Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 20:20

 

vinemales: Fit pornstars resting a bit (one is still hard!) (deleted vine, saved gif) - Reblog // Please follow vinemales.tumblr.com // Over 50.000 followers // Hot naked gay vines  

 «Quel que soit ton partenaire et la qualité du rapport, c'est surtout tes propres sensations que tu perçois. Jamais tu n'es si proche et si à l'écoute de toi-même.» (Paul)  

 

  «C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)  

 

«C'est difficile d'isoler la sensation de pénétration de tout ce qui l'entoure. C'est un tout. Il y a aussi les odeurs, les bruits ( gémissements, supplications, halètements, ...etc). » (Julien, 34 ans)

    «j'ai rencontré Ralph, le premier mec avec qui j'ai vraiment fait l'amour. Il avait 25 ans, et une certaine expérience et la première fois que nous avons baisé, j'ai été un peu surpris par ses réactions. ...costaud et sportif, aucun signe ne laissait penser qu'il était gay...[,,,]. C'est pourquoi sa transformation quand on s'est retrouvés dans son lit m'a étonné. Au fond de lui, il était doux et caressant. Presque féminin. Après nous être embrassés et roulés des patins en nous tripotant sur toutes les coutures, il m'a chuchoté à l'oreille qu'il adorait qu'on lui bouffe la rondelle et qu'on le prenne. D'un air de me demander si ça me plaisait. II ne pouvait pas tomber mieux dans mes fantasmes puisqu'il m'offrait son cul. Je l'ai allongé sur le ventre et l'ai admiré. Ses épaules larges et musclées, ses hanches étroites et ses fesses menues et parfaitement rondes. J'ai fait glisser ma langue tout le long de la colonne vertébrale et j'ai mordillé ses reins. Ils étaient recouverts d'un très fin duvet qui leur donnait encore plus de velouté. Il a frémi quand j'ai promené mes lèvres sur ses fesses. La peau était tiède et d'une douceur fabuleuse. La chair ferme et compacte, parcourue de frissons.

 

J'y ai enfoncé ma bouche. Je l'ai mordue. J'ai léché toute la surface des deux globes en dégustant leur saveur. La raie m'attirait irrésistiblement mais je voulais prendre mon temps. M'habituer à l'idée que j'allais réaliser mon rêve. Ralph a poussé un gémissement quand ma langue s'est infiltrée entre ses fesses. Il a cambré les reins ce qui a eu pour effet de les écarter sensiblement l'une de l'autre. J'ai plongé ma bouche dans la faille. Elle était moite, brûlante, délicieuse. Tout son corps a sursauté quand la pointe de ma langue a touché les fines muqueuses qui se sont nerveusement contractées. Il a levé ses reins pour mieux s'offrir. Une bouffée de passion m'a emporté. J'ai collé mes lèvres sur le trou et j'ai dévoré sans retenue sa chair la plus intime. Une plainte de plaisir montait de sa gorge tandis qu'il balançait ses reins de droite à gauche. De mes deux mains crispées j'ouvrais ses fesses le plus largement que je pouvais. Excité à la fois par le plaisir que je donnais et par celui que j'éprouvais. Il est presque impossible de décrire l'exaltation qui était la mienne. Cette volupté qui me submergeait et que j'éprouvais par tous mes sens. Les odeurs et les saveurs, la consistance de la chair souple et vivante qui fondait dans ma bouche. Les petits cris de Ralph. Les mouvements de son corps habité par une tension qui montait graduellement.    

  Finalement, il a dit d'une voix haletante : «Prends-moi maintenant !»

J'ai promené mon gland sur l'orifice qui palpitait. II geignait à voix basse, abandonné à mon bon vouloir. Je voulais voir ma bite s'enfoncer dans lui et le prendre. Je voulais le posséder. Il a poussé un cri quand mon noeud a franchi l'anneau. Il m'a semblé que je m'engloutissais dans un paradis de douceur chaude et onctueuse. Mon pubis s'est écrasé entre ses fesses. Il était à moi. Mes yeux ne se rassasiaient pas de la beauté de ce cul écartelé et empalé, de la vision de ce trou dilaté dont la peau luisait sous la tension que ma verge lui imposait. Ralph m'encourageait à le bourrer à fond, à venir dans lui encore plus fort encore plus vite. Les muscles de son anus se serraient spasmodiquement autour de ma queue.

