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   charmeur, Méphisto changea d'apparence quand je m'approchai    Toujours cloué sur la bite du de mon partenaire inconnu , à ce moment je ressentis une vive piqûre d'insecte dans le dos.  

    En fait j'y étais habitué dans les champs et les piqûres de guêpes étaient sans effet sur moi. Bien après je découvris parterre avec quelle microscopique seringue l'inconnu m'avait fait une petite injection de je n'ai jamais su quoi, mais dont je sais qu'elle avait tout changé de cette baise entre hommes.     

A partir de cet instant il me délia. Mes mains libérées, je ressentis une forte envie de me masturber et nos deux pénis grandirent et durcirent en même temps. Cela me fait penser que, malgré le risque sanitaire la même seringue et le même produit avaient servi pour tous les deux. Je demeurais lucide sauf que je ne pouvais plus rien contrôler. De sa main il m'empêcha  de me mastuber, je compris que c'était pour que le plaisir désir se prolongeât. Justement le produit inconnu fit son effet. J'eus, à proprement parler "le feu aux tripes", à savoir que mon anus, mon conduit me donnaient la brûlante impression de s'ouvrir démesurément et de faire partie de la même chair que le pénis qui me baisait, que les mains qui faisaient des incursions dedans étaient à la fois étrangères et fusionnaient leur chair avec la mienne. La jouissance qui s'ensuivait me prenait du plus petit de mes orteils jusquà la racine de mes cheveux dans une vibration, un fourmillement délicieux et continu, mon coeur marquant aussi une accélération avec un afflux évident d'adrénaline.

Je ne l'aimais pas : impossible, on se connaissait à peine. Pourtant, une force inconnue et essentielle me poussait à lui répéter : "je t'aime...je t'aime..." et j'étais essoufflé comme après une course. Je l'étreignis bien que n'ayant guère de force pour lui témoigner ma reconnaissance    

 Deux bouteilles de vin plus tard, nous deux allongés étendus l'un à côté de l'autre sur une couverture sous un arbre, moi nu et soupirant sous la glisse de ses mains sur les courbes et dans les crevasses, et entièrement vêtu sauf pour sa braguette ouverte et la protubérance de son énorme, dure, bite non coupée, il murmura, "Faites-moi confiance, donnez-vous à moi."

"Oui," murmurai-je. C'était Satan.            

    écoute...

 être gay n'est pas un crime et ce n'est pas un péché. Arrêtez de nous opposer DIEU pour justifier votre opposition. La Religion traite d'aimer son prochain. Vous, vous cherchez seulement une excuse à votre haine. 

 avec une dos infime !

baisé, malgré sa répulsion, par un étrange, insistant et agressif prédateur, qui lui arrache son consentement. Hypnotisme ? Magnétisme à la Raspoutine  ? mais pas violé. Le consentement c'est complexe ! -"Dire que je n'ai pas consenti ? J'ai consenti./ Dire que j'ai consenti ?  Je n'ai pas consenti !" Le Normand  -lol-

l'art littéraire de david/weblog/gay.html

C'est un mec grand, la quarantaine, complètement chauve, sourcils blonds et yeux bleus, piercing dans le septum, barbe de trois jours autour de la bouche. Il porte un tee-shirt noir serré, sans doute choisi pour mettre en valeur sa musculature impressionnante, mais qui révèle aussi qu'il a du bide — tee-shirt avec un logo formé de runes ᛏ et ᛋ superposées. Des mitaines en cuir noir aux mains. Treillis façon camouflage. Doc Martens aux pieds. Il me déplaît spontanément. Il parle d'une voix agressive même en se voulant amical.

— Salut, je peux te payer à boire* ?  

J'essaie de communiquer du regard qu'il m'emmerde, sans pour autant avoir l'air hostile : que son offre ne m'intéresse pas parce que je me doute qu'elle cache quelque chose. Je ne sais pas dire non  tout ça avec les yeux, alors j'essaie avec la bouche :

— C'est sympa, mais j'ai déjà ce qu'il me faut.

Je n'ai pas dû penser laisse-moi tranquille assez fort, ou mes compétences en télépathie ne sont plus ce qu'elles étaient. Le mec s'accroche, il insiste pour faire conversation : mes réponses sont brèves et agacées, mais je réponds malgré moi. Oui, je suis très blond, merci. Non, je ne suis pas Norvégien. Ni Suédois, Finlandais, Danois, ni même Allemand. Non, je n'ai pas l'habitude de venir ici. Non, je ne veux vraiment pas une bière, d'ailleurs je ne bois pas d'alcool. Oui, c'est comme ça. Non, je ne suis plus étudiant, j'ai trente-cinq ans même si je ne les fais pas. Oui, je suis vraiment blond aux yeux bleus, je ne suis pas décoloré et je n'ai pas des lentilles de couleur. (Apparemment l'autre est immunisé contre le sarcasme.) Non je ne veux pas non plus un Red Bull, je n'ai plus soif. J'attends quelqu'un.

Quand il attaque une fois de plus sur la couleur de mes cheveux, je n'en peux plus, même mon tempérament à toujours fuir la confrontation ne me retient plus :

— Écoute, je ne sais pas si tu cherches à me recruter pour un groupe néonazi ou à baiser avec moi dans la communion du sang aryen, mais dans les deux cas ça me dégoûte.

Je pars me poser ailleurs, et ce chieur me suit. Il m'attrape le bras, le serre, et me souffle à l'oreille sur un ton menaçant :

—  J'aime qu'on me résiste. Mais tu ne tiendras pas longtemps.

Pourquoi je lui ai répondu ? J'aurais dû m'en aller — ah non, je pensais attendre Erwan. J'aurais dû l'ignorer, alors. Ou lui rire au nez, faire un scandale, lui foutre une baffe. Mauvaise idée, la baffe, peut-être. Mais je n'aurais pas dû le suivre sur le terrain où il m'entraînait. Quel con je suis. Me voilà en train de jouer au jeu qu'il a choisi, de répondre à son défi, de me mesurer à sa volonté. Quand je dis non, je ne coucherai pas avec toi, ça veut dire oui, parce que je vais perdre : il le sait, et je le comprends trop tard. Je le vois mettre le comprimé dans mon verre et-subjugué ???- je le bois quand même. -" c'est léger" me dit-il juste pour rassurer" ..."j'aime qu'on bande"

Il ne faut pas longtemps pour que nous sortions ensemble du bar, je lui emboîte le pas d'un air mi-soumis mi-furieux — ou du moins je le crois — cherchant à me raconter à moi-même que je ne suis pas complètement consentant pour ce qui va arriver — je me sens assez penaud mais pourtant je le suis comme un petit chien jusque chez-lui.

sa bite devrait me donner des hauts-le-coeur mais je ne vomis pas et mon anus me transmet des messages de haute satisfaction de son imposant diamètre !

Quelle faute devais-je expier pour céder à cette brute et rater le RV d'Erwan ?

 "je le sens masser le dessous de mon estomac."

je ferme les yeux et m'efforce de jouir quand même d'avoir cédé contre mon gré 

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commentaires : 1.les ravages de la solitude et du manque  dans la vie on n'a pas toujours les tops qu'on voudrait ou plutôt qu'on mériterait

2.    [*te payer à boire}°) comme à une pute quoi !]   

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