Dimanche 5 novembre
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j'ai quelques soupçons sur des gars qui avaient envie de moi, ça c'est
clair, ils m'ont d'abord dragué au cours des derniers mois, m'avaient touché les parties sexuelles en rigolant au bar du foyer.Y en a un en particulier qui m'a caressé le cul en
plusieurs occasions jusqu'à réellement me troubler. Je crois que si une meuf m'avait fait ça, ça m'aurait troublé pareil. Mais je suis pas gay et ça les fait marronner. De cette fête y a eu un
avant et un après . Croyez-moi je vais pas aller cafter à la police ou voir un docteur pour le constat de viol aggravé, car c'est ça ! Mais j'ai aucune haine. Je -mon cul plutôt- digère
leur sperme tout seul. Dire que ça m'a changé ? je sais pas. Sans m'en souvenir exactement, je sais que j'ai pris leurs pines et leurs jutes dans mon cul puisque ce dernier puait le foutre. J'ai
idée de jouer l'hétéro retourné pour voir ceux qui se laissent tenter et se découvrent être les auteurs. En fait j'ai une espèce de syndrome mental : comme je l'ai pas vu faire -même pas peur- je
voudrais revoir ce" rêve" en vrai jusqu'à me laisser posséder par mon /mes violeurs.
Une chose me questionne lourdement c'est pourquoi j'ai pas envie de les baiser moi-même pour me venger, enfin quoi, prendre une revanche ? Y
avait notamment une lesbienne qui voulait me persuader d'être gay :
En fait j'apprécierais qu'ils m' nous aient filmé. Clairement ils l'ont fait -grâce à la
drogue-ils ont fait de moi ce qu'ils ont voulu, ok, ça oui, ok, mais eux ils ont vu si je bandais, si j'avais du plaisir ? et ça me torture de pas savoir.Si j'ai gémi, si j'ai dit des conneries,
si je les ai encouragés à me violer, ça veut dire que je suis pédé moi aussi. Et ça je le sais pas. Je voudrais qu'ils sachent, qu'ils comprennent que je les dénoncerai jamais, et qu'ils
détiennent une vérité sur moi que je voudrais connaître.
la fête et son lendemain (certaines images se laissent docilement cliquer):
ce que j'ai trouvé
avec ma migraine * dans le lit à mon(triste) réveil : un blister vide de comprimés sans marque, une mini poire d'injection rectale et ce j'en ai déduit et imaginé :
moi je crois que le premier cocktail au bar
m'a déjà été 'fatal' et qu'ensuite il m'ont fait marcher jusquà ma chambre en disant aux autres que j'étais fin saoûl. Puis là ils m'ont mis la totale, même en piqûres...y a des étudiants en
médecine parmi eux
au réveil je coulais du sperme par mon cul, je
puais le foutre. C'est con ! j'aurais voulu "être là" au lieu d'être "ensuqué"quand ils m'ont fait ça !
les
"chems", la chimie est à la base de ce genre de pb.
à mon réveil, près de moi, j'ai trouvé ça : . si c'est moi qui ai été forcé d'avaler tout ça ...???
témoins
:Eh bien, je suppose que j'ai reconstitué le reste de l'histoire maintenant. Un détail majeur manquant à ce sujet est le fait que j'ai dès le
départ pris deux doses de E(ecstasy) plutôt que une seule : une à la maison, l'autre à la fête. Mon ami m'a rappelé que "je ne pensais pas que ma
première dose prise pendant que nous étions à la maison faisait quelque chose".
Donc oui, deux E dans mon système apparemment me rendent gay comme un phoque ! Mon ami dit qu'il m'a vu allongé avec les gars à la fête, je
racontais des conneries qui faisaient rire tout le monde. Donc il y a 99,9% d'assurance que personne ne m'a baisé dans ces moments-là (et lui dit
qu'il aurait donné un coup de pied au cul à quiconque aurait essayé de le faire sans préservatif). Apparemment, la plupart des
conneries que je racontais avaient un auditoire, et d'après lui ça a duré presque toute la nuit et ensuite il m'a vu sortir avec au moins deux
gars.QUI ?? Là, le doute persiste. J'ai demandé si j'avais l'air saoûl et "HS" et il a ri de moi. Il m'a dit que j'avais l'air bien
allumé et que je semblais clairement être en possession de tous mes moyens en vue d'une belle baise si ça se présentait.
Donc, oui, il va rester la question de consentement si on est ivre et si deux doses de E suffisent à anihiler toute la volonté...une dose de E ça va, bonjour
la fête lucide -lol- ; deux doses de E bonjour les dégâts ? et bonjour l' orgie gay non consentie
? Je persiste à croire qu'on m'a fait prendre d'autres drogues en plus, du GHB
c'est possible à cause de la perte de mémoire. Gâchis de plaisir si vous me comprenez...
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indices : La fête de ce week-end a commencé pour
moi avec deux amis qui se sont révélés être plutôt homosexuels (la fête, mes amies filles l'ont quittée tôt). Pendant que la nuit passait, il devint clair que
c'était surtout des hommes homosexuels qui restaient sur place et en "éveil". Comme je l'ai dit j'avaii
pris un E avec mon ami plus tôt dans la nuit, mais cela ne semblait pas vraiment faire effet. Mon ami m'a présenté à celui qui recevait et je suis monté m'allonger dans sa chambre
à coucher en forme de loft afin de pouvoir boire un peu plus. Je suis assez ouvert d'esprit,
donc être en compagnie de gars homosexuels ne m'a pas dérangé. L'hôte et ses amis
étaient vraiment gentils et semblaient savoir comment faire la fête. J'étais en train de passer un bon
moment et d'être vraiment schlass. Je me souviens que plusieurs gars m'ont
apporté des boissons et fait fumer du chit alors qu'ils étaient nus dans le bain à remous. Après le bain à remous tout
est flou. Je ne
fume généralement pas (mais je me souviens toujours de ce qui s'est passé quand je suis ivre), alors je pense que peut-être quelqu'un a ajouté quelque chose à ma boisson ou que mon
organisme a eu droit à un mix de choses différentes propres à annuler ma volonté.
Quoi qu'il en soit, je me souviens d'un gars qui disait qu'après cette nuit je ne serais plus capable
de savoir qui j'étais ni de dire mon nom. Ca m'a énervé et je lui ai demandé de dire les choses en face : il venait de raconter qu'il m'avait vu sucer un mec. Il
a maintenu qu'il m'a vu faire une fellation à quelqu'un dans la salle de bains. Pure calomnie. J'ai pris la panique en entendant cela, car, comment m'en déendre
? et je suis retourné dans la chambre où je voulais rester pour me coucher. Je me souviens d'avoir rencontré plusieurs gars au lit avec moi et nus, un très grand lit. Pour autant que
je puisse le dire, ils parlaient tous des uns et des autres et surtout de moi qui étais "hétéro" têtu. Parmi eux il se pouvait bien qu'il y ait les auteurs de mon
viol.
Là les choses se précisent un peu : J'ai un autre souvenir de deux gars qui se battaient
(je pense que l'un a vraiment frappé l'autre d'un coup de poing). Je me souviens qu'un des mecs racontait à l'autre qu'il devait me
laisser tranquille et que j'étais trop fatigué pété pour baiser ! Le mec qui m'aidait à me tenir debout (?)
N'était pas là quand je suis arrivé plus tard cette nuit-là, mais je me souviens distinctement de l'autre gars qui faisait quelque chose dans mon cul. Je suis honnêtement pas sûr s'il m'a baisé, mais quelque chose s'est bien produit. Je me souviens d'avoir aimé ce que je ressentais, mais cela aurait bien pu être l'effet de l'E qui nous rend
tout ce qui arrive heureux et naturel.
Je me suis réveillé le lendemain nu avec *"la mère de tous les maux de tête"(hihi).
Mes camarades sont venues chercher de mes nouvelles et je leur ai parlé de ce
qui s'est passé. Ils étaient complètement dégrisés et disent que j'ai été violé. Ils font vraiment pression sur moi pour aller aux flics ou la thérapie ou autres choses pas discrètes. J'ai l'impression de pouvoir dire que j'ai été violé, mais c'est aller un peu trop loin, rien ne prouve qu'au fond de
moi je n'en avais pas envie. D'après ce dont je me souviens à peine, au moins
certaines des choses qu'on m'a faites étaient agréables jouissives. Je ne me souviens sincèrement pas si j'ai donné mon consentement ou non. Cela me dérange d'imaginer que
j'aurais donné à un gars une turlutte sans me souvenir, mais quand je pense à cela, je constate que, si je n'ai pas le début, j'ai la fin de l'histoire avec le sperme dans le cul,
je ne suis pas aussi fou que je le pense et ça me permet de penser que je suis différent maintenant. Les témoins ont insisté en mentionnant quelque chose avec mon cul et tout ça
fait encore penser au viol dans son ensemble :
1) Je me suis douché 2) J'ai au moins un bref souvenir d'avoir aimé ce qui s'est passé 3) J'ai très bien pu dire oui à ce mec 4) il y avait un gros pot de préservatifs à cette fête et
les gars venaient en prendre. Pourquoi moi m'aurait-on baisé sans
protection ? (je ne peux plus espérer que non ! ) pour me laisser m'interroger ? Et puis, mon cul devrait me faire mal. Même pas; saigner ? pas du tout. Juste une gêne minime
et mes fesses qui glissaient anormalement l'une sur l'autre comme quand on est savonné...
"au Fond tu serais d'accord pour te faire rebaiser. normal"( Rod )
"Tu es comme beaucoup d'hommes violés qui préfèrent se taire et garder ça pour eux. A mon avis un homme survit très bien à un viol. je comprends que tu veuilles revivre ce qui t'es
arrivé "sous anesthésie" sous forme consciente. Concernant ton histoire, quelque chose me dit que tu t'es régalé sans t'en rendre compte. Veille bien à conserver ta masculinité active.
Fais-toi souvent bander. Baise, encule aussi : n'altère pas ta nature"(Gayditor)
Je suis d'accord avec le père devilliers qui dit à son fils : " Tais-toi et pardonne !" c'est le plus sage. (rémi
Canton)
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