Je l'ai pilonné pendant de longues minutes avec le sentiment d'une jouissance très vive mais stable. Comme si j'avais pu me retenir indéfiniment d'éjaculer. La réalisation de mon rêve d'adolescent était encore plus belle que mon rêve lui-même. J'aurais voulu qu'elle ne s'arrête jamais. C'était une volupté si forte qu'elle dépassait tout ce que j'avais connu jusque-là.

À la suite de cette première étreinte nous avons passé toute la nuit à baiser dans toutes les positions et de toutes les manières possibles. Nous nous sommes sucés, léchés et pénétrés avec nos doigts et notre langue. J'ai bu le sperme de Ralph et il a bu le mien. Mais j'en revenais toujours à son cul et lui souhaitait avant tout se faire enculer. Nous avons connu du premier coup une jouissance partagée et entente parfaite.

Sur le matin, alors qu'on était tous les deux fatigués par nos excès, il a exigé que je le prenne une dernière fois. J'ai mis longtemps à bander malgré l'habileté avec laquelle il me suçait. Mais moi aussi je désirais me régaler encore de son cul. Il me l'a offert étendu sur le dos et les cuisses repliées contre sa poitrine. Son anus entrouvert par nos précédentes unions m'a aspiré avec une délicatesse qui m'a tiré des soupirs de bonheur. Notre dernier orgasme a été simultané.

Après Ralph j'ai eu d'autres amants. Beaucoup m'ont apporté autant de plaisir que lui mais je n'ai plus jamais ressenti avec autant d'intensité cet éblouissement de la découverte. C'est pour ça que l'image de celui qui m'a donné son cul pour la première fois est restée si vive dans ma mémoire. D'autres ont été plus tendres ou plus habiles mais ils n'étaient pas les premiers !»

extrait de         http://www.gai-eros.org/w/index.php/J%27aime_le_cul_des_hommes

 

TEMOIGNAGES D'AUTRES ACTIFS QUI COMPARENT LEURS SENSATIONS       

 

enquête en forme de commentaires

«Je suis aspiré dès le passage de l'anneau et là, même si le monde continue d'eixster je n'ai conscience que de ce qui est au bout et autour de ma bite.» (Pascal)  

 

«Sans préservatif, chair contre chair, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances et comment ton partenaire ressent les mouvements de ton pénis...» (Julien)

 

«La pression, la chaleur, la manière dont il joue avec... C'est ce qui fait toute la différence. Caressant ou pas, coulissant ou pas. Plus ou moins lubrifié : trop, ce n'est pas plus confortable, tu es dans un aquarium, tu ne sens plus rien, tu as peur de débander ; pour garder le contrôle tu touches le point de contact entre anus et pénis.» (Pascal)

   « Aucune pénétration ne ressemble à une autre. .» Sauf que deux images reviennent systématiquement dans nos premières impressions : celle d'un monde clos : rien autour, peur de faire attention à autre chose, concentration. c'est un monde complètement fermé, où, bien arrimé à l'Autre,  tu marches seul.» (Paul, 47 ans) 

 

       

«Ce qui est vertigineux si le gars en veut bcp, c'est l'idée de pouvoir toujours aller plus loin, on a la sensation d'être dans une gaine où on peut rentrer une grande longueur, illusion que maintiennent tes allées et venues, tes entrées et sorties  .» (Julien)

 

«Ce n'est pas une grotte... Plutôt un cocon humide genre le mollusque, le coquillage.  C'est peut-être pour ça que c'est si rassurant l'odeur d'un jeune cul qui se livre,  émouvant même.» (Emmanuel, 52 ans)

 

