ELLES ET NOUS & VIDEOS

Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 16:14

se posent aussi les droits de visite pour les mariés de même sexe

Afficher l'image d'origine

 

Treize mois d'attente pour un permis de visite

 © Grégoire Korganow, CGLPL© Grégoire Korganow, CGLPL

 

 

Treize mois d'attente pour un permis de visite

Incarcéré au centre pénitentiaire de Longuenesse depuis le 17 mars 2015, Jérémy a dû attendre plus d’un an avant que sa compagne Emilie n’obtienne l’autorisation de lui rendre visite. Après sept refus essuyés sans motif, elle a saisi le Tribunal administratif de Lille qui, le 25 mars, a enjoint au directeur de la prison de réexaminer sa demande. Le 9 avril, ils se retrouvaient enfin au parloir.
       

Homos en prison

La double-peine          (Illustration : Choi Xooang)             

Par Anne Chereul, de la coordination Nord et Ouest de la section française de l'OIP

            © Grégoire Korganow, CGLPL
« Enquête préfectorale défavorable. » C’est la seule et unique réponse qu’aura obtenue Emilie auprès du service des parloirs durant six mois, à chacune de ses sept demandes de permis. Pourtant, la loi pénitentiaire de 2009 oblige l’administration pénitentiaire  à motiver un refus de permis de visite. Vis-à-vis des membres de la famille d’un condamné, « l’autorité administrative ne peut refuser de délivrer un permis de visite » que « pour des motifs liés au maintien du bon ordre et de la sécurité ou à la prévention des infractions » (art. 35). Etant précisé que la notion de famille doit s’entendre largement et englobe tant les « conjoints pacsés ou mariés » et « concubins » que « les personnes ne justifiant pas d’un tel lien mais attestant d’un projet familial commun avec la personne détenue » (1).

 

Le 27 août 2015, ne comprenant pas ce qui pouvait lui être reproché, Emilie a sollicité par écrit auprès de la préfecture et de la direction de la prison la communication du contenu de l’enquête la concernant. Contactée le jour-même par l’OIP, la préfecture a confirmé le caractère défavorable de l’enquête mais n’a pas été en mesure d’en préciser les raisons, ajoutant que « le contenu des enquêtes n’est jamais communiqué à l’établissement pénitentiaire qui ne reçoit, après un “passage fichier” auprès des services de police, qu’un avis “favorable” ou “défavorable” ». La préfecture ne transmettra jamais l’enquête à Emilie. Dans un courrier du 31 août 2015, le directeur se contentera de son côté de répondre que « l’enquête préfectorale est revenue défavorable » pour des raisons non communicables et que « cette position s’impose à [lui] », alors qu’il ne s’agit que d’un avis consultatif. Ainsi, bien qu’autorité décisionnaire, le directeur ne disposait pas des éléments de cette enquête pour éclairer sa décision.

Les contacts d’Emilie avec Jérémy étaient très limités : illettré, il ne pouvait lui écrire que par le biais d’autres détenus et, ne disposant que de très peu d’argent, il ne pouvait payer de communications téléphoniques. La douleur de la séparation et l’incompréhension face au mutisme de l’administration ont engendré crises d’angoisse, troubles du sommeil et de l’appétit chez Emilie, au point que son médecin, diagnostiquant en
septembre « un syndrome anxiodépressif depuis trois mois », lui a prescrit un traitement médicamenteux anxiolytique. Un état directement en lien avec l’éloignement et l’absence de visite, comme en attestait un certificat médical.

Avec l’aide de l’OIP, Emilie dépose, le 5 octobre 2015, un recours pour excès de pouvoir doublé d’un référé suspension devant le tribunal administratif de Lille. Mais sa demande pour que la décision de refus de l’AP soit suspendue est rejetée, le juge estimant que « si la requérante se prévaut de la relation de concubinage qu’elle entretiendrait avec Jérémy P. depuis le mois de septembre 2014, elle n’établit pas l’ancienneté ni la stabilité de cette relation ». Le 3 mars 2016, Emilie dépose donc un nouveau recours, en prenant soin d’apporter cette fois de nombreuses preuves (photos, témoignages de proches, courriers officiels, échanges épistolaires) attestant de la réalité de sa relation amoureuse avec Jérémy depuis le mois de septembre 2014 et de leur vie commune depuis le mois de mars 2015.

Lors de cette dernière audience, le juge des référés a tenté de comprendre ce qui pouvait bien être reproché à cette jeune femme au casier judiciaire vierge qui puisse justifier que l’AP refuse ce permis. N’ayant obtenu aucune réponse à ses demandes de communication de l’enquête
préfectorale, Emilie n’était pas en mesure de fournir au juge une réponse. Elle a néanmoins pu faire valoir un souvenir qui lui apparaissait pouvant figurer dans un fichier de police : le fait qu’elle avait été entendue dans le cadre d’une audition libre par les services de police menant une enquête sur un trafic de stupéfiant dans lequel serait impliqué un jeune homme rencontré dans une boîte de nuit. C’était la seule chose dans son passé et dans son entourage, qui selon elle, aurait pu expliquer la décision prise à son encontre, alors qu’elle n’a été ni poursuivie, ni condamnée pour les faits en cause et qu’elle démontre par des analyses toxicologiques qu’elle ne consomme pas de stupéfiant.

Dans son ordonnance du 25 avril 2016, le juge a finalement estimé qu’« une telle hypothèse, si elle était avérée, ferait apparaître qu’aucune considération sérieuse liée à la sécurité publique ou à celle des personnes ne serait de nature à justifier la décision contestée, privant l’intéressée, âgée de 23 ans, de rendre visite à son compagnon dont elle a fait la connaissance en septembre 2014 et avec lequel elle a un projet de vie ». Il a ainsi jugé qu’il existait un doute sérieux quant à la légalité de la décision, cette dernière n’étant « pas motivée », que « l’auteur de cette décision a considéré à tort qu’il était lié par l’avis émis par les services de la préfecture » et enfin, que le droit au respect de la vie familiale du couple protégé par l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme avait été méconnu. En parallèle, il a admis que la requérante justifiait bien d’une situation d’urgence, la communication du couple par d’autres voies que le parloir étant très difficile. Il a donc enjoint au directeur du centre de détention de Longuenesse de « procéder au réexamen de la demande » et de « prendre une décision dans un délai de sept jours ».
Une injonction suivie par l’administration pénitentiaire, qui a délivré rapidement un permis de visite à Emilie, enfin autorisée à voir son compagnon après plus d’un an d’incarcération et de batailles juridiques. Elle lui rend désormais visite toutes les semaines.

(1) Circulaire du 20 février 2012 relative au maintien des liens familiaux avec l’extérieur.

Cet article est issu du n°92 de la revue trimestrielle Dedans-Dehors, éditée par l'Observatoire intertional des prisons. Pour le citer : Pour le citer : Observatoire international des prisons, "Quartiers et prison : un destin collectif", Dedans-Dehors, n°92, juillet 2016, pp.42-43.         

          espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Ses contenus n'engagent pas la rédaction.

  -------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le cauchemar des trans emprisonné(e)s

 

De manière générale, on conçoit communément les difficultés auxquelles la plupart des détenus sont confrontés.

Cependant, en raison de leur appartenance à une minorité de genre, les prisonniers et prisonnières transgenres doivent souvent faire face à des difficultés supplémentaires et particulièrement accrues...

 

 

 

 

 

Par mediapart+OIP - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 06:44

SARAH a même tenté de résister (oh mais pas longtemps)

 

et Sarah n'a jamais eu honte !

    Ok honey, one last look at my tits before the Niggers get here. Next time you see them, they’ll be bruised, cum covered, and ready for your to lick clean.

 

Your wife's lover comes over anytime he wants. What can a white boy do?

 

This is how your wife needs it

                            s'il n'y a pas la flèche,  CLIQUER "LECTURE" POUR VOIR COMMENT IL LA BAISE                                                     

 

Big strong powerful black man fucking your wife

  A former child actress falls from grace, becomes a crack whore, goes to jail, and becomes the laughing stock of mainstream America. Then she finds Nigger Cock. Redemption! 

 

The proper way for a white whore to greet a Nigger.

 

Honey, just look at how big this Nigger’s cock is… Half of it is still in my tiny white pussy! Crawl over here and give the Nigger cock a lick or two and see for yourself.

