Lundi 15 août 1 15 /08 /Août 16:42

  Sarah épouse du roi Candaule? COCU magnifique...Dés le début de notre relation mon mari me parlait souvent de ses fantasmes de soumission. Il voulait que je le domine sexuellement mais cela ne m'intéressait pas car ça ne faisait pas partie de mes fantasmes et je l'écoutais sans pour autant lui donner satisfaction sur ce point.

Et puis il y a eu un tournant il y a deux ans...  

 

Bonsoir à tous, je viens vous raconter ma petite histoire.

Je vis avec ma femme (appelons-la Sarah) depuis quinze ans en région parisienne. Je suis commercial, et elle est prof en lycée. Sans me vanter, je pense avoir réussi à trouver une femme vraiment canon. Elle approche de la quarantaine, mais je pense que dans son établissement, elle doit en exciter plus d'un, collègues comme élèves... Brune d'1m75, Sarah est surtout une femme sûre d'elle, consciente qu'elle a des fesses superbes. On gagne pas mal notre vie, et comme elle est souvent libre l'aprem, elle passe beaucoup de temps à s'acheter des fringues qui la mettent terriblement en valeur.

C'est moi qui l'ai intéressée au candaulisme. Au début, elle n'était pas du tout tentée, elle me disait que je lui suffisait amplement. Moi, au lit, je lui parlais de tous ces mecs qu'on connaissait qui pourraient la faire jouir. Même si ça l'excitait, elle me disait qu'elle ne me tromperait jamais.

Et puis, un soir, mon petit frère frère Mathias (enfin mon demi frère) a appelé pour qu'on l'héberge. C'est un peintre en bâtiment. Il y a un mois, son entreprise faisait faillite et il voulait aller tenter sa chance à Paris. "T'inquiète pas mec, je te repeindrai ton salon gratis !" a-t-il dit. J'ai évidemment accepté...

J'ai direct vu que Sarah lui plaisait bien, avec son petit pantalon slim et ses ballerines qu'elle portait pour l'accueillir. Lui, c'est le stéréotype même du mec viril: marcel et bien membré. Comme ma mère a refait sa vie avec un antillais, il a la peau mate, ce qui, je crois, fait craquer les femmes. Mais bon, je suis habitué à ce que les mecs matent ma femme.

Dans les semaines qui ont suivi, je me suis rendu compte que Sarah portait des tenues de plus en plus sexy. Du pantalon, elle était passée à la jupe, évidemment de plus en plus courte. Le pull informe qu'elle portait le premier jour laissait place à des hauts beaucoup plus cintrés... Plus décolletés aussi. Mathias ne manquait pas de le faire remarquer, avec ses petites phrases, tous les matins : "C'est pour moi que tu t'habilles comme ça? Hmm, tes élèves doivent pas s'ennuyer, je suis jaloux..." D'ailleurs, à chaque fois qu'il faisait la bise à ma femme, le matin, il n'hésitait plus désormais à frôler ses hanches et ses fesses. Je ne m’en rendais pas tout à fait compte, mais Mathias prenait petit à petit possession de la maison. Il n’hésitait pas à se mettre torse nu pour repeindre notre salon (comme promis), et balançait généralement son marcel sur mon bureau.

Un soir, trois semaines après l'arrivée de Mathias, pendant que je faisais l'amour à ma femme, j'ai commencé à lui parler de mon frère.
-Alors, t'as vu comment il te mate Mathias?
-Tu crois? m'a-t-elle répondu d'un tout faussement innocent
-T'as vu comment ton petit cul l'excite?
-Hmm... Oui, peut être...
-Fais pas l'innocente, tu fais tout pour le rendre dingue...
-Hmm... souffla-t-elle encore en se laissant faire
-Il te plaît Mathias?
-Hmm... Un peu... Il est bien foutu...
-Juste un peu? T'aurais pas envie qu'il te prenne? Que ce soit sa main et pas la mienne qui te caresse en ce moment?
-Hmmmmm... Continue
J'ai donc continué à lui parler de Mathias qui la prendrait dans tous les sens pendant des heures. A la fin, Sarah, qui ne cachait plus du tout son plaisir, gémissait "Oh oui, Mathias..."


A vrai dire, je pensais que pour Sarah, c'était simplement un fantasme parmi tant d'autres qui ne se réaliserait jamais, comme tous ceux qu'elle avait déjà eus.

Mais c'est le lendemain que tout a commencé à dégénérer. Mademoiselle étant trop crevée à cause de sa folle excitation de la nuit, c'est moi qui me suis levé pour éteindre l'alarme de son portable. En bon mari bien curieux, je suis alors allé faire un tour dans sa messagerie. Le dernier message de mon frère datait de la veille dans la matinée, et disait ceci: "Ma belle, tu portes quoi pour exciter tes élèves? Moi je suis à poil sur ton lit, je pense à toi..."

Ni d'une, ni de deux, je suis allé réveiller Sarah et lui ai montré le texto. Endormie, elle m'a directement répondu :
-Ben oui, qu'est ce que tu veux que j'y fasse si je l'excite?
-Enfin quand même, qu'est ce qu'il fout à poil sur notre lit?
-J'en sais rien, c'est ton frère après tout, pas le mien... J'allais pas fermer la porte de la chambre à clé, je ne connais pas les fantasmes de ton frère moi!

