Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 14:41

regarder ! regarder ! oui ! et le monde gay s'est mondialisé...sauf en Russie et au Cameroun...en Iran non plus... mais va-t-on se contenter de mater sur un écran ???

On arrive à s'emmerder sur les chats du net :

Alex Taylor : "- Je préfère sortir en boîte , où parfois je me fais draguer, même par des jeunes de 25 ans ! Sur Internet, sans doute parce que mes profils étaient là depuis trop longtemps, ça marchait moins bien. Je crois que les gens sont un peu fatigués de ce mode de drague, devenu trop consumériste. J’en veux pour exemple le message automatique qui permet, sur certains sites, de refuser un chat d’une façon complètement impersonnelle. Je trouve cela humiliant et assez malsain, comme relations entre gays... Pour ceux de ma génération, qui ont beaucoup milité dans les années 70-80, c’est un peu dommage que ces combats aboutissent à ce genre de rapports, dans lesquels on est traité sans aucun égard. -

 

 

" IL M'EST MEME ARRIVÉ DE DISCUTER AVEC UN FAUX ALEX TAYLOR "

Sur le net, jouais-tu de ta notoriété ?
Au contraire ! Si je suis parti m’installer périodiquement à Berlin, il y a cinq ans, c’est parce que ma soi-disant notoriété est un énorme frein aux rencontres. Quand je sors dans les bars du Marais, étant d’un naturel timide, je reste une heure seul dans mon coin... Les gens me regardent, ceux qui me reconnaissent murmurent parfois mon nom entre eux, mais personne ne me parle. Et une fois
rentré chez moi, il m’arrive de trouver sur les chats quelques messages de mecs qui n’ont pas eu le courage de m’aborder directement ! Bref, c’est foutu d’avance. Soit on te fait des louanges à n’en plus finir, genre « J’aime beaucoup ce que vous faites », soit tu subis des réactions
En ligne, parfois, certains connectés rejettent les séropositifs. qu’en penses-tu ?
Je dirais que c’est leur problème... Ils ont au moins le mérite d’être honnêtes ! Internet, c’est à double tranchant. Ça permet d’être dans une fausse promiscuité, on y dit des choses qu’on ne dirait jamais dans la vraie vie... On n’imagine pas un type entrer dans un bar et dire à brûle-pourpoint, au premier inconnu : « Salut, as-tu envie de me... ?!! ». Et pourtant, sur Internet, on le dit dès le premier pop-up, sans même le moindre « Bonjour » !

 

 

 

 

en boîte dans le sud ouest

Berlin plus chaud que Paris

Quand je me suis retrouvé à Berlin, j’ai eu un choc : j’y ai rencontré pas mal de mecs, notamment sur Internet, et j’ai plus « fraternisé » en trois années là-bas qu’en vingt-cinq ans à Paris ! Ça m’a fait le plus grand bien sur le plan psychologique, c’était comme une seconde jeunesse. Même si Paris est la ville que j’aime le plus au monde – j’y ai des amis extraordinaires, et un travail que j’adore –, force est de constater que, pour y draguer, ce n’est pas de la tarte !

 

en discothèque gay  à Barcelone

 

ambiance psychédélique



 

 



 

 * Alex Taylor anime les matinales de France Musique depuis le 30 août. Il est l’auteur de Bouche bée, tout ouïe, paru en 2010 chez J.-C. Lattès, et du Journal d’un apprenti pervers, qui vient d’être publié en livre de poche aux éditions J’ai lu. - See more at: http://www.prends-moi.fr/les-mags/prends-moi-ndeg05/online-avec-alex-taylor#sthash.T0C9vSFN.dpuf

 

de jalousie, parfois violentes. Ni les unes ni les autres ne sont très sexy ! Il m’est même arrivé de dialoguer avec un faux Alex Taylor, qui insultait les gens... Je n’ai pas poussé la curiosité jusqu’à « me » rencontrer ! La notoriété, ce n’est jamais neutre... et ce n’est pas cool du tout pour baiser !
la fête permanente en boîte
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 12:06
PAS PEUR DES MOTS : 1981 on a l'impression que la France est le plus permissif des pays européens... Intertrogé sur les ondes, "- Pourquoi avez-vous choisi la France ? le bel Alex répond : "- C'est plus facile pour un pédé de vivre en France qu'en GB, non ? "
Il n'y a pas que ça qui m'a flashé, c'est sa connaissance d'un grand nombre de langues.
A 6h45 sur France Inter vous pouvez entendre son accent britannique dans la revue de la presse internationale. 
 