 

 

Par LE FREROT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 16:42

  Sarah épouse du roi Candaule? COCU magnifique...Dés le début de notre relation mon mari me parlait souvent de ses fantasmes de soumission. Il voulait que je le domine sexuellement mais cela ne m'intéressait pas car ça ne faisait pas partie de mes fantasmes et je l'écoutais sans pour autant lui donner satisfaction sur ce point.

Et puis il y a eu un tournant il y a deux ans...  

 

Bonsoir à tous, je viens vous raconter ma petite histoire.

Je vis avec ma femme (appelons-la Sarah) depuis quinze ans en région parisienne. Je suis commercial, et elle est prof en lycée. Sans me vanter, je pense avoir réussi à trouver une femme vraiment canon. Elle approche de la quarantaine, mais je pense que dans son établissement, elle doit en exciter plus d'un, collègues comme élèves... Brune d'1m75, Sarah est surtout une femme sûre d'elle, consciente qu'elle a des fesses superbes. On gagne pas mal notre vie, et comme elle est souvent libre l'aprem, elle passe beaucoup de temps à s'acheter des fringues qui la mettent terriblement en valeur.

C'est moi qui l'ai intéressée au candaulisme. Au début, elle n'était pas du tout tentée, elle me disait que je lui suffisait amplement. Moi, au lit, je lui parlais de tous ces mecs qu'on connaissait qui pourraient la faire jouir. Même si ça l'excitait, elle me disait qu'elle ne me tromperait jamais.

Et puis, un soir, mon petit frère frère Mathias (enfin mon demi frère) a appelé pour qu'on l'héberge. C'est un peintre en bâtiment. Il y a un mois, son entreprise faisait faillite et il voulait aller tenter sa chance à Paris. "T'inquiète pas mec, je te repeindrai ton salon gratis !" a-t-il dit. J'ai évidemment accepté...

J'ai direct vu que Sarah lui plaisait bien, avec son petit pantalon slim et ses ballerines qu'elle portait pour l'accueillir. Lui, c'est le stéréotype même du mec viril: marcel et bien membré. Comme ma mère a refait sa vie avec un antillais, il a la peau mate, ce qui, je crois, fait craquer les femmes. Mais bon, je suis habitué à ce que les mecs matent ma femme.

Dans les semaines qui ont suivi, je me suis rendu compte que Sarah portait des tenues de plus en plus sexy. Du pantalon, elle était passée à la jupe, évidemment de plus en plus courte. Le pull informe qu'elle portait le premier jour laissait place à des hauts beaucoup plus cintrés... Plus décolletés aussi. Mathias ne manquait pas de le faire remarquer, avec ses petites phrases, tous les matins : "C'est pour moi que tu t'habilles comme ça? Hmm, tes élèves doivent pas s'ennuyer, je suis jaloux..." D'ailleurs, à chaque fois qu'il faisait la bise à ma femme, le matin, il n'hésitait plus désormais à frôler ses hanches et ses fesses. Je ne m’en rendais pas tout à fait compte, mais Mathias prenait petit à petit possession de la maison. Il n’hésitait pas à se mettre torse nu pour repeindre notre salon (comme promis), et balançait généralement son marcel sur mon bureau.

Un soir, trois semaines après l'arrivée de Mathias, pendant que je faisais l'amour à ma femme, j'ai commencé à lui parler de mon frère.
-Alors, t'as vu comment il te mate Mathias?
-Tu crois? m'a-t-elle répondu d'un tout faussement innocent
-T'as vu comment ton petit cul l'excite?
-Hmm... Oui, peut être...
-Fais pas l'innocente, tu fais tout pour le rendre dingue...
-Hmm... souffla-t-elle encore en se laissant faire
-Il te plaît Mathias?
-Hmm... Un peu... Il est bien foutu...
-Juste un peu? T'aurais pas envie qu'il te prenne? Que ce soit sa main et pas la mienne qui te caresse en ce moment?
-Hmmmmm... Continue
J'ai donc continué à lui parler de Mathias qui la prendrait dans tous les sens pendant des heures. A la fin, Sarah, qui ne cachait plus du tout son plaisir, gémissait "Oh oui, Mathias..."


A vrai dire, je pensais que pour Sarah, c'était simplement un fantasme parmi tant d'autres qui ne se réaliserait jamais, comme tous ceux qu'elle avait déjà eus.

Mais c'est le lendemain que tout a commencé à dégénérer. Mademoiselle étant trop crevée à cause de sa folle excitation de la nuit, c'est moi qui me suis levé pour éteindre l'alarme de son portable. En bon mari bien curieux, je suis alors allé faire un tour dans sa messagerie. Le dernier message de mon frère datait de la veille dans la matinée, et disait ceci: "Ma belle, tu portes quoi pour exciter tes élèves? Moi je suis à poil sur ton lit, je pense à toi..."

Ni d'une, ni de deux, je suis allé réveiller Sarah et lui ai montré le texto. Endormie, elle m'a directement répondu :
-Ben oui, qu'est ce que tu veux que j'y fasse si je l'excite?
-Enfin quand même, qu'est ce qu'il fout à poil sur notre lit?
-J'en sais rien, c'est ton frère après tout, pas le mien... J'allais pas fermer la porte de la chambre à clé, je ne connais pas les fantasmes de ton frère moi!

Le ton est ensuite un peu monté, puis, excédé, je suis parti au boulot. Vers 17h, j'ai reçu un sms de ma boite de messagerie qui m'indiquait que j'avais reçu un message vocal. Je vous le retransmets ici, même s'il n'est peut être plus tout à fait exact:
-Salut frangin, c'est Mathias! Je suis avec Sarah!
-Coucou mon chéri, fit la voix de ma femme, un peu plus loin
-Bon, mec, j'ai appris que tu fouillais dans le portable de ta meuf. Ca, c'est pas bien. Je pense qu'il faut te punir. Hein, t'en penses quoi ma belle, il faut le punir?
J'ai alors entendu un bruit mouillé, comme des lèvres qui s'embrassent
-Oh oui mon Mathias, il faut le punir!

J'entendis alors à nouveau la voix de Mathias, triomphale:
-Ok frérot, je sais que t'es pas trop con et que t'as remarqué qu'on se plaisait, ta femme et moi. Hein ma belle?
*nouveau bruit mouillé*
-Hmm oui mon beau mec bien foutu...
-Et t'aimes quoi d'autre chez moi?
-.....Tu le sais bien, reprit ma femme, gênée
-Dis le moi... Dis le à ton mari au téléphone.
-Ta... ta bite
-Tu veux dire ma bite de demi black?
-Oui, celle la... répondit ma femme, qui commençait à gémir. Ta belle bite de black
-Oh mais t'as rien sous ta jupe!
-Non..Hmm... J'ai pensé...Hmm... Que ca te ferait plaisir
-Mais t'es une petite salope!
-Hmm.. Oui je suis ta salope!
-Ma petite salope de femme infidèle?
-Oh oui!
-Où est ce que tu la veux ma petite chienne?
-Partout...Partout, tu m'excites trop mon chéri
-T'as pas l'habitude avec ton cocu de mari?
-Oh ouii.. Oh oui...Mmh non mon mari il a pas ta belle bite de black chéri!!

-Bon frérot, je crois que t'en as assez entendu, reprit mon frère, qui haletait pendant que ma femme hurlait près de lui. J'ai une meuf à satisfaire moi...
Derrière lui, j'entendais : "Fous la moi dans mon petit cul j'en ai envie!!"

BIP. FIN DES MESSAGES.

                                                                               

vous l'avez cherché, maintenant c'est arrivé ---------------​--

 

 



20h. Je viens d'arriver chez moi. La voiture de ma femme est là aussi. Apparemment, elle aussi est bien à la maison. Je suis toujours sidéré par ce que j'ai écouté. Je suis en colère évidemment, et aussi, malgré moi, un peu excité. Allez, il faut bien y aller. Je pousse la porte d'entrée.

Là, en face de moi, contre le mur, je tombe sur ma femme et Mathias. Lui est en boxer. Elle porte une guêpière et un petit string dont je n'avais même pas connaissance. C'est elle qui est contre le mur. Elle a ses bras autour de son cou pendant qu'il lui malaxe les fesses. Il se frotte à elle, pour lui montrer qu'à travers son boxer, sa bite en redemande. Après quelques secondes, les deux amants qui s'embrassent comme des damnés daignent me regarder.
-Ma petite salope chérie, regarde qui est là...