Le ton est ensuite un peu monté, puis, excédé, je suis parti au boulot. Vers 17h, j'ai reçu un sms de ma boite de messagerie qui m'indiquait que j'avais reçu un message vocal. Je vous le retransmets ici, même s'il n'est peut être plus tout à fait exact:
-Salut frangin, c'est Mathias! Je suis avec Sarah!
-Coucou mon chéri, fit la voix de ma femme, un peu plus loin
-Bon, mec, j'ai appris que tu fouillais dans le portable de ta meuf. Ca, c'est pas bien. Je pense qu'il faut te punir. Hein, t'en penses quoi ma belle, il faut le punir?
J'ai alors entendu un bruit mouillé, comme des lèvres qui s'embrassent
-Oh oui mon Mathias, il faut le punir!

J'entendis alors à nouveau la voix de Mathias, triomphale:
-Ok frérot, je sais que t'es pas trop con et que t'as remarqué qu'on se plaisait, ta femme et moi. Hein ma belle?
*nouveau bruit mouillé*
-Hmm oui mon beau mec bien foutu...
-Et t'aimes quoi d'autre chez moi?
-.....Tu le sais bien, reprit ma femme, gênée
-Dis le moi... Dis le à ton mari au téléphone.
-Ta... ta bite
-Tu veux dire ma bite de demi black?
-Oui, celle la... répondit ma femme, qui commençait à gémir. Ta belle bite de black
-Oh mais t'as rien sous ta jupe!
-Non..Hmm... J'ai pensé...Hmm... Que ca te ferait plaisir
-Mais t'es une petite salope!
-Hmm.. Oui je suis ta salope!
-Ma petite salope de femme infidèle?
-Oh oui!
-Où est ce que tu la veux ma petite chienne?
-Partout...Partout, tu m'excites trop mon chéri
-T'as pas l'habitude avec ton cocu de mari?
-Oh ouii.. Oh oui...Mmh non mon mari il a pas ta belle bite de black chéri!!

-Bon frérot, je crois que t'en as assez entendu, reprit mon frère, qui haletait pendant que ma femme hurlait près de lui. J'ai une meuf à satisfaire moi...
Derrière lui, j'entendais : "Fous la moi dans mon petit cul j'en ai envie!!"

BIP. FIN DES MESSAGES.

                                                                               

vous l'avez cherché, maintenant c'est arrivé ---------------​--

 

 



20h. Je viens d'arriver chez moi. La voiture de ma femme est là aussi. Apparemment, elle aussi est bien à la maison. Je suis toujours sidéré par ce que j'ai écouté. Je suis en colère évidemment, et aussi, malgré moi, un peu excité. Allez, il faut bien y aller. Je pousse la porte d'entrée.

Là, en face de moi, contre le mur, je tombe sur ma femme et Mathias. Lui est en boxer. Elle porte une guêpière et un petit string dont je n'avais même pas connaissance. C'est elle qui est contre le mur. Elle a ses bras autour de son cou pendant qu'il lui malaxe les fesses. Il se frotte à elle, pour lui montrer qu'à travers son boxer, sa bite en redemande. Après quelques secondes, les deux amants qui s'embrassent comme des damnés daignent me regarder.
-Ma petite salope chérie, regarde qui est là...

Moi, j'essaye de reprendre mes esprits mais je suis un peu perdu. Je réussis finalement à gueuler :
-Mathias, je veux que tu dégages d'ici ce soir!

Mon demi frère, entre deux baisers, commence à se marrer.
-T'as rien à dire, frérot, dit-il d'un ton très calme. Ma petite chérie infidèle veut que je reste.

Comme pour confirmer ses dires, Sarah passe la main dans son boxer, sourit et lui caresse doucement les boules.
-Mathias...J'ai envie de toi mon coeur.

Mathias passe une main entre ses jambes et dépose un baiser sur ses seins.
-Bientot ma petite chienne…
Puis il me regarde et ajoute:
-Franchement, t'as mis une semaine à capter? Ton canapé et ton lit de cocu sentent le sperme et la mouille de salope de partout... Ta meuf est une reine avec son petit cul... Enfin ma meuf maintenant.

Je le regarde, sans comprendre

-Frérot, c'est ma femme jusqu'à ce que je décide de te la rendre. Si ça arrive un jour... Tu l’appelleras maintenant madame Mathias et pas autrement.

Sarah se frotte à lui et commence à l'embrasser dans le cou.

-Bon ma femme me réclame. Le repas est pas encore prêt. Il a intérêt à l'être dans 30minutes, le temps que je la prenne de partout ma chienne adorée. Au fait, c’est toi qui lui as payé cette lingerie sexy cet après-midi, en bon petit cocu que tu es. On est allé l’acheter comme un joli petit couple qui se pelote et qui s’embrasse toutes les cinq minutes, à me foutre une trique d’enfer. Hein ma chérie ?

Sarah sourit et commence à gémir doucement.
-Oh mais c’est que ce souvenir te fait bien mouiller on dirait… reprend Mathias.
Il prend alors ma femme par la main et la guide vers l’escalier, non sans poser une deuxième main sur son cul, pour signifier qu’elle lui appartient totalement. Avant de monter, mon demi-frère se tourne vers moi et ajoute :  

El clóset ya no solo sirve para guardar ropa, ahora sirve para que el cornudo pueda ver como se cogen a su esposa puta.

-Evidemment, interdiction formelle de pénétrer dans ta chambre de cocu. Enfin dans ma chambre maintenant… Je vais essayer de pas faire trop de bruit quand je défoncerai le petit cul de ma femme toute la nuit, mais je te promets rien… Demain matin, je te laisserai rentrer dans la chambre, pour que tu viennes nous apporter le petit déj. Tu prendras aussi mes boxers pleins de spermes et ses strings mouillés pour les laver. Comme ça tu comprendras ce que c’est de baiser une meuf, mon frérot cocu.

