dire qu'aujourdhui, quand ils sont à trois sur,autour, ou /et dans moi il nous arrive d'éclater de rire tous ensemble et nous sommes alors heureux, heureux, heureux !
DETENU AU PAYS DES LONGUES BITES EN PLOMB Le plomb est un métal à la fois dur et mou une nouvelle inédite de cavaillongay, enjoy!
ils m'ont découvert et je ne demandais pas mieux ...
Le plomb est un métal à la fois dur et mou
Le moment où ils m'ont capturé a été la seule manifestation de violence que j'aie vécu ici. Tout de suite la séduction a joué. Déjà ils promenaient leurs mains sur ma peau lisse, bien blanche et imberbe en s'exclamant et en s'interpellant. Moi, à l'inverse, j'aime leur peau rugueuse, noire à souhait, leurs bouches, leurs bites ourlées de rose leur sperme encore plus abondant et nacré que celui des blancs. Je ne m'étais pas débattu. Ah, s'ils savaient qu'à l'avance je souhaitais qu'ils me prennent ! (double sens ). D'emblée ils m'ont considéré comme une excellente prise. La case où ils me tiennent prisonnier est ronde comme toutes les autres, sauf qu'elle est au centre du village et sert de bordel et de lieu de spectacle. Les filles, elles, apprennent je sexe dans la case de leur père et mère qui fabriquent des enfants devant toute la famille. Les garçons complètent leur savoir dans ma case . Comme baiser et voir baiser un blanc les passionne tous et que, au coeur de la brousse, c'est la seule distraction, il y a jour et nuit du monde dans ma case. Oui, c'est comme si c'était une case de fonction, par exemple la case du sorcier ou la case du chef, je dis « ma » case car le village en dispose au seul usage de me baiser et me voir me faire baiser. Oh ils veillent à ne me faire manquer de rien : ils m'alimentent comme une volaille ou un animal de compagnie auquel on tient. Ca va bien plus loin que vous pouvez croire : ils ont même désigné du « personnel » pour nettoyer le local, me faire à manger, et, tenez-vous bien, me tenir propre. Les gars qui viennent m'enculer ou se faire sucer, seuls ou à plusieurs sont sûrs de n'avoir pas à mêler leur sperme à celui de ceux qui sont venus me rendre visite avant eux. Deux femmes gentilles et dévouées sont dévolues à me laver le corps, me laver l'intestin aussitôt le/les client/s sorti/s. Elles prennent plaisir à me manipuler et à me faire ces énormes lavements avec une outre en peau de chèvre. Je les appelle « mes dames de compagnie » elles organisent mes pauses, ces moments où elles chassent acteurs et badauds et nous buvons du thé et bavardons. Elles me considèrent comme une sœur car mes fonctions dans la tribu me f♀minisent. Je vous ai dit « clients »pour désigner mes partenaires, mais personne n'a jamais cherché à tirer un profit financier de ce que je me fais tirer à longueur de temps par des noirs qui adorent remplir le gentil blanc qu'ils ont capturé. Et c'est gratuit ! Si j'y prends plaisir ? Eh ben, d'abord, comme c'est ma seule distraction, ma seule occasion de communiquer avec eux car certains me disent leurs petits secrets ou bien leurs peines, Je m'y complais et ne cherche pas à m'évader. Quand je pense qu'il y a des adeptes du SM qui se font attacher et le demandent, moi qui ne l'ai pas demandé je suis comblé par des liens doux et souples qui autorisent toutes les positions du kamasutra. Ensuite je ne crois pas qu'un seul de mes anciens amants, blancs, quand j'étais libre, n'arrive ni en taille du sexe, ni en endurance à égaler mes visiteurs de couleur. Comme je suis gentil ils sont très courtois et amicaux et chacun à mon abord se fend d'une caresse sur ma peau de satin ou d'un sourire d'un mot gentil avant de passer aux choses sérieuses : me remplir !
Je suis une larve que les abeilles ouvrières soignent et nourrissent, et je suis une larve heureuse. Moi, déjà, avant cette aventure, j'adorais les sexes coniques qui te font crier d'agréable surprise quand ils viennent à s'enfoncer totalement en toi Une bite comme ça a un dernier message avant de te posséder à fond.
Mais là, voyez, non seulement il faudrait que vous soyiez là, mais il faut que je vous explique mon ressenti. Quand vous dites « baisé à fond » pour un cul qui se prend une queue de blanc jusqu'à la garde, vous êtes encore loin de comprendre ce que « baisé à fond » signifie avec mes « geoliers » africains. Aucune femme ne pourrait se prendre dans son vagin limité en cm ce que moi je reçois dans mon intestin, au-delà de mon anus. Si vous y pensez, jusqu'au grand virage à angle doit du colôn les seuls obstacles sont les seuls sphincters anaux. Dans mon cas ces obstacles sont, depuis longtemps, effacés, on comprend pourquoi. En ce qui concerne la taille des pénis « éligibles » par un mon cul, révisez vos données, 35 à 40 cm sont très admissibles jusqu'à la garde et les pénis les plus longs arrivent forcément jusqu'au grand virage. Les diamètres sont en proportion. Certains de mes amis noirs -je peux dire amis, n'est-ce pas ?- me dosent au grand virage et leurs spermes cascadent les uns après les autres dans ma grande descente Bon, passons, mes geoliers ont tous des bites très longues et très épaisses, minimum 20 cm, oui, c'est le minimum dans ce village.
Il y a des vérités indéniables comme celle qu'un pénis très long n'atteint pas tout de suite sa rigidité totale. Vous faire prendre par ce tuyau de plomb demi dur est un réel délice. Vos yeux se révulsent et vous entrevoyez le ciel. Comment vous dire ? Vous le sentez dans votre bouche alors qu'il est bien profond dans votre cul. Embroché. C'est le mot, n'ayez pas peur de le dire. Vous ne désirez plus rien d'autre malgré les bites de plusieurs spectateurs tout autour dans la case. Ils attendent leur tour et vous voilà bien aise pour toute la soirée. Musclés et très forts ils vous prennent avec leurs mains par les flancs et vous font l'ascenseur juqu'à ce que vous pleuriez de jouissance et celui que vous preniez pour une brute se mette à geindre de plaisir en un chant heureux et plaintif comme lorsque sa mère le berçait dans ses bras. Ceux qui m'entourent sont amoureux de l'homme blanc captif et, si je suis attaché par les liens matériels qu'ils ont tissé, eux le sont à moi par l'addiction à mon cul et cette façon qu'on a que nos chairs se caressent, glands, tiges contre le velours de mon intérieur. Croient-ils que je m'en irais s'ils me détachaient ? Oui, je le suppose. Mais en fait je ne partirais pas : il n'y a pas de lieu ni de compagnie au monde qui me rendrait plus heureux. Et eux, alors ? Je crois qu'ils ont tous conscience que, s'ils me vendaient comme otage, ils y perdraient tous !
Quand le sorcier du village passe ma porte tous s'en vont et me laissent seul avec lui, ses drogues et ses fumées, exactement comme le premier jour, quand ils m'ont capturé. Il m'ôte mes liens et me dit « hé, qu'ai-je besoin de ces liens : toi et moi savons bien que tu n'as aucune envie de t'en aller !. » Ce moment est divin. Il va me faire atteindre à un paradis. Il me possède entièrement et plus encore que les autres : il est divin. Mais ceci est un autre épisode de cette histoire. Il arrive toujours en me chuchotant : « tu sais j'ai pris le bois bandé : nous en avons pour un moment. » et, incroyablement sérieux, il me dit avec son inimitable accent africain : « tu sais tu es mon chéri, toi je vais te gâter » Et là, avec des incantations, il m'administre une drogue sucrée…Je sais qu'il m'a envoûté en un doux esclavage : je ne manque jamais de rien, ni nourriture, ni produits locaux de toilette et de beauté que mes deux servantes me prodiguent. Et la distraction me demanderez-vous ? ben c'est l'amour physique presque 24/24. Eloge de la lenteur calculée de ses caresses internes, de nos gémissements qui se prolongent comme un chant. Mon sorcier, quand il me met son bâton il met un temps infini à rentrer, tant par la taille, la longueur, la dilatation qu'il provoque et exige, et c'est son plaisir de me pénétrer complètement tandis que je glousse doucement. Et alors, quand il est au bout, non seulement mon ventre est rempli et distendu à éclater (sans risque je sais bien), j'entre dans une sorte de transe, j'ai la sensation que la peau de sa bite et la paroi de mon intestin ont fusionné, nos sangs se mêlent et c'est comme quand j'ai bu. Quel bonheur et quel honneur ça me fait quand, sa bouche sur la mienne, il aspire ma langue et j'ai l'impression que tout mon intérieur va passer dans le sien, que je vais être cannibalisé avec délice. Je lui suis totalement acquis mais il ne m'affaiblit pas : j'ai de la force pour que mon anus aille au devant de sa verge pour l'absorber encore et encore. Je crois qu'il m'insuffle du désir pour tous les membres de sa tribu aux bites de plomb car il dirige tout, tout le temps et il sait que si j'ai bonheur et contentement je vais me donner à tous encore et encore. Les femmes de sa tribu, elles ne sont là que pour porter des nouveaux enfants, pas pour le plaisir « sportif » inégalé que je procure à tous. Mais mon Dieu vivant n'a pas besoin de grands débordements corporels il m'essouffle malgré tout par d'autres moyens plus puissants et moins démonstratifs. Il est un peu -peut-être beaucoup-mon époux Je ne voudrais pas d'un autre amant. Mon divin époux. Je mesure la nécessité de me maintenir jeune et en beauté pour l'attirer LUI avant tout autre.¤
Jungle : et c'est le cas de le dire !
image récente :
viens mon sorcier adoré ! il a faim mon cul !
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