Quand ils se livrent à ce petit jeu de parodie, les deux amants et poètes ont 18 ans (Rimbaud) et 28 ans (Verlaine ) et se
connaissent depuis la fugue d'Arthur à 14 ans
Le Sonnet du Trou du Cul
Par Arthur Rimbaud et Paul Verlaine
Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la pente douce Des fesses blanches jusqu'au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous l'autan cruel qui les repousse, À travers de petits caillots de marne rousse, Pour s'en aller où la pente les appelait.
Ma bouche s'accoupla souvent à sa ventouse ; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flûte caline ; C'est le tube où descend la céleste praline* : Chanaan féminin dans les moiteurs éclos !
Paul Verlaine
*Si quelqu'un croit encore que la merde effraie les vrais amoureux de la sodo ? Il se peut que, celle de
leur amant, 'la céleste praline' ils l'adorent"
Etre des poètes connus Ecrire un poème, entrer dans les détails comme ça
je n'ai connu qu'un gars comme eux qui, pour se déclarer à tout hétéro mettait les points sur les i et les barres sur les t , du genre « Eh oui, nous les homos, on se suce, on
avale le sperme, on s'encule »C'est
GS...afin, en noircissant le
tableau,de dégoûter le mec On pense à leur
critique et ouvertement ennemi : AlbertMérat.Zito
poésie imagée :
Le cul, la vulve,
A les regarder, ça devrait nous laisser froid, voire un peu écoeuré !
Car quoi ? il n'y a rien d'esthétique a priori, c'est assez informe, plissé dans les deux cas ( la vulve et l'anus)
La vulve c'est horrible quoi ! Vous avez, vous, envie d'y mettre votre bite qui est la chair de votre chair, un miracle de vie ...Sartre a écrit "Je n'ai jamais eu de
commerce intime avec une femme. On leur monte dessus, c'est entendu, mais elles vous dévorent le bas-ventre avec leur grande bouche poilue, et, à ce que j'ai entendu dire, ce sont
elles-et de loin-qui gagnent à cet échange. Moi je ne demande rien à personne, mais je ne veux rien donner non plus." Le Mur. Et l'anus c'est pour les scatophiles, non ? !
J'ai dit ça sans réfléchir sur le coup mais ça illustre bien la chose franchement ma première réaction lors du premier rapport anal ça a été de dire "je suis dedans là ? Tu la sens ?
"
Le vagin est plus extensible, lubrifié, facile d'accès.
L'anus est très serré, beaucoup plus sec et c'est plus difficile pour y accéder. La sensation n'est pas la même tout simplement. L'odeur, le goût, la texture...
Faut vraiment que s'y mettent phéromones et hormones pour qu'on bande...
Et pourtant, on bande, n'est-ce pas ?
Zito
Après l'amour, tu es aussi net et ton cul aussi serré qu'avant
cueillir tes perles à leur naissance au bord de ton puits d'amour
ma violence n'était que tendresse, tu veux bien m'excuser ?
> Rimbaud et Verlaine semblaient (d'après leurs dires) n'avoir pas plus d'inhibitions que ceux-là :
je t'ai bien fécondé pa puce jolie, fai-moi des bébés ! -lol- Mon cul, un peu essoufflé, palpite, prêt à en prendre encore...
NOTES :
'Chanaan' métite d'être expliqué et se lit Canaan dans la Bible. ENCORE UN NON DIT dans la religion :
Sem joue un rôle primordial dans la malédiction de Canaan, fils de Cham. LA TENTATION HOMO DES PERSONNAGES BIBLIQUES / Après le Déluge, Noé cultive la vigne. Un jour, il s'enivre et se dénude
sous sa tente. Cham « voit la nudité de son père » et le rapporte à ses frères Sem et Japhet. Ces derniers couvrent leur père sans le regarder. Le lendemain, Noé demande à Dieu de maudire
Canaan, fils de Cham, en le condamnant à servir Sem et Japhet. / TOUT 9A SE PASSE ENTRE HOMMES et, c'est pas fort utile mais Verlaine croit bon d'ajouter 'féminin'. Bon, pas
question de discuter un choix imposé par les génies Verlaine et Rimbaud et la nécessité de séduire les lecteurs gays de leur époque, voire dégoûter .
LE SONNET DU TROU DU CUL, par son sujet iconoclaste à son époque, aurait été composé à la manière d'Albert Mérat, un poète 'très béni oui-oui' en désaccord avec Verlaine et Rimbaud, et
comme un 'pied de nez' à ce rival.
commentaire :
Des visiteurs opposants (cavaillonnais ou pas) vont encore m'accuser de prosélytisme, de détourner les jeunes d'un chemin tout tracé dans leur monde contraignant.
JEUNE GAY NE JOUE JAMAIS TA
MIJAUREE ne crache pas dans la soupe ! Ca me rappelle G. qui ne supportait pas qu'on lui pousse la tête quand il suçait ! La situation de passif quémandeur de queue implique une
certaine acceptation sans aucune véritable condition...Dans mon expérience à moi, j'ai fait, moi aussi, le 'difficile' et jeregrette aujourd'hui d'avoir interrompu sa baise.C'était un hétéro curieux qui draguait comme moi surnos lieux'consacrés'où, nous les gays et bis, on se
retrouve. Je l'ai provoqué en lui virant autour, il a mordu à mes appâts,bien quefaisant semblant de n'être pas sûr et, finalement,nous nous sommes apprêtés au sexe,lui la bite appétissante à l'air, moi courbant l'échine, le cul nu, prêt à me faire
tanquer. Par des remarques du style : « Ah
oui ? Tu aimes te faire enculer ?T'es
marié ?Tu les prends grosses ?
Etc.Et moi, affamé, séduit par ses charmes, j'ai
commencé par dire oui à tout, quand soudain il se recule de 2 mètres, et me dit : « Fais-toi voir, excite-toi un peu, fais tes petites manières ! » ; ça n'avaitrien
de tragique en ces lieux mais par fierté stupide, me
sentant humilié, je lui ai dit : « - non je veux plus ! » et jeme suis arraché,suis retourné à ma voiturele laissant sur sa faim. »Je crois me souvenir (??? )
qu'il m'avait même frôlé la rondelle du bout de sa bite, achevant de me mettre le feu,j'étaisprêt à 'cuire'.Ainsi
sij'aiété déçu, moi aussi (encore plus j'ose dire!)ma frustration me donne envie de recommencer !Zito
bien que la bite soit un objet de plaisir, nous ne vous souhaitons pas de vivre la même (més)aventure que Nicolas qui passe du plaisir à la
douleur
«Il était le champion incontesté
de la lutte au gymnase de sa ville.Beaucoup de
gars l'avaient subi. Ce bouffon se vantait de ses succès féminins et là on devine que ça va changer.
Nicolas contraint à s'initier à la pénétration anale ? Eh bien oui car toujours vainqueur il ne s'était jamais privé de faire rire de
l'autre, de l'adversaire ou du rival, mais aussi s'amuser de son impuissance à se libérer quand Nicolas l'avait immobilisé et donc faire rire à ses
dépens....
Je suis sûr que Nicolas éprouvait un réel malaise et cela allait jusqu'à la douleur . Simplement ima ginez-vous à sa place, contraint à frôler
l'orgasme tout le temps sans pouvoir se libérer. Ben, une femme qu'on fait jouir et crier longtemps et vous demande grâce, c'est pareil.
Cette relation subie l'aura fait forcément réfléchir -on l'espère- à la souffrance éprouvée par ceux dont il se moquait jusqu'à présent
! cavaillongay
malgré lui sa bite avait durci et maintenant Nicolas se masturbait. Tout
ça contre sa volonté. Il était mortifié de n'y pouvoir rien !
Au village il était le champion de lutte incontesté Beaucoup de gars avaient essayé de le battre mais finissaient
toujours par transpirer, couchés sur le ventre alors que l'homme le plus fort les maintenait au sol.Il était donc naturellement surpris que le petit
nouveau relativement maigre ait décidé de le défier à l'heure même où la salle de sport était sur le point de fermer.
Il avait décidé de s'en amuser, de toute façon cela ne
devrait pas prendre plus de 30 secondes pour que le gars soit au sol Ils sont tous deux
montés sur le tapis et le champion a décompté à partir de trois.Juste au moment où ils
s’affrontaient, les yeux du challenger avaient brillé en vert et le champion a gelé, temporairement
paralysé, suffisamment de temps pour que le challenger se glisse
derrière lui et le débarrasse de son maillot, le laissant nu.Alors qu'il était sur le point de récupérer, le monde
s'est effondré sous lui et il a senti la pression de la poitrine du challenger contre son dos.Le plus petit des hommes utilisait ses jambes pour forcer les jambes du champion à
s'écarter, révélant ainsi son "trou de balle".
Le champion entendit à son
oreille :"Commence à te branler." Il était sur le point de crier en signe
de protestation mais sa main s'abaissa instantanément toute seule vers sa queue.Il fixa
sa bite durcie alors que son corps bougeait contre sa volonté.
Il était mortifié, que quelqu'un puisse le
voir dans cette position, exposé et se masturbant contre sa volonté
craignant que certains pervers se moquent de lui."Ne
t'inquiète pas, ici il n'y a personne d'autre que nous ... ils sont tous partis pour la nuit. On est juste toi et moi."
Il a essayé de former des mots, mais n'a pas pu. Il y avait juste un petit filet de liquide pré éjaculatoire au bout
de sa bite et comme on dit il se branlait malgré lui "comme un sour"."Chuttt ... n'essaie pas de parler, bébé. Continue de te
branler, la pression dans tes couilles est au max, tu voudrais cracher ton sperme, n'est-ce pas? mais je ne vais pas t'en donner la permission : tu vas rester juste au bord de
jouir.
Mon dieu oui il aurait donné n'importe quoi pour jouir.Il ne voulait que çaet il prit cette profonde inspiration qu'on a quand on est sur le point
d'éjaculer, mais rien ne venait. Il était mal, sa tête était vide et il ne pouvait penser qu'à ça.
"C'est tellement dommage que
je ne te donne pas la permission de jouir, n'est-ce pas ? Continue à caresser ton gros calibre, je vais vous mettre la main dessus."
Le champion pourrait pleurer.Il était au bord de l'orgasme, il le
savait.Ses couilles étaient serrées et son trou du cul se contractait à chaque coup.Ses orteils se recourbèrent et se recourbèrent, alors qu'il haletait de souffle interrompu.Il voulait jouir ... il avait besoin de jouir.Mais le cruel
challenger ne le laisserait pas faire.
"Un si grand homme comme toi, je suis sûr que tu pourras continuer à caresser ta bite toute la nuit sans jouir. Tu vas continuer à te caresser pendant que tu prends ma bite en bouche,
juste suite des réjouissances, tu vas continuer à te caresserme
léchant les pieds, pendant que je suis assis sur ta bouche et que je te pince les tétons. Tu as compris ?
Il aurait voulu cracher sur lui, rugir et le frapper, mais il ne pouvait
pas.Il ne pouvait que hocher la tête alors qu'il grimpait, grimpait, sans jamais
retomber frôlant l'orgasme tout le temps. Il se demandait si son coeur allait tenir à ce rythme.
"Bien ... alors commençons. J'ai mon second avec moi. Tu vas aimer". Tu vas être fier de tes exploits...et des
nôtres à mon adjoint et complice et moi-même, Le Vengeur, bébé !
commentaire :
Facile de basculer dans l'orgueil bête sans penser qu'un jour on aura son maître
proies faciles
le Vengeur, la vedette qu'on a envie de toucher...
Spencer et sa
famille dans le parc Stanley à Vancouver. De gauche à droite : Annie (sœur), Spencer, Tonette (mère) et Kenny (père).
L’éveil sur le Kilimandjaro
February 12, 2018
Par Spencer West, Toronto
Spencer avec Wilson Meikuaya, un guerrier
Maasai, au Kenya en 2010
En 36 ans de vie, j’ai fait face à de nombreux défis. Le premier s’est présenté il y a 15 ans lorsque j’ai annoncé à mes amis et ma famille que
j’étais homosexuel. Je me suis senti très privilégié que toutes les personnes dans ma vie aient accepté ce fait et ne m’aient manifesté que de l’amour et du soutien. Toutefois la religion dans
laquelle j’avais été élevé ne m’accordait pas l’appui dont j’avais besoin et, à 21 ans, je me suis retrouvé dans ce qui m’est apparu comme un désert spirituel. Je ne savais plus vers quoi me
tourner. Pendant dix ans, j’ai étudié en vain d’autres religions, à la recherche d’une spiritualité qui réponde à mes idéaux et à mes valeurs morales. C’est à cette époque que j’ai quitté les
États-Unis et émigré dans la ville de Toronto, au Canada, pour mon travail, ce qui m’a amené à devenir un conférencier de motivation pour une entreprise sociale appelée Me to We. Cette
organisation se chargeait à l’époque de l’hébergement de son personnel déménageant à Toronto, et c’est ainsi que j’ai rencontré Alex Meers qui, à mon insu, allait devenir mon meilleur ami, me
faire découvrir la pratique du bouddhisme de Nichiren Daishonin et m’embarquer dans bien d’autres aventures.
Nous œuvrons tous les deux dans un endroit incroyable, mais qui peut également être terriblement stressant, sans parler du fait que je voyage près
de 200 jours par an, ce qui est beaucoup moins prestigieux qu’il n’y paraît! Alex et moi sommes vite devenus les meilleurs amis, et j’ai commencé à remarquer qu’en période difficile ou
stressante, il semblait toujours calme et serein, capable d’affronter n’importe quelle situation. Moi, sous l’effet du stress, je deviens vite agacé, et j’ai voulu savoir quel était son secret.
C’est alors qu’il m’a parlé de la SGI, de la récitation du mantra Nam-myoho-renge-kyo, et qu’a commencé ce que je considère être ma première révolution humaine. Quand j’étais en ville,
j’assistais aux cours d’introduction au bouddhisme au Centre culturel de la SGI du Canada à Toronto, et j’ai même commencé à réciter Nam-myoho-renge-kyo*. Cela a duré une année environ. À la même
époque, Alex, David, notre autre ami, et moi-même avons lancé une campagne intitulée Redefine Possible avec pour but de gravir les 5 895 mètres du Kilimandjaro et de recueillir un
demi-million de dollars afin d’approvisionner l’Afrique de l’Est en eau potable. En juin 2012, nous avons commencé l’ascension du plus haut sommet de l’Afrique. Certains pourraient penser que ce
n’est pas si ambitieux que cela, car un grand nombre de personnes gravissent des montagnes, y compris le Kilimandjaro. Il me paraît donc important de préciser ici que je n’ai pas de jambes.
Surprise, n’est-ce pas! Je suis né avec tous mes membres, mais une maladie génétique a empêché mes muscles de fonctionner. J’étais encore un enfant
En 36 ans de vie, j’ai fait face à de nombreux défis. Le premier s’est présenté il y a 15 ans lorsque j’ai annoncé à
mes amis et ma famille que j’étais homosexuel. Je me suis senti très privilégié que toutes les personnes dans ma vie aient accepté ce fait et ne m’aient manifesté que de l’amour et du
soutien. Toutefois la religion dans laquelle j’avais été élevé ne m’accordait pas l’appui dont j’avais besoin et, à 21 ans, je me suis retrouvé dans ce qui m’est apparu comme un désert spirituel.
Je ne savais plus vers quoi me tourner. Pendant dix ans, j’ai étudié en vain d’autres religions, à la recherche d’une spiritualité qui réponde à mes idéaux et à mes valeurs morales. C’est à cette
époque que j’ai quitté les États-Unis et émigré dans la ville de Toronto, au Canada, pour mon travail, ce qui m’a amené à devenir un conférencier de motivation pour une entreprise sociale appelée
Me to We. Cette organisation se chargeait à l’époque de l’hébergement de son personnel déménageant à Toronto, et c’est ainsi que j’ai rencontré Alex Meers qui, à mon insu, allait devenir mon
meilleur ami, me faire découvrir la pratique du bouddhisme de Nichiren Daishonin et m’embarquer dans bien d’autres aventures.
Nous œuvrons tous les deux dans un endroit incroyable, mais qui peut également être terriblement stressant, sans parler du fait que je voyage près
de 200 jours par an, ce qui est beaucoup moins prestigieux qu’il n’y paraît! Alex et moi sommes vite devenus les meilleurs amis, et j’ai commencé à remarquer qu’en période difficile ou
stressante, il semblait toujours calme et serein, capable d’affronter n’importe quelle situation. Moi, sous l’effet du stress, je deviens vite agacé, et j’ai voulu savoir quel était son secret.
