ELLES ET NOUS & VIDEOS

Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 06:30

ce qu'elle ignorait c'est que je savais et il l'a baisée au point qu'elle ne peut plus s'en passer. Moi je suis le dindon de la farce parce qu'il ne veut plus me baiser disant qu' il a toujours été "black-black" avec les hommes !  

maxie987: “modern-white-marriage: “ For some reason, you came without touching yourself as she told you that you were now a pussy-free whiteboy. ” Now go to your room until we call for you. That would be the guest room now. ”

 

 

Diego Martinez Sanchez

 

Diego Martinez Sanchez

 

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Par BULLIEDSLUT - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 08:03

  Au Théâtre Suçoir, du porno (pédagogique) en vrai, « comme si vous y étiez »  

La salle est secrète. Son adresse (dans Paris) n’est donnée aux spectateurs que quand ils achètent leur place. Ils payent 60 euros pour assister au tournage d’une scène pornographique. Alors, à l’entrée du loft – une grande porte...

La salle est secrète. Son adresse (dans Paris) n’est donnée aux spectateurs que quand ils achètent leur place. Ils payent 60 euros pour assister au tournage d’une scène pornographique.

Alors, à l’entrée du loft – une grande porte de garage verte –, le vigile nous demande :

« Vous venez pour quoi ? »

On met du temps à comprendre qu’il ne blague pas, et qu’il faut presque donner un mot de passe pour entrer. La porte franchie, on découvre un vaste loft, joli. Le lieu est loué pour diverses occasions – fêtes, tournages, etc.

On aimerait bien y habiter mais la déco est un peu spéciale ce soir-là. Images de filles aux seins gonflés, lumières tamisées.

Dans l’entrée, Jean-Luc, l’organisateur débonnaire du Théâtre Suçoir et de la soirée, est assis à son kiosque. Il accueille les spectateurs.

Jean-Luc dans son kiosque au Théâtre du Suçoir à Paris, en octobre 2012
Jean-Luc dans son kiosque au Théâtre du Suçoir à Paris, en octobre 2012 - Sébastien Leban/Rue89

Voyeurs, libertins et ceux qui ne bandent plus

Après vingt ans passés dans le monde du porno, entre sa boutique sexy à Paris et son activité de distribution et de production de films, il a eu envie de se mettre au théâtre. Il n’a pas inventé l’idée, elle a déjà existé au Théâtre DEs Deux Boules  ou au French Lover, comme le raconte l’acteur Karl Bipasse :

« Aujourd’hui, ces endroits sont fermés, mais il y avait une vraie mise en scène, et il n’y avait que ça toute la journée. »

En 2012, l’idée d’un théâtre porno est d’autant plus originale qu’à l’heure actuelle, regarder du porno à plusieurs n’est pas tellement en vogue. Le Beverley, dernier cinéma porno de Paris, lutte pour remplir la salle

Sans cacher qu’il fait un business, Jean-Luc raconte, sincère, qu’il voulait montrer au spectateur comment ça se passe. Il dit que c’est une « démarche soft plutôt que de faire un truc plus glauque ». Il aime le mélange des spectateurs :

« Vous avez les voyeurs. Leur libido à eux, c’est de mater, d’en prendre plein le cerveau, sans jamais passer à l’acte. Il y a aussi des gens qui ne bandent plus et qui veulent voir si ça fonctionne encore, et des couples qui viennent s’encanailler. »

Beaucoup de « curieux » dans le public

Ce soir-là, dans la quarantaine de spectateurs (invités et clients), il y a un peu de tout ça. Mais les groupes ne sont pas équilibrés. Le public est très largement masculin. Il n’y a pas plus de cinq femmes.

