Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 07:24

 

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Je rentrais un peu bourré de chez un pote qui vit dans la banlieue est de Paris. Je me dirige vers la gare RER en espérant qu'il en reste encore au moins un pour aller chez moi. Il était minuit bien passé et c'est déjà presque trop tard. Soudain, j'entends le bruit d'un train qui arrive. Je cours mais me rends vite compte qu'il s'agissait de celui qui allait dans l'autre direction. Je reprends mon souffle et m'aperçois de la présence de deux gars en train de fumer un pétard sur le sièges métalliques. Il n'y avait personne d'autre, mon arrivée en trombe était donc leur seule attraction. Ils avaient l'air d'avoir 25 ans tous les deux, un Rebeu et un Blanc. Ils portaient des casquettes et des survêtements. Je me suis dit que je devrais peut-être arrêter des les fixer pour éviter les problèmes. Je détourne donc le regard et fais mine de rien.

Hé, t'as pas des feuilles ? Me gueule le blanc.

Non, je fume pas, désolé.

Je me retourne et tente d'aller dans la direction opposée sur le quai. J'entends des pas dans mon dos. Je tourne la tête et je les vois me suivre, en marchant à ma vitesse. Je ne sais pas trop quoi faire, donc je m'arrête net. Le rebeu s'approche et me pousse au niveau de l'épaule.

Pourquoi tu nous ignores ? Hein ?

Je vous ignorais pas, je vous ai dit que j'avais pas de feuilles… J'y peux rien.

Ah ouais ?

Il me pousse plus fort, ce qui me fait me coller contre la paroi de la station. Le blanc quelques mètres derrière ricane. Le rebeu me regarde dans les yeux avec de plus en plus d'agressivité. Je pensais juste me faire emmerder ou insulter, là j'ai bien peur de me faire agresser.

Pour qui tu te prends ? Hein ? Tu nous tournes le dos en pensant t'en tirer ? Parisien de merde. T'es en banlieue ici, et dans notre coin on règle pas les choses en se serrant la main, t'entends ?

Je demande rien, les gars, je veux juste rentrer chez moi sans me prendre la tête. Ne t'en prends pas à moi.

J’m'en prends à qui je veux, enculé. Mon territoire, mes règles.

Ouais il ouvre trop sa gueule le bourge, là, faut la lui fermer, balance le blanc, de loin.

Je ne sais même plus ce qu'il se passe. Tout a escaladé tellement vite… Je lève les mains en signe d'abandon

Les gars, je vous assure que je ne voulais manquer de respect à personne, je viens juste prendre mon RER pour rentrer chez moi, s'il vous plaît.

HAHAHA ! Tu l'entends chialer comme une pute là ? Trop fort ! Faut filmer ça, mec !

Désolé, plus de batterie ! Mais c'est pas grave, on va lui montrer comment ça se passe ici, répond le blanc.

Qu'est-ce que vous allez me faire ? Ne me frappez pas s'il vous plaît…

C'est pas ce qui est prévu, me coupe l'arabe.

Il m'attrape par le bras et me tire de force dans un recoin de la gare, dans l'angle mort des caméras de surveillance. Le blanc nous suit et semble guetter le reste du quai. Toujours personne. Je flippe de plus en plus, je ne sais vraiment plus ce qu'il va m'arriver. Il appuie sur mon épaule comme pour me faire signe de m'agenouiller. Que veut-il à la fin ? Il va pas oser me demander de… Il baisse l'élastique de son survêtement, puis son boxer pour révéler son pénis. Il est brun, très épais et velu.

Suce !

Je ne réagis pas, je garde la tête baissée. Il m'attrape par les cheveux et me la relève.

SUCE j'ai dit !

J'ouvre lentement ma bouche et m'approche de son sexe mou en tremblant. Il n'attend pas et me la fait entrer. C'est un gros morceau et je dois ouvrir grandement la bouche pour ne pas m'étouffer. La réaction ne se fait pas attendre. Son pénis grandit de plus en plus rapidement dans ma bouche à mesure de ses va-et-vient. J'ai l'impression de ne plus avoir d'air tellement elle grosse et longue. Je tente de me retirer, mais il me retient par l'arrière de la tête. J'essaye de ne pas avaler ma propre salive, comme pour nier le fait que je sois en train de pratiquer une fellation de force sur un parfait inconnu.

Tu suces mal, ouvre mieux la mâchoire, fais pas frotter tes dents sur ma bite, elle doit encore servir, connard.

Il sort brusquement sa queue de ma bouche et me donne une bifle. Quelle humiliation. Puis il m'en donne une deuxième, puis une troisième.

Hé, à ton tour mec, tu veux tester sa bouche ?

Ouais, vas-y, j'suis chaud là, j'ai une de ces triques mec, tu vas prendre cher, dit le blanc.

Il sort à son tour son sexe, plus petit et moins large que celui de son ami. Je la suce plus facilement et… avec un peu plus de plaisir. Il ne me la fous pas au fond de la gorge, il la glisse lentement et me tient par la nuque. Il pousse des petits cris de plaisir. Malgré ma situation, je commence à sucer de moi même.

Regarde, la pute suce toute seule ! Truc de ouf !

Je n'ai plus rien à perdre. Plus vite ils jouiront, plus vite je peux me casser. Il se retire. L'arabe revient, avec sa queue tendue entre sa main. Sans mentir, elle devait faire 20 cm au bas mot. Il me relève et me tourne. Là, je crains le pire. Je les ai déjà sucés, il ne va pas vouloir m'enculer non plus… Il défait la ceinture de mon jean et l'abaisse avec mon caleçon. Mon cul blanc comme la neige est à l'air libre. J'ai plus que jamais peur de me prendre son engin dans les fesses.

Putain mec, tu veux le baiser ? Demande le blanc

Mais ouais, il faut qu'il paye. Puis moi aussi je l'ai dure, là. Je vais lui foutre bien profond, qu'il se rappelle qu'on se fout pas de nos gueules.

C'est chaud ! Pense à moi, j'en veux aussi !

T'inquiète, j'en laisse toujours pour les frères, t'as vu. Allez, maintenant écarte bien ton cul, je vais te limer avec ma bite d'âne. Et je te préviens j'ai pas de capote, ni de lubrifiant. J'ai que ma salive.

Sans même que je n'aie le temps de me préparer psychologiquement, il était déjà en train de cracher abondamment sur son énorme gland. Il s'approche dangereusement de moi et de mon trou encore vierge. Je vais me faire violer. Et je ne peux rien y faire.

OUVRE !

Je m'exécute et tiens mes deux fesses pour les écarter. Je sens le bout de son gland chercher l'entrée de mon anus poilu. Il est devant. Il le sent. Il pousse de plus en plus fort. Je sers fort les dents. Son gland est entré. Malgré sa grosse taille je n'ai pas le sentiment d'avoir mal. Il entre doucement, bien qu'en forçant son entrée. Une vague de douleur progressive me traverse le corps. Il pousse encore. Je souffre, mon anus me brûle. J'ai l'impression que je vais imploser. Je me sens empli et je ne peux pas chasser mon envahisseur. Il persévère. Mais c'est une bite ou un tuyau d'arrosage ? Ça n'en finit pas. Je me courbe de douleur. Je hurle. Il place sa main devant ma bouche.

Laisse-moi entrer putain ! Ouvre tes fesses bordel, que je te baise comme il se doit !

Ça fait trop mal, arrête !

T'avais qu'à t'entraîner avant, maintenant ferme ta putain de gueule, je veux que t'entendre jouir, sale pute

Il a l'air d'être arrivé au bout. Je pousse un grand soupir. Il se met à ressortir. C'est toujours douloureux mais cent fois plus agréable que l'entrée. Arrivé aux trois quarts, il revient, en accélérant la cadence cette fois. Il ressort et crache à nouveau sur son sexe. Au bout d'une minute, la douleur s'était grandement atténuée, je pouvais enfin prendre ma respiration. Son énorme bite me remplissait entièrement le trou du cul. C'était tout de même une sensation étrange. Cela devenait de moins en moins désagréable. J'avais toujours horriblement mal mais je commençais à voir la situation avec philosophie. Il y avait un mâle isolé, moi, et deux mâles en groupe, eux. Ils n'ont pas aimé qu'on souille leur territoire, ils l'ont donc défendu. Plutôt que de blesser leur adversaire, ils ont préféré le molester, l'humilier, le violer, pour le dégoûter de franchir à nouveau la frontière. C'était ma leçon du soir. Sa bite brûlante me transperçait encore le fion et il criait de plus en plus fort. Je pense qu'il va bientôt jouir. Il se colle soudain à moi et se met à jurer en arabe. Je sens alors son gros chibre maghrébin pulser contre les parois de mon anus serré, à mesure qu'il se vide les couilles en moi. C'est interminable. Il pousse un râle final et se retire lentement. Mon trou est béant et c'est un torrent de sperme fumant qui en sort. Je me sens sale, souillé.

A ton ton, mec ! Il est méga serré, c'est mieux que la plus grosse des putes du coin.

Le blanc fonce dans mon trou meurtri, et à l'inverse de tout à l'heure, il se déchaîne en moi, comme pour se venger de ne pas avoir eu la première pipe. Son pénis, bien que plus petit que celui de son pote, me pénètre profondément, mais surtout dans un rythme d'enfer. Aucune pitié, aucun répit pour mon trou tout juste dépucelé. Malgré toute cette violence, je me rends compte d'une chose, mon sexe est à moitié dur. Cela me plairait-il ? J'apprécierais de me faire humilier, violer de la sorte ? Impossible. Mais alors, pourquoi est-ce que je bande, et pourquoi tout ce liquide séminal au bout de ma propre queue ? Je me concentre sur ce qu'il m'arrive et tente de comprendre mes sens. Je ne ressens presque plus de douleur, mais de plus en plus de plaisir à mesure que son sexe coulisse dans mon antre lubrifié par le sperme visqueux de son comparse. Je me rends enfin compte qu'à chaque fois qu'il passe à un certain endroit, mon plaisir est décuplé, serait-ce ma prostate ? Je me cambre de plus en plus, de sorte à ce que ses coups visent toujours ce point précis. Oh, ce que c'est bon.

Oui, oui, oui… Oh… AH. Oh-oh-oh oui…

Mais putain y a dix minutes t'étais en train de chialer, et là tu vas me dire que tu kiffes ? Il t'en faut vraiment peu pour devenir une vraie pute. Tu vas en redemander sale chienne.

Le blanc accélère encore le rythme, comme pour me signaler qui aller finir. Il me donnera quatre ultimes coups pour envoyer la purée au fin fond de mes entrailles déflorées. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mais quand il a voulu se retirer, je lui ai demandé de rester en moi, le temps que je me finisse à mon tour. Je n'ai jamais autant joui de ma vie. Les deux gars ont remonté leurs survêtements et se sont enfuis en courant et en riant. Quand une annonce est diffusée sur le quai « dernier train pour Paris dans 3 minutes ». C'est donc le temps qu'il me restait pour me nettoyer et me rhabiller.

 

 

 

 

 

Par BLANSHIT C - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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