An active white top fucks a gay Indian bottom young man
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Moi, je sais que je suis trop conscient pour m'abandonner comme ça quand il vient se blottir. Mais c'est pour son bien aussi.
Le plaisir ça se domine et la conscience en éveil le décuple. Regardez-moi
lui ménager son plaisir... Ne pas le perdre de vue un seul instant.
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Ci-dessous Ouin je n'aime pas beaucoup ça. Certes il s'est laissé enculer en moins de deux...on
n'a même pas pris le temps de se déshabiller entièrement...mais ça vous a un arrière goût d'irréflexion presque de viol de BRUSQUE anihilation de la volonté...les regrets pourraient n'être pas loin...
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C'est ainsi en usant de mon pouce que je lui inculque les rythmes de la fellation. C'est comme pour tout : le plaisir naît de la répétition c'est bien connu :
Cette manœuvre ci-dessous n'échoue jamais . Pendant les caresses préliminaires je glisse
lentement mes doigts sous son boxer . Tout d'abord je fais glisser mes doigts le long
de la ceinture, puis mes doigts s'enhardissent.
Après deux minutes de ces frôlements,
c'est son trou que je frôlerai lentement . Son corps commencera à se presser vers moi,
qui suis là pour recueillir le fruit de cette approche. Les profonds gémissements
de sa gorge m'indiquent qu'il sera la glaise que je pétrirai dans mes mains le reste de la nuit.
Vous voyez bien qu'il n'a pas résisté. Ses gémissements s'amplifient.
Il est à moi...
J'ai soin d'avoir une propreté contrôlée, hygiène, sans plus. Le parfum
estg nuisible.
Dès l'instant où mon sexe a frôlé ses lèvres,
bouche et narines affolées,
il a fermé ses yeux et a exhalé un beau soupir d'aise. le stress l'avait quitté, remplacé par une ardeur calme et une faim de mon amicale tendresse. Si c'est cela qui le rend heureux, je suis fier d'en avoir le contrôle .
Les langues fourrées et autres feuilles de rose n'ont de sens que pour achever le travail
d'enivrement
il faut qu'il veuille être dévoré par le satan auquel il est prêt à se livrer. Don Juan
est ce MAL irrésistible auquel on s'abandonne. Le mal doit être présent dans ces
moments de reddition.
Je veux que ce soit lui qui, n'en pouvant plus de désirs et des caresses que
je lui prodigue, me supplie de le prendre. Je lui dis alors de s'empaler lui-
même...
fusion contrôlée...pour notre plus grand bonheur.
Il y a grand plaisir à vous voir vaincus, brisés et heureux MES chéris.
D J, marchand de bonheur qui respecte ses victimes...
Montage photo...d'un bain idéal et DIVIN
J'ai dit à Sven : — Je n’ai pas envie de voir des églises et des monuments tout l’après-midi, j’ai regardé sur internet, j’irai au hammam.
— C’est intéressant, je n’y suis jamais allé. Je n’aime pas trop les visites culturelles. Pourrais-je venir avec vous, j’ai pris un maillot de bain.
— Ce ne sera pas nécessaire, mais, rassurez-vous, nous ne serons pas nus. Permettez-moi de vous inviter.
Nous avons pris un PESTEMAL (vêtement turc) et nous sommes entrés dans le vestiaire des hommes, nous étions seuls. J'ai dit à Sven :
— Voilà, nous pouvons nous déshabiller. Il faut enlever les sous-vêtements et mettre le pestemal.
Sven avait un caleçon blanc, mais il a mis le pestemal autour de sa taille avant de l’enlever.
Nous sommes montés au premier étage. La première station était le sogukluk (bain de vapeur aux herbes à 35° C). Nous nous sommes assis quelques minutes, puis nous avons fait couler de l'eau sur notre corps avec une coupelle argentée. La deuxième station était le kese (gommage du corps avec un gant). J'ai tout de suite enlevé mon pestemal. Sven s'en est étonné:
— A-t-on le droit d'être nu?
— Dans cette salle, c'est autorisé.
Sven a hésité, puis s'est aussi dénudé. C'était la première fois que je le voyais entièrement nu. Il était mince, avait les cheveux blonds assez longs, les yeux bleus. Son pénis était mince et long, avec un long prépuce. Il n'était pas rasé. Il avait déjà un tatouage sur l'omoplate gauche, une sorte d'oiseau stylisé. J'ai fait semblant de me concentrer sur le gommage, mais je le regardais furtivement.
La station suivante était le sicaklik (bassin central avec une hauteur sous plafond de 13 mètres dans de l’eau chaude à 35° C). Puis ont suivi le bingul (bain de vapeur chaud aux herbes à 45° C) et le lif (de nouveau un gommage, mais avec du savon).
Nous nous sommes reposés quelques minutes sur des pierres chaudes. Ensuite, nous avions un enveloppement aurhassoul (argile minérale naturelle extraite dans les montagnes de l’Atlas marocain). Nous étions quatre dans une pièce, un couple nous avait rejoint. Une fois la lumière tamisée, nous pouvions nous dénuder et appliquer le rhassoul sur notre corps. Après une douche, la lumière s'est rallumée. Nous sommes de nouveau montés d'un étage, nous nous sommes séchés et avons pris un drap sec. Nous avons bu un verre de thé.
J'avais encore réservé le bain du sultan, un bain privatif de 20 minutes. C'était l'heure de vérité, j'allais être seul avec Sven. Nous sommes entrés dans la salle de bain. La masseuse nous a dit :
— Les baignoires se rempliront automatiquement. La lumière restera tamisée jusqu’à la fin, environ 20 minutes.
Elle a fermé la porte et nous sommes restés seuls. J’ai enlevé mon pestemal et j'allais entrer dans la baignoire. Par contre, Sven ne bougeait pas. Il m'a soudain dit :
— Et là, qu’est-ce que je suis sensé faire, bander ?
J’étais surpris. Il a ajouté :
— Je pensais que ce local était réservé aux relations intimes.
— Oui, c’est certainement le cas, mais je ne comprends pas.
— Vous vous êtes bien moqués de moi, ton ami le guide et toi.
— Que veux-tu dire ?
— Ma mère est allemande, j’ai tout compris vos messes basses lors de la distribution de la clef. J’ai aussi compris à la caisse que tu avais réservé ici depuis cinq jours.
— Bon c’est vrai, je voulais que tu viennes avec moi au hammam et te voir nu. Et toi, pourquoi es-tu quand même venu si tu avais tout compris?
— Je voulais aussi me moquer de toi et jouer au naïf.
— Bon, et maintenant, que fait-on ? On se fait la gueule pendant le reste du voyage ?
— Ou on baise ensemble ?
— Es-tu gay ?
— Je ne sais pas vraiment, je pense que oui. Je t’avoue, je n’ai encore jamais eu de relations avec un homme, ni avec une femme d’ailleurs.
— Veux-tu essayer avec moi ?
— Avec toutes ces discussions, nous n’avons plus que 15 minutes, baignons-nous, on verra plus tard.
Nous avions ensuite un massage à l'huile de 50 minutes. Je conseillai à Sven. qui n'avait jamais eu de massage, de rester très détendu. Nous nous sommes couchés sur le ventre, puis sur le dos. À la fin, Sven m'a dit:
— Comment fais-tu pour rester si calme? Je bandais presque, j'espère que le masseur n'a rien vu sous la serviette. Cet endroit est si sensuel.
Nous sommes encore montés au dernier étage, le camekan(salle de repos) et nous nous sommes reposés pendant une demi-heure. Je pense que Sven s'est masturbé, mais il l'a fait discrètement. C'était évidemment interdit. Il avait cependant une tache suspecte sur sa serviette. Nous sommes redescendus au vestiaire et nous avons quitté le hammam.
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