retournai, et, prenant appui à la porte grâce à mon dos et mes mains,
je réussis à me relever, non sans douleur. Je sentis un petit verrou, et le tournai. Le clac distinct d’une porte que l’on verrouille retentit et je soufflai de répit. Mais m’agenouillai
aussitôt, la douleur était trop aiguë dans mon anus.
Je tentai d’ouvrir les yeux, mais le foutre chaud et collant sur mes paupières s’infiltra dans mes yeux et me piqua terriblement. Je les refermai,
condamnée à être aveuglée encore un bout de temps.
J’attendis une dizaine de minutes, agenouillé(e) sur le carrelage de la salle de bain. Puis je fis un nouvel essai en me levant. La douleur s’était
atténuée. J’avais affreusement mal à l’anus, mais c’était plus supportable.
Pouvant désormais marcher, j’essayai à présent de me débarrasser du câble qui me retenait prisonnière. J’y parvins après quelques minutes de durs
efforts durant lesquels je me cassai presque les poignets.
Une fois libre, je me dépêchai de passer mes doigts sur mes yeux pour enlever le foutre tiède qui commençait à sécher. Je pus enfin ouvrir les
yeux.
Je me vis dans le miroir : une grosse partie de mon visage était recouverte de sperme. Papa m’avait mis la dose, bon sang !
Je jetai à un œil à mes vêtements : déchirés et inutilisables… Merci papa !
Je pris une bonne douche, me débarrassant de toute trace laissée par mon père. Puis, j’ouvris doucement la porte de la salle de bain pour voir si
personne ne passait à cet étage. Je me dépêchai de rentrer dans ma chambre, en titubant, pour y choisir de nouveaux habits. Je ne remarquai pas la présence étrangère qui me matait, tapie dans
l’obscurité.
Une fois propre et de nouveau vêtue, je redescendis dans le jardin. Henri me demanda où j’étais passée et je lui répondis que je me douchais.
Mon père me lança de nombreux regards moqueurs. Il vint même me voir et me chuchoter à l’oreille :
- T’as mis le temps pour te sortir de là, ma salope.
Je ne répondis pas, trop occupée de sourire à mes tantes.
La journée avait été très éprouvante. Mais je ne me doutais pas qu’elle n’était pas encore terminée…¤
fresque :
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