C’est alors qu’il m’a parlé de la SGI, de la récitation du mantra Nam-myoho-renge-kyo, et qu’a commencé ce que je considère être ma première révolution humaine. Quand j’étais en ville,
j’assistais aux cours d’introduction au bouddhisme au Centre culturel de la SGI du Canada à Toronto, et j’ai même commencé à réciter Nam-myoho-renge-kyo*. Cela a duré une année environ. À la même
époque, Alex, David, notre autre ami, et moi-même avons lancé une campagne intitulée Redefine Possible avec pour but de gravir les 5 895 mètres du Kilimandjaro et de recueillir un
demi-million de dollars afin d’approvisionner l’Afrique de l’Est en eau potable. En juin 2012, nous avons commencé l’ascension du plus haut sommet de l’Afrique. Certains pourraient penser que ce
n’est pas si ambitieux que cela, car un grand nombre de personnes gravissent des montagnes, y compris le Kilimandjaro. Il me paraît donc important de préciser ici que je n’ai pas de jambes.
Surprise, n’est-ce pas! Je suis né avec tous mes membres, mais une maladie génétique a empêché mes muscles de fonctionner. J’étais encore un enfant lorsque l’on m’a amputé à la hauteur du bassin
pour me permettre de me déplacer plus facilement.
Spencer et Alex (marchant derrière
Spencer) lors de leur ascension du Kilimandjaro.
Autrement dit, j’allais tenter l’ascension du Kilimandjaro sur les mains et dans mon fauteuil roulant, ce qui n’est pas une mince affaire! Il s’est
d’ailleurs avéré que l’ascension de ce sommet épique s’annonçait beaucoup plus difficile que prévu, car j’allais devoir le gravir sur les mains la majeure partie du temps et faire appel à mes
amis pour m’aider physiquement lorsque je ne pourrais plus continuer. Je me souviens d’avoir affronté beaucoup de difficultés les premiers jours, de m’être senti déphasé. Je ne me reconnaissais
plus.
Alors que l’on continuait notre ascension, je me suis aperçu que nous n’avions pas récité Daimoku* depuis notre arrivée sur la montagne. C’était la
troisième journée sur huit et demi. Quand nous sommes arrivés au camp, j’ai mentionné à Alex que j’étais mal en point et que je me rendais compte que j’avais besoin de prier. Nous avons invité
David à se joindre à nous. Nous nous sommes éloignés et avons trouvé un rocher qui surplombait littéralement le monde. Nous étions tellement haut dans la montagne qu’il n’y avait rien d’autre de
visible devant nous qu’un océan de nuages. Nous avons récité Nam-myoho-renge-kyo pendant une quinzaine de minutes environ et pendant ce temps, j’ai compris que la pratique bouddhique était ce que
j’avais recherché depuis si longtemps. J’ai alors décidé de devenir un membre à part entière de la communauté
Pour marquer la victoire :
.
Spencer (au centre) avec Alex (à gauche)
et David au sommet du Kilimandjaro.
Nous sommes finalement parvenus au sommet en dépit du fait qu’Alex et David aient été grandement affectés par le mal de l’altitude. À ce stade, nous
avions largement dépassé notre but de recueillir des fonds pour approvisionner en eau potable et à vie, 12 500 personnes en Afrique de l’Est. Quelques mois après notre retour, j’ai reçu mon
Gohonzon*. Non seulement j’étais passionné par les enseignements et les principes de base du bouddhisme de Nichiren Daishonin mais en plus, pour la première fois en tant qu’homme gai, je sentais
que j’avais trouvé une pratique spirituelle qui m’acceptait tel que j’étais. Autre chose utile, alors que je commençais à étudier, j’ai enfin pu mettre en mots l’emploi que j’occupais depuis les
neuf dernières années. Ainsi, je travaille pour un organisme qui habilite les gens à changer le monde mais, plus important encore, je me sers de mon histoire et de ma plateforme pour propager
kosen rufu*. Je savais que mon poste était important, mais il a fallu attendre que je puisse le nommer, à savoir « la paix mondiale par l’autonomisation des autres », pour que je
commence à ressentir l’impact de ma mission et à me sentir davantage en harmonie avec celle-ci.
La signification de Nam-myoho-renge-kyo
De manière succincte, Nam-myoho-renge-kyo pourrait se traduire par : « Je me consacre à la Loi merveilleuse du Sûtra du Lotus », ou
encore : « Je mets ma vie en harmonie avec la vie de l'univers ».
Voici une explication plus détaillée des concepts exprimés dans cette phrase :
• Nam : Nam est un mot dérivé de la translittération du mot sanskrit namas qui signifie « se consacrer à », « respecter du fond du
coeur », et exprime une forte foi.
• Myôhô : Littéralement, Myôhô signifie « loi merveilleuse » et exprime la relation entre la vie de l’univers et ses nombreuses
manifestations. Myô désigne l’essence même de la vie, invisible et au-delà de l’entendement intellectuel. Cette essence s’exprime elle-même sous une forme tangible (hô) qui, elle, peut être
appréhendée par les sens. Les phénomènes (hô) changent, mais un principe unique et immuable les habite tous (myô).
• Renge : Renge (prononcé « rèngué ») signifie « fleur de lotus ». Parce qu’il produit en même temps sa fleur et son fruit, le lotus symbolise la simultanéité
de la cause et de l’effet. La loi de cause et d’effet explique que chaque personne est directement responsable de sa propre destinée. Nous créons notre destinée et nous
pouvons la changer. Réciter Nam-myoho-renge-kyo produit simultanément dans les profondeurs de notre vie l’effet de la bouddhéité, qui ne manquera pas de se manifester le temps venu. De plus, bien qu’elle pousse et s’épanouit dans des étangs boueux, la fleur de lotus demeure immaculée. Elle symbolise ainsi l’apparition de l'état
de bouddha originel dans la vie en proie aux troubles d’une personne ordinaire.
• Kyô : Littéralement, Kyô veut dire « sûtra », « voix » ou « enseignement d’un bouddha ». Il désigne également le
son, le rythme ou la vibration. Le caractère chinois pour kyo désignait à l’origine le fil d’un ouvrage tissé, la continuité temporelle, et représente ainsi le caractère éternel de
Nam-myoho-renge-kyo. Au sens large, kyô véhicule le concept selon lequel tout, dans l’univers, est une manifestation de la Loi merveilleuse.
› Guide de prononciation pour la récitation de Nam-myoho-renge-kyo Vidéo “karaoké” pour apprendre la prononciation et le rythme de la récitation de Nam-myoho-renge-kyo
J'ai sucé sa bite jusqu'à
ce qu'elle devienne molle et sèche.
Je
roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour des étreintes précédentes avec des bouches et des langues creusant dans le feu et la
passion de notre accouplement urgent...
...25 cm en pyramide dans son...
maioui ...
Mon sexe
était dur comme de la pierre et son cul continuait à pousser contre mon entrejambe pour sa baise.J'atteignis la petite table et pris une dose de gel et attrapai son cul.
Il s'est élevé pour moi et a chevauché mon ventre, me facilitant une large entrée dans son cul
trop petit.Mes doigts ont trouvé son trou plissé et, au milieu de ses halètements,
j'ai inséré rapidement mon index puis mon majeur.Travaillant son
trou ouvert et son petit derrière qui se tordaient au-dessus de moi laissez-moi penser qu'il était heureux.Quand j'ai senti qu'il était prêt, le
troisième doigt s'est glissé dedans et je l'ai bougé rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme.J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume poussée à l'intérieur de lui.Il souffrait maintenant, mais il continuait à pousser sur ma main, prenant tout ce que je
pouvais lui donner.Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait de la bite.
Ma main sortit sans bruit de ce soyeux espace et mes yeux rencontrèrent les
siens.Ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage."Oh, prends-le le trou de ton bébé, s'il te plait, s'il te
plaît, s'il te plaît" murmura-t-il plusieurs fois, essoufflé.
Je le soulevai, sous les bras, le ramenant presque complètement
sur moi et guidai son trou du cul impatient de ma bite.Dès que je sentis que mon gland touchait son
puits d'amour et glissait dans son toboggan béant, je l'investis complètement, enfouissant ma bite en lui.Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains.J'étais choqué de voir à quel point ce jeune, bien en tous points de vue, semblait dépendant, assis là,
empalé et pistonné, sacralisant ainsi ma bite dure.
Il vibrait et tremblait on ne
savait plus si c'était de douleur ou de jouissance extrême alors que je poussais inexorablement plus loin en lui, alors qu'il se collait chair contre chair, poussant contre mon ventre
et ma queue.Quand ses fesses touchèrent mon pubis, je guidai son
comportement.Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide.Je pouvais voir la façon dont ma bite entrait et sortait de
lui, et imaginais sans peine l'effet que ça lui faisait ; il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre et à le prendre dans son lieu secret le plus profond, celui
qui réunit âme et corps.Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son
corps.Je l'ai attrapée et l'ai serrée fermement pendant qu'il commençait à prendre son
rythme.Je commençais à grogner chaque fois que ses fesses claquaient
contre mes cuisses.Maintenant, il chevauchait le
poney au galop, pesant maintenant contre moi de tout son corps d'ange livré au démon, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, se mordant la lèvre inférieure, son visage
rayonnant de faim et de désiret de satisfaction... le diable était entre nous ; Belzébuth avait pris possession de
lui.
Je lui ai fait lire mon récit et
mon copain m'a dit que je pouvais lui faire tout ce que je voulais, alors je lui ai dit d'être prêt quand je rentrerais à la maison avec juste un jockstrap. J'avais sur moi mon
costume noir et mon sweat blanc préféré que j'avais portés au travail ce jour-là en tant que professeur de lycée.
J'ai d'abord grimpé sur lui et joué, le relaxant. Puis j'ai pris ses poignets et les ai attachés au-delà de sa tête, aux coins du lit. Une fois que ses petites mains furent
neutralisées, j'ai pris le temps de manger son petit cul sexy. Il gémissait de plaisir, ses pieds ballottant dans l'air.
J'ai ôté mon propre jockstrap, et ai commencé à le baiser à cru, avec rien mais ma pine. Ça lui faisait mal, alors je l'ai bâillonné un peu avec ma bite, pour avoir ma bite bien mouillée,
puis je suis retourné au travail. Tout ce qu'il pouvait faire était de se détendre et de gémir. Il ne pouvait pas se toucher, et même s'il l'avait voulu, il était coincé dans son
jockstrap.
Après un moment, il a commencé à me supplier de jouir. Le regard sur son visage de frustration sexuelle m'a poussé sur le bord. Je suis venu bite et boules libérées au fond de
lui. Quand je l'ai délié il était déchaîné contre moi et m'a fait payer cher...ce que je souhaitais !¤
commentaire :
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La sidération est un état de stupeur émotive dans lequel la personne, figée dans un émerveillement mêlé de crainte de l'inconnu , donne
l’impression d’une absence au monde réel, ce qui n'empêche pas des tremblements associés à cet état.
il n'est plus dans la scène, il vit ce qui se passe de manière distanciée
La sidération est un phénomène psychologique qui a toujours existé. Elle agit comme un arrêt du temps qui fige la personne dans une attitude
psychologique d'apparente soumission et résignation, au point que les émotions semblent pratiquement absentes. Il ne faut pas là lui demander sa participation sinon psychédélique par de doux
"ahhhhhh" et "ohhhhhhh" à voix basse et prolongés
La culpabilité est irrationnelle et une « sidération » vous enfermedans le silence et l’incapacité de dire sa jouissance .
Le« profil de victime »attire l'opportuniste qui profitera de la sidération de celui dont-il veut faire son partenaire. La
sidération est un blocage total qui protège de la souffrance en s’en distanciant : c'est utile au " gentil prédateur" . Il arrive que le choc psychologique réactualise un souvenir ancien lié au passé ou à l’enfance. De là, il est facile de le faire faire entrer
dans cet état second favorable et consensuel.
La sidération intense peut durer plusieurs heures, et va se manifester par cet état de léthargie heureuse, état de sommeil profnd et
prolongé ou de nombreuses fonctions de l'organisme demeurent présentes et fonctionnelles mais tournent au ralenti. Elle s'accompagne généralement d'une absence totale de réponse musculaire et
verbale. La léthargie ne présente habituellement aucun symptôme associé ou maladie pouvant l'expliquer. En cas de réveil souvent fugace, la personne léthargique se rendort presque instantanément
sans souvenir de sa phase éveillée. Il s'agit d'un état rattaché actuellement à une allégresse d'ordre psychiatrique qui n’est autre que le mécanisme de défense archaïque de camouflage dans
un milieu naturel, ou d’un état d’agitation inadaptée. La verbalisation est souvent difficile, voire impossible. La victime se retrouve dans un comportement de repli sur soi avec des pleurs et de
l’angoisse, pouvant aller jusqu’à des tremblements ou des vomissements.Elle souffre d’une culpabilité omniprésente, avec une impression de souillure pas toujours spontanée mais conséquente,
et un sentiment de honte.¤
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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