Dimanche 7 décembre
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je dirai sur ce thème :
LES CHANSONS NE SONT PAS FAITES QUE POUR LES "STRAIGHTS"
BECAUD COMME TOUTES LES CELEBRITES A EU UN TEMPS DE GALOP DE COTE
ET PUIS EST REVENU A L'ECURIE *( " les trains sont rares à 40 ans ! lol" )
"Je n'avais plus rien à rêver
Je n'avais plus rien à chanter
Quand tu es venu m'apporter, toi
L'aventure
J'avais organisé ma vie
J'étais bon père et bon mari aussi
C'était classée, c'était fini, fini
L'aventure
Oui j'avais le dos au mur
Oui j'avais besoin d'air pur
Bien sur, je ne cherchais pas
Mais j'étais prêt à n'importe quoi
Et voilà qu'un coup de printemps
M'a réveillé au bon moment
Je l'ai mordue à pleines dents, oui
L'aventure
On ne peut pas tomber plus bas
Souvent je suis rentré chez moi
En espérant que ça se voit sur moi
L'aventure
Mes voilà on m'aimait bien
On a fait semblant de rien
Comme s'il était naturel
Que je me pai en joujou pareil...
Maintenent tout est comme avant
Et je suis rentré dans le rang
Mais quand j'entends chanter la vent
J'entends l'aventure..." regardons-le en vidéo lorsqu'il prononce ce dernier mot...
JE SAIS PAS POURQUOI JE PENSE TOUT D'UN COUP -EN MEME TEMPS- A THOMAS MANN...LE DOCTEUR FAUSTUS ...LA MORT A VENISE...Gustav von Aschenbach est un écrivain munichois
reconnu (et anobli) dans la cinquantaine. Troublé par une mystérieuse rencontre lors d'une promenade, il part en voyage sur lacôte adriatique et finit par
aboutir à Venise, une ville dans laquelle il ne s'est jamais senti à l'aise. Dans son hôtel du Lido (le Grand Hôtel des BAINS), Aschenbach découvre Tadzio, un jeune adolescent polonais qui le fascine par sa beauté. Il n'ose l'aborder et le suit dans la ville de Venise. Aschenbach, en proie à une
sombre mélancolie et une sorte de fièvre dionysiaque, succombe à l'épidémie de choleraasiatique qui fait alors rage dans la ville. Il meurt sur la plage en
contemplant une dernière fois l'objet de sa fascination.
LE FILM DE LUCHINO VISCONTI
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