 
        
 
 c'est ma vignette préférée !
 
Polyglotte, familier des auditeurs de France Inter, le journaliste Alex Taylor est aussi producteur. Arrivé en France en 1981, il est animateur sur Fréquence gaie, puis chroniqueur dans l’émission « Télescopages » de France Inter. En 1990, il présente et produit «Continentales » sur France 3. Il passe une année à Arte, puis devient
directeur de programmes sur R.f.i. Il anime aujourd’hui des colloques et des conventions d’entreprise. Il a publié « Journal d’un apprenti pervers » (éd. J.-C. Lattès, 2007), dans lequel il revient sur son enfance, les hommes, le sexe et ses perversions violentes et délicieuses.
Dès l’âge de 7 ou 8 ans, je sais que je préfère les garçons. Mais dans les années 60, en Cornouailles, une des régions les plus conservatrices d’Angleterre, pas question d’évoquer ces choses-là. Je cherche des modèles. A défaut de trouver des héros « gays » – mot, d’ailleurs, que j’ignorais  J’entends le mot « homosexuel » pour la première fois à la B.b.c., à l’âge de 11 ans. Intrigué, je demande à mon père ce que ça veut dire. Il répond : « C’est un garçon avec le poignet mou, qui s’appelle en général “Cecil” et qui aime les matelots. » Je me dis : « Ouf ! Heureusement que je ne fais pas partie de ceux-là ! »
Je ne me reconnais pas dans cette caricature. Pourtant, la vérité est là et je dois la cacher. A 18 ans, je suis en première année à l’université d’Oxford et mon secret me pèse. Je me confie à ma mère : « Si c’est ainsi, Alex, soit ! Mais surtout, ne le dis jamais à ton père. » L’Angleterre de Margaret Thatcher avec ses lois homophobes est un carcan. Elle ne me convient pas. Je deviens donc un exilé sexuel ! Je pars habiter la France, qui est alors un phare de liberté pour les homosexuels, le gouvernement finance même la première radio gay au monde : une révolution ! Tout d’un coup, je trouve un monde où je suis libre d’être ce que je suis, et habité par des canons ! Dans la rue Sainte-Anne, à Paris, de superbes garçons me paient des verres. Ma vie se dessine en couleurs, contrairement à mon enfance en noir et blanc.
J’ai 30 ans quand mon père apprend mon homosexualité. Ma mère, gravement malade, la lui révèle. Elle décède quelques jours plus tard, et il se retrouve seul, à 75 ans. Ainsi, papa sait, je sais qu’il sait, mais nous faisons comme si de rien n’était. Deux ans plus tard, je rencontre le grand amour. Mon copain et moi louons un moulin en Normandie. Je décide d’y inviter mon père. Le jour de sa venue, j’attends à la gare d’Evreux. Dans cinq minutes il sera là, et je suis assailli par le doute, l’angoisse. Comment se passera la confrontation ? D’un côté, mon copain, un garçon magnifique, mais ex-toxico, ex-alcoolique. De l’autre, mon père, pur produit de cette génération de la Seconde Guerre mondiale. Celle de la « stiff upper lip », selon l’expression toute britannique : ne jamais flancher, toujours « garder la lèvre supérieure rigide ».
Petit à petit mon père comprend que tout ce qu’il a ingurgité inconsciemment sur l’homosexualité est absurde. Cela s’est fait naturellement, toujours dans la plus grande pudeur, sans que nous échangions le moindre mot. Je n’imagine pas d’ailleurs les termes « homosexuel » ou « gay » ou « boyfriend » sortir de sa bouche, même aujourd’hui, quinze ans après.
Il a eu une façon digne, simple et en fait très britannique de montrer qu’il avait accepté son fils tel qu’il était. C’était deux mois après son séjour. Je vais en Cornouailles pour le voir. Et, là, dans le salon, en évidence sur la cheminée, il a déposé, dans un geste qui m’a bouleversé, une photo de moi avec mon compagnon. Quelques années plus tard, mon ami décède. « C’est dommage, il y en a peu des comme ça » a dit mon père, c’était un magnifique hommage.
 