 

Je n’ai pas revu ma femme de ma soirée. Après les avoir vus monter, j’étais resté là, comme un con, pendant plusieurs minutes. J’avais finalement rejoint le salon et regardé des conneries à la télé. Et dire que ma femme devait s’être fait prendre pendant toute la semaine à cet endroit… J’ai même retrouvé une capote usagée, entre les coussins.

Je ne voulais pas m’abaisser à faire à manger pour mon frère, quand même. Il me restait un semblant de fierté. Je me suis fait des pâtes puis je suis retourné à la télé. Au-dessus de moi, j’entendais des cris, des gémissements à n’en plus finir. J’entendais assez clairement les « Oh ouiiii » de ma femme. Ca me coûtait de l’avouer, mais elle n’avait jamais crié aussi fort.

Au bout d’une heure, j’ai entendu des pas dans l’escalier. C’était Mathias qui descendait… Dans mon peignoir. Il l’avait fermé, mais pas entièrement, juste assez pour qu’on voit qu’il bandait comme un malade. Quand il m’a vu sur le canapé en train de manger mon plat de pâtes, il m’a regardé en souriant, l’air de dire « Je te plains quand même ».
-T’inquiète mon petit frérot cocu jusqu’à l’os, je reste pas… Ma petite chienne de femme et moi, on n’a pas fini de baiser ce soir.
-Putain Mathias, arrête de parler d’elle comme ça quoi !
Mathias, debout à quelques mètres de moi, avait vraiment la posture du mal dominant.
-Mais mon petit cocu, t’as toujours rien compris ? Elle en redemande à chaque fois cette petite chienne, elle aime ça… Allez, ciao !

Voyant qu’il s’en allait dans la chambre avec du vin, des fruits et mon plat de pâtes, j’ai tenté de reprendre ma position d’homme en lui disant :
-Putain, c’est ma bouffe, mes pâtes, alors cuisine au moins toi-même, je vais pas tout te donner non plus !
Là, Mathias m’a regardé avec une expression particulière. Un mélange de rire et de pitié.
-Mon petit frérot, arrête. T’as vu, tout est à moi là, maintenant. Tes pâtes comme ton peignoir. Et maintenant, je vais baiser ma femme sur mon lit pendant toute la nuit…

Puis il est reparti. Je crois qu’il a fait exprès de faire encore plus de bruit avec Sarah par la suite. Pendant toute la nuit, j’ai entendu ma femme qui gémissait et qui criait des « C’est trop bon, mon chéri, prends moi encore… » Mathias continuait à l’insulter, lui disait : « T’en veux encore, ma salope ? J’ai jamais vu une salope comme toi, tu le sais ça… ». Ce à quoi Sarah répondait en criant : « Oh oui je suis ta salope ! ».

     
rissalee32: “Ill finger your ass while you bounce on me ”
                                                           

Inutile de vous expliquer que le lendemain, j’avais relativement peu dormi, sur le canapé où ma femme et son amant avaient dû baiser une dizaine de fois pendant la semaine. Vers huit heures, quand j’ai commencé à émerger pour me faire du café, j’ai à nouveau entendu quelqu’un descendre l’escalier. Cette fois, c’était Sarah, dans son peignoir. Les cheveux complètement décoiffés, elle avait l’air de la femme fatiguée mais heureuse. Inutile de vous dire que quand on s’est vus, l’atmosphère s’est tendue d’un seul coup. Pendant près d’une minute, je crois qu’on a tous les deux été silencieux, jusqu’à ce qu’elle rompe finalement cette pesante absence de paroles :
-Ecoute, tu m’avais toujours dit que ça te faisait fantasmer, toutes ces histoires de tromperie et tout…

Je l’ai regardée, un peu incrédule.
-Ben oui, ça m’excitait. Mais des tromperies voulues par nous deux. Te taper mon frère sans que je le sache, c’est différent putain !
Sarah, l’excitation sauvage de la veille ayant disparu, avait quand même l’air de s’en vouloir.
-J’y peux rien ! J’y peux rien ! m’a-t-elle dit. Mais il me fait tellement de bien ! Il me baise tellement bien que j’ai pas pu m’en passer ! Je peux pas lui résister !
-Donc… Donc tu vas pas arrêter ?
-Je peux pas… m’a-t-elle glissé dans un souffle. Et puis… Et puis… Avoue que ça ne te laisse pas indifférent. Sinon t’aurais gueulé hier soir, au lieu de jouer à la lopette.

Touché. Même si j’avais du mal à l’admettre, j’étais malgré moi excité par la situation. Ca, ma femme l’avait compris. Elle poursuivait :
-Ca ne t’excite pas un peu d’imaginer que ton demi frère me prend et me fait jouir comme tu le pourras jamais ?
Aucune réponse de ma part. C’était un aveu de faiblesse.
-D’imaginer sa belle bite de métis dans mon petit trou…. Reprit Sarah en murmurant.

C’est à ce moment là que Mathias est descendu, toujours dans mon peignoir. Il a pris Sarah par la taille et l’a attirée contre lui en l’embrassant dans le cou. On voyait bien qu’il bandait déjà violemment. Sarah, elle, me regardait en souriant légèrement, l’air de dire « je suis sûr que ça te plaît en fait ». Elle se frottait doucement à son nouvel amant.
-Ma petite chérie… a fait Mathias, dont la bite semblait encore grossir, je veux que tu montres à ton gros cocu de mari un de tes talents qu’il ne connaît pas vraiment. Je veux que tu me suces maintenant, devant lui. On va le punir pour ne pas nous avoir préparé de petit déjeuner…
“If your cracker ass ever even looks at another white dick again, I’ll choke you the fuck out. You belong to Niggers now. Got that shit Ho?” Sometimes a Nigger has to make sure that there are no misunderstandings.