Beaucoup de « curieux ». Amar, par exemple. 38 ans. Un bras dans le plâtre, des sandales aux pieds, il raconte qu’il va tous les ans au salon du X « par curiosité ». Le spectacle de ce soir ? Par « curiosité » aussi. C’est la deuxième fois qu’il vient. Je lui fais remarquer que du coup, il pourrait être moins « curieux ». Lui répond, sans se démonter :

« Non, je suis encore curieux. »

Et il ajoute :

« Je suis curieux de voir les gens faire l’amour devant moi. »

Assis à côté de lui, Stanislas a la main posée sur sa canne. A 68 ans, ce retraité moustachu a un bon petit look de rockeur avec son blouson en cuir et ses Converse.

« C’est comme aller à un concert »

Il se décrit comme un « vieux cochon » et a découvert le théâtre grâce à une affiche sur un kiosque à Pigalle, son quartier. Stanislas regarde du porno deux fois par semaine et avait envie d’assister à un tournage :

« C’est comme aller à un concert. Je suis allé voir les musiciens des Doors. Ça faisait froid dans le dos, c’était autre chose que de les écouter en disque. »

Ce soir, il n’a pas l’intention de se masturber. Il dit qu’il est rangé, qu’il ne bande plus beaucoup et qu’il admire beaucoup ces acteurs pornos capables de tenir si longtemps en érection :

« J’ai envie de voir ça en vrai, de voir comment ils pratiquent. »

Le corps des femmes l’intéresse aussi. Il dit d’ailleurs que dans la vie, il aimerait bien se « trouver une jeunette de 18 ans ».

Amar et Stanislas attendent dans la grande salle, celle où le « spectacle » va se dérouler. Partout à terre, il y a des tapis. Les spectateurs font face à une estrade sur laquelle est juché un lit. En fond sonore, fort, de l’électro. Au fond de la salle, un aquarium.

Une actrice passe avec une poire à lavement

Il y a aussi de quoi manger (ça fait partie du prix). Pas de petits fours, mais du pâté en croûte, du saucisson à l’ail, du saucisson tout court, des chips, des cacahuètes.

Le buffet
Le buffet - Sébastien Leban/Rue89

Dans une autre salle – à laquelle tout le monde peut accéder –, les acteurs se préparent. Une femme passe, une poire à la main (pour faire un lavement anal). On échange un mot avec Stella Johanssen  sur ses chaussures rose fuchsia à strass, très hautes. Elle s’enorgueillit :

« Je les ai payées 20 euros à Anvers ! »

Les acteurs se chauffent un peu, les actrices se tripotent avant que la caméra ne tourne.Fabien Lafait , réalisateur de films, s’agite. C’est lui qui orchestre les soirées. Son rôle sera à la fois de filmer et commenter les gestes des acteurs, de leur poser des questions. Voilà, le show commence.

« Le titre : “Les DRH sont des pétasses” »

Assis en rang d’oignons sur le bord de l’estrade, les acteurs sont présentés par Fabien Lafait sous les applaudissements des spectateurs.Max Casanova 28 ans, Lilou, 36 ans et Stella Johanssen, 23 ans. Vous vous souvenez de Jacques Martin ? « L’Ecole des fans » ? Là, c’est pareil :

« Alors, quel âge as-tu, Stella ?

– J’ai 23 ans, et non 18 ans comme je l’ai entendu au fond de la salle !

– Et depuis combien de temps tu es dans le porno ?

– Ça fait deux ans. »

Puis vient la présentation du scénario par Stella Johanssen. Les acteurs l’ont rapidement mis au point ensemble. Encore une fois l’impression (bizarre, certes) d’assister à ces spectacles d’enfants qu’on subit souvent dans les réunions familiales. Avec une histoire absurde et incohérente :

« Le titre, c’est : “Les DRH sont des pétasses”. Donc, c’est l’histoire de deux DRH qui ont un dossier sur le Kamasutra à finir, et donc elles appellent leur assistant pour qu’il les aide à finaliser certaines positions. »

« Bonjour ! Han, mais vous êtes à poil ! »

Voilà pour la complexité du scénario. Point de trois coups, mais le spectacle commence. Sans trop de surprise, le jeu des acteurs est très mauvais, mais clairement, ce n’est pas l’attraction de la soirée. Au bout de cinq minutes de parlotte, les deux actrices sont déshabillées et se lèchent le sexe.