 
 Alex Taylor 55 ans aujourd'hui 
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 01:17

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FIN

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 01:09
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 octobre 7 06 /10 /Oct 23:50
 Classé DECONNE HUMOUR FUN
     J'vous écris une petite bafouille
Pour pas qu'vous fassiez d'mouron .../...     J'vous quitte là j'vais voir ma fiancée
Une vieille qu'a au moins ses dix berges / Les p'tits on a vraiment pas d'chance
     
On nous fait jamais voyager     .....

Mais les grandes filles vont à Tanger
Dans d'autres colonies d'vacances.../ les jolies colonies  ...Pierre Perret
 
Auxerre le 7 septembre

Ma petite Maman chérie,
     C'est avec un grand plaisir que je viens te donner de mes nouvelles. J'espère que tu te portes bien et que Mamie va mieux. Ici tout se passe bien pour moi. Quand tu as dû partir de toute urgence rejoindre Mamie après son infarctus, j'ai bien vu que tu avais peur de me laisser seul avec Bruno. Je reconnais que j'ai eu du mal au début à accepter que tu remplaces Papa par un autre homme et que la coabitation entre nous n'a pas été toujours facile. Je ne voulais pas qu'il se prenne pour mon père et je le rendais responsable de votre divorce, mais maintenant que je suis grand (déjà 17 ans 1/2 !), je comprends que les choses de la vie ne sont pas si simples. Et certains événements survenus depuis ton absence m'ont fait évoluer... Tu es ma mère mais tu es aussi une femme, je l'admets désormais et Bruno est un beau-père plutôt cool.
Cool il l'a été dès le début de ton absence. Il se promène dans la maison avec un vieux slip blanc pour tout vêtement ! Il m'a demandé si cela me gênait, j'ai bien sûr répondu par la négative. Pas de fausse honte entre hommes ! Je me suis moi-même mis à l'aise, mais avec des boxers colorés, plus sexy à mon goût. Je m'amusais en silence en distinguant des traces jaunâtres sur le devant du vieux slibard : pas vraiment la classe ! MDR ! D'autant plus que l'élastique un peu lâche laissait apercevoir parfois les couilles poilues ! PTDR ! Son gros paquet compensait cette absence de glamour. Je ne suis pas gay, mais je suis curieux comme tous les gars. J'ai bien remarqué que l'on se mate tous dans les vestiaires et sous les douches, pour se rassurer ou comparer. Je me demande même si les hommes ne sont pas plus obsédés par la bite que les femmes. Tous les hommes. A propos, dis donc jolie Maman, tu ne serais pas une petite coquine ? Il est plutôt bien doté, le Bruno. Je me suis même demandé si tu n'avais pas quitté Papa parce qu'il ne te satisfaisait plus sexuellement ! J'espère que tu n'es pas choquée de mes propos, mais en t'écrivant je peux te dire des choses que je n'oserais jamais formuler face à face. Je ne suis plus un enfant, tu n'es pas une hypocrite et nous connaissons tous deux les vertus incomparables de la franchise. Tu m'as appris à ne pas mentir, aussi vais-je te dire toute la vérité. Je t'aime trop, Maman, et je te respecte trop encore pour te cacher quoi que ce soit, pour occulter le moindre détail.
Le lendemain soir de ton départ précipité, j'ai surpris Bruno en train de se masturber devant un film porno ! Je n'ai pas été choqué, ce sont des choses naturelles, si tu pouvais voir les vidéos que je regarde sur mon ordi, le soir dans ma chambre ! Oh, tu serais étonnée, ma petite Maman chérie. Quand il s'est rendu compte de ma présence, il ne s'est pas dissimulé, ne s'est pas excusé. J'ai beaucoup apprécié son honnêteté, le fait qu'il assume. Tu sais que pour moi rien ne vaut l'honnêteté et que le pire crime est l'hypocrisie. Je suis un garçon moderne, rien ne me choque. Nous sommes en 2012, tout de même ! Il m'a fait un grand sourire qui m'a incité à m'asseoir à ses côtés sur le canapé blanc. Je lui ai demandé en riant s'il était déjà en manque, il me répondit sur le même ton, par l'affirmative, en précisant qu'il avait d'énormes besoins sexuels. Ce qui confirme mon hypothèse, petite coquine !
