Jeudi 3 octobre 4 03 /10 /Oct 06:00

Je n'ai pas eu peur de son langage direct. Les initiés seront avec moi

En raison de son réalisme je l'ai finalement classé dans  RECITS REELS

 

image

Je l'ai tout de suite remarqué. Mon œil est immédiatement attiré par ce genre de type. Ça sent le mâle et la bite si vous voyez ce que je veux dire! Je ne peux pas résister. Y'a quelque chose dans mon ventre et mes intestins qui se noue, se serre, qui appelle à la délivrance. Ça fourmille. Je suis accroc et mon corps en a besoin comme d'autres ont besoin de leur dose de crack. Mon bas-ventre frémit. Mon anus palpite. Je suis pris.

Il était assis sur le strapontin en face de moi dans le métro. Je l'ai regardé: il avait 40 ans environ, de type Maghrébin, viril, mal rasé, cheveux courts, un torse bien développé certainement même si sa djellaba m'empêchait de bien deviner ses formes. On dit que les mains, le nez sont de bons indicateurs sexuels, mais les pieds aussi. Les jambes nues, poilues, des pieds de mec glissés dans des sandales, des pieds de vrai mec, pas très propres, grands, poilus, musclés. Je n'en pouvais plus de mater ses pieds, je crois que je n'avais jamais vu des pieds aussi virils. Ils me donnaient de ces idées... je me suis mis a regarder les miens. Deux fois plus gros que les miens ses pieds. Ça me bottait, m'excitait.

J'ai remonté la tête et croisé son regard. Aïe! Pas l'air trop commode le mec! Comment faire pour l'aborder, lui faire comprendre mes envies sans qu'il s'énerve? Je me suis senti rougir. J'ai baissé la tête à nouveau, regardé par la fenêtre. Une minute, deux minutes. Mais je n'en pouvais plus. Et l'alcool bu chez mes amis me donnait quelque audace. Je l'ai regardé à nouveau. Aïe! Il m'excitait ce salopard. Mon cul palpitait en imaginant ses coups de boutoir. J'ai rougi à nouveau et mon regard est descendu au niveau de sa taille. Je ne pouvais rien deviner de sa queue avec cette foutue djellaba. Ah le con! Je ne pouvais rien deviner mais mon imagination s'emballait à cent à l'heure...

J'avais dans ma tête déjà tout un scénario où il me pistonnait à fond la caisse, moi il me mettrait à quatre pattes, dans la cour d'un immeuble désert à cette heure-ci (une heure du mat !). Ne pouvant retenir mes cris de jouissance anale, deux lascars qui passeraient dans le coin s'approcheraient ...

 

Merde il descend! Sans vraiment réfléchir je le suis. Finalement ça tombait bien, c'était aussi ma station de métro. Une fois dehors, il a tourné dans la première rue à droite s'est retourné comme pour s'assurer de ma présence derrière et s'est mis à courir. Merde! J'ai accéléré mais dans le noir je l'ai vite perdu de vue. Merde, merde, merde. Pourquoi il s'est enfui ce con. Il m'a vu, il a compris que je le suivais. Merde, merde, merde!

J'ai continué à avancer dans la petite rue sombre, me suis arrêté pour allumer une clope espérant ainsi qu'il allait ressurgir ou comprendre que je ne savais plus où il était mais rien, rien, je l'avais simplement perdu de vue.

J'ai alors repris la route en direction de chez moi, déçu mais toujours excité. Il m'avait sacrément émoustillé le salopard. Il faudrait que je me soulage en arrivant. Je suis à un point de non retour. Heureusement que chez moi je possède quelques godes de différentes tailles. Ma queue reprend du volume à l'idée des perforations que je vais m'infliger ce soir. Tant pis! Ce soir, je me fais reluire avec le plus gros gode que j'ai! Je sais demain j'aurais mal au cul, au dos, au bras à force de m'astiquer l'oignon cette nuit mais il faut que je me soulage et plutôt deux fois qu'une! J'ai mon anus qui palpite de toutes ces idées de salope. Je n'en peux plus, je presse le pas pour me mettre à l'ouvrage le plus rapidement possible.