«La pénétration, c'est une plongée en apnée. Tu prends une bouffée d'air avant, et tu y vas. Tu entres dans un univers liquide qui t'aspire, comme un aimant. lui, il s'ouvre un peu comme une fleur, et là tu exultes. ...» (Pascal)

 

 

  Ceux qui vous accueillent le mieux...Mieux ?  ils font quoi au juste  ? Au moment de la pénétration, la sensation d'être à l'étroit, bien sûr. Mais c'est plus complexe qu'on l'imagine. Certes il y a les «mécanistes», mais aussi les partisans de la sensation globale. Comme ils le font tous remarquer: «La taille du sexe a son importance, mais ça ne fait pas tout. Comme pour vous, non?»

«Plus c'est serré mieux c'est. Il y a des culs où on se sent comme aspiré à l'intérieur. On se sent plus désiré même si au départ c'est  un peu douloureux pour LUI. S'il sait bien y faire il va vous faire des séquences où il vous serre et vous lâche, alternativement» (Julien)     

 

«Plus ou moins étroit, moi je m'en fous. Ce qui compte c'est comment on fait l'amour ensemble : est-ce qu'on se lâche ou pas...L'abandon et la perte de soi peuvent parfois aller très loin. Même avec la même personne, c'est toujours différent. Aimer son partenaire c'est un plus. Mais je crois aussi à l'histoire d'une seule nuit inoubliable, "one shot". » (Bernard)

 

«Moi j'adore les culs bien épilés, doux, accueillants. Et sentir l'humidité qui monte, comme une vague. Il y a des culs qui vous aiment, qui aiment votre sexe. Ils vous aimantent, et on les quitte à regret... J'aime de plus en plus le cul d'homme. Un partenaire faussement silencieux, qui s'ouvre, se ferme: c'est lui qui fait tout...» (Emmanuel)    

   

 

 

 

 

Par Divers - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 20:13

         

Un trio avec Thierry et son pote. ça frise le hard malgré le consensus évident...   

 

 

     « Thierry posa sa main sur mon crâne et me baisa la gueule en m’encourageant:

— Ouais, ouais, vas-y ma chienne... Pompe ton maître!

Je m’appliquais à mon pompage. Ma langue jouait avec le gros gland dur.

— Ouais! Aaah, c'est génial!

Il donnait de grands coups de reins pour envoyer son gland au fond de ma gorge. Il encouragea son pote à pousser sa queue à côté de la sienne. Je me suis donc retrouvé avec deux bites en bouche. J’étouffais presque et j’avais la bouche en feu avec ses deux queues gonflées de désir. Le limage de ma bouche dura plus d’un quart d’heure et Thierry se retira pour s’occuper de mon cul. L’autre continua et, très excité, il lâcha ses giclées de plaisir chaudes sur mon visage.

— L’autre trou maintenant! me dit Thierry doucement.

Ses mains me palpaient les fesses et me titillaient l'anus. Je n’en pouvais plus d’excitation. Je me laisse faire et il me pénétra d'un doigt puis de deux et de trois.

Pendant qu’il déroulait une capote sur sa bite, j’en ai profité pour m'enduire l'anus de gel à l'eau. Il me coucha sur le dos et remonta mes jambes pour me plier en deux. Sa grosse queue chercha l'entrée de mon cul et s’y planta sans ménagement. Mon cri l’arrêta. Il m’avait quasiment déchiré le cul.

— Putain, j’ai trop mal!

— Désole! J’y ai été un peu trop fort... Excuse-moi...

Il était ressorti aussi vite et me donnait des bisous sur le visage pour sécher mes larmes. Il attendit un moment puis me dit:

— On va arrêter, si tu veux!

— Non! Laisse-moi juste reprendre mes esprits et on va reprendre... Je te veux en moi.

Au bout de cinq minutes, me mettant à quatre pattes, j’ai saisi sa queue derrière moi et je l’ai guidée vers mon petit trou lubrifié. De cette façon, je menais les travaux d’approche. J’ai écarté délicatement mon anus en poussant sur mon sphincter et j’ai senti l’avancée de son gland en moi. Il me laissait diriger la manœuvre. Lorsque mon conduit fut habitué à son calibre, je lui dis:

— À toi, maintenant, vas-y!

Il entra en moi un peu plus. Je poussais vers lui. Mon anus s'ouvrit lentement. Il s’installa.

— Eh, dis donc, y’a une troisième bite à satisfaire, mon lapin!

Il appela son deuxième pote qui me fourra sa queue en bouche.

— Voilà ce que j’appelle une bonne salope! Deux trous fourrés!

Comprenant que je n’avais plus mal, il fit entrer sa grosse queue un peu plus encore, jusqu'à la moitie de sa longueur. Je sentais mon petit trou s’élargir et se détendre. Il me disait des cochonneries et j’étais excité comme une petite salope.

— Tu aimes ça, hein?

J’ai lâché un moment la bite de l’autre pour répondre.

— Oui, j’adore sentir ta grosse banane dans mon cul!

Mon anus se relâcha au maximum et son gros membre m'écartela délicieusement en s'enfonçant lentement jusqu'à la garde.

— Ça va? demanda-t-il.

— Ton engin est bien gros en moi. C’est super! Ne bouge pas trop... Laisse-le là pour m'habituer...

— D’acc!

Je poussais vers lui mes fesses cambrées. Il claqua alors ses deux mains sur fesses et en s'accrochant à elles, s’activa dans mon cul.

— Tu aimes que je t'encule comme une petite pute?

— J’adore.

Il poussa toujours plus fort avec sa queue dans mon cul et ordonna à l’autre de me défoncer la gorge.

Juste avant de gober cette autre bite et de me taire jusqu’à la jouissance, je lui ai lancé:

— Tu m'encules trop bien, j'aime ta queue, elle est grosse et performante! Thierry t’es un dieu!

Il me saisit aux hanches et m'enfonça puissamment son énorme bite dans le cul en frappant fortement à l'intérieur. Je couinais de plaisir en suçant l’autre mec. Je sentais le plaisir entrer dans mon anus, monter le long de ma colonne vertébrale pour atteindre le bas de ma nuque et m'envahir tout le corps.

— Putain, Thierry, t’es déchaîné! Tu l'encules trop bien cette salope! Elle a la gueule collée à ma bite!

La séance se termina en apothéose. Le sperme de Thierry et celui de l’autre m’arrosèrent avant que le mien ne s’écrase sur mon ventre.

— Ben, mon cochon, t’es servi! me lança Thierry!

— J’adore le sperme...

— Ouais, je constate que tu es vraiment une pute à jus!»

  extrait de    http://www.gai-eros.org/w/index.php?title=Sex-shop:_Surprise&stable=1 

    montée vers l'extase  A écouter les témoignages ci-dessous , l'extase semble plutôt coïncider avec le tout début: cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre.

 

témoignages en forme de commentaires 2

«La pénétration, c'est un aboutissement. En termes de chasse, c'est le coup de fusil... (Rires.) Pour en arriver là tu as pataugé des heures dans la forêt. Et enfin, ce n'est plus elle qui te balade, c'est toi qui décides! Surtout avec un nouveau partenaire, c'est une jubilation. Une fierté. Ç'a à voir avec la domination, la virilité. Le mec te fait confiance, il s'offre. Quand tu entres en lui, tu peux le sentir s'ouvrir... Tu ressens forcément une forme de puissance. Tu deviens machiste même si tu n'es pas macho. Inconsciemment tu te dis: "C'est moi le mec, je vais le prendre, le déchirer."» (Pascal)

 

«Qu'on soit dans la séduction du jour ou avec un compagnon qu'on connaît depuis quinze ans, c'est toujours l'aboutissement. Le moment intense où on passe à la fusion, à l'alchimie. L'essentiel pour moi, c'est de retarder le plus possible cet instant "le glissement progressif du plaisir"... Et là, à l'instant T, ce qui est intéressant c'est la résistance. La sensation de ce corps fermé qui s'ouvre (qu'on ouvre). Et ce n'est jamais gagné. Ce que j'adore c'est entrer et sortir juste le bout de mon sexe. Rester à l'orée, de LUI et de moi. Un jeu très jouissif: j'y vais, j'y vais pas. Un jeu sur le temps. Et lui qui halète, gémit, souffle dans ton cou » (Paul)

 

«C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars. Jusque-là, tu es dans le jeu de séduction, dans la démonstration, tout est exacerbé pour conquérir l'autre. Et soudain tu es moins dans le jeu. C'est là que tout commence (ou tout avorte).» (Bernard)

 

«On obtient de la partie adverse un truc sacrificiel. C'est la même symbolique depuis des siècles..» (Edouard)

 

«J'adore regarder mon sexe qui entre en lui, c'est toujours aussi magique pour moi. Observer la vigueur de mon sexe qui le pénètre. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe devenait extérieur à moi, un être à part entière.» (Emmanuel)

 

une fois installés l'un dans l'autre ? Là commence le «pas de deux», une expression qui revient souvent. La pénétration, c'est comme une danse où chacun, tour à tour, invente le rythme. Finie la phase de domination. Place au dialogue, à l'échange, au partage.

«Qu'est-ce que je ressens, alors? Du plaisir! (Rires.) C'est génial d'être en communion, noyé dans l'autre, en fusion. Hyperattentif au  moindre tressaillement... Il peut arriver aussi qu'on s'ennuie. Qu'on ne jouisse pas (c'est d'ailleurs très mal pris par l'autre...). Il m'est déjà arrivé de bâiller, et même une fois de m'endormir (dans le désert d'une histoire perdue). Ce n'est pas juste un truc mécanique, être dans un mec silencieux qui ne souffle même pas... Le plaisir n'est pas garanti. Tout dépend de la manière dont les corps s'entrechoquent et de ce qui se passe dans l'esprit... Parfois c'est ton passif qui reprend le dessus, qui impose les choses. Tu peux te faire baiser... (Rires.)» (Bernard)

 

«Dans la tête, c'est toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Moi je suis un cérébral. Parfois me traverse l'idée que je coupe l'autre en deux. Je suis le marteau de Thor à moi tout seul. (Rires.) Parfois c'est le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens... Et cette humidité... Tu mesures l'envie, la correspondance. Tout le reste c'est un jeu de contractions. Pourquoi croyez-vous qu'on vous tape sur les fesses, qu'on vous tire les cheveux, qu'on donne un coup de reins plus fort? C'est pour obtenir une contraction. (Rires.) Parfois on se sent comme aspiré. C'est délicieux. » (Edouard)

 

«Quelle douceur d'être dedans! Ce n'est pas seulement moi qui le pénètre mais lui qui m'accueille, me veut en lui, positionne ma bite sur sa corolle... Mon plaisir est très lié à l'envie qu'il a de moi. Il y a une sensation que j'arrive à isoler, très agréable: lorsque mon pubisvient cogner contre ses fesses et mes couilles viennent toucher les siennes. J'ai l'impression alors que son anus m'aspire et que je pourrais aller très, très loin... Les mouvements aussi entrent en jeu. Comment il bouge. J'ai plus de sensations lorsque les mouvements sont lents. Quand le gars demande un va-et-vient plus violent, le plaisir est plus psychologique. C'est sa façon de s'abandonner qui me comble. Quand je le sens trembler, frissonner, miauler, crier, j'ai toutes les sensations décuplées.» (Julien)

 

«Plus je vieillis, plus j'adore rester, sans forcément aller et venir en lui. Il m'est même arrivé de ne plus savoir qui était en qui. J'ai parfois l'impression d'être totalement passif. Un jour un mec m'a dit: "C'est moi qui ai ton sexe." C'est ça, oui: comme un partage absolu de ma bite...» (Emmanuel)

 

«J'adore poser ma main sur son ventre quand je suis en lui, pour me donner l'illusion de sentir mon pénis aller et venir en lui.» (Pascal)

 

«C'est la trêve du malentendu. L'osmose. Une alchimie digne d'un parfum. Etre dans un mec, ça évoque pour moi quelque chose de parfait.» (Sébastien, 35 ans)

 

«C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)

 

Et l'orgasme, alors? Non, ce n'est pas forcément le moment le plus fort. Du moins pas le leur: la sensation est tellement fugitive, déplorent-ils tous... Mais notre plaisir à nous, ça oui, c'est une sensation qu'ils adorent. Et sur laquelle on ne les trompe pas.

 

«Dans le ventre d'un mec, tu détectes tout: s'il s'ennuie ou simule le plaisir ou l'orgasme. Comme si ton sexe était un vrai sonar. (Rires.) Il y a une contraction que j'ai appris à repérer: de légers spasmes, hors contrôle. Ça, c'est la jouissance.» (Pascal)

 

« Ce que je préférais, c'était LUI au-dessus de moi qui n'avais plus  qu'à l'aider à se maintenir. J'adorais cette participation.» (Julien)

 

«Avec mon partenaire, je repère le moment où il va jouir, et je peux, en me calant sur ses contractions, jouir à l'unisson. Ces moments-là, c'est de la téléportation.» (Sébastien)

 

On pourrait les écouter des heures, mais il faut bien conclure. Alors, «post coitum anima triste»? Pas vraiment, non. C'est plutôt un état de béatitude qu'ils décrivent. Et encore un cliché qui vole en éclats: dans l'ensemble, ils aiment bien rester dans le mec qu'ils enculent et savourer, dans une semi-conscience, le calme après la tempête.

 

«Je suis toujours bien là, je n'ai pas envie d'en sortir... Ce qui est jouissif avec celui qu'on baise, c'est jouir en lui, rester et s'endormir. L'un dans l'autre. J'adore particulièrement somnoler en chien de fusil, mon sexe dans son cul.» (Julien)

 

«Pour moi la pénétration a un sens un peu mystique. Avec mon nouveau pote de sexe  j'ai envie d'être en lui tout le temps. De dormir dedans...même débandé... Malheureusement, en se retournant, on finit toujours par se séparer.» (Emmanuel)

   

 

«C'est mon moment préféré. Avec moi, ce sont presque toujours les passifs qui finalement se séparent... (Rires.) Surtout ne plus bouger, fermer les yeux, ne pas parler. L'animalité du nid est là, dans ce moment de plénitude, de calme, après le jeu, la fièvre, éventuellement le combat. Peu importe où tu te trouves, ce qui se passe autour: tu ne sens plus les limites de ton corps, tu es en suspens. Et en sécurité. Peut-être parce que c'est un retour aux sources... Dans ces moments-là, quelqu'un entrerait, je ne réagirais pas. Plus rien n'existe autour. Peut-être même plus l'autre, qui devient une part de moi. C'est un moment très égoïste, en fait, où tu profites pleinement de toi. En mode relaxation. Ç'a à voir avec la spiritualité, avec une sensation mystique.» (Paul)  

  ____________________________________________________________________________________________

   

cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre

dippinfan: Visit the archives the next time you’re test-firing the meat missile:http://www.dippinfan.tumblr.com/archive

 

le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens

gaymanpornblog: I FOLLOW BACK GAY PORN BLOGShttp://gaymanpornblog.tumblr.com/
                                                           

 

C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars

 

 Comme si ces beaux témoignages n'avaient pas suffi, quelques photos 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

__________________________________________________

 

FIN

 

 

 

 

 

Par récit de charles - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 10:12
  les gens ne vous disent pas tout...
 
1 oui, moi aussi je suis naïf ! :D 
 
  lu dans Yagg 
J’ai découvert par hasard après trois mois de thérapie que ma psy faisait partie de la «Manif pour tous». Ma psychothérapeute, donc quelqu’un qui a fait des études, quelqu’un de plutôt jeune et très compréhensif, très professionnelle, faisait partie de la «Manif pour tous»… Comment cela est-il donc possible??! J’ai découvert son nom associé au mouvement par hasard sur internet. J’étais loin de me douter (surtout après l’année de bataille que l’on avait vécu lors des «débats» sur le mariage pour tous) que j’allais me retrouver nez à nez avec ma pire ennemie. Et que ma pire ennemie allait avoir l’air si normal et qui plus est pas bête du tout.
Après tout, elle a fait des études de psychologie qui devraient lui permettre quand même d’être au courant des effets de la discrimination sur quelqu’un, et qui plus est il s’agit de quelqu’un de jeune à qui on ne devrait a priori pas avoir à reprocher d’être arriéré… Et bien si! Ma psy en fait partie…
Après m’être confiée, lui avoir fait confiance, je me rends compte que la personne en face de moi est homophobe.
Je lui fais part indirectement de ma découverte sur internet par écrit en lui demandant si elle sait qu’elle a un homonyme, je lui demande si elle a quelque chose contre les homos, si je suis la seule personne homo qu’elle connait. Non elle ne savait pas, non bien sûr qu’elle n’a rien contre les homos, non je ne suis pas la première personne homo qu’elle connait mais certainement la première qu’elle connait d’aussi près.
Durant nos séances je n’avais pas senti d’animosité par rapport à ma personne, je me sentais comprise. Ma légitime méfiance me faisait remarquer tout au plus une petite gène de temps à autre (quelques secondes) mais aussi quelques phrases qui ne collaient pas – j’en ai pris conscience après. Je lui faisais part du fait que je suis homo et elle me rétorquait “oui mais vous n’êtes pas que ça”. Rires!! Oui, bien sûr, je ne suis pas que ça, je suis plein d’autres choses! Mais étant donné les circonstances, le contexte de la société actuelle – nous ne sommes pas encore arrivé.e.s au point de l’acceptation totale qui permettrait l’indifférence de l’orientation sexuelle et de se fondre dans la masse et où l’on serait regardé de manière intense juste parce qu’on a une coupe originale jamais encore vue avant –, étant donné que je suis homo dans la société actuelle et bien oui c’est une part de moi qui prend de la place!
Donc, je trouve son nom sur internet associé à la «Manif pour tous», je suis choquée, ces gens sont mon pire cauchemar. Je lui écris. Et elle finit par m’avouer à la séance suivante que oui… Nonnnnnn!!!!!! Je suis choquée, comme K O  sur le ring de boxe. J’y retourne, je veux savoir. Comment est-ce possible? «Si elle fait partie de la “Manif”, ce qui serait invraisemblable, j’arrête!, avais-je dit à ma sœur. C’est comme être juif et être en face d’un nazi, ou être noir et être en face du Ku Klux Klan.»
Ka 2
Pourtant ça n’a pas été facile d’arrêter, je l’ai fait après trois séances. Tout d’abord parce que je voulais connaître les arguments. Malheureusement il n’y en avait pas: «le mariage est une institution et se passe entre un homme et une femme», «l’acceptation du mariage pour tous est un changement de civilisation», «il n’y a pas eu de vrai débat», «les gays eux-mêmes n’en veulent pas» etc. Bref tout ce que j’avais dû entendre dans les débats télévisés, je l’avais en face de moi.
Je ne suis pas partie tout de suite parce que je voulais comprendre comment j’avais pu me tromper à ce point, comment on pouvait penser aussi faux et avoir l’air aussi normal, avoir une éducation. J’ai aussi voulu qu’elle essaie de comprendre, de se mettre à ma place, j’ai voulu croire qu’elle pourrait se rendre compte qu’elle pensait faux.
La pire des choses était de penser qu’elle avait fait partie de quelque chose, et même aidé à organiser des événements qui avaient fait et continuent de faire du mal à tant de gens. Elle a présenté des excuses pour ça, cela vaut ce que ça vaut.
Elle a même essayé de me faire avaler qu’elle était très tolérante et pas du tout homophobe. Imaginez-vous que je me suis demandé s’il était possible d’être «Manif pour tous» et tolérant.e et pas homophobe? Non, ça n’est absolument pas possible!
Ka 3
Et puis j’ai changé de psy! Parce que j’y perdais des plumes, peine perdue… Et puis parce que bientôt c’est elle qui allait devoir me payer pour des consultations!
Morale de l’histoire: l’intolérance n’a pas de couleur, de classe sociale, de niveau d’études. C’est pour ça que oui, il faut continuer à se mobiliser, à dénoncer.
Illustrations Ka
 
 Jeremy-2-de3fc -- Ben moi, tu vois je m'en serais douté  : tout ce fric qui transpire chez-elle, ces meubles empire, ces tableaux qui valent des millions....ben elle se sent faire partie de la classe chic 
Classe qui a des conventions...et prétend être leader...guide des pauvres connes et des pauvres cons qui arpentent le pavé sous la pluie et ne savent pas au juste pour qui ils/elles roulent... à droite, non ???
 
 
 
       
 
 
 
Par claudio - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 08:05

Cavaillon ?  chépah. Mais Avignon(22e) a reculé de 13 places depuis 2012

sondage-tetu

Votre ville est-elle gay-friendly?  TÊTU palmarès des 25 plus grandes agglomérations de France (hors Paris). À cette occasion, nous vous mettons à contribution. L’occasion de nous dire comment vous vous sentez dans votre ville, comment vous jugez le caractère friendly de votre maire, la lutte contre l’homophobie ambiante, la présence de commerces LGBT-friendly et la possibilité de sociabiliser pour les homos.

[Le sondage est clos, merci de votre participation]

Classement général par TETUPalmares-villes-gayfriendly

n°1 LYON (+2 places par rapport à 2012)
n°2 TOULOUSE (+4 places)
n°3 ex MONTPELLIER (-2 places)
n°3 ex NANTES (-1 place)
n°5 NICE (-)
n°6 LILLE (-1 place)
n°7 STRASBOURG (+9 places)
n°8 GRENOBLE (+11 places)
n°9 BORDEAUX (+2 places)
n°10ex ANGERS (stable)
n°10ex TOURS (+2 places)
n°12 RENNES (-9 places)
n°13 ST ETIENNE (+9 places)
n°14ex CAEN (+4 places)
n°14ex CLERMONT FERRAND (-)
n°14ex NANCY (-1 place)
n°17 ORLEANS (+3 places)
n°18 METZ (-3 places)
n°19ex DIJON (nouvelle ville)
n°19ex MARSEILLE /AIX EN PROVENCE (+2 places)
n°19ex ROUEN (-2 places)
n°22 AVIGNON (-13 places)
n°23 TOULON (-)
n°24 DOUAI / LENS

(nouvelle ville)                                     

 

 

Classement thématique

– sur les politiques publiques et l’engagement des élus : les cinq premiers sont…
LYON – STRASBOURG – TOULOUSE – NANTES – GRENOBLE
– sur l’offre culturelle LGBT : les cinq premiers sont…
LYON – NANTES – NICE – LILLE – TOULOUSE
– sur la présence des lieux de sorties gays et lesbiens : les cinq premiers sont…
LYON – TOULOUSE – MONTPELLIER – NICE – LILLE
– sur le dynamisme associatif : les cinq premiers sont…
TOULOUSE – LYON – NANTES – MONTPELLIER – GRENOBLE
– enfin les lecteurs ont classé les cinq premières villes gayfriendly de province…
MONTPELLIER – TOULOUSE – NICE – NANTES – LYON

 

 

 

 

 

Par tetu - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 23:18

 

AZIZ FUME

  

EN MA COMPAGNIE VOILA

 

ABOU FUME LE SHIT  ET IL EST TT LE TEMPS  SHOOTE

 

AZIZ EST UN BON PERE JE REVE DE DORMIR AUPRES DE LUI ET SON FILS

View image on We Heart It website

 

 

 

 

Par MOMO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • LE LAC N° 1 FIN AOUT 005
  • VETERAN CRUISER
  • SEX ADDICT
  • gros penis large
  • 11026-copie-1
  • FORESKIN 007

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés