CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES

Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 08:28

 

 

et vous croyez avoir mérité de baiser ces jolis tendrons ?

 

 

 

 

“ Meine Frau Mona, nehmt sie Euch. Ich will sehen wie Ihr sie benutzt! My Wife Mona ” Can someone translate this for me?

 

Emmanuelle vendue comme les autres esclaves

la réalité dépasse la fiction, si Emmanuelle n'existe pas, ce marché aux esclaves oui !  

eurabiaproject: “ Naked and afraid in a foreign land. Having surrendered without a fight, surplus European women were exported to North African countries as “Eurotrash”, to serve as all-purpose slaves to their Muslim masters. Their old decadent lives...

Elle n’oubliera jamais comment elle a été séparée de son mari. Bushra et sa belle-soeur d’un côté, les hommes de l’autre. « Triés » au milieu de la nuit à un check point, un carrefour stratégique qui mène à MOSSOUL, le fief des « hommes sans âme ». Elle sait ce qu’il est advenu des maris et des frères, au moins d’une partie d’entre eux : « Ils les ont tués », dit-elle. Elle, ils l’ont épargnée. « On nous a fait monter à l’arrière d’un pick-up. Nous étions 25, des femmes et des enfants. Au check point suivant, entre Sinjar et Bahadj, le conducteur s’est arrêté et il a dit : “Nous avons des femmes pour vous.”» Esclave. Ça ressemble à quoi, une esclave, aujourd’hui ? A Bushra, 22 ans. Pommettes hautes et yeux en amande, elle a gardé les joues rondes d’une adolescente. Son visage porte des traces d’acné et les cicatrices d’une vie au grand air. D’abord repliée sur elle-même, elle révèle vite un tempérament affirmé. Là où d’autres murmurent, yeux baissés, elle garde la tête haute, agite ses mains comme pour conforter les mots qui, précis, se bousculent. Elle raconte le départ sous bonne garde vers l’ancienne école de Bahadj transformée en prison. Par crainte des frappes aériennes, prétendent les geôliers. Par la fenêtre d’une des geôles, Bushra a vu des garçons rassemblés dans une cage à ciel ouvert, au milieu de la cour de récréation. Vingt hommes pris au piège, comme dans un chenil.¤ PARIS MATCH 

Homosexuels brûlés vifs en Irak 

Capture video on vous épargnera de passer la vidéo live

http://www.europe-israel.org/2014/07/homosexuels-brules-vifs-en-irak-par-des-islamistes-video-de-2011/

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2016 Dieu ne vous pardonnera jamais cette cruauté :

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1940-45

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EG4


Djihad : après la fable des 70 vierges pour chacun des martyrs, celle des 70 parents à "racheter"        

Le djihad pour sauver soixante-dix parents et amis

Le djihad pour sauver soixante-dix parents et amis
La fable des 70 vierges offertes après sa mort au supposé « martyr » du djihad a fait couler beaucoup d’encre.

 

Afficher l'image d'origineque c'est beau !

 

Vous êtes en danger que votre Dieu, et le nôtre, vous nous viennent en aide .

et nos mères ... peuvent s'embrasser

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peuvent s'embrasser !

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Par AIE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 06:41

il n'est pas étonnant que Jean   Genet habite son esprit puisque, homo, il"fricotte" avec la violence 

    Propulsé sur le devant de la scène littéraire en 2014 avec En finir avec Eddy Bellegueule (Seuil), Edouard Louis a consolidé sa position en publiant, début 2016, Histoire de la violence, puissant roman sur le viol subi par l’écrivain après une rencontre le soir de Noël 2012 avec "Reda". L’histoire de ce roman s’est prolongée à la barre du tribunal puisque le violeur présumé a poursuivi Edouard Louis pour atteinte à la présomption d’innocence.

Edouard Louis

 

  après « En finir avec Eddy Bellegueule »Publié le 5 janvier 2016 à 07h00  avouez-le : il a une belle gueule l'Edouard 

Édouard Louis revient après « En finir avec Eddy Bellegueule » Édouard Louis © John Foley - Opale

Déménager

L’année dernière, on rencontrait Édouard Louis au coin de la rue, avec des cartons. « Je déménage de l’autre côté de la place de la République. » On avait plaisanté : « La rançon du succès, la richesse soudaine, - la possibilité d’habiter cinq cents mètres plus loin, tellement plus chic. » Il avait répondu, souriant : « évidemment. » Édouard Louis est souvent souriant. Et bien sûr on n’avait pas pensé – on ne pense jamais à tout – que l’écrivain quittait son appartement parce qu’il avait été

victime d’une « tentative d’homicide », expression qu’il n’aime pas. C’est en lisant son deuxième roman, « Histoire de la violence », titre qui fait penser à un travail de sociologie ou à l’oeuvre de Michel Foucault, qu’on le comprend. Il confirme. Après cette agression, il ne pouvait plus habiter chez lui, dans son 20 mètres carrés de la rue du Faubourg du-Temple, au-dessus du café à La Bonne Bière, l’endroit lui était devenu insupportable. Ne pas se méprendre : le viol et la tentative d’assassinat que raconte Édouard Louis dans « Histoire de la violence » n’est pas une conséquence du succès phénoménal d’« En finir avec Eddy Bellegueule », même si, effectivement,

(pas ordinaire)l’écrivain ne peut pas revenir dans son village d’origine sans prendre le risque que son frère le tue. Comme dans son précédent livre, Édouard Louis relate une histoire vraie. C’est une rencontre, la nuit de Noël, place de la République. La plupart des gens sont avec leur famille. Lui a dîné avec ses meilleurs amis, Didier et Geoffroy. Il retourne chez lui, ses cadeaux sous le bras, un jeune homme l’aborde, et Édouard Louis écrit dans son roman qu’il aime « le bruit de sa respiration », mais qu’il veut rentrer dormir, seul et rapidement. Que se passe-t-il pour que ce projet de solitude ne tienne pas ? « Je m’attache très facilement, dit Édouard Louis. Je suis tellement mal à l’aise avec tout le monde que, dès que quelqu’un est gentil et généreux avec moi, j’ai tendance à l’aimer. » L’écrivain ajoute, citant Jean Genet : « J’écris pour que l’on m’aime… » Et après un silence : « Mais aussi pour qu’on ne m’aime pas. » Le jeune violeur s’appelle Reda.

Être aimé, être honni

Une année qui commence par la découverte d’un écrivain est forcément une bonne année. Quand paraît en janvier 2014 « En finir avec Eddy Bellegueule », rien n’indique que ce premier roman de ce très jeune homme sera en tête des ventes pendant six mois. Le Seuil a mis du temps à faire paraître le manuscrit, reçu en novembre 2012. Le premier tirage à 2 500 exemplaires montre qu’il aura sans doute le sort commun de beaucoup de premiers romans : au mieux, un succès d’estime. Or, rapidement, les signes que quelque chose d’extraordinaire survient, se multiplient. De fait, il apparaît que tout le monde se reconnaît dans ce livre qui traite de violence et d’ostracisme, alors même qu’Eddy Bellegueule, alias Édouard Louis, a un destin d’exception : est-il si fréquent qu’un étudiant issu du prolétariat soit admis à l’école normale supérieure, puis écrive son premier roman à si peu de distance, comme si l’enfance et l’adolescence étaient déjà loin ? Existe-t-il d’autres écrivains, dont le premier acte littéraire est d’afficher le projet d’ « en finir avec » son identité de naissance ? Certes, Édouard Louis n’est pas le premier à user d’un pseudonyme. Mais il est le seul à accompagner ce geste d’une agressivité si ostentatoire, contenue dans le titre même du roman. Un titre comme un programme où il s’agit de faire la peau à celui qu’il a été, petit garçon malheureux, dans un village de la Somme, perclus de chômage et de misère, de Front national et d’homophobie. Dans ce premier roman, l’écrivain décrivait la violence qui l’a façonné, les insultes homophobes, longtemps intériorisées. à ses lecteurs, il disait : « Le courage, ce n’est pas de rester, c’est de fuir. » S’extraire de son milieu d’origine, quand il vous absorbe, tel un foie malade. Dans le deuxième, il raconte comment, au contraire, face à l’agresseur, il est resté statique, dans l’impossibilité de se sauver, de quitter le lieu du crime, « happé par la situation », ou l’envie de rétablir un contact avec le jeune homme, voleur, étrangleur, et qui sera, tout de suite après, violeur. Espérer que ce ne soit qu’une blague, un jeu, et qu’il soit encore possible de nier l’agression.

Avoir honte, être fier

Pour lui, la honte et la fierté sont le revers d’une même pièce, la Gay Pride n’existerait pas sans la honte que produit la stigmatisation. Mais la honte est aussi ce qui se grave le mieux dans la mémoire, la sollicite supérieurement. Il dit qu’il n’a jamais écrit sans honte, honte que ses
livres ne soient pas meilleurs, qu’il s’agisse d’« En finir avec Eddy Bellegueule » ou d’« Histoire de la violence », « livres de jeunesse avec leurs maladresses ». Il pourrait légitimement être fier d’avoir réussi un concours aussi difficile que l’école normale supérieure dont il vient juste de clore le cursus. C’est un sentiment plus mélangé qu’il éprouve. Il s’est senti trop mal à l’aise dans l’institution dont il ne maîtrisait pas les codes. Il raconte comment il a tenté d’infiltrer coteries et clubs privés, ou d’entrer dans des réseaux. Et que c’est à ce moment-là que l’accident Reda est arrivé. Il n’est pas loin de dire qu’il comprend que Reda ait voulu tuer le jeune homme si blond, si beau, si impeccable, qui mentait sur son origine sociale, portait une lavallière, et affichait, c’est lui qui le dit, un mépris de classe. Honte d’avoir eu honte de ses origines, et de porter un « masque si convaincant qu’on croit toujours qu’il est de l’autre côté », dit sa sœur dans ce deuxième livre. En revanche, Édouard Louis n’a jamais honte des histoires qu’il raconte ou qui lui arrivent. « ça ne me coûte pas émotionnellement de me rappeler le passé. Je souffre trop du futur… » dit-il de manière énigmatique.

Vainement recherché suite à la plainte pour viol, il se dévoile. Reda B. assigne en référé le jeune écrivain et son éditeur

 

Une œuvre littéraire peut-elle constituer une pièce à conviction dans une affaire pénale? Voici un des enjeux de l’affaire sur laquelle devaient plancher le 18 mars les magistrats de la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris. Héros malgré lui du dernier livre d’Edouard Louis, «Histoire de la violence», Reda B. vient d’assigner en référé le jeune écrivain et son éditeur pour «Atteinte à la présomption d’innocence» et «Atteinte à la vie privée». Il demande l’insertion d’un encart dans chaque exemplaire du livre ainsi que 50.000 euros de dommages et intérêts.

L’histoire commence le 7 janvier dernier, lors de la sortie d’«Histoire de la violence» aux Editions du Seuil. Encensé par une partie de la critique, le livre raconte le viol qu’affirme avoir subi Edouard Louis lors du réveillon de Noël 2012. «Dans ce livre, il n’y a pas une seule ligne de fiction», déclare alors l’écrivain dans un entretien à «Livres Hebdo». Le violeur est identifié sous le diminutif de Reda, kabyle d’une trentaine d’années, qui accoste Edouard Louis place de la République, à Paris.

Sous le charme, Louis l’invite à son domicile. Les deux hommes font l’amour plusieurs fois, avant que la relation ne dégénère, Reda volant le téléphone portable d’Edouard Louis, puis le violant sous la menace d’un pistolet. Histoire similaire à celle relatée par Eddy Bellegueule - le premier nom d’Edouard Louis -, dans sa déposition faite à la police le 25 décembre 2012. Une plainte qui, jusqu’à la sortie d’«Histoire de la violence», n’avait pas permis de retrouver le fameux Reda.

