ça fait réfléchir penser à autre chose non ?
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
ça fait réfléchir penser à autre chose non ?
1. ce papy maîtrise la webcam où il aime se regarder et montrer sa joie et son beau sourire . Ce jeune devait chercher "fortune " et il l'a trouvée)dans son immeuble ou dans le parc ! Chacun d'eux sait , pour l'avoir déjà vécu, ce qu'il attend de cette rencontre car le papy bande bien et sait amplifier les gémissements en vagissements et ces derniers en cris d'orgasme ! Ici non, mais je suis souvent déçu quand les vidéos s'arrêtent juste avant la fin qu'on vous propose d'aller regardersur un site payant. Ah non alors !
surferthev : Au début je tremble je sais pas comment cambré et tout E tout ... a15 ans et lui 56 ans il a commencé à m’initier doucement puis il a fait de moi une vrais salope et j’aime donner du plaisir au mec
frenchyparis : Oh dad dad it is so good mmmm
2.**ce JH veut creuser-lol-la différence entre "like" et "love" ; en attendant le grand amour il vit et sait profiter d'un partenaire d'expérience qui le mène au plaisir à coup sûr
3.** une rude tendresse et il a bien l'air d'apprécier le sexe...entre deux claques !
J4AIME QUAND IL EST AUX ABOIS AVEC SES AHHHH, SES OHHHH, SES YES TIMIDES OU AFFIRMES
dans ce semblant de lutte il aime tricher pour avoir le dessous :
ce n'est qu'après que j'ai réalisé qu'en tombant publiquement dans les bras de Pierre qui m'attendait au pied de l'escalier de la pension j'avais déclenché des réactions d'isolement autour de nous : la direction nous a changés de dortoir, les autres ont cessé d'avoir des rapports neutres envers nous. Je souffrais mais je pensais qu'ils réagissaient par jalousie. Peut-êfre n'avais-je pas tout à fait tort. Je le pense encore aujourd'hui mais j'ai encore mal.
Cette photo a reçu plus de 600 000 likes en 2 jours :
l'Express "Je suis homosexuel et j'ai peur pour mon futur, peur que les gens ne m'aiment pas." Ce garçon, photographié sur la page Facebook Humans of New York, a ému par son désarroi. Mais beaucoup d'internautes se sont interrogés qu'un garçon si jeune soit fixé sur ses orientations sexuelles.Facebook / Humans of New York / Stanton Ses larmes ont fait le tour du monde. Ses larmes ont fait le tour du monde. Assis sur le perron de son immeuble, un jeune new-yorkais pleure. Pas pour une histoire de goûter volé ou de mauvaise note, c'est pour son avenir que cet enfant s'inquiète. "Je suis homosexuel et j'ai peur pour mon futur, peur que les gens ne m'aiment pas", confie-t-il sur le blog d'un photographe de rue américain.
on voit l'avenir dans les yeux de l’enfant qui écoute le secret dans le coquillage ?
Moi: Rien, rien, je ne savais rien de la vie, à 8 ans, ma copine s'appelait Eliane, on disait qu'on se marierait. Le copain pour qui je fondais à la récré s'appelait Marc. Je l'aimais tellement que je me laissais dominer par lui, je me traînais à ses pieds. J'attendais qu'il me donne des ordres. Je ne faisais pas que l'admirer, je voulais être lui. Je voulais que mon corps fusionne avec le sien. une autre façon de dire ne faire qu'un. J'ai été jaloux de lui. Plus tard, en 4e et 3e nous avons eu des relations orageuses.
A 10 ans, pas avec lui, mais en pension, Pierre (12 ans, presque 13 ans), m'a initié à SA vie sexuelle. Il avait un gros zizi, moi non. Il se masturbait, je pouvais le toucher et c'était doux.
je ne peux pas affirmer que ça a fait de moi le gay-bi que je suis car je pense j'avais de solides dispositions. -lol-
"Bon, là on était en pension médicalisée. Pierre était un magnifique garçon de 12 ans qui vivait comme moi dans la banlieue de notre ville devenue distante de 300km. Le croirez-vous , il était pubère. J'ai découvert la masturbation en le voyant se branler dans la pénombre au dortoir, il avait une grosse bite, il me montrait ses éjacs conservées dans du papier-toilette, puis, dans les jours qui suivirent il commença à m' insérer son sperme directement avec son sexe entre mes petites fesses où, même s'il en parcourait la raie, il ne pénétrait pas malgré ma propre envie et que, après de longs "frottings" son sperme juvénile déposé entre mes fesses (un délice ) faisait glisser entre elles quand je marchais (sensation délicieuse aussi).
La nuit au dortoir il savait trouver un bon accueil dans mon lit. Je souffrais de la séparation familiale, lui moins je pense pouvoir dire. Ca me jetait dans ses bras : il avait besoin d'une certaine forme d'affection, moi d'affection tout court. Et puis m...on va culpabiliser ni l'un ni l'autre ! Il mesurait déjà dans les 1 mètre 60(?) et me dominait largement d'une trentaine de cm. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux marrons. Son corps avait commencé à bien se muscler.Il était bien plus grand que moi qui n'avais alors que 10 ans. Si j'en étais amoureux(ça oui!) aussi bien je le voyais comme un homme.
Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément, copieusement l'enfance.
moi je rêvais à je ne sais quoi de beau plus beau que la réalité de ma vie. Je rêvais sans doute d'être à lui sans pouvoir encore le formuler
"Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il sourait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte. Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.
Un matin le directeur m'a retenu à son bureau pour me rendre à mes parents venus me chercher, étais-je viré ??? et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! ".¤
l'Express A quel âge prend-on conscience de son homosexualité?
Xavier Pommereau, Pédopsychiatre -"Le plus souvent, les jeunes gens le savent dès leur enfance mais sans pouvoir se le dire, mettre des mots sur ce qu'ils ressentent. Un petit garçon, par exemple, va sentir qu'il est attiré par les hommes mais pas pour trouver une figure de l'autorité. J'ai un patient qui aimait les bras de son prof de judo. C'est la même chose qu'un gamin attiré par sa maîtresse à l'école. Mais à cet âge, il n'y a pas de représentation sexuelle de cette attirance. Généralement, ils reconnaissent ces signes a posteriori.
l'Express Vers quel âge? Xavier Pommereau, Pédopsychiatre
A l'adolescence, voire même à la préadolescence. Les jeunes mûrissent aujourd'hui plus précocement : grâce à Internet, la télévision, ils sont hyper informés et commencent à avoir des représentations sexuelles vers 9-11 ans. Le processus d'acceptation reste malgré tout long.
Moi : aurais-je été pire ou bien meilleur si c'était en 2018 ???
Qu'est-ce qui est le plus dur à accepter?
Xavier Pommereau, PédopsychiatreL'adolescence d'un jeune homosexuel est souvent une source de souffrance en raison du vécu de la différence. L'homophobie est bien évidemment un problème: les attaques, le harcèlement, les moqueries leur font beaucoup de mal mais ce n'est qu'un aspect de la souffrance. Avant même d'accepter le regard des autres, il faut s'accepter soi-même. Les aider à accepter leur différence est le but de notre travail. Beaucoup d'ados refoulent un temps leur homosexualité, vivent une relation hétérosexuelle pour se convaincre qu'ils sont comme tout le monde.
L'Express: Y a-t-il une différence entre l'acceptation de l'homosexualité masculine et féminine?
L'homosexualité féminine étant moins visible, elle est souvent plus facile à accepter. Deux adolescentes qui se tiennent par la main ou dorment dans le même lit peuvent facilement passer pour les meilleures amies. Alors que deux garçons de 15-16 ans qui font la même chose seront immédiatement catalogués "homosexuels".
L'acceptation de l'homosexualité par les proches a-t-elle évolué?
Énormément. Il y a vingt ans, les parents acceptaient très mal cette annonce, certains hurlaient, pleuraient, tournaient le dos à leur enfant. On en avait régulièrement qui nous emmenaient leur ado pour qu'on "corrige" cette homosexualité. Les mentalités ont beaucoup évolué. Dans les manuels de psychiatrie des années 60 ou 70, l'homosexualité était par exemple considérée comme une perversion sexuelle. Il a fallu attendre les années 90 pour qu'on admette qu'il s'agissait d'un penchant dont on ne sait d'ailleurs toujours pas vraiment quand il prend racine.
Aujourd'hui ces réactions extrêmes sont rares. Dans la grande majorité des cas, les parents ne sont pas très à l'aise avec l'homosexualité de leur enfant - notamment parce qu'ils ont des représentations* - mais ils l'acceptent. Et les mentalités évoluent dans ce sens: les adolescents sont plus ouverts que leurs parents sur le sujet.
* Moi: Des représentations ? Ben je suppose qu'ils imaginent, avec l'effroi de leur concepts à eux, ce qu'on fait quand on est ensemble dans un lit ! Des représentations ? "Ah oui, madame Michu...ben notre fils on le voit pas souvent...."¤
GAY ACCESS :
«J’aimerais pouvoir inviter mon copain à Noël chez mes parents»
«En Suisse, être homosexuel ne pose aucun problème. Je me sens accepté partout, y compris au travail. Nous avons déjà l’égalité, seules les lois doivent encore être adaptées», affirme David.
tout est joué avant six ans disent-ils ...et à 10 ans, qu'est ce qu'on joue ?
2015 école en Ardèche sur Pinterest fake photo
Je m'appelle R... et j'ai 10 ans /J'ai dix ans
Je sais que c'est pas vrai mais j'ai dix ans
Laissez-moi rêver que j'ai dix ans
Ça fait bientôt quinze ans que j'ai dix ans
Ça parait bizarre mais
Si tu m'crois pas hé
T'ar ta gueule à la récré/ Alain Souchon
Enzo fake photo
Je l'aimais fort mon Enzo, j'aurais voulu être lui.
Un jour j'ai dormi chez lui et sa mère m'a prêté un de ses pyjamas. Une fois habillé pour la nuit j'étais fou d'excitation. Sa mère est restée perplexe quand je lui ai dit : "Je suis un autre Enzo. Vous avez deux Enzo!" Je l'aimais fort mon Enzo c'était très fusionnel.
commentaire :
bien sûr, tout est bloqué, vous ne pouvez que vous exécuter, donc vous faire enculer une fois de plus par un des GAFFAM QUI NE SONT QUE DES BORDILLES RICAINES je le dis tant qu'ils ne me censureront pas moi aussi
C'EST UN ORDRE !
un ami annonceur pour sa (petite) activité commerciale m'a confié : Google vous oppose sans cesse un concurrent prêt à payer plus cher pour vous passer evant. J'ai dû laisser faire. Maintenant je dois être en 50e ou 100e position.
Merci de donner votre avis...la Direction : Par le Figaro :
Porter un jugement négatif sur un établissement sur internet n'est pas sans risque de poursuite. Une blogueuse en a fait l'expérience et va devoir verser 1500 euros de dommages et intérêts à un restaurant pour «dénigrement».
1500 euros à titre de provision sur dommages et intérêts et 1000 euros de frais de procédures. C'est la décision qu'a prise le 30 juin dernier le tribunal de grande instance de Bordeaux à l'encontre d'une blogueuse qui avait publié en août 2013 sur son site une critique sévère sur un restaurant.
C'est en mai dernier, alors que la saison touristique démarrait, que la gérante d'un restaurant italien du Cap-Ferret constate une baisse de fréquentation. Un de ses clients lui signale alors que, lorsqu'on tape le nom du restaurant sur Google, un article de blog intitulé «l'endroit à éviter au Cap-Ferret» suivi du nom du restaurant apparaît dans les premiers résultats de recherche. Une blogueuse, dénommée L'Irrégulière*, y raconte son expérience malheureuse dans l'établissement notamment avec le service. Les gérants décident, par le biais de leur avocate, d'entamer une procédure judiciaire début juin. «Cette mention ‘l'endroit à éviter', est un jugement péremptoire», explique la partie civile. Il aurait été différent d'écrire ‘l'endroit que je déconseille'. Toute critique est la bienvenue. Maisi ici, on est dans le jugement. Et ce qui posait souci, c'était aussi bien le titre que le réferencement de cet article. C'était une question d'urgence pour le "bien être de l'entreprise " -lol-
* pseudo
Qui a payé dans un deuxième temps pour que ce texte soit brouillé par d'incessantes coupures et menaces ? Le Figaro, le resto ? google ?
ils le jetèrent donc sur un lit, lui mirent un coussin sur le visage pour étouffer ses cris, l'assujettirent sur le lit au moyen d'une table qu'ils renversèrent sur son corps et, au travers d'un tuyau de corne, lui enfoncèrent un fer rouge dans les entrailles"
beaucoup voudraient avoir été ce favori "x" ou "y" possédant le doux Édouard II pour, ensuite, s'emparer du pouvoir et c'est sans aucune tendresse que sur ordre de sa femme on lui plante un fer rouge dans le cul...toujours pareil : le pédé c'est un suppôt du diable...plus il a mal pour mourir, mieux c'est !
Avec la distance historique, même le pire on n'y fait plus attention. Des rois assassinés y en a eu, mais des comme ça...faut être pédé pour en avoir l'avantage...-lol-moi claudio je le ressens comme si c'était moi alors que je ne suis que le roi des c...
ça reste une histoire de cul !
Édouard est, sa vie durant, plus enclin aux plaisirs de la cour et aux divertissements qu’à ses devoirs de souverain. Il est incapable de refuser les plus grandes faveurs à ses divers favoris, dont les plus célèbres sont Pierre Gaveston, un chevalier venu d'Aquitaine, qui est fait Comte de Cournouailles, puis un jeune seigneur anglais, Hugues le Despenser , provoquant de constants troubles politiques et, probablement, à terme, la déposition par mort violente .
- un roi qui jouit en se faisant baiser il a le même regard troublé que toi et moi ... ah, j'oubliais toi tu ne
te fais pas baiser -lol-
NOTES : Dès 16 ans Édouard commence à s'attacher Piers Gaveston, fils d'un chevalier gascon au service du roi Édouard Ier. Remarqué par le roi, Gaveston rejoint la suite du prince en 1300. Les deux adolescents se lièrent d'amitié : Gaveston devint l'écuyer du prince et fut rapidement décrit comme son proche compagnon. Gaveston est d'ailleurs adoubé avec son ami par le roi lors de la Fête des cygnes en 1306. Le roi exile ensuite Gaveston en Gascogne en 1307 pour des raisons obscures . Selon un chroniqueur, Édouard aurait demandé à son père d'accorder à Gaveston le comté de Ponthieu et le roi lui aurait répondu avec fureur, se saisissant de son fils et lui arrachant des poignées de cheveux, avant de décider d'exiler Gaveston. Les rapports officiels de la cour mentionnent cependant que l'exil de Gaveston ne fut que temporaire, d'autant que le chevalier recevait une confortable pension. Il semble donc que le roi ne tenait pas rigueur au favori, mais bien à son fils, et souhaitait punir ce dernier.
La possibilité que Édouard ait entretenu des relations sexuelles avec Gaveston ou ses favoris ultérieurs a été longuement discutée par les historiens , du fait du manque de preuves contemporaines. L'homosexualité était fermement condamnée par l'Église au XIVe siècle et considérée comme de l'hérésie. Néanmoins, s'engager dans une relation sexuelle avec un autre homme ne définissait pas l'identité d'un individu comme au XXIe siècle. Édouard et Gaveston ont tous deux eu des relations sexuelles avec leurs épouses, qui leur donnèrent plusieurs enfants. De plus, Édouard a eu un fils illégitime, Adam FitzRoy et aurait pu avoir une relation avec sa nièce Éléonore de Clare. Ce qui serait aujourd'hui défini comme de la bisexualité
UN PETIT MARIAGE ENTRE HOMMES : La preuve contemporaine soutenant l'hypothèse d'une relation homosexuelle avec Gaveston vient d'abord d'un chroniqueur anonyme des années 1320, qui décrit comment Édouard « ressentit tellement d'amour pour Gaveston qu'il entra dans une alliance de constance et se lia avec lui devant tous les autres mortels avec un lien d'amour indissoluble, formellement tracé et attaché avec un nœud ». La première suggestion spécifique selon laquelle Édouard aurait engagé des relation sexuelles avec des hommes fut enregistrée en 1334, lorsque l'évêque de Hereford Adam Orleton fut accusé d'avoir affirmé en 1326 que Édouard était un « sodomite », bien que Orleton se soit défendu d'avoir tenu de tels propos et ait rétorqué qu'il désignait en réalité le favori d'Édouard, Hugues le Despenser le Jeune. La Chronique de Meaux affirme pour sa part dans les années 1390 que Édouard s'était « tro adonné au vice de la sodomie»
Plus tard, dès ses 18 ans, Edouard III, le fils, vengera la mort de son père par l’exécution de Roger Mortimer et la mise en exil de sa mère. La suite, vous la connaissez, c’est le début de la Guerre de Cent Ans.
dans certaines parties très privées de son palais, ses favoris pouvaient laisser admirer leurs charmes
La mort de ce pauvre Edouard II d'Angleterre intrigue et décidément passionne.Nul doute que ce mystère demeure d'actualité, bien que ce drame se déroula en l'an 1327 ! Mais, du fait que Marlowe en a fait le sujet d'une tragédie célèbre ,et le romancier Maurice Druon en a fait un récit haut en couleurs dans Les Rois maudits, le malheureux roi assassiné s'est trouvé en quelque sorte placé sous les projecteurs de l'histoire... !
gouverné par le cul (comme on le comprend ! ) il l'a payé très cher
Raymond Avignon, historien, se demandait s'il était possible de savoir la vérité exacte sur cette affaire. Or, un historien anglais de grande réputation, T.F. Tout , a précisément étudié les divers témoignages que nous possédons sur le mystère de cette mort, et on a eu la curiosité d'aller consulter cette étude : The Captivity and Death of Edward of Carnarvon, publiée à Manchester en 1920. Peut-être les lecteurs ici présents à Cavaillongay sont-ils intéressés par ses conclusions...
On sait que c'est au titre de roi gay qu'Edouard II nous intéresse. Ce souverain anglais du XIVe siècle – fort mauvais roi, au demeurant *– se rendit célèbre par son amour pour deux favoris successifs, Pierre de Gaveston ou Gabasron, puis Hugues Despenser, à qui il confia pratiquement le gouvernement et la puissance royale. Comme, en même temps, l'Angleterre traversait une crise économique sérieuse et que la misère était grande, on rendit les favoris responsables de cet état de choses, et l'opposition se cristallisa autour de la propre femme du roi, Isabelle de France, femme cruelle et vindicative, qui ne s'ennuyait pas non plus, mais ne pardonnait pas à son mari de la délaisser pour ses favoris. Elle passa en France avec son amant, Roger Mortimer, y leva une armée, débarqua sur la côte sud, marcha sur Londres, y entra, fit son mari prisonnier ainsi que le malheureux Hugues Despenser, et fit proclamer son fils roi sous le nom d'Edouard III (celui-là même qui devait commencer la Guerre de Cent ans), tout en gardant le pouvoir pour elle-même et pour son amant.
On connaît assez bien le sort réservé à l'amant, Hugues Despenser (un atroce supplice décrit par Maurice Druon)
le martyre d' Hugues Despenser
l’art anglais de la mise à mort : il est jugé et condamné à un supplice atroce car il est homo et a subjugué le roi gay ! Cela commence par la pendaison, mais pas au point d’en mourir. Ses organes génitaux sont ensuite coupés et jetés dans les flammes. Le condamné, encore vivant à ce stade-là, est ensuite éventré afin que son cœur et ses entrailles soient brûlés. Pour finir, son corps est découpé en quatre morceaux qui sont envoyés dans différents lieux d’Angleterre pour éviter que le diable ne reconstitue le corps du bel homme
Bah, là on commence à imaginer le sort d'Edouard II. Oui, car même s’il est emprisonné à vie, Isabelle, surnommée la louve de France, pense qu’il représente encore une menace. Pourtant, elle ne peut le faire assassiner sans craindre de terribles troubles dans le royaume, il faut donc trouver une méthode pouvant faire croire à une mort naturelle.
Edouard II était un grand costaud. Ca n'a pas du être facile de se rendre maître de son corps qu'il donnait parfois si volontiers
La destinée du roi détrôné est restée un sujet de controverse. On sait qu'il fut d'abord emprisonné au château de Kenilworth, sous la garde de son cousin et ennemi Henri de Lancastre, pendant deux ou trois mois. Mais, comme des bruits couraient que des loyalistes restés fidèles allaient le délivrer, il fut transféré au château de Berkeley, et confié cette fois à la garde de Thomas de Berkeley, le propre beau-frère de Roger Mortimer qui était l'amant de la reine, et également à la garde de son parent Sir John Maltravers. Peu après, un troisième larron, Sir Thomas Gurney, âme damnée de Berkeley, fut adjoint au couple de geôliers. Ensuite, officiellement, tout ce qu'on sait est que, le 21 septembre 1327 – soit environ cinq mois après l'arrivée à Berkeley – on annonça la mort subite du prisonnier et on l'enterra avec les honneurs dus à un ancien souverain.
L’assassinat a lieu dans la nuit du 11 octobre 1327 : un tube de métal est inséré dans le rectum du roi permettant l’insertion d’une barre de fer
rouge qui lui brûla les entrailles et entraîna sa mort. Les souffrances d’Edouard II durent être terribles et son agonie dura plusieurs jours, mais la méthode ne laissa aucune trace visible sur
le corps du défunt roi.
Bien entendu, personne ne crut à une mort naturelle. Edouard était d'une forte et robuste constitution, et en parfaite santé au moment de son arrestation (il avait quarante-trois ans). Du reste, quelques années plus tard, son fils Edouard III ayant chassé Mortimer, intenta un procès aux anciens geôliers de son père comme coupables de l'avoir assassiné. Dès ses 18 ans, Edouard III vengera la mort de son père par l’exécution de Roger Mortimer et la mise en exil de sa mère. La suite, vous la connaissez, c’est le début de la Guerre de Cent Ans.
Place à l'imagination
Comment l'histoire véridique de l'assassinat, nous est-elle parvenue ? à l'époque, il y eut beaucoup d'hypothèses émises et beaucoup de racontars. Il faut certainement en prendre et en laisser.
Mais les prêtres recevaient les gens en confession ...cette habitude religieuse a aidé à élucider bien des crimes fussent-ils d'état ! Ce n'est que dix ou quinze ans après l'événement qu'un chroniqueur, Higden, qui écrivait en latin, précisa que le roi avait été tué cum veru ignito inter celanda confossus (« avec un fer rouge enfoncé dans le fondement »). Ce qui donne du poids à ce témoignage, c'est qu'il fut traduit en anglais et admis comme véridique par le propre curé de Berkeley, John Trevisa, qui connut Thomas de Berkeley, témoin oculaire des derniers jours d'Edouard.
Pourquoi ce supplice atroce, d'une barbarie qui laisse loin derrière elle la torture du pal chère aux Orientaux du Moyen-âge ? La raison en serait probablement double d'une part, éviter toute blessure visible au cas où aurait lieu un examen du corps, comme il était de coutume à l'époque ; d'autre part – et cela serait bien dans l'esprit du Moyen-âge – « punir le coupable par où il avait péché », vengeance qui dût être douce au cœur de la femme cruelle qu'était Isabelle... Cette version de l'assassinat, en tout cas, fut ensuite adoptée par plusieurs chroniqueurs et annalistes, et notamment par le plus célèbre, Geoffrey the Baker, qui écrivit trente ans après les événements. Ce texte de Baker, largement répandu dans l'Angleterre du Moyen Age, a contribué à populariser l'image classique des derniers moments du malheureux roi. Malheureusement, il est aisé de prendre Baker en flagrant délit d'inexactitude sur de nombreux points que nous pouvons vérifier (sur le nom du responsable de l'ordre de mort notamment : Baker l'attribue à l'évêque Orleton, qui se trouvait alors à Avignon !), de sorte que la valeur de son récit s'en trouve très amoindrie sur les détails invérifiables, qu'il a dû largement inventer, à moins qu'il n'ait tout simplement répété des ragots et des racontars recueillis à droite et à gauche.
Marlowe, écrivant pour la scène, choisit une version sensiblement moins atroce, et surtout plus aisée à représenter au théâtre : il nous montre Edouard II écrasé, ou étouffé si l'on préfère, par une table jetée sur lui. On peut être certain que cette façon de faire périr le prisonnier ne fut pas choisie par ses bourreaux : il n'aurait pas été possible, ensuite, d'exposer le corps et de prétendre que le roi était mort de mort naturelle. Mais la littérature a ses raisons, qui ne sont pas, heureusement, celles de la politique..., car on n'imagine guère le supplice que raconte Baker représenté par des acteurs, si géniaux soient-ils !
Le pauvre Edouard II connut, après sa mort, une popularité tout à fait inattendue : l'horreur de son supplice, le caractère émouvant de sa chute et de sa captivité, le firent considérer comme un martyr, et pendant plusieurs années il y eut un pèlerinage et des miracles sur sa tombe, à la cathédrale de Gloucester. S'il eût été canonisé, les gays auraient pu le choisir pour saint patron ; mais le pape ne donna pas suite à l'affaire. Dommage...
Arcadie n°126, Marc Daniel (Michel Duchein), juin 1964 et diverses sources
putain ça a dû le faire hurler les assasssins devaient s'en foutre ...il me semble entendre leurs sarcasmes :
- putain sire, regardez, vous allez jouir : ce tuyau de plomb est plus gros que la sale queue de Despenser n'est-ce pas ?
- ouvrez votre cul sire c'est tout pour vous ! (l'assistance et le comploteurs rient)
- a oooooooooo salauds j'ai maaaaal...(le supplicié attaché à un lit et immobilisé sous une lourde table hurle bien sûr)
- attendez sire ce n'est pas fini on vous a réservé encore mieux..(.il présente le fer rougi ...les assasssins rient méchamment)
Atteint en profondeur le roi s'évanouit. Il tiendra plusieurs jours, ses proches prétendant qu'il a attrapé une maladie...
claudio
*combien je ferais moi aussi un mauvais roi ayant déjà été un mauvais soldat, et n'ayant acune disposition pour être policier, gendarme ou...chef de la sécurité du Chef de l'Etat (hum). Quoique pour un chef comme Edouard II ou tout autre souverain à sa ressemblance,(humm) je serais tout prêt à faire de gros efforts... -lol-
<!-- counter(current) --> personne(s) sur ce blog