Soudain... La montée du plaisir...
habillé ou pas , en public ou pas, j'ai mon p'tit bonheur
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Soudain... La montée du plaisir...
habillé ou pas , en public ou pas, j'ai mon p'tit bonheur
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allez viens, suis-moi ! sans y être forcé, ce n'est pas moi qui me suis donné mon premier orgasme y a des mecs qui branlent les chiens. Branler des mecs c'est encore mieux.
Putain en parlant de pédophilie, j'avais un instit qui me racontait qu'un gars connu du village branlait les chiens la nuit et leur enlevait toute force en sachant les faire jouir. Moi j'ai pas béqué, mais je crois qu'il voulait me brancher pour me branler voire plus.
Et j'avais un pote qui avait-pour son âge- une très grosse bite
et là, à la fête foraine, il avait croisé un certain Mr Pa... Mais là c'est le jeune qui baisait ce vieux prof avec son énorme zeb. Son pédo et lui ont fini en correctionnelle, car Alain H... (-et moi - étions under age). Moi à cet âge j'ai pas pu me le prendre dans mon trop petit cul ce monstre-zeb d'Alain H. Fou, non ! à 14 ans !
Y AVAIT DEJA FORT A FAIRE ENTRE ADOS et très tôt j'ai été dans des mains expertes et des queues tout aussi expertes ont été les initiatrices de mon cul
quand j'ai, moi aussi, rencontré des plus âgés que nous et même des adultes ...
de me laisser aller à des mecs de divers âges ça m'a libéré de pas mal de retenues et inhibitions
"j'aurai l'air d'avoir mal et ça ne sera pas vrai"
non sans entêtement ni sans aide faut que ça rentre !
ne pensez pas "le pôvre !" mais, au contraire, le bienheureux et ça se voit sur ce beau GIF !
SEQUENCE HELIX :
tous les deux on s'aime, aussi,
si tu veux, on aimerait que tu nous pines tous les deux
c'est pas l'idée d'un mec ça. Ni même celle d'une femme saine....
100 lapins allumés par une carotte pachole
La place Union Square à New York (Etats-Unis) un jour...normal France Télévisions
Mis à jour le 21/08/2018 | 14:41 Natasha Aponte a vu les choses en grand. Cette mannequin a donné rendez-vous, dimanche 19 août, à plus d'une centaine d'hommes en même temps sur la place Union Square de New-York, aux Etats-Unis. Comme le raconte longuement le New York Times, les prétendants de la jeune femme ont tous été piégés, selon une méthode qui apparaît similaire au fil des témoignages.
Amir Pleasants, un habitant du New Jersey âgé de 21 ans, raconte ainsi au quotidien avoir "matché" sur Tinder avec Natasha Aponte dans le courant du
mois de juin. Il échange quelques messages avec elle, mais le contact est soudainement rompu. A sa grande surprise, elle revient vers lui il y a une semaine et lui propose un premier rendez-vous
à Union Square, en plein cœur de l'île de Manhattan. Si certains hommes ne tombent pas dans le piège (à l'image de ce New-Yorkais, qui a publié sur Twitter l'échange de ses messages avec Natasha
Aponte), Amir se laisse tenter.
Le top model explique que l'un de ses amis D.J. se produit sur cette place et qu'elle souhaite prendre un verre dans le quartier après le "set". "Je
suis tellement excité, cela semble trop beau pour être vrai. Vous êtes absolument magnifique", lui répond Amir, sans masquer son impatience. ll se rend sur place le dimanche et découvre qu'il y a
150 à 200 personnes sur les lieux du rendez-vous.
Tout le monde se regarde en essayant de comprendre la situation. Amir Pleasants au "New York
Times":
Concours de pompes et entretien de motivation
Comme promis, il y avait un D.J. sur place, mais Natasha Aponte était introuvable. Certains hommes reçoivent des messages d'excuses pour le retard.
A la fin de la prestation du D.J., Natasha Aponte apparaît sur scène dans une robe noire et révèle la supercherie : "J'ai une confession à faire. Tout le monde a été amené ici pour un rendez-vous
avec moi."
Elle explique qu'elle souhaite organiser un concours pour ses prétendants et que le gagnant aura droit à un rendez-vous galant avec elle. Dans ce
qui ressemble plus à un spectacle qu'à un rendez-vous Tinder, elle commence par disqualifier les hommes qui mesurent moins de 5 pieds et 10 pouces (environ 1,78 mètre), ceux qui s'appellent Jimmy
car elle déteste ce prénom et ceux qui ont été quittés lors de leur dernière relation.
La sélection initiale passée, Natasha Aponte réclame trente pompes aux hommes encore en lice puis leur demande de se battre avant de donner à chacun environ une minute pour exprimer ses motivations pour sortir avec elle. Plusieurs prétendants abandonnent en cours de route, mais les témoins assurent qu'un homme, dont l'identité n'est pas connue, a fini par gagner le concours.
Une vidéo en préparation
Natasha Aponte n'a pas organisé ce concours pour le simple plaisir de faire souffrir ses prétendants. Selon le New York Times, le vidéaste Rob Bliss a participé à cette opération et une vidéo devrait être publiée jeudi. Elle devrait donner plus de détails sur les raisons de cette "performance". Rob Bliss est notamment connu pour avoir filmé une actrice en train de marcher pendant une dizaine d'heures dans les rues de New York afin de sensibiliser au harcèlement de rue.
JUSTE UNE P...
Contactée par franceinfo, Natasha Aponte n'a pas souhaité répondre à nos sollicitations et nous a d'ailleurs redirigé vers l'agence de Rob Bliss, spécialisée dans la réalisation de vidéos virales, précisant qu'une communication aurait bien lieu jeudi.
L'initiative de Natasha Aponte ne lui a en tout cas pas fait gagner que des amis. Elle a déclenché une vague de colère de la part de ceux qui ont été dupés. Des chants obscènes ont notamment été entendus pendant la compétition. "Il y avait des gars avec des fleurs et des lettres, tout excités de la rencontrer. Leurs visages étaient si tristes quand elle a annoncé la vérité", explique un commentateur au New York Times. Dans la journée de dimanche, Natasha Aponte a même été contrainte de passer son compte Instagram en privé pour échapper aux dizaines de commentaires négatifs. ¤
ENCOR' 1 CARREAU D'CASSé V'LA L'VITRIER QUI PASSE....
The maintenance men "Take two" l'ironie de l'affiche et du sort !
Pour les gens, je suis
un parfait hétéro homophobe.
En fait, en privé, j'ai toujours été fasciné par les bites dès qu'elles dépassent les 16 cm. Avant, je ne remettais jamais en cause ma sexualité. Mais il me faut bien
convenir que mon intérêt pour les grosses queues était une envie cachée et secrète de pénis.
Ce samedi-là, je me sentais excité alors j'ai voulu
inaugurer la plus récente acquisition de ma collection de DVD XXX. Je les regarde sur mon ordinateur. Je ne peux pas faire jouer les films
trop fort du fait que les voisins pourraient entendre, alors j'ai acheté un bon casque pour les visionnages privés. Je pensais que mon nouveau film mettait en vedette des filles blondes blanches baisées par des
hommes noirs et hispaniques. Ma femme et moi sommes tous les deux blancs mais les scènes de sexe interracial m'ont toujours excité.
Quand j'ai ouvert l'emballage, j'ai découvert que le commis m'avait
donné le mauvais film. J'étais énervé mais j'ai décidé de regarder le film quand même. La première scène a commencé avec une jolie petite
blonde aux gros seins présentant son mari à un hispanique qui était son amant. C'est pas une intrigue terrible mais peu
importe. La blonde se met à genoux devant le latino et tire une énorme bite
brune. Tout le temps, elle dit à son mari combien elle aime la bite d'Hector le latino.
J'ai caressé ma bite en croissance. Il se préparait une vraie scène chaude quand le mari a avancé la main vers la queue du
gars.
Merde c'était un film bi. Je me souvenais
que l'employé souriait en flirtant presque avec moi au magasin de vidéos. Je l'avais ignoré mais je parie
qu'il avait volontairement échangé les films. J'ai éteint le film. Je suis passé à un DVD plus ancien mais je me suis retrouvé à penser au nouveau film. Je suis revenu au film bi. J'étais dégoûté mais attiré par le
couple qui a sucé cette bite hispanique. Ma main a inconsciemment soulevé ma bite douloureusement dure.
Le mari reprit en train de sucer la bite de l'amant pendant que la femme cherchait son
gode-ceinture. Quelques minutes après
le début de la scène, le pauvre mari se faisait enculer par sa femme avec un gode-ceinture, tandis qu'il sucait la grosse queue de son amant latin.
À ce moment-là, je caressais furieusement ma bite dure. Je n'ai pas entendu qu'on frappait à la porte. Je n'ai pas entendu les deux
préposés à l'entretien ouvrir la porte.
Comme
j'étais dans la chambre du fond avec le dos à la porte, je ne savais pas qu'ils étaient là à me regarder, assis, nu devant l'ordinateur en train de me branler alors que ce type la prenait par
tous les trous.
J'ai sursauté quand j'ai vu que Enrique et Juan, les deux latinos qui avaient été désignés pour réparer la fenêtre,
se tenaient debout à côté de moi.
y a-t-il quelque chose pour votre service
M'sieu ?
Voyant deux latinos dans notre appart, je me suis écrié: "Que diable faites-vous ici tous les deux?"
Enrique a répondu: "Nous avons frappé et appelé. Personne n'a répondu."
Juan a dit: "Nous sommes ici pour réparer la fenêtre."
Ils regardaient l'écran du moniteur. J'étais
complètement embarrassé alors que j'étais assis nu.
Enrique a dit quelque chose à Juan en espagnol et ils ont souri.
Juan a dit: "Mademoiselle Jane sait-elle que vous aimez regarder des films gay?"
"Sors, sors de mon appartement maintenant. Je te ferai virer."
Après leur départ, j'étais vraiment en colère. Je ne savais pas quoi
faire. Je ne voulais pas que les deux préposés à l'entretien racontent à personne ce qu'ils
avaient vu. Après environ une
heure à parcourir les différentes possibilités dont aucune ne semblait acceptable, j'ai décidé d'aller parler à Juan et Enrique.
Au téléphone j'ai appris par l'une des filles
du bureau qu'ils travaillaient dans un appartement vide à l'arrière du bâtiment.
J'ai frappé a la porte. Enrique a répondu. "Hola, M.
Smith."
J'ai dit: "Appelle-moi Mark." Je leur ai présenté mes excuses pour avoir
crié. Je les ai suppliés de ne rien mentionner à personne. C'est là que les choses ont mal tourné et que ma vie a pris un vrai tournant.
Juan a dit: "Mark, qu'est-ce qu'on gagne si on te laisse garder ton petit secret?"
Ne comprenant pas au juste ce qu'ils demandaient, je leur ai offert de l'argent.
Enrique a déclaré: "Nous allons prendre l'argent, mais nous voulons autre chose."
"Voici l'argent. C'est tout ce que j'ai. Que veux-tu d'autre?"
Fort de ce qu'il m'avait vu regarder dans mon ordi, Juan a ouvert son
pantalon de travail et sorti une grosse queue mexicaine de plus de 20 cm. Il a souri en verrouillant la porte d'entrée.
Effrayé, j'ai dit: "Attendez une minute, les gars. Je ne
suis pas gay. Je ne fais pas ce genre de chose."
Enrique a également exposé sa grosse bite latine brune. Il a dit: "Mark, tu étais en train
de regarder un homme blanc sucer de la "viande" latine. Nous t'offrons juste la chance d'essayer la vraie chose." Viande (carne en mexicain) était le mot qui pouvait convenir le mieux à
ces hommes assez rudes mais que je préfère bien à des gens effeminés.
Juan a ajouté: "On le sait que ça te plaît insista-t-il. Personne ne le saura. Nous
garderons le silence sur l'autre "chose" aussi."
Ils se tenaient tous les deux avec leurs queues en
main.
personne ne le saura...je pouvais à peine prendre la moitié de la queue d'Enrique en bouche.
Interloqué, j'ai quitté l'appartement inoccupé. Tout le chemin du retour dans mon appartement je
continuais à revivre la rencontre lorsque ces deux grosses bites brunes étaient apparues. J'étais tellement fou que je
tremblais. Ces putains de mecs avaient du culot. Pourquoi ma bite était si
dure? Comment pourrais-je me laisser toucher par Juan et Enrique?
Qu'allais-je faire? Je ne pouvais le dire à personne. Plus j'y pensais, plus ma bite devenait difficile. Je ne pouvais pas croire que je songeais à sucer une bite pour garder mon secret.
Je suis retourné chez-moi et au moment où j'arrivais devant ma porte, mu par je ne sais quelle force, j'ai fait
demi-tour. Lentement je suis retourné à l'appartement vacant où Juan et Enrique
travaillaient. Juan a répondu à la porte avec un grand sourire et je suis entré dans la pièce.
Enrique a dit: "Je
vois que Mark a décidé de revenir pour goûter à la bite. Vas-tu jouer gentiment cette fois-ci Mark? Je veux que tu suces ma grosse bite mexicaine brune." Il avait dit ça sans provocation d'un
air calme et gentil.
Il laissa tomber son pantalon et caressa sa queue en croissance. Ce grand gaillard , d'une voix molle et
douce me demanda : "Tu vois ma queue Mark, caresse-la . Fais-la moi durcir."
J'ai mis la main sur sa bite brune. Elle était bouillante et très
épaisse. Je l'ai caressée lentement comme j'aime le faire à la mienne.
Juan a placé ma main sur sa grosse bite mexicaine non circoncise. J'ai plaidé: "S'il vous plaît, ne le dites à personne."
A quoi Juan a répondu : "Ca dépend de ta bonne volonté." Il a placé une main sur ma tête et m'a doucement poussé à genoux. Je n'ai pas
résisté. Une fois à genoux devant eux, leurs grosses queues
approchées à quelques centimètres de mon visage semblaient encore plus grandes. Au fond, j'avais fantasmé à ce sujet.
Je ne l'ai jamais avoué mais j'avais imaginé ce que ça ferait de voir
une grosse bite ethnique de près. Maintenant, c'était bête mais tout naturellement, je voulais
vénérer ces deux grosses bites avec ma bouche et ma langue.
Je ne pouvais pas décider quelle bite sucer en premier. Tentative : j'ai ouvert la bouche et léché la grosse bite dure de Juan. Son prépuce épais m'a fasciné. Je n'avais jamais vu une bite non circoncise de près.
Bon sang, la seule queue que j'aie jamais vue de près était ma propre bite. J'ai sucé le gros gland de Juan. Puis j'ai léché sa tige. Enrique tapota légèrement sa queue sur mon torse alors que je suçais son ami. Je sentais une odeur affolante de sexe qui me faisait encore plus fantasmer. Mon sexe était dur et il y avait du jus dans mon boxer.
Ne voulant pas ignorer Enrique, j'ai abandonné la délicieuse chair de
Juan et j'ai léché avec application la tige brune d'Enrique.
Enrique a dit: "Lèche mes couilles mec". Il leva sa bite en m'offrant un meilleur accès à ses gros œufs bruns. Je suçais ses couilles, une à la fois, et je
léchais sa queue en suivant une grosse veine jusqu'à ce que j'atteigne la tête de champignon surdimensionnée du sommet. J'ai sucé Enrique.
Il m'a encouragé à prendre de plus en plus de sa queue dans ma bouche. C'était trop gros, je ne pouvais que prendre un peu plus de la moitié de sa queue dans ma
gorge avant que ça ne me donne mal au coeur.
Ca m'a fait tousser et ils se sont moqués de moi.
Quand j'eus repris mon souffle , Juan me remit sa queue en bouche. Je l'ai sucé comme j'avais essayé de sucer Enrique. J'ai pris Enrique pendant que
je suçais Juan. Puis j'ai sucé Enrique et pris Juan. Dans une frénésie sexuelle, j'ai sucé une bite, puis je suis passé à l'autre bite encore et
encore.
Je suçais la bite d'Enrique quand Juan a dit: "Merde Mark, je vais
jouir." Sa première giclée m'a frappé dans les yeux avant que je puisse changer de bite. Les éjaculations suivantes ont rempli ma bouche. Sa queue a tressailli et tressailli pendant que je tirais les dernières gouttes de sperme. Enrique a dit: "Mark, es-tu prêt pour le numéro deux?" Je laissai tomber la queue de Juan de mes lèvres et ouvris grand pour Enrique. Ses giclées de sperme étaient chaudes et dur. Ca a frappé ma gorge. Enrique n'arrêtait pas de jouir. Quand il a eu fini j'ai eu du sperme
dégoulinant de mon menton et de mon nez. J'ai sucé la bite ramollie d'Enrique jusqu'à ce qu'il me
repousse.
Juan a dit: "Merci Mark. C'est ce dont nous avions besoin. Ces enculés de
gringos comme toi je les adore ! " Leurs bites étaient vidées et
épuisées. Enrique a déclaré: "Mark, il te faut partir maintenant."
J'ai dit: "Ecoute j'ai fait ce que tu as demandé, maintenant s'il te plaît, je fais ce
que je veux ."Preuve que moi j'aurais aimé continuer, mais, à la merci d'un contrôle, ils devaient se remettre au travail et vite ! .
Encore une fois, ils rirent alors que Juan me fermait la porte au nez. Jétais déprimé. Ca avait été assez humiliant et pourtant passionnant d'être
obligé de les sucer. Je suis rentré chez moi. Je me suis remis à regarder la vidéo bi et j'ai décollé en imaginant
que j'étais le mari et que Juan ou Enrique était l'étalon latin. Je suis venu d'une énorme charge en
direction du visage des acteurs blancs. J'ai gardé la vidéo au lieu de la retourner.
Jane était furieuse que l'équipe de maintenance n'ait pas réparé la vitre
lorsqu'elle est rentrée chez nous. Elle a menacé d'appeler le bureau. Jane a dit: "Tu
es une putain de loque. Je vais devoir trouver un homme, un vrai, pour prendre soin de moi. C'est ce que tu veux ?"
Je ne pouvais pas la laisser parler à Juan ou à Enrique alors j'ai promis de m'en
occuper. Parfois, Jane était méchante avec moi, mais je n'ai rien dit. Je
ne lui fais jamais de reproches.
ma Jane était
changée
Le mardi suivant, je suis rentré du travail et le
véhicule de l'entretien était garé devant chez nous. Quand je suis entré dans l'appartement, j'ai entendu
Jane crier avec passion. En m'approchant de notre chambre , je pouvais distinguer ce qu'elle
disait. Jane a dit: "Vas-y, vas-y, vas-y, baise-moi comme une pute
blanche avec ta grosse bite mexicaine." Je savais que
l'humiliation m'attendait derrière cette porte mais mon sexe était dur et je ne pouvais pas m'en empêcher. Je suis entré dans la pièce.
Enrique était sur son dos alors que ma belle femme rebondissait sur sa grosse queue
mexicaine. Juan se tenait à côté du lit en pinçant ses tétons rouges
et durs en même temps qu'il se caressait la queue.
Jane m'a vu debout à la porte. Elle a dit sarcastiquement: "Bonjour, je suis contente que tu sois à la maison. Comment s'est passée ta
journée?" ce qui ne l'empêchait pas de rebondir sans arrêt sur la grosse queue mexicaine
d'Enrique. Jane dit: « J'ai
compris. Maintenant je sais ce que c'est que sucer une grosse bite latine. Maintenant je sais pourquoi tu es si nul. Mais, je ne peux pas t'en vouloir, ces gars-là,eux, sont
de vrais hommes.
De
honte j'ai baissé la tête alors qu'ils
riaient tous. Je me suis dépouillé de mes habits. Ma bite dure m'a trahi. Je ne pouvais pas nier mon excitation. Ma femme m'a fait enlever mes sous-vêtements aussi.
Juan a dit: "Mark va nous chercher quelques bières pendant que ta femme
salope baise avec mon ami."
Quand ils ont découvert que nous n'avions pas de bière, ils m'ont
fait aller en acheter au magasin avec les sous-vêtements de Jane sous mes vêtements. Ma bite est restée dure tout
le temps que j'étais au magasin. À mon retour, Juan baisait Jane en levrette. Elle suçait la grosse queue d'Enrique en même temps.
Juan m'a fait me déshabiller sauf pour la culotte avant de leur servir de la
bière. Aussitôt que Juan a bu sa bière, sa queue est sortie de la chatte de Jane.
Jane m'a fait mettre moi-même la grosse bite brune d'Enrique dans sa chatte béante. Il a giflé mon cul et Juan a dit: "Merci Mark."
Jane gémit avec une bouche pleine de bite, "Mmm, baise-moi. J'aime ta
grosse bite brune."
Ces deux hommes d'entretien mexicains ont bousillé ma garce de femme . Ils se sont relayés pour la baiser pendant qu'elle suçait l'autre. Juan a baisé son cul pendant qu'Enrique a baisé sa chatte. Puis ils l'ont fait aussi en même temps :
Tout le temps ils se sont tous moqués de moi. Juan s'est retiré et
est revenu sur elle. Enrique est entré profondément dans sa chatte. L'excitation
était trop pour moi. Ma bite a tiré une grosse charge trempant le devant du boxer que
je portais. Jane m'a fait sucer le foutre sur sa chatte dégoulinant de leurs spermes. J'ai savouré le mélange de leurs jus. Jane est venue abondamment pendant que je la mangeais.
Ensuite, ils m'ont fait sucer le sperme de sa culotte trempée.
Ma femme était épuisée quand ils sont finalement partis. Ils l'ont remerciée pour la chatte et le cul. Elle les a remerciés pour les
grosses bites dures mexicaines. Juan m'a remercié pour la chatte de ma femme et ma bouche.
Depuis ce jour, ils viennent au moins une fois par semaine pour baiser ma femme.
Je n'aime pas ça. Mais Jane aime ça. Parfois, elle me
laissera la baiser. Habituellement, mon
rôle est de nettoyer sa chatte, mais dernièrement, Jane m'a fait lécher les bites bien lisses de Juan et Enrique après qu'elles se soient enfoncées profondément en elle.
Hier, Jane était à son travail quand la sonnette a retenti. C'était
Juan et Enrique. Ils étaient mécontents quand je leur ai dit que Jane était au travail. Je leur ai offert une bière. Après avoir bu le premier, Enrique m'a demandé si j' en
avais plus. Quand je suis revenu, ils avaient tous deux laissé tomber leur
pantalon et caressaient leurs dures queues latines.
Je savais ce qu'ils voulaient. Je le voulais
aussi. Ils m'ont fait me déshabiller. J'ai remis les
bières aux gars et je me suis agenouillé devant Juan. Il a dit: "Voyons si tu peux nous
faire plaisir aussi bien que ta femme salope."
Bien sûr je pensais qu'ils auraient préféré ma femme, mais moi, tout excité maintenant, j'étais prêt à leur céder avec une grande joie : enfin, à mon tour, j'allais être baisé ...
C'est pour dire hein comment les choses s'enchaînent. C'est pas forcément le drame. La preuve s'est faite toute seule : moi je suis passé du virtuel à un réel sans pareil et ma femme a su tirer parti de la situation. Tout le monde a été gagnant DE TOUTE CETTE CASCADE DE CIRCONSTANCES AU DEPART DESAGREABLES et il semblait que la victime soit grugée et malmenée alors que c'était la 2e chance de sa vie... Au fond aujourd'hui tout est bien... Ca m'a rappelé cette chanson de Line Renaud -chérie des gays comme Dalida ou Barbara- : Où vas-tu Basile ?
Où vas-tu Basile sur ton blanc cheval perché ?
Je vais à la ville le vendre au marché
Ton cheval claudique mais vois-tu pour t'obliger
Contre une vache magnifique je peux l'échanger
{Refrain:}
Sitôt dit sitôt fait bonne affaire se dit Basile
Sitôt fait sitôt dit, Basile est un dégourdi
Où vas-tu Basile avec cette vache à lait ?
Je vais à la ville la vendre au marché
Ta vache à la fièvre, la vendre est bien compliqué
Contre ma plus belle chèvre veux-tu la troquer ?
{au Refrain}
Où vas-tu Basile de ta bique accompagné ?
Je vais à la ville la vendre au marché
Ce n'est pas facile car elle a le dos tordu
À la place, prends Basile ce chapon dodu
{au Refrain}
Où vas-tu Basile avec ce petit poulet ?
Je vais à la ville le vendre au marché
C'est un vrai squelette jamais tu ne le vendras
Pour ce bouquet de violettes tiens, laisses-le moi
{au Refrain}
Où vas-tu Basile avec ce bouquet joli ?
Je vais à la ville Mad'moiselle Lili...
La ville est lointaine donne-moi plutôt ces fleurs
En échange pour ta peine tu auras mon cœur
{Refrain:}
Sitôt dit sitôt fait, que je t'aime dit Basile
Sitôt fait sitôt dit, c'est ainsi qu'on se marie !
Dans toute la ville ce mariage fit tant de bruit
Qu'on nomma Basile Roi des dégourdis
De toute cette histoire la morale est celle-ci
Que celui qu'on croyait prendre n'est pas toujours pris
Salut, je m'appelle Yanis. Un gars qui "pousse sa fortune dans votre cul n'est pas forcément un violeur ! Si vous donnez votre cul ça peut bien vous arriver et vous n'en aurez pas un mauvais souvenir.
Par contre, un jour que nous avions commencé à baiser, un cycliste nous a interrompus ma "rencontre" et moi. Il était jeune, mais sans plus. IL a voulu prendre ma place et se faire prendre. Sa beauté, sa jeunesse ont suffi à convaincre mon baiseur. Le jeune a eu mal à ce qu'il a prétendu et est parti en menaçant mon partenaire de porter plainte pour viol. Ma "rencontre" était blême sous la calomnie. Car on se défend toujours mal de ce genre d'accusation. Je croirais que ce cycliste était un comédien qui faisait le coup à tous ceux qu'il séduisait. En fait il ne se passait rien ! rien d'anormal pour la drague ! Ouais, même pour ces moments de stress, j'aime la drague en plein air car c'est la Vraie Vie.
DANS MA MEMOIRE LE FLOU DES VISAGES, LA PRECISION DES EMOTIONS
car l'émotion est indélébile vous suivez le gars
et il vous attend un peu plus loin
NO CONSENT ?
Ca vous excite ? : ...Là « Je sens de longues trainées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. »
Cette histoire a dû commencer il y a bien une dizaine d’années si
ce n’est plus. En Septembre 2001, le jour de l’explosion d’AZF, à Toulouse. Je travaillais à quelques kilomètres de la zone d’explosion, et dans le chaos, nous avons tous été enjoints à
rejoindre notre domicile pour raison de sécurité.
C’était un foutoir innommable sur la route, impossible de circuler, même à moto. C’est à hauteur du centre de loisirs de la Ramée que j’ai décidé de
m’arrêter, de me dégourdir les jambes en attendant que les rues se dégagent. Une fois la moto garée sur le parking, je me suis enfoncé dans les bois et me suis perdu dans les allées, sentiers et
autres voies. Cela me vidait la tête. C’est ainsi que je suis tombé sur un endroit plein de sachets de préservatifs vides par terre. J’ai cru avoir trouvé un endroit d’échangistes ou de voyeurs.
Je suis resté un peu dans le coin, espérant pouvoir assister aux ébats d’un couple ou autre mais sans succès. Je rencontrais de temps à autre un homme isolé qui déambulait dans les allées. Je me
suis promis de revenir et de mieux observer, ce que j’ai fait un mois plus tard. Mais là encore je n’ai trouvé aucun couple, seulement des hommes. Il m’a fallu un peu de temps pour me rendre
compte que ce n’était pas un endroit pour couples mais un lieu de rencontre pour hommes, pour gays. Par amusement j’ai observé leurs manières et je me suis rendu compte qu’il suffisait de
s’enfoncer dans un sentier pour faire comprendre à la personne qu’on croisait qu’on était bon pour un rencart. « L’invité » suivait ou non en fonction de son intérêt. Celui-ci pouvait aussi
montrer son intérêt en suivant un « soupirant » dans les allées. Si ce dernier était intéressé, il s’enfonçait alors dans le bois, l’autre sur ses traces. [C'est marrant les km que ces gens-là
peuvent parcourir pour une rencontre !]Après…..
Amusé, je suis parti et ne suis plus jamais revenu à cet endroit jusque récemment.
EH OUI, LA DRAGUE HOMO C'EST CETTE SORTE D'EMOTIONS OU SE MELENT DESIR ET APPREHENSION, ADRENALINE ET BATTEMENTS DE COEUR :
Nous sommes en Juin 2014. Près de treize ans ont passé. Pour des raisons
professionnelles je suis dans le coin. Ma réunion s’est terminée beaucoup plus tôt que prévu. Ayant du temps devant moi et piqué par la curiosité, je dois l’avouer, j’ai voulu revisiter cet
endroit.
Je dois aussi avouer que depuis 10 ans j’ai également évolué et du point de vue sexuel ou érotisme avoir une aventure avec un homme a commencé à
faire partie de mes phantasmes les plus fréquents.
Je me suis donc arrêté sur le parking de la Ramée et me suis enfoncé dans les sous-bois à la recherche de cet endroit
Il existait toujours.
Et si…. ?
Je me suis mis en tête de tenter ma chance et je commence à déambuler dans les allées, croisant de temps en temps un homme ou deux, pas grand monde.
Par ennui, je m’enfonce aussi dans le bois en prenant un sentier ou l’autre mais je croise quasi personne. Et en tout cas, personne ne fait un quelconque signe d’intérêt pour moi. Moi en
revanche, j’essaye une ou deux fois de m’enfoncer dans les bois en prenant un sentier lorsque par hasard un homme me suit mais sans aucun résultat. Je dois m’y prendre mal sans doute. Le
débutant, cela doit se voir gros comme une maison.
Après deux heures à ce régime là, je décide que j’ai perdu assez mon temps comme ça et qu’il est temps de rejoindre ma voiture et de me casser. Je
prends un sentier que je ne connais pas et je m’enfonce dans le bois. Mais c’est pour aboutir à un endroit par où j’étais déjà passé deux fois et c’est un peu désappointé que je prends à
droite pour rejoindre une grande allée. A ce moment un homme grand débouche sur ma gauche. Je suis surpris, baisse la tête et accélère le pas. Drôle de réaction. L’homme me suit; mon coeur
commence à battre mais je me raisonne tout de suite: il n’avait pas vraiment beaucoup de choix: soit il allait d’où je venais, soit il allait où j’allais. Une chance sur deux qu’il me suive
délibérément.
Une fois sur l’allée, je prends à droite pour me diriger vers le parking. L’homme me suit toujours, à une vingtaine de pas. Je commence à espérer;
aussi je m’éloigne du parking et je me dirige vers un côté où j’ai découvert plusieurs embranchements. Et surprise, à chaque embranchement, l’homme décide de prendre la même direction que moi.
Là, pour le coup, mon cœur s’emballe pour de bon, mon ventre se noue, j’ai un début d’érection en mêmetemps qu'un peu la trouille. Arrivé à un abri, je prends le chemin qui le longe. Je sais
qu’il amène à une impasse et au bout de celle-ci je m’adosse à un arbre. Je guette les bruits de pas, les mouvements à travers le feuillage du coin de l’œil et le voilà qui apparaît. J’ai ma
queue toute raide. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je tourne la tête pour le dévisager ; il est grand, très sec et je devine qu’il a mon âge. A cinq mètres environ il écarte les pans de son imperméable
et je vois pendre son sexe et ses burnes hors de son pantalon. Je suis surpris par ce que je vois et en même temps je sens une chaleur parcourir mon ventre. L’homme s’approche mais je n’ai de
regard que pour ses attributs ; je suis attiré comme une mangouste par le serpent. L’homme se colle à moi, ouvre ma braguette, sort mon sexe qu’il commence à caresser. Ensuite, il me caresse les
tétons et cela me procure d’énormes frissons. Je sens du coup mon sexe se durcir encore. Je gémis de plus en plus fort sous ses caresses, c’est tellement bon que je serais prêt à faire tout ce
qu’il me demanderait. Moi j’ai commencé à caresser sa queue qui s’est mise à gonfler ; je caresse ses burnes. Son sexe est doux, spongieux, chaud. Curieux de découvrir des sensations
tactiles que je ne connais pas lorsque je me branle.
L’homme me délaisse et se place derrière moi ; je n’ai plus accès à son sexe, à ma grande déception. Il m’intime d’enlever mon pantalon et lui même
m’enlève mon caleçon; il m’oblige à me pencher en avant, les jambes écartées. Je suis à sa merci. De derrière il passe sa main entre mes jambes et se met à me branler. C’est bon ! je le dis,
je soupire. Puis il m’abandonne de nouveau, écarte mes fesses des deux mains et ….plus rien. J’imagine qu’il est en train de regarder mon trou de cul. Je me sens gêné, je ne sais que faire mais
voilà qu’il caresse ma rondelle avec un doigt qu’il a mouillé. Moi, je me suis mis à me branler. C’est bon, plein de sensations inconnues, nouvelles. C’est dans cette position, courbé en avant,
le cul à l’air offert (?)à cet étranger que je vois un peu plus loin devant moi, sur l'autre sentier, un homme à bicyclette qui nous regarde. Nos regards se croisent ; j’ignore ce que
peut lui inspirer l'expression de mon visage, mais en tous cas il démarre en vitesse et quelques instants plus tard je l’entends arriver par où nous étions venus. Il jette son vélo
par terre et se rapproche de nous. L’homme derrière moi arrête son exploration - car entre temps il a fait glisser un long doigt dans mon cul - et se redresse. Mais le nouveau, un petit trapu,
bien plus jeune que nous fait signe de continuer. Il s’approche de nous et une fois en face de moi, déboutonne sa braguette et sort sa queue. Il bande et vachement. L’homme derrière moi appuie
sur mon dos m’obligeant à me baisser de nouveau. La fouille de mon rectum reprend en même temps qu’une main passée entre mes jambes se met à me branler de nouveau. Le nouveau venu glisse son
sexe tendu dans ma bouche. Première fellation ; je ne sais comment faire mais je fais. Cela semble plaire au nouveau venu car il me dit de continuer. Derrière la fouille s’est arrêtée, mes
sensations également, ma queue est toujours raide et je reste très excité par tout ce qui m’arrive. Après un petit répit, je sens quelque chose de dur et tendre à la fois glisser entre mes fesses
; c’est la queue de l’autre. Je l’entends cracher à deux ou trois reprises, j’imagine pour lubrifier sa queue, et je réalise que non seulement je me fais ma première fellation, mais en plus je
vais me faire enculer pour la première fois.