J'arrive devant chez moi, compose le code et voit tout à coup à quelques mètres de moi la silhouette d'un mec, le rouge de sa clope qui brille dans le noir, son souffle pour évacuer la fumée de cigarette. Il a du souffle et du coffre le lascar Je ne vois pas sa gueule mais il est en djellaba. Putain! J'en ai le souffle coupé. J'ai peur comme tout le monde aurait peur, mais le désir , ce "fou du logis" est plus fort. J'ouvre en grand la porte du porche. Il aura le temps de rentrer à l'intérieur avant qu'elle ne se referme s'il est intéressé. Bingo. Je l'entends qui se faufile doucement derrière moi. Elle se referme juste derrière son passage. J'ouvre la deuxième porte, celle de mon immeuble et agis de même. Il me suit. Je monte au premier par les escaliers. Je sens ses yeux perçants sur mon cul, mon trou de balle se dilate à faire mal et commence déjà mouiller. J'ouvre la porte de mon appart mais je n'ose pas allumer la lumière. J'entends la porte qui claque derrière lui. "Merde, fais gaffe aux voisins!" que je lui dis; ce sont en fait les premiers mots que nous échangeons. Il ne dit rien, avance dans la pièce.

— T'as pas une bière?

Humm ! assez transgressif déjà pour un arabe...

— Si, si... bien sûr.

Je suis obligé de m'approcher près de lui pour passer dans la cuisine. Il sent la sueur et la clope. Il est baraqué, puissant, énigmatique. «Pardon!» que je dis mais il ne se pousse pas pour autant. Je le frôle. Je tremble.

— Alors comme ça tu veux te faire niquer ? qu'il me lance en me poignardant de son regard méprisant et supérieur

Je ne sais pas trop pourquoi mais maintenant il me fait vraiment peur. Qu'est-ce qu'il fout là ce type? Qu'est-ce qu'il veut lui? Qu'est-ce qu'il pense? Pourquoi s'est-il caché alors que je le suivais au départ? C'est quoi son jeu? Son trip?

Je récupère deux bières à la cuisine et revient dans le salon. Il n'a pas bougé d'un iota. Je suis obligé de dire pardon une nouvelle fois. Il me met la main au cul.

— Tu mouilles chérie?

Sa voix et son vocabulaire m'excitent. Comment l'a-t-il si vite compris? Mais en même temps je me sens nerveux. Je ne sais toujours pas ce qu'il veut. Et comment le savoir maintenant? Ça me semble un peu tard pour lui poser la question!

Il me regarde sans rien dire. Je n'ose plus dire ou faire quoi que ce soit. Il avale sa bière en deux minutes. Pendant ce temps, j'ai juste mis un peu de musique, histoire de faire quelque chose. Hihi il aurait fallu une musique arabe ! Il n'arrêtait pas de me suivre du regard. J'avais l'impression d'être petit, ridicule, nu comme un ver face à lui, ses yeux, la force qu'il dégageait, son souffle.

— Approche!

Il a enlevé d'un seul coup sa djellaba et son tee-shirt. Lui restait ses sandales et son slibard. Bon sang la bosse! La queue et les burnes qu'il devait avoir. J'en ai frémi de peur ou de joie. Je n'arrivais plus à faire le clair dans mes désirs et dans ma tête. J'ai avancé timidement les yeux rivés sur son slip. J'ai tendu le bras pour caresser sa bosse plus que prometteuse. Mon cul recommençait à palpiter. Il m'a repoussé violement la main.

— Pas touche pédé!

Je ne savais plus quoi faire Mais mes yeux étaient irrésistiblement attirés par la forme plus que généreuse de son slip bleu marine. Je salivais et tremblais. Qu'allait-il faire de moi?

— Je pourrais...

— Ta gueule! Déssape toi tun sale cul de pédé et va t'allonger sur le ventre sur le pieu. Tu gardes ton tee-shirt, t'as compris petite pute? J'aime pas les pédés. Je veux ton trou et rien d'autre.

