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c'est qui (quoi) les Debbouz, les Mehdi..." -partis-de-rien- " comme ils disent et qui chassent, dans ls deux sens, les gens "du château" déjà bobos ils jouent les mal élevés et ça plaît ou fait rigoler...ils ont seulement remplacé les anciens -partis-de-rien-
mais j'aimerais que Mehdi m'explique ce que c'est "le Droit Chemin"
ECRIT PARMEHDI P. (extrait)
Né en 1984 dans la région parisienne, français d'origine marocaine et normande. Intéressé par la politique depuis le plus jeune âge ainsi que par la lecture et le sport, je partagerais avec vous ma vision sur des sujets d'actualité.
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[EMPRUNTS] ndlr
« la culture racaille ».
Mais laissons ici ces porte-drapeaux et revenons à nos moutons, à nos racailles du quotidien qui nous pourrissent la vie à tous par leur mauvais comportement, leurs incivilités, leur délinquance.
Car c’est bien de cela dont il est question, si cet état d’esprit racaille se limitait à un simple phénomène de différenciation linguistique, vestimentaire et comportemental véhiculé par une culture issue des ghettos noirs américains et dont la locomotive est le rap, après tout pourquoi pas?
Nous avons bien eu en France une jeunesse qui a importé la culture de la classe ouvrière britannique et américaine portée par le rock.
Mais le phénomène racaille va souvent de pair avec des actes pas seulement interdits par l’islam mais aussi par la loi française, pourtant plus
permissive, et cela va de la petite incivilité au grand banditisme.
[communauté musulmane]
Chers lecteurs je ne vais pas y aller par quatre chemins, je considère ces individus comme étant parmi les pires ennemis du musulman à l’heure
actuelle dans notre pays, bien plus que le raciste le plus agressif ou que le laïc le plus fanatisé.
Car, et c’est le nœud du problème, ces personnes sont en majorité issues de la communauté musulmane, ou du moins s’en revendiquent. Ils sont donc
une source de racisme et un carburant inépuisable pour faire tourner le moteur du discours anti-islam.
Mais avant d’en faire la critique, il convient d’en faire la genèse.
Avant toute chose je voudrais couper court à toute polémique et d’ores et déjà répondre à ceux qui iraient se pencher sur la pratique religieuse de ces personnes afin de m’expliquer que « techniquement » ils ne sont pas vraiment musulmans car il ne suffit pas de le déclarer pour en être. Certes, mais ces considérations ne m’intéressent pas ici, ce qui me préoccupe c’est l’image qu’ils renvoient de nous à nos contemporains non-musulmans.
La majorité des individus que l’on nomme « racailles » sont arabes et noirs, nul ne peut le nier, ils sont les enfants et les petits-enfants de ces travailleurs maghrébins et africains qui ont répondu à l’appel de la France dans les années 60 comme l’ont fait avant eux les polonais et les italiens.
[message divin]
Loin de moi l’idée de faire porter à nos aînés toute la responsabilité de cette jeunesse au comportement scandaleux, mais force est de constater
qu’il y a eu quelques soucis au niveau de l’éducation et également de la transmission du message divin.
Bien souvent ces immigrés étaient issus dans leur pays d’origine du monde paysan, ils étaient pour bon nombre d’entre eux illettrés et ce qu’ils
savent de la religion a été transmis de façon orale avec les approximations et les erreurs qui vont avec.
Ils ont parfois mis leur pratique religieuse entre parenthèse afin de conserver leur emplois, ils vivaient parfois dans des conditions difficiles,
notamment au niveau du logement, l’environnement n’était pas toujours propice à la réussite de leur progéniture.
Cette progéniture qui étant née en France se retrouve vite en décalage avec ses « blédards » de parents, cette jeunesse abreuvée du
discours laïc et gauchisant de l’éducation nationale, abreuvée de loisirs et de divertissements est désormais conditionnée pour rejeter tout discours provenant de ce qu’elle considère maintenant
comme des arriérés.
Ce qui a pour conséquence de diviser ces enfants d’immigrés musulmans en trois principales catégories :
–ceux qui malgré tout pratiquent leur foi sérieusement et y restent accrochés fermement
–les athées fanatiques
–des musulmans « de culture » qui se contentent de quelques notions de halal et haram et dont la pratique se limite souvent à ne pas
manger de porc.
C’est cette dernière catégorie qui nous intéresse.
Une catégorie d’individus pour qui l’islam est plus un outil revendicatif qu’autre chose, une bannière sous laquelle se rassembler, l’habillage culturel est présent mais la pratique cultuelle est aux abonnés absents.
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