  'Edouard Louis

Les illusions éperdues d'Edouard Louis Edouard Louis. (©Jean-Luc Bertini pour L'OBS) (putain il est attirant le petit normalien "prolo", pas étonnant qiu'il se fasse violer -lol- )   tout cela ne serait-il que de la littérature et de la promotion ??? 

  Portrait :

au Café de la Paix, pull bleu marine de jeune catho tradi et parfum boisé luxurieux, à la fois enfantin et plein d’autorité, poli jusqu’à l’extrême, et cependant toujours prêt aux aveux les plus risqués. «Edouard il met un masque et il joue tellement bien son rôle qu’au final ceux qui lui ressemblent ils l’attaquent en pensant qu’il est du camp adverse.»

C’est sa soeur qui parle ainsi dans «Histoire de la violence», le nouveau récit qu’Edouard Louis publie en ce mois de janvier, soit deux ans après «En finir avec Eddy Bellegueule», véritable phénomène d’édition vendu à 300.000 exemplaires aux Editions du Seuil.

Un livre au succès désormais mondial, où l’ex-élève de Normale-Sup, petite star de l’intelligentsia bourdieusienne, narrait son passé de jeune prolo gay, entre assommoir social, brimades homophobes et violent désir de s’arracher à sa classe, jusqu’à changer d’état civil et à se réinventer à travers un sage patronyme de notable versaillais.

A ce petit livre puissant, «Pour en finir avec Eddy Bellegueule», acte politique autant que littéraire, qui déclencha plusieurs salves de polémiques, certains allant jusqu’à douter de la véracité de la fresque picarde à la Dickens dressée par l’auteur, «Histoire de la violence» vient aujourd’hui apporter une sorte de préquel pour définir la situation au départ, les faits rapportés ici étant antérieurs à la parution dudit best-seller. 

 

 

 

 

 

Par BELEDOUARD VS REDA - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 06:10

     le voleur dérape, frappe, étrangle, viole son amant. Puis s’enfuit en quémandant son pardon. Scène enfiévrée digne de Dostoïevski, Genet, Pasolini ? Scène archaïque de tragédie antique autour de laquelle va s’enrouler tout le roman, deux cent quarante pages durant…génial quand même !  

 

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http://bibliobs.nouvelobs.com/romans/20160107.OBS2369/les-illusions-eperdues-d-edouard-louis.html

    au fond c'est quand il s'est aperçu que" Reda", qui s'appelle Riahd selon toute vraisemblance, lui a volé son téléphone portable, que les choses se sont envenimées   

il est alors un jeune normalien bourdieusien hyperconscientisé surjouant compulsivement le bourgeois, lorsqu’une nuit, la veille de Noël, place de la République, il tombe sur Reda, fils d’ouvrier kabyle, un autre «dominé» qui lui aussi porte un masque social, et qu’il ramènera chez lui, pour une nuit de plaisir et de terreur, vouée à ne jamais s’effacer de sa mémoire.

« Histoire de la violence », au titre si foucaldien, est avant tout l’histoire d’un coup de foudre qui va dégénérer en viol et en ce qu’il faut bien appeler, dans les eaux glacées du vocabulaire judiciaire, une «tentative d’homicide». Au petit matin, c’est aux urgences médico-légales que le jeune homme échouera en effet avec ses illusions éperdues, à cause d’un garçon qui le désirait autant qu’il avait honte de son désir.

    A ce moment-là encore, ce dernier était recherché par la police, même si Edouard Louis n’a finalement pas souhaité donner suite à sa plainte initiale, et s’il ne répond jamais aux convocations qu’il reçoit. Ce jeune homme-là, il ne cesse dans la conversation de l’appeler «Reda», avec familiarité, presque avec douceur. On s’en étonne auprès de lui. «Je le hais pour ce qu’il a fait, hésite-t-il un temps. Mais, en même temps, c’était une passion charnelle alors. Alors...»SUITE DE L'Article réservé aux abonnés

 Riahd, le vrai n'est pas venu au procès, les personnes ci-dessous s'appellent toutes Riahd  

 