Stanislas, le vieux rockeur, soupire un peu.

Puis, c’est l’entrée surjouée et franchement drôle de l’assistant (Max Casanova) :

« Bonjour madame ! Han, mais vous êtes à poil ! »

Ensuite, les positions s’enchaînent très rapidement.

La représentation porno au Théâtre Suçoir
La représentation porno au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89

C’est du porno « gonzo » classique, avec tout ce que ça présente de désagréable. Une représentation sexiste et hypernormée des rapports hétérosexuels, des plans gynécologiques plus écœurants qu’excitants. Exemple flagrant avec cette manie de montrer à la caméra l’anus grand ouvert des actrices après une scène de sodomie.

Alain, un spectateur avec qui on avait parlé avant que le spectacle ne commence, mitraille, l’air grave, les acteurs avec son appareil photo. Un gros reflex numérique. Ce quarantenaire est cadre dans les essais automobiles. Dans son pantalon de cuir et ses lunettes de vue rectangulaires, il nous avait expliqué être venu après avoir vu un reportage dans l’émission « Paris Dernière ». Il espérait « voir un véritable show ». On le pense servi.

L’intérêt est ailleurs

Par un mouvement de doigts hyperbourrin, Max Casanova fait éjaculer Stella Johanssen. Elle hurle à la mort, puis assure au public que c’est parce que c’était très bon. Ce dont on ne peut s’empêcher de douter un peu

L’intérêt du spectacle n’est de toute manière pas là. Régulièrement, Fabien Lafait interrompt les acteurs pour leur demander d’expliquer ce qu’ils font :

« Qu’est-ce que tu fais là, Max ?

– Là, je change de préservatif pour éviter les maladies sexuellement transmissibles. Parce que je m’apprête à changer de partenaire. »

Tout y passe et on apprend vraiment des choses sur la façon de travailler des acteurs. Comment ils doivent se positionner par rapport à la caméra, les techniques des actrices pour ne pas avoir mal pendant une sodomie. Si Max Casanova crache à l’intérieur de son préservatif, c’est pour ne pas être trop irrité de la verge.

Pendant tout le spectacle, l’acteur n’a cessé de répéter aux spectateurs en riant :

« Moi, je suis un vrai branleur. »

Et, de fait, il n’a cessé de se masturber frénétiquement pour tenir les presque deux heures de tournage. On l’a secrètement plaint, ça n’avait pas l’air hyperagréable.

Venus pour « pimenter un peu leur couple »

En fait, de notre point de vue qui vaut ce qu’il vaut, tout cela n’a absolument rien d’excitant, c’est très technique. Et on pense beaucoup au génial film de Raphaël Siboni, « Il n’y a pas de rapport sexuel ».  Un documentaire sur le monde du travail qu’est le porno.

Au Théâtre Suçoir
Au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89

Avant que le spectacle ne commence, on avait aussi parlé avec Isabelle et Gérard (ce couple tenait absolument à être anonyme). Elle, ingénieure de 36 ans, lui, « cadre industriel » de 46 ans. Ils nous avaient dit être venus pour « pimenter un peu leur couple ». Une surprise de Gérard à Isabelle. Elle reconnaissait :

« J’aime bien les activités insolites. [...] Je n’aime pas le quotidien. C’est ce qui fait qu’un couple marche, je crois : ne pas manger toujours la même soupe. »

Ils étaient complices, se lançaient des regards amusés, disaient être encore très amoureux après douze ans de relation. Eux attendaient une pièce de théâtre. Récemment, ils avaient adoré la mise en scène des « Liaisons dangereuses » par John Malkovich au Théâtre de la ville, à Paris.