En garçon libéré et décomplexé, je l'ai félicité sur la taille de son engin. Il m'a dit qu'il faisait 21 centimètres, je ne l'ai pas cru. Il ne faut pas exagérer, tout de même ! Il m'a alors demandé de mesurer, et il avait raison ! Tu l'avais déjà mesuré, Maman ? Je n'étais pas gêné par le fait de toucher sa bite, ce n'est pas sale et c'est un morceau de chair comme un autre. Mais je n'avais pas prévu que ce contact me ferait bander ! Bruno s'en est rendu compte illico, vu que j'étais en boxer (tu sais, celui avec des bananes, que tu m'as acheté chez Carrefour le mois dernier). Il m'a dit de l'enlever, qu'on était entre hommes et que je serais plus à l'aise. J'étais flatté que Bruno me considère comme un homme, Papa me prend toujours pour un petit garçon, il est gentil, mais parfois il fait ch.... Nous avons donc regardé le film en nous branlant. Une fausse blonde siliconée se faisait prendre par deux Blacks. Je me demande toujours pourquoi les actrices porno gardent leurs chaussures rouges à talons aiguilles quand elles baisent. Cela ne doit pas être très pratique... Tu le sais, toi, Maman ? Tu fais la même chose ?
Bruno a dit que le dernier à juter aurait un gage. J'ai accepté, car je suis un peu joueur et je me demandai quel serait ce gage. Je suis assez curieux, aussi. La curiosité intellectuelle est une grande qualité. Il a gagné, ce n'était pas très juste car il avait commencé à se branler bien avant moi. Tu ne devineras jamais en quoi consistait le gage ? Lui nettoyer la bite avec ma langue ! Il m'a lancé çà avec un air de défi. J'ai cru voir qu'il s'attendait à ce que je proteste, mais je ne suis pas un dégonflé. Ah, il voulait me mettre mal à l'aise, et bien c'est moi qui allais le surprendre ! Je me suis jeté littéralement sur sa bite et j'ai commencé à activer ma langue. Il a poussé un grand cri, son gland après l'orgasme était très sensible. Il avait fixé le gage, tant pis pour lui ! Il a essayé de repousser ma tête, mais je ne me suis pas laissé faire. Non, mais ! Je l'ai torturé un long moment et il a fini par se rendre. Il avait bien juté, le salaud, j'ai tout récolté avec ma petite langue rose, puis en le fixant dans les yeux, j'ai ouvert ma bouche pleine de foutre, avant de la fermer et de la réouvrir, vide cette fois ! Tu vas rire, je venais de tout avaler ! Ce n'était pas très bon, c'était chaud et très amer, mais je voulais lui prouver que j'étais plus fort que lui et que s'il voulait me destabiliser, il n'y arriverait pas. D'ailleurs son regard sur moi avait brusquement changé, sans doute était-il impressionné par mon audace et mon absence de préjugés.
Bruno a été très sympa, comme je n'avais pas joui, il m'a branlé. Il m'a dit que j'avais une belle tige. Ce compliment de la part d'un superbe étalon m'a comblé de plaisir. Bruno est vraiment sympa ! J'ai joui rapidement sur ses doigts, que j'ai ensuite léchés en le défiant du regard. Il m'a dit que je suçais bien. Je me suis mis en colère, je ne l'avais pas sucé comme un PD, je l'avais nettoyé suite à un défi, cela n'a rien à voir ! Il m'a donné facilement raison. La soirée s'est ensuite passée plus classiquement, mais dans une bonne humeur accrue. Bruno n'était plus seulement mon beau-père, il était aussi mon pote. Dans la nuit, je me suis réveillé hyper-excité en pensant à cette scène d'anthologie, et j'ai dû me caresser pour pouvoir me rendormir, enfin apaisé. Même au lycée, j'ai dû aller me branler deux fois aux toilettes car j'avais la trique en permanence, ce qui est douloureux, tu peux me croire.
Le lendemain soir, il m'a demandé en riant si je voulais voir un DVD. J'ai tout de suite compris qu'il pensait à un film de boules. J'ai accepté bien sûr, au nom de la complicité familiale. Nous étions déjà bien plus à l'aise. Il a mis ma main sur sa bite et j'ai fait de même. La masturbation est ainsi plus intéressante... Nous nous sommes rendus compte que nous n'avions pas les mêmes façons de nous caresser, c'était à la fois amusant et enrichissant. Il a ensuite fait pression sur ma tête pour que je le suce. J'en avais envie, mais je n'osais pas. Je me suis laissé faire, sans fausse honte, je reconnais que j'attendais ce geste. J'en ai été bien récompensé car il m'a rapidement interrompu pour me pomper à son tour. C'était une grande première pour moi, j'ai adoré immédiatement. Il me suçait le dard, me léchait les testicules avant de me le caresser l'anus avec sa langue. Je ne sais pas Maman si on te l'a déjà fait, mais c'est divin ! La peau est si sensible à cet endroit... Vraiment, je te le recommande, tu le mérites !
Il m'a mis à quatre pattes, la tête tournée vers la télé. J'étais ému. Je ne voyais pas ce qui se passait derrière mon dos, mais je devinais bien que j'allais perdre mon pucelage anal. Je pensais garder ce pucelage toute ma vie la veille encore, et là j'étais prêt à me faire casser la rondelle, j'en avais envie plus que tout autre chose au monde. Le vie est étrange, tu ne trouves pas, Maman ? Le proverbe a bien raison, il ne faut pas dire "fontaine, je ne boirai pas de ton eau". J'ai bu le jus de mon beau-père et celui de... Mais j'anticipe, je te le dirai plus bas. Tu vas être bien surprise, ma chère Maman... Bruno m'a encore léché l'orifice secret un bon moment pendant que je regardais un brune se faire prendre par trois types en mêmes temps. Impressionnant ! J'étais un peu jaloux. Elle avait trois trous à combler, moi seulement deux. Je ne sais pas si tu te rends compte de ta chance, petite veinarde ! Un doigt, puis deux, se sont introduits. Je ne me suis pas plaint lorsque le gland a forcé mon petit trou. Je suis un homme maintenant, j'ai supporté la longue et lente pénétration de l'engin monstrueux. J'ai gémi mais je n'ai pas crié. Tu aurais été fière de ton fiston !
Rapidement Bruno a oublié que j'étais puceau et il m'a défoncé de toutes ses forces. Et tu es bien placée pour savoir qu'il est fort ! J'ai dégusté, ça je peux le dire, et dans tous les sens du terme. Il s'est amusé à sortir sa bite et à la rentrer brusquement. Après quelques allers-retours, mon trou ne se refermait plus et il rentrait son sexe en moi sans coup férir. Il m'a demandé où je voulais qu'il jouisse, et je lui ai dit de me remplir le cul. C'est venu tout seul, mais j'avais un peu honte et j'étais soulagé qu'il ne voit pas mon visage. Il a explosé dans mes entrailles et cette explosion a provoqué la mienne. Je sentais dans mon ventre son liquide chaud qui me remplissait et me fécondait. J'ai compris que je n'oublierai jamais ce moment-là. Il s'est effondré sur moi et je suis tombé à plat ventre. Nous sommes restés ainsi longtemps enlacés, sa bite toujours enfoncée dans mon cul qui coulait. Nous avons fini tout de même par nous relever et nous sommes embrassés. Je n'avais jamais imaginé embrasser un homme, mais j'ai tout de suite aimé. Sentir sa langue exploratrice, sa force, sa barbe de trois jours qui irritait ma peau, m'a fait rebander aussitôt. Nous avons dormi ensemble cette nuit-là dans votre lit. Enfin, quand je dis dormir, tu me comprends, Maman adorée...
Tu dois être bien satisfaite d'apprendre que ma première fois se soit si bien passée. J'imagine que tu devais être un peu inquiète à ce sujet, te voilà rassérénée. Tout s'est passé en famille, je connais ton attachement aux valeurs familiales traditionnelles. Je m'en suis moqué plus d'une fois, tu t'en souviens sûrement. C'est normal, je suis jeune, mais tu peux voir qu'en fin de compte, je les respecte. Je reconnais de bonne grâce que tu avais raison. Famille, je t'aime ! Cela doit être inscrit dans les gênes, telle mère tel fils !
Bien sûr, d'aucuns diront que ce dépucelage par mon beau-père n'est pas très normal. Mais tu sais comme moi que "normal" signifie seulement "qui correspond à des normes", et que les normes changent suivant les époques et les pays. Heureusement, ce qui était normal au Moyen-Age ne l'est plus de nos jours, et les normes à Soissons ne sont pas les mêmes qu'en Papouasie. Tout est subjectif. Il ne faut donc pas juger les autres. Je dirais plutôt que mon dépucelage est normal, mais pas très traditionnel, c'est tout. Tu n'es pas de mon avis, petite Maman ?
Je ne me sens pas gay. Bruno m'a expliqué que l'effet d'une queue sur une prostate est irrésistible et que le plus homophobe des machos, une fois dépucelé, supplierait pour qu'on continue à le défoncer. C'est vrai que j'adore maintenant avoir une grosse queue vigoureuse dans le cul. On ne pas peut pas limiter son plaisir. Ce qui est bon est juste, non ? Te voilà sans doute rassurée sur ma sexualité, mais je ne préoccupais pas, tu es si cool ! Je sais combien tu es tolérante et ouverte d'esprit. De toute façon, je ne vois pas pourquoi un homme qui fait l'amour avec un autre homme, serait moins viril que celui qui couche avec une femme. Au contraire, cette lutte entre deux mâles pleins de testostérone, ces deux forces qui se toisent, s'affrontent et se compénètrent, qui y a-t-il de plus viril ? Une question me taraude l'esprit cependant. Les femmes n'ont pas de prostate, il me semble, mais dans les films elles adorent se faire prendre par derrière. Elles simulent ou elles éprouvent vraiment du plaisir ? Je te le demande à toi, ma chère Maman, car tu es la plus à même répondre à ce genre de question. Je ne suis pas sûr que Mamie apprécierait cette question, il est vrai qu'elle est d'une autre époque.
Tu vas rire ! Je me sentais mal à l'aise avec Bruno, ce mec qui était un étranger, qui remplaçait mon père et vivait avec nous. J'avais peur de me sentir exclu dans ma propre maison. Et bien figure-toi qu'il m'a dit que ce qu'il préfère chez toi, c'est moi !!! Cocasse, hein ? Depuis le début, mes lèvres bien dessinées et mon cul musclé l'ont séduit ! Souvent, quand il fait l'amour avec toi, il pense à moi ! Qui l'aurait deviné ? Il me l'a confié en riant. Il attendait depuis des mois l'occasion de m'initier. Tu n'as plus à t'inquiéter, tant que je vis à la maison, il n'est pas prêt de te larguer ! Et Bruno n'est plus un étranger ! Une bite dans le cul, ça crée des liens... Bruno a de gros besoins sexuels, mais ne t'inquiète pas, il me défonce plusieurs fois par jour, et je peux te jurer que je ne laisse pas une goutte de sperme dans ses couilles ! Je le vide bien à fond, tu peux me faire confiance. Il ne risque pas de te tromper avec une femme !
Tu ne devineras pas ce qui s'est passé il y a trois jours. Papa a voulu nous faire une surprise et c'est lui qui a été surpris ! Bruno était en train de me baiser férocement, comme à son habitude, et il a tout vu par la fenêtre! Tu aurais vu la tête de Papa ! Il était tout rouge et bafouillait des propos incohérents. C'était à mourir de rire... Je comprenais quelques insultes et autres gros mots, lui qui me reprend dès que je dis des grossièretés ! Il a voulu se jeter sur Bruno pour le frapper, mais ce dernier, plus fort, a eu rapidement le dessus. Il l'a ceinturé par derrière avec ses bras musclés. J'en ai profité pour baisser son pantalon. Il bandait ! J'ai fait glisser son slip devenu trop petit et je l'ai sucé avec ardeur et déjà une certaine expérience. Il a joui dans ma mignonne petite bouche sans tarder. Avaler le sperme de son propre père, qu'imaginer de plus excitant ? Est-ce une forme de cannibalisme ?
Son sperme avait un goût différent de celui de Bruno. Tous les hommes ont-ils un goût unique ? Je crois que personne ne s'est "penché" sérieusement sur le sujet. Il faudra que j'avale le jus de centaines de mecs pour tirer des conclusions incontestables. Je pourrais même peut-être rédiger une étude ? Qui me rendrait célèbre ! J'aimerais tellement être celui dans la famille qui laisse notre nom à la postérité ! Tu pourrais aussi m'aider, avec ton expérience ! Le goût du sperme a-t-il changé avec la pollution, les habitudes alimentaires différentes ? Est-il le même suivant les régions, les pays ? Dis-moi tout, Maman ! Bien-sûr, je te remercierai dans la préface. Mamie pourra quant à elle nous parler des années 50 et 60. Elle m'adore et ne peut rien me refuser. D'ailleurs, elle est toujours prête à évoquer de vieux souvenirs pendant des heures. Je vous imagine, Papa, Bruno, Mamie et toi assis sur le canapé blanc du salon en train de m'admirer quand je passerai à la télé ! J'imagine votre fierté ! Et la jalousie des voisins ! Oh, je crois bien que je viens d'avoir une idée géniale ! Le sperme développerait-t-il les capacités intellectuelles ? Qu'en penses-tu, Maman ? Tu es la femme la plus intelligente que je connaisse...
Papa était un peu honteux de m'avoir rempli la bouche de son jus chaud, mais il était calmé. Je l'ai embrassé avec amour. Il a posé quelques questions, il voulait savoir depuis quand Bruno me fourrait. Nous lui avons répondu avec plaisir. Je me suis demandé s'il n'était pas un peu jaloux de Bruno, s'il n'aurait pas voulu me dépuceler lui-même. Je le comprends, après tout je suis son fils unique, il avait donc une option sur mon cul, tu ne penses pas, Maman ? Il a recommencé à bander, excité par nos réponses. Bruno a guidé sa bite vers mon cul. Il a fermé les yeux en murmurant "non", pour la forme, mais s'est laissé faire. Quel bonheur ! Après avoir eu sa queue dans ma bouche, je l'avais dans les fesses ! Trop cool ! Il s'est rapidement déchaîné et m'a baisé comme un possédé ! Sa bite est moins longue que celle de Bruno, mais plus large. Donc, tout aussi efficace. Mais je ne t'apprends rien Maman ! Il était tellement fasciné par mon joli petit cul qu'il ne s'est pas rendu compte que Bruno, la queue en rut, s'approchait dangereusement de son propre derrière. Ses cris lors de l'intromission du terrible engin dépuceleur étaient autant causés par la douleur que la surprise, la honte et la rage. Il m'a un peu déçu : quand je me suis fait dépuceler, moi, j'ai mis un point d'honneur à tout supporter en silence ! Il a bien essayé de se libérer, mais nous l'en avons empêché. Il a fini une fois de plus par se rendre. Et il ne l'a pas regretté. Il m'a rempli le trou mignon à ras bord quand Bruno a éjaculé dans son cul qui s'ouvrait enfin à l'amour. J'ai de la chance par rapport à Papa de découvrir le plaisir anal à 17 ans et non comme lui à 42 ans. Je vais pouvoir en profiter plus longtemps. J'ai moi-même joui sans me toucher. Je dois reconnaître, ma chère petite Maman adorée, que tu sais choisir tes hommes ! Félicitations, petite coquine !
Papa rougissait, il était devenu un enculé, et ce devant son fiston. Je l'ai embrassé et Bruno est venu se joindre à nous. Se rouler une pelle à trois, je ne croyais pas cela possible, mais nous y sommes arrivés. Pour terminer la soirée en beauté, j'ai baisé Papa pendant qu'il suçait Bruno. J'étais si fier de pénétrer mon père, cet homme musclé et poilu, tellement plus fort que moi. Entendre ce colosse pousser des petits cris de plaisir, le voir se cambrer et encaisser mes coups de reins rageurs, il n'y a rien de plus jouissif. Grâce à l'ouverture effectuée par Bruno, je pouvais sortir ma bite de son trou et l'enfoncer d'un seul coup sans rater la cible. Son cul est chaud, doux, parfait. Papa est resté manger et nous avons bien déconné. Une soirée entre hommes réconciliés par la bite et en famille, que demander de plus ? Nous avons dormi tous les trois dans le lit conjugal, serrés mais tellement heureux ! Quel charmant tableau. Dommage que tu n'aies pas pu nous voir...
Bruno, qui a toujours de bonnes idées, m'a conseillé d'inviter un pote à venir dormir à la maison. J'ai choisi Arthur, mon ami d'enfance. Tu le connais, un pur bogosse. Il se vante toujours de ses conquètes féminines, il était temps que son cul lui donne autant de plaisir que sa bite. Avant de comprendre ce qu'il lui arrivait, Arthur s'est retrouvé avec la bite de Papa dans la bouche et celle de Bruno dans le cul ! Mon moment préféré a été lorsque Bruno me prenait pendant que Papa tringlait mon pote. Nous nous embrassions tous les deux. Je lisais le plaisir dans ses yeux. La honte et le plaisir, mais surtout la honte du plaisir. Comme il avait prévu de rester toute la nuit, nous nous sommes bien amusés, tu peux me croire. Papa a dormi avec Bruno et moi avec mon copain. Arthur m'a pris et moi aussi je suis entré en lui. C'était génial, l'apothéose d'un amitié vieille de 10 ans. Il reviendra dormir chez nous souvent, si tu le veux bien. Ses parents sont d'accord. Ils nous font confiance, ils prétendent que j'ai toujours eu une influence bénéfique sur leur fils. Je sais que toi aussi tu l'apprécies. Quant à Papa, il est plus heureux que jamais. Je ne souviens pas l'avoir vu si épanoui quand il était avec toi. Il devait lui manquer quelque chose. Il sourit, chantonne et siffle comme jamais. Il fait vraiment plaisir à voir. Je suis fier d'avoir un père tel que lui. Il aimerait bien revenir s'installer à la maison. Bruno et moi sommes d'accord. La maison est grande, dis oui, s'il te plaît gentille Maman !
Bon, je te quitte, je dois me faire un lavement. Bruno a invité son patron et il affirme que grâce à moi, le poste de numéro deux dans l'entreprise, libre depuis peu, sera pour lui. Bruno pense que son patron qui n'a jamais baisé avec un mec, va avoir une révélation en me baisant à fond et qu'il ne pourra plus rien lui refuser. Si ce n'était pas le cas (mais j'ai confiance en mes capacités), les photos que Bruno prendra dans le feu de l'action sauront bien le convaincre. En tout cas, je vais donner le meilleur de moi-même, mon cul et ma bouche avides. Je suis un peu stressé par la responsablité, mais c'est important la famille. Chacun doit s'impliquer pour le bien-être de tous. Vous avez tant fait pour moi, il est normal que je participe à mon tour. J'aimerais tant être pour toi le fils idéal... Sur ces bonnes paroles je te dis à bientôt et je te fais de très gros bisous.
Ton fils qui t'aime et t'embrasse tendrement, Benjamin.
 
P.S. Tu peux montrer la lettre à Mamie. Je sais qu'elle s'inquiète facilement, et qu'elle doit se faire du soucis de me savoir seul avec Bruno. Elle croit que les hommes sont incapables de se faire à manger (c'était le cas de Papy !) et doit nous imaginer en train de mourir de faim. Il ne faut pas qu'elle stresse, avec ses problèmes cardiaques...
P.P.S. Ah, j'oubliais ! Bruno m'a dit qu'avec un cul comme le mien, il y avait de l'argent à se faire. J'en connais une qui va avoir un beau cadeau pour la fête des mères ! ¤
2 Vidéos ci-après
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 PLUS LOIN ENCORE...
"Arthur m'a pris et moi aussi je suis entré en lui. C'était génial, l'apothéose d'une amitié vieille de 10 ans. Il reviendra dormir chez nous souvent, si tu le veux bien."Arthur initié doggy style :
Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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