Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 06:43

 

En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui, chez-lui, trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne. Ce genre d' hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.

 

Élancé, bien bâti, des cheveux bruns courts et frisés, des yeux bleu clair et un sourire aguichant, je me trouvais aussi irrésistible qu’on peut l’être à 19 ans. Je ne ratais pas une occasion de lever des beaux mâles et de m’envoyer en l’air avec eux pour goûter pleinement toutes les voluptés que deux gars culturel (!) en chaleur savent se donner l’un à l’autre. La plupart des mecs que j’ai baisés étaient aussi sexys que remarquables baiseurs et j’ai passé de nombreuses nuits à me tortiller de plaisir, nu comme un ver, coincé entre les cuisses et les bras d’un mec superbe qui me fourrait le cul de sa pine vigoureuse en m’embrassant à m’étouffer.

Assoiffé, je descends au bar pour me rafraîchir d’une de ces délicieuses bières allemandes. J’ai revêtu mon jean le plus usé et le plus serré directement sur la peau pour bien laisser voir le galbe de mes fesses, et après avoir hésité à savoir si j’allais mettre ma queue le long de ma cuisse gauche ou de la droite — ce qui est très excitant pour ceux qui vous lorgnent les cuisses mais embarrassant pour marcher quand on bande — j’optai finalement pour la dresser contre mon bas-ventre ce qui me fait un renflement intéressant sur le devant. J'ai passé une chemise légère à manches courtes pour qu’on voie bien mes bras musclés et l'ai laissée largement échancrée sur le devant pour qu’un regard intéressé puisse plonger jusque entre mes pectoraux lisses et bien dessinés et apprécier la finesse de pêche et la coloration dorée de ma peau. Je voulais être sûr de mon effet et n'ai rien laissé au hasard.

Je n’avais pas l’intention de me rendre dans un bar gai, trop facile, car je savais d’expérience que ce n’est pas là qu’on rencontre les gars les plus intéressants. En fait, ce qui me faisait bander fort, c’était de séduire un jeune homme hétéro, marié et père de jeunes enfants qui trempe sa queue dans le respectable vagin de sa légitime. Rien que de penser à ce partage en secret, j'en frissonne.  Rien de plus délicieux que de baiser avec ces hommes qui brûlent secrètement de désir pour les gars mais n’osent s’affirmer comme homosexuels. Ils s’émerveillent de contempler le corps nu du garçon qu’ils vont baiser. Ils sont fascinés par ses petites fesses dures, ses hanches étroites, la fermeté de sa poitrine, et surtout, ils sont profondément troublés par la verge raide et puissante qui jaillit sans pudeur de son bas-ventre, orgueilleux outil du plaisir.

C’est pour leur fougue que je les apprécie surtout. Ils m’embrassent avec timidité d’abord, puis, une fois "les chiens lâchés", ventousent mes lèvres avec une ardeur et parfois une sorte de rage qui m’excite au plus haut point. Ils aiment me caresser longuement sur tout le corps, ravis de palper la chair et les membres d’un jeune mâle vigoureux qui se donne totalement à eux. Habituellement passionnés, tendres et amoureux, ils sont gourmands de plaisirs et veulent profiter pleinement de l’occasion de tout goûter. Si je me laisse volontiers sucer et enculer, j’adore par dessus tout pénétrer ces hommes, les dominer sexuellement, les faire râler de plaisir, ma longue pine allant et venant dans leur cul ouvert, souvent leur révélant pour la première fois l’indicible volupté anale. Ces hommes jouissent d’autant plus fort qu’ils sont rongés par la culpabilité et le remords et crient de plaisir en savourant ces voluptés rares et interdites avec un inconnu.