Un homme se paluche dans son pantalon

Pendant le show, ils regardent les acteurs s’activer, curieux, sérieux, intrigués. Isabelle penche un peu la tête pour mieux voir, entre les spectateurs de devant. Pas très loin d’eux, un homme se paluche dans son pantalon. Tout va bien.

Après une position acrobatique digne d’un numéro de cirque, le spectacle se termine de manière classique : deux sodomies et une double éjaculation faciale.

On n’a pas pu demander à Isabelle et Gérard ce qu’ils en avaient pensé, ils sont partis avant la fin. Jean-Luc, l’organisateur de la soirée, nous a rapporté qu’ils devaient libérer leur baby-sitter.

Stanislas n’a pas bandé

Stanislas, « le vieux cochon », n’est pas déçu. Même s’il n’a pas bandé. Il a trouvé la pièce « assez drôle » et il a bien ri des blagues des comédiens pendant le spectacle. Amar, lui, n’est pas très content :

« Je n’ai pas trop aimé les trois personnes. Je n’étais pas excité. Je préfère voir des couples. »

Ses vêtements enfilés, Max, encore rouge de l’effort sportif qu’il vient d’accomplir, engloutit du saucisson à l’ail. Il a le sourire aux lèvres et raconte aimer avoir un public, observer ses réactions :

« Il faut encore moins débander que dans un film. Le mieux, c’est de jouer avec l’humour. »

Dans son kiosque, quand on parle à Jean-Luc du spectateur qui s’est masturbé en lui demandant si c’est l’ambition du spectacle, il répond, agacé :

« Ah ! Fallait m’appeler ! C’est interdit. C’est pas bien ça. »

Ce soir, il n’y avait pas autant de spectateurs que ce qu’il escomptait. Il l’explique par la reprise : il n’y a pas eu de représentations pendant l’été.

La production de la soirée lui a coûté 2 500 euros. Jean-Luc est un peu déçu, il n’est pas rentré dans ses frais. Après les prochaines représentations, si tout marche comme il veut, il aimerait emmener le Théâtre Suçoir en Grèce au printemps.

 

Par RUE89 RENEE GREUSARD - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 15:27

on a mesuré les pacholes (oh pardon!)

La taille.

Quand on parle de sexe, cette question semble exclusivement masculine et source de complexes. De ceux qui aimeraient gagner quelques centimètres à ceux qui craignent d'en avoir trop.

Quel homme n’a jamais accolé une règle à sa verge pour savoir combien elle mesurait ? Et si les chiffres masculins sont plutôt bien connus (10,5 cm au repos en moyenne, 15 cm en érection), chez les femmes, c’est encore une autre histoire. Le vagin est un tabou.

Le fourreau de l’épée

Son étymologie, du latin « vagina » (« le fourreau ») explique peut-être en partie la gêne qui entoure ce mot. Dans l’émission « Le Magazine de la santé au quotidien », Alain Rey  expliquait ainsi en 2011  :

« Le vagin, c’est une image, c’est une métaphore, c’est celle de la gaine, celle du fourreau. On a dit “vagin” au XVIIe siècle pour un fourreau d’épée. Donc ce n’était pas du tout fixé dans l’anatomie féminine. Et puis après, comme ce mot était indispensable, par exemple dans l’obstétrique ou dans la chirurgie qui se développe à cette époque-là, au XVIe, XVIIe siècle, le mot est devenu tel qu’on ne pouvait pas lui donner une autre valeur. »

Dans étude italienne publiée en 2006 et menée auprès de 9 441
femmes âgées entre 18 et 44 ans, on apprenait que 78% des sondées s’accordaient à dire que les tabous sociétaux autour du vagin contribuaient à une ignorance des femmes.

Ensuite, seules 39% d’entre elles disaient avoir déjà lu un article informatif sur le vagin. Tandis que chez 47% n'avaient aucune idée de sa taille

Moyenne : 8 cm de long, 4 cm de large

Rappelons-le donc ici : chez les femmes, les moyennes sont les suivantes  : environ 8 cm de long et 4 cm de large.

Et comme chez les hommes, il y a des femmes qui vont stresser, avoir peur d’être hors-norme. Vagin trop petit. Trop large.

Quand je l’interroge à ce sujet, Delphine Hudry, gynécologue, explique que la question de la taille du vagin se pose parfois en consultation, mais très rarement :

« Il est plus souvent question d’un manque d’épanouissement sexuel, plus que d’une focalisation sur la taille. »

Pierre Barthélémy, journaliste au Monde,  relatait que, confrontées à ces complexes, en 2005, cinq gynécologues (des femmes) ont lancé une étude pour savoir ce qu’était la « norme » du sexe féminin.

Des vagins tous différents

Elles ont anesthésié 50 de leurs patientes, volontaires et de tous profils (mères, n'ayat jamais eu d'enfant, actives sexuellement ou pas, sous pilule ou pas) puis elles ont pris des mesures. Résultat : les vagins sont tous différents. Mais est-ce perceptible pour autant ?

Vincent, 24 ans, avoue au téléphone en riant :

« Je me suis toujours posé cette question de la taille. Parce que moi, je n’ai jamais senti de différence entre les vagins et ça m’a toujours inquiété. »

Et les hommes hétérosexuels parlent-ils du vagin, comme certaines femmes parlent des verges, sous toutes les coutures ?

Sur les forums internet, on est un peu comme dans le pire bistrot de poivrots du coin et on trouve tous types de propos, plus pertinents les uns que les autres à ce sujet.

VRAI ! « Marre de ces vagins larges »

Après avoir lancé une discussion « Marre de ces vagins larges comme des bouches de métro », un certain Inconnu999 peste :

« J’ai un sexe tout ce qu’il y a de plus standard, voire L, et pourtant, avec certaines nanas, je ne sens presque rien, à peine un petit chatouillement. [...] Les vagins béants, c’est vraiment pas le pied ! ! ! »

Dimitri, 30 ans, me raconte lui qu’il ne confesserait jamais un tel problème (si tant est qu’il existe) à ses potes :

« Entre nous, on ne se raconte pas trop si une nana était “large” parce que ça pourrait aussi vouloir dire que c’est le mec qui a une petite bite. On se charrie déjà tellement là-dessus, entre nous, on ne va pas non plus tendre le bâton pour se faire battre. »

Large, serré...

Il se trouve, de toute manière, qu’il n’a jamais ressenti en pénétrant une femme qu’elle était, comme le dit cet internaute, « trop large » :

« Je crois qu’on n’en parle pas trop parce que qu’elle soit la taille, un mec peut prendre son pied. On mentionne juste la taille quand c’est plus serré parce que ça donne plus de plaisir. »

De sa copine actuelle, Diane, il dit d’ailleurs qu’elle est « très serrée » :

« Je le sens quand je la pénètre et dans les va-et-vient. Parce que quand c’est serré, c’est plus dur de tenir. »

Si pour Dimitri, un vagin serré est synonyme de plaisir, pour Greg, c’est plutôt tout le contraire.

« J’ai peur de lui faire mal »

A 29 ans, et après une dizaine de partenaires, pour lui, l’idée d’un vagin serré va surtout avec les douleurs que peut « provoquer » cette situation :

« Sur certaines positions avec une nana qui a le vagin serré, j’ai peur de lui faire mal. Pourtant, franchement, je ne suis pas particulièrement bien membré, mais il m’est déjà arrivé de me dire que je ne pouvais rien faire. »

Après plusieurs accouchements, le vagin peut certes être distendu, mais c’est bien pour cela qu’il existe des séances de rééducation du périnée. Et tout le reste, c’est un peu de la science-fiction. La gynécologue Delphine Hudry est assez catégorique :

« S’il n y a pas eu d’intervention chirurgicale de réduction, un vagin trop petit, ça n’existe pas. Sauf en cas de malformation génitale bien sûr. Mais c’est très rare. Le vagin, c’est un muscle, il change de taille. »

Bien foutu, l’organe est extensible, élastique. Pénétré par un pénis, il peut aller jusqu’à doubler sa longueur. Car, comme chez les hommes, le sexe féminin ne mesure pas le même nombre de centimètres au repos que dans l’excitation, comme le montre cette vidéo sur AlloDocteurs.fr (troisième vidéo).

 

IRM d'une relation sexuelle entre un homme et une femme
IRM d’une relation sexuelle entre un homme et une femme -

Delphine Hudry fait remarquer qu’il peut arriver qu’un vagin soit « serré ». Ce n’est alors pas une fatalité, mais souvent la conséquence d’une mauvaise lubrification, d’une femme pas assez « préparée » à la relation sexuelle. Ce peut aussi être dû à un muscle trop tendu à l’entrée du vagin, au niveau du périnée : le releveur.

En consultation, la gynécologue prescrit des lubrifiants et dialogue avec sa patiente :

« En général, quand elle comprend ce qui se passe, la situation s’améliore. »

Et comme chez les hommes, Delphine Hudry insiste :

« Parler de taille normale, c’est dangereux. Ce qui compte, c’est le ressenti positif et la fonctionnalité de l’organe. »

En des termes plus potaches, on peut enfin citer Frédérique Bel qui, dans un sketch de « La Minute blonde », s’adressait aux hommes inquiets :

« Ce n’est pas la taille qui compte, c’est le goût ! »

 

 

 

Ça marche pour les femmes aussi.

        

 

 

Par LAPRESSE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 14:51

    Suède - Après "Zizi et zézette", les règles expliquées aux enfants  

              Résultat de recherche d'images pour "mesurer la zézette"      VIDÉO. La télévision publique suédoise s'est fait une spécialité de dédramatiser la sexualité auprès des enfants. Un clip met les menstruations en musique.

Publié le 14/10/2015 à 13:55 | Le Point.fr
Des tampons en marionnettes, des éclaboussures de sang, le clip de la télévision suédoise ne connaît pas de tabou.

Des tampons en marionnettes, des éclaboussures de sang, le clip de la télévision suédoise ne connaît pas de tabou. © Capture SVT

    Comment expliquer les règles aux enfants ? Réponse suédoise : en chanson. "La chanson des règles" (Menslåten en suédois) sera diffusée vendredi sur la chaîne pour enfants du groupe Sveriges Television (SVT). Le jeune animateur vedette, Alex Hermansson, interprète cette "Ode aux règles" aux côtés d'adolescents, filles et garçons, dans ce clip où des tampons hygiéniques grimés en marionnette dansent gaiement avant d'être immergés dans un verre de colorant écarlate.

"C'est un truc qui arrive parfois aux filles/Elles veulent pas en parler/Elles ont peut-être un peu honte/Mais c'est super normal/Il suffit d'être un peu plus sympa avec elles/Avoir de la patience/Ce n'est qu'un peu de sang", dit le premier couplet. "Les règles, les règles, vive les règles, le corps fonctionne comme il faut, c'est super !", affirme le refrain dans un décor parsemé de gouttelettes rouges. Les règles, explique Alex Hermansson au quotidien Expressen, "sont le signe que la vie veut toujours perpétuer la vie. Elles disent : à partir de maintenant, je peux reproduire la vie."

Produit par SVT et diffusé en janvier, le clip "Zizi et zézette" ("Snoppen och snippan" en suédois), a été visionné 6,4 millions de fois sur Youtube . Ce court dessin animé a déclenché des réactions très partagées dans le monde, du fait de sa représentation assez réaliste des organes sexuels.

 

 

 

 

Par SUEDINE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 06:14

 

 

 

 

 

 

It hurts so much as he thrusts his giant dick deep inside her! She can barely take it, but manages to hold on as his big cock pummels her tight, young pussy again and again!

 

 

 

 

 

 

 

 

Par BIGBEN - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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