C’était quasiment un ordre qu’il lui donnait. Je sentais Sarah complètement excitée par mon frère : je découvrais apparemment une femme qui aime être soumise. Elle a rapidement ouvert son peignoir et s’est agenouillée pour le sucer. Moi, elle me l’avait très rarement accordé. Mais elle était pourtant là, à côté de moi, et je la voyais s’appliquer pour satisfaire Mathias : sa bouche avalait littéralement l’imposante bite de mon frère, et ses mains lui malaxaient les boules avec envie.
Tout fier, Mathias me regardait en souriant.
-Alors frérot, tu savais que ta chienne de femme suçait comme une reine ? Je suis sûr que non, hein ma petite cochonne ?
-Hmm… Non, je le suce jamais… a fait Sarah.
-Pourquoi ? reprit Mathias. Vas-y, dis le nous !
-Hmm… Parce qu’il me fait pas assez jouir.
-Il le mérite pas ?
-Hmm..Non mon chéri.
-Continue à me sucer comme une salope ma belle, pendant que ton cocu de mari me sert mon café

    • One more fucking word, and I’ll kick you out of the bedroom. You wanted to watch me suck a Nigger cock. You didn’t say anything about wanting to speak. SHUT THE FUCK UP.

    One more fucking word, and I’ll kick you out of the bedroom.  You wanted to      
    Je me suis exécuté, pensant que ça ne servirait à rien de créer un conflit inutile. Pendant ce temps, ma femme suçait toujours divinement Mathias. Au bout de quelques minutes, il l’a interrompue.
    -C’est bon ma petite salope, tu m’as bien gâté ce matin. Il faut encore qu’on discute de quelque chose avant que ton gros cocu ne parte travailler. Couche toi sur la table…
    Encore une fois, ma femme a bien obéi à l’ordre de son amant. Il lui a enlevé son peignoir et, entièrement nue, elle s’est couchée sur la table, les jambes bien écartées.
    -T’as bien mérité une récompense pour m’avoir si bien sucé devant ta grosse lopette de mari, a fait Mathias.

    Et il a directement foutu sa grosse bite dans la petite chatte de ma femme, qui a poussé un petit cri de surprise et de jouissance. Il l’a pilonnée violemment. Le but n’était pas de lui faire l’amour mais bien de la baiser, de la faire jouir. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle criait déjà des « Oh ouii c’est bon ! », Mathias a encore voulu m’humilier :
    -Ma petite salope, tu sais quoi ?
    -Hmm oh oui ! Non mon…mmmh Mon chéri !
    -Ton mari pense que t’aimes pas être traitée comme une pute !
    -Hmm.. Pourtant j’en suis une ! Oooh… C’est trop bon !
    -Continue ma salope, dis le à quel point t’en es une !
    -Hmm je suis ta salope à toi… Je veux que tu me prennes partout et tout le temps… Ooooh je suis ta chienne mon amour !
    -Redis le, je kiffe ça et ton gros cocu aussi !
    -Je suis ta petite pute mon amour ! Baise-moiii !
    -Et t’aimes ça hein ma salope ?
    -Je peux plus me passer de ta bite tu le sais !! Oohh mmh j’en peux plus ! Je vais tout mouiller !
    -Ta petite lopette va nettoyer ! Maintenant je vais te faire jouir comme la salope en manque que tu es !
    -Ohhh ouiii Mathias chéri…

    Mathias l’a pilonnée comme jamais en la traitant de salope, en lui caressant les seins pendant qu’il la pénétrait comme un malade. Sarah a alors eu un putain d’orgasme, à réveiller tout le quartier. Une fois tous les deux calmés, Mathias m’a à nouveau adressé la parole :
    -Maintenant va travailler petit cocu, pendant que je baise ma femme toute la journée. Branle toi bien en pensant à nous, je sais que t’en crèves d’envie. Ce soir ma femme et moi on va aller en boîte. Tu seras notre chauffeur, et peut être même qu’on te laissera voir deux ou trois trucs… Si t’es sage, petit cocu.


    Mathias et Sarah ne se sont alors plus intéressés à ma présence. Dix minutes plus tard, alors que je quittais la maison, il la faisait à nouveau jouir comme une salope dans ce qui était maintenant leur chambre.            

 

Je suis rentré à la maison vers 20h, toujours en ressentant ce mélange de peur, de colère et d’excitation malgré moi. J’ai trouvé ma femme et son amant sur le canapé (habillés cette fois, étonnant !). Lui était assis sur le canapé et elle, les jambes écartées, se tenait en amazone sur ses genoux. J’avais l’impression de voir deux lycéens qui se découvrent et qui découvrent les joies de la baise…
-Ah t’es là ma chère lopette de frère ! m’a dit Mathias. On t’attendait, t’as failli faire attendre ma femme chérie. Et comme tu le vois, elle a très envie d’aller danser…

Tous deux se sont alors levés. Ce connard de Mathias portait un tshirt qui mettait son torse en valeur, mais c’était bien Sarah qui était à tomber, dans une petite jupe d’été évasive et un top pas trop décolleté mais près du corps, qui mettait en valeur sa jolie poitrine. Pour parfaire sa silhouette et mettre ses fesses en valeur, elle portait des petites chaussures à talons qui lui donnaient un air irrésistible.
-Putain Sarah, t’as envie de te faire sauter par… ai-je commencé.
Mais Mathias m’a directement interrompu, autoritairement.
-Ma chérie, a-t-il dit à Sarah, réponds lui je t’en prie.
Ma femme s’est alors adressée à moi, après un sourire et un baiser à Mathias :
-Je suis pas ta putain, pour ça faudrait que tu me baises pas comme une lopette. Et puis tu sais que c’est mon homme qui m’appelle Sarah. Pour toi c’est madame Mathias.
-C’est bien… Maintenant, va me chercher ma veste ma belle, a glissé mon frère à l’oreille de ma femme, les deux mains sur son cul. Et ensuite on pourra partir.

Une fois qu’elle s’est éloignée, Mathias m’a regardé, avec cette expression de supériorité et de moquerie.
-Frangin, écrase-toi, c’est ce que t’as de mieux à faire. Cette petite salope est complètement dingue de moi et de ma bite. Elle fera ce que je lui dirai tellement elle était en manque de vraie baise. Elle est accro à moi et c’est moi qui l’ai maintenant. Maintenant, va nous attendre dans la voiture.
Devant mon immobilité, Mathias a ajouté : sinon, je la baise devant toi. T’as vraiment envie de ça ?

Inutile de dire l’option que j’ai privilégiée. Mathias et Sarah sont arrivés quelques minutes plus tard, comme un vrai couple. Ils se sont installés à l’arrière, et mon demi frère m’a ordonné de les conduire au Cube.
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Alors chérie, tu sortais souvent avec ta petite lopette ? a-t-il demandé à ma femme, entre deux baisers particulièrement mouillés.
-Hmm non…
-Putain mais quel gâchis. Une petite chienne comme toi peut pas rester enfermée chez elle… Tu vas voir ma belle, tu vas kiffer la boite.

Moi, j’essayais de me concentrer sur la route. Pendant le trajet, Mathias a continué à chauffer « sa » femme : il avait passé sa main sous sa petite jupe, et entre deux baisers, lui expliquait que tous les mecs allaient la désirer. Il bandait littéralement à l’idée de savoir qu’il était le seul à la posséder. Quand je me suis garé, Mathias s’est à nouveau adressé à moi :
-Bon la tapette, toi tu restes là pendant qu’on s’éclate ma femme et moi. Peut-être que tu pourras venir si je te le permets… Si t’es sage, petit cocu.
Avant de sortir de la voiture, il a retiré sa main de la jupe de Sarah et l’a essuyée d’un geste de dédain sur mon visage.
-Bonne soirée pédale. J’espère que t’as des mouchoirs dans la voiture, t’en auras besoin en pensant à ce que ma femme et moi on va faire ce soir.
Cette dernière remarque a eu pour effet de faire rire Sarah, qui a échangé un regard complice avec son amant. Tous deux se sont ensuite éloignés. Mathias, une main sur les fesses de Sarah, était fier de son trophée qui déchaînait les regards des autres mecs…


Moi, j’en étais réduit à écouter le résumé de la soirée Ligue 2 sur RMC. Oui, autant dire que j’avais touché le fond. Au bout d’une heure, mon portable a vibré. Un SMS de Mathias : « Je t’autorise a venir lopette, ce serait con que tu rates le spectacle  ;)   ». Et comme un con évidemment, j’y suis allé. Fasciné et terrifié par tout ce qui m’arrivait, qui me semblait irréel. Bref, dix minutes plus tard, j’étais dans une salle sombre quasi remplie. J’ai vite trouvé Mathias, qui discutait avec une jeune fille de 25 ans environ. Quand il m’a vu, il a directement pris son ton de mâle dominant.
-Ah t’es enfin là, tapette. T’es même pas foutu de rappliquer rapidement. Bon, je t’ai fait venir pour que tu me payes une bière.
-Ca va pas Mathias, va te faire foutre quoi.
Mon frère m’a regardé avec un regard quasi attendri en me voyant protester.
-Ouais, je me doutais que tu gueulerais un peu, pour la forme.. a-t-il continué. Donc je t’ai pris ça avant de partir.
Il a alors pris quelque chose dans sa poche… Une carte de crédit. Ma carte de crédit.
-Tu te doutes bien que ma femme adorée m’a déjà donné le code…. Evidemment, t’auras rien à boire pour te punir de ton insolence. . Puis il a ajouté, en s’adressant au serveur :
-Une bière, et une coupe de champagne pour mademoiselle !
A côté, la fille semblait adorer le numéro du mâle alpha. Moi, je commençais à en avoir assez de tout ça.
-Elle est où Sarah ? ai-je fait. Elle en a déjà eu marre de toi, c’est pour ça que tu te rabats sur une autre en essayant de la saouler ?

Mathias se sentait toujours autant en position de force. Il m’a répondu du tac au tac :
-Arrête, tu sais bien que ma petite chienne en aura jamais assez de mes coups de bite. Te voile pas la face. C’est moi qui l’ai autorisée à s’amuser un peu ce soir. Elle en crevait d’envie, depuis tout ce temps qu’elle est pas sortie… Mate-la sur le dancefloor.
J’ai enfin jeté un œil aux gens qui dansaient. Et Sarah n’était pas difficile à trouver… Elle dansait avec deux mecs, très proches d’elle. Tous deux devaient avoir une vingtaine d’années à tout casser, bien foutus. A chacun de ses déhanchés, ses fesses frôlaient l’entrejambe d’un des deux mecs. Les deux, justement, se collaient à elle, et tentaient par moment de glisser une main sous son petit top ou sous sa jupe.
-Ca fait une demi heure qu’elle les chauffe, ma petite salope… a expliqué Mathias. Ils en peuvent plus les deux.
Sarah passa rapidement au niveau supérieur. Elle se frottait maintenant carrément à ses deux danseurs qui comprenaient parfaitement le message. Deux mains disparurent sous la petite jupe de ma femme. Une caressait ses cuisses, pendant que l’autre s’était posée sur son cul. Quelques minutes plus tard, tous trois disparaissaient du dancefloor et se dirigeaient vers les toilettes.
Afficher l'image d'origineles toilettes messieurs du Cube
Je me suis tourné vers Mathias, qui regardait la scène en souriant.
-Je l’ai autorisée à sucer mais pas à baiser… Je m’en voudrais d’être le seul mec à pouvoir profiter de ses talents de chienasse.

Evidemment, toujours terrifié mais en même temps fasciné, je suis allé voir si ma femme était réellement en train de sucer deux mecs qu’elle ne connaissait pas. Toilettes fermées… Je ne pouvais donc pas voir la scène. Je l’entendais seulement. Aux bruits de sucions se mêlaient les voix des deux hommes.
-C’est bon quand tu les malaxes… Ma parole, t’es une déesse de la pipe !
-Allez dépêche mec, moi aussi je veux en profiter de ses dons…
J’ai alors senti une tape sur mon épaule. C’était Mathias :
-Allez c’est bon lopette, t’en as assez vu et assez entendu. Je voulais surtout que tu voies comment ma meuf aime se sentir baisable et désirée… Comment elle bouge son cul comme une reine. Elle en veut, j’espère que tu l’as compris. Puis il a toqué à la porte et dit :
-Chérie, c’est Mathias, ouvre-moi. Il m’a ensuite regardé et m’a dit de les attendre à nouveau dans la voiture.

Trente minutes plus tard, les deux revenaient s’installer à l’arrière de la bagnole. Sarah murmurait à son amant : « j’espère que ça t’a plu…. J’ai fait ce que tu voulais mon amour. ». En même temps, elle lui faisait de petits bisous dans le cou et caressait son jean. Mathias lui répondit :
-C’était parfait, je vais bien te récompenser cette nuit…
Aucun des deux n’a fait attention à moi pendant tout le trajet. Quand nous sommes rentrés, Sarah n’y tenait plus. Elle voulait juste baiser le plus tôt possible. Ils étaient sur le point de monter, quand elle a fait à Mathias :
-Au fait, je t’ai pas dit, mais les deux mecs… C’était des anciens élèves. Ca m’a tellement excité… Enfin tu as vu mon string de petite chienne, donc ça tu le sais…
Là, j’en pouvais plus. Quand même. Fallait pas pousser. Qu’elle joue à un jeu malsain en privé, passe encore. Mais là, elle comprenait toute notre famille, si tout ça se savait. J’ai alors commencé à l’engueuler. Je lui ai dit que c’était pas correct d’allumer et de sucer des mecs qu’elle avait eu en cours. Que ça allait forcément s’ébruiter. Qu’elle était folle.

Ma tirade a été arrêtée par une baffe de Mathias, peu troublé par cette gueulante. Mais contre toute attente, c’est ma femme qui a réagi… et repris le contrôle de la situation.
-Je t’avais dit quoi ? De pas m’appeler SARAH. Ca, je le réserve à MON HOMME.
-Mais bordel, Sarah..
-Ta gueule, a reprit ma femme.
-Apprends-lui le respect, a murmuré Mathias, qui était passé derrière elle et se frottait à elle en l’embrassant dans le cou.
-Fous-toi à genoux, m’a dit Sarah avec un air autoritaire que je ne lui connaissais pas.
-Mais…Quoi ?
-A genoux. Par terre. A nos pieds.
Le ton de Sarah était tellement dur que je me suis exécuté, sans trop comprendre. Voilà, j’étais par terre.
-Comment je m’appelle ? a fait Sarah, pendant que Mathias faisait glisser ses mains sur ses hanches.
-Madame… Madame Mathias.
-C’est mieux… maintenant, approche toi de moi, a-t-elle repris.
Encore une fois, je me suis exécuté. De façon un peu misérable, à quatre pattes, j’ai parcouru la distance qui me séparait de ma femme.
-Pour te faire pardonner, je veux que tu lèches ma chaussure.
J’ai regardé la chaussure qu’elle me désignait. Effectivement, elle avait été salie pendant la soirée. Pas de doute : une tâche de sperme était restée dessus.
J’ai ensuite relevé la tête pour voir ma femme. Elle ne souriait pas. Elle dégageait pourtant cette sensation de domination, d’autorité. Un peu comme Mathias. Elle jouissait intérieurement de cette autorité qu’elle exerçait.
-Si tu ne m’obéis pas, mon homme va te virer de la maison. C’est compris petite lopette ?

J’ai alors fait ce qu’on me demandait. Pendant que ma langue s’appliquait à faire briller sa chaussure, je sentais que Sarah se cambrait pour répondre aux sollicitations de Mathias. Il lui a murmuré :
-Alors, ça te fait quel effet d’être la reine et de pouvoir le dominer ?
-Hmm… C’est bon chéri… Mais pas aussi bon que ta bite.
-Ca m’excite quand t’insultes ta petite lopette… Tu sais que je vais te démonter ce soir ?
-Hmm j’ai pas la patience de monter à l’étage…. Baise moi ici.
Elle a ajouté à mon adresse, après m’avoir donné un petit coup de pied :
-C’est bon, dégage maintenant. Va dormir dans la cuisine.

