Si je t'entends je suis sûr de te comprendre
Si tu souris je vois le monde entier
Si nous vivons tout sera à plaisir
En te quittant nous nous retrouverons
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
La fatale question qui revient fréquemment dans la bouche de tous les "amis"* de rencontre… plus ou moins discrètement, plus ou moins effrontément : actif ou passif ? Bon, reprenons la base : l’actif (« top » en anglais) est celui qui encule, et le passif (« bottom » en anglais) est celui qui se fait enculer. Je ne sais pas que ce chacun de vous, lecteurs, fait dans son coin, mais disons que les plupart des homos pratiquent les deux, pour certains l’une des deux activités avec un plaisir supplémentaire, certains ne sont qu’actifs et d’autres que passifs (ce n'est pas si rare !).
Dans les films on voit un reflet de la réalité. Certains sont de véritables clichés et ainsi des gros baraqués viriles enculent à grands coups de boutoir de jeunes éphèbes à l’allure gracile . D’autres sont simplement versatiles (« autoreverse » aussi dit-on en souvenir des vieux bons postes cassettes qui lisaient dans les deux sens…), ainsi on les voit tour à tour se faire prendre, et prendre avec le même « entrain ». Et parfois il faut encore se méfier des apparences lorsqu’on voit un grand bûcheron canadien offrir son généreux postérieur au rostre en furie de son jeune stagiaire des Eaux et Forêts.
Mais il est vrai qu’en général, dans le porno, les rôles sont distribués selon des schémas classiques et qui ont la vie dure. Ainsi on retrouve le plus couramment des « straight-acting » (« look hétéro ») actifs qui emmanchent des passifs gloutons. Le porno gay produit son lot de « stars », et il existe une vraie discrimination dans ce domaine. Dans le porno hétéro, les stars sont plutôt les actrices, et on trouve quelques types charismatiques (à la Rocco Siffredi). Dans le X gay, clairement les stars sont des actifs gros queutards, tandis que les passifs qui ont acquis ce même rang se comptent sur les doigts d’une main.
Scroll down for video
:
Après 20 ans dans l'armée où elle s'est frayée un chemin jusqu'au poste de chef senior de l'arme "Terre Air Mer" (SEAL), Chris Beck, alias Kristin, a pris sa retraite en 2011 et c'est à ce moment-là qu'elle ont commencé à vivre sa 'vraie' vie, en tant que femme. .
Militant en faveur de la cause des homosexuels, le Marseillais Christian de Leusse a participé au film de Sébastien Lifshitz Les
Invisibles.
Comment vivait-on à Marseille dans les années 60 quand on était gay ?
J'ai vécu des années très difficiles. Je viens d'un milieu familial catholique, bourgeois et rigoureux. À l'époque, il n'était même pas question
d'évoquer le sujet. À partir des années 70, j'ai commencé à réfléchir à ma situation. J'étais de plus en plus malheureux. J'avais 30 ans et je me sentais déjà vieux ! Je devais crever
l'abcès.
Comment cela s'est passé ?
À l'été 1979, j'ai participé à un bal organisé par le Groupe de libération homosexuelle. Quelques jours après, j'ai découvert une double page dans
Paris Match où j'étais en train de danser avec un homme, avec ce titre : « Vague homosexuelle, la France atteinte à son tour » ! J'étais tétanisé mais j'étais aussi en train de reconquérir mon
équilibre.
Que pensez-vous du film ?
J'avais beaucoup d'appréhension, mais Sébastien Lifshitz a su écouter et nous laisser parler. Le film donne une image positive des
homosexuels.
Exagéré, mais...
Lors d'une avant-première, un jeune s'est levé et a dit : “Maintenant que j'ai vu ce film, je n'ai plus peur de vieillir”.
Vintage photos :
Derniers Commentaires