Tout en dégustant ma bière, je me réjouis à l’avance des plaisirs qui ne manqueront pas de survenir lorsqu’un homme, encore jeune (allez, on va dire la trentaine)en complet cravate, pénètre dans le bar. En plein mon type, pas très grand mais bien proportionné, costaud, brun, cheveux courts, moustache drue, il s’avance vers le comptoir pour commander sa bière. Je le fixe de mon regard le plus aguichant. Je nous vois déjà flambants nus, roulant sur un grand lit dans une étreinte passionnée. L’homme me regarde lui aussi. Il vient à côté de moi et commande sa bière. Je lui souris. Un peu d’affolement dans son regard, surtout qu’il a certainement noté le renflement dans mon jean. Il prend sa bière et son verre et va s’asseoir tout au fond du bar.

(J’étais un peu déçu de son apparente indifférence, mais je supposai que ce devait être une manœuvre. Il avait besoin de réfléchir un peu pour savoir s’il devait succomber à la tentation. Je l’observais du coin ce l’oeil et constatai qu’il me regardait fréquemment. Alors je me décidai, et prenant mon verre, allai à sa table. Je lui demandai en anglais si je pouvais m’asseoir. Il devint rouge jusqu’aux oreilles et fit un signe de tête). Je m’assois à ses côtés sur la banquette de façon à pouvoir toucher sa jambe avec la mienne. Il s’étrangle presque avec sa gorgée de bière. De mon côté, je le trouve de plus en plus charmant et j’ai vraiment le désir de me retrouver nu dans ses bras solides et me laisser baiser. Nous échangeons quelques mots. (Originaire de Hambourg, Kurt était en voyage d’affaires depuis quelques jours et devait passer sa dernière nuit dans cet hôtel). Tout en l’écoutant dans son anglais au fort accent germanique, je le dévore des yeux. De son côté, il plonge fréquemment son regard dans l’échancrure de ma chemise. Je frissonne d’excitation en imaginant ses mains sur ma poitrine et sa langue sur mes tétons. Aussitôt mes mamelons se dressent formant des grosses pointes dures. Mon gars commence à frétiller de désir et je place une main entre ses cuisses pour juger de la pression. Il était aussi raide qu’un étalon. Il repousse ma main sans doute parce qu’il ne veut pas qu'on nous remarque. Je lui propose d’aller prendre un verre dans sa chambre. Il se lève aussitôt et me dit le numéro. Sa chambre se trouve sur le même étage que la mienne.

Quelques instants plus tard, je l’y rejoins. J’entre sans frapper. Mon bonhomme est déjà tout nu, étendu sur son lit et il se masturbe d’une main tout en se caressant les seins de l’autre. (Il avait un corps athlétique, sans poils sur la poitrine, mais ses jambes étaient recouvertes d’une fine toison dorée. Dans sa main un beau membre de 6 1/2 environ, gonflé a bloc, frémissait d’impatience.) Je ferme la porte à clé et me place au pied du lit pour me déshabiller pendant qu’il jouit du spectacle. Je lui fais une sorte de strip-tease, enlevant mes vêtements lentement, me tortillant langoureusement, caressant mon corps à mesure que je le découvre. La vue de mes fesses semble lui plaire tout particulièrement.

Puis je grimpe sur le lit et me place à quatre pattes au dessus de lui. Il se met à me caresser les tétons pendant que j’effleure sa queue brandie avec la mienne. Notre excitation est telle que nous sommes tous les deux au bord de l’orgasme. Mon bel Allemand brûle du désir de me posséder. Soudain, il m’agrippe et me colle contre lui. D’un coup de reins, il se retrouve au dessus de moi et m’enserre fortement entre ses cuisses et ses bras. Il colle sa bouche sur la mienne ce qui déclenche immédiatement un orgasme foudroyant et simultané. Nous avons joui intensément tous les deux, frottant nos corps l’un sur l’autre, queue sur queue, grognant et gémissant de volupté pendant que le sperme jaillit à longs jets de nos sexes vibrants sous la force de l’éjaculation, répandant un lac tiède et gluant entre nos ventres collés. Après nous être un peu calmés, je lui lèche l’oreille en lui soufflant:

Now, let’s really make love!

— Oh yes, sweet baby boy !

Et le voilà qui recommence à m’embrasser, dévorant ma bouche, puis il suce mes seins ce qui me rallume immédiatement. Ensuite, il gobe ma queue et me la suce comme un expert. Lorsque je suis à nouveau bandé bien raide, il me supplie de l’enculer. Il s’agenouille sur le lit, la tête sur les avant-bras et le cul pointé en l’air. Je ne me fais pas prier. Ce gars-là a un des plus beaux culs d’homme que j’aie vus: les fesses rondes, pleines dures et lisses comme deux pains appétissants. Je les caresse avec les mains et la langue pendant qu’il souffle et geint doucement. Puis je glisse un doigt au creux de la raie. Aussitôt il se met à gémir et à se tortiller de plus belle. Je graisse son anus et lui donne un massage avec les doigts. Le gars se met à gémir de plaisir et à tortiller du cul comme un possédé. Alors que le gland pressant sur son anus entrouvert je vais commencer la pénétration, un petit accident: je sens monter une éjaculation précoce que j'arrive à limiter. Alors je le pénètre d’un coup, mon sperme servant de lubrifiant. Lorsque l’homme sent mon pénis s’enfoncer dans son rectum, il se raidit puis se relâche en lâchant un long râle de satisfaction pendant que je me glisse avec délice  dans son cul, puis je le fourre longuement, délicieusement, plongeant et retirant mon éperon de ce beau cul gourmand, jusqu’à ce que la jouissance me submerge à nouveau et que je décharge les dernières réserves de foutre dans ses fesses ouvertes.

Puis je lui rends la pareille. Je le remets sur le dos et suce sa belle queue jusqu’à ce qu’elle redevienne longue et dure, ensuite je m’assieds dessus, me l’enfonçant jusqu’au trognon entre les fesses pour savourer l’incroyable volupté de sentir un sexe mâle me remplir le rectum. Mon bel étalon tressaille, puis se met à jouer des hanches et du bassin comme un expert pendant que je caresse ses tétons renflés. Pour profiter pleinement du plaisir, il nous fait rouler sur le lit et me prend dans ma position préférée, sur le dos les jambes en l’air.

 J’aime me sentir écartelé et sans défense lorsque mon mâle darde son éperon dans la partie la plus secrète de mon corps. Je râle comme une bête lorsque son pénis gluant se fraie à nouveau un chemin dans mon fondement ouvert. Oh! l’indicible volupté, l’étourdissante sensation de se sentir éperonné dans les fesses, cloué au matelas par la pine vigoureuse d’un homme ivre de plaisir, de sentir son sexe aller et venir en moi, me tarauder inlassablement dans la recherche du plaisir absolu!

 

 Tout en me pistonnant vigoureusement, mon gars me caresse sur tout le corps, s’arc-boutant jusqu’à m’embrasser sur la bouche. Encore bandé dur je décharge une dernière fois lorsqu’il explose en gémissant et râlant de jouissance, giclant son foutre tiède dans mon cul frétillant.

Après une bonne douche prise ensemble naturellement, et où mon bel allemand n’arrête pas me peloter la poche et les fesses et de me caresser, nous allons souper de grand appétit.

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 Il me dit que c’était la première fois qu’il baisait réellement avec un homme et qu’il aimait ça au-delà de tout ce qu’il avait imaginé. Puis nous sommes remontés dans ma chambre cette fois où, nous avons passé une nuit de délices et de volupté, nus comme des vers, à nous vautrer l’un sur l’autre, à nous embrasser, à nous caresser et à éjaculer, chacun jouissant sans retenue de son corps et de celui de son partenaire. Il avait une façon de m’exciter les bouts de seins puis de les mordiller délicatement qui me faisait délirer de plaisir. Il a passé un bon bout de temps aussi la tête entre mes cuisses à me manger la poche et les couilles lorsque je devins incapable temporairement de bander. Il m’a fait jouir trois fois durant la nuit et au matin j’avais les tétons douloureux et ultra sensibles à force de me les faire tripoter.

Enfin, nous avons dormi quelques heures dans les bras l’un de l’autre, sa tête reposant sur mon épaule. Au petit matin, il a joui une dernière fois, allongé sur moi, son sexe entre mes cuisses en me répétant sans cesse «Ich liebe dich, sweet baby boy!» Puis il s’est retiré dans sa chambre pour sa toilette et s’habiller. Je ne l’ai jamais revu, il avait déjà quitté l’hôtel quand je suis descendu déjeuner.

Seul souvenir, son slip qui avait glissé sous le lit et que j’ai retrouvé en faisant ma valise. Je l’ai porté toute la journée gardant ainsi un contact étroit avec son sexe et son cul. Le soir, je me suis masturbé dedans en pensant à mon bel Allemand probablement en train de fourrer sa femme tout en pensant à moi.

Par LA SONDE VOYAGER - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 01:49

 

 

 

  randydave69: Luscious ginger!

 

  Dans sa tête, c'est quoi ?  

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  Les secrets des webcams...autant de mal que de bien !  

 

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  Aime-moi !  

  il a sauté le pas... chuttttttttt!  

boyboygirllove: What it feels like to have someone suck your dick who knows what this feels like first hand~

 

  On l'a persuadé à force de caresses. Il est heureux là. 

sluttymcnastyloads: dik’Lovin it

  Vers le lâcher prise  

universityofcock: militarybromo: That moment it goes in… Really is the best moment.

  Et dire qu'il n'arrêtait pasn de me repousser. 

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Par gayditor - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 00:57

 

"C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'a initié."

 

briefopinion: Gimme more!

 

Cher ami Je vous écris pour vous dire combien il est difficile parfois d'échapper au regard sournois et aux petites phrases assassines, tout ça parce qu'on a plus de quarante ans et qu'on aime un (ou plusieurs) jeune(s) pédé(s) d' au moins vingt ans de moins que vous. J'ai toujours aimé les jeunes mecs. Lorsque j'avais vingt ans, nous avions le même âge et ça ne gênait personne. Puis les années ont passé et mon désir est resté intact pour les mecs de cet âge-là. Aussi je me suis efforcé de "rester dans le vent".  Et qu'on n’aille pas me dire que c'est parce que j'aime le rôle d'initiateur! Au contraire, avec des plus jeunes, j’ai l'impression d'en apprendre tous les jours. Je me sens tellement bien avec eux. J’aime autant leur sérieux que leur insouciance. Ils savent baiser avec des préservatifs, par exemple. Pour dire la vérité, ce sont eux qui m'ont appris à baiser avec. Je ne savais pas. Je m'en foutais. C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'y a initié.

On s'était rencontrés sur les bords de la Loire. J'ai tout de suite craqué pour son joli minois, ses yeux noisette et ses cheveux gris-blond . Il faisait doux, c'était l'automne. On a marché un peu ensemble avant de se décider à aller chez lui. Il avait un studio pas loin. Comme dans la majorité des cas, mon âge ne semble rebuter que ceux... de mon âge. Antoine était fougueux, empressé, et j'étais loin d'être son premier coup. J'ai admiré sa dextérité à me dessaper avant même que j'enlève quoi que ce soit. Son agilité à ouvrir ma chemise, à me débraguetter, à s'agenouiller pour rendre hommage à ma virilité. Il ne m'a pas sucé mais m'a peloté les couilles avant de me palucher un peu. J'aime l'excitation de ces jeunes mâles en rut. Ils baisent beaucoup et sont, en définitive, les maîtres du jeu. Je l'ai caressé un peu, puis nous nous sommes retrouvés enlacés sur le lit. Il était temps de passer à autre chose de plus sérieux qu'une petite branlette.

