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 J'ai vécu une scène qui m'a définitivement éclairé sur mes goûts. J'ai surpris mon cousin Samuel endormi. Il était plus vieux que moi puisqu'il avait 20 ans et il était strictement hétéro. Ça ne m'empêchait pas de le désirer en secret mais il n'était pas question de faire quoi que ce soit. D'autant plus qu'il ignorait mes penchants et qu'il détestait les pédés comme il disait. Un matin je suis entré dans sa chambre pour le réveiller et je l'ai trouvé qui ronflait à poil sur son lit. II avait fait une fiesta la veille et il n'avait pas récupéré de ce qu'il avait picolé. Il était affalé sur le ventre, bras et jambes en croix et la tête à moitié enfouie dans l'oreiller. Je lui ai secoué l'épaule mais pas moyen de le réveiller. Il pionçait comme un bienheureux.

Alors je l'ai regardé avec plus d'attention. Son dos superbe, le fin duvet blond qui couvrait ses cuisses et surtout son cul légèrement plus pâle que le reste de son corps. Il avait des fesses magnifiques, je l'avais déjà vu en slip mais c'était la première fois que je les voyais sans rien. Sa position cambrait ses reins et l'écartement de ses jambes dévoilait une partie de la raie. Ça m'a excité. Ma queue a gonflé dans mon slip. J'avais ce cul à portée de ma main et les ronflements de Samuel garantissaient qu'il était en pleine inconscience. Et je ne pouvais pas le toucher, c'était beaucoup trop risqué. Pourtant ça n'était pas l'envie qui m'en manquait. Je regardais sa peau blanche et fine comme si je pouvais la caresser avec mes yeux.

Dans l'obscurité du sillon qui partageait ses fesses, je distinguais quelques poils frisottés qui le tapissaient. La tension de ma bite était telle que j'en avais mal aux couilles. Je me suis astiqué par dessus mon pantalon. Je n'osais pas la sortir pour me branler plus commodément Nous n'étions que tous les deux dans l'appartement mais il pouvait se réveiller en sursaut. D'ailleurs, à un moment il a grogné, prononcé deux ou trois mots incompréhensibles et changé de position. Puis les ronflements ont repris, encore plus puissants qu'avant Sa nouvelle posture ouvrait un peu plus ses fesses et les avait mises tout au bord du lit Je me suis agenouillé pour voir de plus près et j'ai ressenti comme un coup dans la poitrine.

Noyée dans l'ombre mais parfaitement visible, j'ai contemplé l'étoile plissée de l'anus auréolée de quelques poils follets. J'arrivais même à distinguer la couleur plus vive de la peau des sphincters. C'était plus que je pouvais en supporter. Sans réfléchir à mon imprudence j'ai sorti ma queue de mon slip et je me suis branlé sans quitter des yeux le trou du cul de Samuel. Il n'en a jamais rien su évidemment mais dans les jours qui ont suivi je me suis tapé quelques branlettes en repensant à cette scène.

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entre 15 et 20 ans, on apprend, merci les plus grands expérimentés 

photo Marie-Claire 05/11/2013 à 17:25 |

Le désir « spontané » durerait de douze à dix-huit mois

L'époque est à la performance sexuelle, aux orgasmes à répétition, au jouir ensemble jusqu'à la tombe.

L'artifice des sondages :  

Magazines et instituts de sondages regorgent d'enquêtes et de statistiques en tout genre, tendant à prouver que la normalité est de faire l'amour chaque jour, quel que soit son statut social, ses problèmes, son âge. Bien sûr. Comme si la crise, le boulot (quand on en a un), comme si la morosité du quotidien n'affectaient en rien notre libido. Comme si l'âge aidant, les hormones se calmant et la routine s'installant, on restait des « saute-au-paf » de première.

Ces enquêtes sont quand même fascinantes :

il suffit de surfer sur Internet pour tomber sur les conclusions de quelques obscurs chercheurs qui n'ont rien d'autre à faire que de regarder sous la couette de leurs congénères. Comme on sait bien qu'ils y sont rarement conviés, cela revient à dire que ces travaux sont très largement de la pure invention.

Une autre enquête très sérieuse concerne la corrélation entre la recherche du bonheur et le sexe. D'après l'enquête d'une université du Colorado (publiée dans le journal Social Indicators Research et intitulée « Sex and the Pursuit of Happiness »), la journée idéale des sondés comporterait 106 minutes à faire l'amour, 36 minutes à travailler, 48 minutes devant son ordinateur, 82 minutes de socialisation, 75 minutes à manger, 47 minutes de tâches ménagères et 46 minutes de repos.... 106 minutes à faire l'amour, ça fait rêver. Ou pas. Il y a quelques années Frédéric Beigbeder avait écrit un livre, L'amour dure trois ans. Pour lui.  Parce que les sexologues affirment que le désir « spontané » dure de douze à dix-huit mois.

 Prendre conscience du bonheur que l'on a de faire l'amour et vouloir le conserver  qu’il est difficile de faire comprendre aux plus jeunes qu’une vie sexuelle épanouie se travaille, s’entretient et ne va pas de soi. Puisque, selon une énième enquête, les 50-70 ans qui font l’amour vivent plus vieux, en meilleure santé et sont plus heureux, il faut bien trouver les moyens, à défaut d’entrer dans le Guinness des records, de continuer cette activité qui ne coûte rien, ce qui est rare de nos jours. En gros, sexuellement parlant : entre 15 et 20 ans, on apprend ; après on profite ; de 40 à 50 ans, on se calme, mais il faut s’accrocher parce qu’à partir de 55 ans, avec le "démon de midi" ça repart.

on apprend

on profite

merci les plus grands expérimentés 

    en bois, hein !

   

« Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet.
 
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s'aller perdre où la pente les appelait.
 
Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
 
C'est l'olive pâmée, et la flûte câline ;
C'est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !».

Trop heureux que les mystères de mon Trou en intéressent quelques uns !  

Zoom

 Le Trompette En Bois

        Il y avait une fois, quoi, quoi, quoi ?
Un' poupée en velours
Qui dev'nait folle d'amour
Pour une p'tit soldat d' bois,
Qui ma foi
Refaisait avec chic
Le mêm' geste automatique
Il tenait une trompette
Mais il ne jouait jamais rien ;
Et constamment la pauvrette
Murmurait le croyant musicien :

{Refrain 1:}
Oh ! dis, chéri, Oh ! joue moi-z-en
D'la trompette,
D'la trompette
Comme ce doit être amusant
Joue moi-z-en, Oh ! dis joue moi-z-en
Il s'excusait en lui disant
D'un air bête,
Je l' regrette
Mais j'n'en joue pas j' vais t' dir' pourquoi
Je suis un trompette en bois.

Elle essayait parfois
Quoi, quoi, quoi ?
De l' charmer, de l' griser
Avec un gentil baiser...
Elle espérait je crois
Quoi, quoi, quoi ?
Qu'enflammé de désir
Il voudrait lui fair' plaisir,
Mais comme un p'tit égoïste
Il se laissait dorloter...
Et après, mon Dieu, qu' c'est triste
Le trompette aussitôt s'endormait.

Tout là bas j'aperçois
Quoi, quoi, quoi ?
Un' bell' dam' qui dans l' fond
Ne rit pas de ma chanson !
Poupée elle a comm' toi
Quoi, quoi, quoi ?
Un mari musicien,
Dont la trompett' ne fait rien.
De temps en temps il s'apprête
A faire taratata
Mais aussitôt il s'arrête
Car hélas il ne fait rien qu' raplapla

{Refrain 2:}
Oh ! dis, chéri, Oh ! Joue moi-z-en
D'la trompette,
D'la trompette
Tu n' m'en joues plus depuis dix ans
Joue moi-z-en, Oh ! dis joue moi-z-en
Il balbutie en s'excusant,
D'un air bête :
Je l' regrette !
Et final'ment, il reste coi,
Encore un trompette en bois