Je hurle de douleur lorsque l’homme me pénètre ; je réagis, je veux l’écarter mais l’autre me retient et m’oblige à le sucer. Je crie, j’essaie de dire que j’ai mal, que je veux que ça s’arrête, mais ni l’un ni l’autre ne m’en laisse l’occasion. L’homme derrière moi me bourre profondément; cela me fait mal au ventre mais en même temps, par moments, ses pénétrations me procurent un plaisir étrange qui adoucit les douleurs de brûlure à l’anus. L’autre manque de m’étouffer tant il enfonce son dard loin dans ma gorge au point que j’en bave comme un malade. Et ma queue est toute raide, toujours. La douleur s’estompe sans disparaître complètement et je recommence à me branler sous les encouragements de l’homme dont je suce la queue. Derrière les chocs sont brutaux, je sens le ventre de cet homme s’écraser sur mes fesses, sa queue s’enfoncer loin, loin, pousser sur ma prostate et me donner plaisir et douleur en même temps. Soudain, l’homme en face de moi dans un grognement retire sa queue et éjacule sur mon visage ; j’en ai partout, de longues giclées de sperme épais dont je peux goûter quelques échantillons. Et comme par hasard voilà que l’homme derrière grogne lui aussi ; il éjacule en moi et termine sur mon dos. Je sens de longues traînées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. Après avoir frappé quelques coups de sa bite sur mes fesses, j’entends l’homme se rhabiller et partir. Je me redresse, pataud, légèrement assommé. Mais l’homme que je venais de sucer ne me laisse pas reprendre mes esprits et se met à me branler avec des mouvements rapides et très brefs. Les effets sont immédiats, je me mets à mon tour à éjaculer en grands jets arrosant les plantes devant moi. L’homme éclate d’un rire sonore : « Pas mal, vraiment pas mal. Tu es bon. Tu devrais venir plus souvent ». Il me faudra quelques longues minutes pour recouvrer mes esprits et me rendre compte que je suis assis par terre, seul, la tête entre les jambes me demandant ce qui m’était arrivé. Jamais je n’avais eu aussi grande jouissance.
fresque :
A la suite de quoi, bien sûr, j’ai renouvelé cette expérience que je trouve assez fabuleuse et j'ai décidé de la faire connaître aux jeunes puceaux sur les réseaux. D'ailleurs j'encourage les jeunes à éviter les saunas et autres et à aller fréquenter les dragues comme dans ce texte.
* Peu après j'ai croisé l'un de mes deux partenaires de "jeu". Très franchement ça ne m'a pas gêné et j'ai accepté de monter "un coup" ensemble
Bien sûr ça se passait chez lui
nous convenions que je les surprenais en pleine action Aussitôt la fête commençait...
notre hôte était génial pour les scénarios à trois et ne les ratait jamais, sachant bien avec qui il choisissait de les réaliser
Oh, ça n'atteindrait pas la dizaine de fois mais au moins 7 moments de libre jouissance. Voyez vous-même ces jeunes beautés affamés de sexe. Des peaux de satin, des formes de rêve mon camarade - avec moi- n'organisait que des one-shots, ce qui m'honore beaucoup. De sa voix caressante il a su faire sortir chacun de lui-même, oublier ce qui le retenait, et, comme moi, accepter de donner leur plus intime intimité, et en payer le"prix", car il est outillé hors du commun pour faire franchir le pas difficile aux jeunes qui, pas innocents, avaient comme je dis à accomplir un deuxième dépucelage, celui d'une très grosse bite qui, une fois lancée n'a plus de maître que son désir diabolique.
Arrivez-vous à imaginer les tendres moments avec chacun de ces tendres poulets...
tendres moments que ces dons de soi spontanés ont permis
(ci-dessous ça vaut la peine d'interrompre la gorge profonde qu'il avait commencée avec moi en position couchée pour se concentrer sur son plaisir et sa
douleur anales)
et vous me pardonnerez d'avoir été le voyeur privilégié de ces scènes de sexe. Je savais nous savions ce qui allait arriver. Voir la surprise et l'émotion de notre "participant", et, à travers elles retrouver mes inédites sensations avec notre initiateur commun.
Je n'ai qu'un regret : c'est que ce soit fini. Ca me rend fou. Laissez-moi me masturber, les yeux fermés pour évoquer ces souvenirs.¤
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