Quand j’ai quitté la salle, Mathias était en train de promettre à ma femme « la nuit dont toutes les salopes rêvent depuis toujours ».                                                                             

 

Inutile de vous dire que je suis resté bien sagement dans la cuisine pendant que ma femme et mon frère s’amusaient quelques mètres à coté. Depuis quelques jours, j’avais l’impression de ne plus savoir que ce je voulais. Evidemment, voir ma femme se faire prendre ma mon frère représentait une sorte d’humilation suprême, mais d’un autre côté, je crois que j’ai toujours eu le fantasme d’être soumis. Et même si c’était dur à avouer, le fait d’entendre ma femme hurler son plaisir avec un mec autre que moi commençait à me faire bander…

Au bout d’à peu près une heure, les deux amants sont enfin montés dans « leur » chambre, ce qui m’a permis de passer le reste de la nuit au salon… Evidemment, ils n’avaient pas nettoyé ce qui restait de leur baise. Je pense que Mathias avait fait exprès de laisser le string humide de Sarah bien en évidence sur le canapé, en guise de trophée. Mais bon, j’ai quand même réussi à m’endormir pour les quelques heures restantes de la nuit. C’était pas tout, mais je devais taffer tôt le lendemain !

Justement, je me suis réveillé sur les coups de sept heures du mat’. A en juger par le bruit dans la cuisine, les deux amants étaient déjà levés (ou ne s’étaient jamais couchés ?), mais, chose étonnante, ils ne semblaient pas (encore…) être en train de baiser. Je me voyais mal aller les salut tranquillement dans la cuisine et siroter mon café pendant une séance de suçage matinal, donc j’ai décidé de me barrer directement, ni vu ni connu. J’ai enfilé mon manteau et me suis dirigé, comme d’hab, vers la corbeille où je mets toujours mes clés… Putain, elles n’y étaient pas ! Evidemment, rien non plus dans mes poches. Mais pourquoi le sort s’acharnait-il sur moi ?!
Puis dans mon dos, j’ai entendu le tintement de clés qu’on agite.
-C’est peut-être ça que tu cherches ? A lancé Sarah, derrière moi.

Quand je me suis retourné, je n’ai même pas eu la force de me mettre en colère, tant elle était désirable. Rien de provoquant, mais tout ce qu’elle portait lui allait à une telle perfection que le tout frisait l’indécence. Avec un pantalon couleur crème moulant qui laissait suggérait les coutures d’un string, et un haut tout juste assez transparent pour faire fantasmer les hommes, ma prof de femme était tout simplement irrésistible pour aller faire cours. Mais bon, moi, fallait bien que j’aille bosser.
-Sarah, file-moi mes clés…

Dès que j’ai dit ça, j’ai su que j’avais fait une erreur. Elle a directement pris ce ton autoritaire de la veille, comme si elle l’avait toujours eu.
-Ma parole ma lopette chérie, t’as rien retenu de ce que je t’ai enseigné ?
-Si, mais…
-Dis moi comment je m’appelle.
-Je vais être en retard avec tes conn…
-Rien à foutre. Tu dois m’appeler comment le cocu ?
-Madame Mathias… Maintenant rends-moi mes cl…
-Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais parler ? Je crois pas non. Avec mon homme, on a décidé de faire ton éducation et de t’imposer quelques règles. La première, c’est de pas parler si tu n’y es pas autorisé. C’est compris ?
-Mais…
-C’est compris la lopette ?
-Oui…

Sarah paraissait prendre un malin plaisir à me soumettre à ses volontés.
-Bon, a-t-elle reprit. Deuxième règle : si tu veux prendre notre voiture, j’exige que tu me demandes l’autorisation avant.
-Mais c’est n’importe…
-Je crois que tu n’as pas bien compris. Si tu veux rester, ces règles sont non négociables. Alors tu dois faire quoi si tu veux aller à ton taff de merde ?
-Je dois te demander les clés de la bagnole…
-Mieux que ça putain !
-S’il te plaît… Madame Mathias… Est-ce que j’ai l’autorisation de prendre la voiture ?

Sarah a alors pris une mine plutôt satisfaite. Elle s’est avancée vers moi, et après avoir mis les clés dans ma poche, a posé ma main sur mon jean. Ou plus exactement, elle a commencé à compresser mon sexe, jusqu’à la limite entre plaisir et douleur. Avant de se barrer, elle m’a murmuré : « Ben voilà, c’était pas si difficile mon cocu… J’espère que ça t’excite. »

C’est sur ces mots que je suis sorti. Evidemment, je n’avais rien répondu. Mais bien sûr, je connaissais Sarah (ou bien je croyais la connaitre, en tout cas), et je savais qu’elle avait ressenti mon excitation dans cette soumission. Je ne pourrais bientôt plus me cacher…J’ai repensé à cette scène pendant toute la journée, et je devais bien me rendre à l’évidence : elle m’avait malgré moi excité.

C’est ce genre de pensées qui me traversait l’esprit quand je suis rentré chez moi. Enfin… Dans la maison où j’avais le droit de vivre, en tout cas. Sarah était vassisesur un meuble de l’entrée. Habillée comme le matin même, elle avait écarté les jambes pour pouvoir embrasser son amant. Celui-ci, toujours habillé, mimait des coups de rein pour signifier ce qu’il s’apprêtait à faire.
Quand il m’a vu, Mathias s’est écrié : « Ah, voilà mon cocu préféré ! ». Sarah, elle, s’est immédiatement levée. Ses talons accentuaient l’air décidé qu’elle arborait.
-Ah, te voilà enfin… Je commençais à m’impatienter. Je dois continuer ton éducation de parfait petit cocu, tu te souviens ?
-Oui Madame Mathias…
-C’est bien. Donc troisième règle : je veux que dès maintenant, tu nous vouvoies mon homme et moi.

Pendant ce temps, Mathias s’était placé derrière Sarah et avait fait glisser ses mains sur ses hanches. Il avait une tête mi surprise mi amusée, l’air de dire « Ca me fait marrer, mais même moi j’avais pas prévu que ça irait aussi loin ! ».

-Quatrième règle… a reprit Sarah qui appréciait en même temps les caresses de son amant. Tu es à moi, tu m’obéis car on sait tous les deux que c’est ce que tu as toujours voulu. Hein mon petit cocu ?
-Oui…
-Jure-moi que tu répondras sincèrement aux questions que je vais te poser…
-Je le jure Madame Mathias…

Pendant ce temps, Mathias avait justement déboutonné le pantalon de « sa » femme et sa main venait de disparaitre à l’intérieur du string de Sarah. Il était de toute évidence très adroit, parce que Sarah n’a pas tardé à ressentir de léger spasmes.
-Mon cocu réponds moi… Hmm… Tu aimes me voir baiser avec un autre mec ?
-…oui…
-Hmm… Et tu aimes qu’en plus de baiser, je prenne mon pied ?
-Oui…
-Oui quoi, ma petite lopette ?
-Oui madame Mathias…
-C’est bien, peut être qu’on va pouvoir faire quelque chose de toi finalement… maintenant mets toi à quatre pattes et avance toi vers moi… Hmm…
Derrière elle, toujours occupé à la doigter, Mathias a murmuré : « C’est là qu’est sa place, hein ma petite salope ? ».

Pendant que Mathias continuait à faire gémir Sarah, je me suis exécuté. Difficile de dire lequel des (ou trois, en me comptant…) prenait le plus son pied à me transformer en parfait cocu.
Une fois que j’ai été assez proche d’eux, Sarah a murmuré quelque chose à son amant. Celui-ci s’est marré, puis, comme pour répondre à ce qui devait être une demande de ma femme, il a enlevé son tshirt qu’il a jeté sur moi avec un air dédaigneux.
-Alors mon cocu préféré, ça te plaît que je me tape un mec comme ça ? Un beau métisse bien membré ?
-…Non… Non madame Mathias, ça me fait pas plaisir.
Mais Sarah ne me connaissait que trop bien. Elle devait avoir décelé que je mentais…
-T’es sûr que ça te plaît pas ? Voyons voir si tu me racontes pas des conneries… a-t-elle fait, pendant que Mathias lui retirait son haut et révélait son soutien-gorge.

Tout en parlant, Sarah avait dirigé son pied vers mon entre-jambe. Avec son talon, elle s’amusait à me palper à travers mon jean, à donner des petits coups au niveau de mes boules. Evidemment, pas besoin d’avoir fait un doctorat pour remarquer que je bandais sévèrement.
-Mais c’est que tu m’as menti ma lopette… Tu m’as l’air tellement excité. T’aimes tellement ça d’imaginer les doigts de mon homme dans ma petite chatte ? Tu penses à la mouille qui rend mon string tout humide hein ? Et pourtant malgré ton excitation t’arrives pas à bander comme mon Mathias… Mathias chéri, j’imagine que j’ai pas besoin de te dire à quel point sa bite est petite et molle…

Pendant ce temps, Mathias avait enlevé son jean et restait en boxer. Une de ses mains s’amusait avec les seins de ma femme, et l’autre caressait toujours sa chatte. Il a sauté sur la perche tendue par Sarah pour m’enfoncer encore plus, le salaud…
-Oui ma salope, malheureusement j’ai grandi avec cette lopette et j’ai presque honte d’avoir un frère aussi pitoyable à ce niveau…
-T’entends ça ma lopette ? Ca fait quoi d’entendre ton petit frère dire que t’es pas capable de faire jouir une meuf ?
Mathias a repris la parole :
-Tu sais ma petite salope, faut pas lui en vouloir. Il a la bite de lopette de son père. C’est pour ça que notre mère s’est tirée. Elle est comme toi. Elle a juste compris ce que c’était que d’avoir un vrai queutard… Hein ma petite chienne, c’est comment d’avoir un mec bien membré ?

Tout en parlant, il avait d’abord accéléré ses caresses pour faire jouir ma femme rien qu’avec ses doigts. Puis il a retiré sa main, et l’a présentée à la bouche de Sarah, qui ne s’est pas gênée pour goûter sa propre mouille.
-Hmm mon Amour, je crois qu’on a bien éduqué notre tafiole pour aujourd’hui…
Puis, s’adressant à moi, elle a ajouté :
-T’aimes ça en fait, te faire traiter de lopette comme ça… Je vois d’ici que tu bandes. Ben t’inquiète pas, c’est pas fini… J’ai encore plein de leçons à t’enseigner. Mais là, je sens que mon homme n’en peut plus… Au revoir ma petite tapette. Interdiction de nous mater mon chéri et moi… Mais je t’autorise à te branler pendant que tous nous entendras...                                                                           

économie de capotes -lol-

You always complain that I don’t give you any pussy. Well, cucky, here’s your chance. While my Nigger is fucking my ass, crawl over here and tongue-fuck my pussy. 
You like the view bitch boi? Your wife is a whore for my Nigger cock. I’ll give you a turn in a minute.

 

Par LE FREROT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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