Moi B-Boy RIADH

  Riahd B. google images  

  Afficher l'image d'origine  Riahd B. ? google images  

    Riahd B. aurait pas moins de cinq identités différentes, dans le dossier pénal où il est poursuivi pour viol, et dans le dossier civil. “Je n’ai aucune pièce me permettant de faire un lien entre le « demandeur » et la personne mise en détention. L’un s’appelle Ryad B. et l’autre Reda M. ; l’un est né en Algérie, l’autre au Maroc… Alors je vous le demande : qui est votre client ?“. Les avocats du plaignant, Thomas Ricard et Matthieu de Vallois, deux trentenaires barbus, expliquent le flou identitaire de leur client par son statut de sans-papier : “Quand on est sans-papier sur le territoire français et en situation irrégulière, quand on peut à tout moment être reconduit à la frontière, qu’est-ce qu’on fait ? On donne aux autorités une autre identité“.

Sortant soudain de son silence, l’avocat d’Edouard Louis, Emmanuel Pierrat, la cinquantaine chevronné, raille ses jeunes congénères : “Nos confrères ne savent même pas par qui ils sont mandatés ! Est-ce qu’un écrivain peut rendre identifiable un individu dont les avocats ne savent même pas qui il est ?”. Riposte du camps adverse : “Est-ce qu’un sans papier peut faire respecter sa présomption d’innocence ? D’ailleurs, quel est le nom de votre client : Edouard Louis ou Eddy Bellegueule ?“. Le ton est monté d’un cran à la 17e chambre, ce tribunal très médiatique aux boiseries claires et au plafond ornementé, vieil hôte habitué des épopées judico-littéraires.

(…) Les Inrocks


 

09/03/16

Dans “Histoire de la violence”, le jeune écrivain raconte avoir été violé par un certain Reda. Celui-ci, actuellement en prison, l’attaque pour atteinte à la présomption d’innocence. Enquête.

(…) Le Nouvel Obs


 

07/01/16

Critique par Télérama du livre autobiographique d’Edouard Louis (ex:Eddy Bellegueule)

(..) Edouard l’a rencontré en rentrant chez lui, place de la République, après un réveillon avec ses amis Didier et Geoffroy. Reda cherchait l’aventure, voulait boire un verre, lui contant l’histoire de son père, émigré kabyle. Vaguement séduit, Edouard l’invite à monter dans le studio qui va devenir la scène de crime d’un odieux huis clos. Après avoir fait l’amour, Edouard — l’enfant pauvre, exclu et mal aimé d’ En finir avec Eddy Bellegueule, le premier roman confession (2014) — s’aperçoit que Reda a piqué son téléphone. Il réagit mal. Tout se détraque. Paniqué, le voleur dérape, frappe, étrangle, viole son amant. Puis s’enfuit en quémandant son pardon. Scène enfiévrée digne de Dostoïevski, Genet, Pasolini ? Scène archaïque de tragédie antique autour de laquelle va s’enrouler tout le roman, deux cent quarante pages durant…

(…)

 

 

Comme son maître en Philosophie,  Pierre Bourdieu, Edouard Louis pense que la violence noue et dénoue les relations sociales. Les contamine. Alors il a voulu en faire son arène littéraire. Histoire qu’on la reconnaisse et peut-être l’arrête. Son violeur et meurtrier Reda n’est-il pas le dernier maillon d’une longue chaîne de terreurs infligées par l’Histoire et la société à son peuple kabyle, à sa classe de migrants ? Lui-même Edouard, avant d’être sauvé par les études, n’a-t-il pas volé comme Reda, son voleur ? Est-il si loin de son bourreau ? Voilà pourquoi il hésite tant à porter plainte au commissariat, se sent raciste après sa déposition. Se méprise. Dans sa composition chahutée et quasi plastique — cubiste, expressionniste ? —, Edouard Louis fait entendre que c’est en pénétrant la violence du monde qu’on trouvera la vérité cachée de notre société ; en se mettant du côté de ceux qu’elle tyrannise qu’on déchiffrera ses secrets et pourra les effacer. Car la violence engendre la violence, disait déjà la Bible. Et ceux qui en sont victimes la reproduisent sur d’autres. »  

[Un témoignage corrobore ces faits " ces gars pris sur le fait nieraient jusqu'à se faire tuer et l'objet volé leur appartient déjà...la rage du Riahd en question n'est pas si surprenante, là, avec les empreintes et les traces ADN relevées, il y a peu de doute possible". Un homme qu'il a fécondé ne portera pas plainte, dans la tête de Riahd, c'est trop dégradant à avouer pour un mec ! ]  

 

(…) Télérama

 

Afficher l'image d'origine Riahd B. ? google images  

Afficher l'image d'origine Riahd B.? google images   craquant celui-ci -lol-   

 

 

 

 

 

Photo Yann Rabanier pour Les Inrockuptibles

Le procès, à lire sur Libération   

Mercredi 9 mars 2016, l’Obs révèlait que l’agresseur présumé dont Edouard Louis parle dans son deuxième roman, intitulé “Histoire de la violence“, attaquait l’auteur pour atteinte à la présomption d’innocence. Dans ce roman, l’écrivain retrace l’agression qu’il a subie le 25 décembre 2012 à travers plusieurs points de vue. Au final, Riadh B., qui poursuivait aussi Edouard Louis pour “atteinte à la vie privée“, a été débouté, rapporte Libération.

        L'audience a eu lieu le 18 mars 2016 et s’est déroulée par avocats interposés, Edouard Louis et Riahd B. n’étant pas là. Dans le livre, l’agresseur n’est évoqué que sous le nom de Reda. L’homme avait été arrêté le 11 janvier, quatre jours après la sortie du roman, pour une “affaire de stupéfiants“. Le relevé de ses empreintes aurait permis de l’identifier, selon le Nouvel Obs. Son ADN serait aussi similaire avec les traces trouvées dans l’appartement d’Edouard Louis.

A l’époque, l’avocat d’Edouard Louis avait fait remarquer que le nom Reda était porté par beaucoup de personnes, ajoutant :

“Louis délivre dans son ouvrage les mêmes éléments que ceux qu’il a donnés aux policiers. Aujourd’hui encore, personne ne sait qui est Reda: dans les documents judiciaires qui nous ont été transmis, il est présenté sous trois identités différentes.”

Libération rapporte notamment que les avocats d’Edouard Louis se réjouissent que “la liberté d’expression, mais aussi celle de communiquer au public une œuvre littéraire sans crainte de faire l’objet d’une quelconque censure, soient donc respectées entièrement”.

 

Être aimé, être honni

Une année qui commence par la découverte d’un écrivain est forcément une bonne année. Quand paraît en janvier 2014 « En finir avec Eddy Bellegueule », rien n’indique que ce premier roman de ce très jeune homme sera en tête des ventes pendant six mois. Le Seuil a mis du temps à faire paraître le manuscrit, reçu en novembre 2012. Le premier tirage à 2 500 exemplaires montre qu’il aura sans doute le sort commun de beaucoup de premiers romans : au mieux, un succès d’estime. Or, rapidement, les signes que quelque chose d’extraordinaire survient, se multiplient. De fait, il apparaît que tout le monde se reconnaît dans ce livre qui traite de violence et d’ostracisme, alors même qu’Eddy Bellegueule, alias Édouard Louis, a un destin d’exception : est-il si fréquent qu’un étudiant issu du lumpen-prolétariat soit admis à l’école normale supérieure, puis écrive son premier roman à si peu de distance, comme si l’enfance et l’adolescence étaient déjà loin ? Existe-t-il d’autres écrivains, dont le premier acte littéraire est d’afficher le projet d’ « en finir avec » son identité de naissance ? Certes, Édouard Louis n’est pas le premier à user d’un pseudonyme. Mais il est le seul à accompagner ce geste d’une agressivité si ostentatoire, contenue dans le titre même du roman. Un titre comme un programme où il s’agit de faire la peau à celui qu’il a été, petit garçon malheureux, dans un village de la Somme, perclus de chômage et de misère, de Front national et d’homophobie. Dans ce premier roman, l’écrivain décrivait la violence qui l’a façonné, les insultes homophobes, longtemps intériorisées. à ses lecteurs, il disait : « Le courage, ce n’est pas de rester, c’est de fuir. » S’extraire de son milieu d’origine, quand il vous absorbe, tel un foie malade. Dans le deuxième, il raconte comment, au contraire, face à l’agresseur, il est resté statique, dans l’impossibilité de se sauver, de quitter le lieu du crime, « happé par la situation », ou l’envie de rétablir un contact avec le jeune homme, voleur, étrangleur, et qui sera, tout de suite après, violeur. Espérer que ce ne soit qu’une blague, un jeu, et qu’il soit encore possible de nier l’agression.