Il a pris ma bière que j'avais à peine entamée. J'étais gêné par son langage cru et sa violence et en même temps j'en bavais. Une excitation qui me faisait frémir jusqu'au fin fond de mes intestins. Je me suis dirigé vers le lit. Je commençais à enlever une chaussette quand il a gueulé

— Ton trou sale pute et rien d'autre, t'as pas compris!

Je n'ai pas osé moufter. Je me suis retourné et j'ai enlevé mon jean. Il a sifflé en voyant mon string, la ficelle de mon string parcourir ma raie. Puis il a ri.

— Sacrée salope! Et bien c'est parfait comme ça, tu peux t'allonger maintenant. T'inquiète pas, je vais t'enculer ! Je la renifle d'ici ta chatte en chaleur.

Je me suis allongé, gêné d'être trahi dans mes pensées les plus intimes. Il a fini ma bière cul-sec. J'ai entendu ses pas s'approcher. J'ai tourné la tête pour le regarder dans son slip si excitant.

— Bouge pas! Et ta gueule sur le coussin. Je ne veux pas la voir ta gueule de chienne en manque. Mais t'inquiète pas ma jolie, tu vas la sentir ma queue!

Il s'est allongé sur moi. Son poids m'a suffoqué. J'ai senti sa bosse sur mon cul. J'ai gigoté un peu.

— Attends salope,  ça vient! T'en peux plus d'attendre hein?

Il s'est soulevé légèrement, m'a massé le cul sans douceur. Je sentais ses mains calleuses parcourir mes rondeurs. Un doigt a soulevé la ficelle de mon string tandis qu'un autre cherchait mon trou. Il n'a eu aucune difficulté à le trouver. Il a entré son doigt d'un seul coup. Oups! J'ai été parcouru d'un long frisson le long de mon échine.

— J'ai du gel si tu veux ? on met la capote ?

— Pourquoi faire ? Ta gueule maintenant. JjE DEVAIS PRENDRE MES RISQUES... 

Je sentais son doigt me fouiller l'intérieur sans ménagement . J'ai eu peur à nouveau. S'il en a une grosse comme je l'imagine au vu de son slip, comment je vais me la prendre à sec? Il va me déchirer et me faire mal. Je ne pourrai plus me faire troncher pendant des semaines à cause de lui!

— Bouge pas, là, j'ai ce qu'il te faut pour te détendre.

Il a baissé son slip et sorti sa queue. Je ne pouvais pas voir sa taille mais je craignais le pire! Il a eu quand même la bonté de cracher à plusieurs reprises sur mon trou qui le réclamait malgré moi et ma peur. Il frottait son membre le long de ma raie pour gagner en raideur. Il s'est empoigné le manche et a poussé la tête sur ma rondelle. Heureusement que sa vue m'avait excité depuis une heure, mon trou avait eu le temps de mouiller. A défaut de gel, il faudrait que ça suffise. Son gland est entré.

— Aïe! J'ai mal...

Il a attendu un peu et d'une seule poussée, s'est complètement allongé sur moi, ses jambes entre les miennes bien écartées, sa queue au fond de mon trou. Il a à nouveau attendu quelques secondes puis son bassin a commencé les grandes manœuvres. J'ai eu mal les deux ou trois premières minutes puis petit à petit mon trou s'est adapté. Son souffle de taureau sur ma nuque me faisait frissonner. Son engin me tordait en tout sens. Lui au moins, il savait manœuvrer les chattes !

methli: Arabicflavor

— Alors qu'est-ce que je te disais? Tu voulais du gel ma poule? Ma queue glisse comme dans du beurre là-dedans. Je sens que tu mouilles comme une jument! À moins que ce soit la remontée du sperme de hier au soir? T'es du genre à te faire ramoner tous les soirs non?

Il n'attendait aucune réponse de ma part. Son engin coulissait de plus en plus facilement. Je gigotais du fion pour bien la sentir contre mes parois intestines. Le plaisir montait. J'ai commencé à gémir.

— J'veux pas t'entendre sale pute!

