Jeudi 10 octobre 4 10 /10 /Oct 01:38

classé dans CONFIDENCES& INTIM (32)

Fabien Fabien
 13:54 (Il y a 11 heures)
   
à moi
, claudio
Mon Claudio,

Que dire après ton texte accompagnant mes photos? Il vaut mieux que je laisse parler mon corps et mon esprit



En slip et débardeur je commence à te lire

et l'effet ne se fait pas tarder





Cette sensation jouissive est si puissante que je dois m'allonger



Mes mains ne peuvent rester inactives



Le tissu ne va pas résister bien longtemps à la pression 




Mon esprit s'embrume et une envie de partage avec toi me submerge
Et comme par magie tu apparaîs



De caresses en baisers passionnés
hot kiss




Nos corps sont prêts à se rejoindre



Pour communier ensemble dans un même élan



Enfin nus nous pouvons nous laisser emporter par cette envie qui nous
foudroie





Nos bouches ouvrent la voie afin de lubrifier tout ce qui peut l'être








Notre passion se déchaîne




bbincumming2: BBINCUMMING is gone! Follow BBINCUMMING2 for more of the same great stuff! http://bbincumming2.tumblr.com



Nos entrailles s'ouvrent sous ce besoin avide
Tandis que nos sexes durs comme deux totems pilonnent à tour de rôle
nos anus affamés


 



3864

ultraboyhunter: Rock a bye baby on the tree top..

Une odeur de sexe accompagnée de râles de plaisir emplissent la chambre
La jouissance est proche...

cum shot
fuckyeahhugepenis: xxx it should have been inside

Fabulous gay teen in a incredible rub squirt gif image

Le sperme coule à flot, nos coeurs battent à l'unisson


En contact avec toi, toujours mon Claudio

Ton Fab

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Mon cher Fabien
dans mes derniers articles j'ai évoqué la jalousie et ses effets pervers 
Nous en sommes épargnés : chacun a sa vie sans exclusive.
Trop beau ! 

Fabien je t'aime

 

 

 

Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 octobre 3 09 /10 /Oct 06:36

des discrets, des invisibles, du sans grade au puissant. -" ah oui, lui aussi était homo ou bi ?" 

la barrière des sexes est en bon chemin d'être abaissée  

Têtu  daté d'aujourd'hui.
PATRICE-CHereau-yagg-manif-27-janvier-egalite-une

De son propre aveu, Patrice Chéreau n'aimait pas trop parler de son homosexualité et de sa répercussion dans son œuvre. Dans TÊTU, en 2004 (n° 89, en vente ), il reconnaissait n'avoir donné que quelques interviews sur le sujet. Nous en avons retrouvé une, au Guardian, accordée en 2009, à l'occasion d'une mise en scène de I Am The Wind, à Londres. Il explique au journaliste que son homosexualité l'a «affecté en tant qu'artiste», mais il ne saurait pas dire précisément comment:

«Je n'ai jamais voulu me spécialiser dans les histoires gays et la presse gay m'a critiqué pour cela. Mais les histoires d'amour sont partout les mêmes. Le jeu du désir, et comment vous vivez avec le désir, sont les mêmes

Dans l'interview de TÊTU, Patrice Chéreau se justifie ainsi:

«Je fais partie des gens qui n'avaient pas très envie d'en parler. Mais, s'il le fallait, je le ferais. Personne ne me demande mon avis, alors je ne le donne pas.»

Si l'homme est peu disert sur son homosexualité, celle-ci est présente dans plusieurs de ses films.

L'HOMME BLESSÉ, SCANDALE ET POLÉMIQUE
En 1983, L'Homme blessé, le troisième film de Chéreau, qui traite ouvertement de l'homosexualité, crée le scandale et la polémique au festival de Cannes, où il est présenté.

L'histoire? Henri (Jean-Hugues Anglade), un adolescent ordinaire qui s'ennuie dans une famille bourgeoise, drague Jean dans les toilettes d'une gare parisienne. Le film, récit de cette passion destructrice, avait été critiqué pour sa vision glauque et misérabiliste de l'homosexualité. Même si Chéreau s'est toujours défendu d'avoir fait un film sur l'homosexualité. Pour Didier Roth Bettoni, auteur de L'Homosexualité au cinéma (La Musardine), une fois passée la polémique et les accusations de l'époque, il faut au contraire voir L'Homme blessé comme «le premier grand film intrinsèquement homosexuel (par son thème, ses personnages, son atmosphère, sa sensibilité de metteur en scène et d'auteur mais aussi l'axe de son regard) du cinéma français.»

Dans Bleu, blanc, rose, le documentaire d'Yves Jeuland sur l'homosexualité sorti en 2002, Patrice Chéreau parle de la représentation réaliste de la drague homosexuelle qu'il a présenté dans L'Homme blessé et le documentaire montre aussi des réactions, pas toujours positives.

LA SÉROPOSITIVITÉ DANS «CEUX QUI M'AIMENT PRENDRONT LE TRAIN»
Dans les années 80, Patrice Chéreau enchaîne mises en scène de théâtre et d'opéras. L'homosexualité revient dans Ceux qui m'aiment prendront le train (1997). Le jeune Bruno (Sylvain Jacques), séropositif, va provoquer une crise dans le couple formé par François (Pascal Gréggory) dont il a été l'amant et Louis (Bruno Todeschini) qu'il drague dans le train en partance pour Limoges où tous vont assister à l'enterrement d'un proche. Mais beaucoup reprocheront à Chéreau de n'avoir fait de la séropositivité qu'un motif secondaire.

Ceux qui m'aiment prennent le train - Bande annonce FR by _Caprice_

Dans Son frère, sorti en 2003, qui montre les retrouvailles de deux frères, c'est le personnage hétéro (Thomas, interprété par Bruno Todeschini), qui est atteint d'une maladie du sang, et qui va passer du temps avec son frère homo (Luc, joué par Eric Caravaca). Chéreau y filme la déchéance physique avec une rare intensité.
Dans Bleu, blanc, rose, Chéreau évoque les deux auteurs morts du sida avec qui il a travaillé, Hervé Guibert (co-scénariste de L'Homme blessé) et Bernard-Marie Koltès:

Et toujours dans l'interview de TÊTU, réalisée à l'occasion de la sortie en DVD de Son frère, Chéreau évoque le sida:

"À San Francisco, un spectateur est venu me voir en me disant: "Je suis déçu. Je pensais que c'était l'histoire d'un homosexuel qui mourait du sida."

J'ai pris le livre tel qu'il était, je n'allais pas rajouter le sida là où il n'était pas. J'en ai parlé dans Ceux qui m'aiment prendront le train parce que, à ce moment-là, c'était important de montrer un séropositif vivant en couple avec un séronégatif. Lorsque le fléau battait son plein, je n'en ai pas parlé non plus.

Patrice Chéreau a toujours soutenu la gauche mais n'a jamais été un militant des droits LGBT. L'hiver dernier, il avait participé à la grande manifestation pour l'égalité des droits, le 27 janvier. Il expliquait dans une interview accordée à Yagg que le gouvernement n'avait pas été assez vite sur le sujet mais qu'il fallait le soutenir.

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Par claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 octobre 3 09 /10 /Oct 01:02

  il est normal que nos chers visiteurs soient informés des résultats du blog 

il y a 3 jours chacun de nous était en compagnie de 850 visiteurs. Record absolu pour l'instant. Merci !

1. Rappel : Ce blog a été créé gratuitement grâce à Erog que nous remercions  et sans aucune aide publicitaire. Comme il y a bcp d'articles, la newsletter n'est plus publiée systématiquement en raison des dégâts que ça fait dans les boîtes mail.

 

 

 Jean Cocteau Soldat endormi  

2.La reproduction des éléments du blog est bloquée volontairement. Bien que nous ne recevions jamais rien de leur part, plusieurs des communautés dont nous faisons partie souhaiteraient qu'on leur poste des articles se rapprochant de leur thème. OK!  

sur simple demande du webmaster  à claudemodou@gmail.com  ,  une copie peut être adressée par mail aussitôt, avec nos amitiés.

 Cocteau par Picabia

Jean Cocteau Marin pissant

                  marin à la cigarette



 

 

    

 

     Cocteau plus âgé

   

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 octobre 2 08 /10 /Oct 14:32

 ça vous paraît cru de dire ça comme ça, mais je donne raison à Phil d'y aller avec franchise. Merci à cet ami.

 

                

  magie et secrets 

catsjpg.jpg

scorpion_yellow_vodka.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    fuckyeahdaddies:mon nirvana quand tu m'as baisé

 

SODOMIE ET SORCELLERIE

par et d'après Phil 
 


     Et j'ai prononcé ces mots fatidiques : "Fais ce que tu veux de moi". Du coin de l'oeil, je te vois t'emparer d'une bouteille en verre, en forme de licorne, remplie d'un liquide jaunâtre et j'ai compris ce qui va se passer. Je vois et je sens que  tu désires me pénétrer. Je perçois ton énergie positive. Je n'ai pas peur, je n'éprouve qu'une grande sensation de détente. Au moment de la pénétration, une personne meurt et une autre renaît. Une "initiation" qui me donna des aperçus de certaines choses, lesquelles je vais maintenant tenter de réunir dans une suite cohérente.

Je peux en parler au présent car me souviens très bien de la première fois où je me suis fait enculer. Epuisé et relaxé après avoir fait l'amour tout l'après-midi, je suis étendu, vautré, sur ton lit. Tu m'as plongé dans une extase inconnue dont je mets un très long moment à sortir, non que j'y sois enfermé, mais libre, le corps léger et apaisé, me promenant dans mes rêves. Plus tard j'ai voulu y retourner souvent, donc que tu m'encules souvent, et d'autres partenaires par la suite.

Quels sentiments surgirent en moi lorsque je me fis enculer ? Deux mots, peut-être, pour les décrire au mieux : abandon et possession. En me faisant enculer, j'abandonnai toutes mes défenses égoïstes, m'ouvrant à une autre personne à un niveau très profond, et abandonnant tous les "masques sociaux" que je porte dans mes relations avec le monde. Je m'abandonnai au plaisir total, et au plaisir de mon amant. Je passais du rivage de l'extase à celui de l'agonie, jusqu'à me mettre à gémir et pleurer de manière incontrôlable, un doux liquide de feu dans mon ventre et un violent picotement tout à fait perceptible au bout de mes doigts. A ce jour, je n'ai pas eu d'orgasme en me faisant seulement enculer, mais il y a le fait que la plupart du temps éjaculation et orgasme soient pour moi deux expériences différentes, l'éjaculation du pénis me semblant de peu d'importance par rapport aux sensations qui semblent menacer de déchirer mon corps en deux lorsqu'un amant est en moi. L'orgasme d'un amant en moi m'apporte une sensation de grande paix, de satisfaction. J'ai l'impression d'avoir été revitalisé, de pouvoir repartir dans le monde avec une lumière intérieure.  En ces temps de prise de conscience des MST, je ne reçois pas directement la semence d'un amant. Je le ferai quand les garanties sanitaires seront réunies. Je ne sais pas vous, passifs qui pouvez me lire, mais moi c'est via l'abandon à un autre que je me réalise complètement.

Au même moment où je m'abandonne, je suis également dans un état de possession. Il est plus difficile de décrire cela, mais c'est à mon avis lié à une mauvaise perception, très commune, des rapports sexuels : le "passif" et l'"actif". Pour ma part, je préfère les mots « donner" et "recevoir". Notre misérable conditionnement patriarcal a engendré l'idée que actif égale masculin et que passif égale féminin. J'en suis arrivé à rejeter de plus en plus ce type de pensée. Ce n'est pas parce qu'une personne (mâle ou femelle) accueille dans son corps le pénis d'un amant qu'elle est automatiquement "passive" Ceci est clairement illustré par les icônes tantriques de Kali chevauchant Shiva. Le conditionnement social est suffisamment fort pour que des hommes gay pensent que quiconque se fait prendre par le cul n'est plus le "mâle", tout cela parce que s'abandonner au plaisir n'est pas un comportement "mâle" approprié. Et pourquoi pas ? Pour ma part, je trouve que me faire baiser est une célébration de ma masculinité partagée. Je ne pense même jamais avoir abandonné à l'autre mon pouvoir personnel (sauf, bien sûr, dans le cas d'un jeu de rôle, sexuel, portant sur "l'abandon" du pouvoir).

J'ai souvent la sensation d'exercer un pouvoir "sur" l'amant qui me baise. Son plaisir et son éjaculation réaffirment ma propre puissance intérieure. Quelque part dans ses journaux magiques, Aleister Crowley disait qu'il aimait à penser que "lorsque un homme me baise, c'est parce qu'il me trouve beau, qu'il m'aime". Les comptes rendus exhaustifs des opéras sexuels de Crowley (telle l'Oeuvre de Paris) montrent qu'il préférait être le partenaire receveur lorsqu'il s'agissait de magie sexuelle de nature homosexuelle. Néanmoins, l'importance de cette magick sexuelle, effectuée en compagnie de personnes tel Victor Neuburg, tend à être oubliée par les héritiers de sa philosophie magique. Et pourquoi, à votre avis ?

L'intensité de ces sensations, celle de s'abandonner au plaisir et d'en même temps posséder un autre être, tout en étant possédé du même coup, je l'ai retrouvée ailleurs, depuis les nuances de transe et de la danse. La transe de possession est considérée de manière équivoque dans l'occulture occidentale, de même que pour de nombreux hommes il est anathème de se laisser pénétrer par le pénis d'un autre. De diverses manières, lorsque je permets à ma psyché d'être pénétrée par un esprit (Déeese, Dieu, ou autre), cela déclenche en moi les mêmes sensations que lorsque je me fais baiser physiquement. La clé semble en être le déplacement, conscient ou voulu, d'un ego à un autre - offir mon corps comme véhicule pour la transmission d'une énergie. Crowley y fit allusion dans son essai sur la magick dévotionnelle (Bhakti Yoga), le Liber Astarté (reproduit in Magick). Le summum de la Bhakti, c'est d'être pénétré par l'esprit avec lequel on travaille. Un jour de Beltane, j'attirais la Déesse Eris au-dessus de moi et Pan au-dessous de moi (à moins que ce ne fut derrière moi), ils se rencontrèrent quelque part au milieu et je perdis connaissance en leur orgasme. Jean Genêt suggère qu'une relation homosexuelle "oblige" un homme à découvrir les éléments féminins de sa psyché, mais que ce n'est pas nécessairement "le plus faible ou le plus jeune, ou le plus doux des deux, qui y réussit le mieux, mais le plus expérimenté, celui qui désire le plus aussi, ce dernier pouvant être le plus vieux ou le plus fort." (Querelle de Brest).

 

Il y a en cela une part de vérité, mais il est également vrai que les deux partenaires peuvent s'éclater à lâcher la bride aux aspects féminins de leur psyché, au même moment, ou à des moments différents. Je pourrais aussi bien discuter ici du concept magique de "polarité", qui sous sa forme la plus simple est le concept très coté de Dieu et Déesse à l'intérieur de soi. Le problème de la "polarité", c'est lorsque la divinité est confondue avec le conditionnement et avec ce qui est supposé être qualités "féminines" ou "masculines".

On nous répète sans cesse et sans cesse que le feu est masculin et l'eau féminine, que la capacité à manifester ses émotions et à être intuitive est féminine, et que l'analyse intellectuelle est masculine. Mais qui le dit ? Les critiques féministes du conditionnement affirment que nous ne connaissons masculinité et féminité que parce qu'elles ont été définies de manière spécifique.

Se développer, se réaliser :

Oeuvrer au-delà de ces limites est assurément une tâche principale du processus de développement. La plupart des choses passant pour des "lois occultes" ne sont juste qu'une justification "spiritualisée" du conditionnement et des préjugés raciaux. Pour les homos, la polarité n'a aucun besoin d'être simpliste en assumant que l'un des partenaires tient le rôle féminin - vous pouvez reconnaître le féminin sans cesser de donner votre pénis à un autre homme. Vous pouvez célébrer les éléments masculins de la psyché tout en recevant une autre bite en vous-même.

Tu peux invoquer les Dieux :

Les Déesses et les Dieux ne sont pas sujets aux mêmes restrictions que les humains : après tout, qu'est-ce que cela voudrait dire s'ils l'étaient ? Leur imposer nos propres limites étroites, c'est ne pas comprendre toute la démarche consistant à les invoquer. J'invoque en moi afin d'aller au-delà de mes présentes limites - afin de m'unir momentanément à quelque chose de plus grand, ou au-delà de mon ego. Quelquefois, la personne qui m'aime devient un Dieu, ou une Déesse - est-ce que c'est trop fantasque pour vous ?

Un autre conditionnement contre lequel j'ai dû lutter fut l'assertion erronée d'après laquelle, d'un point de vue Tantrique, le sexe entre hommes ne possède aucune valeur. Cependant, comme j'étais plus à l'aise par rapport à mes sensations et mes désirs vis-à-vis des pratiques entre hommes, cette notion partit assez vite de ma tête. A partir de mon expérience, je puis affirmer que j'ai eu des expériences Tantriques avec des hommes aussi fortes que celles que j'avais eu auparavant avec des femmes.

lacher prise 03

Des sensations telles que la "Vague de Béatitude", voir mon amoureux baigné de lumière dorée, l'orgasme total de tout le corps, et une sensibilité accrue de l'activité de la kundalini, sont aussi possibles dans une relation homosexuelle que dans une relation hétérosexuelle. Le sexe anal est bien entendu un moyen très efficace de stimuler le muladhara chakra, en dépit de tout ce que peuvent dire certains traités de magie sexuelle. Personnellement, je dirais que mes expériences sexuelles avec d'autres hommes m'ont fait vivre des expériences décrites dans la Magick Tantrique, et que celles-ci ont été d'autant plus forte en raison de l'évident élément de catharsis : pouvoir concrétiser des désirs longtemps réprimés constitue généralement une puissante source d'énergie, pouvant bien entendu être magiquement dirigée.
     : tu m'as regardé dormir...
   

Pour ma part j'ai connu la béatitude avec des amants divers non identifiés ou en amours de groupe . 

Les travaux modernes (post-Crowley) sur la magick sexuelle semblent traiter l'homosexualité de deux seules manières. Ou on vous met en garde en vous disant que c'est mal : ça bloque vos chakras, ça "inverse" la kundalini ou "ça crée un vortex astral sombre". Ou alors il y a la vue plus positive d'après laquelle le sexe des partenaires n'est pas important, et que "l'énergie" est la même. Je préfère évidemment cette dernière position, même si je pense que les choses ne sont pas aussi simples. Les auteurs la défendant tendent à souligner que la magick sexuelle ne fonctionne bien que dans le cadre d'une relation solide, ce qui est vrai jusqu'à un certain point mais écarte soigneusement toutes les facettes de la culture sexuelle gay qui dérangent tant la société hétéro : le sexe anonyme, le SM, et tout particulièrement le sexe de groupe. Il n'y a qu'en Angleterre qu'il semblerait y avoir quelques individus et groupes tentant d'écrire intelligemment (ou, plus important encore, avec sensibilité) sur les possibilités d'un authentique Tantra homosexuel, et le seul groupe qui fournisse un appui et des approches magiques spécifiquement adaptés aux gays est le Réseau International Vaudou. Souhaitons que, comme la question de la spiritualité touche de plus en plus de monde dans la communauté gay et que de plus en plus d'occultistes homosexuels déclarent leur choix, la situation changera.
      : une de mes évasions
Pour conclure, j'irai jusqu'à affirmer que se faire baiser est, pour moi, une expérience intensément sacrée ; que la spiritualité réside dans la célébration du plaisir plutôt que dans la négation du corps. Prendre un autre homme avec ma queue est bien entendu une grande source de plaisir, mais d'un ordre différent, et mes réflexions sur le sujet seront pour une autre fois.

 

 Phil

   

                                                                         

 

   

 

                                                              aswedishboy: love everything in this picture

 

   

           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                          

 

 

 Merci mon chéri de tous ces rêves où tu m'as plongé.

   

 je souhaite à tous les gays d'y accéder

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 octobre 2 08 /10 /Oct 06:23
Pas de statistiques. Très peu de plaintes. Des témoignages rares et isolés. Dans l'univers clos des prisons françaises, où détenus et surveillants coexistent sur un mode tendu à l'extrême, le sexe n'existe pas officiellement. Rien n'interdit aux détenus d'avoir une pratique sexuelle. Mais rien ne leur permet, concrètement, d'en avoir une. C'est la loi de l'instinct, de la pulsion, qui prévaut. Du rapport de force. Avec l'argent, le sexe constitue ainsi un instrument de contrainte privilégié pour qui veut faire régner sa loi. Victime de choix: le nouvel arrivant. Débarqué dans des cellules où s'entassent souvent trois, voire quatre prisonniers, il est immédiatement mis à l'amende. Sommé de faire la vaisselle. Le ménage. Souvent contraint de payer, y compris de sa personne, sa " place au soleil ": fellations, sodomies. Viols à répétition. Avec, parfois, la complicité de surveillants surchargés, tentés d'acheter à bon compte une certaine forme de " paix sociale ".
 Loïk LE FLOCH-PRIGENT, ex PDG d'ELF Le Nouvel Observateur
 « Mes nuits sont hantées par les bruits que j’entendais là-bas, dont les pires sont sans doute les hurlements des détenus, en particulier ceux des nouveaux venus sodomisés dès leur arrivée par leurs compagnons de cellule, sans que nous puissions intervenir. »
Description de cette image, également commentée ci-aprèsJean Genet sera pour toujours présent dans l'univers carcéral
Ecrivain, poète, par une écriture raffinée et riche, Jean Genet exalte la perversion, le mal, l'homosexualité et l'érotisme à travers la célébration de personnages ambivalents au sein de mondes interlopes. ll m'est resté de meslectures l'impression que Genet  n'a été heureux et épanoui sexuellement qu'en prison...et qu'il souhaitait y retourner pour fréquenter ses héros. Sa culture est inversée. Lasoumission c'est la liberté, le bien,c'est le mal...etc
 La violence en prison est reconnue mais elle "aurait changé de nature". C'est une violence décomplexée. Les auteurs de  ne voient pas où est le problème. Il y a par exemple beaucoup de violences à dix contre un. Il y a beaucoup d'agressions par arme blanche aussi. Et faute de témoignages, les auteurs ne sont pas toujours poursuivis. Quand on accueille une personne blessée, le plus souvent elle nous explique qu'elle est tombée pendant la promenade, ce qui parfois n'est pas plausible compte tenu des blessures."
 On sait que Stéphane y va fort...
Un tweet polémique de Stéphane Guillon.violences reconnues...et souhaitées
 
 "Un soir, un arrivant s'est fait violer par son cocellulaire", raconte un ex-détenu sorti en février 2012 après six mois d'incarcération dans le bâtiment A, l'un des plus durs et des plus vétustes. "Dans l'aile, tout le monde hurlait, mais les surveillants n'ont pas bougé." Aux Baumettes, la violence entre détenus est quotidienne. "Moi, je me faisais taper des cigarettes. Au bout d'un moment, j'ai décidé d'arrêter de sortir en promenade pour faire mon footing pour ne pas prendre de risque. J'ai arrêté aussi d'aller dans les douches. Je me lavais avec l'eau froide du lavabo de ma cellule. Les douches c'est Apocalypse now, d'abord, c'est dégueu, mais c'est un vrai coupe-gorge où il y a des règlements de comptes", ajoute-t-il. 
 
Les douches aux Beaumettes à Marseille
 Salle de douche de la maison d'arrêt des hommes. 
 
 Les prisons sont des locaux appartenant à l'Etat
 Humidité dans un entre-deux cellules d'une coursive de la maison d'arrêt des hommes.
Cellule de confinement. Beaumettes
 Cellule de confinement de la maison d'arrêt des hommes.
Les récits de viols en détention ne sont pas rares dans les écrits d’anciens détenus : Mizaine (1972), Charmes (1974) ou Girier - dit « René la Cane » - (1977). Quelques années plus tard, Agret a raconté le viol d’un jeune par ses codétenus dans La Justice à deux doigts près (1985, 127). Plus récemment, un surveillant (Lambert, 1999) a également évoqué cette question. Ces détenus ont évoqué les viols (sans jamais avouer en avoir été l’auteur) qui transforment, définitivement, un détenu en « gonze ». Le nombre impressionnant de synonymes de ce terme (« fiotte », « giton », « môme », « lope », « lopette », etc.) suggère d’ailleurs une relative banalité de ces faits. On retrouve ici la division - évoquée à propos des prisons américaines - entre les « actifs » et les « passifs », ainsi que la conviction de la plupart des « macs » (« actifs ») que leur comportement ne relève pas de l’homosexualité. « Se taper un homo », c’est se désigner comme « pédale ». Boudard (1997, 57) résume ainsi les enjeux de ces catégories :
Avec les us et coutumes du milieu on est en porte à faux. Quiconque se hasarde sur ce sentier interdit perd sa qualité d’homme... Il devient une pédale, une tante... un être inférieur.
Il règne souvent une grande confusion dans les représentations de l’homosexualité et des violences sexuelles : il est fréquent de lire, dans les témoignages sur la prison, que les détenus qui se font violer deviennent homosexuels. Cela participe d’une forme de déni de la victime qui, finalement, peut être soupçonnée d’avoir provoqué son agresseur ou d’avoir pris plaisir à son agression. Médecin à l’hôpital pénitentiaire de Fresnes, Diennet (1972, 74) n’échappe pas à ce genre d’incohérences :

Un type sur trois est pédéraste en prison... Ils ne le sont pas toujours en entrant, ni en sortant d’ailleurs, mais pendant le temps qu’ils restent en taule, un tiers devient homosexuel...
Cela se passe de la façon suivante : un jeune gars entre dans une cellule où il y a déjà deux ou trois détenus... Il se fait coincer par ses aînés et se fait « enculer »... Les homosexuels « médicalement reconnus » sont installés dans une division spéciale qui leur est réservée. Là, tranquilles, ils peuvent s’en donner à cœur joie...
 
 Jean Genet
 
souvenirs ?
 FIN ¤  
 
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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