Lundi 30 octobre 1 30 /10 /Oct 02:33

 En plus, ma femme en recueille indirectement les fruits par un retour de tendresse, des cadeaux, une attention de chaque instant et une sexualité épanouie. Le plus étonnant, c’est que cette aventure avec Abdou ne diminue pas le désir que j’ai de ma femme. Au contraire  D’ailleurs elle ne se plaint pas. Pas de question du genre « Tu as quelque chose à te faire pardonner ? » Elle apprécie. Je la trouve rayonnante. Le bonheur, quoi !


  Quelque chose s’est débloqué en moi. Une envie permanente de faire l’amour. Avec ma femme, avec Abdou. Sans eux, je me branle. À cinquante ans, c’est un peu particulier, mais je me dis que cela ne concerne que moi. Moi, ma libido. Ce corps noir. Celui d’Abdou. Ce corps blanc qui est le mien.

 

 Une douche, et quelques brasses dans la piscine. Nous avons le temps. Margie rencontre des copines. Abdou est assis sur la margelle. Je traverse la piscine sous l’eau et apparais éclaboussant le garçon. Blague de collégien. Mais cela me conduit juste entre ses jambes et, la plaisanterie assumée, je me retrouve pile-poil au niveau de sa verge. Je l’ai vue bien des fois depuis notre première rencontre. Elle m’a séduite, et maintenant il m’arrive de la caresser, voire de la branler alors que je le sodomise. À l’aune de mes mains, elle est longue et grosse. Pourtant on ne le dirait pas tellement elle est bien proportionnée.

Je pense que secrètement j’en avais envie. Oui, envie comme je le fais, de poser un baiser sur le bout rose sombre.
Un seul contact de mes lèvres, et elle se déploie. D’alanguie, allongée, elle se transforme en tige dure. Son poids l’entraîne et elle reste horizontale. Provocante, encore plus près de mon visage, comme si une main perverse m’apportait cet énorme bourgeon.
Le gland dans ma bouche, j’ai l’impression que je vais étouffer. Je respire tranquillement. Je joue un moment avec le sillon, passant ma langue comme on le fait entre glace et cornet. Je me force un peu, gagne un ou deux centimètres, mais j’ai aussitôt un réflexe qui me fait la quitter.
Abdou sourit franchement.
— C’est la première fois ?
—  Oui. Enfin, pour une vraie, sinon j’ai déjà sucé un gode pour exciter Margie.
—  Je te montrerai si tu veux. Il suffit d’un peu de contrôle, et surtout d’une vraie envie de sucer.
—  Peut-être, mais je ne vois pas quelqu’un te la gober entièrement.
—  C’est vrai.
Je sors de la piscine.
T’as vraiment un joli petit cul. On ne te l’a jamais dit ? me dit mon amant qui se lève et vient se coller contre moi.
—  Si : Margie, souvent.
—  Évidemment, Margie est bien placée pour le voir.
Il est contre mon dos. Je sens parfaitement son mandrin qui semble toujours dur. Il se frotte à moi. Me provoque.
—  J’ai envie de toi… me susurre-t-il à l’oreille.
Moi aussi.
—  Oui, mais envie de toi : envie de ton petit trou. J’imagine qu’avec Margie vous jouez à qui encule l’autre…
—  Mais non. Moi je la prends, mais pas elle. Parfois un doigt.
—  Vraiment ? Avec un tel cul…
Il passe ses mains sur mes fesses. Déjà un doigt s’égare.
—  Abdou, arrête.
—  Mais non, je veux te prendre moi aussi. J’en rêve depuis des semaines.
—  Mais…
Je ferai attention.
Mais…
—  Promis. Si je te fais mal, on arrête tout. Regarde, tu bandes. Tu vois que tu as envie toi aussi ? Il faut que tu essayes.
Il me branle d’une main alors que l’autre fait tourner son doigt. Je ne dis rien, troublé d’être passé de dominant à dominé. Lentement, pas après pas, me fouillant le cul plus profondément de son doigt, il me pousse vers la table basse.
—  Mets-toi en levrette. Je vais chercher le gel.
Si quelqu’un entrait, il verrait cet homme nu, à quatre pattes sur une table, la queue raide qui pend. Mais déjà il revient.
Le gel est froid.
—  Voilà, c’est bien, ne résiste pas.
C’est plus gros, mais pas douloureux. Cela tourne en moi, apprivoisant ce muscle vierge pour ce genre d’exercice. Il tourne, mais aussi avance et recule, simulant la possession. À nouveau du gel. Je comprends que ce qui se frotte maintenant contre moi, ce ne sont pas des doigts, mais l’extrémité de sa queue.

Il se frotte un long moment. Du gel à nouveau. J’imagine mes fesses, mon cul, mais aussi sa bite briller de la crème grasse.

Il pousse. Il tapote mes fesses, puis une grande claque qui me surprend. La surprise passée, je sens que j’ai quelque chose en moi. Une gêne difficilement identifiable si je ne savais qu’Abdou est entré dans mon intimité.

La lente glissade n’a pas de nom, si ce n’est une occupation envahissante de mes entrailles.
—  Voilà. Je suis tout en toi. Tu vois, ce n’est pas la mer à boire.
C’est vrai. Qui aurait cru cela si facile ? Pour ma première sodomie, au moins j’ai placé la barre très haut. Mais mon enculeur n’en a pas fini avec moi. Il reprend son mouvement en sens inverse, puis avant, puis inverse. Enfin, quoi, Abdou me lime le cul.
Quel spectacle nous devons montrer… enfin, surtout moi.
—  Putain, que c’est bon ! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est serré.
Il ne va pas trop vite. Parfois sa queue sort entièrement et mon cul doit prier pour qu’il revienne. Je ne vois rien et pense déjà que la prochaine fois il me prendra de face ; ainsi je pourrai le voir.

C’est bon. C’est de mieux en mieux. Je me décontracte. Je pose ma tête sur la table, me cambrant encore plus, et je le sens d’une autre façon.

Je me branle. C’est bon. J’ai une trique d’enfer. Une main se plaque sur mes reins, me forçant à me cambrer encore plus. Je suis une femme… Oui, comme ma femme lorsque je la prends en levrette, la chatte ou le cul, et qu’elle se tortille vicieusement pour mieux me sentir.

Je le fais. Je suis une femelle et on me possède. Je me sens si bien…
—  Je viens… Je viens…

Abdou se libère en moi. Une impression d’abord dérangeante, mais bien vite intégrée par mon cerveau. Du foutre ! C’est du foutre qui m’inonde. Du foutre qui rend encore plus faciles les quelques mouvements pour qu’il se termine.

Il se retire. Il découvre ma queue encore raide, abandonnée depuis que j’ai le cul plein de sa liqueur.

 

— Attends. Attends. Tourne-toi.

 

Et mon amant me prend en bouche. Ma bite disparaît entre ses lèvres roses et charnues. Il faut peu de caresses pour que je jouisse. Abdou recueille chaque goutte. Que ce soit un homme ou une femme, c’est toujours très « sexe » de voir une bouche se remplir.

Ma queue s’alanguit et Abdou l’abandonne. Ses lèvres sont closes. Son regard rieur. Il avance sur moi, et sans que je m’y attende, il m’embrasse. Un baiser que nous n’avions jamais échangé. Mais un baiser forcé où il fait couler de sa bouche mon propre sperme.

Content de lui, alors que je suis bien obligé d’accepter de boire ma liqueur, il ajoute :

 

— La prochaine fois, je vais te gicler dans la gorge.

  lire l'histoire en entier :   http://revebebe.free.fr/histoires/rvb179/reve_17964.html

 

Par PAUL - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Dimanche 29 octobre 7 29 /10 /Oct 07:30

ton fils peut descendre de la cuisse de Jupiter ou de tes prestigieux ancètres, , tel Ganymède, s'il est attiré par les garçons aucun curé n'y pourra rien  Amen  

 

 

CASTING :
Réalisateur Jean Delannoy                     
Acteurs et actrices :
Francis Lacombrade       : Georges de Sarre      
  Alexandre Motier :   Didier Haudepin  :                               
Michel Bouquet  : le Père de Trennes                                                      
 Louis Seigner    : le Père Lauzon                              
 Lucien Nat  le Père supérieur       
 Gérard Chambre  : André Ferron                                                      
 Henri Coutet   : l'employé de l'institution               
François Leccia : Lucien Rouvière
Dominique Maurin : Marc de Blajean
Le père enseignant Bernard Musson         

Résumé mais voir le film d'abord 

 

Georges de Sarre, ( Francis Lacombrade  dans le film) imbu de sa particule et de son apparence, entre en 4e dans un collège jésuite du Languedoc. La moitié de l’énergie des Pères est consacrée à instruire, l’autre moitié à faire une chasse implacable aux « amitiés particulières ». L’obsession des Pères pour la pédérastie va de pair, bien entendu, avec l'homosexualité latente de certains ados, dont une bonne partie sont fascinés par l’interdit, au point qu’ils ne peuvent pas vivre une amitié innocemment, et que toute amitié a priori « innocente » est inexorablement poussée sur le registre homoérotique, par la suspicion pathologique des Pères ! Georges s’attache bien vite à Lucien Rouvère, ( François Leccia dans le film), son voisin de chambrée (« Sa piété était gaie », p. 23) ce qui entraîne une jalousie pour André Ferron, ( Gérard Chambre dans le film), ami de "sang" de Lucien, comme le lui révèle, croyant bien faire, Marc de Blajean, ado aristo hétéro, qui utilise le mot « prosélytisme » (p. 28). Plus ou moins de sang froid, Georges dénonce et fait exclure André, mais sans bénéfice, puisque Lucien tombe dans une crise mystique, et que de son côté, Georges s’amourache d’Alexandre, son cadet de la division des 5e. La folie des Pères offre aux ados l’occasion de tester leur ferveur, puisque ceux-ci font tout pour empêcher les relations inter-divisions. Georges lie un commerce fort chaste avec Alexandre. Les deux garçons font le pacte du sang et s’entraînent vers l’excellence scolaire. Un nouveau surveillant, le Père de Trennes, se révèle pédéraste, et fait peser de trop près un désir pollué par son pouvoir sur Georges et Lucien, dont il a deviné les secrets. Malgré tous leurs soins à se dissimuler, Georges et Alexandre finissent par se faire pincer par le Père Lauzon, confesseur de Georges, qui, par son implacable acharnement à empêcher cette passion adolescente, engendrera un drame :

il rencontre Alexandre, élève des petites classes âgé de 12 ans et il en tombe amoureux.

Malgré leur discrétion, leur relation est découverte d'abord par le père de Trennes, que Georges réussit à faire renvoyer en dévoilant que lui-même invite des garçons à boire et à fumer dans sa chambre la nuit. Cependant, au troisième trimestre, le père Lauzon découvre le pot-aux-roses, et force Georges à rendre à Alexandre toutes les lettres d'amour qu'il a reçues de lui. Alexandre refuse cependant de remettre au père Lauzon les lettres d'amour de Georges et, dans le train qui le ramène chez lui, les déchire et les jette par la fenêtre, avant de se jeter lui-même du train en marche.

Georges regrette alors encore plus d'avoir rendu ces lettres, d'autant qu'il a essayé de faire savoir à Alexandre dans une nouvelle lettre qu'il n'avait agi que sous la contrainte. Avant l'enterrement, le père Lauzon, qui l'a obligé à rendre les lettres, lui rend visite et nie maintenant que la mort d'Alexandre ait quoi que ce soit à voir avec la fin forcée de leur relation. Georges lui remet la lettre qu'il avait écrite, lui dévoilant ses projets de revoir Alexandre pendant l'été.

Le metteur en scène Delannoy présente l'adaptation cinématographique du roman par les mots suivants :

« Ce film se déroule dans une époque déjà lointaine. L'histoire qu'il raconte ne serait plus tout à fait la même aujourd'hui. La discipline n'est plus aussi sévère dans les collèges, et les méthodes éducatives ont beaucoup changé. Mais ce qui ne changera jamais, ce qui reste éternel, ce sont les émotions que l'on éprouve au seuil de l'adolescence[1]. »

Jean Delannoy laisse ouverte la question de savoir jusqu'où allaient les sentiments de Georges et d'Alexandre. .

NOTES•Comme il le raconte lui-même, c’est parmi les figurants de ce film que Roger Peyrefitte rencontra Alain-Philippe Malagnac, alors âgé de 12 ans et demi. Il entretiendra une longue relation avec lui et cela sera le sujet de plusieurs livres qu’il écrira par la suite[3].
•Le film représentera la France au Festival de Venise en 1965.
•Le 29 octobre 1974, le film sert d'introduction à un débat de l'émission Les Dossiers de l'écran de la chaîne Antenne 2 sur le thème « Des amitiés particulières aux amours interdits ». C'est une des premières fois que ce sujet est présenté à une heure de grande écoute à la télévision française.


COMMENTAIRE : "je remarque que l'acteur qui a joué le rôle du petit Alexandre ne figure dans aucun casting ni résumé du film....on peut le comprendre si ça reste douloureux pour lui" claudio

 

 


Par CAVAILLONGAY - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Samedi 28 octobre 6 28 /10 /Oct 17:13

wah ! le mec !-"une boîte de 12 durex svp"  - "voici" - "merci ! au-revoir..."

Image associée 

-que puis-je pour vous madame ?  

- non merci, rien  

-que puis-je pour vous madame ?  

- non merci, rien  

-que puis-je pour vous madame ?  

- non merci, rien  on est avec le monsieur...

                                   ********************                                     

- "mais, c'est où tu veux, quand tu veux ! ... 

...V

 

Image associée

 

-"même moi je n'y croyais pas !"

Image associée

 

Par LENET - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Samedi 28 octobre 6 28 /10 /Oct 17:09

  hypocrites ! Combien rêvent d’une bonne queue à sucer ou carrément pour se la prendre au cul ? Une fois de plus je ne sais pas dire si Freud n'avait pas raison de voir en tous les hommes (et toutes les femmes ???) des bisexuels. n'est-ce pas qu'on peut commencer sa vie sexuelle comme hétéro et la finir gay 100% ! ?      « Les lieux gay », étant ouverts au public sans carte d'identité sexuelle -lol- ne sont pas toujours fréquentés exclusivement par des gays ; des hétéros y viennent parfois incognito, ou « par erreur  »,  diront certains « Ah, je ne savais pas… » Bande de menteurs et d’hypocrites ! Combien rêvent d’une bonne queue à sucer ou carrément pour se la prendre au cul ? Je n’ai jamais vu dans ces endroits un hétéro s’offusquer en prenant une main au cul, bien au contraire : en fait ils sont venus là pour ça !  

  Résultat de recherche d'images pour "bunch of lost condoms on the soil of the locker-room" 

Cela me remet en mémoire une soirée torride dans un bar homo. J’avais surpris le manège d’un habitué qui avait repéré un jeune hétéro de 18-20 ans. Le salaud se frottait ouvertement à lui, et le jeune n'y semblait pas insensible. Quelques mots au creux de l’oreille et ils se dirigèrent vers un recoin sombre et discret. J’ai attendu quelques minutes et je suis allé fureter discrètement. Connaissant bien les lieux, je me suis approché doucement pour espérer mater un plan hot. J’avais déjà surpris ce genre de scène, et cela m’avait terriblement excité. Le jeunot était déjà à genoux à pomper la belle bite qui se dressait face à lui. Me voyant, il parut affolé de s’être fait surprendre et tentait de se relever ; il m’a fallu le rassurer rapidement en plaçant mes mains sur ses épaules pour qu’il reste à genoux et finisse sa pipe. Pour le mettre en confiance, je m’étais accroupi derrière lui pour lui caresser le sexe à travers son pantalon. Le salaud était tellement excité qu’il le dégrafa aussitôt pour le baisser jusqu’aux chevilles.

 

Pendant qu’il pompait toujours cette queue, j’ai passé ma main entre ses jambes qu’il tentait d’écarter et je l’ai branlé. De temps à autre mon majeur passait sur sa rondelle, et à chaque fois je l’entendais geindre en remuant ses fesses. Pendant qu’il suçait, je m’occupais de lui en lui débitant des tas de cochonneries à l’oreille :

 

— Vas-y, fais-la cracher cette belle bite ! Pompe-la bien à fond! Écarte tes fesses, mon chéri, que je te doigte. Tu vas voir, il va t’inonder la bouche.

 

J’avais à peine fini ma phrase que le pompé donnait un violent coup de reins en éjaculant copieusement.

 

Le jeune hétéro était en transe ; s’aidant de ses deux mains, il branlait cette bite comme pour lui vider complètement les couilles. À son tour, je le sentais prêt à exploser, et comme je ne cessais pas  ma masturbation, il gicla tout son jus sur ma main. Le pompé s’était déjà rhabillé, puis, claquant une bise à son bienfaiteur, il retourna tranquillement au bar. Je caressais les fesses du jeunot en badigeonnant sa raie de son propre foutre. Le salaud était aux anges. Il me remercia timidement, presque honteusement, je n'interrompis pas mon manège et mes doigts, enduits de son sperme, exploraient son petit anus serré, puis son rectum et ses deux sphincters successifs. il s'appuyait sur moi, me faisant connaître son état mental. Je lui embrassai longuement le cou puis les épaules et les tétons et déclenchai de petits gémissements discrets. Nous étions seuls et probablement cela l'encouragea à accepter plus : baiser sur les lèvres se transformant en pelle...Je compris que ses réticences étaient vaincues quand il mélangea goulûment sa langue et sa salive aux miennes. Nous entrions en paradis ! Il avait la fièvre, celle de découvrir comment j'étais fait et surtout en bas. Il ne pouvait pas être déçu. Tout au plus inquiet pour une part peut-être : celle de se prendre un gros calibre.

J'ai été comme lui il y a quelques années. Le désir intense triomphe de la peur, quel que soit le risque. Si un gars veut se faire mettre il n'y a rien qui puisse l'arrêter.

Image associée

Je continuai à l'enivrer de tous les gestes, de tous les frottements les chuchotis accompagnés de mon haleine dans son oreille.

Image associée 

Et il fallait rester très discret pour ne pas l'effaroucher et le transformer en Cendrillon au 12e coup de minuit. Première fois ? comment savoir, et puis qu'est-ce que ça peut faire ? Le travail de mes doigts s'avérait efficace : il haletait et couinait gentiment et je faisais attention de ne pas irriter sa Porte des Délices. Je lui montrai mon tube de gel et il me fit ""ok" dans un souffle. Ca m'aidait . Sa queue, longue à souhait, restait demi-molle et je la branlais doucement tandis qu'il m'en faisait de même. La fièvre montait encore. Il ne me demanda pas de mettre un préservatif et, queue à la main je m'aventurai sur son petit anneau à travers ue bonne couche de lube. Je vous raconte pas : une fois son acceptation acquise, tout se déroula comme une bonne, une excellente baise -pour lui et pour moi-. Il eut mon sperme dans son boyau et je pense qu'il en fut content. Je le branlai, je le suçai et le fis juter encore. Un innocent comme ça, j'avalai tout ce qu'il voulut me donner. Douche. Vestiaire. Sa douce petite voix me dit merci. je vis son alliance d'"hétéro" marié. Dernier bécot. on avait tous les deux pris le meilleur sur sa rencontre précédente où il s'était borné à une fellation. Puis, comme son amant précédent il se rhabilla pour non pas rejoindre le bar, mais plutôt pour fuir l’établissement en toute discrétion. Ah, les hétéros, que de bons souvenirs ! les alliances ça ne veut rien dire ! ¤  

Image associée

 

 

Image associée non, les alliances au doigt ici ça ne veut rien dire ! 

 

  notes /   saunas~> Je dis « ces lieux  gay », mais bien souvent ils ne sont pas fréquentés que par des gays ; des hétéros y viennent  incognito, ou alors par erreur diront certains « Ah, je ne savais pas...


commentaire : poster à claudemodou@gmail.com  meci   

 

Par AURESTE - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Voir les 0 commentaires
Vendredi 27 octobre 5 27 /10 /Oct 07:48

AMOURS GAY, et nous alors, les gays ? 

Vous vous mettez le doigt dans l'oeil...jusqu'aux c...

Se mettre le doigt dans l'oeil...

 

CERTES ...l'éternité de l'amour hét' à la Pia, certes, certes ...sans conteste nous sommes le résultat des amours de nos parents, mais

 

MAIS L'EMOTION GAY C'EST LA MEME !

 

 

 

 

EGALITE POUR TOUS : "pauvres diables" révisé avec la nouvelle donne : 20% de jeunes qui se reconnaissent LGBTQ aux USA

Vous les femmes, mecs, vous le charme
Vos sourires nous attirent nous désarment
Vous les anges, adorables
Et nous sommes nous les hommes pauvres diables

Avec des milliers de roses on vous entoure
On vous aime et sans le dire on vous le prouve
On se croit très forts on pense vous connaître
On vous dit toujours, vous répondez peut-être

Vous les femmes,mecs, vous mon drame
Vous si douces, vous la source de nos larmes
Pauvres diables, que nous sommes
Vulnérables, misérables, nous les hommes

Pauvres diables, pauvres diables ....

Dès qu'un autre vous sourit on a tendance
A jouer plus ou moins bien l'indifférence
On fait tout pour se calmer puis on éclate
On est fous de jalousie et ça vous flatte

Vous les femmes mecs vous le charme
Vos sourires nous attirent nous désarment
Pauvres diables que nous sommes
Vulnérables, misérables, nous les hommes

Pauvres diables, Pauvres diables, Pauvres diables


commentaire :
Par JULIO- - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • CAMION 07 GAY
  • CRUISING AREA 1
  • FABIEN 24030023
  • CAMION 20 trucker fags in denial
  • BASTIEN 26.1 KILER MOSSpg
  • FABIEN 24030026

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés