1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 06:00

le club des enculés

 Au lycée où son physique forçait l’admiration de tous (ou presque), Fabrice avait déjà culbuté de nombreuses filles et même des garçons. À la fin du cours de gym, il s’arrangeait toujours pour être le dernier et souvent un autre traînait comme lui... Pendant et après la douche, ils baisaient comme des fous. Le prof devait connaître la vérité car il avait pris l’habitude de quitter le vestiaire avant eux en leur faisant un clin d’œil entendu. S’il était au courant et qu’il consentait ce genre de pratique, Monsieur G était lui-même un fameux coquin. Fabrice pensait qu’un jour il passerait à la vitesse supérieure avec un adulte comme son prof...

[DANS LA CABANE, TRANQUILLES...soudain...]

— Vantard !

— C’est vrai qu’il est vantard ! enchaîna une autre voix. À côté de la mienne, la sienne est un peu maigrichonne...

Les deux amants se retournèrent et virent avec effroi — d’abord — leur professeur de gym à l’entrée de la cabane. M. G avait sorti sa grosse bite bien raide de son jogging et les regardait d’un air vicelard.

— Alors, c’est comme ça qu’on m’accueille ?

La surprise passée, Denis et Fabrice retrouvèrent leur sourire et leur excitation. Comment ne pas bander comme un âne face un aussi beau spécimen mâle. Monsieur G, avec ses trente-cinq ans, avait un corps à se pâmer ! Ils s’approchèrent de lui et se mirent à le déshabiller tout en l’embrassant et en se frottant contre lui.

— Vous devez vous demander comment je vous ai trouvés, hein ?

— Ben, oui...

— Il y a une semaine, j’ai attendu dans ma voiture à deux pas de chez toi, Denis. Le matin même, après le cours, j’avais entendu, bien malgré moi, que vous alliez vous retrouver à la «cabane»... comme d’hab’ ! Donc, j’ai fait le guet et lorsque tu es sorti, je t’ai suivi jusqu’ici... Je vous ai un peu regardés faire et j’ai trouvé que vous vous débrouilliez assez bien...

— Assez bien ?!! demanda Fabrice un peu vexé.

— C’est très prometteur mais vous méritez quelques leçons de perfectionnement. Que diriez-vous d’un prof pour votre apprentissage ?

— Ce serait cool !

— Génial même !

— Alors je suis votre homme... D’abord, je voudrais vous dire que le plaisir ne doit jamais être égoïste. Fabrice, toi, tu as très envie du petit trou de Denis. Bien. J’ai constaté que tu avais une technique de baise un peu froide. Regarde...

Avec ménagement, le prof a installé Denis à quatre pattes et lui a écarté les fesses.

— Tu vois cette zone ici ?

— Oui.

— Elle est extrêmement sensible et, rien qu’avec ta langue, tu pourrais arriver à faire jouir ton partenaire en la titillant. Ta bite est un fabuleux outil... Elle est très belle et très efficace ! Mais sers-toi aussi du reste de ton corps...

Monsieur G s’accroupit derrière Denis et commença à lui bouffer le cul. À coups de langue, il lui arrachait des cris de plus en plus forts.

— Fous-lui ton slip en bouche, il va nous faire repérer ! demanda le prof à Fabrice.

— C’est trop bon. Je n’en peux plus...

Denis subit les caresses de son professeur pendant dix minutes et il cracha son jus sur la table en bois où il était installé.

— C’était trop excitant ! Mmmmmm... lorsque vous passez votre menton dans ma raie... c’est génial... Ce picotement délicieux !

— Un autre petit truc ! Arrangez-vous pour avoir une barbe naissante lorsque vous voulez faire grimper un mec aux rideaux. Avec un menton et des joues légèrement barbus, on peut faire des merveilles...

Laissant à Denis le temps de reprendre des forces, le prof s’occupa un peu de Fabrice.

— Tu es uniquement actif, si je comprends bien ?

— C’est comme ça que je prends mon pied.

— Jusqu’ici oui !

— ...

— Tu n’as jamais essayé de te faire prendre ?

— Je n’ai pas trop envie.

— Comment ne pourrait-on pas avoir envie d’une chose qu’on ignore ?

— Ben...

— Tu as la trouille, c’est ça ? Tu as peur d’avoir mal ?

— Un peu, oui.

— Mets-toi à la place de Denis...

— Mais...

— Ne discute pas ! On perd du temps et le temps est infiniment précieux... surtout lorsqu’il peut être utilisé pour le plaisir.

Fabrice, un peu gauche, se positionna sur la grande table en bois et respira un bon coup. Le professeur lui écarta les fesses et cracha dans sa raie velue. Un doigt étala la salive puis se glissa dans le conduit anal très serré.

— Je suis serré !

— C’est fatal ! Tu n’as jamais essayé un gode ?

— Jamais !

Monsieur G tenta de forcer le passage avec deux doigts et Fabrice grimaça.

— Laisse-toi aller, Fabrice ! Regarde ta bite, elle bande. Ton corps a envie de ça et toi, tu te bloques sur une idée préconçue. Laisse ton esprit vagabonder dans le calme et la douceur...

— Facile à dire !

Le professeur offrit à Fabrice la même chose qu’à Denis mais il lui demanda de retenir sa jouissance. Lorsque la bouche du prof quitta la raie humide et bien lubrifiée, Fabrice comprit ce qui l’attendait. Il entendit le claquement d’un préservatif sur une queue. Il ferma les yeux. Monsieur G cracha sur sa queue pour faciliter la pénétration.

— Respire à fond !

Un «han» dynamique et la queue était à l’intérieur. La douleur fut instantanée mais elle se mua rapidement en onde de plaisir.

— Désolé pour la brutalité du premier coup mais il le fallait. Je viens de te casser le cul, mon petit gars ! Apprête-toi à découvrir de nouveaux horizons...

Les couilles pendantes du prof vinrent frapper contre le cul de Fabrice qui se sentit d'un coup envahi par un mât imposant.

— C’est trop énorme ! Vous allez me déchirer...

— Calme-toi ! Essaie de t’imaginer qu’une marée de plaisir monte en toi.

— Prends patience, Fab’ ! lui lança Denis qui se branlait. Tu vas trouver ça super !

Le prof continua ses mouvements bien dosés et se pencha vers l’enculé pour l'embrasser et le lécher dans le cou. Il savait y faire le prof. Il décula et laissa sa bite contre le trou puis il y rentra très vite. Il fit ça plusieurs fois. Fabrice gémit et se mit à se branler lentement en disant :

— Allez-y, M’sieur, continuez. Baisez-moi !

Cette demande fit comprendre à l’enculeur qu’il venait de gagner la partie et que l’initiation était réussie. La demande de Fabrice lui suffit pour lui rendre de l’énergie et il se mit à le besogner comme un bûcheron en poussant des «han» puissants.

— Putain de merde ! Que c’est boooooooon... hurla Fabrice.

D’un regard, le prof fit comprendre à Denis qu’il fallait lui fourrer un truc en bouche pour le faire taire.

— T’étais un bon petit baiseur ! Maintenant, t'es une bonne petite salope ! Tu comprendras mieux le plaisir que tu peux donner maintenant que tu y as goûté ! Ouais... Ta chatte est bien chaude, petit enculé.

Et pour la première fois de sa courte vie, Fabrice jouit du cul. Le prof se retira très vite pour larguer sa purée au même moment que son élève et Denis cracha lui aussi pour la deuxième fois.

— Bienvenue au club, mon "chou" ! lança Denis à son mec. Le club des enculés !

 

 

 

 

Par DENIS - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 4 juillet 1 04 /07 /Juil 14:31

je n'ai pu me défendre et j'ai joui de nouveau et très fort 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par AMAN2CHIENNES - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 25 juin 6 25 /06 /Juin 21:51

"c'est à vous, mes parents " ...

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Patrick Bradley est journaliste de gastronomie dans des journaux new-yorkais.

Il s’est marié il y a déjà plus de deux ans avec son compagnon. Malheureusement ses parents n’étaient pas présents au mariage justifiant "des raisons religieuses".  Récemment le jeune américain a tenu à réagir en écrivant une lettre ouverte publiée dans Out Magazine, il exprime ainsi tout ce qu’il a sur le cœur !

Depuis Patrick a été contacté par le site BuzzFeed News à qui il a confié : "J’ai envoyé la lettre à mes parents et à ma famille le 22 octobre. Il y a une semaine, ma mère m’a envoyé une prière". Sur les réseaux sociaux, le couple reçoit une pluie de messages de soutien et la lettre a déjà été partagée plus de 100 000 fois !  La déclaration la plus marquante de cette lettre restera "Je pense que vous devriez avoir honte, pas moi.”.

 

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la lettre très émouvante du journaliste :

"Chère maman, cher papa,

890 jours se sont écoulés depuis que vous avez tous les deux refusé d’assister à mon mariage. Je ne sais pas pourquoi j’ai mis aussi longtemps à réagir. J’avais peut-être peur de ce que la famille pourrait penser, de ce qu’elle pourrait dire. Ou j’avais peut-être peur de perdre encore un peu plus de ma merveilleuse famille, à qui je pense jour et nuit.

Mais le moment est venu, car je suis fatigué, après 890 jours passés à être hanté par votre présence –ou votre absence, pour être plus précis. Je suis fatigué nuit après nuit de rêver de vous. Et cette nuit, j’ai fait un très mauvais rêve – un de ceux qui vous réveille en sursaut et vous empêche de vous rendormir. Donc à 6h22 du matin, après un peu plus de 3 h de sommeil, je vous écris cette lettre – sachant que je pourrais profiter d’une bonne nuit de sommeil après le travail; mais je préfère travailler sans avoir dormi que sans dignité.

Pour n’exclure personne de la famille (plus longtemps), j’envoie cette lettre à tous ceux qu’elle concerne. Je veux que tout le monde sache ce qui s’est passé lors de ma dernière visite, avant mon merveilleux mariage. Je n’écris pas cette lettre pour me venger (même s’il pourrait paraître que si), mais je l’écris parce que je suis fatigué de marcher sur des œufs avec mes frères et sœurs, mes filleuls, mes neveux et mes nièces. Je suis fatigué d’être “conciliant” avec vous deux, “pour le bien de la famille”. Je suis également fatigué des vacances et des cadeaux refusés, et je suis fatigué que vous ayez le culot de parler à mon mari (et à moi), comme si rien ne s’était passé. Vous n’avez pas honte ?

Je crois qu’il est temps que je donne à la famille ma version des faits, comme je suis sûr que vous avez déjà donné la vôtre. Je veux tout mettre sur la table, pour avoir ma conscience pour moi quand je vous verrai, à n’en pas douter, aux réunions de famille – réunions que je préférerais désormais éviter si l’un de vous est présent; j’ai d’autres occasions de voir ma famille.

Le 13 mai 2013, je suis venu dans le New Jersey – un jour après la fête des Mères – pour vous emmener déjeuner, parce que j’avais du travail la veille. Vous êtes venus me chercher à la gare et nous nous sommes arrêtés chez A & P pour acheter une carte d’anniversaire pour un des garçons. Sur le chemin, je vous ai dit combien la famille de Michael, qui venait de Géorgie, du Colorado et au-delà – pour vous rencontrer! – était très impatiente de vous voir. Et vous avez répondu que vous ne viendriez pas au mariage. J’ai fait de mon mieux pour garder mon calme, pensant que je parviendrais à vous faire changer d’avis avant le grand jour.

Quand nous étions chez A & P, vous avez commencé à citer la Bible, alors que des clients s’activaient autour de nous pour faire leurs courses de l’après-midi. Quand nous sommes retournés à la voiture, vous avez parlé de votre peur qu’un ange vous apparaisse en disant : «Arrêtez de prier pour Patrick! Il est déjà en enfer!» J’ai compris qu’il était temps d’abattre ma dernière carte et de vous lancer un ultimatum que je ne pensais pas que vous ignoreriez.

Je vous ai expliqué, simplement et calmement, que si vous ne veniez pas à mon mariage, vous ne me verriez plus jamais: plus de vacances, plus d’anniversaires, plus d’hôpital, plus d’enterrements. Ce que j’ai entendu m’a mis en état de choc. Vous avez répondu, sans hésiter: «Nous le savons, j’en ai parlé à ton père la nuit dernière et nous l’acceptons! Nous avons dit que nous te rendions à Dieu!» Je me souviens que d’autres choses ont été dites, mais je ne vais pas les évoquer. Alors que j’étais choqué – que vous préfériez ne plus me voir plutôt que d’assister à mon mariage, vous avez simplement changé de sujet: «Eh bien, je suppose que tu ne veux plus aller déjeuner.» Comme j’ouvrais la porte pour retourner à la gare, l’un de vous a proposé : «Laisse-moi te ramener au train. Que ce soit la dernière chose que je fasse pour toi.» Je doutais d’avoir bien compris ce que vous veniez de dire, mais vous avez précisé vos propos immédiatement.

Maman, papa : en n’assistant pas à mon mariage, vous m’avez rejeté, vous avez rejeté mon mari, qui est ma famille proche. En retour, je rejette tous ceux qui rejette ma famille – par respect pour elle. Mais je propose une solution.

Je vous pardonne tous les deux pour ce que vous avez fait, si, devant toute la famille (du plus jeune au plus vieux), vous admettez tous les deux que vous avez mal agi; admettez que vous auriez dû être à mon mariage. Parce que je pense que ce que vous avez fait est honteux. Vous avez brisé une famille. Mais ce qui me brise le plus le cœur, ce sont les conséquences sur les plus jeunes – ceux qui étaient trop jeunes pour comprendre ce qui était en train de se passer. Ceux qui ont peut-être pensé “Patrick doit être mauvais” ou “il doit avoir fait quelque chose de mal parce que mamie n’est pas allée à son mariage”. Pour ça, je pense que vous devriez avoir honte, pas moi.

Je veux que tout le monde sache la vérité. Et peut-être que la nuit prochaine, je pourrai dormir toute la nuit.

Bien à vous,
Patrick"

 

Jeremy Charvet qui fait genre  "boy next door ici",  candidat de The Voice 4, reprend "Je vole" de Michel Sardou 

Par PATRICK BRADLEY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 08:17

à  la télé quelquefois ils sontRésultat de recherche d'images pour "pouce levé gif"   comme ça

    Tony à G et Marvin à D à l'écran très émouvants
  

on verra Enzo le frère de Tony, célib'  Marvin est en couple, à Marseille avec MehdiL

un suicide d'ado sur deux est dû à un rejet de leur homosexualité  

 

Vidéo ajoutée le 8 juin 2016 17 ans la vie les a déjà "façonnés" 

      L’homosexualité est souvent un sujet tabou dans les familles. Un coming-out difficile, des proches qui ne comprennent pas forcément… Dans la famille de Philippe et Jean-Yves, tout s’est passé différemment. Leur amour a été bien accueilli par leurs proches

attention! un coming-out peut-être la meilleure ou la PIRE des choses ! On peut-être plus mal après qu'avant !

 

 

Afficher l'image d'originecrever l'abcès

Par emission TV - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 juin 7 12 /06 /Juin 07:36

les résultats des études sociologiques  démontrent que cette divulgation  puisse être génératrice d’une importante détresse et conduire certains jeunes à avoir envie de mettre fin àleurs jours, essentiellement lorsqu’elle donne lieu à des attitudes négatives.

Mais cela peut aussi être source de libération et de bien-être, notamment lorsqu’elle conduit le jeune à bénéficier d’un soutien plus important.

 

.:  fake

c'est notre chair ...

l

es jeunes

LGBT ont entre 1,5 et 3 fois plus de risque d’avoir des idées suicidaires que leurs pairs hétérosexuels (Suicide Prevention Resource Center, 2008). Par exemple, dans l’étude menée en 2007 par Silenzo et ses collaborateurs, 17,2 % des 447 jeunes LGB (18-26 ans) interrogés ont déclaré avoir eu des idées suicidaires durant les douze derniers mois contre 6,3 % des 13 885 hétérosexuels du même âge (Silenzio, Peña et al., 2007). Les données françaises vont dans le même sens

 

Par VEILLE LGBT - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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