1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Mercredi 14 décembre 3 14 /12 /Déc 00:00

maintenant j'en redemande !

 

  comment un cul -le mien- lol- peut-il, sans danger,  livrer passage à ce point à la dilatation ? Quand un nouveau stade est atteint, il  y a souvent une légère sensation désagréable et beaucoup de perceptions non familières. Une part de la préparation mentale du fisté est d’apprendre à trier ces nouvelles sensations et de décider lesquelles sont agréables et lesquelles sont des sensations douloureuses qui doivent être interprétées comme un signal du corps. 

 

Foot care for men. The women in your life will thank you.:   Résultat de recherche d'images pour "gay male trimmed manicured hands" Résultat de recherche d'images pour "gay male trimmed manicured hands"    et le poing va compter

 vous je sais pas, mais moi il faut d'abord que je sois amoureux des mains de mon "fisteur"  

  délicat à dire, mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire l'article       

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shooté je me laisse aller à ce ... à ce ... à ce ... à ce ... je sais pas comment dire

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dis-le, toi si tu sais, à ce quoi ? ? ? ce n'est pas une simple sensation, mais un état intérieur global qui se suffit à lui-même. C'est par étapes Quand un nouveau stade est atteint, il  y a une légère sensation désagréable et beaucoup de perceptions non familières. Puis c'est tout cool on me parle, je réponds, mais je suis dans un état second. Heureux.

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Ici, sur le pourtour de l'anus du gars on voit le surplus de lubrifiant qui déborde. Il en faut beaucoup.(Crisco est toujours, et de loin, le lube le plus utilisé pour le fist. Pour ceux qui ne sont pas très habitués à ce merveilleux produit, il s’agit d’une marque de produit de cuisine : une graisse d’origine végétale de couleur blanche avec laquelle on fait des cookies. C’est économique, facile à trouver et ça ne perd jamais ses propriétés graisseuses. Bien qu’il soit vrai que le Crisco soit une mauvaise idée pour la sodomie parce qu’il détruit le latex des préservatifs, le problème n’est pas le même pour le fist et ce pour deux raisons. La première, le latex utilisé dans la fabrication des gants est beaucoup plus épais que celui utilisé pour les préservatifs. La seconde, une main ne jouit pas. Les principales maladies contre lesquelles nous protègent les préservatifs se trouvent dans le sperme et bien que les mains puissent faire de merveilleuses choses dans un cul, elles, ne jutent jamais.)

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De mon côté, celui du fisté, il faut que je lave

une raison très simple d’effectuer un lavement avant de jouer : beaucoup de mecs n’apprécient pas particulièrement l’idée d’avoir un contact avec la merde bien que dans mes sodos j'ai trouvé des gars que ça ne génait pas. J'utilise la bonne vieille méthode du lavement qui consiste au remplissage du rectum avec de l’eau. Ensuite, j'expulse cette eau et tout le reste. L’équipement le plus simple consiste en un simple tuyau de douche dont on a retiré la pomme. Attention aux arrêtes qui peuvent parfois être tranchantes et abîmer les muqueuses anales. Le système le plus pratique est un embout spécial qui, placé à l’extrémité du flexible de douche, est introduit dans le rectum.

Une alternative est d’utiliser une poire à lavement afin d’introduire de l’eau dans l’ampoule rectale. Elle a l’avantage d’être facilement transportable et ne nécessite aucune plomberie adaptée. Elle peut aussi être utilisée pour lubrifier en profondeur.  

 

Par IN TOIME - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 07:54

 - fais voir mon petit ...ça "marche" de ce côté-ci ?  tu as déjà fait l'amour ? c'était toi "le loup ?" haha !

- je rêve que ce soit vous le loup et moi l'agneau qui se fait dévorer! 

    abnégation du médecin qui ne recule devant aucun sacrifice pour soigner son patient 

Par YANN A - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 00:31

Pour arriver à ses fins ?  pour le soumettre ? Mark, son meilleur ami commet le viol prémédité de Drew, un "hétéro"(?) sous l'emprise de l'alcool et de la drogue

   Drew :  - "voici les faits tels que je ne cesse de les répéter au psychiatre ; cette histoire m'obsède et a raison de ma raison"

- "l'avocat m'a expliqué à plusieurs reprises qu'une plainte de ma part afin de soulager ma souffrance morale n'avait aucune chance d'être retenue officiellement contre Mark. Il est mon bourreau bien-aimé et le restera toujours. C'est triste et beau à la fois."

 je peux plus rien faire de bon

ça a brisé ma vie

  Bien sûr le lendemain il s'excuse, promet d'en parler à personne. Mais là il me parlait comme si j'étais "sa propriété"et ça me mettait mal à l'aise. Il ajoutait que c'était ma faute mais qu'il n'en parlerait à personne...beh bien sûr il mentait...  

 

     Piégé :comment je suis passé d'hétéro à lope de mon meilleur ami.   

Je ne sais toujours pas  exactement comment c'est arrivé qu'une domination auparavant légère et amicale me piège et devienne une domination sexuelle gay .

  Billys BitchI don’t know how long I was out, but I do know what woke me up… it was Billy’s 8.5 inch cock, slapping my face. It woke me up in a stupor and I just laid there and stared up at him, thinking how fucked up all this is and how it all... 

  J'avais été hétéro toute ma vie avant mes 18 ans mais quelque part, à cause de la folie d'une folle nuit je suis devenu, contre ma volonté, la pute à jus de tous mes amis. Laissez-moi vous expliquer comment, à mon avis, c'est arrivé.   

Je m'appelle Drew. Il y a environ un an j'étais ce jour-là chez mon ami Mark. A l'époque tout est allé très vite. Nous sommes tous les deux dans la même classe au lycée. Moi j'ai 18 ans et Mark vient d'avoir ses 19 ans et s'apprète à passer le bac. Mark est une sorte de modèle masculin débordant de testostérone et beau, attirant pour tout garçon ...ou fille. Il n'a que 19 ans mais il est tout en force et tout en muscle. Grand, brun, couvert de poils et de muscles. C'est le meilleur joueur de l'équipe de foot et c'est un grand séducteur, tout lui est facile. Quant à moi je suis autrement stylé : je suis plus mince et frêle, sensible et tonique, à peu près rasé partout parce que je fais partie de l'équipe de natation. Cheveux blonds foncé coiffés en pétard, ça oui, on m'a déjà dit que j'ai un beau cul et que je pourrais faire des castings. Je n'ai rien d'un Mark et je plaisais aux filles...du moins AVANT...

 Ce maudit soir-là on devait, Mark et moi, aller à une rave party dans une usine désaffectée tenue secrète jusqu'au dernier moment. Sa soeur et ses parents n'étaient pas là et, avant de partir, on a fait les cons dans la chambre de sa soeur et on a essayé des fringues à elle pour rigoler.

Je dis -" moi, mettre un panty ? comme un trav ? Tu n'y penses pas ! Mais Mark est persuasif, il se fait pressant et comme "tendre", disant qu'on est tellement hétéros tous les deux : pas de danger de dérapage...Avec moi il gagne toujours.  On a fini par enfiler chacun un panty en nous disant  : "on va suer dedans toute la nuit, les parfumer de nos odeurs de mâles, puis les remettre dans son tiroir en nous régalant à l'avance de sa surprise en les découvrant "parfumés" d'une odeur de mecs. De toutes façons je l'aime pas sa soeur Amy  car elle nous fait tout le temps la gueule. Moi j'avais un panty rose à paillettes et lui un bleu roi. On avait l'air fins avec ça, nous promettant bien de déconner à la rave. On redescend et on regarde un film porno en attendant l'heure, on bouffe un peu, on boit des bières et surtout on fume de l'herbe de la réserve de Mark. On va à la rave. Bof bof après un bon moment ça a merdé.  

 Sans doute par un connard qui n'avait pas été invité à la rave, les flics l'ont su et après la fête nous ont tallonnés jusque chez Mark. On les avait au cul. On avait pas mal bu en plus des bières et Mark avait insisté pour qu'on prenne chacun deux pilules "Mystère" à un mec que je kiffais guère mais qui disait qu'avec ça on baisait sans arrêt 24 heures. Moi la fumée ça me met dans un état d'excitation terrible. En général j'arrive à le cacher. Nous voilà de retour et on s'installe dans la chambre de Mark à se mettre à l'aise pour regarder un porno du choix de Mark, donc un film hétéro. En cette fin mai il faisait chaud, on s'est mis torse nu.  Je m'aperçois que Mark bande comme un cerf. Moi aussi, et comme on ne s'était pas soulagés à aucun moment ma queue me faisait mal...je me suis souvenu des deux pilules qu'on avait prises...et pas moyen d'arrêter de bander.

On a encore fumé des joints et Mark a décidé qu'on se materait encore un porno. J'étais pas bien à mon aise mais quel mec dit non à un film porno ? Donc on regarde. Mais il fait une putain de chaleur ici. Mark en lève sa chemise. Putain qu'il est beau et bien bâti, velu et si masculin. Ugh, je suis hyper excité. Dix minutes après on était tous les deux torse nu à regarder le film. Mark enlève le bas. Comme d'hab' je fais comme lui.

 Moi j'ai enlevé le panty rose et je vois avec surprise que lui est en jockstrap. -"hé, qu'est-ce que tu en as fait du panty ? ' - "non mais tu crois pas que je porte des trucs de gonzesse, moi !“HA HA HA HA HA HA HA HA, tu fais pute comme ça ... Je t'ai bien eu ! ". A ce moment j'aurais dû réagir sur cette trahison révélatrice de son état d'esprit, mais l'alcool, la fumée...j'ai laissé passer. On était bien dosés en shit. Je suis mal et malade d'humiliation. Bof je reviens au film. Sur l'écran, ce blond aux gros nichons se prend la grosse queue de l'autre en levrette direct dans son cul, une queue plus grosse que celles que j'ai jamais vues. Je laissai échapper :  - " regarde cette queue ! elle est     é . n . o . r . m . e !"     

 

 

 

      -"Attends mec, t'as encore rien vu. C'est rien ça, celle du film c'est de la merde ! " dit Mark en tombant son jockstrap tandis que je reprends une longue goulée du narguileh. C'est un monstre sa bite. Ca doit être passionnant de rentrer 27 cm dans tous les trous disponibles ! Il est entier (non circoncis, et si épais. Le gland est en proportion de cet énorme battant de cloche qu'il agite insolemment  sous mon nez...et elle grossit ! . Je détourne les yeux vers l'écran, j'ai besoin de zapper cette vision de la bite de Mark hors de ma tête...

  Mark se la caresse la fait gonfler de tout le sang qu'il lui faut pour devenir encore plus dure. Oh putain qu'elle est dure !  Je passe mon doigt sous l'élastique et je commence à caresser mes "modestes" 18cm.

Bon plus ou moins on fait tous ça. Rien d'anormal à se branler. Au bout de demi-heure aucun de nous n'avait joui. Avoir la gaule comme ça et ne pas pouvoir se soulager, ça c'est moins normal et c'est frustrant. A devenir cons, lui comme moi ! Putain je me tape le front : je repense à ces maudites pilules "mystère". C'était des pilules pour bander, mais là...Un brouillard s'installe : le porno, l'herbe qu'on fume, les pilules...nos pensées ne sont pas claires...Ma  bite est si dure et je n'arrive pas à décharger d'où une irritation.

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Jusque là rien de spécial, aucun dérapage : deux gars confrontés à  un même priapisme et doivent se branler, chacun, pour l'apaiser.

Drew: - " je pense que contre Mark j'ai la force morale mais pas la force physique et l'amitié est une faiblesse psychologique. " 

Mais attention, c'est là que tout a glissé  vers la connerie !

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Je vais chercher un tube de crème pour les mains pour calmer l'irritation et je constate que Mark est hypnotisé par mon cul. Il garde les yeux fixés dessus . -"Putain  mec ton cul est plus beau que celui de ta mère qui t'a pondu !"

-" va te faire foutre mec tu dérailles non ? "

-" NON ! je suis sérieux ! je compte plus les fois où je me suis branlé en pensanst à son cul qui est si rond, si lisse, si baisable...ça risque rien man, on est hétéros tous les deux, si tu m'aidais à décharger ? ce serait pas une affaire  !"

-"Si tu crois que je vais la toucher ta bite ça non ! je suis pas gay, man ! Je pensais alors qu'il voulait que je le branle pour le faire décharger. Je me trompais lourdement. Oh sa bite énorme et massive, j'arrive pas à en détacher mon esprit...et mon regard, mais pas en homosexuel, j'en suis pas, je suis juste impressionné. Comment ça doit faire d'avoir un truc comme ça ? comment on se sent ? Merde, je rêve ! "   

 - "mais t'aurais pas besoin de la toucher mec, allons, t'aurais qu'à t'asseoir. T'asseoir dessus ! allons !" J'étais tellement shooté et à la fois étonné et emmerdé par l'"attaque" de Mark que ça lui a fait marquer un point. J'aurais qu'à m'asseoir sur ses genoux-ses cuisses- afin qu'il sente la chaleur de mon corps, quoi la chaleur tout court, c'est pas un si gros problème. 

C'est ce qu'il dit d'ailleurs : "- c'est pas une affaire non ? t'asseoir sur mes genoux comme quand on était minots quand on partageait le siège dans le bus du club de foot"

- " oui, mais on était habillés!"

-"ouais, t'es pas pédé, non ! si t'es hétéro ça fait aucun problème d'aider un pote, et moi, crois-moi ,je laisserais pas un pervers gay s'asseoir sur mes genoux !  "

-" Il parle de moi comme d'un PD ? là, maintenant je suis trop shooté. Je me dis que je vais faire semblant de le faire  puis me foutre de sa gueule du fait qu'il m'a demandé ça, non mais ! alors j'esquisse une petite danse pour le taquiner, je bouge mon cul devant sa bite comme un lap-dancer.       

   

A ce moment, en plein dans l'inattendu, il chope mes hanches et plaque mon cul sur sa bite massive. Je suis assis dessus entre son estomac et son entrejambe, et il me maintient avec force ;je rigole...sous mon cul, sur ma raie,  j'écrase sa queue si énorme si puissante.

-" Là, tu y es, pute!"  

  -"hé, arrête, c'était ton idée, ne m'appelle pas pute". Je rigole plus. -" je plaisante, bon dieu! TU ES UNE PETITE PUTE SENSIBLE, n'est-ce pas ? Toi, contente-toi de regarder le film"

Et pendant qu'effectivement je fais face à l'écran où on voit des va et vient de baise, je commence à frotter de même sur la queue de Mark. Lui fait semblant de gémir pendant que mes fesses mouillées de sueur vont et viennent...toujours pour rigoler. Et là la sensation commence à ne pas me déplaire. Sa mouille abondante comme une fontaine me graisse le trou. Faut que ça s'arrête et je cherche à me lever..

-" t'es pas bien là ? " Mark ajoute; reste un peu assis! " Il force sur mes hanches et par des mouvements de son cul s'arrange pour placer son pieu à l'équerre sur ma rondelle.

  -“Mark.. hoooh?” et là il me tire vers le bas afin que sa massue puisse entrer dans mon cul serré de vierge.

      -“Mark, non!” et son gland entre.

 Là Mark feule comme un tigre.  

- “ Désolé Drew. Faut que je me soulage. Détends-toi.”

-“sors Mark! Putain elle fait mal elle est grosse. Sors-là ! arrête !”

-“Juste une minute, je veux juste la sentir dedans. On baise pas ou rien de ça,  ooh putain c'est bon petite pute !”

    Mes genoux n'arrivent plus à me soutenir et plient sous ses efforts pour me faire descendre et faire rentrer sa queue en moi. Et je glisse vers le bas et sa bite rentre.  

-“Oh non ! Ououu! tu l'as déjà rentrée assez loin,maintenant tu sais comment ça fait négocié-je. Allez Mark tu sors !  Sors ta queue je veux pas ça , je l'ai jamais voulu, tu m'as forcé."  

- “Ouais, je te baise pédé, je te veux. C'est plus fort que moi. Oh mec! c'est trop bon. Ne m'arrête pas !”

Soudain il marque un arrêt. Mais c'est parce que sa bite est arrivée au fond. Il m'a assis sur lui, mes couilles sont sur les siennes et il ne relâche pas sa prise sur mes hanches. Il doit se rendre compte à la fois qu'il est arrivé à ses fins et qu'il vient de violer son meilleur ami.  

- “Hum, c'est pas bien grave, allez, maintenant on regarde le film.” Il dit ça de façon banale comme s'il n'avait pas forcé son sexe dans mon ventre...comme si en ce moment-même sa bite n'y était pas!

- “Mark tu l'as si grosse.” Je commence à m'habituer à sa présence dans mon cul. Et on continue à regarder la femme du fim qui se fait enculer. Je réalise que je suis maintenant comme elle. Oh putain ! Je pourrais chercher à me dégager mais j'ai peur de bouger et de faire ressurgir la douleur. Mark s'est légèrement relâché pour s'allonger avec moi empalé sur lui.  C'est là qu'il a commencé à bouger en poussant vers le haut, d'abord doucement.       

-“Mark  Stop! oh putain, c'est trop dégueulasse.” Oui, mais lui commence à pousser de plus en plus vite. He starts thrusting faster and faster. Il me donne des claques sur les fesses. Profitant de sa force il me plie afin de me faire agenouiller sans sortir de mon cul. Et là il se met à pousser et aller et venir comme un fou, comme une bête. Ca chauffe dans mes intérieurs et lentement ma bite gonfle. Je sens que sa queue a touché, frotte sur un endroir qui me force au plaisir. Sans me toucher je coule du précum et c'est, en mieux, comme s'il me branlait pour me mener à l'éjac. Dans un état second je regarde quand même le film et je me "fonds" dedans. Je suis cassé, humilié, mais maintenat je ressens un grand bien-être.  

-“tu vois bien sue tu es une chienne! ma chienne !”

-“Je sursaute. Mark!?” Il ne m'avait jamais parlé comme ça. Je ne suis plus son meilleur ami mais une chose sortie d'un porno. Je le regarde dans les yeux tandis qu'il continue à pilonner mon cul. J'espère que ce regard va le toucher, mais non, on dirait que mon désespoir l'excite encore plus... 

-“Prends-la ma queue chienne ! ”  Il ralentit et retire sa queue dure et chaude comme du bois ardent, mais seulement jusqu'au gland. Je reconnais que je me sens bien, mais il faut qu'il arrête.     

- “Je le sens proche de jouir. Ne me jouis pas dedans Mark. Juste ça s'il te plaît : pas dedans!" 

-“Bien sûr Drew, quoi que tu en dises !” Il me donne des claques sule cul et il doit me marquer, sûrement. Il pince mes fesses à deux mains rentre brusquement sa bite restée tranquille un moment. 

Bon ça va s'il ne me jouit pas dedans j'ai un peu sauvé quelque chose. Et là, pour me confondre un peu plus dans son esprit qui fait de moi un vide burnes, je jouis sans me toucher et lâche mon sperme abondamment. Ca me pertube et me puzzle : c'est la sensation la plus folle qui me soit jamais arrivée. C'est alors que la bite de Mark pulse dans mon intimité au milieu de ses feulements. J'ai bien essayé de me retirer en disant  

- “Noon, noon, noon, noon, noon, noooon, noooooon en pleurant !”

- “Oui, tu te l'es bien prise ma décharge, à donf ! pute! Tu l'as aimée ! Tu es à moi maintenant ! tu appartiens à ma queue." Je cherche à me dégager mais Mark continue à me maintenir en place de ses mains extrèmement puissantes. Je sens que ça pulse encore, longtemps... IL pousse encore plus à gfond, crispé dans sa jouissance et sa volonté de me posséder.  Il veut me remplir tout à fait de son éjaculation massive. Son jus est chaud,d'une chaleur volcanique ça dure longtemps, ça semble impossible. je sens le sperme fuir entre sa bite et la paroi, ça se répand sur mes couilles. Finalement il se laisse aller sur moi,  sa bite encore en moi, il s'est endormi  sous l'effet de la fatigue, de la drogue et de l'alcool.

 

Longtemps après, n'ayant pas bougé, perdu dans mes réflexions... lentement sa verge se dégonfle et se retire doucement comme si je chiais un serpent gluant, comme une caresse.

J'ai conscience que tout est changé dans ma vie maintenant. 

   Bien sûr, au réeil, le lendemain il s'excuse, promet d'en parler à personne. Mais là il me parlait comme si j'étais "sa propriété"et ça me mettait mal à l'aise. Il ajoutait que c'était ma faute mais qu'il n'en parlerait à personne...beh bien sûr il mentait...   

 

     
Billys BitchI don’t know how long I was out, but I do know what woke me up… it was Billy’s 8.5 inch cock, slapping my face. It woke me up in a stupor and I just laid there and stared up at him, thinking how fucked up all this is and how it all...
Par IN EDI CAVAILLONGAY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 16 novembre 3 16 /11 /Nov 16:14

  comme vous pouvez voir, la photo ci-dessous ne correspond pas au contenu...désir  demouflage ?

les deux acteurs sur la photo de présentation sont de type européen

  Blog en Chine : 5  dites-moi les roses du net si, comme moi vous êtes envoyé sur les roses du net...

vous verrez un peu la liberté d'être gay en Chine !

mais les acteurs chinois heureusement sont très beaux et assez chastes, bien que chauds !

 

Par KARA - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 novembre 7 06 /11 /Nov 15:09

 

 

Hier soir on est sortis en boîte Kader et moi. On a bien picolé, comme il fallait. Je te garantis qu'on était raides, mon frère ! En sortant, j’ai croisé le regard d’une meuf, j’ai su direct que j’avais une touche. Je sais que je plais aux filles avec mes épaules larges, ma gueule carrée, mes yeux noirs et mon sourire moqueur ; je le sais et j’en joue. J’aime me taper des meufs et j’aime que ça se sache.mais je suis pas égoïste et j'ai négocié pour mon pote Kader. La fille nous suçait à tour de rôle. Tout d'un coup j'ai senti qu'elle suçait mieux. Je lui passe la main dans les cheveux...Incroyable : mon pote avait viré la nana et l'avait renvoyée à la salle, et il avait pris sa place.     

 

anahotwife: “ Ana favorite toy ”   Tout d'un coup j'ai cru sentir qu'elle suçait mieux. je lui passe la main dans les cheveux...Incroyable : mon pote avait viré la nana et l'avait renvoyée à la salle, et il avait pris sa place.

 

  une minute avant on était  dans les toilettes , adossés côte à côte, le fute sur les chevilles, nos deux teubs tendues vers le plafond, pendant qu’on s’occupait de nous. C’est qu’il est bien zobé, le petit enfoiré ! Pas autant que moi, obligé, mais quand même. Il m’avait semblé remarquer ça déjà dans les vestiaires après les matches. Pas étonnant. Toujours su qu’il avait des couilles, ce mec.

Je me suis aperçu de rien : c'est pas très bien éclairé les toilettes, au bout d’un moment, son souffle s’accélère, il gémit, bascule la tête en arrière, me saisit le poignet et décharge son foutre en trois cris étouffés. Il a pris un pied d’enfer, le salaud avec la fille, c’est clair. À mon tour ! Je vais lui montrer comment c’est quand je balance la purée. Je continue à m’astiquer, les yeux mi-clos. Ma paluche monte et descend avec fierté sur mon énorme barreau. Je sens la meuf qui me reprend en bouche, elle suce encore mieux qu’avant, ça a dû la chauffer de vider mon pote, je vais pour l’attraper par les cheveux mais… Putain ! J’ouvre les yeux, plus de fille en vue, rien que mon pote à genoux devant moi, au bout de ma queue. Je me dégage brutalement, remonte mon froc, rentre ma queue. « Merde, qu’est-ce qui t’arrive, t’as trop fumé ou quoi ? » Il est face contre terre, à moitié à poil et, pour la première fois, je l’entends pleurer. Parmi les sanglots il répète : « Pardon !... Pardon !... » « Allez, rhabille-toi, vieux, t’es devenu taré ? » Je lui remonte son survêt' et l’oblige à se relever. « Tu vas m’expliquer ce qui s’est passé ! T’es pas pédé, Kader, je te connais, t’es un mec, un vrai, alors tu vas me dire ce qui t’arrive, putain de ta mère ! » Rien à faire. Il baisse les yeux et sanglote toujours.

Je le reconduis vers la voiture. On s’assoit sans dire un mot. Je démarre la caisse. C’est là que je me suis rendu compte que j'avais pas débandé. Je conduis en silence. Cette gaule qui pulse entre mes cuisses. On arrive en bas de chez lui. Je voudrais parler, dire quelque chose. Il sort. « Hé, Kader! » Il claque la porte. Je vois sa silhouette s’éloigner rapidement dans la nuit vers le hall de l’immeuble.

Je rentre chez moi. Toujours cette érection de mec qu’a pas joui. C’est pas possible, faut que je me finisse à la main. Me glisse nu et raide sous la couette. Je lèche la paume de ma main droite pour que ça coulisse bien sur mon gland. Mais j’ai à peine saisi mon zob bouillant que cinq giclées chaudes s’écrasent sur mes pectoraux contractés. Mon frère se retourne en marmonnant dans son sommeil. J’étale mon jus de jeune mâle dans le duvet qui couvre ma poitrine, et je bascule dans le monde des rêves.

Je garde imprimé devant mes yeux fermés: le visage de Kader  en pleurs. 

Il m’a pas appelé hier. Et toujours pas d'explication. Pas un SMS, rien. Tant mieux. Je veux pas le voir. Je veux pas savoir ce qui se passe, mais moi je fais pas des trucs de PD. J’aurais jamais cru ça de lui.  

 

  Puis hier soir, en me pognant, j’essayais de penser à la petite de la blanchisserie, qui m’avait bien chauffé avec ses seins à moitié à l’air. Mais rien à faire, c’est le film de l’autre soir qui revient, dans les toilettes. Mon pote Kader que j’entends jouir à vingt centimètres de moi. Le sentiment de fierté que j’ai éprouvé quand il a agrippé mon poignet : « Il veut partager ça avec moi. », je me suis dit, « Y a que les mecs qui peuvent comprendre ce que ça fait de se vider les couilles ensemble ».

Et puis son visage à genoux devant mon sexe, ses yeux pleins de désir, de peur, de honte et de larmes. Ses fesses nues pendant qu’il pleure à plat ventre.

HaaaAAA !! Putain, j’en peux plus de me poser des questions  !  J’ai honte.  

  Il m’a envoyé un mail. La tête de ma mère j’ai jamais vu un keutru pareil. Je l’ai copié-collé ici, juste en dessous, mais si t’as pas le cœur bien accroché, le lis pas. C’est des trucs pas normaux. Je lui ai répondu que je voulais plus jamais le voir. Son mail:   

A: Brahim 

Sujet: No subject

 

Salut, Brahim,

 

Tu m’as demandé l’autre soir comment j’en étais arrivé là, et j’ai pas osé te répondre. C’est pas facile pour un mec comme moi, j’ai ma fierté. Mais c’est comme ça, quand je te vois, quand je vois tes épaules, tes cuisses qui font gonfler ton jean, j’ai la tête qui tourne, je peux rien contre, obligé je vais tomber à genoux.

Avant j’étais pas comme ça, Brahim, avant j’étais un vrai mec, je me tapais des meufs, comme toi Brahim, jusqu’au jour où il m’a…

J’étais jeune. C’était avant que je vienne habiter ici. J’étais plus un gamin, non : tout ce qu’il faut dans le benne pour faire un homme. Mais dans ma tête… Je sortais avec une petite meuf, on s’aimait, je me sentais mec, j’étais fier à chaque fois que je lui avais fait l’amour.

Mais c’est Abder, le pote à mon reuf, il est venu sonner, j’étais seul, putain j’aurais jamais dû aller ouvrir. T’imagine même pas le mec, j’ouvre la porte ma parole je suis obligé de lever la tête pour lui parler, il était aussi large que l’entrée. J’avais toujours eu peur de lui. J’aimais pas comme il me matait avec son œil mauvais, t’aurais cru son regard il te transperçait. « Il est pas là ton reuf ? », il me fait. Je lui fais un signe de la tête, genre laisse tomber. « T’es tout seul  ? » ; je réponds pas. Et là il avance d’un pas, puis un autre, encore un autre. Et moi je recule d’un pas, puis un autre. Je contrôlais plus mes jambes, tu crois ça, toi ? J’étais paralysé, je pouvais pas détourner le regard. Putain, ces yeux ! noirs, durs, méprisants. Et son sourire sur ses lèvres serrées, je l’oublierai jamais, avec sa ligne de moustache, qui me disait « t’es qu'une merde ! » Il m’a poussé devant lui jusque dans le salon, et là il s’est arrêté. Il s’est mis à me mater de la tête aux pieds, comme le mec qu’achète un chien, il a passé le regard sur tout mon corps, je le sentais sur ma poitrine, sur mes cuisses. Et puis il a fait un mouvement brusque vers moi, j’ai trébuché et je suis tombé en arrière. Il a ri. Il a ri mais sans faire un son, on entendait rien, juste on voyait qu’il triomphait. Je pouvais pas me relever, je pouvais même pas respirer. Ca a duré deux siècles, immobile. Et puis sa main droite s’est mise à bouger tout doucement, peu à peu, elle est venue se poser sur sa braguette. Il a serré, serré de toutes ses forces, on voyait les veines sur le dos de sa main, une main large et puissante, crispée sur un truc encore plus gros. Et puis tout s’est passé très vite, j’ai rien eu le temps de comprendre. Il a… Putain, mec, j’arrive même pas à le dire, tu vas me regarder comme une… Il a… Il était sur moi, ma tête était bloquée entre ses deux cuisses, ses deux mains sur ma nuque, et il m’écrasait le visage contre son pantalon, les boutons de sa braguette s’enfonçaient dans ma chair. J’étouffe.

Et puis il l’a sortie. Un coup sec et elle est là devant moi, une masse dure et sombre, bandée vers le ciel. Large. Musculeuse. Haute, plus haute que moi. Au sommet, épaisse, sûre d’elle – la puissance.

Et puis le noir. Le noir avec des éclairs rouges, et ma tête défoncée, éclatée par ses coups de reins. L’odeur de ses cuisses, ses couilles qui viennent frapper ma gorge. Ses halètements rauques, de plus en plus profonds, la poutre qui cogne de plus en plus fort. Un hurlement. La vague chaude du sperme qui remplit ma bouche, gicle au dehors sur ma face et ma poitrine. J’essaie de respirer, je m’étrangle, je tousse. Je suis maudit. 

Elle sort de moi, encore dure. Je sens qu’il l’essuie dans mes cheveux. Je cache mes yeux sous mon bras. Je l’entends remonter son fute. Le bruit métallique de la ceinture. Les pas s’éloignent. La porte qui claque.

Je suis resté des heures comme ça, dans le jus visqueux du mec. J’ai fini par me relever. J’ai dégueulé ce jour-là, mec, tellement ça m’avait dégoûté, toute la soirée j’ai gerbé. J’étais malade. Pendant une semaine, j’ai parlé à personne. Tous les soirs je revivais la scène, je voyais son membre debout devant moi. Je faisais que des cauchemars de ça. J’ai osé en parler à personne tellement j’avais honte. Toutes les nuits ça me revenait dans la tête, je devenais fou. Et puis après une semaine ou deux, je me suis rendu compte que quand j’avais ces images dans les yeux, ma teub elle était dure, dure comme la gaule au réveil. Au début j’ai même pas calculé. Et puis plus le temps passait, plus je sentais mon zgeg entre mes cuisses, ma bonne teub de mec bien carrée (tu l’as vue, tu sais que je suis bien zobé), alors j'imaginais que je la prenais dans ma main, je la kiffais tellement elle était grosse, j’avais ma bite dans la main et l’image de la sienne dans mes yeux. Jour après jour, j’ai commencé à me toucher doucement en sentant ma virilité entre mes cuisses et la sienne comme dressée au-dessus de ma tête.

Et puis ça a complètement dérapé. Tous les soirs je me branlais comme un ouf en m’imaginant qu’il était sur moi, qu’il me défonçait à grands coups de membre, son membre de vrai mec. Je me jouissais dessus, j’en avais plein la gueule, comme le jour où il m’avait passé dessus. Je me suis mis à mater les mecs dans la rue, à fixer leur braguette pour deviner ce qu’ils avaient sous le jean. Et tous les soirs –Brahim, son odeur, ses muscles, son sexe dur comme la pierre. Je pensais plus qu’à lui.

Et là j’ai craqué, mec, pense ce que tu veux de moi, mais c’est moi qu’ai craqué. Je suis allé sonner chez lui, l’angoisse dans la gorge, l’adrénaline à me faire éclater la poitrine. T’imagines même pas, rien que d’appuyer sur la sonnette, ça m’a fait bander comme un étalon. Il a ouvert. Et puis il a fait ce sourire content de lui, le même que la première fois, ce sourire qui voulait dire « J’étais sûr que tu viendrais ». Il m’a attrapé par le paquet, il a serré mes couilles et mon sexe bandé dans sa main énorme, serré comme un étau jusqu’à ce que la douleur me fasse vaciller sur mes jambes. J’allais tomber à genoux. Alors il a tiré un coup sec et m’a envoyé m’étaler par terre. Je sentais plus mes burnes. Il a claqué la porte – BLAAM ! Et là, je te raconte même pas, mec, pendant cinq heures j’ai été sa chose, pendant cinq heures il a fait de moi tout ce qui lui passait par la bite. A chaque fois qu’il avait joui, il se grillait une clope dans son fauteuil, à poil, la queue toujours raide, en me matant, ça lui foutait la gaule de me voir par terre, anéanti. Et puis ça recommençait, le taureau qui se satisfaisait avec mon corps, qui passait sur moi toute la violence de son entrejambe, pour son orgasme.

Pas longtemps après on a déménagé. Je suis venu dans notre quartier. Je sais pas ce qu’il est devenu. Mais si il revenait frapper à ma porte, mec, il m’aurait comme il m’a eu, je fais pas le poids. Un étalon pareil, il mérite d’avoir les autres keums à ses genoux, même ceux qui se croyent virils, histoire de rabattre un peu leur orgueil. Je sais pas si tu comprends ce que je dis. Il faut avoir vécu ça. Mais ce que j’espère de toutes mes forces, c’est qu’un jour il tombera sur son maître, qu’un jour il se retrouvera par terre sans savoir comment, défoncé par la force d’un autre.

Tu te rappelles le kheum qu'on s'est tous tapés dans la cave de Mounir ? Il sortait de la « zonzon » et qu'il pouvait plus se passer de prendre des bites comme il avait été forcé de se les prendre en prison. Je crois que moi c'est pareil. J'en crève.

Tu sais comment je suis, Brahim, je suis tout sauf une tarlouse, je suis respecté, on sent que j’ai des couilles et qu’il faut pas me chercher, c’est ça ma réputation et c’est vrai. T’as vu toi même, jamais j’ai canné quand c’était och. Y en a pas un qu’ose chercher la merde avec moi. Personne peut deviner. Même toi t’as halluciné quand t’as vu. Mais toi, mec, je sais que je mérite rien d’autre que d’être à genoux devant la boucle de ta ceinture. Je l’ai compris dès le premier jour, même si j’ai rien dit. En plus t’as toujours été un frère pour moi, toujours tu m’as respecté. C’est pour ça je voulais pas que tu saches que je portais ce lourd secret, c’est à cause de ton amitié, je voulais pas que tu me méprises. Mais l’autre soir, j’ai rien pu contre, c’était le destin. Peut-être que tu voudras plus me voir, plus jamais me parler. Je comprendrais. Mais faut que tu saches que je continuerai à t’admirer pareil. J’oublierai jamais comment tu m’as toujours traité comme un ami et un frère. Alors, me balance pas aux autres, je te demande juste ça en souvenir de notre amitié.

 

 

 

Par BRAHIM - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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