Ses mouvements se sont fait plus brutaux et plus longs. Je jouissais. Je sentais du sperme s'écouler de ma bite dans mon string.

— Putain! J'y croyais pas!

Mes râles traversaient le coussin. Je n'y pouvais rien. C'était trop bon. J'adore être pris comme ça, sans ménagement. Il ne comprenait pas le plaisir immense qu'il me donnait mais il l'entendait. Je ne crois pas qu'il se rendait compte du sperme qui coulait sous mes couilles. Mes râles l'ont énervé. Ses coups de boutoir se sont fait plus amples, plus rapides. Il sortait entièrement sa queue, attendait quelques secondes puis la rentrait d'un coup sec. Une fois comme ça, deux, trois fois, dix fois. À la fin, je n'en pouvais plus. J'ai gueulé dans le coussin. Comme une chienne en rut, j'ai soulevé mon cul pour venir rencontrer sa queue encore plus souvent, plus fort, plus profond. J'ai joui une seconde fois en lui gueulant que j'en voulais encore et encore.

— Putain! J'y crois pas! Mais qu'est-ce que t'as au fond du cul?

Il s'est écrasé sur moi en m'enfonçant son engin diabolique dans les tréfonds de mes intestins et en redoublant de violence. Je jouissais de la chatte comme un damné. C'est alors que je l'ai senti juter et arroser mes parois intimes. Des frissons me parcouraient dans tout le corps; je ne pouvais pas retenir mes tremblements. J'ai juté pour la troisième fois dans mon string, sans bander, sans me toucher la pine. Une vraie jouissance anale. Le plaisir suprême! Je ne savais plus où j'en étais. Il s'est retiré brutalement alors que je profitais toujours de la raideur et la rudesse de son membre.

— Reste allongé sale pute et bouge pas.

 

Je baignais toujours dans les vapeurs du bonheur anal et du souvenir des bienfaits d'une queue de mâle tandis qu'il se rhabillait. Il a claqué la porte avant que je ne dise un mot, par exemple pour lui suggérer de repasser chez moi quand il le souhaitait... pour me redonner cette jouissance anale comme j'en avais jamais connu.



Atten-hut!

c'est juste ton trou que je veux

Hot Kuwaiti car sex

il a même pas voulu !

Straight Qatari guy

il a saisi son engin

Hot Kuwaiti car sex

il s'est foutu de mon string

 Hot Kuwaiti car sex

Hot Kuwaiti car sex

  FIN ¤

  

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 2 octobre 3 02 /10 /Oct 14:41

 

 

A 20 ans ma virginité était intacte, et ça m'a aidé...les parents du môme ne voulaient pas le laisser seul, moi j'étais bien avec lui, qu'il soit schizo ou pas ! ...si cette histoire, au départ entre ados, n'était pas demeurée totalement entre nous  j'aurais pu avoir des soucis...il reste maintenant à vivre, au milieu de notre réelle affection, son coming out...que dis-je ? notre sortie du placard à tous les deux ! La vie nous réserve des surprises : la preuve  ! J'espère que la suite des nôtres sera bonne. Vous voulez connaître notre histoire ?

------------------------------------------------------------

J'avais quinze ans quand les voisins m'ont demandé si je voulais bien garder Cédric un samedi soir, car ils avaient planifié une sortie et la baby-sitter habituelle s'était désistée. Connaissant le gamin avec lequel il m'était arrivé d'échanger quelques passes au ballon, j'avais accepté. riverofbones: (by Anton Stenander)  Il avait onze ans à l'époque, et c'était un chouette môme, pas difficile pour un sou et avec beaucoup d'humour, parfois même trop, il sortait parfois des blagues, on dira, pas tout à fait de son âge, mais bon, internet aidant, ses parents et moi-même savions que les gamins étaient plus rapidement confrontés aux choses de la vie que moi, à peine quatre ans plus tôt. Vu que cette nuit de garde s'était impeccablement passée, je ne tarissais pas d'éloges sur la gentillesse et l'obéissance de ce gosse, et lui, ayant dit que c'était moi qu'il voulait comme baby-sitter en remplacement de la grosse ronchon qui n'arrêtait pas de téléphoner à ce qui lui servait de mec, les parents m'ont demandé si je voulais continuer à m'occuper de Cédric quand ils étaient absents. Comme à quinze ans on commence à avoir de petits besoins financiers, un CD par ci, un DVD ou un bouquin par là, j'ai accepté et mes parents ont été enchantés.

Je suis donc devenu le nouveau baby-sitter de la famille Durant et régulièrement je passais la nuit du samedi ou parfois même tout le week-end sur le divan chez eux pour surveiller le gentil petit monstre. En cinq ans, je l'ai vu évoluer, non seulement intellectuellement, mais aussi physiquement, car il n'a jamais été pudique pour un sou, soit il se baladait tout naturellement à poil dans la maison, soit il voulait que je le surveille pendant son bain ou sa douche et trouvait anormal que je ne le fasse pas. Parfois aussi quand je me douchais, il entrait sans frapper pour se brosser les dents, mais sans s'intéresser à ma nudité, je ne l'en empêchais donc pas. Mais, ce qui était plus frappant, c'était l'évolution de son caractère, il avait deux facettes. Par moments, il était très mûr pour son âge, même trop, et à d'autres, il se la jouait petit gamin et parlait avec la voix enfantine de ses douze ans. Le plus déconcertant était qu'il changeait de personnage d'une minute à l'autre. Je pouvais discuter avec lui de sujets politiques ou de problèmes de société sur lesquels il avait plus qu'assez de maturité pour donner un avis valable, et la minute d'après, il me parlait de Playmobil ou de jouets de gosses. Ses parents l'avaient emmené chez un psy, craignant une schizophrénie, mais celui-ci les avait rassurés. Pour lui, l'adolescence est un mélange complexe de désir de devenir adulte et de peur de perdre les avantages de l'enfance. En d'autres mots, son message était “Débrouillez-vous !”.

because-i-wanna-die-young: Hi guys, I’m a little french :3

On s'est donc débrouillés, essayant de suivre ce jeune ado dans son évolution, nous attendant toujours à le voir passer d'un comportement à l'autre, et en nous y adaptant comme le psy l'avait conseillé. Quand il était dans sa phase ado, il m'appelait Jacky et je l'appelais Cédric, et dans l'autre, il m'appelait Kiki, et il voulait que je l'appelle Bébé, comme le faisaient ses parents. C'est donc pour ce problème assez atypique, que, même à ses seize ans, ses parents ne voulaient pas le laisser seul à la maison, et qu'ils faisaient toujours appel à moi, ce qui m'arrangeait car ils me rétribuaient plus qu'honnêtement.


En cinq ans, sa pudeur n'avait pas évolué, il se baladait toujours à poil, que ce soit devant ses parents ou devant moi, et je dois reconnaître qu'il était devenu un magnifique ado aussi grand que moi, un mètre 80 avec un corps splendide, et entre les jambes, une fameuse pièce qui avait pris une sérieuse ampleur. Non seulement sa queue était longue, mais elle était aussi impressionnante en largeur, surtout quand il bandait. Et oui, je le voyais régulièrement bander, car le rituel était resté immuable, il ne supportait pas d'être seul dans la salle de bains, et avec l'accord de ses parents, pour gagner du temps, je me douchais quand il était dans la baignoire. Il me demandait parfois aussi de sa petite voix « Kiki, tu veux bien me laver ? » , et « Kiki » se dévouait pour le laver. Quand il était petit, ça ne me dérangeait pas, mais depuis deux ans son sexe grossissait dès que je commençais à peine à le laver en-dessous des bras, il me regardait avec son petit sourire malicieux, et parfois jetait un œil à mon propre entrejambe pour voir si je “réagissais”, et heureusement ça ne s'est jamais passé, je le lavais, un point c'était tout.

