Partager l'article ! Le prof devait connaître la vérité car il avait pris l’habitude de quitter le vestiaire avant eux en leur faisant un clin d’œil entendu. Il é ...
le club des enculés
Au lycée où son physique forçait l’admiration de tous (ou presque), Fabrice avait déjà culbuté de nombreuses filles et même des garçons. À la fin du cours de gym, il s’arrangeait toujours pour être le dernier et souvent un autre traînait comme lui... Pendant et après la douche, ils baisaient comme des fous. Le prof devait connaître la vérité car il avait pris l’habitude de quitter le vestiaire avant eux en leur faisant un clin d’œil entendu. S’il était au courant et qu’il consentait ce genre de pratique, Monsieur G était lui-même un fameux coquin. Fabrice pensait qu’un jour il passerait à la vitesse supérieure avec un adulte comme son prof...
[DANS LA CABANE, TRANQUILLES...soudain...]
— Vantard !
— C’est vrai qu’il est vantard ! enchaîna une autre voix. À côté de la mienne, la sienne est un peu maigrichonne...
Les deux amants se retournèrent et virent avec effroi — d’abord — leur professeur de gym à l’entrée de la cabane. M. G avait sorti sa grosse bite bien raide de son jogging et les regardait d’un air vicelard.
— Alors, c’est comme ça qu’on m’accueille ?
La surprise passée, Denis et Fabrice retrouvèrent leur sourire et leur excitation. Comment ne pas bander comme un âne face un aussi beau spécimen mâle. Monsieur G, avec ses trente-cinq ans, avait un corps à se pâmer ! Ils s’approchèrent de lui et se mirent à le déshabiller tout en l’embrassant et en se frottant contre lui.
— Vous devez vous demander comment je vous ai trouvés, hein ?
— Ben, oui...
— Il y a une semaine, j’ai attendu dans ma voiture à deux pas de chez toi, Denis. Le matin même, après le cours, j’avais entendu, bien malgré moi, que vous alliez vous retrouver à la «cabane»... comme d’hab’ ! Donc, j’ai fait le guet et lorsque tu es sorti, je t’ai suivi jusqu’ici... Je vous ai un peu regardés faire et j’ai trouvé que vous vous débrouilliez assez bien...
— Assez bien ?!! demanda Fabrice un peu vexé.
— C’est très prometteur mais vous méritez quelques leçons de perfectionnement. Que diriez-vous d’un prof pour votre apprentissage ?
— Ce serait cool !
— Génial même !
— Alors je suis votre homme... D’abord, je voudrais vous dire que le plaisir ne doit jamais être égoïste. Fabrice, toi, tu as très envie du petit trou de Denis. Bien. J’ai constaté que tu avais une technique de baise un peu froide. Regarde...
Avec ménagement, le prof a installé Denis à quatre pattes et lui a écarté les fesses.
— Tu vois cette zone ici ?
— Oui.
— Elle est extrêmement sensible et, rien qu’avec ta langue, tu pourrais arriver à faire jouir ton partenaire en la titillant. Ta bite est un fabuleux outil... Elle est très belle et très efficace ! Mais sers-toi aussi du reste de ton corps...
Monsieur G s’accroupit derrière Denis et commença à lui bouffer le cul. À coups de langue, il lui arrachait des cris de plus en plus forts.
— Fous-lui ton slip en bouche, il va nous faire repérer ! demanda le prof à Fabrice.
— C’est trop bon. Je n’en peux plus...
Denis subit les caresses de son professeur pendant dix minutes et il cracha son jus sur la table en bois où il était installé.
— C’était trop excitant ! Mmmmmm... lorsque vous passez votre menton dans ma raie... c’est génial... Ce picotement délicieux !
— Un autre petit truc ! Arrangez-vous pour avoir une barbe naissante lorsque vous voulez faire grimper un mec aux rideaux. Avec un menton et des joues légèrement barbus, on peut faire des merveilles...
Laissant à Denis le temps de reprendre des forces, le prof s’occupa un peu de Fabrice.
— Tu es uniquement actif, si je comprends bien ?
— C’est comme ça que je prends mon pied.
— Jusqu’ici oui !
— ...
— Tu n’as jamais essayé de te faire prendre ?
— Je n’ai pas trop envie.
— Comment ne pourrait-on pas avoir envie d’une chose qu’on ignore ?
— Ben...
— Tu as la trouille, c’est ça ? Tu as peur d’avoir mal ?
— Un peu, oui.
— Mets-toi à la place de Denis...
— Mais...
— Ne discute pas ! On perd du temps et le temps est infiniment précieux... surtout lorsqu’il peut être utilisé pour le plaisir.
Fabrice, un peu gauche, se positionna sur la grande table en bois et respira un bon coup. Le professeur lui écarta les fesses et cracha dans sa raie velue. Un doigt étala la salive puis se glissa dans le conduit anal très serré.
— Je suis serré !
— C’est fatal ! Tu n’as jamais essayé un gode ?
— Jamais !
Monsieur G tenta de forcer le passage avec deux doigts et Fabrice grimaça.
— Laisse-toi aller, Fabrice ! Regarde ta bite, elle bande. Ton corps a envie de ça et toi, tu te bloques sur une idée préconçue. Laisse ton esprit vagabonder dans le calme et la douceur...
— Facile à dire !
Le professeur offrit à Fabrice la même chose qu’à Denis mais il lui demanda de retenir sa jouissance. Lorsque la bouche du prof quitta la raie humide et bien lubrifiée, Fabrice comprit ce qui l’attendait. Il entendit le claquement d’un préservatif sur une queue. Il ferma les yeux. Monsieur G cracha sur sa queue pour faciliter la pénétration.
— Respire à fond !
Un «han» dynamique et la queue était à l’intérieur. La douleur fut instantanée mais elle se mua rapidement en onde de plaisir.
— Désolé pour la brutalité du premier coup mais il le fallait. Je viens de te casser le cul, mon petit gars ! Apprête-toi à découvrir de nouveaux horizons...
Les couilles pendantes du prof vinrent frapper contre le cul de Fabrice qui se sentit d'un coup envahi par un mât imposant.
— C’est trop énorme ! Vous allez me déchirer...
— Calme-toi ! Essaie de t’imaginer qu’une marée de plaisir monte en toi.
— Prends patience, Fab’ ! lui lança Denis qui se branlait. Tu vas trouver ça super !
Le prof continua ses mouvements bien dosés et se pencha vers l’enculé pour l'embrasser et le lécher dans le cou. Il savait y faire le prof. Il décula et laissa sa bite contre le trou puis il y rentra très vite. Il fit ça plusieurs fois. Fabrice gémit et se mit à se branler lentement en disant :
— Allez-y, M’sieur, continuez. Baisez-moi !
Cette demande fit comprendre à l’enculeur qu’il venait de gagner la partie et que l’initiation était réussie. La demande de Fabrice lui suffit pour lui rendre de l’énergie et il se mit à le besogner comme un bûcheron en poussant des «han» puissants.
— Putain de merde ! Que c’est boooooooon... hurla Fabrice.
D’un regard, le prof fit comprendre à Denis qu’il fallait lui fourrer un truc en bouche pour le faire taire.
— T’étais un bon petit baiseur ! Maintenant, t'es une bonne petite salope ! Tu comprendras mieux le plaisir que tu peux donner maintenant que tu y as goûté ! Ouais... Ta chatte est bien chaude, petit enculé.
Et pour la première fois de sa courte vie, Fabrice jouit du cul. Le prof se retira très vite pour larguer sa purée au même moment que son élève et Denis cracha lui aussi pour la deuxième fois.
— Bienvenue au club, mon "chou" ! lança Denis à son mec. Le club des enculés !
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