Avoir honte, être fier

Pour lui, la honte et la fierté sont le revers d’une même pièce, la Gay Pride n’existerait pas sans la honte que produit la stigmatisation. Mais la honte est aussi ce qui se grave le mieux dans la mémoire, la sollicite supérieurement. Il dit qu’il n’a jamais écrit sans honte, honte que ses
livres ne soient pas meilleurs, qu’il s’agisse d’« En finir avec Eddy Bellegueule » ou d’« Histoire de la violence », « livres de jeunesse avec leurs maladresses ». Il pourrait légitimement être fier d’avoir réussi un concours aussi difficile que l’école normale supérieure dont il vient juste de clore le cursus. C’est un sentiment plus mélangé qu’il éprouve. Il s’est senti trop mal à l’aise dans l’institution dont il ne maîtrisait pas les codes. Il raconte comment il a tenté d’infiltrer coteries et clubs privés, ou d’entrer dans des réseaux. Et que c’est à ce moment-là que l’accident Reda est arrivé. Il n’est pas loin de dire qu’il comprend que Reda ait voulu tuer le jeune homme si blond, si beau, si impeccable, qui mentait sur son origine sociale, portait une lavallière, et affichait, c’est lui qui le dit, un mépris de classe. Honte d’avoir eu honte de ses origines, et de porter un « masque si convaincant qu’on croit toujours qu’il est de l’autre côté », dit sa sœur dans ce deuxième livre. En revanche, Édouard Louis n’a jamais honte des histoires qu’il raconte ou qui lui arrivent. « ça ne me coûte pas émotionnellement de me rappeler le passé. Je souffre trop du futur… » dit-il de manière énigmatique. 

 

 

Par les media - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 07:55

 

Marc-Olivier Fogiel évoque sa brouille avec Thierry Ardisson : "J'étais fâché. J'ai attaqué. J'ai gagné"

image: http://www.non-stop-people.com/sites/non-stop-people.com/files/styles/article/public/styles/paysage/public/images/2015/02/mof.jpg?itok=8CTOqCAi

Marc-Olivier Fogiel évoque sa brouille avec Thierry Ardisson : "J'étais fâché. J'ai attaqué. J'ai gagné"
(c) BestImage
 

Maintenant que Thierry Ardisson et Marc-Olivier Fogiel sont réconciliés, on découvre enfin l'origine de leur brouille. Le présentateur de la nouvelle émission, Le Divan [...]diffusée sur France 3, a ainsi expliqué au micro de France Inter que Thierry Ardisson avait dit "des choses qui ne se disent pas", en l'occurrence : "Si Fogiel est si agité à la télé­vi­sion, c’est parce qu’il est assis sur un gode".


Read more at http://www.non-stop-people.com/actu/tv/marc-olivier-fogiel-evoque-sa-brouille-avec-thierry-ardisson-jetais-fache-jai-attaque-jai#oG12vzAYDwUqipmz.99

 

 

Par NON STOP PEOLE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 22:57

  Oui, délicat à dire, mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire les articles        

 

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  le net a ses prédateurs

  Close up photograph of a terrifying, and beautiful, Tiger Beetle. Photo be Ted Macrae

  certains les apportent 

  Résultat de recherche d'images pour "terrifying beetles"     Résultat de recherche d'images pour "terrifying beetles"  Résultat de recherche d'images pour "terrifying beetles"

 

Par claudio - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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