 



 

Avec lui, je pouvais parler de tout, quand il était en mode normal il s'intéressait à énormément de choses. Il était parfois aussi question de sexe, car il voulait connaître mes expériences, mais j'évitais ce sujet pour la simple raison qu'à 20 ans, elles se résumaient à une peau de chagrin. J'avais bien peloté quelques filles, et même tripoté quelques sexes d'ados de mon âge, mais jamais je n'avais embrassé intimement, et jamais non plus je n'y avais pris mon pied, mon seul véritable plaisir était la lutte : le cinq contre un.

bromofratguy: Fucking tease. Bet it taste great.

Je savais que Cédric se masturbait depuis ses treize ans, je l'entendais ou le voyais faire, car il ne fermait jamais la porte de sa chambre, et parfois même, il se faisait plaisir dans le bain, alors que j'étais sous la douche à deux mètres de lui, je trouvais ça marrant, ni plus ni moins. Nos discussions intéressantes étaient parfois brusquement interrompues sans raison, il prenait sa petite voix « Kiki, prends-moi dans tes bras », et il venait coller sa tête à ma poitrine tandis que j'avais le bras autour de son cou, parfois aussi il grimpait sans prévenir sur mes genoux. Avoir un grand mec de 15 ans comme ça sur les genoux me paraissait pour le moins bizarre, mais il le faisait également avec ses parents qui le laissaient faire, tout comme moi.

Depuis ses seize ans, j'ai eu l'impression que des changements s'opéraient en lui, bien que je ne sache pas vraiment les définir. Il était davantage en recherche de câlins, il me fixait parfois longtemps dans les yeux, avec une mimique indéfinissable. A d'autres moments, il plongeait sur moi, me serrait contre lui quelques dizaines de secondes, puis repartait gêné. A la douche, il me demandait de le laver de plus en plus souvent, et cela fit bientôt partie intégrante du rituel de lavage. Une autre chose me gênait plus, il lui arrivait de heurter de sa main mon entrejambe, il s'en excusait avec un « Pardon, je ne l'ai pas fait exprès », et comme ça paraissait vraiment accidentel, je faisais semblant de rien, quoique j'en doutasse peu à peu, car ça arrivait de plus en plus souvent, parfois même quand j'étais nu, en train de le laver.

C'est encore arrivé vendredi soir, il avait fêté son dix-septième anniversaire une semaine auparavant. Ses parents étant absents pour le week-end entier, il était prévu que je le garde jusqu'au dimanche soir. On était passés à la salle de bains après dîner, et j'avais à peine commencé à le laver qu'il m'avait déjà frôlé à deux reprises, je n'ai rien dit et me suis éloigné un peu pour continuer ses ablutions, et là, il a pris le bout de mon sexe entre deux doigts et ne le lâchait pas.

— Cédric, ça suffit !

— Mais Kiki, je ne fais rien de mal.

— Ça ne sert à rien de prendre ta petite voix pour m'attendrir, ça ne se fait pas, et c'est tout.

— Kiki, tu n'aimes pas ?

— Ce n'est pas la question d'aimer ou pas, je suis avec toi comme baby-sitter, je suis donc responsable de toi.

— Et si tu n'étais pas baby-sitter, je pourrais te toucher ?

— Cédric, Bébé, Bébé Cédric, bref, je ne sais plus comment t'appeler, arrête tout de suite ou on ne va plus être copains ! Lui ai-je crié en colère.

