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Les inhibitions ça commence très jeune. Par exemple : un bébé ça se branle au berceau, Freud vous le dit, le sexe, l'anus aussi, sont le siège du plaisir. Et la maman, idiote, lui giflette les menottes lui disant : "pas ça, bébé, touche pas là". Quand elles se racontent ça entre mamans ça me révolte ce qu'elles sont con(ne)s de croire que c'est trop tôt pour leur bébé d'intégrer la notion de plaisir.   

Rien n’était simple,

   sa femme restait là virtuellement entre nous 

Claude vivait assez mal ce qu’il faisait, et pas question que je lui lèche le cul par exemple

 sa femme femme femme restait là, virtuellement entre nous

Aussi, avec Claude, cela devait se résumer à des pipes . Il m’a enculé une fois, après plusieurs rendez-vous, voulant essayer. Je me donnai très volontiers en levrette, et il jouit rapidement avec une grande violence ; il faillit se sentir mal tellement il avait décollé. J’ai regardé avec un peu de regret le réservoir de la capote, lourd de jus blanc… C’est qu’avec Claude chaque rendez-vous était vécu avec culpabilité, en rapport à sa femme et il  traversait une longue période de déprime. Ce fut vraiment quand il n’en pouvait plus qu’il se résigna à se faire sucer par moi, même si son plaisir était évident, et s’il se montrait reconnaissant envers moi avec excès. Il me fallut des mois pour lui faire comprendre qu’il n’y avait rien d’humiliant à me considérer comme un vide-couille, puisque le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire, c’était le jus de sa queue. Et quel jus ! quelle queue ! plus abondant et doux, plus longue et charnue que chez Eric. Et puis, bonheur pour moi, comme il attendait d’être toujours au bord de l’explosion pour venir se faire pomper, il ne mettait pas longtemps à se vider. Quand on se suçait en 69, de côté, je prenais mon pied à me l’enfoncer jusqu’aux couilles, ce qui l’interrompait lui, le faisait haleter et gémir ; au bout de quatre bien profondes, il prévenait « je vais jouir », alors je revenais à mi bite pour mieux sentir les jets qui frappaient ma langue et mon palais : son sperme est parmi les meilleurs que je connaisse.  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-defouloir-homme-marie-3.php  Ce qu'on peut être con quelquefois  quand même !...lui faire comprendre qu’il n’y avait rien d’humiliant à me considérer comme un vide-couille, puisque le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire, c’était le jus de sa queue dans la bouche et, mieux, dans mon cul !  . 

Pour 'Flag', pris sur le fait,

  les anglo saxons disent  "caught red-handed "...la peur des peurs pour un mari bisex !

  un couple d'hommes heureux que personne ne verra dans la rue ! et pour cause : ils sont mariés chacun à une femme  

   ton ravissement : si ta femme t'aime vraiment elle ne peut pas t'en vouloir

  Déshabillé par l'un de ses amants: son coeur bat la chamade

Soudain mon cœur devient nomade
Et je bats la chamade
Les oiseaux du bonheur
Ont inondé mon cœur

Cette homosexualité-ci(bisex ) :

se base sur une notion d'égalité et de "manque" si tu ne te laisses pas aller tu rates tout!

Entreprendre des "choses" qui sortent de l'ordinaire et que tu n'obtiendras pas avec le gode-ceinture de Madame   

  donne et reçois   comme tu as l'air heureux dans les bras d'un amant

    tu n'en reviens pas de ton nouveau bonheur !

    Ah cette délicieuse allure incertaine qui a d'abord conquis ta femme et puis moi qui ai su te séduire et t'amener à une sexualité libre sans te renier toi-même !    

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