Au village il était le champion de lutte incontesté Beaucoup de gars avaient essayé de le battre mais finissaient
toujours par transpirer, couchés sur le ventre alors que l'homme le plus fort les maintenait au sol. Il était donc naturellement surpris que le petit
nouveau relativement maigre ait décidé de le défier à l'heure même où la salle de sport était sur le point de fermer.
Il avait décidé de s'en amuser, de toute façon cela ne
devrait pas prendre plus de 30 secondes pour que le gars soit au sol Ils sont tous deux
montés sur le tapis et le champion a décompté à partir de trois. Juste au moment où ils
s’affrontaient, les yeux du challenger avaient brillé en vert et le champion a gelé, temporairement
paralysé, suffisamment de temps pour que le challenger se glisse
derrière lui et le débarrasse de son maillot, le laissant nu. Alors qu'il était sur le point de récupérer, le monde
s'est effondré sous lui et il a senti la pression de la poitrine du challenger contre son dos. Le plus petit des hommes utilisait ses jambes pour forcer les jambes du champion à
s'écarter, révélant ainsi son "trou de balle".
Le champion entendit à son
oreille :"Commence à te branler." Il était sur le point de crier en signe
de protestation mais sa main s'abaissa instantanément toute seule vers sa queue. Il fixa
sa bite durcie alors que son corps bougeait contre sa volonté.
Il était mortifié, que quelqu'un puisse le
voir dans cette position, exposé et se masturbant contre sa volonté
craignant que certains pervers se moquent de lui. "Ne
t'inquiète pas, ici il n'y a personne d'autre que nous ... ils sont tous partis pour la nuit. On est juste toi et moi."
Il a essayé de former des mots, mais n'a pas pu. Il y avait juste un petit filet de liquide pré éjaculatoire au bout
de sa bite et comme on dit il se branlait malgré lui "comme un sour". "Chuttt ... n'essaie pas de parler, bébé. Continue de te
branler, la pression dans tes couilles est au max, tu voudrais cracher ton sperme, n'est-ce pas? mais je ne vais pas t'en donner la permission : tu vas rester juste au bord de
jouir.
Mon dieu oui il aurait donné n'importe quoi pour jouir. Il ne voulait que ça
et il prit cette profonde inspiration qu'on a quand on est sur le point
d'éjaculer, mais rien ne venait. Il était mal, sa tête était vide et il ne pouvait penser qu'à ça.
"C'est tellement dommage que
je ne te donne pas la permission de jouir, n'est-ce pas ? Continue à caresser ton gros calibre, je vais vous mettre la main dessus."
Le champion pourrait pleurer. Il était au bord de l'orgasme, il le
savait. Ses couilles étaient serrées et son trou du cul se contractait à chaque coup.
Ses orteils se recourbèrent et se recourbèrent, alors qu'il haletait de souffle interrompu.
Il voulait jouir ... il avait besoin de jouir. Mais le cruel
challenger ne le laisserait pas faire.
"Un si grand homme comme toi, je suis sûr que tu pourras continuer à caresser ta bite toute la nuit sans jouir. Tu vas continuer à te caresser pendant que tu prends ma bite en bouche,
juste suite des réjouissances, tu vas continuer à te caresser me
léchant les pieds, pendant que je suis assis sur ta bouche et que je te pince les tétons. Tu as compris ?
Il aurait voulu cracher sur lui, rugir et le frapper, mais il ne pouvait
pas. Il ne pouvait que hocher la tête alors qu'il grimpait, grimpait, sans jamais
retomber frôlant l'orgasme tout le temps. Il se demandait si son coeur allait tenir à ce rythme.
"Bien ... alors commençons. J'ai mon second avec moi. Tu vas aimer". Tu vas être fier de tes exploits...et des
nôtres à mon adjoint et complice et moi-même, Le Vengeur, bébé !
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