Moi, j'essaye de reprendre mes esprits mais je suis un peu perdu. Je réussis finalement à gueuler :
-Mathias, je veux que tu dégages d'ici ce soir!

Mon demi frère, entre deux baisers, commence à se marrer.
-T'as rien à dire, frérot, dit-il d'un ton très calme. Ma petite chérie infidèle veut que je reste.

Comme pour confirmer ses dires, Sarah passe la main dans son boxer, sourit et lui caresse doucement les boules.
-Mathias...J'ai envie de toi mon coeur.

Mathias passe une main entre ses jambes et dépose un baiser sur ses seins.
-Bientot ma petite chienne…
Puis il me regarde et ajoute:
-Franchement, t'as mis une semaine à capter? Ton canapé et ton lit de cocu sentent le sperme et la mouille de salope de partout... Ta meuf est une reine avec son petit cul... Enfin ma meuf maintenant.

Je le regarde, sans comprendre

-Frérot, c'est ma femme jusqu'à ce que je décide de te la rendre. Si ça arrive un jour... Tu l’appelleras maintenant madame Mathias et pas autrement.

Sarah se frotte à lui et commence à l'embrasser dans le cou.

-Bon ma femme me réclame. Le repas est pas encore prêt. Il a intérêt à l'être dans 30minutes, le temps que je la prenne de partout ma chienne adorée. Au fait, c’est toi qui lui as payé cette lingerie sexy cet après-midi, en bon petit cocu que tu es. On est allé l’acheter comme un joli petit couple qui se pelote et qui s’embrasse toutes les cinq minutes, à me foutre une trique d’enfer. Hein ma chérie ?

Sarah sourit et commence à gémir doucement.
-Oh mais c’est que ce souvenir te fait bien mouiller on dirait… reprend Mathias.
Il prend alors ma femme par la main et la guide vers l’escalier, non sans poser une deuxième main sur son cul, pour signifier qu’elle lui appartient totalement. Avant de monter, mon demi-frère se tourne vers moi et ajoute :  

El clóset ya no solo sirve para guardar ropa, ahora sirve para que el cornudo pueda ver como se cogen a su esposa puta.

-Evidemment, interdiction formelle de pénétrer dans ta chambre de cocu. Enfin dans ma chambre maintenant… Je vais essayer de pas faire trop de bruit quand je défoncerai le petit cul de ma femme toute la nuit, mais je te promets rien… Demain matin, je te laisserai rentrer dans la chambre, pour que tu viennes nous apporter le petit déj. Tu prendras aussi mes boxers pleins de spermes et ses strings mouillés pour les laver. Comme ça tu comprendras ce que c’est de baiser une meuf, mon frérot cocu.

 

Je n’ai pas revu ma femme de ma soirée. Après les avoir vus monter, j’étais resté là, comme un con, pendant plusieurs minutes. J’avais finalement rejoint le salon et regardé des conneries à la télé. Et dire que ma femme devait s’être fait prendre pendant toute la semaine à cet endroit… J’ai même retrouvé une capote usagée, entre les coussins.

Je ne voulais pas m’abaisser à faire à manger pour mon frère, quand même. Il me restait un semblant de fierté. Je me suis fait des pâtes puis je suis retourné à la télé. Au-dessus de moi, j’entendais des cris, des gémissements à n’en plus finir. J’entendais assez clairement les « Oh ouiiii » de ma femme. Ca me coûtait de l’avouer, mais elle n’avait jamais crié aussi fort.

Au bout d’une heure, j’ai entendu des pas dans l’escalier. C’était Mathias qui descendait… Dans mon peignoir. Il l’avait fermé, mais pas entièrement, juste assez pour qu’on voit qu’il bandait comme un malade. Quand il m’a vu sur le canapé en train de manger mon plat de pâtes, il m’a regardé en souriant, l’air de dire « Je te plains quand même ».
-T’inquiète mon petit frérot cocu jusqu’à l’os, je reste pas… Ma petite chienne de femme et moi, on n’a pas fini de baiser ce soir.
-Putain Mathias, arrête de parler d’elle comme ça quoi !
Mathias, debout à quelques mètres de moi, avait vraiment la posture du mal dominant.
-Mais mon petit cocu, t’as toujours rien compris ? Elle en redemande à chaque fois cette petite chienne, elle aime ça… Allez, ciao !

Voyant qu’il s’en allait dans la chambre avec du vin, des fruits et mon plat de pâtes, j’ai tenté de reprendre ma position d’homme en lui disant :
-Putain, c’est ma bouffe, mes pâtes, alors cuisine au moins toi-même, je vais pas tout te donner non plus !
Là, Mathias m’a regardé avec une expression particulière. Un mélange de rire et de pitié.
-Mon petit frérot, arrête. T’as vu, tout est à moi là, maintenant. Tes pâtes comme ton peignoir. Et maintenant, je vais baiser ma femme sur mon lit pendant toute la nuit…

Puis il est reparti. Je crois qu’il a fait exprès de faire encore plus de bruit avec Sarah par la suite. Pendant toute la nuit, j’ai entendu ma femme qui gémissait et qui criait des « C’est trop bon, mon chéri, prends moi encore… » Mathias continuait à l’insulter, lui disait : « T’en veux encore, ma salope ? J’ai jamais vu une salope comme toi, tu le sais ça… ». Ce à quoi Sarah répondait en criant : « Oh oui je suis ta salope ! ».

     
rissalee32: “Ill finger your ass while you bounce on me ”
                                                           

Inutile de vous expliquer que le lendemain, j’avais relativement peu dormi, sur le canapé où ma femme et son amant avaient dû baiser une dizaine de fois pendant la semaine. Vers huit heures, quand j’ai commencé à émerger pour me faire du café, j’ai à nouveau entendu quelqu’un descendre l’escalier. Cette fois, c’était Sarah, dans son peignoir. Les cheveux complètement décoiffés, elle avait l’air de la femme fatiguée mais heureuse. Inutile de vous dire que quand on s’est vus, l’atmosphère s’est tendue d’un seul coup. Pendant près d’une minute, je crois qu’on a tous les deux été silencieux, jusqu’à ce qu’elle rompe finalement cette pesante absence de paroles :
-Ecoute, tu m’avais toujours dit que ça te faisait fantasmer, toutes ces histoires de tromperie et tout…

Je l’ai regardée, un peu incrédule.
-Ben oui, ça m’excitait. Mais des tromperies voulues par nous deux. Te taper mon frère sans que je le sache, c’est différent putain !
Sarah, l’excitation sauvage de la veille ayant disparu, avait quand même l’air de s’en vouloir.
-J’y peux rien ! J’y peux rien ! m’a-t-elle dit. Mais il me fait tellement de bien ! Il me baise tellement bien que j’ai pas pu m’en passer ! Je peux pas lui résister !
-Donc… Donc tu vas pas arrêter ?
-Je peux pas… m’a-t-elle glissé dans un souffle. Et puis… Et puis… Avoue que ça ne te laisse pas indifférent. Sinon t’aurais gueulé hier soir, au lieu de jouer à la lopette.

Touché. Même si j’avais du mal à l’admettre, j’étais malgré moi excité par la situation. Ca, ma femme l’avait compris. Elle poursuivait :
-Ca ne t’excite pas un peu d’imaginer que ton demi frère me prend et me fait jouir comme tu le pourras jamais ?
Aucune réponse de ma part. C’était un aveu de faiblesse.
-D’imaginer sa belle bite de métis dans mon petit trou…. Reprit Sarah en murmurant.

C’est à ce moment là que Mathias est descendu, toujours dans mon peignoir. Il a pris Sarah par la taille et l’a attirée contre lui en l’embrassant dans le cou. On voyait bien qu’il bandait déjà violemment. Sarah, elle, me regardait en souriant légèrement, l’air de dire « je suis sûr que ça te plaît en fait ». Elle se frottait doucement à son nouvel amant.
-Ma petite chérie… a fait Mathias, dont la bite semblait encore grossir, je veux que tu montres à ton gros cocu de mari un de tes talents qu’il ne connaît pas vraiment. Je veux que tu me suces maintenant, devant lui. On va le punir pour ne pas nous avoir préparé de petit déjeuner…
“If your cracker ass ever even looks at another white dick again, I’ll choke you the fuck out. You belong to Niggers now. Got that shit Ho?” Sometimes a Nigger has to make sure that there are no misunderstandings.

C’était quasiment un ordre qu’il lui donnait. Je sentais Sarah complètement excitée par mon frère : je découvrais apparemment une femme qui aime être soumise. Elle a rapidement ouvert son peignoir et s’est agenouillée pour le sucer. Moi, elle me l’avait très rarement accordé. Mais elle était pourtant là, à côté de moi, et je la voyais s’appliquer pour satisfaire Mathias : sa bouche avalait littéralement l’imposante bite de mon frère, et ses mains lui malaxaient les boules avec envie.
Tout fier, Mathias me regardait en souriant.
-Alors frérot, tu savais que ta chienne de femme suçait comme une reine ? Je suis sûr que non, hein ma petite cochonne ?
-Hmm… Non, je le suce jamais… a fait Sarah.
-Pourquoi ? reprit Mathias. Vas-y, dis le nous !
-Hmm… Parce qu’il me fait pas assez jouir.
-Il le mérite pas ?
-Hmm..Non mon chéri.
-Continue à me sucer comme une salope ma belle, pendant que ton cocu de mari me sert mon café

    • One more fucking word, and I’ll kick you out of the bedroom. You wanted to watch me suck a Nigger cock. You didn’t say anything about wanting to speak. SHUT THE FUCK UP.

    One more fucking word, and I’ll kick you out of the bedroom.  You wanted to      
    Je me suis exécuté, pensant que ça ne servirait à rien de créer un conflit inutile. Pendant ce temps, ma femme suçait toujours divinement Mathias. Au bout de quelques minutes, il l’a interrompue.
    -C’est bon ma petite salope, tu m’as bien gâté ce matin. Il faut encore qu’on discute de quelque chose avant que ton gros cocu ne parte travailler. Couche toi sur la table…
    Encore une fois, ma femme a bien obéi à l’ordre de son amant. Il lui a enlevé son peignoir et, entièrement nue, elle s’est couchée sur la table, les jambes bien écartées.
    -T’as bien mérité une récompense pour m’avoir si bien sucé devant ta grosse lopette de mari, a fait Mathias.

    Et il a directement foutu sa grosse bite dans la petite chatte de ma femme, qui a poussé un petit cri de surprise et de jouissance. Il l’a pilonnée violemment. Le but n’était pas de lui faire l’amour mais bien de la baiser, de la faire jouir. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle criait déjà des « Oh ouii c’est bon ! », Mathias a encore voulu m’humilier :
    -Ma petite salope, tu sais quoi ?
    -Hmm oh oui ! Non mon…mmmh Mon chéri !
    -Ton mari pense que t’aimes pas être traitée comme une pute !
    -Hmm.. Pourtant j’en suis une ! Oooh… C’est trop bon !
    -Continue ma salope, dis le à quel point t’en es une !
    -Hmm je suis ta salope à toi… Je veux que tu me prennes partout et tout le temps… Ooooh je suis ta chienne mon amour !
    -Redis le, je kiffe ça et ton gros cocu aussi !
    -Je suis ta petite pute mon amour ! Baise-moiii !
    -Et t’aimes ça hein ma salope ?
    -Je peux plus me passer de ta bite tu le sais !! Oohh mmh j’en peux plus ! Je vais tout mouiller !
    -Ta petite lopette va nettoyer ! Maintenant je vais te faire jouir comme la salope en manque que tu es !
    -Ohhh ouiii Mathias chéri…

    Mathias l’a pilonnée comme jamais en la traitant de salope, en lui caressant les seins pendant qu’il la pénétrait comme un malade. Sarah a alors eu un putain d’orgasme, à réveiller tout le quartier. Une fois tous les deux calmés, Mathias m’a à nouveau adressé la parole :
    -Maintenant va travailler petit cocu, pendant que je baise ma femme toute la journée. Branle toi bien en pensant à nous, je sais que t’en crèves d’envie. Ce soir ma femme et moi on va aller en boîte. Tu seras notre chauffeur, et peut être même qu’on te laissera voir deux ou trois trucs… Si t’es sage, petit cocu.


    Mathias et Sarah ne se sont alors plus intéressés à ma présence. Dix minutes plus tard, alors que je quittais la maison, il la faisait à nouveau jouir comme une salope dans ce qui était maintenant leur chambre.            

 

Je suis rentré à la maison vers 20h, toujours en ressentant ce mélange de peur, de colère et d’excitation malgré moi. J’ai trouvé ma femme et son amant sur le canapé (habillés cette fois, étonnant !). Lui était assis sur le canapé et elle, les jambes écartées, se tenait en amazone sur ses genoux. J’avais l’impression de voir deux lycéens qui se découvrent et qui découvrent les joies de la baise…
-Ah t’es là ma chère lopette de frère ! m’a dit Mathias. On t’attendait, t’as failli faire attendre ma femme chérie. Et comme tu le vois, elle a très envie d’aller danser…

Tous deux se sont alors levés. Ce connard de Mathias portait un tshirt qui mettait son torse en valeur, mais c’était bien Sarah qui était à tomber, dans une petite jupe d’été évasive et un top pas trop décolleté mais près du corps, qui mettait en valeur sa jolie poitrine. Pour parfaire sa silhouette et mettre ses fesses en valeur, elle portait des petites chaussures à talons qui lui donnaient un air irrésistible.
-Putain Sarah, t’as envie de te faire sauter par… ai-je commencé.
Mais Mathias m’a directement interrompu, autoritairement.
-Ma chérie, a-t-il dit à Sarah, réponds lui je t’en prie.
Ma femme s’est alors adressée à moi, après un sourire et un baiser à Mathias :
-Je suis pas ta putain, pour ça faudrait que tu me baises pas comme une lopette. Et puis tu sais que c’est mon homme qui m’appelle Sarah. Pour toi c’est madame Mathias.
-C’est bien… Maintenant, va me chercher ma veste ma belle, a glissé mon frère à l’oreille de ma femme, les deux mains sur son cul. Et ensuite on pourra partir.

Une fois qu’elle s’est éloignée, Mathias m’a regardé, avec cette expression de supériorité et de moquerie.
-Frangin, écrase-toi, c’est ce que t’as de mieux à faire. Cette petite salope est complètement dingue de moi et de ma bite. Elle fera ce que je lui dirai tellement elle était en manque de vraie baise. Elle est accro à moi et c’est moi qui l’ai maintenant. Maintenant, va nous attendre dans la voiture.
Devant mon immobilité, Mathias a ajouté : sinon, je la baise devant toi. T’as vraiment envie de ça ?

Inutile de dire l’option que j’ai privilégiée. Mathias et Sarah sont arrivés quelques minutes plus tard, comme un vrai couple. Ils se sont installés à l’arrière, et mon demi frère m’a ordonné de les conduire au Cube.
Afficher l'image d'origine
Alors chérie, tu sortais souvent avec ta petite lopette ? a-t-il demandé à ma femme, entre deux baisers particulièrement mouillés.
-Hmm non…
-Putain mais quel gâchis. Une petite chienne comme toi peut pas rester enfermée chez elle… Tu vas voir ma belle, tu vas kiffer la boite.

Moi, j’essayais de me concentrer sur la route. Pendant le trajet, Mathias a continué à chauffer « sa » femme : il avait passé sa main sous sa petite jupe, et entre deux baisers, lui expliquait que tous les mecs allaient la désirer. Il bandait littéralement à l’idée de savoir qu’il était le seul à la posséder. Quand je me suis garé, Mathias s’est à nouveau adressé à moi :
-Bon la tapette, toi tu restes là pendant qu’on s’éclate ma femme et moi. Peut-être que tu pourras venir si je te le permets… Si t’es sage, petit cocu.
Avant de sortir de la voiture, il a retiré sa main de la jupe de Sarah et l’a essuyée d’un geste de dédain sur mon visage.
-Bonne soirée pédale. J’espère que t’as des mouchoirs dans la voiture, t’en auras besoin en pensant à ce que ma femme et moi on va faire ce soir.
Cette dernière remarque a eu pour effet de faire rire Sarah, qui a échangé un regard complice avec son amant. Tous deux se sont ensuite éloignés. Mathias, une main sur les fesses de Sarah, était fier de son trophée qui déchaînait les regards des autres mecs…


Moi, j’en étais réduit à écouter le résumé de la soirée Ligue 2 sur RMC. Oui, autant dire que j’avais touché le fond. Au bout d’une heure, mon portable a vibré. Un SMS de Mathias : « Je t’autorise a venir lopette, ce serait con que tu rates le spectacle  ;)   ». Et comme un con évidemment, j’y suis allé. Fasciné et terrifié par tout ce qui m’arrivait, qui me semblait irréel. Bref, dix minutes plus tard, j’étais dans une salle sombre quasi remplie. J’ai vite trouvé Mathias, qui discutait avec une jeune fille de 25 ans environ. Quand il m’a vu, il a directement pris son ton de mâle dominant.
-Ah t’es enfin là, tapette. T’es même pas foutu de rappliquer rapidement. Bon, je t’ai fait venir pour que tu me payes une bière.
-Ca va pas Mathias, va te faire foutre quoi.
Mon frère m’a regardé avec un regard quasi attendri en me voyant protester.
-Ouais, je me doutais que tu gueulerais un peu, pour la forme.. a-t-il continué. Donc je t’ai pris ça avant de partir.
Il a alors pris quelque chose dans sa poche… Une carte de crédit. Ma carte de crédit.
-Tu te doutes bien que ma femme adorée m’a déjà donné le code…. Evidemment, t’auras rien à boire pour te punir de ton insolence. . Puis il a ajouté, en s’adressant au serveur :
-Une bière, et une coupe de champagne pour mademoiselle !
A côté, la fille semblait adorer le numéro du mâle alpha. Moi, je commençais à en avoir assez de tout ça.
-Elle est où Sarah ? ai-je fait. Elle en a déjà eu marre de toi, c’est pour ça que tu te rabats sur une autre en essayant de la saouler ?

Mathias se sentait toujours autant en position de force. Il m’a répondu du tac au tac :
-Arrête, tu sais bien que ma petite chienne en aura jamais assez de mes coups de bite. Te voile pas la face. C’est moi qui l’ai autorisée à s’amuser un peu ce soir. Elle en crevait d’envie, depuis tout ce temps qu’elle est pas sortie… Mate-la sur le dancefloor.
J’ai enfin jeté un œil aux gens qui dansaient. Et Sarah n’était pas difficile à trouver… Elle dansait avec deux mecs, très proches d’elle. Tous deux devaient avoir une vingtaine d’années à tout casser, bien foutus. A chacun de ses déhanchés, ses fesses frôlaient l’entrejambe d’un des deux mecs. Les deux, justement, se collaient à elle, et tentaient par moment de glisser une main sous son petit top ou sous sa jupe.
-Ca fait une demi heure qu’elle les chauffe, ma petite salope… a expliqué Mathias. Ils en peuvent plus les deux.
Sarah passa rapidement au niveau supérieur. Elle se frottait maintenant carrément à ses deux danseurs qui comprenaient parfaitement le message. Deux mains disparurent sous la petite jupe de ma femme. Une caressait ses cuisses, pendant que l’autre s’était posée sur son cul. Quelques minutes plus tard, tous trois disparaissaient du dancefloor et se dirigeaient vers les toilettes.
Afficher l'image d'origineles toilettes messieurs du Cube
Je me suis tourné vers Mathias, qui regardait la scène en souriant.
-Je l’ai autorisée à sucer mais pas à baiser… Je m’en voudrais d’être le seul mec à pouvoir profiter de ses talents de chienasse.

Evidemment, toujours terrifié mais en même temps fasciné, je suis allé voir si ma femme était réellement en train de sucer deux mecs qu’elle ne connaissait pas. Toilettes fermées… Je ne pouvais donc pas voir la scène. Je l’entendais seulement. Aux bruits de sucions se mêlaient les voix des deux hommes.
-C’est bon quand tu les malaxes… Ma parole, t’es une déesse de la pipe !
-Allez dépêche mec, moi aussi je veux en profiter de ses dons…
J’ai alors senti une tape sur mon épaule. C’était Mathias :
-Allez c’est bon lopette, t’en as assez vu et assez entendu. Je voulais surtout que tu voies comment ma meuf aime se sentir baisable et désirée… Comment elle bouge son cul comme une reine. Elle en veut, j’espère que tu l’as compris. Puis il a toqué à la porte et dit :
-Chérie, c’est Mathias, ouvre-moi. Il m’a ensuite regardé et m’a dit de les attendre à nouveau dans la voiture.

Trente minutes plus tard, les deux revenaient s’installer à l’arrière de la bagnole. Sarah murmurait à son amant : « j’espère que ça t’a plu…. J’ai fait ce que tu voulais mon amour. ». En même temps, elle lui faisait de petits bisous dans le cou et caressait son jean. Mathias lui répondit :
-C’était parfait, je vais bien te récompenser cette nuit…
Aucun des deux n’a fait attention à moi pendant tout le trajet. Quand nous sommes rentrés, Sarah n’y tenait plus. Elle voulait juste baiser le plus tôt possible. Ils étaient sur le point de monter, quand elle a fait à Mathias :
-Au fait, je t’ai pas dit, mais les deux mecs… C’était des anciens élèves. Ca m’a tellement excité… Enfin tu as vu mon string de petite chienne, donc ça tu le sais…
Là, j’en pouvais plus. Quand même. Fallait pas pousser. Qu’elle joue à un jeu malsain en privé, passe encore. Mais là, elle comprenait toute notre famille, si tout ça se savait. J’ai alors commencé à l’engueuler. Je lui ai dit que c’était pas correct d’allumer et de sucer des mecs qu’elle avait eu en cours. Que ça allait forcément s’ébruiter. Qu’elle était folle.

Ma tirade a été arrêtée par une baffe de Mathias, peu troublé par cette gueulante. Mais contre toute attente, c’est ma femme qui a réagi… et repris le contrôle de la situation.
-Je t’avais dit quoi ? De pas m’appeler SARAH. Ca, je le réserve à MON HOMME.
-Mais bordel, Sarah..
-Ta gueule, a reprit ma femme.
-Apprends-lui le respect, a murmuré Mathias, qui était passé derrière elle et se frottait à elle en l’embrassant dans le cou.
-Fous-toi à genoux, m’a dit Sarah avec un air autoritaire que je ne lui connaissais pas.
-Mais…Quoi ?
-A genoux. Par terre. A nos pieds.
Le ton de Sarah était tellement dur que je me suis exécuté, sans trop comprendre. Voilà, j’étais par terre.
-Comment je m’appelle ? a fait Sarah, pendant que Mathias faisait glisser ses mains sur ses hanches.
-Madame… Madame Mathias.
-C’est mieux… maintenant, approche toi de moi, a-t-elle repris.
Encore une fois, je me suis exécuté. De façon un peu misérable, à quatre pattes, j’ai parcouru la distance qui me séparait de ma femme.
-Pour te faire pardonner, je veux que tu lèches ma chaussure.
J’ai regardé la chaussure qu’elle me désignait. Effectivement, elle avait été salie pendant la soirée. Pas de doute : une tâche de sperme était restée dessus.
J’ai ensuite relevé la tête pour voir ma femme. Elle ne souriait pas. Elle dégageait pourtant cette sensation de domination, d’autorité. Un peu comme Mathias. Elle jouissait intérieurement de cette autorité qu’elle exerçait.
-Si tu ne m’obéis pas, mon homme va te virer de la maison. C’est compris petite lopette ?

J’ai alors fait ce qu’on me demandait. Pendant que ma langue s’appliquait à faire briller sa chaussure, je sentais que Sarah se cambrait pour répondre aux sollicitations de Mathias. Il lui a murmuré :
-Alors, ça te fait quel effet d’être la reine et de pouvoir le dominer ?
-Hmm… C’est bon chéri… Mais pas aussi bon que ta bite.
-Ca m’excite quand t’insultes ta petite lopette… Tu sais que je vais te démonter ce soir ?
-Hmm j’ai pas la patience de monter à l’étage…. Baise moi ici.
Elle a ajouté à mon adresse, après m’avoir donné un petit coup de pied :
-C’est bon, dégage maintenant. Va dormir dans la cuisine.

Quand j’ai quitté la salle, Mathias était en train de promettre à ma femme « la nuit dont toutes les salopes rêvent depuis toujours ».                                                                             

 

Inutile de vous dire que je suis resté bien sagement dans la cuisine pendant que ma femme et mon frère s’amusaient quelques mètres à coté. Depuis quelques jours, j’avais l’impression de ne plus savoir que ce je voulais. Evidemment, voir ma femme se faire prendre ma mon frère représentait une sorte d’humilation suprême, mais d’un autre côté, je crois que j’ai toujours eu le fantasme d’être soumis. Et même si c’était dur à avouer, le fait d’entendre ma femme hurler son plaisir avec un mec autre que moi commençait à me faire bander…

Au bout d’à peu près une heure, les deux amants sont enfin montés dans « leur » chambre, ce qui m’a permis de passer le reste de la nuit au salon… Evidemment, ils n’avaient pas nettoyé ce qui restait de leur baise. Je pense que Mathias avait fait exprès de laisser le string humide de Sarah bien en évidence sur le canapé, en guise de trophée. Mais bon, j’ai quand même réussi à m’endormir pour les quelques heures restantes de la nuit. C’était pas tout, mais je devais taffer tôt le lendemain !

Justement, je me suis réveillé sur les coups de sept heures du mat’. A en juger par le bruit dans la cuisine, les deux amants étaient déjà levés (ou ne s’étaient jamais couchés ?), mais, chose étonnante, ils ne semblaient pas (encore…) être en train de baiser. Je me voyais mal aller les salut tranquillement dans la cuisine et siroter mon café pendant une séance de suçage matinal, donc j’ai décidé de me barrer directement, ni vu ni connu. J’ai enfilé mon manteau et me suis dirigé, comme d’hab, vers la corbeille où je mets toujours mes clés… Putain, elles n’y étaient pas ! Evidemment, rien non plus dans mes poches. Mais pourquoi le sort s’acharnait-il sur moi ?!
Puis dans mon dos, j’ai entendu le tintement de clés qu’on agite.
-C’est peut-être ça que tu cherches ? A lancé Sarah, derrière moi.

Quand je me suis retourné, je n’ai même pas eu la force de me mettre en colère, tant elle était désirable. Rien de provoquant, mais tout ce qu’elle portait lui allait à une telle perfection que le tout frisait l’indécence. Avec un pantalon couleur crème moulant qui laissait suggérait les coutures d’un string, et un haut tout juste assez transparent pour faire fantasmer les hommes, ma prof de femme était tout simplement irrésistible pour aller faire cours. Mais bon, moi, fallait bien que j’aille bosser.
-Sarah, file-moi mes clés…

Dès que j’ai dit ça, j’ai su que j’avais fait une erreur. Elle a directement pris ce ton autoritaire de la veille, comme si elle l’avait toujours eu.
-Ma parole ma lopette chérie, t’as rien retenu de ce que je t’ai enseigné ?
-Si, mais…
-Dis moi comment je m’appelle.
-Je vais être en retard avec tes conn…
-Rien à foutre. Tu dois m’appeler comment le cocu ?
-Madame Mathias… Maintenant rends-moi mes cl…
-Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais parler ? Je crois pas non. Avec mon homme, on a décidé de faire ton éducation et de t’imposer quelques règles. La première, c’est de pas parler si tu n’y es pas autorisé. C’est compris ?
-Mais…
-C’est compris la lopette ?
-Oui…

Sarah paraissait prendre un malin plaisir à me soumettre à ses volontés.
-Bon, a-t-elle reprit. Deuxième règle : si tu veux prendre notre voiture, j’exige que tu me demandes l’autorisation avant.
-Mais c’est n’importe…
-Je crois que tu n’as pas bien compris. Si tu veux rester, ces règles sont non négociables. Alors tu dois faire quoi si tu veux aller à ton taff de merde ?
-Je dois te demander les clés de la bagnole…
-Mieux que ça putain !
-S’il te plaît… Madame Mathias… Est-ce que j’ai l’autorisation de prendre la voiture ?

Sarah a alors pris une mine plutôt satisfaite. Elle s’est avancée vers moi, et après avoir mis les clés dans ma poche, a posé ma main sur mon jean. Ou plus exactement, elle a commencé à compresser mon sexe, jusqu’à la limite entre plaisir et douleur. Avant de se barrer, elle m’a murmuré : « Ben voilà, c’était pas si difficile mon cocu… J’espère que ça t’excite. »

C’est sur ces mots que je suis sorti. Evidemment, je n’avais rien répondu. Mais bien sûr, je connaissais Sarah (ou bien je croyais la connaitre, en tout cas), et je savais qu’elle avait ressenti mon excitation dans cette soumission. Je ne pourrais bientôt plus me cacher…J’ai repensé à cette scène pendant toute la journée, et je devais bien me rendre à l’évidence : elle m’avait malgré moi excité.

C’est ce genre de pensées qui me traversait l’esprit quand je suis rentré chez moi. Enfin… Dans la maison où j’avais le droit de vivre, en tout cas. Sarah était vassisesur un meuble de l’entrée. Habillée comme le matin même, elle avait écarté les jambes pour pouvoir embrasser son amant. Celui-ci, toujours habillé, mimait des coups de rein pour signifier ce qu’il s’apprêtait à faire.
Quand il m’a vu, Mathias s’est écrié : « Ah, voilà mon cocu préféré ! ». Sarah, elle, s’est immédiatement levée. Ses talons accentuaient l’air décidé qu’elle arborait.
-Ah, te voilà enfin… Je commençais à m’impatienter. Je dois continuer ton éducation de parfait petit cocu, tu te souviens ?
-Oui Madame Mathias…
-C’est bien. Donc troisième règle : je veux que dès maintenant, tu nous vouvoies mon homme et moi.

Pendant ce temps, Mathias s’était placé derrière Sarah et avait fait glisser ses mains sur ses hanches. Il avait une tête mi surprise mi amusée, l’air de dire « Ca me fait marrer, mais même moi j’avais pas prévu que ça irait aussi loin ! ».

-Quatrième règle… a reprit Sarah qui appréciait en même temps les caresses de son amant. Tu es à moi, tu m’obéis car on sait tous les deux que c’est ce que tu as toujours voulu. Hein mon petit cocu ?
-Oui…
-Jure-moi que tu répondras sincèrement aux questions que je vais te poser…
-Je le jure Madame Mathias…

Pendant ce temps, Mathias avait justement déboutonné le pantalon de « sa » femme et sa main venait de disparaitre à l’intérieur du string de Sarah. Il était de toute évidence très adroit, parce que Sarah n’a pas tardé à ressentir de léger spasmes.
-Mon cocu réponds moi… Hmm… Tu aimes me voir baiser avec un autre mec ?
-…oui…
-Hmm… Et tu aimes qu’en plus de baiser, je prenne mon pied ?
-Oui…
-Oui quoi, ma petite lopette ?
-Oui madame Mathias…
-C’est bien, peut être qu’on va pouvoir faire quelque chose de toi finalement… maintenant mets toi à quatre pattes et avance toi vers moi… Hmm…
Derrière elle, toujours occupé à la doigter, Mathias a murmuré : « C’est là qu’est sa place, hein ma petite salope ? ».

Pendant que Mathias continuait à faire gémir Sarah, je me suis exécuté. Difficile de dire lequel des (ou trois, en me comptant…) prenait le plus son pied à me transformer en parfait cocu.
Une fois que j’ai été assez proche d’eux, Sarah a murmuré quelque chose à son amant. Celui-ci s’est marré, puis, comme pour répondre à ce qui devait être une demande de ma femme, il a enlevé son tshirt qu’il a jeté sur moi avec un air dédaigneux.
-Alors mon cocu préféré, ça te plaît que je me tape un mec comme ça ? Un beau métisse bien membré ?
-…Non… Non madame Mathias, ça me fait pas plaisir.
Mais Sarah ne me connaissait que trop bien. Elle devait avoir décelé que je mentais…
-T’es sûr que ça te plaît pas ? Voyons voir si tu me racontes pas des conneries… a-t-elle fait, pendant que Mathias lui retirait son haut et révélait son soutien-gorge.

Tout en parlant, Sarah avait dirigé son pied vers mon entre-jambe. Avec son talon, elle s’amusait à me palper à travers mon jean, à donner des petits coups au niveau de mes boules. Evidemment, pas besoin d’avoir fait un doctorat pour remarquer que je bandais sévèrement.
-Mais c’est que tu m’as menti ma lopette… Tu m’as l’air tellement excité. T’aimes tellement ça d’imaginer les doigts de mon homme dans ma petite chatte ? Tu penses à la mouille qui rend mon string tout humide hein ? Et pourtant malgré ton excitation t’arrives pas à bander comme mon Mathias… Mathias chéri, j’imagine que j’ai pas besoin de te dire à quel point sa bite est petite et molle…

Pendant ce temps, Mathias avait enlevé son jean et restait en boxer. Une de ses mains s’amusait avec les seins de ma femme, et l’autre caressait toujours sa chatte. Il a sauté sur la perche tendue par Sarah pour m’enfoncer encore plus, le salaud…
-Oui ma salope, malheureusement j’ai grandi avec cette lopette et j’ai presque honte d’avoir un frère aussi pitoyable à ce niveau…
-T’entends ça ma lopette ? Ca fait quoi d’entendre ton petit frère dire que t’es pas capable de faire jouir une meuf ?
Mathias a repris la parole :
-Tu sais ma petite salope, faut pas lui en vouloir. Il a la bite de lopette de son père. C’est pour ça que notre mère s’est tirée. Elle est comme toi. Elle a juste compris ce que c’était que d’avoir un vrai queutard… Hein ma petite chienne, c’est comment d’avoir un mec bien membré ?

Tout en parlant, il avait d’abord accéléré ses caresses pour faire jouir ma femme rien qu’avec ses doigts. Puis il a retiré sa main, et l’a présentée à la bouche de Sarah, qui ne s’est pas gênée pour goûter sa propre mouille.
-Hmm mon Amour, je crois qu’on a bien éduqué notre tafiole pour aujourd’hui…
Puis, s’adressant à moi, elle a ajouté :
-T’aimes ça en fait, te faire traiter de lopette comme ça… Je vois d’ici que tu bandes. Ben t’inquiète pas, c’est pas fini… J’ai encore plein de leçons à t’enseigner. Mais là, je sens que mon homme n’en peut plus… Au revoir ma petite tapette. Interdiction de nous mater mon chéri et moi… Mais je t’autorise à te branler pendant que tous nous entendras...                                                                           

économie de capotes -lol-

You always complain that I don’t give you any pussy. Well, cucky, here’s your chance. While my Nigger is fucking my ass, crawl over here and tongue-fuck my pussy. 
You like the view bitch boi? Your wife is a whore for my Nigger cock. I’ll give you a turn in a minute.

 

Par LE FREROT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 17:57
Vie de baise  nouvelle série sur Rue69 

Nous lançons une nouvelle série sur Rue69 : Il s'agit de lire et de raconter vraiment la sexualité, ni celle qu'on voit au cinéma, ni celle que l'on lit dans les livres. Nous avons l'espoir de documenter la vie  sexuelle des fançais  Qu'elle soit extravagante ou tout à fait banale. Si vous avez envie de vous prêter au jeu, écrivez-nous sur contact[at]rue89.com, avec « Vie de baise » en objet. Rue89

Pour candidater à la rubrique « Vie de Baise »,

Sophie nous a envoyé un mail pas racoleur :

« J’ai 24 ans et une sexualité tout ce qu’il y a de plus “ classique” : j’ai eu une dizaine d’amant-e-s, je suis dans une relation monogame (ou presque) depuis 3 ans, je n’ai jamais eu d’expérience “hors-norme”.

Je vous propose un témoignage qui peut sembler morne (même si ma vie sexuelle ne l’est pas), mais [...] je pense que ce genre de récit a aussi sa place dans votre rubrique ! »

Sa vie sexuelle, apparemment sobre, peut-être même ennuyeuse, nous a intéressés – cela permettrait de tempérer un peu la rubrique qui parle, depuis qu’elle existe, surtout des comportements extrêmes.

J’ai rencontré Sophie, un soir, dans une brasserie du nord de Paris. Je m’attendais à voir arriver une fille lambda, un physique sans intérêt pour aller avec une sexualité sans aspérité.

Vie de baise de Sophie :  

 

Est arrivée une grande nana d’1m80 hyper mince, avec des taches de rousseur, des cheveux bouclés, des gros bijoux et un casque de vélo. Sophie a quelque chose de Jane Birkin jeune, en version plus intello.

Sophie vient d’un petit village « très rural ». A 18 ans, elle est venue à Paris faire une très bonne école. Aujourd’hui, elle cherche un boulot dans l’humanitaire.

Pendant une heure, elle m’a parlé de sa sexualité « classique ». Au fur et à mesure, cela s’est peut-être vu, je me suis décomposée : tout ce que je trouvais « original », elle le trouvait « normal ». Soit sa sexualité est beaucoup plus marrante qu’elle ne le pense (bisexualité, œuf vibrant télécommandé), soit je suis une nonne qui s’ignore.

Sophie, le 21 octobre 2014
Sophie, le 21 octobre 2014 - Nolwenn Le Blevennec/Rue89

Ma sexualité

Je ne dirais pas que j’ai une sexualité plan-plan, parce que c’est connoté trop négativement. Je la décrirais comme satisfaisante, épanouie. Elle a une particularité que j’ai très peu exploitée, c’est que j’ai le droit d’aller voir des filles. C’est un accord qu’on a avec mon copain.

J’ai eu deux mini-expériences depuis que je suis en couple avec lui. Il y a une fille à qui j’ai fait un cunni, et une autre que j’ai masturbée. C’étaient des amies. Bisex, pas lesbiennes.

Je ne trouve pas ça bizarre de faire ça avec des amies. J’ai déjà fait des trucs avec des amis hommes aussi. Cinq minutes plus tard l’amitié reprend. C’est un moment agréable entre deux personnes qui en ont envie.... C’est en plus, je dirais même que ça renforce la complicité.

Je n’ai pas de mal à m’imaginer amoureuse et en couple avec une fille. Ça n’est jamais arrivé, juste.

Pour être plus précise, la fois où j’ai fait un cunni à cette amie, mon copain était en train de m’en faire un. Comme un ami me l’a fait remarquer, ce n’était pas un plan à trois, mais deux plans à deux simultanés.-lol- (ndlr CG)

Mes dates clés

La première fois que je me suis masturbée, je devais avoir autour de 10 ans. J’ai découvert le geste par hasard avec un ours en peluche. Je fais donc partie des gens dits minoritaires  qui utilisent un support et pas leur main...

J’ai arrêté avec l’ours en peluche, mais le geste de départ reste le même. J’ai besoin d’un lit, d’un matelas, d’une chaise avec un oreiller dessus, il me faut un angle en fait. La première fois, je me souviens que c’était un peu culpabilisant, peut-être aussi du fait que je faisais à ça avec une peluche.

Je me souviens que j’avais une amie dont j’étais assez proche à l’époque et qu’il nous est arrivé de faire des trucs ensemble. C’était particulier, parce qu’elle a porté des couches très longtemps, la nuit (elle faisait pipi au lit). Du coup, je crois que c’est arrivé une ou deux fois qu’on se frotte un peu l’une contre l’autre. La couche était une sorte de support.

Mon premier rapport, j’avais 16 ans et lui 21 ans. C’était extrêmement banal, avec un garçon qui était mon amoureux. Il avait déjà eu quelques expériences, il était très gentil et ça s’est très bien passé. On s’était rencontrés sur un forum de poésie. Puis des heures sur MSN, des appels téléphoniques interminables. Il habitait loin, la relation a duré huit mois je crois.

C’était pas douloureux, c’était pas jouissif non plus. On l’a refait assez vite et dans la foulée j’ai fait ma première fellation. C’était un peu trop précipité pour moi, mais il a amené le truc. Et au bout d’un moment, il s’est mis à diriger un peu l’acte, ce qui m’a un peu traumatisée (pas longtemps).

  Afficher l'image d'origine   

     

cette façon de pousser la tête et d'imprimer un rythme, je ne l'accepte pas ou très mal.

 


Je dirais qu’il y a eu deux fois où ma sexualité a changé. D’abord quand j’ai eu mon premier béguin pour une fille. Même s’il ne s’est absolument rien passé avec elle. C’était en terminale.

Le second tournant, c’est la première fois que j’ai fait l’amour avec mon troisième partenaire, j’ai senti que j’avais enfin compris comment ça marchait. Une sorte de déclic. Je me suis dit « Tiens, en fait, on peut bouger les hanches comme ça, on peut faire ce type de mouvement là », quelque chose dans ce genre là. J’avais compris comment on pouvait être active y compris dans des positions où l’on pourrait tout à fait être passive.

Sous-vêtements de Sophie
Sous-vêtements de Sophie - Sophie

Je ne sais pas si j’ai envie de considérer qu’il y a un âge de la plénitude sexuelle, je préfère penser qu’il y a des des périodes de plénitude. Avant de me mettre en couple avec mon copain actuel, on s’est tournés autour pendant trois ans. Quand on s’est mis ensemble, j’ai eu l’impression qu’on avait trois ans de désir sexuel à rattraper. C’était assez fou. Je dirais que cela a duré quasiment un an. C’était sans cesse et bien.

La fois la plus folle, c’était en Angleterre. Je venais de passer un mois à travailler dans un pub. Je craquais pour un collègue, regards torrides dans l’arrière-cuisine. Puis il y a cette grosse fête et je me suis dit que c’était le moment. Ce soir-là, j’ai appris qu’il était avec quelqu’un. Grosse descente. Puis, la soirée se passe et en fait, je comprend que cela ne l’empêche pas de coucher avec des filles. On a fini chez lui, ivres. On a fait l’amour alors qu’une amie dormait dans la même pièce. C’était marrant parce qu’il disait « come baby, come » et qu’à l’époque je ne savais pas ce que ça voulait dire.

La dernière fois, c’était hier et c’était bien. Avec mon copain, il n’y a pas toujours d’orgasme, ni même de plaisir physique, mais c’est bien quand même. Je dirais que j’ai au moins un orgasme par semaine. Ça dépend beaucoup de la position. Il y a des positions où je suis quasiment sûre de ne pas en avoir. Mais des fois, je ne cherche pas l’orgasme. J’ai envie d’un moment d’intimité ou d’un truc sportif.

Les mots

Je dis toujours « faire l’amour ». Je ne dis jamais « baiser » ou « piner ». Même quand je parle des rapports avec des mecs dont je n’étais pas amoureuse. Dans ces cas là, je peux dire « coucher avec ».

Des fois, avec mon copain, on se parle pendant le rapport, mais on ne se dit jamais des trucs très crus. C’est plutôt le ton, la manière dont c’est dit qui va être érotique, même si c’est juste mon prénom. Cela m’a déjà traversé l’esprit d’essayer des choses, mais je ne l’ai jamais fait.

      Je ne veux pas faire l’amour qu’une seule fois par semaine à 24 ans. 

Je dirais que je fais l’amour environ quatre fois par semaine. Surtout le week-end. Globalement, mon copain est plus demandeur que moi. Mais comment dire, j’ai un seuil psychologique au-dessous duquel je ne veux pas aller. Je ne veux pas faire l’amour qu’une fois par semaine à 24 ans. 

Bientôt, je compte arrêter ma contraception hormonale et j’espère que ça aura un effet sur ma libido. Je vais mettre un DIU cuivre [dispositif intra-utérin, ndlr]. Ca fait partie d’un processus général dans ma vie d’aller vers ce qu’il y a de plus naturel.

On fait l’amour chez nous, jamais dans la rue ou dans les lieux publics. Chez nous, c’est dans la chambre, la salle de bain, le salon maintenant qu’on a mis un rideau. Le faire hors du lit n’a rien d’exceptionnel.

On fait l’amour complètement nus à de rares exceptions près. En général, chacun déshabille l’autre.

Il y a des fois où je vais adorer être en missionnaire et qu’il soit collé contre moi. D’autres fois, j’aime bien être dessus, parce que je prends le contrôle et que c’est très orgasmique pour moi.

si vous croyez que c'est mieux d'aller vite cracher au lavabo...

J’aime bien les fellations. Je vais jusqu’au bout à chaque fois, je ne conçois pas une fellation pas finie. Ce n’est pas un préliminaire pour moi. J’ai toujours avalé, oui. C’est juste que c’est plus propre et que ce n’est pas glamour de courir dans la salle de bain. C’est plus ou moins agréable. Avec mon copain, ce n’est pas désagréable.

J’aime bien qu’on me morde le haut du dos, les épaules.

ça va vous paraître incroyable mais je n’aime pas trop qu’on me titille les tétons. Sinon, il n’y a rien que je déteste absolument, quelles que soient les circonstances.    

Il ne voudra jamais par peur d'aimer et devenir accroc : 

Je n’ai jamais testé la sodomie. Je me dis que je testerai un jour. Et aussi, je crois que serais intéressée par la sodomie dans l’autre sens. Le sodomiser lui, avec un gode ou les doigts. Je trouve ça intéressant de renverser le rapport dans la pénétration et qu’en plus ce soit une zone très érogène pour les hommes. Mais je n’ai même pas besoin de lui en parler pour savoir que c’est mort de chez mort. L’idée qu’on touche à ses fesses... Il ne voudra jamais.

 

Rouleau de scotch
Rouleau de scotch « pour s’attacher » - Sophie

Je n’ai pas beaucoup d’accessoires. J’ai un petit martinet, du scotch qui se colle sur lui-même pour s’attacher. J’ai aussi un œuf vibrant télécommandé, mais je ne l’ai jamais utilisé avec mon copain. Je l’ai utilisé avec une amie.

Dans la tête

Quand j’étais petite, je me rappelle que j’allais parfois feuilleter des livres que lisaient ma mère et ma sœur. Une saga de bouquins qui se passe à la préhistoire. La série suit l’évolution d’un couple et il y a des scènes de sexe. Des choses très classiques, ce n’était pas ambiance « peaux de bêtes et gourdins ». C’était intéressant, excitant.

Je ne suis pas sûre d’avoir des fantasmes. Je suis partante pour essayer des trucs. Mais je ne tiens pas une liste de choses que j’aimerais faire.

Je ne consomme pas de porno. Ça m’est peut-être arrivé de lire une fois ou deux des petites nouvelles érotiques sur Internet. Mais je crois que ça se limite à ça.

De la vie sexuelle de mes parents, je ne connais rien. Toutes ces choses étaient extrêmement taboues chez moi. Avec ma sœur, on n’avait pas vraiment le droit de dire des mots comme « règles » ou « serviette hygiénique » donc le sexe n’en parlons même pas, mon Dieu !

Je n’ai même jamais vu mes parents nus. J’ai dû voir mon père en caleçon. Ma mère, si je la voyais en pantalon et en soutien-gorge dans la maison, c’était déjà tout un truc. Moi je ne suis pas pudique. Je dis pas que je vais me balader à poil devant mes enfants, mais j’aimerais juste qu’il n’y ait pas de gêne. J’essaierai de trouver le juste milieu.

Je ne regrette aucun rapport sexuel. Je ne me suis jamais sentie sale ou maltraitée. J’ai toujours fait l’amour avec des gentils garçons, vraiment.

Ce que je regrette un peu, c’est de ne pas avoir mis de capote une ou deux fois. Il ne s’est rien passé de dramatique au final, mais ça a été une source de stress. A l’époque, je n’avais pas connaissance des traitements contre le sida qui peuvent être pris juste après un rapport non protégé.

Mon dernier étonnement au lit, c’est la découverte d’un angle. Pendant un moment, j’ai eu un peu mal en faisant l’amour. Avec mon copain, on a découvert, à cette époque, un angle qui ne me faisait pas mal (quand j’étais dessus) et qui nous apportait beaucoup de plaisir. Une découverte très cool.

Aujourd’hui j’utilise un lubrifiant et il n’y a plus de problème. Mais cet angle nous est resté.

 

 

 


Par SOPHIE RUE89 - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 08:26

Elle n’a pas été avare de détails et ne cesse depuis ce jour de nous vanter l’efficacité de la méthode

 

            Marie nous a raconté pourquoi elle a conduit son époux pour un “débourrage” chez David. Elle n’a pas été avare de détails et ne cesse depuis ce jour de nous vanter l’efficacité de la méthode.

 

   

 

 

Par KOKU SERT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • LV 2 MEN M%20M%20024
  • ENVIE
  • UNCUT BEAUTY 03
  • pissing
  • virus 1
  • 676 1000

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés