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Dans leurs "bahuts " on trouve facilement à s'arranger !
Moi c'est Jori 2 Je passe souvent sur un lieu de drague à Avignon sur les bords de la Durance. Là, on trouve de tout et quelques routiers parfois, et ce jour-là, j'avais envie de me faire un mec, j'avais très faim. Je m'installe dans ma voiture et j'attends... Ça tourne et retourne les voitures et moi, j'ai pas envie de de genre là. Au bout d'un moment, un tracteur plus sa semi s'engage dans le passage, tourne et se gare. Un mec en descend, je m'avance et je vois qu'il me regarde. Je le suis dans les petits bosquets, je ne le trouve plus! Merde, où est-il passé? Je marche, je scrute, rien et tout d'un coup (il devait m'espionner) je me vois arriver un mec, 35/38 ans, en jeans, chemise ouverte. C'est vrai, ce jour là il faisait très beau donc, la chemise ouverte sur un torse légèrement velu; une petite queue de cheval, mais très courte, des yeux bleus, charmant enfin à ma convenance. Je lui dis: "Bonjour!", il me répond bonjour et me dit: "J'aime la nature et les arbres qui bourgeonnent." Je lui mets la main au paquet qu'il avait pas mal garni en lui demandant si ça aussi, ça bourgeonnait. Il me répond: "Ça dépend que de toi..." Il me demande ce que je fais, je lui dit: "Je te suce si tu veux..." Il me répond OK et m'entraîne dans un bosquet en contrebas, au bord de l'eau. Là il baisse son froc, je vois une longue bite, en semi érection. Je m'abaisse à son niveau, je lui sens la queue et les couilles, hum... bonne odeur! Je me la mets en bouche (la bite) puis je lui lèche les couilles, petites, mais bien ovales et poilues, et bien pendantes. Après, je commence à lui sucer son sexe qui ne tarde pas à grossir et à se raidir. Il me caresse les oreilles, les cheveux, je lui caresse les couillles en même temps puis je lui caresse les fesses, ses jambes longues, minces et poilues, les mollets, le dos. Je lui gratte le ventre, des seins au zob et ma bouche travailleuse qui l'astique. J'entends: "Ho putain! que tu me suces bien! Tu me suces mieux que ma femme. Qu'est-ce que tu fais ça bien, tu aimes la bite toi hen salope? Elle est bonne ma queue, régale toi, tu aimes, tu es un bon petit suceur. Oh là! Là!" Moi, ravi, je continue de plus belle en serrant les lèvres sur cette belle pine. Il me dit: "Montre moi ton cul!" Je me relève, je baisse pantalon et slip, il me retourne, je me baisse pour lui montrer mon trou affamé et là il me dit: "Quel beau cul! Il faut que je te baise..." Il m'enfonce un doigt en me disant: "Tu en as envie hein salope?" Je réponds: "Oui!" Je sorts une capote, je lui enfile, je l'enduis de gel et j'enduis aussi mon trou en me disant "mon pauvre qu'est-ce tu vas te prendre!" vu l'engin, au moins 20 cm et 4 de diamètre. Il me dit de me baisser en avant, il me tient par les hanches, et me dit: "Laisse toi aller, ça va rentrer tout seul!" Ho surprise, je sens un pieu me forcer et pénétrer sans mal, sans violence, et il commence à me limer le cul en me disant: "Que c'est bon! Ton cul, ha vraiment trop bon! Tu es large, tu pourrais t'en pendre deux, hein salope..." et moi pendant ce temps, je lui caresse les couilles, et lorsque je ne les touche pas, elles viennent effleurer et même frapper les miennes; en plus avec leurs poils, ça me fait de l'électricité. Aie, Aie, trop bon! Il gémit de plaisir et me lime de plus belle. De temps en temps, je lui caresse son trou du cul très serré. Je m'appuie sur le sol de mes deux mains pour offrir mon cul en feu à ce pompier volontaire et lui dit haut et fort: "Ho ouiii! Baise moi bien, j'aime me faire tirer comme un grosse salope que je suis!" Il me dit: "Continue à me sortir ce genre de choses, tu m'excites!" et c'était vrai, j'ai senti son gigot se raidir et moi de continuer à glousser comme une salope qui se faisait bourrer comme une truie. Et le comble, c'est que j'ai pris mon pied, j'ai senti un plaisir m'envahir et j'ai joui en me faisant baiser, c'était terrible! Je lui caressais les couilles et en sentant mon anus se contracter lors de ma jouissance, en criant, de plaisir, je l'entends me crier à son tour: "oui! Moi aussi je viens! Je t'encule bien comme une salope que tu es, tiens, prends toi ça!" Heureusement qu'il y avait la capote, car lorsqu'il l'a otée, je peux vous dire qu'il y en avait un bon verre à liqueur et le mâle était ravi de m'avoir honoré tout en me déshonorant (sic). On s'est revu de temps à autre et je peux vous dire que c'est toujours aussi excitant, et il n'est pas homo en plein car, lorsque je lui caresse son trou du cul, il se contracte et me dit qu'il n'aime pas qu'on s'occupe de son cul mais préfère se faire cajoler, sucer, caresser et ce qu'il aime par dessus tout c'est la baise, et je vois bien qu'il aime, mais qu'est ce que c'est bon! Il baise à merveille et moi je suis ravi... .
jori |
sur la route ...les parkings de drague
Moi c'est Jori Je trouve que les mâles actifs virils sont assez rares, et moi j'ai toujours aimé les hommes de 40 ans. Ils dégagent un quelque chose, de bien. Ils ont du goût, une odeur de mâle, leur queue est excellente à sucer et ils aiment qu'on les papouille, qu'on les suce, qu'on les tripote. En plus, je les préfère routiers, alors là pour moi c'est super aussi je vais vous raconter une de mes aventures. Ce qui m'est arrivé, il y a peu de temps en fait. C'était jeudi soir à 19h. J'habite sur Avignon et je revenais de Marseille, aussi avant d'aller voir ce qui se passait sur le parking du pont de Bonpas, sortie Avignon sud (84), je me suis arrêté sur les 4 parkings avant de sortir. Sur les 3 premiers, personne. Sur le quatrième, des voitures, un vieux (mais très vieux) dans un camion. Il n'est pas resté longtemps... et est parti faire sa route. Les 3 homos, sont partis également. Je suis seul sur ce parking. Je me demande si je vais rester... "C'est vraiment désert ce soir. Enfin je reste, je vais bien voir!" Au bout d'un moment, une semi blanc arrive, se gare. Le gars au volant allume sa cabine, cherche quelque chose, descend de son bahut, et part vers les toilettes: un petit mec, la quarantaine, barbu, bien foutu. Je descends de ma voiture en me disant "Allons voir de plus près". J'arrive aux toilettes, il finissait de pisser. Il se secoue la bite, et repart à son bahut. Je me dis: "Bon, ben c'est pas pour ce soir!" J'avais faim, je remonte en voiture. Il ne part pas, il attend, allume une cigarette, et redescend de son camion! "Tiens! ho, ho!" me dis-je. Il me regarde, s'approche de ma voiture. Je baisse ma vitre. Il me demande d'une fort jolie voix: "Tu cherches un copain?" Je réponds que, oui en effet, c'était le but de ma présence ici. Il me dit: "Viens!" Mais à ce moment, deux camions arrivent suivis de trois voitures. Un peu gêné, il me dit: "Bon! Tant pis!" Je lui réponds: "Bon, ben tant pis! Dommage!" Il s'en retourne dans son bahut, mais ne part pas! Je décide, moi aussi de rester sur ce parking. Là, le balai des tapettes commence! Les trois voitures circulent lentement de long en large, appels codes/phares... Et ça tourne et ça retourne. Mon homme, imperturbable commence à tendre un truc sur son pare brise comme pour se protéger de ce bordel. Au bout de presque vingt-cinq minutes, les deux camions quittent le parking sans qu'apparemment ils n'y ait eu de rencontre... Soudain mon homme baisse sa vitre et me fait signe en criant: "Viens!" Surpris, je regarde autour de moi les trois ersatz dépités, qui remontent dans leurs autos. En attendant, je descends de la mienne, je monte dans le camion... Ça sentait le jules propret et la cigarette dans cette tanière. On discute un peu... Il me dit que son rideau pare-brise ne fonctionne pas. Il baisse celui de mon coté et me dit sans transition, en se déshabillant, qu'il aime tout. Il garde son pull et son t-shirt. Mais le slip, le bénard, tout ça, ça vire. Je vois dans la demi-obscurité une jolie paire de fesses. Ce joli monsieur s'allonge en travers sur sa couchette et me dit: "Fais moi ce que tu veux!" Je lui demande, ce qu'il aime, "Tout!" me répond-il, "mais moi, je ne fais rien." Bon alors j'approche ma bouche de sa cuisse gauche, puis droite; je remonte, lui caresse avec mes lèvres ses couilles, je papouille sa queue qui se met à gonfler. Elle n'est pas très grosse, mais bien jolie et odorante comme je les aime. Je goutte, son gland, et là j'entends "hummmm". Je quitte pour aller embrasser son ventre, ses seins. Il n'est pas poilu, un peu potelé, adorable... Je redescends sur son joli petit bâton, je descends sur ses couilles, je les gobe, et il relève les cuisses. Je lui demande: "Tu aimes qu'on te bouffe le cul?" Il me répond: "J'adore ça!" Je le voyais bien et là, l'extase... J'embrasse ce cul propre, je le lèche goulûment, j'enfonce ma langue et ce cul qui se dilate, s'entrouvre accompagné par des "hummm" de plaisir. Il m'arrête voulant d'autres caresses... Je remonte ma bouche pour lui sucer cette belle queue raide et lui caresser le ventre, les seins, les épaules. Il me prend les mains... Je les sens un peu rudes et dures mais les doigts bien faits... comme la queue que je lui astique. Je la sors de ma bouche, je la lèche, je l'embrasse. Il me dit: "Que c'est bon! Tu me régales." Je suis aux anges. Il envoie ses pieds en l'air et là je lui caresse les fesses, je lui lèche son trou comme un affamé. Il soupire et pousse des petits cris quand je lui masse, le haut des cuisses, les ischions. Je lui masse les fesses, je lui caresse les couilles, la queue, il est fou, il me crie d'arrêter. J'engage le pouce dans son trou du cul largement dilaté maintenant en lui suçant sa queue en même temps. Je retire mon pouce pour lui enfoncer à nouveau après l'avoir mouillé de ma salive. Je lui fous ensuite mon index, puis mon majeur, deux doigts en même temps. Il aime! Je tourne mes deux doigts doucement. Il aime vraiment ça, le coquin... Je retourne avec ma bouche travailleuse lui sucer son organe délicieux, à grand et petits coups de langue. Il n'en peut plus... Soudain, il jouit en criant "OOUUIIIIIIIII!" Sa rondelle se contracte, et il crache une semence blanche. Moi je le caresse avec les mains partout et je lui lèche ce cul avec lequel je l'ai fait jouir comme un fou. Un moment après, il me dit: "Tu m'as tué!" Je lui réponds que ce fut délicieux. Il est content (et moi donc!). Après la redescente, nous parlons de choses et d'autres. Il doit aller sur Paris... douze heures de route, mais en forme maintenant. Il est 21h30. Nous sommes restés plus de deux heures ensemble... Et je lui ai bouffé le cul pendant au moins une heure. Je suis aux anges et lui aussi. Nous nous reverrons peut être... Moi, voilà comment j'aime les mâles! En partant il m'a dit "Merci!!!" Alors ça les mecs, c'est le must! C'est super gentil, un macho qui vous dit merci comme ça, du fond de ses tripes, sincèrement. Rien à voir avec les tantes blasées que l'on peut rencontrer le plus souvent... Voilà, je vous raconterai peut être encore une histoire, car des moments et des mecs comme ça j'en connais quelques-uns uns qui laissent rêveur. D'ailleurs, tous, lorsqu'ils passent sur Avignon, me téléphonent pour savoir si je suis libre et si on peut se voir! Hé hé, moi ça me rend super content! Voilà Pleins phares à tous.
jori |
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