Il avait envie de se faire mettre. Il me l'a dit comme ça tout de go: «J’ai envie de me faire mettre!» J'étais ravi. J’ai pris ma queue dans mes mains et j'ai fait signe au garçon de se mettre à quatre pattes. C’est là qu'il m'a dit qu'il ne baisait pas sans préservatif, et qu'il ne se faisait jamais mettre sans, non plus, quel que soit son partenaire. Sur le moment, ça m'a déconcentré et j’ai débandé. On a discuté un peu. Tout en discutant, il m’avait pris la queue entre ses doigts et me caressait très doucement le nœud. Il me racontait comment il aimait sentir une grosse bite bien lourde comme la mienne lui défoncer la rondelle. Je n'ai pas tardé à rebander entre ses doigts agiles. Il a dit: «Ferme les yeux!» J'ai fait ce qu'il disait, et j'ai senti qu’il glissait quelque chose sur ma queue, comme du lubrifiant. C'était doux. Je me suis abandonné à ses caresses. Soudain, une sorte de paroi dure a pris la place des doigts, et ma queue s'est heurtée à ce mur de chair. J'ai compris que mon amant s'était retourné et qu'il tentait de s'empaler sur mon vit. J’ai poussé ma queue et j’ai fait céder cette paroi musclée. En agrippant vigoureusement Antoine par la taille, je me suis enfoncé avec délectation dans son boyau. J'ai compris qu’il avait réussi à me mettre un préservatif, sans que je m'en aperçoive. Ça ne me faisait plus débander, au contraire. J'étais trop heureux de pouvoir défoncer ce beau trou de balle. Le préservatif ne me gênait plus vraiment, je l'oubliais presque. J'ai accéléré la cadence alors que je prenais la bite d'Antoine à pleine main pour la branler. Finalement, j'étais tellement excité que j'ai craché toute ma purée bien au fond de son puits d'amour, alors que mon jeune pédé se secouait le nœud en répandant son sperme sur les draps et en gémissant comme un chiot. Je me suis retiré et on est resté un bon moment sans rien dire, l'un contre l'autre. Comme il est étudiant, et j'ai connu autrefois la même situation, moi qui suis très à l'aise, je lui ai donné un coup de main. Il ne voulait pas, mais pour l'occasion j'ai joué les "papas".

Il m’a parlé du sida. Je me suis rendu compte que j'étais complètement inconscient. Après j’ai été faire un test, sur son conseil. Je suis séronégatif, par chance! Depuis que je connais Antoine, je ne baise plus que SSR. Je n'oublierai jamais que c'est un jeune gay de vingt berges qui a complété mon éducation et m'a, peut-être, sauvé la vie  ! .  

On se revoit de temps en temps et, sans arrière-pensée, il m'a présenté plusieurs de ses copains de fac. Rien que des mecs de son âge, complètement craquants avec leurs petits culs bien moulés dans les jeans. Même si je pourrais être le père de ces jeunes mâles, ils ne font pas attention à mon âge. Même si je me montre quelquefois généreux,  ils ne m'ont jamais pris pour un gigolo. Je me sens très proche d'eux et j'aime baiser avec eux, quand ils en éprouvent le désir (plusieurs copains d'Antoine, hélas! ne sont pas homosexuels). C’est comme cela que je me suis retrouvé avec trois jeunes étalons dans une soirée assez chaude, avec l’un qui me suçait la queue, l'autre qui me roulait une pelle, et le troisième qui faisait joujou avec mon trou de balle en m'enfonçant ses doigts dedans. On s'est bien défoulés. Je dois dire que j'aime faire l'amour dans la bonne humeur. J’ai coincé un de ces petits minets bien fermement et je lui ai fourré ma queue dans les entrailles. Après, j'ai senti que, par-devant, on lui happait la queue pour la lui sucer. On a passé la nuit, allant d'un corps à l'autre, c’était un vrai plaisir! Et on a fini par se faire des câlins, par se rouler des pelles, se mordiller la nuque, les seins, la peau des couilles. C'est incroyable comme ces jeunes pédés peuvent être tendres, avides de câlins et caressants sous des allures de gros durs parfois.

L’autre jour, l'un d'eux m'a dit qu'il n'osait pas être aussi tendre avec les mecs de son âge qu'avec moi. Question de pudeur, peut-être. Dans tous les cas, ce n'est pas moi qui vais m’en plaindre! Baiser avec des hommes de mon âge ne m'attire pas. Je crois que ça m'emmerde. Et si ça m’arrive, je n'ai qu'une hâte: retrouver mes petits mâles de vingt ans pour d'autres jeux coquins. Finalement, je voulais raconter tout cela, pour vous dire que je suis un mec de quarante-sept ans qui aime baiser avec des jeunes, et que j'aime autant ça qu'eux aiment baiser avec moi. Et que j'emmerde une bonne fois pour toutes tous les grincheux qui me font des réflexions, qui me traitent de micheton ou de pervers. On a l'âge de son désir et le plaisir qu'on peut offrir à l'autre, c'est tout.

 

Urlimit

 

 

Par urlimit - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 avril 2 08 /04 /Avr 05:55

J'adore qu'on m'aide, c'est pourquoi je reposte avec plaisir les

articles, photos, embed codes qu'on m'envoie

It’s these mornings I live for. It’s what gets me up early for work knowing it will help provide for us. It’s what gets me through another weekend I’m away or he’s stuck in the library. What gets me through a weekend with friends or family in which we can’t find real alone time. Those mornings when he gets up first, turns on the heat and starts the coffee. And then opens the blinds because he knows I don’t like sleeping in on a beautiful weekend day we can spend together. And then comes back to bed, gazes at my face and wakes me up with his kisses. Sure, his footsteps coming back into the bedroom wake me up each time, but I enjoy making him take the initiative. Because when things heat up and get a bit risque, I can always tell him “hey, you started it Ace.”

Je tiens à dire que ce que je poste c'est avant tout pour mon

plaisir personnel et égoïste.

Je n'ai aucune prétention à "enseigner" ou apprendre quoi que ce

soit à aucun de mes butineuses (visiteurs). Quand j'ai une joie dans

un domaine qui retient mon attention, je le note pour moi-même et

le blog est ouvert aux yeux de tous.

Par claudio - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 avril 2 08 /04 /Avr 05:24

 

  I give him 30 seconds until he has the underwear off and that cock down his throat 

 

 

 

 

 

 

 

corbeauxtube: Thick cock in = precum out.

 

  Whenever we work out together, it’s dangerous, one way or another. If we’re both at the gym, he’ll step right in front of my treadmill and begin stretching, showing off his arms and chest through his tank top, and pushing his ass right towards me while “stretching out” his calf muscles. I’ve tripped and stumbled more than once when this happens, always drawing a wink and chuckle from him. Or when it’s nice out and we go for a run through the quiet state park reservation. Once we get to a clearing and jog by some soft grassland, he’ll pivot down and tackle me into the ground. By the time we get back to the course, we’re both usually a bit muddy and sporting wood. It’s the same whether it’s after the gym, the park, or the soccer league. After we get home all sweaty, energized, and horny from seeing the other hot guys in their workout gear, we head straight for the bedroom. But this sex isn’t drawn out and cuddle-friendly, although we love it that way too. This sex is raw, pull-your-shorts-down, arch-your-back-and-take-it-Ace sex. And it’s awesome. And our friends wonder where we get the motivation to workout as much as we do. If they only knew.

 

  

 

  randy-dog4master: http://randy-dog4master.tumblr.com

 

 

 

 

Par visioner - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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