Partager l'article ! saunas~> Je dis « ces lieux gay », mais bien souvent ils ne sont pas fréquentés uniquement par des gays ; des hétéros y viennent incognito, o ...
hypocrites ! Combien rêvent d’une bonne queue à sucer ou carrément pour se la prendre au cul ? Une fois de plus je ne sais pas dire si Freud n'avait pas raison de voir en tous les hommes (et toutes les femmes ???) des bisexuels. n'est-ce pas qu'on peut commencer sa vie sexuelle comme hétéro et la finir gay 100% ! ? « Les lieux gay », étant ouverts au public sans carte d'identité sexuelle -lol- ne sont pas toujours fréquentés exclusivement par des gays ; des hétéros y viennent parfois incognito, ou « par erreur », diront certains « Ah, je ne savais pas… » Bande de menteurs et d’hypocrites ! Combien rêvent d’une bonne queue à sucer ou carrément pour se la prendre au cul ? Je n’ai jamais vu dans ces endroits un hétéro s’offusquer en prenant une main au cul, bien au contraire : en fait ils sont venus là pour ça !
Cela me remet en mémoire une soirée torride dans un bar homo. J’avais surpris le manège d’un habitué qui avait repéré un jeune hétéro de 18-20 ans. Le salaud se frottait ouvertement à lui, et le jeune n'y semblait pas insensible. Quelques mots au creux de l’oreille et ils se dirigèrent vers un recoin sombre et discret. J’ai attendu quelques minutes et je suis allé fureter discrètement. Connaissant bien les lieux, je me suis approché doucement pour espérer mater un plan hot. J’avais déjà surpris ce genre de scène, et cela m’avait terriblement excité. Le jeunot était déjà à genoux à pomper la belle bite qui se dressait face à lui. Me voyant, il parut affolé de s’être fait surprendre et tentait de se relever ; il m’a fallu le rassurer rapidement en plaçant mes mains sur ses épaules pour qu’il reste à genoux et finisse sa pipe. Pour le mettre en confiance, je m’étais accroupi derrière lui pour lui caresser le sexe à travers son pantalon. Le salaud était tellement excité qu’il le dégrafa aussitôt pour le baisser jusqu’aux chevilles.
Pendant qu’il pompait toujours cette queue, j’ai passé ma main entre ses jambes qu’il tentait d’écarter et je l’ai branlé. De temps à autre mon majeur passait sur sa rondelle, et à chaque fois je l’entendais geindre en remuant ses fesses. Pendant qu’il suçait, je m’occupais de lui en lui débitant des tas de cochonneries à l’oreille :
— Vas-y, fais-la cracher cette belle bite ! Pompe-la bien à fond! Écarte tes fesses, mon chéri, que je te doigte. Tu vas voir, il va t’inonder la bouche.
J’avais à peine fini ma phrase que le pompé donnait un violent coup de reins en éjaculant copieusement.
Le jeune hétéro était en transe ; s’aidant de ses deux mains, il branlait cette bite comme pour lui vider complètement les couilles. À son tour, je le sentais prêt à exploser, et comme je ne cessais pas ma masturbation, il gicla tout son jus sur ma main. Le pompé s’était déjà rhabillé, puis, claquant une bise à son bienfaiteur, il retourna tranquillement au bar. Je caressais les fesses du jeunot en badigeonnant sa raie de son propre foutre. Le salaud était aux anges. Il me remercia timidement, presque honteusement, je n'interrompis pas mon manège et mes doigts, enduits de son sperme, exploraient son petit anus serré, puis son rectum et ses deux sphincters successifs. il s'appuyait sur moi, me faisant connaître son état mental. Je lui embrassai longuement le cou puis les épaules et les tétons et déclenchai de petits gémissements discrets. Nous étions seuls et probablement cela l'encouragea à accepter plus : baiser sur les lèvres se transformant en pelle...Je compris que ses réticences étaient vaincues quand il mélangea goulûment sa langue et sa salive aux miennes. Nous entrions en paradis ! Il avait la fièvre, celle de découvrir comment j'étais fait et surtout en bas. Il ne pouvait pas être déçu. Tout au plus inquiet pour une part peut-être : celle de se prendre un gros calibre.
J'ai été comme lui il y a quelques années. Le désir intense triomphe de la peur, quel que soit le risque. Si un gars veut se faire mettre il n'y a rien qui puisse l'arrêter.
Je continuai à l'enivrer de tous les gestes, de tous les frottements les chuchotis accompagnés de mon haleine dans son oreille.
Et il fallait rester très discret pour ne pas l'effaroucher et le transformer en Cendrillon au 12e coup de minuit. Première fois ? comment savoir, et puis qu'est-ce que ça peut faire ? Le travail de mes doigts s'avérait efficace : il haletait et couinait gentiment et je faisais attention de ne pas irriter sa Porte des Délices. Je lui montrai mon tube de gel et il me fit ""ok" dans un souffle. Ca m'aidait . Sa queue, longue à souhait, restait demi-molle et je la branlais doucement tandis qu'il m'en faisait de même. La fièvre montait encore. Il ne me demanda pas de mettre un préservatif et, queue à la main je m'aventurai sur son petit anneau à travers ue bonne couche de lube. Je vous raconte pas : une fois son acceptation acquise, tout se déroula comme une bonne, une excellente baise -pour lui et pour moi-. Il eut mon sperme dans son boyau et je pense qu'il en fut content. Je le branlai, je le suçai et le fis juter encore. Un innocent comme ça, j'avalai tout ce qu'il voulut me donner. Douche. Vestiaire. Sa douce petite voix me dit merci. je vis son alliance d'"hétéro" marié. Dernier bécot. on avait tous les deux pris le meilleur sur sa rencontre précédente où il s'était borné à une fellation. Puis, comme son amant précédent il se rhabilla pour non pas rejoindre le bar, mais plutôt pour fuir l’établissement en toute discrétion. Ah, les hétéros, que de bons souvenirs ! les alliances ça ne veut rien dire ! ¤
non, les alliances au doigt ici ça ne veut rien dire !
notes / saunas~> Je dis « ces lieux gay », mais bien souvent ils ne sont pas fréquentés que par des gays ; des hétéros y viennent incognito, ou alors par erreur diront certains « Ah, je ne savais pas...
commentaire : poster à claudemodou@gmail.com meci
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