guéri de ma jalousie instinctive...
Francis et moi
Yann
Mon prénom est Michel. J'ai quarante-trois ans et je travaille dans un bureau. Je vis avec Francis depuis plus
de quinze ans. Nous sommes fidèles et notre vie sexuelle, bien qu'heureuse et tranquille, ne pouvait évidemment pas rivaliser avec les lectures excitantes que nous faisons sur ce blog !
Mais il nous est arrivé quelque chose cet été de si extraordinaire pour nous que je crois que cela peut se raconter.
Nous étions sur une plage, Francis et moi, et quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir mon chef de
bureau, accompagné d’un jeune éphèbe qui faisait très «pédé». Après nous être salués, nous avons bien fini par aller boire un verre, et nous avons compris mutuellement, sans rien vraiment nous
dire, que nous étions homosexuels tous les quatre. Je n'aurais jamais imaginé cela de mon chef de bureau. Cette histoire s’arrêta là. Elle fit beaucoup rire qui Francis parle toujours
librement et imaginait déjà que j’allais le baiser sur son bureau, etc.
Francis n’est pas jaloux. Moi, je le suis sans raisons. D'année en année, nous avons lié un peu plus
connaissance avec mon chef, mais d’une manière très discrète; quelques dîners et apéritifs pris ensemble, c’est tout. Ce n'est qu'à l'approche de cet été que nous avons parlé vacances. Il
m’a dit qu’il avait la jouissance d’une grande maison avec piscine et que nous serions les bienvenus. J’ai compris par la suite que cette maison était celle des parents de son nouveau copain, un
homme de trente-cinq ans. Et c'est à cause de lui ou grâce à lui, je crois, que tout a commencé.
Je n’ai jamais fantasmé sur mon chef de bureau. Il n'est pas mal du tout. Cependant je ne mélange pas le
travail et l'amour. Mais son nouvel ami est un jeune mec tout blond avec de grands yeux bleus. Sa démarche chaloupée (il travaille dans le théâtre) a fait naître en moi des désirs insoupçonnés.
J’ai eu envie de tromper Francis dès que je l’ai aperçu. Le pire c’est que ce mec aussi me désirait ! Mais j’ai tenu bon les premiers jours en ne laissant rien voir de mon trouble. A un
moment nous nous sommes retrouvés tous les quatre à nous rafraîchir dans la piscine et c'est là que tout a commencé.
Je crois que c’est Francis qui m’a aspergé d’eau en premier et la bataille a été vite générale. Les vacances,
c’est fatal, abolissent les hiérarchies. Je ne sais comment, je me suis retrouvé projeté contre ce jeune blond – qui s’appelle Yann –, et je n’ai pu retenir une érection. Il l’a senti et au lieu
de ne rien dire, il a baissé mon slip de bain devant les autres. Là, exhibant une érection triomphante, je suis sorti précipitamment de l’eau assez penaud, et je me suis dirigé vers la maison.
J'ai entendu que quelqu’un sortait de l’eau et j’ai pensé que c'était Francis, que nous risquions bien de faire nos bagages et c’est tout. Ce n’était pas Francis mais Yann, et il avait dans
les yeux une lueur égrillarde qui n'était en rien une excuse, au contraire. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis laissé faire lorsque ce mec que je désirais tant m’a mis la main entre les
cuisses, m’a pincé les testicules et pris le sexe bandé. Il m’a fait basculer sur le tapis. Nous étions mouillés, et comme Yann était beau! J'ai vu ses lèvres qui s’approchaient de ma queue et
l’engouffrèrent en entier avant de la sucer lentement. Je me suis laissé envahir par cette sensation, cette bouche suceuse inconnue qui me pompait, et ces doigts qui glissaient derrière sans
vergogne jusqu’à mon anus.
Je sentais le plaisir m'envahir et j'étais complètement abandonné lorsque Francis est arrivé avec mon chef, qui
se prénomme François. Lorsque je les ai vus, j’ai esquissé un geste mais j’ai vu que François tenait Francis par le bras, en souriant. J’ai été, pendant une seconde, mortellement jaloux, avant de
me rendre compte que c’est moi qui avais commencé. Ensuite tout a été très vite, et je n’aurais jamais imaginé que cela puisse nous arriver. François a roulé une pelle à Francis, devant mon nez,
avant que je ne me retrouve avec une queue dans la bouche à sucer : celle de mon chef ! Déjà trois doigts me fourrageaient les entrailles alors que mon gland tressautait dans la glotte
de Yann. Près de moi, Francis se faisait sucer la queue par mon chef qui, lui-même se faisait sucer par moi. Ma position m'empêchait de bien voir, mais de savoir que le sexe de mon amant était
dans une autre bouche que la mienne me rendait fou. Je voulais que tout cesse, et en même temps je sentais la sauce monter dans ma verge. J'ai fait un mouvement brusque pour libérer ma semence
par terre. Je me suis retourné. Mon chef était en train de dire à Yann: «Bouffe-moi le cul!» Et Yann a collé son visage contre l'anus de François. Je voyais ce dernier transpirer à grosses
gouttes, tout en avalant goulûment le sexe de Francis.
Je me suis collé contre lui et j’ai commencé à l’insulter à mi-voix, à le traiter de dégénéré. Je lui ai dit que
j’allais le punir, et pour le lui faire voir, j’ai glissé deux doigts dans son trou, puis, avec un peu de lubrifiant, les quatre doigts. Pour Francis, ce n’est pas une punition; il adore se faire
mettre. Pendant ce temps, il achevait de jouir à grandes giclées en éclaboussant le torse de mon chef, la tête renversée en arrière, les yeux clos. Je l’ai entendu murmurer à mon intention :
«Michel, ce salaud suce comme un dieu, mais je veux qu’il connaisse en profondeur ton barreau!»
C’était impossible! Il y avait des scrupules qui me remontaient, le travail, déjà tout cela était trop! C’est
Yann qui m’a décidé en me disant: «Je lui ai lavé le fion, il est prêt à recevoir tes hommages!» Et comme mon chef disait quelque chose, il s'est retrouvé la bouche pleine de la queue de Yann.
C’est Francis qui m’a tendu un préservatif; j’avais les mains qui tremblaient. Moi derrière mon chef, et Yann qui se faisait pomper par-devant: on se faisait face. Et je crois que c’est cette
complicité qui m’excitait le plus. J'allais montrer à ce jeune débauché ce que je pouvais faire! J'ai coiffé ma verge raide et je l'ai poussée entre les parois bien humides de cet anus. Le muscle
résista avant de laisser passer mon sexe très gros, très dur. Mon chef a crié mais Yann lui a attrapé la tête et, la tenant sur sa verge, lui a dit: «Ne t’arrête pas de me sucer!» J’ai enculé mon
chef à fond et je l’entendis qui réprimait des cris de douleur et de plaisir. Francis me dit parfois que je suis une grosse brute lorsque je fais l’amour. C'est possible. Lui c'est loin de lui
déplaire le salaud ! En tout cas, mon chef en avait plein le cul et la bouche. J’ai accéléré la cadence puis je l’ai ralentie. Francis s’amusait à branler le membre de François, assez pour
l’exciter, pas assez pour le faire jouir. C’était sa fête! Et puis d’une ruade, j’ai enfoncé mon vit jusqu’à la garde et j’ai gueulé mon plaisir à pleins poumons, en même temps que Yann qui
laissa gicler son foutre sur le dos de François. Ensuite, on s’est essuyés comme on pouvait, et j’ai commencé à peloter Yann parce que j’avais encore envie de ce petit mec. C’est lui qui m’a
baisé avec sa verge très fine et très longue, très différente de celle de Francis. C’était étrange mais super bon. Pour finir, on s’est roulé une pelle, Francis et moi, alors que je me faisais
sodomiser par Yann et que François nous regardait. On s’est vraiment bien éclatés tous les quatre, et je n'en revenais pas. Le lendemain, j’avais l’impression que je ne pourrais regarder personne
en face. Mais en fait, nous nous sommes retrouvés pour le petit déjeuner comme s’il ne s’était rien passé.
J’ai repris mon travail depuis un mois. Avec François, on se croise dans les bureaux et c’est à nouveau
«bonjour, bonsoir». Ca n'empêche ni les pensées ni les fantasmes; mais c’est peut-être mieux comme ça. L'ouverture c'est avec Francis qu'elle a eu lieu pour des fêtes à trois ou à quatre qui
agrémentent notre quotidien d'amoureux mais d'où est absente toute jalousie car on continue à s'aimer...peut-être plus durablement ?
en parallèle, vidéo amour de quatre hommes en abolissant les hiérarchies :
...
...
( fake)
Derniers Commentaires