Il m'a regardé, le visage défait, j'ai vu deux larmes s'échapper de ses yeux, c'était la première fois en six ans que je le voyais pleurer, je ne l'ai pas supporté, j'ai enjambé le rebord de la baignoire et je l'ai pris tout contre moi, une main dans son dos, l'autre dans ses cheveux. Lui m'a enserré et a joint ses mains dans mon dos, je l'entendais pleurer en silence, je ne savais quoi dire pour le calmer, par contre sa queue et la mienne le savaient, j'ai senti la sienne durcir peu à peu et se glisser entre nos ventres, mais plus grave, la mienne a suivi, j'étais honteux de ce qui se passait, mais je ne voulais pas le repousser au risque de le faire pleurer davantage. Petit à petit, il bougeait son ventre contre le mien, faisant rouler sa verge entre nos peaux, celle-ci entrant parfois en contact avec la mienne, en très peu de temps, je l'ai senti trembler contre moi, et il a éjaculé entre nos ventres, j'étais figé, devais-je ignorer la chose, devais-je l'engueuler, j'étais franchement perdu. Il s'est éloigné de moi, et sans me demander mon avis, il a pris le gant de toilette, y a mis du gel douche, et il m'a lavé entièrement, ce qui n'était jamais arrivé, et je me suis laissé faire. Heureusement, il n'a pas insisté au niveau de mon entrejambe qui était toujours raide, puis il m'a passé le gant et je l'ai lavé à son tour. Aucun des deux ne parlait, une énorme gêne s'était installée entre nous, j'étais plongé dans mes pensées, il est sorti de la salle d'eau à poil, comme à son habitude, et je ne me suis même pas rendu compte que je n'ai pas enfilé de short en quittant cette pièce.

Je l'ai trouvé dans le salon, assis sur le canapé, regardant d'un air distrait la télé qu'il venait d'allumer. Je souhaitais avant tout rétablir la confiance, tout en mettant certaines choses au point, je me suis donc assis à son côté, attendant qu'il me demande de le serrer contre moi, mais il ne l'a pas fait, et cela m'a fait quelque chose. Il fallait que je me calme, j'ai eu envie de mâcher un chewing-gum, j'ai pris un paquet sur la table du salon, il était quasiment vide.

— Cédric, tu as encore du chewing-gum dans la maison ?

— NON !

— Il en reste un, tu veux la moitié ?

— NON !

Je l'ai déballé et mis en bouche. Dix minutes plus tard :

— Kiki, tu me passes ton chewing-gum ?

— Ça ne se fait pas, c'est bon pour se passer des maladies.

— Kiki, je veux ton chewing-gum !

— Cédric, c'est tout maintenant ! J'en ai marre de te voir faire ton cinéma de Caliméro, de petit garçon implorant pour avoir ce qu'il veut, j'ai compris comment tu fonctionnais !

Cédric s'est levé d'un bond, m'a regardé avec des yeux noirs de colère, je ne l'avais jamais vu comme ça, son visage était prêt à exploser.

— T'es un salaud, Jacky ! Oui, je sais que je change par moments de personnalité, mais ce n'est pas du cinéma, je ne peux pas le contrôler, ça m'arrive quand j'ai besoin d'amitié, d'affection, et ça, t'es même pas cap de le comprendre, pauv' tach', t'es vraiment une merde, un égoïste !

Cédric, les poings serrés, s'est enfui dans sa chambre, il a claqué sa porte, faisant vibrer toute la maison. Il m'a fallu quelques secondes avant de pouvoir respirer, la scène qu'il venait de me faire était tellement irréelle, impossible, c'était un cauchemar, ça n'avait pas existé ! Seuls sa voix et ses pleurs qui me parvenaient de sa chambre m'ont ramené à la réalité. Oui, il venait bien de me dire tout ça, et j'ai répété sa phrase mentalement, chaque mot qu'il avait prononcé était un poignard qui s'enfonçait dans mon cœur, j'ai fondu en larmes, j'étais éperdu, j'aurais préféré mourir que d'entendre ça. Il m'a fallu une demi-heure pour me reprendre, que devais-je faire ? Appeler ses parents pour qu'ils reviennent ? Et que feraient-ils ? Le renvoyer chez un psy ? Ou pire, le mettre en hôpital psychiatrique ? Et puis, était-il malade, n'était-il pas tout simplement malheureux, en manque d'amour ? Il n'avait jamais parlé de ça pendant toutes ces années, ni à ses parents, ni au psy, et aujourd'hui, c'est à moi qu'il s'était confié. Pourquoi à moi ? Qu'elle était bête et stupide, cette dernière question, j'en connaissais la réponse, bien sûr. Il était amoureux d'un garçon, et ce garçon, c'était moi. Je cherchais le bouton « pause » pour que ma tête arrête de se poser des questions impossibles et douloureuses, mais je ne l'ai pas trouvé, ce bouton à la con. J'ai passé en revue ces cinq années de baby-sitting, et chacun de ces soixante mois m'ont amené à une conclusion inéluctable, Cédric n'était pas qu'un garçon que j'avais plaisir à garder, je m'y étais attaché sans m'en rendre compte, et beaucoup plus que je ne me le serais jamais imaginé. Mon esprit cartésien frappait à la porte de mon cerveau avec une seule question : « Et maintenant ? ». Je ne voulais pas y penser, je ne l'aurais pas pu. Je me suis levé et dirigé vers sa chambre, dont j'ai ouvert la porte silencieusement.

Il était couché sur le ventre, il sanglotait encore, je m'en suis approché, je lui ai demandé si je pouvais m'asseoir sur son lit, il a grommelé un vague « oui ».

— Cédric, tu veux mon chewing-gum ?

— Il s'est retourné et mis sur le dos, il me regardait intensément après s'être séché les yeux.

J'ai ouvert ma bouche pour en extraire le morceau de caoutchouc pour le lui donner, il m'en a empêché.

— Jacky, pas comme ça, je veux le prendre moi-même.

Il a passé ses mains derrière mon cou et a attiré ma tête vers la sienne, sa langue a forcé mes lèvres, elle est venue chercher le morceau tant convoité, puis il m'a relâché. Je le regardais mâcher et extirper ma salive de ce bout mou, il avait un sourire que je ne lui connaissais pas. Peu après, j'ai approché ma bouche de la sienne et lui ai repris le chewing-gum pour goûter sa salive. On se l'est échangé une dizaine de fois, de plus en plus rapprochées dans le temps, puis Cédric m'a regardé.

— Tu crois qu'on en a encore besoin ?

Je lui ai souri, il a retiré le chewing-gum de ma bouche et l'a déposé sur sa table de chevet, nos bouches se sont retrouvées, nos langues se sont aimées, elles ont aussi découvert le corps entier de l'autre, on s'est sucés et avalés, on s'est léché le petit trou avant de l'investir d'un gland qui ne demandait que ça, on a partagé nos chaleurs intimes, offrant à l'autre notre semence de plaisir.

Il était cinq heures du matin quand Cédric m'a dit :

— Il n'y a plus de « Bébé », ni de « Kiki », on n'est plus qu'à trois : toi, moi et notre amour.

--------------------------------------------------------

il reste maintenant à vivre, au milieu de notre réelle affection, son coming out...que dis-je ? notre sortie du placard à tous les deux !

Eh bien ça se passe pour le mieux : Cédric ayant toujours été considéré comme un schizo à problèmes, ses parents ayant toujours eu peur de le laisser seul dans la vie, en définitive ils ont considéré ça comme une chance.

Naturellement Cédric a confirmé vouloir me garder près de lui.

Ils m'ont longuement questionné sur ma propre résolution, demandé d'attendre un an que Cédric atteigne sa majorité légale et ont insisté sur les nouvelles responsabilités que la nouvelle situation me conférait : Cédric serait sous ma dépendance. Je m'en suis défendu : je le  veux libre et égal à moi-même. Qui peut être certain des chemins de  sa vie ?  

FIN.

because-i-wanna-die-young: Society killed me.

 

 

nuts4speedos: Tribbles

 

sorrygirlsisuckcock: http://sorrygirlsisuckcock.tumblr.com/

 

nuts4speedos: How do you smile underwater? the one on the right!»

 

nuts4speedos: Flash

 

hotcunts: Hotcunt in the making. He is going to grow up to be a real alfa male. Married, kids and every friday night be dumps a load in his guy fuck buds hole

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 octobre 2 01 /10 /Oct 06:27
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 octobre 2 01 /10 /Oct 06:22
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 octobre 2 01 /10 /Oct 06:17
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • LE LAC N° 1 FIN AOUT 005
  • VETERAN CRUISER
  • SEX ADDICT
  • gros penis large
  • 11026-copie-1
  • FORESKIN 007

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés